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Tomber est permis ; se relever est ordonné !

Petitsuisse


Thibaud venait d'arriver avec son groupe, le voyage avait été long et mener à grand galops.
Les montures, étaient bien fatiguées, aussi l'ont prit soin de les desceller et de bien les installer, afin que celles -ci puissent enfin se reposer et récupèrer.
Thibaud avait veiller a se que son étalon Eros eu correctement sa ration d'avoine et d'eau.
Après, il se rendit auprès du Grand Maistre afin de voir si elle avait vieilli ? des consignes a lui donner.


- Paix et prospèrité ma soeur, pardonnez mon retard je suis un peu long des fois, mais je n'ai jamais eu de plaintes, des gémissements des cris oui enfin passons.... je me présente a vous couleur au vent et piquet a la main, fidèle a ma devise toujours prêt ! Ou dois je finir de hisser le mat ?y a t-il un ordre de préséance pour les tentes du campement ?

Un large sourire de pote de salle de garde au vent il attendait .
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Grand Consul De L'Ordre Royal des Hospitaliers De Saint De Jérusalem
Eloso
Sympathique surprise, oui, sans conteste.

Il lache un lourd soupir, devant l'amas de toile et de piquets qui jonche le sol, là où devraient s'élever ses couleurs.

Merci, ma presque vieille amie, c'est gentil ça... Marmonne t-il entre ses dents.

Le tas de poils, identifié comme chien, dont il a hérité sans une explication valable, en profite pour sauter sur le tas, tout en le regardant d'un air fier, comme si il faisait avancer le travail. Entre le cheval, le chien et les parasites divers, il promenait avec lui une ménagerie.

Dépité, il lance un regard autour de lui, pour constater que le diner semble avancé, du moins dans sa version cru et poilue. Autrement dit, on n'est pas près de s'emplir la panse.

Dans ses conditions, il lui paraît préférable d'optimiser le temps. Et pour cela, il ne manque pas de ressources. Prenant juste le temps de desserrer le harnois de son cheval et de lui libérer la bouche, il étend sa cape au pied d'un arbre, et s'y pose, grognant en étirant ses reins endoloris. Les bras en croix, tel un christ qui aurait mûri, le dos bien à plat, il s'absorbe dans la contemplation du dessous des feuilles, à defaut de dessous plus affriolants, à peine distrait par la tirade pleine de sous-entendus du GC, un peu plus loin.
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--Bilout


Autre interrogation canine, face au regard du Grand machin devant lui, pourquoi les hommes paraissent parfois si sots ...
Bien sur qu'il aide ! sinon pourquoi aurait il collé ses grosses pattes sur la toile !

Un regard câlin histoire de ne pas se faire chasser par un coup de pied, puis une odeur chatouilleuse de narines vient à lui et il tourne la tête pour voir arriver le chasseur tout fier de lui. S'il avait pu il aurait sourit à l'idée d'avoir quelques restes en soirée mais il n'était qu'un chien et un chien ça ne sourit pas.

Toujours est il que son maitre de substitution semble un peu oublier de se mettre à monter la tente et ça ça ne va pas parce qu'à ce rythme c'est encore à la belle étoile qu'il va encore être obligé de dormir.
En effet celui ci décide plutôt que de se mettre à sa tâche de se vautrer sur sa cape, et là d'un coup d'un seule la folle envie de lui sauter sur le ventre le saisit. Aussi l'animal ne résiste pas et se précipite sur lui pour le couvrir de léchouilles comme il les aime avant de se caler bien contre lui genre pousse toi tu prends trop de place.
Eloso
Ouarfff ! Adieu, feuilles, soleil, dessous ! 140 livres de fourrure noire viennent lui obscurcir le jour, broyant des tripes heureusement vides, tout en lui détrempant le visage à grands coups de langue.

Un peu rapeuse, la langue, d'ailleurs. Franchement, il y a mieux, il le sait pour en profiter parfois. Ce n'est une surprise pour personne, son premier reflexe est de râler et de repousser le fauve.

Foutrecul, espèce de ... de... de descente de lit !

Mais devant le regard mouillé de l'animal, sa conviction toute canine d'être au bon moment au bon endroit, et cet air profond d'innocence surprise, il renonce et lui fait une place contre lui, quitte à crever de chaud dans quelques minutes. Comble de bonhomie maréchalesque, il se laisse aller à poser une main derriere les oreilles velues, sur le crâne massif, et à gratouiller la fourrure épaisse.

Bon allez... Tu me préviens si un maraud vient nous déranger hein.
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Victoire.
"Ubi concordia, ibi victoria"

Tandis que tout semble se mettre en place, Victoire traverse le campement puis enjambe en souplesse les racines proéminentes recouverte de feuilles épaisses d’un vert profond. Quelques envolées soudaines lui rappelle sur son passage la présence de nichées de volatiles.
Et comme à chaque fois qu'une idée fixe lui trotte dans la tête et qu'elle ne peut s'en débarrasser elle étouffe un grognement en regardant s'échapper les bécasses. Voilà qui justifierait sa disparition du camp si elle revenait en brandissant le fruit de sa chasse.
Un sourcil se lève tandis que la paupière de l'autre œil se plisse se finissant dans un petit rictus.
Que nenni les bestioles n'avaient nullement l'intention de finir en brochettes ! Pendant ce temps -là le bruit perçant d'un carreau acéré attire son attention. Embusquée derrière un grand chêne Victoire observe le géant achevant un....Oh Bambi...!
Agacée de rentrer bredouille, et de crainte qu'Igor ne fasse qu'une bouchée du cervidé, elle emprunta un raccourci qui la mènerait plus vite au campement, ravie de croiser Quelfalas et Thibaud elle les salua chaleureusement puis, amusée, regarda un instant Grimoald qui s'en prenait aux épinards. Chemins faisant elle s'approcha du petit groupe et dit sur un ton dépité.


Bonjour tout le monde ! Quelqu'un aurait croisé Bambi ?
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Petitsuisse


Attendant toujours la réponse du grand Maistre, il vit arriver Victoire, aussi il la salua comme il se devait, il remarqua aussi un homme coucher sous un arbre au prise avec fourure qu'il tentait de dominer en la caressant.
Aussitôt il reconnu le Marechal ce qui le fît sourire.


-Ma soeur, le soleil matinal illumine votre visage comme soleil sur les blés. Pour bambi je ne connais pas tout vos amis alors je ne puis vous répondre, cependant j'ai cru apercevoir un chasseur tête bèche en dur lutte avec une furie en fourure sous un arbre. Peut être sera t-il a même de vous répondre.

héhé louper le coin tranquille du maréchal, il jouera avec sa bebete un autre jour.
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Grand Consul De L'Ordre Royal des Hospitaliers De Saint De Jérusalem
Leello
Leello sourit heureuse de revoir son ami de presque toujours, chaque fois une foule de souvenirs l'envahissaient notamment ceux concernant un curé pas comme les autres qui avait eu la bonne idée de laisser, avant de les quitter, une partie de son humour cinglant qui animait les soirées en taverne.

Ce temps là était bien loin, presque aussi loin que celui où elle avait croisé pour la première son ours d'ami, qui se faisait laver par le machin baveux de son fils. Sacré Ed, il avait réussi a lui refilé son chien alors qu'il visitait le monde. Cela dit, les deux semblaient réussir à s'entendre, on pouvait même voir le regard du Grand Maréchal s'attendrir dès que Bilout collait sa truffe humide contre sa main. Mais ça elle se garderait bien de le dire.


Petitsuisse a écrit:
- Paix et prospèrité ma soeur, pardonnez mon retard je suis un peu long des fois, mais je n'ai jamais eu de plaintes, des gémissements des cris oui enfin passons.... je me présente a vous couleur au vent et piquet a la main, fidèle a ma devise toujours prêt ! Ou dois je finir de hisser le mat ?y a t-il un ordre de préséance pour les tentes du campement ?


Leello pouffe largement en l'entendant.


Alors mon frère ... Paix on fait ce qu'on peut mais prospérité même si ça rime avec hospitalier, c'est pas gagné ! cela dit on vit très bien ainsi !
Et oui tu es presque en retard mais l'essentiel est que tu sois là au bon moment !
Après en ce qui concerne ton dynamisme ... et l'effet qu'il peut avoir ... tu sais déjà ce que j'en pense ne nous engageons pas dans ce débat.

Elle fit un pas en arrière et le regarde de haut en bas et de bas en haut en se retenant de rire.

En tout cas tu es entier et ça ! c'est ce qui compte !
Installes ta tente dans un coin et peut être serait il bon d'aller donner un coup de main au montage des grandes tentes du fond. Elles pourraient s'avérer utiles.


Victoire a écrit:
Bonjour tout le monde ! Quelqu'un aurait croisé Bambi ?


Et bien non ma soeur pas de Bambi dans le coin ... enfin je crois pas ...

Un peu inquiète quand même elle jette un regard au Grand Maréchal et au Grand Consul espérant grandement que ... Bambi n'était pas le projet de repas du soir.
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Igor
Quelques instants plus tôt... l'étranger s'accordait une pause, toujours près du feu, piquant de temps en temps une lampée du contenu alcoolisé que contenait sa gourde, tout en rangeant son matériel et en espérant qu'un cordon bleu se ramène fissa avant que tout insecte volant ne lui bousille sa petite partie de chasse. Ceci étant, Igor, déjà en route, avait une tente à monter, avant la nuit tombée de préférence, mais une voix féminine l'empêcha de poursuivre son chemin et le fit même se retourner :

Bonjour messire ! Jolie prise ! Nous ne nous sommes que croisés rapidement, je suis Leello de Proisy Fortunat, Grand Maitre de l'Ordre, et je vous souhaite la bienvenue.

Merci bien ! L'animal s'est bien battu... c'est gentil à vous de m'accueillir, je suis Igor, l'étranger. Rétorqua le grand brun, abandonnant son air de brute en comprenant de suite à qui il avait affaire, concluant même sa phrase par un sourire discret, camouflé derrière son épaisse barbe.

S'enchainèrent les apparitions du Grand Consul puis d'une jeune duchesse, qu'il salua tous deux, avant de réagir à la question de Victoire :

Bonjour tout le monde ! Quelqu'un aurait croisé Bambi ?

Bambi ? C'est qui, un méchant ? Slave aux aguets, prêt à dégainer.
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Eloso
Isolé de ce brouhaha de monde qui tourne, il flottait dans un cocon ouaté, coupé de l'exterieur par un bruit sourd et régulier. Le ronflement humide du monstre à quatre pattes, ponctué par l'éclatement régulier d'une petite bulle au bout de sa truffe, couvrait les bruits ambiants.

Du coup, l'Auvergnat finit par sombrer dans une légère somnolence, peuplée de tentes qui se montent seule, chauffées et garnies, de gibiers qui arrivent déjà cuits, de ruisseaux de vin et de GM qui ne ralent jamais. Un rêve, juste un rêve...
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Grimoald
Le jeune Grimoald était toujours embarqué dans ce petit jeu fort amusant et fort divertissant... Bien plus amusant que le montage des tentes, les salutations et autres présentations à droite et à gauche. D'ailleurs, la question de savoir où il dormirait cette nuit, ou même de savoir ce qu'il mangerait, ou encore de savoir qui étaient tous ces gens arrivant et ne manquant point d'allure, ne lui effleurait pas même l'esprit. Non, son esprit était tout entier consacré à son petit jeu.
Ce camp qui se montait, c'était l'île aux Enfants Perdus. Sous ces tentes, il y avait des orphelins, des enfants condamnés à manger des épinards tandis que leurs parents, asservis à sa tante Cunégonde alias "le Dragon", cultivaient sous les coups de fouet du général Frida les immondes épinards destinés à gaver leur progéniture. S'il pouvait reconnaitre quelques tête, il prenait soin de ne point y prêter attention. Reconnaître Victoire, sa cousine Jeanne, et les Hospitaliers qu'il avait déjà eu l'occasion de rencontrer, auraient fortement compromit sa complète immersion dans cet univers tout droit sorti de son imagination.
Aussi, sur le dos de la brave Hubert - la plus fidèle et la brave... et la plus compréhensive d'entre toutes les ponettes - , il vociférait ses "Sus aux Épinards" et autres "Libérez les Enfants !" tout en faisant tournoyer sa canne dans les airs.
Quand soudain, une voix rauque se fait entendre... Une voix rauque qui appelait un "Cuisinier".... Pas de doute pour le jeune homme ! C'était l'heure des épinards !
Il donna ainsi le signal au Capitaine Hubert se mettre au trot et se dirigea vers le cœur du camp. Il s'arrêta derrière une tente et là il vit... Igor ! Igor devant le fruit de sa chasse victorieuse. Igor répondant aux félicitations. Igor qui, en fait, n'était autre que...


- Vois-tu, Hubert ? Là-bas... le géant barbu... Igor la Terreur du Nord !
Lui aussi, c'est un méchant. Sais-tu ce qu'il fait ? Je vais te le raconter, Hubert...
Parfois, il arrive qu'un enfant ne veuille point manger ses épinards. La première fois, il reçoit trois coup de fouet du Général Frida la Grosse Vache. La deuxième fois, il reçoit dix coups de règles sur les doigt par ma tante Cunégonde le Dragon. La troisième et dernière fois... il se fait dévorer tout cru par Igor le Mangeur d'Enfants !
T'es prêtes, Hubert ? Nous allons le pourfendre !


Ajustant la visière imaginaire d'un casque qui l'était tout autant, il se redressa fierment en bombant son petit et maigre torse.
Se remémorant la bataille de Tours où il se "battait" aux côtés de sa Marraine dans son armée - la Semper Fi - , il poussa alors alors un long et tonitruant cri de guerre avant de se lancer à l'assaut d'Igor qui parlait... Mais Grim' n'entendait point ce qu'il disait, ni à qui il parlait.


- SEMPER FIDELIS ! Ubis Corbis Partoutatis Cétindélis !

Malgré tous les efforts de sa mère et de son grand-père pour inculquer au jeune Grimoald, enfant capricieux et dissipé, quelques notions de latin... l'expérience s'était visiblement soldée par un cuisant échec. Passons !
Le petit homme était lancé à l'assaut d'Igor, pointant sa canne en sa direction en criant...


- T'es fais comme un rat ! Ah Ah ! Nous te tenons ! Tu ne t'échappera pas ! Rends-toi !
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Domino
Domino se trouvait au campement avec ses Frères et ses Soeurs.

Elle s'allongea au sol, le ventre vide, et s'enroula en tremblotant dans sa couverture près du feu pour se reposer après une nuit de garde...
Quelfalas
Elle avait réussit à trouver de l'aide pour monter sa tente. C'était une bonne chose de faite. Il allait déjà être l'heure de préparer le repas. Elle vit le slave au aguets prêt d'un chevreuil tué il y a peu. Ce n'était pas comme cela que cela irait.

Alors qu'elle vit son cousin charger Igor elle s''approcha de ce dernier pour lui demander de vider la bête. Et de la peler tant qu'on y était. Elle lancerait un feu pendant ce temps là.


Messire? Puis je vous demander de vider la giboyeuse pitance que vous nous avez ramener là ? Qu'on puisse la cuisiner. Je vais lancer un feu.
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Clergé du Mans.
Maximien
Le Maréchal avait laisser soins a ses quelques hommes d'arme qui le suivait depuis Cusy de monter leur tente, hissant haut les couleurs de l'Hospital.
Max était partit pendant ce temps en forest, histoire de répéter quelque pas de danse martial. Bientôt sa fille sera en age de porter les armes, il sera donc important pour lui de lui apprendre la marche a suivre, d'où l’importance de rester en forme...

Revenant de ces quelques heures de forest, non sans rapporter une pair de lapin qui s'était aventurer dans ses collets. Max arriva au camp, saluant quelque hospitalier sur le passage.
Il s’assied prêt du feu, puis, il affutât un peu sa lame tout en réfléchissant...

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Igor
Messire? Puis je vous demander de vider la giboyeuse pitance que vous nous avez ramené là ? Qu'on puisse la cuisiner. Je vais lancer un feu.

Giboy... ? Hum, d'accord. Réponse plutôt sèche, un bestiau pas tellement emballé pour se taper les corvées de cuisine, d'autant plus qu'il avait une tente à monter ! Mais bon il avait faim...

Alors, tout à l’œuvre, l'étranger entama le travail, une tâche simple certes mais qui en aurait fait pâlir plus d'un. Jusqu'à ce que les choses se corsent...

T'es fais comme un rat ! Ah Ah ! Nous te tenons ! Tu ne t'échappera pas ! Rends-toi !

Grimoald, le petit homme aux caprices et sautes d'humeur incontrôlables, monté sur un cheval format miniature, le tout lancé à vive allure en prenant Igor pour cible avec une canne en guise de lance. Le slave restant relativement plus grand que ses attaquants, n'eût qu'une enjambée à faire pour éviter de se faire percuter par le destrier du blond, avant de crier : Attention les tentes ! Tu vas te blesser !
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