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[RP] Cathédrale de Montpellier

Lou_dela_mar
Je viens de faire le tour des remparts et de la cathédrale, rien à signaler de suspect pour l'heure
J'allume un cierge pour ma Minette, notre amour, et la tranquillité de nos citoyens ; après j'irai casser une souplette et sa miche

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Absynthe
Mon diu ei lo mei gran! *

(*mon dieu est le plus grand !)


La jeune et gracieuse Absynthe pénétrait dans la capital pour la première fois. Tous était si grand et si animé, c'était presque envoutant. Elle avait envie de tous voir en même temps. Mais très vite son attention fut happé. Ses pas étaient guidés par ses yeux pétillants de voir le si haut clocher dépasser du haut de maison et hôtel particulier de Montpellier.
Une Cathédrale... que c'était grand et beau... La jeune femme avait déjà été impressionné en pénétrant pour la première fois dans l'église de Mende. Mais cette fois, la grandeur des lieux surpassait son imagination. Tout était calme et serein, elle se sentait envahit d'une sensation de paix. Elle avançait doucement, fasciné par la lumière qui traversait les vitraux. Elle observait les fresques et tableaux retraçant la vie d'Aristote et Cristos. Elle respire profondément, et les odeur d’encens chatouillant ses narines, La paix s’installe en elle. Elle regarde vers le haut, et profitant d'être seule en ses lieux elle se mit à chanter à la gloire du très haut.

Puis elle alluma un cierge et s'agenouilla quelque instant les main jointe pour prier.


Merci mon Dieu pour la vie que tu m'offres, merci pour tous les gens chaleureux que je rencontre, digne de l'amitié aristotélicienne qui nous unis grâce à toi. Merci de me donner la force de me battre pour mon comté et pour venir en aide en mes prochains. Et surtout, merci d'avoir mis le Baron Bentich sur ma route, lui qui est si bon et si aimant.
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Paimbohe
Ce n'est pas souvent qu'il se rendait à l'église ou dans une cathédrale, le gros marchand de poissons. Mais il faut bien dire que lui le Très Haut, c'est quand il y pensait.
Il se devait cependant de le remercier d'avoir mis sa Mimi sur son chemin.

Très Haut! Vous êtes peut-être même une Très haute! Surement, même!
Sinon, vous n'auriez pas fait le printemps avec ces fleurs qui parfument l'air et inspirent les poètes.
C'est pas un mâle qui aurait songé à çà!
Sans doute, avez vous aussi créé le fer, pas pour faire des épées mais faire des gonds pour mettre aux volets aidant les amants à s'aimer à l'abri du regard des pipelettes.
Je suis certain, aussi, que si vous m'avez donné deux mains, ce n'est pas pour les serrer en poings et pour les mettre sur le nez d'un autre mais pour couvrir de caresses le corps de ma Mie.
Quant à la bouche, ce n'est pas pour dire du mal de mon prochain mais pour l'embrasser et lui dire que je l'aime.
Grâces à vous!


Suite à çà, il se leva et retourna embrasser son épouse.
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Julienas

Il arriva devant le porche de la cathédrale Saint-Pierre et demeura un long moment à la reconnaitre dans ses moindres détails.




Les souvenirs affluaient mais l'heure de l'office approchant, du moins l'espérait-il, il s'engouffra dans le bâtiment pour profiter de ces instants de calme précédant l'arrivée des fidèles. Il aimait, jadis, déambuler dans la nef et les bas-côtés, ainsi que dans l'abside avant de célébrer. Puis, quand arrivait l'heure de sonner les cloches, il envoyait généralement le petit Pokemon64 qui s'acquittait de cette tâche avec un grand plaisir, tandis qu'il allait accueillir les fidèles sur le parvis...

Tout ceci n'était pas si lointain au fond, pourtant il lui semblait que cette époque appartenait à un passé bel et bien révolu.

Il salua quelques visages inconnus alors qu'il avançait par le bas-côté sud, comme à son habitude. Quelques fidèles matinaux, sans doute, qui comme lui venaient se recueillir avant l'office dominical. Qui d'autre viendrait en une église un dimanche de bonne heure ?

Parvenu à son absidiole de prédilection, celle dans laquelle il avait coutume de faire oraison , il s'agenouilla et récita son Crédo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen


Puis il remercia le Très Haut qui l'avait accompagné durant ce long voyage et lui avait laissé la vie sauve, malgré les brigandages dont il avait été victime. Il était convaincu que sans sa protection, il n'aurait jamais eut la chance de retrouver sa ville natale.

Enfin, il pria pour ses frères et soeurs, ainsi que pour la protection de la maison du Très Haut. Qu'elle puisse rassembler dans sa grande famille aristotélicienne toutes celles et ceux qui se perdent dans la solitude, ou pis, dans les voies qui conduisent à l'enfer glacé...

Ô Dieu tout-puissant et éternel,
Toi qui nous combles avec Ton infini amour,
bénis cette demeure qui est Ta Maison,
Bénis toutes celles et ceux qui y viendront,
Qu'elle puisse être un refuge et un toit sûr.
Bénis, ô Dieu, chaque mur et chaque colonne de cet édifice,
au nom de Ton amour immense et impossible à combler.

Amen.



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Lolesi
Fidèle à son habitude, elle venait déposer son obole pour les plus démunis.
Non qu'elle était particulièrement croyante, mais elle croyait à la générosité,
et si elle était dispensée ici, et bien, elle viendrait ici.

Discrètement, elle poussa la porte, avant l'arrivée des fidèles.

Elle s'avança jusq'au centre de l'édifice, et déposa ses quelques piécettes dans le panier prévu à cet effet.

C'est en faisant demi-tour, qu'elle aperçu une silouhette familère mais absente depuis longtemps... surprise du cours des évènements, elle disait justement hier à Eli qu'elle se demandait ce qu'il devenait, elle sourit doucement.

Puis ne voulant pas le déranger dans sa prière, elle s'éloigna, elle le reverrait prochainement certainement...

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Morphee
La Donà de Roquebrun, en ce dimanche, vint discrètement assister à l'office. Délaissant ce premier rang que l'on laissait vacant pour les nobles, l'ambrée s'approcha d'une statue de femme; elle se fichait bien du son nom, ou de ce qu'elle avait bien pu faire de son existence pour être considérée comme une sorte de sainte... Son intérêt se porta plutôt vers la petite table qui trônait aux pieds de la statue et qui proposait des cierges.

Quelques écus furent glissés dans un tronc tandis que la jeune femme allumait la bougie à la flamme d'une autre, puis la posa devant la 'Sainte' tout en murmurant :

A toi Gaïa, qui veille sur l'âme de ma mère depuis quelques années déjà.

A vous, mère, que je ne pourrai jamais égaler tant vous étiez rayonnante; Je vous souhaite un joyeux anniversaire, avec cette petite journée de retard, étant comme à l'habitude en voyage...

Vous qui étiez née le jour de l'Immaculée Conception n'avez pas été bien sage... Mais j'envie votre folie et votre joie de vivre.

Vous me manquez... Enormément.


Quelques larmes perlèrent au coin de ses yeux, qu'elle laissa couler silencieusement, dans la pénombre de l'édifice, alors que les pieux aristotéliciens entamaient le crédo en coeur.

Seul un froissement de tissu fut trace de son passage... Elle repartit aussi discrètement qu'elle était venue, dans cette retenue et emplie de cet amour qu'elle ne pouvait plus donner à aucun de ses parents.

Mélancolique... Assurément... Mais ne l'est-on pas de temps en temps?

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Avatar de Mo' avec l'autorisation de Loetitia Pillault
Ombeline
[Un soir sur Montpellier.]


Ombeline sortit de la taverne l'esprit perturbé. Elle se promena dans les ruelles de Montpellier sans trop savoir où elle se dirigeait mais au final, n'en avait cure. Elle avait besoin de marcher. La brise glaciale lui claquait au visage.

Sans s’en rendre compte, perdue dans ses pensées, ses pas la guidèrent vers les marches de cet immense bâtiment. Elle posa sa main sur la lourde porte de bois grinçante de la cathédrale et la poussa doucement.

Les fumigations de l’encens embaumaient les lieux si sereins. Elle déposa ses armes à l’entrée. Ses pas résonnaient sur les dalles et la conduisirent vers un banc à l’écart où elle s’assit silencieusement. Elle contempla l’autel, la nef, les statues autour d’elle. Les cierges ornant l’église scintillaient, donnant un peu de chaleur.

Ombeline se contenta de fermer les yeux et de rester là, assise sans faire de bruit. Au bout d'un certain temps, elle releva la tête, regarda la lumière scintillante d’une bougie puis dans un froissement de tissu, se leva puis quitta les lieux.
Sylvine
Sylvine monta plus que doucement les marches du saint édifice. Les larmes au coin des cils, elle venait de faire son premier chemin de croix à travers la ville. Elle redoutait déjà celui du retour à l'appartement.

Il était lui aussi tombé malade! Pour la jeune femme, c'était plus qu'une catastrophe.....
Elle poussa une grimace en enfonçant le panneau de bois dans la noirceur de l'entrée.

Peu lui coutait de venir en ce lieu, peu importait la douleur qui consumait son corps, elle devait venir prier le Très-Haut.
Le petit bonhomme était pour rien. Elle devait le garder, le protéger mais à côté de cela, elle lui avait transmis son mal.

Elle tangua jusqu'à la nef et s'agenouilla en sueur devant l'autel.

Les yeux rougis par la veille sur le sommeil de son protégé, elle fixa le rayon de lumière.


Oh Très-Haut!
Oyez la requête d'une humble servante.

Pouvez vous chasser le mal du corps de l'enfant qui m'a été confié.
Il est encore innocence.
Faites au moins que son être ne soit plus brûlant.
Vous avez déjà sa mère à vos côtés.
Aidez-moi à soulager au moins ses douleurs. Ses gémissements me vrillent
le coeur.


Elle ferma les yeux et les rouvrit dès que l'élancement se fut terminé. Elle avait l'impression d'avoir subi plusieurs poutrages de soule en une fois. Elle desserra ses mâchoires et assouplit un peu sa nuque avant de continuer.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.......


Elle récita son credo, puis resta un moment la tête et les épaules baissées.

La brunette se signa et se releva avec peine, prenant appui sur un banc.
Elle sortit de sa besace, les seules fleurs qu'elle avait pu cueillir et les déposa sur l'autel.



Prenez soin du père où qu'il soit...


Elle tourna les talons et se traîna jusqu'à la sortie. Elle espérait juste que l'enfant ne s’était aperçu de son départ.

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Sylvine
Trois semaines s'étaient écoulées......

Cette fois-ci, la jeune femme gardait devant elle le garçonnet qu'elle avait habillé de propre et coiffé. Ce qui n'avait pas été une mainte affaire, pour elle, le petit bonhomme commençait à avoir la tignasse un peu longue et les noeuds avec.

Elle avait au moins réussi à ce qu'il l'accompagnât dedans.
Il avait la lourde tâche de porter un bouquet de dents de lion.
Sylvine avait évité toute plante médicinale, de peur que celles-ci disparussent dès qu'elle s'en serait retirée.

Le petit châtain eut un instant d'arrêt vers la grande porte
.
Hum... c'est juste un peu noir dedans... Tu t'y habitueras.
La maladie les avait rapprochés. Elle tutoyait dorénavant l'enfant comme s'il fut le sien.

Elle le poussa légèrement vers l'avant, lorsque celui-ci se retourna pour voir son cheval entrain de brouter l'herbe nouvelle.

Tsss... Il ne craint rien.. Ce serait plutôt le pauvre hère qui s'en approcherait qui souffrirait de la rencontre. On l'entendra s'il hennit.
Il faut aller remercier d'être à nouveau en bonne santé....


Elle plongea son regard noisette pailleté de vert dans les yeux bleus du garçon, jusqu'à ce que celui-ci franchît enfin le perron.

Après s'être signée, Sylvine attrapa la main du petit visiteur un peu perdu et le mena directement vers l'autel.
Elle s'agenouilla et lui fit signe de poser son paquet floral dessus.

Elle baissa la tête et commença à réciter le credo sous le regard curieux de son protégé.
Jetant un regard de biais , elle tendit légèrement la main pour l'inviter à s'asseoir près d'elle.
Le credo fini, l'Artésienne commença de suite une prière de remerciement. La suivante et dernière demandant la protection fut très courte.
Il n'était point question de dégoûter cette jeunesse des saints édifices.
Elle se releva et lui sourit.

On peut rejoindre Cheval... mais sans courir....
Les derniers mots arrêtèrent net l'élan qui se profilait. La jeune femme se mordit les lèvres pour ne pas rire.
Passe devant, je te suis....

Il se retournait, bien, de temps à autre, pour vérifier si Sylvine était derrière lui mais qui le connaissait s'apercevait qu'il frissonnait d'envie de sortir.
Les quatre dernières coudées amenant à la sortie furent réalisées rapidement.

Merci de m'avoir accompagnée...Tu peux y aller...

Pendant que l'enfant courait vers l'étalon, la jeune femme jeta un long regard, à l'intérieur, avant d'en clore l'ouverture et de rejoindre le duo.
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Owelie
Deux ans... Ces deux mots résonnaient dans la tête de la blonde depuis ce matin. Elle s'était levée aux aurores, avait déjà été pêcher son poisson du jour, avait déjà arpenté les ruelles dans tous les sens. Mais rien n'y faisait : rien ne pouvait vider son esprit. Deux ans... Alors une idée lui traversa l'esprit. Une idée qu'elle avait souvent quand elle se sentait mal : prier. Elle s’emmitoufla alors dans sa cape et partit prestement en direction de la cathédrale...

Il était encore tôt, l'édifice était vide ou presque. Le soleil filtrait à travers les vitraux, colorant joyeusement la maison du Très-Haut. Mais le coeur d'Owe n'était pas à la fête. Et ne le serait probablement pas de la journée. C'était la fête des amoureux, elle aurait du se réjouir, profiter, folâtrer. Mais non. Même en se forçant, elle n'y arriverait pas.

Elle s'installa rapidement dans le fond et se laissa presque tombée à genoux. Ses mains se joignirent et commença alors une prière sourde. Ses lèvres bougeaient presque imperceptiblement, aucun son n'en sortait. Et plus les secondes d'écoulaient, plus ses lèvres tremblaient, plus sa respiration se saccadait. Elle baissa la tête pour ne pas qu'on remarque son nez qui rougissait et les larmes qui se mirent à rouler sur ses joues.

Aujourd'hui, Owelie était triste. Car aujourd'hui, cela faisait deux ans qu'elle s'était mariée. Et ce jour lui rappelait à quel point son défunt époux lui manquait.

Après un certain temps à prier, elle essuya ses yeux et ses joues, se releva et s'en alla, l'air de rien. Comme elle était entrée. Allant très certainement rejoindre une taverne et faire, comme d'habitude, comme si de rien n'était....
Chentyt
Chentyt arriva à Montpellier la capitale était très jolie, cependant elle n'y jeta qu'un oeil furtif. Depuis la mort récente de son bien-aimé, elle avait l'impression qu'elle n'avait plus le droit d'être heureuse. Voila des jours maintenant qu'elle pleurait. Elle vivait pour l'amour de Dieu, de sa famille et d'une très grande amie. Elle ne vivait plus pour elle... Arrivant face à le cathédrale, elle fut ébahit par sa beauté. Elle ralenti son pas pour admirer l'édifice. Elle monta pas à pas les marches, chercha la petite porte sur le côté, la trouva, la poussa celle-ci émit un grincement sur ses gonds, arrivant à l'intérieur elle regarda tout autour d'elle. Le silence y régnait dans ces lieux saints, elle s'y sentait toujours apaisée de toutes les souffrances. Des souvenirs remontèrent en sa mémoire, la cathédrale de Bordeaux où elle y avait passé la nuit, afin de prier pour la vie de son chéri. Il lui était revenu puis aujourd'hui la volonté divine lui a ravi à jamais, telle était le désirs du très haut, elle se devait de l'accepter aussi cruel soit-il. Leur amour avait été fort, passionné, il n'y avait que la mort qui pouvait les séparer. Elle avait surgit subrepticement un soir, tel un cauchemar. Elle avait tout juste eu le temps de lui dire adieu. Elle avait crié pourtant si fort! Il ne l'avait pas entendu ses yeux s'étaient fermés pour l'éternité. C est ainsi perdue dans ses pensées qu' elle avança vers une allée sur le côté, qu'elle vint s'agenouiller aux pieds d' Aristote et pria.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Mon dieu maintenant que vous l'avez auprès de vous, aimez le aussi fort que je l'ai aimé. Aidez moi à supporter avec courage cette épreuve. Aidez moi à me rapprocher de vous, je vous donne ma vie ici bas, avant de vous rejoindre là haut, pardonnez mes péchés comme je pardonne à ceux qu'ils m'ont offensé

Amen



Elle se releva, est reparti en marchant lentement. Elle savait qu'elle allait courir encore toute une nuit seule, peut être deux. Elle n'était pas loin d'arriver à destination, en espérant que ce soit la bonne, elle poussa la petite porte qui se plaignit toujours autant et s'enfuit.
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Loup___dessambel
Loup avait pour but de grimper en haut du clocher de la cathédrale, avec sous le bras une étoffe sur laquelle il avait inscrit un message pour sa compagne. Le problème, le hic, c'est qu'elle était immense cette cathédrale. Il n'arriverait jamais à monter si haut, et même s'il y parvenait il finirait par se vautrer lamentablement en descendant. Sur le coté se trouvait une partie un peu moins haute, plus facile d'accès, il commença à y grimper avec une aisance très relative et accrocha l'étoffe avec tout autant de mal. Sur le tissu, on pouvait lire..
Citation:

MA LOUVE PARDONNE MOI JE T'AIME
JE SERAI LE FIER PAPA DU LOUVETEAU


Bon il n'échappera pas à certaines explications si elle le pardonne, mais il lui fallait tenter le tout pour le tout ne sachant même pas où la retrouver pour tenter de lui faire ses excuses.. Il descendit de glissade en glissade, et finit par atterrir le postérieur sur le sol en regardant le résultat de son travail.


Hum pas si mal... maintenant fuyons !

Sait on jamais que la maréchaussée n'apprécie pas cet élan romantique..
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...abygail...
Une nouvelle cathédrale, c'est courant dans l'coin...
Aby observe deux seconde le bâtiment, aujourd'hui elle à autre chose a penser qu'a l'architecture, son esprit est bien plus concentré sur les événement à venir.
Elle entre dans l'enceinte de l’édifice religieux, c'est calme, ses pas résonne, on pourrait croire qu'elle est seule.. elle se le demande d'ailleurs, serait-ce encore une ville sans cérémonie dominicale?
Enfin soit... elle commence à en avoir l'habitude, elle s'assied donc et baisse la tête pour se recueillir silencieusement.
Elle récita dans ses réflexion le credo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen

Elle resta quelques temps, racontant ses aléas au Tres-Haut.
...abygail...
Nouveau dimanche à Montpellier,

Elle se rendit a l'église, ou, évidement toujours pas d'office. Peu importe elle s'assied, et prie, se recueille...

Puis elle récite le credo, a voix basse, pour elle simplement et le Tres-Haut.
Cecile34
Cécile curé itinérant était revenu dans ses terres natales et voir ses amis lui avait fait chaud au coeur, alors restant quelques jours sur la ville de Montpellier elle se décida d'aller voir la belle cathédrale.

Poussant les portes, elle se rendit bien compte que le lieu était abandonné par tout ecclesiastique, faisant le tour elle vit une femme qui priait...

Se rendant à la sacristie elle sortit le lutrin et l'installa sur le coté devant l'autel, puis se rendant au clocher fit sonner les cloches




Ben oui, cecile allait faire un office ca pouvait pas faire de mal aux villageois!
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