Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 18, 19, 20, ..., 29, 30, 31   >   >>

[RP] Cathédrale de Montpellier

Azelys
Azelys parcourait la ville vers le lieu de prière...celui qui est censé protéger les êtres qui vous sont chers...les accueillir et les soigner...

Elle avait reçu le matin même une nouvelle qui l'avait déchirée, tranpercée et dont elle ne voulait toujours pas croire la teneur...La tête dans cette affreuse nouvelle, les larmes dégoulinant sur ses joues, elle courut presque à la cathédrale pour prier, un pigeon et une missive ensanglantée à la main.
Elle aperçut messire Julienas sur le parvis de la cathédrale et fut surprise de le voir là.
Elle força un sourire et fila dans l'église, faisant grincer la porte et se jeta au pied de l'autel pour prier, posant le parchemin et le pigeon plein de sang dessus.

Elle murmura une longue litanie...
Puis se leva, prit de l'eau bénite et en aspergea le pigeon et le parchemin...comme pour conjurer le sort.

Elle enfila son gant de cuir, griffonna quelques mots, attela son faucon roux et le fit voler par delà les vitraux et l'entrée de la cathédrale à la recherche des Nonnes qu'elle connaissait.

Elle le regarda partir, inquiète.
Julienas

Alors qu'il attendait les fidèles sur le parvis, il vit une enfant livide, le teint blafard s'approcher de lui...


Blanche_eulalie a écrit:

Mon père..



Souriant en retour à la Dona Azelys qui s'engouffrait dans la cathédrale, il tendit les mains en direction de la jeune enfant fragile, comme par réflexe, s’apprêtant à la relever en cas de défaillance et dit :

- Ma soeur, qu'avez-vous ?

Dans l'urgence, il ne jugea pas utile de la prier de se contenter de "mon frère", ou "Julienas" au lieu du "mon Père" qu'il réservait au Très Haut habituellement.


_________________
Blanche_eulalie
Blanche eu un hoquet de surprise lorsque le "père" s'adressa à elle. Les mots s'étaient échappés deux même de la bouche enfantine et une réponse s'imposait. Mais déjà, la Mama pressait Blanche de pénétrer dans l'obscurité de la cathédrale encore vide, empêchant ainsi toute communication avec l'ecclésiastique.

"Blanche, on est pas là pour bavasser."

Les paroles de la Mama se firent insistantes, aussi Blanche baissa la tête devant le père. Les confessions seraient pour plus tard, loin des yeux inquisiteurs de la mère.

"Pardonnez-moi mon père, je m'égare."

Un sourire contrit se dessina sur le visage poupon, et la Mama profita de cet instant de flottement pour prendre son enfant par le bras et la mener dans la cathédrale.
Elles s'installèrent au fond de l'église car la Mama jugeait important de ne pas tenir Blanche trop longtemps éloignée de leur bicoque. Elles seraient les premières parties, la Mama l'avait décidé.
Julienas

Profondément interloqué, il assista à la scène bredouillant un :


"Vous... êtes sûre que ça va aller... je...

Mais elles étaient déjà hors de sa vue, absorbées par la grosse bâtisse.




Il se gratta la nuque, tourna sur lui-même et guetta à nouveau l'arrivée des prochains fidèles... toujours au son des cloches qui annonçaient le début de l'office...






_________________
Lolesi
Hésitante, Lolesi s'approcha de l'édifice... comme à chaque fois, impressionnée pas la grandeur et la beauté des lieux... et comme à chaque fois, elle savait qu'elle se sentirait petite à l'intérieur.

Elle ne savait trop ce qu'elle venait chercher ici d'habitude, ne se sentant pas vraiment concernée par la foi... mais elle aimait sentir toutes ces âmes battrent au même rythme.
Elle aimait se dire que chacun apportait sa pierre à l'édifice, sa lumière dans la nuit, un éclat de chaleur et même si elle ne savait trop ni qui ni ce qu'elle priait (ni d'ailleurs si elle priait),
elle aimait à se sentir enveloppée par tant d'unité... elle se disait qu'ensemble, ils avaient plus de force pour atteindre... quoi? Les étoiles? Le soleil?

Elle soupira...

Aujourd'hui, si elle était là, c'était pour Julienas... elle savait que c'était un jour important pour lui, même si elle ne lui avait pas parlé depuis longtemps, elle se rappelait très bien la longue conversation qu'ils avaient eue lorsqu'il faisait sa pastorale...

Et elle voulait être là, en soutien ... même si elle n'était pas grand chose, cela lui semblait important...

Timidement, elle grimpa les marches et se dirigea vers celui qui attendait patiemment l'arrivée des.... euh... des gens... oh, pourvu qu'ils soient nombreux!


Bonjour Ju... euh... Mon père ? Comment dit on? Mon frère?

Rougissante, très vite elle murmure

Félicitations!
_________________
Julienas

Il sourit en voyant arriver la rouquine.
Il descend quelques marches pour aller à sa rencontre, prend ses mains dans les siennes nerveusement, peut-être pour mieux se rassurer, et lui dit tout sourire :


"Ah, vous êtes là !
Merci d'être venue, ça me touche vraiment vous savez.


Puis il rit :

- Merci Lolesi, mais "Mon frère" ou tout simplement "Julienas" suffira.
Nous sommes tous les enfants de Dieu, ainsi, nous sommes tous égaux devant Lui.
Lui seul peut donc se voir attribuer le titre de "Père" selon moi...


Il tapote machinalement ses mains et poursuit :

- Il y a déjà du monde d'arrivé dans la cathédrale, entrez vite si vous voulez une bonne place."

Et lâchant ses mains, lui décoche un clin d'oeil complice...

Et de répéter :


- Merci, merci encore...


_________________
Thonolan
Plusieurs jours qu'il était à Montpellier...mais il n'avait vraiment profité de l'ambiance de la ville que dernièrement. Il avait du rester alité quelques temps puis, avait passé une partie de sa convalescence à pêcher... Le jeune et bouillonnant soldat avait là apprit un peu de la patience qui lui manquait en temps normal...

Il devait quitter la ville incessamment sous peu, et avait un peu traîné en taverne. Il était sur le chemin du retour lorsqu'il entendit les cloches de l'impressionnante cathédrale.

Il leva son regard vers l'édifice machinalement, et eu soudain l'envie de s'approcher. Il n'avait jamais été porté par les choses de l'Eglise, était resté en retrait de toute spiritualité, même s'il avait reçut une éducation réservée à une élite. Comme il n'était point destiné à appartenir à cette classe, et qu'il n'avait pas exprimé le désir d'approfondir cette approche, on l'avait laissé tranquille.

Alors quelle étrange attirance ressentit-il ce soir là ? Etait-ce simplement son esprit curieux qui voulait découvrir la beauté de l'ouvrage afin de rendre hommage à ses ingénieurs, artisans, compagnons et ouvriers d'art qui, pendant des décennies, avait permis l'élévation d'un tel monument ?
Ou était-ce plus profond que cela ? Sa blessure récente, l'éloignement de ses proches ou simplement le fait de savoir qu'il devrait repartir bientôt et livrer sa destinée à d'autres que lui ?
Ses longues méditations lors de ses journées de pêche lui avaient-elles fait entrevoir autre choses que la rationalité des choses qui l'entouraient ?
Ou tout bonnement était-ce la mélodie lancinante des cloches qui sonnaient à tout vent cette soirée Pascale...

Quoiqu'il en soit, il s'approcha presque timidement de l'imposant édifice, et monta les marches, le regard attiré vers l'intérieur...
Il y avait d'abord une forme de curiosité dans sa démarche... Comprendre ce qui pouvait pousser tant de gens à venir prier dans ces lieux, comprendre quel réconfort ils pouvaient donc trouver au sein de cette Eglise Aristotéliciénne...

Lorsqu'il entra, il fut d'abord attiré par la lueur des bougies qui illuminaient le coeur de la cathédrale. Tout semblait y être démesuré. Les colonnes qui s'élançaient vers le ciel obligeaient le regard à s'élever vers les vitraux colorés qui glorifiaient le Très-Haut...

Il resta un moment immobile, figé par une question qui l'angoissa soudain, une question qu'il lui semblait impossible qu'il ne se la soit jamais posée :

Croyait-il ou non ? Son esprit cartésien doutait, pour sûr, mais ces doutes étaient-ils suffisants pour écarter toute foi de son âme ?

Et pourquoi cette question était-elle apparue ce soir avec tant de force, alors qu'il lui semblait avoir toujours vécu sans aucune incertitude et sans hésitation d'ordre spirituelle...

_________________
Klara.
Le son des cloches retentirent dans la Capitale.
Les gens était de plus en plus nombreux.
Elle arriva sur le parvis de la Cathédrale.
Poussa la porte.
A l’intérieur,le nouveau diacre était entourée des gens de son village.
Elle s'approcha pour se joindre a eux.
En inclinant sa tête,avec un sourire respectueux,Klara lui exprima sa joie.


Merci mon frère,c'est un grand jour.
Je vous félicite!
Que la Paix soit avec Vous.


Puis elle,s’écarta afin que les autres fidèles s'approchent vers leur guide spirituel.
S’approcha de l'autel et déposa un bouquet des fleurs.
Se plaçant sur un cote de la néve au fond.
Elle s’agenouillât,se signa et les mains jointes
En silence,dans ces pensées elle pria.
    *Seigneur, maître du temps,
    fais que je sois toujours prêt à Te donner
    le temps que Tu m'as donné.

    Seigneur, maître du temps,
    aide-moi à trouver chaque jour
    le temps de Te rencontrer
    et le temps d'écouter les autres,
    le temps d'admirer
    et le temps de respirer,
    le temps de me taire
    et le temps de m'arrêter,
    le temps de sourire
    et le temps de remercier,
    le temps de réfléchir
    et le temps de pardonner.
Julienas

"Soeur Klara, bonjorn !
Merci, la Paix soit avec vous également.

Il sourit et ajoute :

- Et merci d'être venue avant le pèlerinage.
C'est rassurant d'avoir des proches à ses côtés, ça rassure...
chuchote-t-il.

Puis il ajoute :

- Trouvez-vous vite une place, ça va bientôt commencer.

Puis il attend les derniers fidèles avant de débuter la cérémonie.
En-dedans, son coeur bat de plus en plus la chamade, dépassant le rythme des cloches...


_________________
Julienas

Les fidèles et curieux s'étaient rassemblés dans l'église, chacun attendant le début de l'Office, les derniers se hâtaient de s'installer...

Il leur fait face, reconnaissant ici et là des visages connus, fait encore quelques signes de tête, et ferme les yeux.

Le silence emplit alors le vaste édifice.

Il prend une profonde inspiration, toujours gardant les yeux fermés, et, subitement, ne ressent plus aucune angoisse.
L'exercice est parfaitement rodé et c'est d'une voix ferme, et néanmoins chaleureuse, qu'il entame en rouvrant les yeux :


"Au nom de l'amitié aristotélicienne, soyez les bienvenues en nostre cathédrale de Montpellier, mes soeurs et mes frères.

Levant les bras, coudes légèrement fléchis, paumes de mains vers le haut, il poursuit, les yeux en l'air :

- Mon Dieu, Toi qui nous aime comme tes enfants, prend pitié de nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de la pêche, à pieds ou embarqués.
Accorde-nous Ton Pardon.
Et aussi quelques stères de bois...
Oui, du bois bien sec, pour nous chauffer.


Puis se tournant vers l'assemblée, il enchaine :

- Mes soeurs, mes frères, récitons ensembles la prière qui nous unit dans l'Amitié Aristotélicienne.
Crions au monde entier cette Foy qui nous anime et nous rassemble...


Il s'interrompt, se disant à lui même "holà, tout doux mon garçon, t'emballe pas trop, faut durer jusqu'aux rappels".

Il entonne alors le Crédo, invitant des mains les fidèles à l'accompagner.
Et, les trouvant hésitants, il se tourne vers la chorale en disant
"Allez ! Haut les chœurs !".


_________________
Klara.
La chorale chantait de vive voix

Klara se mit debout et répéta avec les autres le Credo:


    Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
    Créateur du Ciel et de la Terre,
    Des Enfers et du Paradis,
    Juge de notre âme à l'heure de la mort.

    Et en Aristote, son prophète,
    le fils de Nicomaque et de Phaetis,
    envoyé pour enseigner la sagesse
    et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

    Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep.
    Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
    C'est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

    Je crois en l'Action Divine;
    En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
    En la communion des Saints;
    En la rémission des péchés
    En la Vie Éternelle.

    AMEN
Lolesi
Sagement installée près d'une colonne ... elle écoute...

S'il y a bien une chose qu'elle entend, qui lui parle c'est la musique...
Elle ferme les yeux et la laisse envahir sa tête, son coeur, son âme...

Elle ne connait ni les paroles, ni leur signification, mais déjà, elle peut muser avec les choristes... et cela l'emplit de joie.

Le morceau terminé, il lui faut un peu de temps pour réaliser que les autres avaient bougé... ah, il fallait se lever... mince de mince... il va falloir qu'elle soit un peu plus attentive!
Bon que dit Julienas? Faut qu'elle se concentre, des fois qu'il lui demanderait son avis sur le déroulement de la cérémonie... elle sourit, et s'apprête donc a écouter...

_________________
Galahadd
Aujourd'hui un jour nouveau c'était levé sur la capitale , surtout en la Cathédrale de Montpellier , ce jour son frère Juliénas allait donné sa première messe. Monseigneur Galahadd a l'appel des cloches, en habit d'apparat, sa crosse tournée vers l'assemblé pénétra à son tour dans la demeure du très haut. En se rendant vers l'autel il marqua une pause vers la statue de frères Norv, s’agenouilla, embrassa ses pieds. Puis calmement il se rendit sur la place qui lui était réservée et répéta à son tour le Crédo.

_________________

Archevêque de Narbonne.
Blanche_eulalie
Du fond de la cathédrale, Blanche observait les fidèles qui prenaient rapidement place. L'ecclésiastique ne tarda pas à prendre place afin de débuter l'Office.
La Mama, tout en se levant, surveillait du coin de l'oeil sa progéniture, de peur qu'elle ne lui échappe. Ensembles, elles récitèrent le Crédo, unies par cette communion à Aristote et à Dieu.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
Lusitana
Aujourd'hui Lusi c’était réveiller au aurore elle avait préparer ces enfant pour qu'il soit tout beaux pur la messe


elle entra dans l église et s assoit discrètement avec ces deux couffins avec elle

puis elles récitèrent le Crédo,

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 18, 19, 20, ..., 29, 30, 31   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)