Auriia
Auriia s'éveilla au aurore, réveillé par des griffes de pigeon qui crissaient sur la tuilée, paupière mi close sur la lumière cru du matin elle se redressa de sur sa chaise. Une fois de plus elle avait passé la nuit dans les dossiers et c'était assoupi exténué...
Quand d'un coup une lumière arriva illuminer son esprit.
Oh ! Nan ! Le...
Ne quittant plus la caserne ou rarement elle avait aménagé sa garde robe la bas et elle avait bien fait car la tenue militaire n'était surement po adéquate pour se présenter à la cathédrale.
Après s'être habillée à la hâte et avoir glissé quelque chose dans sa poche elle quitta son bureau an panique. Elle dégringola les marches qui menait à l'extérieur, fit le tour de la battisse... Bien que le soleil fut à peine dégagé du lit de brume qu'offrait le paysage ce matin, elle sentait la chaleur sur son visage. Auriia traversa la ville dan un immense silence, seul les sabots de sa jument venait troubler ce calme. Une fois arrivé devant la maison d'Aristote elle attacha la bête à un arbre et se dirigea vers l'entrée.
Bon.
D'un geste machinal, elle remit une mèche de cheveux derrière l'oreille. Elle les portaient long et les avait laissé libre pour l'occasion laissant juste attaché sa frange qu'elle avait ramené en arrière. Elle portait une robe uni , sur l'encolure avait était cousu un filé d'or, sa croix d'Aristote offert par son parrain Tancrel pendait à son cou. Il était temps...
Le hurlement du vent se fracassait contre la grand porte de la cathédrale, Auriia tira des deux mains pour l'ouvrir sous un bruit de grincement... Elle qui voulait passé inaperçue commençait bien... Elle avança dans l'allée le plus silencieusement possible sous les chants des choristes en saluant les présents d'un petit geste de la main. Auriia grimaça en voyant qu'elle n'était po en avance et se mit à sourire de toute ses dents quand ses yeux avait croisé les regards de ses deux amis. Ques que Chelsea était belle, le trait sur son visage dessiné le bonheur. Elle s'approcha d'elle pour lui glisser un énorme bisou sur la joue, tapota l'épaule de Fool et s'inclina devant sieur Lemoine discrètement en guise d'excuse pour le retard. Sans attendre elle s'installa sur le banc et écouta l'éclat des voix résonner tout autour.
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« Un véritable ami vous poignarde en face. »
Quand d'un coup une lumière arriva illuminer son esprit.
Oh ! Nan ! Le...
Ne quittant plus la caserne ou rarement elle avait aménagé sa garde robe la bas et elle avait bien fait car la tenue militaire n'était surement po adéquate pour se présenter à la cathédrale.
Après s'être habillée à la hâte et avoir glissé quelque chose dans sa poche elle quitta son bureau an panique. Elle dégringola les marches qui menait à l'extérieur, fit le tour de la battisse... Bien que le soleil fut à peine dégagé du lit de brume qu'offrait le paysage ce matin, elle sentait la chaleur sur son visage. Auriia traversa la ville dan un immense silence, seul les sabots de sa jument venait troubler ce calme. Une fois arrivé devant la maison d'Aristote elle attacha la bête à un arbre et se dirigea vers l'entrée.
Bon.
D'un geste machinal, elle remit une mèche de cheveux derrière l'oreille. Elle les portaient long et les avait laissé libre pour l'occasion laissant juste attaché sa frange qu'elle avait ramené en arrière. Elle portait une robe uni , sur l'encolure avait était cousu un filé d'or, sa croix d'Aristote offert par son parrain Tancrel pendait à son cou. Il était temps...
Le hurlement du vent se fracassait contre la grand porte de la cathédrale, Auriia tira des deux mains pour l'ouvrir sous un bruit de grincement... Elle qui voulait passé inaperçue commençait bien... Elle avança dans l'allée le plus silencieusement possible sous les chants des choristes en saluant les présents d'un petit geste de la main. Auriia grimaça en voyant qu'elle n'était po en avance et se mit à sourire de toute ses dents quand ses yeux avait croisé les regards de ses deux amis. Ques que Chelsea était belle, le trait sur son visage dessiné le bonheur. Elle s'approcha d'elle pour lui glisser un énorme bisou sur la joue, tapota l'épaule de Fool et s'inclina devant sieur Lemoine discrètement en guise d'excuse pour le retard. Sans attendre elle s'installa sur le banc et écouta l'éclat des voix résonner tout autour.
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« Un véritable ami vous poignarde en face. »