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[RP] Cathédrale de Montpellier

Azelys
D'une petite voix, planquée dans un coin, Azelys répéta le crédo en pensant aux stères de bois demandées par delà la prière et sourit.
Elle en profita pour se recoiffer une fois la prière récitée tout en caressant le parchemin ensanglanté et humide.
Julienas

Il s'approche du Livre des Vertus, ouvert à la page choisie, et débute la lecture d'un extrait du chapitre VII de La Préhistoire, "L'exode" :


Citation:

... ils prélevèrent l’or et l’argent des mines et les fondirent pour en faire de la monnaie. Celle-ci leur facilitait les échanges au sein de chaque ville.

5 Mais, surtout, cela leur permettait d’échanger des marchandises entre cités. Mais ce commerce enrichissait certaines alors qu’il appauvrissait les autres. Les cités se concurrençaient de plus en plus pour le contrôle des ressources. Ce qu’elles ne pouvaient avoir par le commerce, elles tentaient de l’obtenir par la force. Ainsi, chaque cité organisa une armée, engageant des soldats, afin de combattre pour enrichir leur communauté et ses dirigeants.

6 Alors, Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre. Il divisa le langage unique en une multitude de langues.

Les humains ne se comprirent alors plus entre les cités. Le Très Haut leur permit ensuite de pouvoir apprendre les langues qu’ils ne connaissaient pas. Cet apprentissage nécessitait pour chacun de s’ouvrir à la culture de l’autre. Ainsi, ils étaient moins enclins au combat, étant donné les efforts nécessaires pour apprendre les langages de ceux qu’ils voulaient attaquer.



Il cesse sa lecture, s'incline devant le Grand Livre, ferme les yeux et laisse chacun méditer sur le texte lu.
Après un long moment de silence, il rouvre les yeux et débute son homélie.


"Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre." commence-t-il reprenant une phrase clé du texte saint.

- Mes soeurs, mes frères, nous qui pratiquons le même langage, sommes-nous toujours à même de nous comprendre entre nous ?

Il sourit.

- Non, bien sûr.
Chaque jour que le Très Haut nous offre, nous savons tous que, bien que parlant la même langue, nous avons souvent des difficultés à nous comprendre parfaitement.


Il commence à agiter ses avant-bras.

- Combien de malentendus chaque jour qui nous poussent à des extrémités parfois ?
De la simple tristesse, pour un mot malheureux prononcé ici ou là, une phrase mal comprise... que sais-je encore...
Oui, de la simple tristesse à la colère, l'un des sept pêchés qui nous éloigne de nostre route vertueuse vers le Paradis...
Ne sont-elles pas fréquentes ces sources de querelles, pour juste quelques mots, quelques idées entendues, lues ou, pire, rapportées ?


Il prend le verre d'eau et boit rapidement.

- Alors imaginez ce qu'il en est avec des frères qui vivent loin de chez nous, dont nous ne recevons que quelques mots, le plus souvent par écrit, voire par des intermédiaires...
Il est évident que nous ne recevons dès lors qu'une petite partie de l'information.
Comment peut-on se croire capable alors de se forger une opinion fiable, ou plus encore, ce qu'on entend parfois, un "jugement" ?
Je vous le demande...


Il laisse chacun réfléchir.

- Et imaginez maintenant ce qu'il en est avec nos frères et nos soeurs qui ne parlent pas la même langue que nous...
Là j'avoue ma perplexité quand j'entends ces juges, prompts à la conclusion hâtive, venir tenir des propos péremptoires mettant de suite à l'index l'autre, "l'étranger"...
Le classant immédiatement comme ennemi, pour quelques mots vite lus, ou entendus...


Nouvelle pause avant de conclure.

- Mes soeurs, mes frères, si le Très Haut nous a donné des langages différents, c'est, comme nous l'indique le Livre des Vertus, pour nous forcer à nous écouter et à nous comprendre.
Pour nous obliger à faire la démarche d'APPRENDRE à nous comprendre.
Oui, "APPRENDRE"... tout est dans ce mot...

Alors, mes soeurs, mes frères, prenons le temps de nous écouter.
Parlons-nous.
Apprenons à nous comprendre et redécouvrons, comme le veut Nostre Très Haut, l'amitié, la vraie.
C'est le seul moyen d'éviter toutes ces morts, toutes ses séparations qui frappent les êtres partout en ce monde.

Amen


Il va s'asseoir et laisse le silence accompagner les méditations de chacun tout en pensant une nouvelle fois à celles et ceux qui lui manquent, en danger sur quelque chemin, ainsi qu'à ceux qui, en attente de LP, s’apprêtent à prendre la route à leur tour.
Prolongeant le silence propice au recueillement, il prie pour ceux-là...

Puis, après s'être mouché, il invite les fidèles à venir communier.


- Mes soeurs, mes frères, partageons ce pain, signe de nostre Amitié Aristotélicienne.
Amitié qui réconcilie et qui donne sens à la vie.

Ce pain est le produit du travail des femmes et des hommes.
Goûtez-moi cette mie épaisse et cette croûte croustillante... il sent la sueur celui-là !
Remercions Dame LHOOQ32 notre boulangère qui est venue ce matin dès l'aube, chargée comme une bourrique, les bras encombrés tant dessus que dessous.




Il invite les fidèles à s'approcher autour du buffet pour partager ce moment des plus appréciés, au cours duquel ils échangent propos divers en buvant et mangeant.
L'occasion aussi des réconciliations, sous le regard bienveillant du Très Haut, un verre de vin ou d'eau à la main...

Frère Jacques, popotier de l'Archevêché, s'étant déplacé pour l'occasion, pour assister à la première cérémonie célébrée par le frère Julienas, s'approche du pichet.
Il lui murmure discrètement en trinquant avec lui :


- Hé, je vous soigne hein, c'est du Julienas...
Du 57 !
Oui Môssieur !


Et, sur un clin d'oeil, il va ensuite au-devant des fidèles qui s’agglutinent autour du buffet pour trinquer avec eux...


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Violette.guernerac
Val n'était vraiment pas une adepte des grandes places et encore moins des cathédrales ...En réalité elle fuyait tous les endroits ou se rassemblait du monde mais ....

Ce jour là, elle décida de se faufiler discrètement dans la cathédrale pour assister à la première messe du diacre Julienas. Elle attendit que tout le monde entre et se glissa dans la batisse juste avant que ne débute prière, lecture et homélie auxquels elle assista, du fond de la cathédrale.
Philosine
Après s'etre signée de la croix, Philosine prit place à coté de Lusi afin d'assister à la messe.

Tout en récitant le crédo, son regard fut attiré par les vitraux qui laissaient filtrer les rayons du soleil printaniers.

Ses prières furent consacrées aux voyageurs, languedociens ou non, afin que leur voyage se déroule sans incident ainsi qu'à tous ceux qui avaient besoin de réconfort et de soutien.
Absix
Ab n'avait pas oublié la Messe célébrée et arriva un peu en retard, préoccupé par ses affaires.

Il entre discrètement, regarde autour de lui un peu perdu et admire le magnifique édifice qu'il n'avait jamais vu de l'intérieur ...

Un salue poli aux quelques connaissances qu'il reconnait, il va s'assoir un instant sur un banc, un peu caché par l'un des piliers, discret.
Sans croyance, il tient à être présent et honorer ceux qui font vivre la ville et qui lui ont fait si bon accueil, avant de reprendre la route.

A sa façon, il ferme les yeux un instant et laisse doucement ses pensées défiler, méditant comme dans une prière...
Cornazzano
Cornazzano arriva tout droit de la mairie sur son cheval. Il était en retard et sa le rendait terriblement malheureux. En ce jour Cornazzano se devait d'allez à l'Eglise.

Il arriva donc devant l'église, son serviteur le suivait de pret. Il rentra dans l'Eglise, un geste de croix fait, il s'avanca. Pas très loin des bancs, Cornazzano fit un très leger geste de la main pour obliger son serviteur à rester sur un banc loin de lui. Il s'avanca toujours puis se mit pas très loin des premiers bancs.

Il regardit le père s'excusant de la tête, il lui avait dit qu'il serait la à l'aube.

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Aulne
c'est Propre comme un sous neuf que la gamine fonça dès les premiers sons de cloche vers la cathédrale.
Elle avait promis d être là pour le soutenir lors de sa première messe et elle serait là... Elle était là.... figée, sous le grand porche que bordait deux énormes tours .

Jamais elle n'avait mis les pieds dans une église, enfin jamais pour prier . le très haut voit tout , entend tout! qu'il lui avait dit le Julienas.
Oui mais bon, jusque là m'a rien dit l'très haut alors pour une fois qu'c'est pour la messe que j'viens y s'ra content.

l enfant déglutit tout en nouant sous le menton le fichu qui recouvrait sa tignasse bouclée puis pénétra à l'interieur, se faufila dans l'allée droite, jouant des coudes parmi les gueux qui assistaient debout à l'office. Fallait qu'elle se mette devant sinon Julienas ne la verrait pas..
Fadette
Le visage pâle dû a ce qu'elle traversait en ce moment , elle partit quand meme pour assister a la premiere messe de Julienas . une promesse etait une promesse et meme si actuellement elle ne désirait qu'une chose comme s'isoler elle prit sur elle et c'est naturellement qu'elle se décida a y aller , elle penetra discretement ne voulant pas se faire remarquer , s'approcha du benitier , se signa et prit place sur un banc au fond de l'église.
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Julienas

La communion s'éternisant et se sachant attendu en taverne avant le repas pour le... quelques... verres de l'amitié... il décide de conclure.


"Quelques mots avant de nous quitter mes frères.

Quand chacun eut regagné sa place, il prend une inspiration puisée on ne sait où, les yeux fermés, puis se lance :

- Tout d'abord, le propriétaire de la chariotte de maïs qui est stationnée devant la cathédrale est prié de la bouger, elle gêne la sortie de la messe. Merci.

Il sourit puis enchaîne :

- Les enfants de notre paroisse vous invitent à leur exposition de petits Aristotes et Christos en pâte à sel, au fond de l'église.
Nous remercions Dame LHOOQ32 au passage, notre brave boulangère, qui n'a pas hésité à sacrifier ses propres miches pour l'opération.
Les enfants étaient aux anges...


Ensuite, il prend un visage plus grave, ferme à nouveau les yeux, les ouvre et dit :

- Dans nos intentions de prière, ayons une pensée pour nos soeurs et frères sur les routes, qui nous manquent...

Il s'interrompt. Avale sa salive, prend une profonde respiration, puis reprend :

Nous pensons aussi à celles et ceux qui vont bientôt nous quitter.
Pour tous, que le Très Haut les protège...


Il laisse le temps du recueillement, les yeux fermés, visage à demi-tourné vers le plafond, les avant-bras levés, mains largement ouvertes, paumes vers le haut.

Après un court moment, il ajoute :


- Mes soeurs, mes frères, au nom de notre Sainte Église, rendez-vous le lundi 9 avril 1460 pour la fête pascale en la Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur de Narbonne.

(en gargotte).

Et, sourire aux lèvres, il conclut :

- Enfin, je tenais à vous remercier toutes et tous pour vostre présence qui me touche particulièrement, pour ma première cérémonie.
Merci à Son Excellence, Monseigneur Galahadd d'avoir pris sur son temps pour être parmi nous et pour la confiance qu'il me témoigne.

Je n'oublierai pas cette messe en nostre belle cathédrale et c'est à vous que je la dédie.

J'ai une pensée particulière pour celles et ceux qui, bien que n'ayant pas pour habitude de fréquenter les édifices religieux, m'ont témoigné de leur soutiens.
Sachez que je mesure pleinement la portée de vostre présence qui m'honore d'autant plus...


Il s'incline devant l'assemblée, en marque de respect, la dextre sur sa poitrine.

- Maintenant mes frères, allez dans la Paix de Christos.

Les fidèles et autres visiteurs occasionnels commencent à se disperser.
Il les suit, ne voulant manquer en aucun cas son moment préféré de la cérémonie, où chacun, encore imprégné de la Parole divine, prenait le temps de parler avec ses semblables sur le parvis, dans la fraternité...





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Lolesi
Et voilà... la messe était terminée... Discrète et rapide, elle se dirigea vers la sortie...
Le temps qu'elle arrive, Julienas était déjà là... Tranquillement, elle attends qu'il soit seul, s'approche et lui murmure...


Bravo et merci, je retiendrai une seule chose, la plus importante à mes yeux... celle d'apprendre à se connaître...

Lui souriant, elle laisse à sa tâche et poursuit sa chemin.
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Julienas

Il rit devant la sagacité dont faisait preuve une nouvelle fois la rouquine.


"Vous avez tout compris Lolesi.

Il précisa :

- La Parole distingue les hommes des autres espèces vivantes tels que plantes et animaux. A chacun d'apprendre à en user pour le bien de tous...

Enfin, il ajouta :

- La faculté d'aimer, que le Très Haut a donné à l'homme, constitue le sens de sa vie.
A lui d'user de ce don... ou pas...
Dieu lui laisse le libre-arbitre.

En cela consiste tout l'enseignement de nostre baptême..."


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Julienas

Il arriva tôt encore en la cathédrale pour bien préparer l'office dominical.





Il se signa et s'agenouilla face à la nef.

Un ménage assez long, cette fois, qui l'occuppa une bonne heure, puis il plaça le Grand Livre des Vertus sur le lin blanc recouvrant le maître-autel.




Il disposa ensuite les instruments nécessaires à la célébration, tel que le calice qu'il emplit de vin couleur rubis, ainsi que quelques miches de pain pour la communion.

Le jeune Pokemon64 se proposant d'allumer bougies en suif et cierges en cire d'abeille, il lui accorda ce petit plaisir.





Puis il l'envoya sonner les cloches de la cathédrale pour appeler les fidèles à l'office.





Il se réjouissait de les accueillir de nouveau pour cette seconde messe à Montpellier, sa ville natale, regrettant encore que ses amis hors de Montpellier ne soient pas tous à ses côtés.

Il était désormais plus confiant, plus sûr de lui, mais c'est toujours le coeur battant au rythme des cloches qu'il attendit les fidèles devant le parvis de la cathédrale...



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Bibiche75
De son appartement près du port, Bibiche entendait les cloche de l'église de Montpellier sonner. Elle fit un brin de toilette. La jeune fille choisit de s'habiller en tenue du dimanche avec sa robe blanche en dentelle.







Le papillon commençait tout doucement à sortir de sa chrysalide. Malgré toutes les épreuves qu'elle avait traversées jusqu'à présent, Bibiche ne découvrait sa féminité que maintenant,. En approchant de ses 19 ans, elle mûrissait. Elle ne comprenait pas vraiment ce qu'il se passait en elle. Pourtant, la brunette sentait bien que les regards masculins qui se posaient sur elle avaient changés. Jusque là, elle n'y avait pas prêté attention, mais depuis quelques temps elle y était de plus en plus sensible.. Elle rougissait au moindre compliment et, sans vouloir se l'avouer, elle appréciait.
A la Garde, nombreux étaient les soldats qui étaient mariés ou en passe de le devenir, mais cela ne lui avait jamais traversé l'esprit. Depuis la disparition de Korrigans, son meilleur ami, seul son travail comptait.

En ce beau dimanche d'avril, elle avait envie de plaire. Bibiche avait pris un soin tout particulier à sa tenue. Elle se déplaça jusqu'à sa terrasse et admira le paysage qui s'offrait à elle. La mer scintillait à cause des rayons du soleil qui se reflétaient sur la surface. Le jeune Lieutenant ferma les yeux et inspira une bouffée d'air salin en souriant.

Les cloches s'étaient arrêtées. Bibiche se dépêcha de sortir de chez elle et se dirigea en vitesse vers la cathédrale de la capitale. Elle était très croyante et ne voulait surtout pas rater la messe dominicale. Le père Julienas attendait déjà les fidèles sur le parvis.
Bibiche le salua avant de prendre place à l'intérieur, regrettant que sa nouvelle amie Philosine ne fut pas présente à cause d'un voyage qu'elle devait faire..


Bonjour mon père! Très belle journée, n'est-ce pas?
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Julienas

Il vit la belle jeune fille endimanchée arrivant d'un pas alerte, il lui répondit en souriant :


"Bonjour ma soeur, vous voila bien pressée.
Rassurez-vous, vous n'êtes point en retard, les premiers commencent à peine à arriver."


Et de guetter l'arrivée des prochains fidèles...


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Julienas

Chacun avait pris place et les discussions commençaient à devenir plus rares.
Il regarde l'assistance, salue encore quelques visages connus attendant que le silence s'installe définitivement.
Puis d'une voix ferme, il commence :


"Mes soeurs et mes frères, au nom de l'amitié aristotélicienne, soyez les bienvenues en nostre cathédrale de Montpellier.

Levant les bras, coudes légèrement fléchis, paumes de mains vers le haut, il poursuit, les yeux en l'air :



Puis se tournant vers l'assemblée, il enchaine :

- Mes soeurs, mes frères, récitons maintenant ensembles la prière qui nous unit dans l'Amitié Aristotélicienne.

Il entonne alors le Crédo, invitant des mains les fidèles à l'accompagner.

"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen "

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