[RP] Cathédrale de Montpellier

Griffes

Messe et Baptêmes du 02 Mai 1457

Bottes claquant le pavé, Griffes arriva sur le parvis… Il entra dans la Cathédrale, se mit à genoux, se signa et récita le crédo. Il se dirigea ensuite vers l'autel… Il y trouva déjà Zazou qui tenait Jaime tendrement dans les bras, elle semblait attendre depuis longtemps... Un baiser sur le front de l'enfant et de la mère, il lui dit :

- Je suis en retard petits trésors, vos baptêmes ne sauraient tarder.

Ysi, Auriia, Coalbe et Titoo étaient déjà là aussi. Il salua tout le monde et se dépécha, allant à la sacristie pour se préparer.

Vêtu de son apparat d’Eméritas, il ressorti quelques minutes plus tard… tout était prêt pour la messe comme pour les baptêmes.

Il alla alors ouvrir les portes de l’Edifice pendant qu’un jeune diacre sonnait les cloches. Il resta devant les portes pour saluer les fidèles arrivant progressivement.

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Scarlett_de_kerdraon

Scarlett arriva à la cathédrale les bras chargés de fleurs avec la ferme intention de rendre le lieu saint plus joyeux afin que le décor soit en parfaite adéquation avec ce grand jour.

Zazou et son fils, Ysi ainsi que Coalbe étaient déjà là, à attendre que l'homme qui devait les baptiser et qui arrivait à l'instant, commence.

Dans un coin elle aperçu Titoo, son filleul adoré qui était revenu de son long voyage pour assister à la cérémonie. Elle l'embrassa affectueusement et le remercia vivement de sa présence si gentille. Auriia était là aussi.

Elle fit plusieurs bouquets de fleurs qu'elle disposa harmonieusement dans l'église. Ce faisant, elle pensa qu'elle ne se souvenait plus si elle avait prévenu ou pas sa marraine de la date de son baptême. Ceci était fort fâcheux. Quelle tête en l'air !!!! Elle s'empressa d'envoyer une missive à Petitechat.

Il ne restait plus qu'à rejoindre les autres futures baptisées et à attendre avec elle le début de l'évènement, sagement.

Maccha

Gravissant les marche du parvis de la cathédrale, deux a deux, elle s' arrêta devant la grande porte pour reprendre son souffle. Elle avait peur que la cérémonie fut déjà commencée . Abordant ses plus beaux vêtements , pour la circonstance, elle entra et lâcha un grand soupir quand , elle vu que la messe n' avait pas encore commencé.

Elle aperçut ses sœurs , son neveu, et Zazou en avant , elle alla les rejoindre. Elle tenait dans ses mains, un livre précieux qu'elle venait tout juste de sortir de la grosse caisse de bois que ses parents , leurs avaient légués. Se souvenant que ses soeurs cadettes ne devait aps en avoir souvenir , elle leurs montra.

Regardez les filles, le Livre des Vertus de nos parents. Je l' avait conserver bien précieusement pour une grande journée , comme aujour d'hui.

pnj

Sohane était en ville depuis peu et avait fait la connaissance de bien des villageois en taverne. C'est d'ailleurs là bas qu'elle avait entendu parler des multiples Baptèmes qui avaient lieu ce jour en la Cathédrale. Elle n'avait encore jamais assisté à une cérémonie de Baptème, ni même jamais mis les pieds dans une église. Mais là elle avait promis d'être présente, alors elle tint parole.
Elle fouilla dans sa malle, en sortit sa plus belle robe et l'enfila. Les cloches se mirent à sonner et elle fila vers la Cathédrale. Elle ne voulait pas être en retard ... C'est haletante qu'elle arriva devant l' édifice. Elle se posa un instant, le bras appuyé sur le mur de l'entrée et repris doucement son souffle.
Son coeur ayant repris un battement plus calme, elle entra timidement dans l'église, salua Monseigneur Griffes et alla s'assoir ni trop loin ni trop prés, choisissant une place qui lui permeterait de bien suivre la cérémonie. Elle restait un peu en retrait, ne sachant comment se conduire dans un tel endroit, et n'osant pas déranger ses nouvelles amies. Elle irait les saluer plus tard, aprés la cérémonie. Elle admirait l'endroit... tant de beauté et de couleur dans ce lieu, tant de sérenités... Elle sourit, regardant les vitraux, savourant ce silence... Elle se sentait bien. Puis elle attendit le début de la cérémonie.

Tireli

Tireli était sur son 31 ! On aurait même pu appeler ça son 32 puisque c'était à peu près le nombre d'heures qu'il avait fallu pour se préparer. Mais il était assez fier du résultat : un beau pantallon rouge, des chaussettes vert pomme, un bonnet jaune vif, une chemise à carreau violette et bien sûr ses sabots du dimanche !
- "Y'a pas à dire, j'ai la classe ! Pas vrai, Babe ?"
Le petit cochon qui était à ses côtés le regarda admiratif !
- "Toi, tu es un cochon qui a du goût "
Il avait toujours un regard tendre et ému pour ce petit cochon vert, unique survivant d'un carnage qui avait conduit tous les membres de sa famille sur les étals des bouchers. Tireli se rappelait encore l'époque pas si lointaine où il était éleveur de babes...
Le son sourd des cloches de la ville le ramena à la raison. Il était déjà l'heure de se précipiter vers la cérémonie de baptême !
Lorsque Tireli gravit les marches qui le menaient à la sublime cathédrale de sa ville, il en eut le souffle coupé. Même Babe ne disait rien, tout occupé à machouiller son noeud papillon vert amande. Ecrasé par la magnificence de l'édifice, il prit conscience par là-même de la puissance du Très-Haut et de sa propre petitesse face aux rouages du Destin. La cathédrale retentissait de chants sacrés. Toute la piété du monde semblait rassembler ici. Au fond près du Maître Autel, se tenaient les catéchumènes parmi lesquelles il reconnut ses bonnes amies Coalbe, Ysi et Scarlett. Il eut bien du mal d'ailleurs à reconnaître cette dernière. Dans sa robe blanche, quelques fleurs dans les cheveux, Scarlett resplendissait comme l'étoile du matin.
C'était bien la première fois, d'ailleurs, que Tireli restait la bouche ouverte sans rien dire...

Edmond_tesquieu

Se sachant en retard, Edmond presse le pas en direction de la Cathédrale. Pas question de manquer le baptême de Scarlett. Cela faisait longtemps qu'il en entendait parler et il est bienheureux de savoir le jour J arrivé.

Il grimpe les marches quatre à quatre et s'arrête un instant à l'entrée. cela fait tant d'années qu'il n'est pas rentré dans un édifice de culte, leur préférant les tavernes à l'ambiance plus chaleureuse.

Se tenant là, il se souvient de la dévotion dévorante de Scarlett pour feu son époux. Ce fou qui se croyait habité par Dieu. Il croit se rappeler que dans sa jeunesse, la petite Scarlett était destinée à entrer dans les ordres. Il est heureux de voir qu'elle ne s'est finalement pas totalement détournée de la Foi. Malgré son comportement atypique, elle reste proche du Seigneur et c'est très bien ainsi. Peut-être un premier pas sur le chemin de la rédemption sait-on jamais...

Bon allez Ed, il est temps.

Alors il entre. Pénétrant à l'intérieur il remarque tout de suite qu'il est bien en retard comme il le pensait. Discrètement, il s'installe au fond sur un banc, à l'écart et regarde ce qui se passe. Il y a là Scarlett, bien entendu, mais également Coalbe, Maccha, Ysi et tant d'autres personnes. Titoo son neveu, Tirelli venu en grande pompe accompagné de Babe mais aussi Zazou ou l'ancienne maire Auriia.

Il regarde Scarlett, déposant maintes fleurs pour égayer l'endroit. Elle est resplandissante. Longtemps, il a crié sa colère de devoir courir le monde à essayer de la retrouver. Longtemps il s'est plaint intérieurement de devoir la supporter elle et ses caprices. Mais il doit tout de même reconnaître qu'il s'est vite attaché à elle. Une grande intelligence, un bel esprit... Il éprouve une certaine affection pour elle, malgré leurs différences.

Et assis là, il ressent de la fierté pour celle qu'il a détesté jadis d'avoir abandonné son fils malgré elle. Comme il serait fier de la voir ainsi sérieuse, attendant son baptême. Comme il sera fier de l'apprendre quand Edmond lui enverra une missive pour l'en informer.

Un instant, il décide de se recueillir et de prier, ce qu'il n'a pas fait depuis si longtemps. Prier pour celle-ci qui a vu sa vie brisée par un fou. Prier pour celle-là qui a trouvé les ressources pour se reconstruire et continuer à vivre malgré tout. Prier pour Scarlett tout simplement, qu'il a l'honneur et le plaisir de servir et de protéger.

Vincenzo8313

Vincenzo avait fini de se préparer, sa belle fiancée été parti en avance tant elle été excité a l'idée de son propre batême.
Il se peignat le cheuveux et se tailla la moustache, il sourié en se rappelant sa fiancée tout excité par cette journée.
Le jeune homme pris le chemin de la cathédrale, il pris son temps pour y arrivé, il fit même un petit détour pour ramasser un bouquet pour sa belle.
Arrivé devant le batiment religieu, il dit bonjour a ses amis et félicita les futurs bénies. Il chercha Ysi dans la foule mai ne la trouva pas.
Alla voir sir Griffes pour lui présenté ses salutations, puis s'approchant de la grande porte, leva le yeux vers le haut pour y regarder le ciel, il faisait un temps magnifique, seul quelque nuages solitaire prenné leur temps pour traverser le ciel.
Vincenzo entra dans le batiment, il vit sa douce dans la lumiere d'un vitraille, elle été vraiment belle se dit il, il en avait les larmes aux yeux. Il reta quelque temps a la contempler, la voyant légérement soucieuse du déroulement de la cérémonie.
Quand enfin il s'approcha, le jeune homme passa derriere elle pour lui déposer un baiser dans le cou. Surprise Ysi se retourna brusquement, un sourire magnifique éclaira son visage quand elle découvrit son bien aimé.

Tien ma chérie, c'est pour toi. Je serai au premier rang pour te voir ma puce.

Aprés lui avoir tendu le bouquet, il vint la serrer contre lui et l'embrasser, la tenant fort dans ses bras il lui murmurer des mots d'amour et de tendresse.[i] La cérémonie commença, il s'assi a coté de Edi qui lui aussi été la pour voir ses amies.Il lanca un mot d'encouragement a toutes ces amies.

Allez mes belles aprés ça vou serez bénni de dieu, gros bisou a toutes, vous etes vraiment trés jolies dans vos robes

Ysi

Ysi ayant bisouillée ses soeurs, amis(es) s'était rassise sur le banc au premier rang, elle se posait bien de questions elle qui n'était pas de se monde, enfin bon elle le faisait pour ses soeurs.
elle resta de longs moments assise quand elle fut surprise par un baiser dans le cou, elle se retourna et pour sa plus grande joie elle vit son amour tout de beau vêtu la moustache taillée, il rayonnait, puis il tendit à sa promise un magnifique bouquet de fleur. Elle lui sauta au cou et l'embrassa tendrement et fougueusement.

Merci mon amour, c'est gentil à toi d'être venu nous voir pour un jour si importent^^!
Tu et beau mon amour, je t'aime tant! tu nous imagine un jour devant cet autel hein?

Elle l'embrassa à nouveau car le monde arrivaient en masse, et Vini alla s'assoir non loin pour qu'elle puisse lui faire de ptits bisous de ses lèvres^^.

Griffes

Peu à peu, la Cathédrale se remplissait, il manquait encore les parrains et marraines de la plus part des futures baptisées, ainsi que plusieurs de leurs invités. Il était content de voir une bonne partie de la ville présente pour cet évènement. Aussi, saluant tout le monde, il finissait d’allumer quelques cierges pour la suite de la cérémonie… Etrangement, il avait aussi sorti plusieurs serviettes blanches de bain qu’il donnerait aux parrains et marraines à la fin de la cérémonie. Les cloches sonnaient encore.

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Petitechat

Pc était très en retard pour le baptême de ses filleules scarlett et zazou. Elle retourna chez elle pour se changer, retira son uniforme, alla se débarbouiller, puis enfila sa belle robe blanche. Elle n'oublia pas les cadeaux pour offrir à ses deux filleules. Elle se rendit à la cérémonie, monta les grande marche de la cathédrale et poussa la grand porte. Ayant embrasser ses deux filleules elle resta à leur côté.

Franckyboy

francky se fit discret en entrant accompagné de sa femme,ils venaient assisté au bapteme de la cousine a lumzia ,zazou.ils regardérent cette grande beauté qu est ce batiment orné de vitraux et de ses grandes colonnes de marbre.de plus,la salle avait été parsemé de bouquet ici et la afin de donné une ambiance plus chaleureuse.

ils appercurent zazou qui semblait tres nerveuse pres de l hotel,lumzia lui envoya un baisser de la main pour l encourager et lui montrer que nous étions la.francky entendait les cloches qui sonnaient encore afin d appeler chaque personne de la ville pour participer a cette belle cérémonie.

tu vois mon coeur ,ca sera bientot toi a la place de ta cousine et je serais la, au pres de toi pour ce grand moment.il lui sourit puis l embrassa tendrement avec passion.

il glissa sa main dans la sienne ,les cloches résonna pour la derniere fois.la cérémonie était sur le point de débuter.

Ysi

Ysi qui plantée là depuis un long moment commençait à perdre patience.
Elle se leva, alla posée un doux baiser à son fiancé, et lui dit " j'en ai marre d'attendre je vais allé trouver Griffes pour savoir ce qu'il se passe, car mes fesses mon font mal sur se banc, ne crois tu pas qu'ils auraient pu y mettre des coussins?" Elle le rebisouilla et alla voir Griffes.

Griffou mon cher ami peux tu me dire ce que l'on attends? Je sais pas moi mais là ça commence à durée un peu, et mes fesses ont mal sur ces bancs! S'il te plait, fait au plus vite que se baptême ce termine!

Elle lui posa une bise sur la joue et retourna s'assoir.

Griffes

Griffes finissait l’accueil, les parrains et marraines était là...
A la venue d’Ysi, il sourit :

Il faudra mettre de la pommade Ysi et soigner tout ça… Mais tu as raison, Commençons…

Il se dirigea vers l’autel et appela à lui les marraines et futures baptisées.

Gratia Dei Altissimi Omnipotentis et Prophetarum sit semper vobiscum...
Amen...

Bien, soyez les bienvenus, mes très chers frères et soeurs, dans la maison du Très-Haut, qui est aussi la votre. Aujourd'hui, nous avons l'occasion de célébrer le baptême de FrZazou, Scarlett, Ysi, Colabe et Maccha, qui vont rejoindre alors la grande famille aristotélicienne et pourront vivre dans la vertu et l'amitié. Si leurs vies, et les nôtres, sont vertueuses, nous rejoindrons alors la joie éternelle et le plaisir infini sur le soleil.

Toutefois, avant de déclamer le crédo, confessons nos péchés pour ne pas commettre le blasphème de souiller le Divin par nos actes passés.

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Il écouta avec attention... Ce genre de paroles, mal dites, seraient à répéter s'elles étaient prononcées de travers...

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Seloutte

Seloute arriva comme à son habitude en retard.... elle gravit les marches en courant, ouvrit un battant de la porte, tout doucement..... enfin presque la porte grinça un peu... puis elle se faufila au dernier rang pour essayer de passer inaperçu.

Elle regarda autour d'elle et vit ses amies... elle était heureuse pour elles.

Elle s'asseya et écouta.

Petitechat

pc récita la confession

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Cathédrale de Montpellier

Bibiche75

[Dimanche 29....suite]

Bibiche se recueillait sur son banc tout en écoutant distraitement la messe qui se disait. Ses pensées se dispersaient un peu partout. Après mûre réflexion, elle comprit que finalement il valait mieux ainsi. Bien que désargentée, elle avait reçu une bonne éducation dans le couvent où elle avait été élevée, pas lui. Elle avait essayé de lui inculquer quelques bonnes manières, les vieilles habitudes étaient tenaces. Sans doute était-elle trop douce, trop gentille pour un homme comme lui. La jeune femme reconnaissait cependant qu'il avait fait de gros efforts d'intégration, il était même allé jusqu'à se faire baptiser en prévision d'un mariage futur! Cela avait dû trop drôlement lui coûter. C'était seulement maintenant qu'elle le réalisait. Ses vieux démons semblaient malheureusement être remontés à la surface et il était parti.

Ite missa est...

La messe était terminée. Bibiche salua les personnes qui se trouvaient à côté d'elle après s'être levée et sortit rapidement de la cathédrale. Elle avait fait des achats en ville qu'elle allait rapporter à Nîmes et il fallait charger la charrette de ses affaires ainsi que celles de la future ex-Montpelliéraine. Heureusement que son amie Eve l'accompagnait aussi, elle lui avait bien remonté le moral quand elle-même l'avait perdu..

Partir.. Sans plus se retourner sur ce passé pourtant encore si présent et si douloureux...
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Hypnosus

Je voyais du monde entrer dans la cathédrale et j'en étais heureux. Je voyais Justine entrer, puis une femme très distinguée que je ne connaissais pas encore, je saluais les deux femmes en baissant la tête avec un grand sourire. La messe était terminée, je me dirigeais vers la jeune femme juste avant qu'elle ne parte et je lui dit :

- Bien le bonjour ma soeur, je me présente à vous Hypnosus, Diacre. Je suis heureux que vous oyez venu, comment vous appelez vous ?

Je rougissais légèrement, espérant ne pas avoir été trop famillié avec elle. Puis je vis Justine, j'avais envie de la prendre dans mes bars, tellement j'étais heureux de la voir. elle était le rayon de soleil aristotélicien de cette ville, mais je ne pouvais pas! Gardant mes distance je me dirigeais vers elle, puis je lui dit :

- Justine, un petit cadeau pour vous, tenez !

Je lui adressais un parchemin...

(c'est mini! clique dessus)

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Justine

{25 décembre, assistant à la messe...}

Les cloches avaient retentis, à toute volée, pour annoncer la messe de Noël, et c'est heureuse qu'elle s'y rendit avec Fanny et la petitoune Alizée. Quelle surprise de constater que devant l'autel se trouvait le Frère Hypnosus !

Ravie, elles récitèrent à voix basse le Crédo...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen...

Puis l'écoutèrent tout du long, expliquant la naissance du petit Jeshua, parlant des gens pauvres, pauvres parce que seuls ou n'ayant pas le sou suffisant pour vivre décemment... Cet homme parlait bien, vraiment très bien et savait amener à qui l'écoutait à réfléchir sur ce monde qui l'entourait...
A la fin de l'office, Justine envoya un sourire enthousiasme à Hypnosus pour le remercier de ce magnifique culte pour un si beau jour, puis elles quittèrent la Cathédrale, l'esprit plein de projets...
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Bibiche75

Les festivités de la St Noël étaient passées. Pourtant très croyante, Bibiche n'avait pas assisté à la cérémonie de la Nativité, comme elle en avait pourtant l'habitude. Le coeur n'y était pas. Elle avait préféré rester seule avec sa peine chez elle, dans son appartement de Montpellier.

C'était dimanche. Partout dans la ville, on pouvait entendre les cloches sonner. La Nîmoise se prépara pour aller assister à la messe dominicale. Pour cela elle prit un bain parfumé aux huiles florales qui laissaient une légère odeur sur sa peau fine et couleur de porcelaine. Elle revêtit une robe bleue, aux riches étoffes, incrustée de pierreries qu'elle gardait pour les grandes occasions. Elle se para de ses plus beaux atours, une coiffe sur sa tête pour le respect du lieu saint où elle se rendait pour prier.

Un regard vers la mer à travers la fenêtre. Le soleil se reflétait déjà sur l'eau calme de cette belle journée qui s'annonçait. Bibiche sortit de chez elle pour prendre un fiacre et se rendre jusqu'à la Cathédrale.

Quelques personnes s'étaient déjà installées quand elle pénétra dans l'église. La jeune femme marcha lentement sur la travée centrale. Elle s'arrêta pour faire une génuflexion et se signer à la vue de la statue de Christos. Elle se releva rapidement et trouva une place où s'asseoir en attendant le début de la messe.

La tête et le coeur embrouillés par tout ce qu'elle avait vécu ces dernières semaines, Bibiche était passée par tous les états d'âme, du Bonheur absolu à la Détresse la plus totale, en un rien de temps.. Elle récita le Confiteor afin d'essayer de soulager sa conscience. Elle parla tout bas, un sanglot dans la gorge.

Je confesse à Dieu tout puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi, mes amis,
Parce que j'ai beaucoup péché,
En pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
Et vous, mes amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Seigneur nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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Paquita.

Paquita suit avec attention le déroulement du baptême de Justine. Elle s'est placée assez loin de Duflan afin de ne pas être tentée de lui écraser un pied en faisant mine de racler le sol pour tromper son attente. C'est qu'elle veut faire plaisir au diacre Hypnosus qui est si gentil.
Lui reviennent en mémoire les moments les plus heureux de son propre baptême sous les grands arbres et de la douche glacée dont Saino avait gratifié Amaël alors qu'elle même bénéficiait d'une ondée tiède.
Elle est heureuse pour Justine, cette jeune femme si aimable à la compagnie agréable.
Elle marmonne les prières pour se joindre par l'esprit autant que par le coeur à cet événement.
Quand Justine lui promet de venir la visiter, elle lui retourne son sourire le plus radieux.

Avec plaisir, chère Justine ! Vous serez tojorn la bienvenue au Banastié... vous !

Ce dernier mot qu'elle n'a pu s'empêcher d'ajouter avec un regard en coulisse à Duflan.

Elle serre ensuite dans ses mains celles d'Hypnosus pour le féliciter de ce baptême si joyeusement mené et salue d'une rapide révérence l'heureux parrain.

Hypnosus

MESSE DE LA SAINT NOEL

Le jour de la Saint Noel est arrivé. En ce jour de grâce, tous les villageois avaient le droit d'être heureux. s'il existe bien un jour ou il est bon de stopper les rancoeurs, de sourire et d'être heureux, c'est bien ce jour. Je n'avais pu officier le 24 et je me rattrapais donc le 25 Décembre. J'avais passé la journée du 24 à aller voir les vieillards et infirmes de la ville. Ces personnes que l'on oublient et qui fêtent ce jour tous seul, une vieille femme avait été tellement heureuse de me voir taper à sa porte pour les fêter cette fête d'espoir qu'elle m’avait offert une gravure d'elle ....

Tant de personnes seul et nous... nous continuons à nous querellez... enfin, la nature humaine est ainsi faite! J'avais donc passée le réveillon de la Saint Noel avec une famille pauvre, j'avais pris un crayon et une feuille, j'avais essayer de retranscrire la foi de ce jour... la foi, et l'espoir d'un avenir meilleur, d'un avenir sans maladies... une vie simple,, faite de travaille et de foi...

Juste prier parce que l'on avait la chance d'avoir à manger ce soir et que peu être ca ne serait pas le cas demain, c'est aussi ceci la foi même si bon nombre de villageois ont de l'argent... ils s'ennuient peu être ?

Me voici dans la cathédrale. N'étant que diacre, je voyais que le curé, l'évèque n'avaient pas réaliser d'office, j'en étais quand même attristé, moi un homme de si petite condition et bien j'y avais pensé! Je ne leur en veut pas mais la foi, ca se travaille et tout comme un bon berger il faut montrer que chemin, n'est ce pas ?

L'heure de la messe approchait, il était temps. La corde dans les mains, je me mis à tirer la corde de toutes mes forces…Que l'on fasse sonner les cloches …..

DING DONG DING DONG…….

Je prenais alors la parole :

- Très chère villageois, nous voici réuni en cette cathédrale pour fêter la Saint Noel, fêter ce jour de la naissance de Christos. Cette messe sers particulière car pour moi c'est la messe de la foi par excellence, elle sera courte car il se fait frais, mais ce sera une messe tournée vers l'importance de la foi et le fait de se retourner vers les autres. Qu'avez vous fait aujourd'hui ? vous avez travaillé, vous avez fait le fête avec des amis, votre famille ? Et les personne seuls, handicapés, vieux, ils ont besoin de vous. Alors 'il vous plait, prions ensemble et allons aider ces gens. L'hiver s'approche et les hommes et femme se faiblissent, il faut réagir et leur apporter de l'espoir. Ne restez pas seul vous aussi venez faire le fête avec nous, paroissiens. La grande religion aristotélicienne est une grande famille d'amour...

- Pour débuter notre messe, je vous propose de réciter ensemble le CREDO. :

- Le CREDO est la prière qui nous relient tous, s'il vous plait récitez le CREDO à voie basse durant cette messe, les faveurs d'aristote vous seront envoyé à vous et aux êtres qui en ont le plus besoin.

Je pris alors le livre des vertus. J'avais choisi un autre extrait de ce livre sacré.

- Voici le lecture de la naissance de Christos....

Chapitre 1

Lorsque j’ai connu Christos, celui-ci aimait à nous parler des heures durant, d’une voix passionnée autant que passionnante. Nous buvions ses paroles avec ferveur et en nourrissions nos âmes. Ce fut lors d’une de ces discussions que Christos nous raconta son enfance. Ainsi, je vous la rapporte, mes enfants, car cette partie de sa vie fut aussi belle que ce que j’ai vécu à ses côtés.

Maria vivait avec Giosep qu’elle allait épouser. Tous deux étaient d’humbles vagabonds, mais ils vivaient dans la vertu, en remerciant le Très Haut des bienfaits terrestres dont ils jouissaient. En outre, ils éprouvaient l’un pour l’autre un amour sincère et pur de toute luxure, leur vie était heureuse. Mais un jour, Maria vit en songe un cavalier venant de loin aller à sa rencontre. Arrivé devant sa maison, il mit pied à terre. C'était un homme d’allure majestueuse; il s’avança, et dit :

" Maria, n’aie crainte, car l'Eternel t’aime et t’a choisie. Aussi, un enfant va naître de toi, que tu nommeras Jeshua. Il sera un guide, un messie habité par Dieu. Il portera la parole de Dieu partout ou il lui sera donné d’aller et sauvera le peuple de ses péchés en lui enseignant la sagesse d’Aristote. "

Le cavalier repartit ensuite vers sa contrée lointaine comme il était venu. Maria se réveilla à ce moment là et vit Giosep devant elle la regarder avec des yeux amoureux.

Et il advint ce que le songe avait annoncé, Marie conçut un enfant, et les deux parents firent en tout selon la prophétie d’Aristote, le nommant Jeshua.

L’Enfant naquit à Bethléem, en Judée. Du fait du surpeuplement qui existait alors dans cette ville, le couple ne trouva pour se loger qu’une bicoque délabrée car il n’y avait plus de place ailleurs pour les accueillir. Mais lorsque l’enfant naquit, celui-ci semblait, à tous ceux qui le virent, être touché par la grâce divine, car il rayonnait de douceur et de calme. Si bien que les gens du petit village se cotisèrent pour que cet enfant béni de Dieu ait tout ce qui lui était nécessaire. Les uns amenèrent du linge, d’autres contribuèrent à la rénovation de la bicoque et d’autres encore amenèrent des vêtements neufs et de la nourriture aux deux heureux parents.

Maria était transfigurée par le bonheur. Sa joie la rendait lumineuse et elle remerciait chaque jour le Très Haut de la naissance de cet enfant.

C'est dans ce calme paisible que Jeshua commença sa vie, loin de toute violence et de toute perversion... jusqu'à ce que...

Je rangeais le livre puis voilà que venait le moment de la communion… Christos était né et l'espoir était le nouveau là, j'avais tellement espoir que les villageois puissent ressentit ce nouvel espoir. Les hommes ont besoin d'espérer, les hommes ont besoin de savoir, d'imaginer de quoi peuvent être fait leur devenir, sinon, ils rentrent dans des enfers des émotions, des enfers de l'alcool, de souffrances... l'espoir fait vivre et ce n'est pas aujourd'hui que cet espoir renait... quand cet espoir peut il revivre ?

Je levais la tete et je vis une jeune femme prier, pieusement, mon coeur se remplie de chaleur, sa faisait du bien de voir que la foi était toujours vivante ici même...

- Voici venu le temps de la communion. Mes frères, mes sœur, vous pouvez vous lever :

- Voici le pain et le vin. Vivons la communion de Christos tous ensemble en cette église. Vous êtes à présent tous bénis, mes frères, mes sœurs.
Prions ensemble pour tous les morts, pour tous les êtres qui ont besoin d'amour, pour le renouveau… pour tous les êtres qui sont partis, pour toutes les souffrances de cette année, laissez les derrière vous, ici dans cette cathédrale, détachez vous en et sentez vous propre, libre et joyeux....

AMEN

- La messe est terminée, vous pouvez rentrez chez vous. N'oubliez pas de passer du temps à vous occupez des hommes et femmes qui sont dans le besoin. Soyez juste et aimant, laissez le combat et la guerre derrière vous, ces combats ravagent le coeur et l'esprit, vous qui êtes de Hommes redevenez des animaux... retrouvez le chemin du coeur! Etre ua service des autres est de loin la plus grande et la plus belle qualité même si notre égo nous dissuade de le faire...

Faites sonner les cloches…

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Laura.wilder

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Hypnosus

- Félicitation Justine pour votre baptême! C'est un beau cadeau pour vous! J'espère que vous passerez de bonnes fêtes de la nativité! Bonne fêtes Bonnes fêtes à vous tous, passez de bonnes fêtes!
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Justine

Rassurée sur les paroles de Duflan, elle lui fit un grand sourire chaleureux...

- Merci à vous aussi d'être venu pour ce si grand jour messer Duflan, je vous revaudrai ça pour le jour de votre ba... balayage devant votre maison ! Oups... pas certain que l'homme soit baptisé, mieux vaut ne rien dire... Je surveillerai votre retour et vous apporterai des Montécaos à la cannelle, ça remplumera votre longue abstinence ! Elle lui fit deux bises amicales et une petite révérence, le regarda partir... quel brave homme !

Puis elle se tourne vers Paquita et prend ses deux mains dans les siennes...

- Dona Paquita, un immense merci à vous aussi, votre présence féminine m'a été d'un grand réconfort. Comptez sur moi pour venir vous rendre visite au Lo Banastié avec un panier de Montécaos aussi. Pas besoin de mots de passe, je ne suis pas moustachue... Rit et la bise elle aussi chaleureusement. A tout bientôt !

Un grand sourire au Frère...

- Frère Hypnosus, ce baptême a bien faillit ne jamais se faire... mais le Très Haut a veillé à ce que vous veniez jusqu'à Montpellier pour que ce soit vous qui vous chargiez de me faire rejoindre la grande famille Aristotélicienne... Grâce vous soit rendu d'avoir fait toute cette route... On se retrouvera à l'auberge de dona Paquita pour fêter ça ? Je vous donnerai un panier de Montécaos. Et si on ne se revoit pas sous peu, je vous souhaite de bonnes fêtes à vous aussi ! Et à lui aussi déposa deux bises sur chacun de ses joues tant elle lui était reconnaissante.

S'approchant alors de son parrain...

- Messer Adrian, merci de m'avoir accompagnée à ce si grand jour... Elle l'embrassa sur les joues, rosissantes, ma reconnaissance vous est illimitée, merci... Passant son bras sous le sien en souriant... Vous aimez les Montécaos à la cannelle ? Il y en a une pleine fournée à la maison. J'ai découvert la recette il y a peu de temps grâce à une dona de Provence qui m'a fait part de quelques secrets...

Après une salue de la main à tout le monde, elle entraina Adrian le long de l'allée centrale, le coeur en liesse... Enfin elle était baptisée !

- Bon alors... cher Parrain... ha ben oui maintenant vous êtes officiellement mon Parrain. Vous devez me guider, m'apprendre les textes, toussa... On commence quand ?
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Justine

- Oui je le jure ! Je jure de toujours veiller à rester vertueuse, de renoncer au mal ainsi qu'à tout ce qui peut conduire au pêché. Je jure de faire attention à l'amour que le Très Haut nous porte et de le lui rendre au centuple... Et je jure aussi de veiller à ce que messer Adrian ne fasse pas de bêtises. Ainsi fut prononcé le serment, du fond du coeur, sans hésitation, et surtout avec une joie enthousiaste.

Le Frère Hypnosus la soulagea tout à fait lorsqu'il lui annonça ne pas avoir à s'enfoncer dans la baptistère, elle n'osait imaginer le spectacle procuré par sa robe mouillée... Justine lui sourit donc mais sursauta au bruit de... Se retournant... Encore une statue à terre ! Yeux grands ouverts, elle contempla Aristote en petits morceaux, un peu comme ce jeu que les anglois nomment un peuzeule.

- Elle va être difficile à assembler et à recoller celle-ci... dit-elle mi riant, mi anxieuse. Mais c'est sourcils froncés, examinant le visage interrogatif de Hypnosus...

- Serait-ce un mauvais présage mon Frère ? Christos et maintenant Aristote...

Puis un peu plus fort à l'attention de Duflan...

- Vous n'avez point de mal messer Duflan ? C'est passé à un poil de votre belle moustache...

Se remettant doucement de ses émotions, elle fut heureuse de n'avoir finalement pas emmené Alizée avec eux. La petitoune qui adorait empiler des éléments divers aurait sûrement voulu descendre à terre pour aller voir d'un peu plus près les débris de plâtre...

Elle se replaça correctement devant le bassin, regarda l'onde pure, écouta avec attention les paroles du diacre, papillonna des paupières alors que le liquide froid et béni coula sur son front, le long de ses joues, sa poitrine, pour finir sur sa jupe. Une joie immense irradiait de son visage... Elle tendit les mains pour recevoir le cierge et la médaille qui prouvait son acceptation au sein de la famille Aristotélicienne et prononça quelques mots...

- C'est un honneur que de recevoir ce sacrement du Très Haut mon Frère, et je porterai ce symbole avec bonheur, car il est là pour nous rappeler l'amour que notre Créateur nous porte, ainsi que notre devoir... Sourire radieux... Merci Frère Hypnosus, merci.
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Duflan

Il est un peu déçu que Justine ne se baigne pas entierement, lui qui l'avait imaginé la scéne, décidément l'église et lui ça ferait toujours deux.
Il regarda le diacre mettre un peu d'eau sur la tête de la jeune femme et prononcer les mots du baptême, curieux que tout cela comme si on avait besoin d'avoir la tête propre pour entrer dans le paradis.
Duflan lui se disait qu'il devait y avoir un problème de poux en haut certainement ou un truc comme cela, en attendant il commençait à avoir faim.
Tout à sa réflexion sur comment se faire payer à manger ce soir, il entendit une sorte de craquement et d'un coup une statue s’effondra à deux poils de lui, instinctivement ses yeux se dirigèrent vers Paquita.
Oui, elle avait sourit c'est sûr, c'était elle cela ne faisait aucun doute

Boug...Il allait jurer mais ce repris de suite sachant où il était
Euh...oui ça va..merci ben.. doit avoir quelqu'un qui dégage des mauvaise ondes l'es sûr ! Regard bien appuyé vers Paquita et puis il trouva que cela devenez dangereux de rester içi, tout s’effondrait et mourir dans une église c'était hors de question, dans une auberge à la rigueur mais içi non

Oh, pis bravo dame Justine et félicitation tous mes vœux de bonheur Bon il y connaissait rien et répété des mots entendu dans un mariage
Z'allez m'excuser mais je dois filer, je pars en retraite pour prier et l'es temps que je file, pensez d'on faire abstinence et tout Bon c'était pas vraiment le cas chez les trappistes
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Fanny_

Le baptême était mouvementé, une statue qui se brise, deux êtres qui se cherchent et la future baptisée qui pense pouvoir sauver le démon. Il souriait, il s'attendait à une cérémonie plus conventionnelle mais non, elle était à l'image de chacun des protagonistes, pleine de vie.

Il toussa doucement en entendant Justine, l'innocence, l'espoir, comment changer un Félon ?

Paquita.

Paquita commence par regarder la cérémonie. Que Justine est belle toute pure et fraîche à attendre le sacrement ! Le diacre Hypnosus est si concentré ! Voilà qui augure d'une célébration réussie.
La brune ne connait pas l'homme qui les assiste dans ce moment privilégié de la vie aristotélicienne, elle plisse les paupières pour accommoder sa vue et l'admirer quand des brtuits de pas lui font tourner la tête.
Elle étouffe un juron. Duflan ! Voyant comme mille chaudrons de cuivre ! rutilant ! et luisant de gras. Sa moustache enduite s'égoutte mollement sur sa chemise où des taches s'agrandissent tandis qu'à chacun de ses pas une goutte de suif tombe sur le tissu.
Elle se retourne bien vite en direction du choeur et fait comme si elle ne l'avait pas vu.

Peu à peu l'ennui la gagne et elle commence à regarder autour d'elle, les vitraux qu'elle admire, les piliers solides, les voutes majestueuses, la cathèdre finement sculptée.
Son regard est attiré par une bout de parchemin qui dépasse du socle d'une statue, juste à hauteur de ses yeux. Tout doucement, en vérifiant que personne ne la voit, elle tire sur le morceau qui résiste. Elle s'assure que personne ne la voit et réitère ses efforts. La statue vacille, elle arrive à gagner quelques pouces de parchemin mais l'essentiel reste bloqué par la masse imposante du Christos de pierre.
Elle s'imagine déjà en possession d'un document de la plus haute importance concernant Rome, la Papauté, l'avenir de la religion aristotélicienne ou encore détentrice d'une plan secret menant à un trésor pontifical enfoui depuis des siècles.

Han ! Elle n'a pu retenir un petit souffle d'effort. Le parchemin choit mollement au sol et elle se penche pour le ramasser.
Un courant d'air au dessus de son dos la surprend, puis un fracas épouvantable l'assourdit.
Elle se redresse, étonnée. Tout le monde la regarde. Des débris jonchent le sol autour d'elle. Incrédule, elle contemple le désastre. Le diacre s'inquiète de son état, elle le rassure d'un sourire contrit tout en dissimulant vivement le parchemin dans sa manche.

La cérémonie reprend, elle attend que plus personne ne fasse attention à elle pour sortir le message et le déchiffrer. Elle fronce les sourcils
Il est en latin, langue qu'elle pratique peu.

Merdum Por Celsius Lirarem

Même si ses notions sont quelques peu brumeuses, elle ne manque de comprendre et de blêmir à cette lecture. Elle ne connait qu'un seul être assez vil pour lui avoir glissé tel message ! Duflan ! Le fait qu'il ne va jamais à l'église, est plus païen qu'une horde de saxons ne l'effleure même pas. Elle est persuadée que lui seul peut lui avoir fait cet affront.

Alors que le Diacre les exhorte à la paix, elle sourit benoitement et hoche la tête de bas en haut, l'air angélique. Alors qu'elle adresse une prière très ferme au Très Haut.

Très Haut !
Toi et moy, on s'est tojorn bien accordés !
Tu m'as sortie de bien des pétrins
Et moy, j'ai confectionné moult pains pour ta gloire.
Me laisse point tomber pour ce coup là
Promis, je ferai un don pour remplacer la statue
De toute façon, l'était moche et Ton église mérite mieux !

Elle laisse son regard s'attarder sur le grand chandelier circulaire en fer forgé en forme de roue de charrette qui est suspendu à des chaines au dessus de la nef.

Tu vois, Très Haut,
ça serait point grand chose !
Juste un bon ges...
enfin, un geste de Ta part !
le Duf serait coupé en tranches façon frites, ça serait ren pour Toi !
et tant pour moy
Mercé d'avance
Amen

Elle termine sa prière et se lève pour suivre les autres près du baptistère.

Hypnosus

Je voyais Justine imaculée, gracieuse quia attandait la suite des évènements, puis Duflan, qui... transpirait ? Paquita était elle, stable, comme a son habitude. Puis il fallait poursuivre...

- Très bien. Il est temps a présent de baptiser et de réciter le sermons d allégeance a l Église. Répondez à ces questions :

- Jures tu de toujours tendre vers la Vertu, telle qu'elle fut définie par le Très Haut à ses prophètes, de renoncer au mal et à tout ce qui conduit au pêché, et d'être un témoin de l'Amour que notre créateur nous porte et qu'à notre tour, nous lui vouons ?

Je voyais Justine puis je lui dit...

- Soeur Justine, c'était avant que l'on se baignait entièrement pour le baptême... a présent , je n'ai qu'à vous mettre un peu d'eau sur la tête, ca suffit juste à mouillé légèrement votre tete e votre robe... vous n'aurez pas besoin d'autre chose...

A ces mots, je vis Duflan qui faisait une sacré tête... Justine elle était heureuse, on aurait dit... puis Paquita, je la voyais prier, mais pourquoi priait elle, on aurait dit qu'elle priait pour autre chose que pour Justine.... elle était concentré.. puis une statue d'Aristote glissa...

Craaaaaaaaaaaacccc

La statue tomba juste devant Duflan, elle aurait pu le tuer d'un seul coup, mais que se passait il avec ces statues.... je voyais Paquita qui était d'un seul coup souriante, mais... pas tout a fait.... que se passait il ?

Me concentrant à nouveau...Je prends de l eau du baptistère et je verse de l eau sur la baptisée en disant :

"Je te baptise Justine au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité"

Je prenais alors un cierge allumé et je tendais à chacun un cierge puis je dis :

Tiens, voici un cierge, symbole de ton union avec l église. Prends ce cierge car tu es baptisée. Sache qu a présent tu es membre de la famille aristotélicienne. Tu te dois ne ne pas critiquer l Église ou de la trahir d aucune façon. Tu te dois aussi d apporter la lumière tout autour de toi ainsi que les messages d Aristote et de Christos.

Je pris alors une médaille d'Aristote dans ma main :

Justine tu peux a présent recevoir cette médaille montrant ton baptême.

( Vous pourrez l'ajouter comme signature lors des messages. C est un acte de ta foi.)

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Fanny_

On s'adressait à lui, il aurait presque sursauté, s'il n'avait su se reprendre juste à temps, il comprit la moitié, fit un beau sourire et se leva pour aller jusqu'au pupitre.

Justine, je l'ai connu alors que j'étais maire d'Aix, une voyageuse d'agréable compagnie en taverne, jamais un mot plus haut que l'autre, elle a aussi une très belle plume. Nous nous sommes retrouvés dernièrement et c'est les yeux fermés que je lui ais confié ma fille Alizée. Elle s'en occupe comme si elle en était sa véritable mère.
Mais sous ses airs de demoiselle polie, courtoise, elle dissimule un esprit habile et pertinent, ne vous fiez pas à sa frêle silhouette, si gracile, elle sait faire montre de courage pour défendre les siens.

Son seul défaut est de penser trop aux autres et non un peu à elle...

Il s'arrêta, que dire, il fallait vivre à ses cotés ou la côtoyer pour savoir que c'était une femme bien. Bonne à marier, pour celle qui n'eut pas de chance en amour mais qui sait ce que la vie lui réservera, le bonheur se présente au moment où s'y attend le moins.

Il reprit sa place silencieusement.

Hypnosus

Le parrain de Justine avait bien parlé. Je revenais à mon pupitre puis :

- Il est temps de se diriger vers le baptistère, suivez moi s'il vous plait ...

Au moment ou je partais, je vis une statue de Christos bouger, puis vaciller, puis tomber....

PAAAAAAAAAAFFFFFFF

Juste à coté de Paquita, la pauvre n'avais rien... que s'était il passer... je regardais la poussière à l'endroit ou était la statue, elle allait tomber de toute manière... c'était une question de temps. Paquita ne semblait pas alarmé... mais, elle regardait Duflan avec des gros yeux... lui semblait sourire, étrange...

On se dirigaient alors vers le baptistère...

- Afin de vous témoigner de l' importance du baptême, je vous propose une lecture d un moment clé du livre des vertus. Ce texte parle de l importante du baptême:

Citation:

Le baptême permet à la vertu de racheter le péché, permet à l'Amour de vaincre l'acédie. Un vertueux qui n'est pas baptisé ne se verra pas effacer ses fautes, car Je n'ai pas béni son entrée dans la communauté de Mes fidèles. Mais ne crois pas que le fait d'être baptisé t'autorise à pécher sans vergogne. Ce sacrement n'est que le moyen de vivre dans la vertu. Mais tous ceux qui n'ont pas été baptisés, qu'ils soient enfants ou adultes, s'ils n'ont absolument jamais péché, pourront de même accéder au Paradis."
Je Lui demandais enfin :
"La Fin des Temps aura-t-elle forcément lieu?"
Il me répondit :
"Non, Je déciderai de détruire le monde si les humains s'abandonnent tant dans le péché qu'ils ont fini par donner raison à la créature à laquelle Je n'ai pas donné de nom. Sache que l'avenir du monde ne dépend que de votre vertu. À vous de respecter la parole que j'ai transmise à Aristote et Christos car, si vous vous comportez comme les habitants d'Oanylone, votre vice liera le sort du monde que vous aimez tant."
Alors, Dieu me dit que le temps était venu que je retourne chez moi, que mon rêve se finisse, et que je me réveille. Soulagé d'avoir tant appris de Dieu Lui-même, je retournais donc à mon lit douillet, où je me réveillais. Encore troublé par ces révélations, j'entrepris de coucher par écrit ce message de Dieu Lui-même.

- J'accueille a présent Justine comme futur baptisée. Je vous rappelle le sens du rituel qui vient.

- Par le baptême vous allez rentrer dans l Église Aristotélicienne. Votre foi vous amené a suivre une pastorale, puis elle vous a amené ici, en cette église. Je vous rappelle que l église aristotélicienne est une et indivisible. Je vous rappelle que vous devez vous l'avez de vos péchés afin de pouvoir libérer votre âme et rejoindre le saint père. Vous devrez suivre les préceptes de Christos et Aristote afin de préparer votre voyage vers le Très Haut. Vous êtes prêts ?

(êtes vous prêtes ? tadam tadam tadam...)

[/quote]
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Justine

Lorsque Hypnosus s'adressa à Paquita et Duflan, elle se retourna pour les regarder, l'oeil rieur, même carrément les deux... Jamais elle n'avait vu des personnes se détester aussi cordialement mais qui... comment dire... aimaient passer autant de temps ensemble. L'amour, la haine... si proches parait-il ? Elle leur adressa un sourire chaleureux pour les encourager à s'apprécier, et pas juste le temps du baptême... Vivement qu'ils se retrouvent tous après cette cérémonie pour la fêter harmonieusement...

Puis ramenant son regard sur le Frère alors qu'il reprenait la parole... Ho non... mais pourquoi demandait-il à Adrian de donne son avis sur Justine... ho noooon... Elle aurait voulu se trouver un petit trou pour se cacher dedans... Le rouge monta rapidement à ses joues, ses oreilles, le coeur se mit à battre lorsqu'il révéla sa pensée. Un petit trou vite ! Ô Seigneur ! Faites-moi devenir souris par pitié !
Ouf, merci Seigneur, Il lui venait en aide par le biais de Hypnosus qui l'invita alors à rejoindre le baptistère... elle l'accompagna, non sans avoir lancé un sourire à la fois gêné et reconnaissant, mais emprunt de douceur à Adrian.

Puis un fracas infernal résonna, s'amplifiant dans la cathédrale, les faisant sursauter... Une statue s'était écroulée tout près de Paquita... Justine, très inquiète, couru vers elle, posa une main sur son bras...

- Vous n'avez rien dame Paquita ? Vous n'êtes pas blessée ?! Elle l'aida à épousseter sa manche, sa jupe, parsemés de minuscules débris de plâtre. Visiblement rien de grave ne lui arriva, aussi elle rejoignit le diacre devant le bassin et l'écouta scrupuleusement.
Le pêcher, sous toutes ses formes, source de tant et tant de malheurs, de calamités ici bas sur terre... Elle leva ses yeux sur Adrian... le regarda quelques secondes... puis elle se concentra à nouveau.

Après un sourire chaleureux au Frère Hypnosus, lui répondit...

- Oui ! Je suis prête à me laver de mes pêchers si le Très Haut veut bien m'accompagner, à devenir encore meilleure et à partager Son amour avec quiconque le voudra bien, à répandre Sa bonne parole.

Une petite angoisse montait en elle cependant lorsqu'elle regarda le baptistère... il n'allait pas lui demander de plonger là dedans...
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Duflan

Il serrait fort ses mains et récitait intérieurement une prière

" Aristote faites que la statue tombe sur Paquita !
faites que la statue tombe faites que la statue tombe faites que la statue tombe faites que la statue tombe et j’arrêterais de boire, Aristote priez pour nous !" Quand un grand fracas se fit entendre du côté de la tavernière, il n'osait pas ouvrir les yeux, enfin il en était débarrassé, Paquita devait être en miette sous la statue, ça devait être horrible...Duflan lui souriait n'osant toujours pas relever les yeux et puis d'un coup l'angoisse...la peur...il avait promis de ne plus boire...mince....oui mais là ça se fêtait...hein ? Oauis...pas tous les jours qu'on est débarrassé de son ennemie.
D'un autre côté, il avait promis à Aristote et le type devait pas être trop conciliant sur les promesses, il ouvrit les yeux et...malheur...la maudite était encore vivante et entière.... raté.. .

Oh, quel catastrophe, personne n'a ren ? Hein ? Non bon Même pas une égratignure...ptscc décidément ces dieux c'est plus ce que c'était, pour la peine il se picolerait ce soir tient !
Et puis le baptême reprit et Duflan regardait à droite et à gauche jusqu'au moment où il entendit que dame Justine allait se laver...
Duflan imagina la jeune femme se dévêtir içi et se demanda où était la bassine d'ailleurs ?
Il trouva le moment fort intéressant et se mit à transpirer rien qu'a l'évocation du bain de Justine
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Duflan

Il rendit son sourire à la jeune femme qui irradiait dans ce lieu saint, et puis son regard fût attiré par les vitraux.
Duflan était émerveillé par les couleurs qui se révélait grâce au soleil, souvenir du passeur de lumière, un maitre rencontré sur la route qui fabriqué les vitraux, souvenirs des couleurs et puis son attention retourna à la cérémonie, il baisse la tête pour ne pas rire aux bêtises qu'énumérait Justine.
Il se concentra sur la prière, essayant de comprendre le sens des mots, une histoire de famille et de souffrance qui avait s'il avait bien compris trouvé un chemin pour se retrouver à la droite de Dieu.
Ça lui paraissait bizarre cette histoire de route quand même, surtout que cela n’apparaissait sur aucune carte, un peu comme les coins à champignons.
Toute à sa réflexion de savoir ce qu'il y avait a manger la haut, il entendit le diacre citer son nom, d'un sursaut il se releva et bredouilla

Oh, ben non ! Pouvez compter sur moy ! Té j'étais même entrain de réciter une prière pour elle " ouais pour prier pour qu'elle se prenne la statue à côté d'elle sur la tête" sourire du gros qui joint les mains avant de se rassoir et de baisser la tête

" Mon bon aristote si vous pouviez me débarrasser de la maudite serait pas de refus, une simple statue qui lui tomberait dessus, juste comme ça et je vous promets de plus boire ..euh...enfin ..au moins une sem..euh ..une journée" prière dans sa tête qu'il appelait de tous ses vœux
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Hypnosus

Je voyais Justine toujours aussi calme qui cette fois ci avait été un peu décontenancée... ses pêchers n'étaient pas de mauvais pêchers, elle restait toujours pure à mes yeux, mais elle avait quand même fait quelques bêtises dans sa vie...je n'allait bien sur pas lui en vouloir. Je voyais Duflan qui regardait Paquita avec un œil... menaçant...puis Paquita qui... elle aussi le regardait mal...

- Hum, hum... Duflan et dame Paquita en ce lieu saint, vous n'avez plus de rancœurs, plus de colères l'un envers l'autre, j'aimerai que vous fassiez la paix... le temps du baptême s'il vous plait... Est ce possible ?

Regardant le parrain de Justine, je me tournais vers lui et je lui disais...

[b]- Sieur Adrian, voulez vous venir au pupitre s'il vous plait et nous parler des vertus de soeur Justine, de ce qui vous a frappé chez elle quand vous l'avez rencontré... parlez nous d'elle afin qu'Aristote soit témoin de la juste valeur de cette femme, vous qui la connaissez mieux que nous... je vous laisse la place...

Je reculais, lui laissant la place....
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Justine

Le tendre sourire d'Adrian lui réchauffa encore un peu plus le coeur, sourire auquel elle répondit de la même manière tendre puis lui chuchota rapidement "c'est promis !"

C'est alors qu'un bruissement léger la fit se retourner. Oh surprise ! Dame Paquita - toujours très bien mise et élégante - se trouvait assise sur l'un des bancs, alors elle lui adressa un immense sourire chaleureux et joyeux, toute émue de constater qu'elle avait pris la peine de répondre à l'invitation. Et vint messer Duflan presque tout de suite derrière, ce qui provoqua en elle un petit rire joyeux. Les pires ennemis montpelliérains dans le même lieu saint ! Bien heureusement, aucun tonneau de vin de messe ne se trouvait dans la cathédrale... Pas sûr que le Très Haut aimerait voir le séant de messer Duflan faire trempette dedans. Il s'était fait tout beau pour l'occasion et elle lui en fut d'autant plus reconnaissante connaissant un peu mieux le caractère de l'homme. Lui aussi reçu un sourire heureux pour le saluer et le remercier d'être là...

Le diacre put enfin prendre la parole et Justine l'écouta, très attentive, s'imprégnant de chaque mot, il parlait merveilleusement bien.

Ha mince, le moment de la confession arriva...

- Aloreuu... Des pêchers... Petit grattement du cuir chevelu...Ho oui... il y en eut un peu... Pardonnez-moi mon Père parce que oui j'ai pêché... c'était au couvent, il y a... 13 ans... oui ce doit être ça puisque j'avais huit ans donc... Comme je n'aimais pas les cours de géométrie, surtout avec la Soeur Maria-Ferdinand, j'avais trempé toutes ses craies la veille dans un pot de colle... et puis... gratouillement léger du bout du nez... le lendemain la colle ayant séché, il fut impossible à la Soeur d'écrire sur le tableau... et une autre fois, parce qu'avec mes camarades nous n'aimions pas tellement la soeur Joseph-Maria, j'avais pris mon petit panier à couture et je lui avais fermé les manches et le col de son habit de nonne... Petit gratouillement du sol avec le bout du soulier... Ce n'est pas bien n'est-ce pas ?... Mais je suis devenue sage par la suite... Enfin presque... un regard rougissant à Adrian, se souvenant tout à coup d'un épisode de sa vie pas très Aristotélicien qu'elle lui avait conté... Puis il reste une dernière chose... c'était en Berry je crois, un petit coup de folie, un soir dans un bois j'ai... ho que j'ai honte... j'ai volé des framboises et des pommes dans un seau à un paysan qui passait avec sa charrette sur la route menant à Bourges... le pauvre homme... Pardonnez-moi Seigneur...

Elle n'osait lever le regard vers Hypnosus, vraiment gênée...

Vint ensuite le Crédo, récité en harmonie avec les quatre autres personnes, telle une heureuse communion...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen...
_________________

Duflan

Il n'était pas souvent invité le gros, alors quand il reçoit le faire-part, il ne se fait par prier, surtout pour un baptême.

Té va mettre ma belle chemise verte, celle du d'manche, hé hé va se faire tout beau, l'aura surement des belles

Pour lui sa chemise verte et celle qui lui donne l’élégance, notion très personnelle. Il s’asperge d'un peu d'eau sur le visage, met ses cheveux en arrière et se brosse sa moustache avec un peu de graisse de porc, qui encore selon lui donne de la brillance

Bougre de diou, t'é beau comme un roy, mon gas, allez zou va pas se mettre en retard

D'un pas décidé il se dirige vers la cathédrale, s’arrêtant quand même pour boire un verre en taverne, essayant de se souvenir tant bien que mal des prières.
L'homme est un peu païen et non baptisé mais il le cache, quand aux églises, il les fréquentes que pour de rares occasion, trouvant l'endroit froid et pas très amusant.
Quelques instants plus tard, il entrera dans le lieu de culte où l'office venait de commencer.
Un regard à droite et à gauche pour voir où s'installer quand il la voit "elle", la maudite " qu'est ce qu'elle fou là encore celle là !" marmonne t'il entre ses dents.
Il choisi un rang opposé à elle, et prend l'air sérieux et concentré
_________________

Fanny_

Il attendait installé où on lui avait demandé, petit à petit la cathédrale se remplissait jusqu'à ce qu'enfin, la future entrante dans la grande famille fasse son arrivée. Robe et voile blancs, symboles de pureté, il lui sourit tendrement. Il faillit rire en l'entendant lui promettre une galette à la frangipane, la gourmandise était un vilain défaut !

Il faudra tenir votre promesse !

Il revint au baptême sujet de sa présence. Il récita le crédo doucement attendant la suite avec impatience.

Hypnosus

Je m'avançais de l' autel et je débutais l'office. Tout es espérant que plus de monde viendrait au baptême de Justine. Voyant un peu de monde arriver, je décidais de poursuivre l'office:

- Je vous accueille en cette cathédrale de Montpellier. Vous tous qui êtes venus pour le baptême de Justine. Je vous rappelle que le baptême est comme une seconde naissance dans l église Aristotélicienne. Cette seconde naissance est un acte de foi et de cœur envers toute ma communauté. Le baptême mène les Hommes vers le mariage... la grande famille Aristotélicienne est une communauté une et indivisible. C'est une seconde famille qui vous protège quand les problèmes surviennent, ce sont des personnes de confiance qui restent à vos cotés...

Je regardais autour de moi. La lumière entrait dans la cathédrale. Le puissant édifice revivait grâce à cet office sacré. Il fallait apporter un renouveau à cette grande ville et j'espérai apporter ma pierre à l'édifice. Voyant Justine et son parrain, je poursuivais le processus :

- Justine, je vous prie de bien vouloir vous confessez devant Dieu de très haut. Se confesser à un objectif, c'est de vous lavez de toute souffrances, toutes peurs, antérieures à votre entrée dans la Sainte Eglise :

Il sera ensuite temps de réciter le credo ensemble, allons y :

AMEN

(cous pouvez vous confessez et réciter le CREDO , racontez ce que vous avez fait de mal dans votre vie quand vous étiez petits...)

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Paquita

Un pigeon matinal avait délivré son message au moment où Paquita aérait sa taverne. Il avait profité de la fenêtre ouverte pour rentrer et avait commencé un festin de miettes de pain délaissées en tas près du balai.
Son roucoulement satisfait avait alerté la taulière qui avait bondi et l'avait délesté de sa missive avant de lui poser une poignée de grains sur le bord de la fenêtre et de le mettre fermement dehors. Une fois le fenestron refermé, elle s'enquit du pli délivré.
Les premières lignes firent monter le rose à ses joues. Une invitation !

Ma Paqui... se dit-elle in petto voilà un brave moment que tu n'es plus allée rendre visite au Très Haut. Va falloir te mettre en frais pour te faire pardonner. Puis, cette Justine que l'on baptise est une personne bien sympathique. Point d'excuse ! te faut y aller !

Une toilette de chat dans la cuvette, les joues frottées énergiquement et rincées de même, le chignon refait et lissé, les vêtements défroissés du plat de la main, la voilà en route.

Tout en se dirigeant vers la cathédrale, elle récitait mentalement ses prières afin de ne point faire honte à Damisella Justine qui l'avait conviée à cet heureux moment de sa vie.
Bafouiller aurait été du plus mauvais effet.

Au loin, l'appel des cloches lui fit hâter le pas. Pas question d'être en retard, elle se dépêcha donc.
Les portes encore ouverte la rassurèrent. La cérémonie n'avait pas tout à fait débuté. Avec un peu de chance, elle pourrait entrer discrètement. Elle se glissa dans la pénombre de l'édifice en espérant ne pas trop faire résonner ses pas avant de s'installer.

Parfait ! de là, elle pourrait tout voir et elle s'en réjouit d'avance
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Hypnosus

Posant quelques une de mes affaires en cathédrale, je prenais un parchemin puis avec quelques pointes, je placardais sur la porte d'entrée de la cathédrale une affiche :

Chers Frères, chers soeurs, dés ce Lundi 16 Décembre, le baptême de Soeur Justine va débuter en cette cathédrale. Venez nombreux assister au baptême de cette habitante de Montpellier. La baptême est le moment le plus important de la vie aristotélicienne, c'est la rentrée dans cette grande famille de la foy. Viendez donc, contribuer de votre bonne humeur à la joie et la félicité de ce moment.

Regardant l'affiche j'étais fier de cette ancienne habitante de Briançon qui allait compléter sa formation avec un ancien habitant de Briançon!
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Hypnosus

BAPTEME DE JUSTINE

http://www.youtube.com/watch?v=M8aJKAvqStA

HRP : (un peu de musique pour se mettre dans l'ambiance, écoutez ca vaut le cout!

Le baptême est l'entrée dans cette grande famille Aristotélicienne.. J'allais réalisé le baptême de Justine, une jeune femme de Montpellier qui venait souvent en Eglise. J'avais entendu parler d'elle alors je n'étais qu'à Briançon. Elle aussi avait habité cette ville… Que l'on fasse sonner les cloches …..

DING DONG DING DONG…….

Je terminai les quelques préparatifs. Les nappes étaient mises. Le temps était au beau fixe et je me sentais heureux de pouvoir officier. Le soleil brillait doucement sur la ville de Montpellier. C'était plaisant. Justine représentait à mon sens le renouveau aristotélicien de cette belle et grande ville de Montpellier. Allons-y…

Je m'avançais vers l'entrée de l'église et je criais :

- Mesdames, messieurs, le baptême de Dame Justine peu débuter… entrez dans l'église et présentez vous. Que les parrains et marraines se présentent aussi (si il y en a) !

Entrez dans l'église.... gens de Montpellier n'hésitez pas...

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Fanny_

Le fameux jour était arrivé, il s'était proposé instinctivement le Félon, pour devenir le parrain de cette jeune demoiselle à l'esprit pur. Comment donc, le moins pratiquant des aristoléciens, celui qui avait trahit toute une province pouvait oser prétendre guider Justine dans sa nouvelle famille, ou tout du moins l'accompagner. Pourtant, il n'avait aucun désir de la corrompre, bien au contraire.

Habillé de son beau mantel mauve, des bottes lustrées pour l'occasion mais il ne mit pas son chapeau vraiment trop horrible, immonde serait plus juste, il avait même dompté sa barbe et caressé ses cheveux pour qu'ils ne soient pas trop ébouriffés, voilà donc le Démon qui s'avance vers l'homme d’église.

Bonjour, je me présente, je suis Adrian Sauvan dict Daemon, né à Forcalquier dans le comté de Provence et désormais résident de la capitale Aix.

Je serais le parrain de la belle Justine !

Il lui tendit son certificat de baptême. La dernière fois qu'il avait présenté, c'était pour être fait seigneur de Ceyreste, un petit fief proche de la Méditerrannée, dépendant de la baronnie de la Ciotat. Mais c'était dans une autre vie où il s'appelait Daemon, aujourd'hui il n'est qu'un roturier parmi tant d'autres.

Il attendait avec impatience de voir marcher la future baptisée...

Hypnosus

Je voyais un homme de grande prestance entrer dans la cathédrale. Il était sur de lui, ne sachant pas qui il était, je me demandais qui il pouvait être... puis il me donna un certificat de Baptême... je compris à ce moment là!

- Monseigneur, je vous souhaite la bienvenue. J'espère que votre voyage a été bon. Je vois que vous allez être le parrain de Dame Justine. Elle m'a prévenu de votre arrivé et nous avons retarder le baptême pour que vous soyez là. Veuillez vous assoir à la place du parrain, ici, s'il vous plait...

Souriant, nous attendions l'arrivée de Justine. Mais nous avons tout notre temps...
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Justine

Sortant du bain, très calme, elle sécha son corps à l'aide d'un rectangle de drap de coton, bordé de franges, tel qu'il en existait chez les Maures et que l'on nommait la fouta. Puis le moment de se coiffer vint enfin, Fanny l'aida à tresser sa chevelure châtain, enfiler et lacer le corset, passer la chemise puis la robe blanche. Pour finir, elle fixa à l'aide d'un peigne un voile fin couleur d'albâtre sur le haut de son crâne. Lorsque Fanny lui présenta quelques bijoux offerts par le Duc du Lyonnais, elle les refusa gentiment. La sobriété s'imposait pour un tel évènement. Et la voilà prête, pour l'un de ses plus beaux jours à vivre.

Nulle nervosité. Et pourtant... Et pourtant, elle attendait cet instant depuis des lustres. Il était devenu utopie au fil des années. Mais aujourd'hui, son coeur se réjouissait tellement qu'elle craignait que quelques évènements vinrent interrompre cette merveilleuse cérémonie.

[Devant le parvis de la Cathédrale...]

Le coche ralentit en vue de la Cathédrale pour finir sa course devant grand portail. Les cloches sonnaient, comme pour annoncer la nouvelle jusqu'au fin fond de la campagne montpelliéraine, ce qui provoqua en elle un petit rire léger. Elle qui aimait être discrète, c'était compromis.

Ses yeux s'habituèrent doucement à la pénombre du lieu saint lorsqu'elle y pénétra. Une musique et des chants presque divins envahissaient la cathédrale, se répercutant de murs en murs, emplissaient tout l'espace, son coeur chanta en harmonie !
Tenant d'une main sa robe pour éviter de chuter sur les dalles de pierre, elle avança gracieusement dans l'allée centrale.

Puis elle le vit.
Il attendait près de l'autel et du Frère Hypnosus, lui souriant.
Alors elle continua de marcher vers lui, un peu tremblante soudainement, lui adressa un sourire timide. Une fois arrivée à leur hauteur, elle fit une révérence au Diacre.

- Frère Hypnosus, merci à vous d'être là... Puis se tournant vers Adrian... A vous aussi, merci messire Adrian. Sans vous, votre soutien, mon baptême n'aurait pas la même saveur...

Et cette fois-ci, son sourire se fit radieux tellement elle était émue, des perles d'eau débordant de ses paupières. Alors ne se retenant plus, elle ria et lui dit à voix basse...

- Pour vous remercier, je vous ferai la plus belle galette à la frangipane que vous n'ayez jamais mangée !
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Hypnosus

J'entrais dans la majestueuse cathédrale. Quelle grandeur, quelle joie... Ca me changeais de ma petite église de Briançon. J'vais rencontré très peu de fidèles sur mon chemin, j'avais l'espoir d'en rencontré un peu plus dés à présent dans cette grande ville! Qui étaient les responsable de ce lieu de culte ? Je ne connaissais que ceux du dauphiné-lyonnais. En m'avançant vers l'autel je ressentis une joie profonde grandir en moi... je pensais à Marryna et à la petite fille trouvée.. quelle joie...

J'avais beaucoup voyagé et je n'étais plus très sur de continuer mon travail de Diacre, je rentrai donc juste pour prier... je levais les yeux et je dis ....

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Il fallait que je découvre les villageois afin de me présenter correctement...
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Mindy

Mindy la bohémienne.. Mindy devenue "la rouge" aux yeux des siens..
ne sait plus trop qui elle en est, et tourne en rond dans le village.

Elle passe et repasse devant l'Eglise, ne sachant que faire.
Cristos voudra-il l'écouter ou l'enverra-il comme c'est la règle
mettre un p'tit mot dans la p'tite boite secrète de Sara la Kali ?

Elle s'élance vers l'entrée à l'instant même ou un homme en sort.
D'abord à tatons jusqu'à ce que ses yeux s'habituent à l'obsurité,
elle prend confiance en voyant qu'elle est seule et parle doucement :

Dis Cristos, faut vraiment que je te parle.
Je sais que je devrais m'adresser à notre protectrice Sara
mais c'est un peu loin pour moi tu sais et je suis très fatiguée.
Puisqu'elle est avec toi près du "Baro Devel" (Dieu)
tu peux lui répéter ma prière s'il te plait ?
Dis lui que je vis maintenant parmi les "Gadjés"
mais que je l'ai pas oubliée !
Allez.. écoutes bien Cristos.. je commence !

Je suis bohémienne, une pauvre voyageuse
Ma roulotte est mon monastère
Je fais de mon coeur le lieu de ma prière
Je ne possède pas d'habits élégants
Dieu dit que le corps est plus beau que le vêtement.

Je ne me soucie pas de la nourriture de demain
Notre-Père me donnera le pain quotidien,
J'amasse dans mon âme une tirelire d'amour,
Elle est à toi, elle sera ouverte un jour.
Mon coeur ne convoite pas de grands biens,
Son gros appétit est d'aimer bien son prochain,

Ma roulotte est petite,
Bien plus qu'une maisonnette,
Mais Toi, Seigneur,
Tu n'avais pas où reposer ta tête.
Les gendarmes viennent souvent me contrôler,
Je leur souris, ces hommes font leur métier.

Je travaille dans les champs, Et je vends des paniers
les gens moqueurs m'insultent avec grossièreté,
Je veux T'aimer, Jusqu'à leur pardonner.
Dans le calme, la nuit tombe peu à peu,
Pour Te prier, j'allume un petit feu,
Soit béni, Dieu d'Amour,
Je sais qu'tu m'aimes et qu'tu m'aimeras toujours.

Voilà tu te rappelleras de tout ?
je dois repartir travailler mais je reviendrais.. promis..
ah si.. dis aussi à Sara et a mon Papou qui sont avec toi..
que j'suis toujours pure pis honnête pis pas méchante non plus
même si des fois je m'amuse un peu à pourchasser les chats

Après un bisou soufflé du bout des doigts en direction de Cristos..
Mindy s'enfuit pour reprendre le travail dans les champs !
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Le nuage s'arrête pour pleuvoir.. le tzigane se fixe pour pleurer

Dnartreb

Reb ne s'ennuyait point, enfin pas toujours. Il allait parfois à l'église, mais de plus en plus rares étaient ses prières. Il n'avait point perdu la foie, mais il s'était détaché de ce clergé aussi enclavé que la noblesse. Il ne se reconnaissait plus en ces castes, ni en leur fonctionnement premier. Lui qui était croyant, il se voyait désolé, mais se rassurait en se disait que l'église ne pouvait l’empêcher de croire en lui, en ses actions qu'il croyaient justes.

Il s'agenouilla près de l'autel, fit son signe de croix, et resta en silence, priant en sa tête. Pour une fois qu'il ne troublait point l'office avec quelques pets, à cause de ses repas pris un peu vite. Soudain, il eut une idée de génie. Une idée si bien construite, qu'il en remercia le Bon Dieu.

Un petit crie de joie le traversa, troublant les pierres de l'édifice, au point de lui faire résonance. Se reprenant, il afficha un sourire taquin.

Oui...Oui cette idée est lumineuse!

Il se releva puis se courba devant l'autel avant de repartir.
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Senorita_fantasia

Comme souvent, lorsque la Brunette avait un petit coup de déprime qui passait par là, elle se dirigea vers le seul endroit où elle pouvait prétendre à la paix. Ce n'était sans doute qu'une simple feinte car elle ne croyait plus en le Très Haut car il l'avait abandonné tant de fois... Aujourd'hui, il fallait pourtant qu'elle se rende dans cet endroit unique et désertique pour prier.

Effectivement, elle avait perdu son ami, celui qui la comprenait, celui qui ne l'oubliait jamais, même si ils étaient à l'autre bout du Royaume, à vivre des histoires différentes. Elle ne comprenait pas. Il venait de faire des pieds et des mains pour qu'elle daigne le rejoindre et s'installer à Montpellier. Ils auraient fait leur vie, ils se seraient appréciés et jamais n'auraient perdus leur amitié.
Elle venait de rentrer de voyage et s'installer dès qu'elle remit un pied à Montpellier, et si heureuse de lui annoncer la nouvelle, le chercha dans la vie, mais ne le trouva pas. Ses pigeons restaient sans réponse, et aujourd'hui, elle avait si peur...

Tout en pénétrant dans le temple sacré, elle retira sa toque, fit un signe de croix et s'avança vers l'autel pour s'y agenouiller.

"Oh, Très Haut, je t'en supplie, rends moi le seul ami que je n'ai jamais eu. Rends moi ce que j'ai perdue. Je pense avoir été bonne fidèle, et de ne pas t'avoir fait d'affront durant ces longues années où j'étais à ton service. Je t'en prie, aides moi à surmonter la douleur que parcourt mon coeur actuellement, aides moi à sourire alors que je suis inquiète. Je ne peux pas baisser les bras. Rends le moi, il est trop tôt pour qu'il te rejoigne, crois moi.."

Elle leva les yeux jusqu'à la statuette de Christos, lui offrit un léger sourire, pour lui faire comprendre qu'elle avait besoin de lui, de cette croyance.
Puis, repartit loin sans se retourner, mais espérait tellement qu'il l'entende...
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Arcadhias

La messe n'ayant pas été préparée, Arcadhias se rendit à la Cathédrale pour prier.
Celle-ci, vide, le laissa dubitatif.
Désertion des fidèles ? Ou alors des curés ?
Ses bruits de pas raisonnés dans la structure vide qui dérangeait uniquement les toiles d'araignées.
Le choix de la place sur les bancs était important..
Place trouvée, début de la prière dominicale ..
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Kikinette

Kiki avait besoin d'une réponse quant à son projet de devenir diaconesse.
La foi , elle l'avait rencontré grâce à un frère: Ambroise de Blanchimont, qui lui avait communiquée le véritable amour de Christos, Celui qui n'a pas d'intérêt, qui est patient qui ne juge pas... Pourtant quand Ambroise avait fait la rencontre de Kiki, elle était une courtisane qui vivait dans la luxure et la dépravation: les conséquences d'un amour déçu et de promesses non tenues. Il a su trouvé les mots pour qu'elle se repente et qu'elle soit en accord avec les commandements de Christos.
Elle alla donc au sanctuaire pour y prier; arrivée sur le parvis de l'église elle entraperçut les candélabres allumés, symboles de la Lumière de Dieu dans ce monde ténébreux. Elle s'avança cérémonieusement et s'agenouilla sur un prie-dieu, joignit ses mains et pria de toutes ses forces:

-Ô , toi, Christos, Lumière de vie, montres moi le chemin à suivre pour t'honorer et avoir une vie meilleure. Apprends moi à explorer Tes voies et diriges moi vers le chemin de la sanctification. Amen!

Cette prière faite, elle se sentit bien mieux, se releva, fit le signe de croix et sortit en silence lu temple, l'âme apaisée.

Titou421

Il s'approche du groupe de conventuels en prière à la chapelle du Saint Sépulcre et croit bien reconnaître une ou deux bonnes bouille des frères Capucins qu'il avait quelquefois reçu en grande pompe à sa table.

Pst...psst... chuchote-t-il : "Dans quelques semaines je pars en pèlerinage à Capoue en suivant la côte méditerranéenne. Si l'un d'entre vous souhaite m'accompagner qu'il m'envoie un pigeon avant la Saint Martinien.

Puis il s'éloigne sans le moindre bruit, porté par les regards interrogatifs de l'ensemble de la compagnie qui a ouï le projet de voyage...
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Honny soit qui mal y croix

Synead_andromede

La matinée était beaucoup moins étouffante aujourd'hui que la veille. La jeune Synead n'avait jamais ressentit autant le besoin de filer dans le nord que depuis ses quelques jours. Craignant horriblement la chaleur, elle était rester le plus souvent dans la charrette. Seulement aujourd'hui le temps était moins lourd, plus respirable pour la jeune femme. Elle avait alors décider de se rendre en ville et d'y faire un tours pour voir ce qu'il y avait de beau. Les Capitales ? Pas habituée même si elle a vécu a Limoge, elle n'avait jamais eu le temps de bien s'y faire. Du monde a chaque coin de rue, des tavernes pleine a craquer et un marché qui regorge de produit. Cependant ce qui l'attira le plus fut la Cathédrale et non le marché. Elle était si magnifique, qu'elle ne résista pas longtemps au désire d'y pénétré. Poussa la lourde de porte en essayant de faire le moins de bruit possible, elle entra dans la vaste cathédrale. Plongent légèrement ses doigts dans le bénitier, elle se signa et s’avança au milieu des ranger de banc avant de s'agenouiller devant la magnifique statut qui prônait en son centre. Elle se signa une nouvelle fois puis se releva allant prendre place sur un des nombreux banc présent. Joignant ses mains, elle ferma les yeux et commença a priée à voix basse.

Seigneur tend l'oreille jusqu'à moi, loin du ciel à la terre, est-ce qu'un jour tu entendra mon humble prière ? Je sais bien je ne suis qu'une exclue indigne devant toi,,,Dieu aide les exclus voie notre misère, que ta clémence parvienne sur cette terre, exauce de ta grasse ton peuple en prière, ou nous sommes perdu... Aide au seigneur, aide les miens j'implore ta clémence pour ceux qui n'ont rien, dieu aide les pauvres et les gueux puisque nous sommes tous des enfants de dieu... pourquoi dieu certains son bénnis ? Pourquoi d'autre son maudit ? Ceux qui mérite tes faveurs nous craigne, nous ignore, nous brise le cœur..Dieu aide les exclus ses infortuné, pourquoi je t'en pris les avoir crée, la malédiction les a affliger ils sont vos enfant, ses âme mal aimer, je prie pour mon peuple....les pauvres et les gueux, puisque nous sommes tous les enfants de dieu..

relevant la tête alors que sa prière fut dite dans un simple murmure, elle se signa puis se leva du banc ou elle était assise. Elle s'approcha de la porte d'entrée avant de se retourner jetant un regard à la statue de cette homme tourmentée et se signa une nouvelle fois avant de quitter la Cathédrale.
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Cecile34

cécile reprit la parole

Avant de partir quelques petites informations sur le village

Souhaitons bonne grossesse à dame coccinelle pour l'heureux evenement qu'elle attend!!! De plus messire dnartreb organise en halles un petit concours de récit ouvert à tous et doté de 100 écus pour le gagnant !

De plus dame select2 lieutenante recherche des gens pour défendre, et oubliez pas vous pouvez bosser à la mine et le soir hop, hop montez sur les remparts!!!! J'ai d'ailleurs apprit que votre conseil comtal reverse à chaque défendeur 10 écus la nuit de garde s'il a fait son rapport.......Hummm je le sais car j'ai défendu moi même alors que je vis même pas à Montpellier.....alors là j'ai un truc à dire

Je trouve honteux qu'on doive payer des habitants pour defendre leur propre ville !!! Savez vous que c'est Votre ville?? Vos écus en caisse ? Votre marché??? Mais en fait vous ne defendez que votre labeur, alors être payer pour cela je trouve cela honteux ! Personnellement je rendrais au bailli les écus, car je n'ais défendu que par solidarité et amour pour ses habitants......je pense que certains devraient apprendre le sens de ces mots

Chers amis j'ai eu grand plaisir à officier ici

cécile alla à la rencontre de chaque paroissien pour les remercier d'avoir assister à cet office

Bayard

Père Bayard entra dans l'Eglise et alla directement brûler un cierge, pour remercier Dieu de l'avoir épargné durant son voyage.

Ensuite, il commença à réciter le Crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Après l'avoir repris plusieurs fois, en souvenir d'une pénitence qu'il n'a pas oublié, il ressort de l'Eglise, la joie au coeur.
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Matouminou

Prendre la main de son Volcan, quel bonheur!! Et de l'autre côté, c'était Max, son futur filleul. Elle leur sourit à tour de rôle et se mit ensuite à réfléchir à ce qu'elle n'avait pas fait de bien. Sa dernière tarte aux pommes avait été un peu loupée, c'est vrai...Elle retint un rire, et reprit son sérieux songeant qu'elle n'avait jamais vraiment été méchante, gratuitement du moins. Les gens qu'elle n'aimait pas, elle les ignorait la plupart du temps.
Quant à pardonner;..elle fit la moue, songeant à certains moments de sa vie au cours desquels on lui avait fait du mal, à elle ou à des personnes chères à son coeur. comment avait-elle réagi?
Elle dut bien s'avouer qu'une fois la peine passée, c'est la colère qui avait pris le relais. Elle avait même souhaité qu'il leur arrrive pire que ce qu'ils leur avaient fait.

Pardonner est l'acte le plus difficile qui soit, y penser était sans doute déjà un début vers la clémence.

Elle joignit sa voix à celle des fidèles et récita la confession:

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés. Amen !

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Cecile34

Je remet le prêche car il se trouve en fin de page et on dirait que certains l'ont loupés^^

cécile etait contente la cathédrale se remplissait, les gens priaient....hummm qu'il était bon de voir tant de ferveur

Chers paroissiens et chers amis

Quel bonheur que de voir ce lieu avec tant de personnes, j'en suis émue car il y a ici presents des amis mais aussi des inconnus et en cela je vous remercie tous!

Alors je vais tenter de pas vous endormir ni de vous ennuyer c'est pour cela que je vais vous parler de l'archange Saint Georges ! Je pourrais vous lire son hagiographie, mais j'entends déjà les ronflements de certains !

cecile souriait esperant retenir un peu d'attention

L'archange saint Georges est peu connu mais il représente l'amitié ! Alors tout le monde connait l'amitié mais êtes vous certains d'être un bon ami???? Car c'est pas en filant 1 ecu à un pauvre qu'on est amis, c'est pas en aidant la vieille du coin à porter son cabas du marché qu'on est son ami!!!

cecile employait des termes chocs mais c'etait pour bien faire comprendre

Non l'amitié se mesure sur le temps, c'est étre là toujours pour une personne ou plusieurs dans les bons et mauvais moments. On ne juge pas son ami ni un étranger , on tente de le comprendre, on discute et même entre amis on a des differents. L'amitié c'est respecté, aimé, comprendre, écouté ! Et comme a dit notre bon Georges : "Mais n’oublions jamais qu’il n’est pas de plus beau trésor que l’amitié."

Cécile pointa du doigt l'assemblée

Hum je vous entend d'ici .....mais cécile on peut pas être amis avec tout le monde !!!! Et bien vous aurez raison mais respecter autrui c'est déjà un pas vers le Tres Haut !

Cécile reprenait son calme, fallait dire que quand elle prêchait elle se la donner[/b]

Cecile34

cécile entendit le cri de joie d'une enfant, ha son filleul faisait son entrée elle esquissa un sourire...puis vint le tour de son amie coccinelle et de son fils.....

Alors en ce jour , je vous demande de vous tenir la main et de demander pardon pour tout ce que vous auriez pu faire de pas tres joli, de pardonner ne serait ce qu'un peu à ce qui vous ont faits du mal.....car parfois pardonner et continuer sa route est le seul moyen pour ne pas flancher devant la bête sans nom qui prend plusieurs visages

cécile s'approcha de deux paroissiens et leur prit la main et

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en actions.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés. Amen !

Cécile savait tres bien que parfois il était dur de pardonner, mais c'était là le seul moyen

Matouminou

- PAPAAAAAAA!!

Matou sursauta en entendant Luna pousser ce cri de joie. Arfff....question discrétion c'était plutôt loupé.

Elle sourit à son volcan car , en effet, c'était bien lui et dans un état correct en plus, le cheveux un peu en bataille mais ça, c'était la marque de fabrique, quand ils commençaient à être un peu trop longs. Elle se promit qu'elle les lui couperait sur le bateau, en répondant tendrement à son baiser.

La messe se poursuivit, il y avait pas mal de fidèles. Elle fut heureuse pour Cécile qui maintenant leur parlait de Saint Georges. Matou essaya de se souvenir du rôle de cet archange. Elle avait le vague souvenir qu'il terrassait un dragon, puis, elle se reconcentra sur ce que disait la curette.
Elle hochait de temps en temps la tête, assez d'accord avec ce qu'elle entendait, surveillant du coin de l'oeil Luna qui avait glissé sa main dans celle de son père et qui écoutait. Hum....louche ça! Quant à Antoine il avait semblé élire le nez de Max comme nouveau jouet...Bon, tant que ce n'était que ça, au moins ne faisait-il pas de bêtises.

L'amitié, oui, c'était un vaste sujet, jusqu'où pouvait-on aller par amitié? Matou aimait avoir ses rares amis autour d'elle, elle avait longtemps cru qu'il fallait les voir pour ne pas que cette amitié se fane.
Elle songea avec émotion à Adorianna dont le chemin avait un jour bifurqué vers un autre destin. Matou en avait été peinée, songeant que ce serait dur de ne plus voir sa frimousse, son sourire et sa joie de vivre. Pourtant, elles s'écrivaient régulièrement et se donnaient des nouvelles. Ado lui avait promis qu'elle remonterait en Normandie pour assister à leur mariage. Désormais, elles ne se verraient que pour de grands évènements de ce genre.
C'est ce départ qui lui avait fait comprendre qu'une amitié pouvait rester telle qu'elle, entretenue à distance, se renforcer même.

Elle souriait en écoutant la suite du récit, et trouva la phrase de saint Georges très belle.
Elle fronça cependant les sourcils au passage du respect envers autrui. Oui, c'était une grande valeur, mais comment réagir quand justement certains ne l'appliquaient pas? En tendant l'autre joue? Cela la laissait sceptique.

Elle ne put s'empêcher de pouffer devant la véhémence de Cécile. Elle y mettait toute son âme , tout son coeur, elle se donnait à fond. Elle était splendide de conviction. Matou se retint de l'applaudir.

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Coccinelle

Elle s'était préparée avec beaucoup de soin et au bras de Virgile était sortie de leur demeure. Puis chacun d’eux tenant Clovis par une main ils avaient avancé vers la cathédrale

1...2....troiiiissssss et hop

En le soulevant ils lui faisaient faire des bonds immenses pour ses petites jambes. Et leur fils partait d'un rire frai et joyeux qui grimpait jusqu'au ciel.

La bestiole était heureuse...mais c'était sans compter sur deux choses assez liée finalement...
la loi de "l'emmerdement maximum" qu'on appellera un jour du nom savant de Loi de Murphy
l'envie d'indépendance de son fils

Car la bestiole avait lâché la main du petit rouquin en souriant et Virgile avait fait de même pour prendre la sienne.
Sur le chemin Clovis avait vu une flaque et, persuadé qu'il était capables de bonds de géants, il s'était décidé à passer cet obstacle ...

zun...deux...roi...hop

Et oui...hop dans la flaque.
Il en était ressorti boueux, furieux et vexé de n'avoir pas réussi. Sa mine tour à tour étonnée et colérique cachait mal son envie de verser quelques larmes

Partagée entre envie de rire et un soupir désabusé elle pris son fils par la main et s'accroupit devant lui

Clovis tu n'es pas assez grand pour sauter les flaques tout seul et même quand on sait on ne le fait pas avec les beaux habits d'accord? Puis se redressant elle regarda Virgile Prends de l'avance je vais le changer

Un pantalon et une chemise propre plus tard elle se remit en route à grands pas, un peu trop grand pour son fils d'ailleurs.
Mais malgré tout c'était écrit ....elle arriva en retard à la messe. Trop tard pour réciter le credo mais pas pour entendre Cécé. Elle se glissa en douce près de Virgile, Clovis dans les bras. Elle déposa son tendre "paquet" entre eux deux et posa une main sur la tête de son fils dans un geste inconscient tant elle écoutait sa curette

L'amitié ...vaste programme!
Elle essayait de l'envisager et des visages dansèrent devant ses yeux. Cécile justement et tant d'autres qui avaient croisé sa vie. Son regard croisa celui de Virgile et elle se demanda à quels amis il pensait à cet instant
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Stromboli

Hummmm.... Ce matin avait été doux, si doux... Pas de bruit, pas de cris, pas de cavalcades à droite à gauche, pas de sensation que la baraque va s'écrouler... Tellement calme tout ça que Stromb se réveilla. Quelque chose clochait.

Il se frotta les yeux et s'assit dans le lit. Les cheveux en bataille, l'oeil pas réveillé, il tendit l'oreille. Non, il n'y avait rien. Pas le moindre petit bruit ! Il fronça les sourcils. C'était pas normal et un poil inquiétant..

Il se leva oubliant sa nudité, et entreprit de fouiller les chambres voisines. Dans le couloir de l'auberge, il rencontra une vieille dame et son époux qui restèrent stupéfaits devant l'homme nu. Stromb eut un sourire en coin..

Ça fait longtemps que t'en a pas vu une comme ça, hein...?

Il partit dans un grand éclat de rire, d'humeur taquine aujourd'hui, et entra dans les chambres des servantes de Matou. Pas de gamins, pas de Suzon, que dalle... Alors il se mis à réfléchir. Matou était-elle parti vendre tout ce petit monde au marché ? Les avait-elle tués et enterrés dans la cour dehors ? Avait-il rêvé sa vie et toute sa famille depuis tout ce temps... ? La dernière proposition lui sembla un peu grossière.

Soudain, un éclair de génie passa dans sa tête...

Oh putin de bordel de m..... Dédiou c'est dimanche !!! La messe !!! Cécile !!!!!!!!!!

En temps normal, il serait parti se recoucher. Mais làààààààààà..... Il voyait déjà le ciel lui tomber sur la tête, ou plutôt Cecile le lui balancer dans la tronche, en voyant qu'il était absent à l'office...

Ni une ni deux, il sauta dans ses habits et fila en courant vers l'église.

Arrivé là-bas, il entra discrètement et son regard balaya les fidèles. Matou était non loin, avec la marmaille et même... Max et Rachel ! Il se faufila vers eux et les embrassa

Hey salut vous deux ! Ça fait plaisir de vous revoir !

Une bise aux gamins, un baiser à Matou, et il écouta le Credo se réciter. Il l'avait volontairement oublié, il se contenta donc de marmonner un "amen" assez inaudible entre ses dents quand ce fut fini.
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Gadriel.

Pres de la porte,seule la main gantée de Gadriel ...sur la poignée ,qu'il franchi le seuil pour la première fois de cet endroit ,d'invocation , D'adoration de supplication...qui prône sur toute les bouches.
Mais malgré l'éternel c'est surtout pour l'invitation de la Soeur Cécile qu'il était venu.
De sa place on voyait les bancs, les fidèles... des amis et l'estrade d'où cette p'tite bout de femme à l'allure capucine,gesticulait pour faire entendre le bon chemin à suivre..
Lors, ses yeux se plissent, sa bouche se ferme et les traits se durcissent. Il émet un grognement et lâcha un sourire amusé !Mais pas suffisamment pour qu'il explose en public, à la vue de tous. Les apparences encore. Faire croire qu'il n'en a rien à faire, alors que finalement le message n'est pas de croire aux miracles mais simplement rassembler les hommes pour leur faire comprendre que dans la vie on ne peu vivre seul dans la haine, la souffrance, malgré ce besoin de faire la guerre qui est en nous et qui le restera!
Cette pause permettraient ils aux hommes de comprendre !?...'fin cela dit pour la faire autant faut bien ce dire que nous oublions vite et que nous sommes tous pareils...
..
Sous le souffle de sa gorge il lâcha le "Amen...."

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Heros2

heros se sentais pas trop concerner

mais comme promis ..il alla vers l'église montas les marches ...poussas les portes et

se mis as cote de la sortie , il voulais pas rester ici très longtemps

fis son signe de croix et racontas une prière lui qui les connaissais pas..............

le premier as sortir c'étais lui ......

Cecile34

Select2

Select arriva en courant, la nuit sur les remparts avait été très longue et ça l'avait fatigué. En plus pas moyen de faire un léger somme car le danger se cachait là .... dans la nuit. ... Avec les autres compagnons de défense elle avait réussie à boire une gorgée de ce petit jus de pêche que sa recrue apportait à chaque fois qu'elle montait la garde et qui, il parait, rendait la peau des fesses très douce......

Devant l'entrée de la Cathédrale elle s’arrêta et l'ouvrit.
A l’intérieure elle remarqua qu'il y avait du monde, beaucoup de monde qui répétait la prier que la curette, probablement, venait de prononcer.

Comme les autres, tout en allant rejoindre une place, elle répéta:

Citation:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Une fois terminé , elle prit place à côté d'une jeune femme brune qui semblait un tantinet amusée.
La Lieutenante se tourna vers elle et lui sourit....

Maximilien_robs

Max qui avait fraîchement suivi sa pastorale avait lu le livre et des vertus...aussi le crédo bah il le connaissait sur le bout des doigts.
Il commença à le réciter religieusement quand le petit Antoine lui pinça le nez. et la petite Luna qui parlait de serviette sur la tête......

Aieeeeeeee ..mais rohhhhhhh je vais avoir un nez de clown comme ton pere...
Chutt Antoine sinon la dame en noire , elle nous donnera pas de sucettes hein...ta maman t'a expliqué ça non?
quant à toi petite princesse Luna....c'est pas une serviette hein..on est des vrais pirates ton père et moi...tu vas voir sur le bateau...

Il se remit à réciter en pressant la petite main , le sourire aux levres

Citation:

Rachel

La brune reprit son sérieux. Il était temps de mettre en pratique ce qu'on lui avait appris à la pastorale. Essayant de se souvenir du crédo elle se mit à le réciter.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Eudes.

Eudes, avais pris place sur le coté de la nef, un peu dans l'ombre. Son regard balayais la foule des fidèles. Il reconnus certains amis de sa dame et les salua d'un sourire. Quand viens le moment du credo il reprit avec les autres:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
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Lona

En retard... comme toujours ! enfin presque toujours ! Désordonnée qu'était la blonde, elle avait égaré sa tête...

Punaise mais pourquoi je cherche ça ! je la cherche jamais, je l'emmène jamais ! mais j'ai pas les idées claires moi c'est pas possible !

Elle se mit en route pour la cathédrale, elle aurait ainsi au moins l'occasion d'admirer les vitraux, depuis le temps qu'elle n'était pas allée à une messe entière... Aristote lui en voulait peut être ... ou pas... elle ne se posait pas ce genre de questions, elle en avait sans doute assez en stock, sans doute aussi en avait elle résolu certaines.

Elle entra dans la cathédrale, discrètement, au moment du "Credo". Elle se signa et s'installa.
La lumière des vitraux éclairait les paroissiens...

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Matouminou

Elle laissa glisser de ses bras Antoine qui, immédiatement s'installa sur les genoux de Max.
Soulagement? Hum, presque, mais il ne fallait pas baisser la garde. D'autant que Luna, entendant que Max demandait où se trouvait son père, lui répondait en riant, comme si ça tombait sous le sens:

- Bé!! y fait dodo!!

Matou sourit et murmura à Max:

- Voilà, tu as la réponse, la vérité ne sort-elle pas de la bouche des enfants?

Mais Luna ne s'en tint pas à ça. C'eut été trop simple. Après avoir observé Max en détail, elle poursuivit:

- Ohhhh, t'as la même se'viette que mon papa dessus la tête!! t'as des seveux en dessous??

Légère grimace de Matou accompagnée d'un haussement d'épaules, hum...on était bien partis pour une série de questions, mais, après tout la balle était dans le camp de Max. Elle se contenta de murmurer à la fillette de parler un peu moins fort, car la messe venait de commencer.

Laissant Max se dépatouiller avec Luna, Matou se concentra sur les mots de bienvenus que venait de prononcer Cécile. Elle sourit notant l'entrain de la curette. Comme elle aurait aimé que ce fut elle qui officie son futur mariage!

Comme dans toutes les messes, Cécile invita les fidèles à dire la prière de prédilection qui entamait toutes cérémonies quelles qu'elles soient: le Crédo.
Matou le connaissait par coeur, et elle le récita avec ferveur:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Cecile34

cécile voyait la cathédrale se remplir petit à petit, faisant un sourire à chacun c'est avec joie qu'elle constata qu'il y avait même des enfants....

Elle reconnu des gens rencontrés en taverne et elle savait pas si c'etait des habitués du culte ou pas mais bon fallait pas les endormir ni les ennuyer, cécile aimait les messes vivantes....

S'approchant du lutrin et ouvrant grands ses bras

Chers paroissiens, quelle joie de voir ici en ce lieu! Nous allons débuter cette messe et les retardataires ben pas grave ils prendront en route!!!

Nous allons en premier réciter le credo, prière fondamentale pour nous aristoléciens

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Maximilien_robs

Max se retourna quand il entendit les chuchotements et les rires étouffés d'enfants... Son visage s'illumina quand il vit Matou accompagnée de sa joyeuse marmaille...il chercha son ami Stromb du regard mais pensa qu'il devait etre en train de picoler dans une taverne voisine.
Il se leva pour laisser passer la petite famille et adressa un coup d'oeil complice à Antoine ne manquant pas de lui ébouriffer la tignasse au passage

eps.... il est ou ton volcan??.

Il ouvrit les bras pour accueillir le petit sur ses genoux....bah fallait bien qu'il s'occupe pendant l’office hein..

Rachel

Rachel attendait que l'office commence lorsqu'elle entendit des rires d'enfants et une voix familière provenir du fond de la cathédrale. Elle se retourna pour apercevoir Matou et ses enfants. Elle sourit et comme Max se leva pour laisser passer la petite famille. Il ne manquait que Stromb mais son parrain devait être encore dans le fond de son lit.

Elle souria à Matou et fit un petit signe de la main aux enfants. Lorsqu'ils se furent installés, elle reprit place sur sa chaise. Elle regarda Antoine assis sur les genoux de Max et lui dit tout bas

Bonjour bonhomme

Souriant elle commença à lui faire des petits gilis pour le faire rire. Elle pensa qu'il fallait bien occuper l'enfant qui allait s'ennuyer ferme à écouter la curette parler et elle aussi d'ailleurs.

Cecile34

Cécile s'était levée tôt, fallait dire qu'elle allait dire une messe en cette belle cathédrale avant son départ. Elle avait mit sa plus jolie soutane pour cette occasion...
Poussant la grande porte quel ne fût pas son étonnement de voir....mais oui......son Virgile ! Mais il devait être tombé de sa couche ou pire malade!...

S'approchant inquiete, elle fut vite rassurée, le Bo mec de Montpellier voulait juste pas raté le début de la messe

Bonjour virgile, ecoute je vais sonner les cloches et on attendra les fidèles pour cette messe, et je te remercie de ta présence ça me touche d'autant plus que je te sais peu amateur de messes

Se rendant vers le clocher elle fit tenter le doux bruit des cloches

Apres le joli tintement, elle prépara l'autel y mettant le livre des vertus, elle avait réfléchit toute la nuit sur le sujet qu'elle pourrait aborder, ce n'était point facile mais bon avant de venir elle était allée en taverne et on lui avait donné d'excellentes idées.....recherchant un texte, elle attendit les fidèles

Maximilien_robs

Max entra dans la cathédrale accompagné de Rachel...
Il avait promis a sa marraine de venir écouter la curette....
Avant même de pouvoir observer la voûte ou les statuettes qui ornaient le lieu, son regard se posa sur la curette
Il murmura a Rachel

dis donc ... ça se voit qu'on est dans le sud , hein...sa soutane n'est pas bien longue...héhéh...ça va pas etre facile de l’écouter...

Il partit dans un petit rire qui résonna dans la pièce..
Il se signa puis s'engagea dans l'allée pour trouver 2 chaises...pas trop loin mais pas trop prés non plus hein...Fallait pas se faire repérer si vite quand même..

Rachel

Rachel observait l'intérieur de l'édifice qui était de toute beauté. Elle reconnut près de l'autel, la curette qu'elle avait croisée plutôt dans la journée.

Elle ne put s'empêcher de partir dans un grand éclat de rire lorsque max murmura à son oreille. Ce qu'il lui vallut le regard indigné de quelques personnes déjà présentes.

Un peu génée, , elle se signa et s'installa sur une chaise à côté de Max. Elle se pencha alors vers lui pour lui murmurer en souriant :

Bon ben c'est pas aujourd'hui que je me rachèterais une âme .

Matouminou

Ils s'étaient endormis tard, et bien sûr le réveil fut difficile surtout pour Stromb qui avait maugréé une phrase qui avait laissé perplexe Matou car elle n'en avait point reconnu la langue.
Elle pouffa en regardant son Volcan, résolument décidé à ne pas bouger, du moins pas dans l'immédiat. Un baiser sur son épaule dénudée, un autre sur sa joue, ou du moins sur ce qui en dépassait du coussin dans lequel il avait enfoui son visage, et Matou s'étira.

Ce matin, il y avait messe dans la grande cathédrale de Montpellier et c'est la marraine de Stromb, qui une fois de plus, officiait. Il était hors de question de louper cela.

Elle fit sa toilette, frissonnant sous l'eau fraiche, s'habilla puis se coiffa rapidement, préférant se faire une jolie natte que de laisser ses cheveux sur ses épaules. En temps normal, elle aurait appelé Suzon, mais en voyage, il était agréable de faire les choses soi-même et d'oublier son statut de noble. De plus, aux cavalcades et aux rires qu'elle entendait dans la pièce à côtés, les petits étaient réveillés et Suzon, aidée de Cunégonde, commençait en fanfare la journée.

Elle rectifia encore une petite mèche et se pinça les joues pour les rendre un peu plus rouges, elle passa ensuite un soupçon d'un baume rouge pâle qui lui colora légèrement la bouche. Matou n'aimait pas trop user d'artifice, préférant laisser au naturel son visage. Elle se plaisait à dire qu'un sourire lumineux, des yeux pétillants, étaient le meilleur des maquillages.

Elle songea qu'il fallait aussi qu'elle pense à sa tenue pour le baptême de Max et de Rachel qui aurait lieu dans l'après midi. Elle grimaça, la plupart de ses malles se trouvaient sur le bateau. Pffff...mais pourquoi avait-elle écouté Stromb et Éremon?
Forcément, elle allait devoir faire avec les moyens du bord...enfin de terre...parce que justement, le souci, c'est qu'elle n'était pas à bord.

Elle fut tirée de ses réflexions d'importance capitale, par un petit toquement à la porte.
En jetant un coup d'oeil rapide à Stromb qui dormait vraiment profondément, et elle alla ouvrir. Se tenait devant elle Suzon, Antoine dans ses bras. Elle sourit et prit son fils contre elle, l'embrassant sur la joue puis dans le cou, ce qui le fit rigoler.
Elle mit son doigts sur la bouche et sortit de la chambre:

- Papa dort....et nous, nous allons aller nous promener dans une grande Église!!

Le petit garçon battit des mains, heureux. Il n'avait sans doute pas compris, mais toute annonce de balade le réjouissait.
Très vite Cunégonde arriva avec une Luna jolie comme un coeur, dans sa petite houppelande. Matou avait toujours veillé à ce que la fillette ne manque de rien, du moins en vêtements, Stromb étant un peu perdu dans ce domaine.
Elle se pencha pour embrasser la fillette:

- Tu es jolie comme une petite princesse!

Luna se rengorgea, ravie du compliment. Restait à savoir combien de temps elle resterait ainsi. Luna était la joie de vivre, et bougeait tout le temps. Marcher? elle ne savait pas, trouvant bien plus drôle de courir. Cela occasionnait des chutes, des larmes parfois...mais ne dit-on pas que c'est en tombant et en se relevant qu'on grandit?
Pour l'heure, la fillette ressemblait à une petite fille modèle. Mais Matou savait que coulait dans ses veines l'impétuosité de son volcan de papa.
Elle sourit à la petite troupe et dit, sans trop y croire:

- Bien, il va vous falloir être sages, les enfants, bien m'écouter et ne pas faire de bruit à la messe...

Regards angéliques des enfants, moues dubitatives de la servante et de la gouvernante, sourire contenu de Matou. Qu'à cela ne tienne, elle gérerait en temps voulu. Elle avait l'habitude, vivant dans la fantaisie, l'imprévisible et l'inattendu avec son Volcan depuis déjà un bon moment.

C'est à ce moment là que les cloches se firent entendre:

- Il est grand temps d'y aller!! En avant!! Et, on en dévale pas l'esc.....

Trop tard, déjà Luna s'y engoufrait à sa façon, c'est à dire en courant. Matou frémit, un jour cette enfant se romprait le cou.

Ils arrivèrent devant le majestueux bâtiment religieux et Matou ne put s'empêcher de l'admirer. Un rayon de soleil l'illuminait comme si Aristote en personne les accueillait et les invitait à y entrer. Ce qu'elle fit, toujours avec Antoine dans les bras, Luna à la main, et suivie de Suzon et Cunégonde.

Il y avait déjà quelques personnes, elle reconnut Achille, repéra Max et Rachel, mais avant d'aller se placer à côté d'eux, elle trempa sa main dans le bénitier et fit le signe de croix.
Bien sûr la curiosité de Luna fut éveillée:

- C'es quoi, maman???

Hum!! vite une explication qui lui conviendrait, car quand elle commençait à poser des questions, même Stromb qui avait une répartie quasi illimitée, finissait par y perdre son latin.
Elle lui murmura donc:

- C'est de l'eau ma chérie, on s'en met un peu sur le front...pour...pour...se rafraichir...

Arfff...à la mine que fit Luna, elle sentit poindre déjà un commentaire:

- Veux aussi ça....z'ai so!!

Rapidement Matou replongea ses doigts dans le bénitier et toucha ceux de Luna. la fillette fit un grand sourire, elle semblait heureuse et frotta ses doigts sur son front, avec un sourire radieux.
Bien! jusque là, on avait évité le pire.
C'est donc l'esprit tranquille que Matou se dirigea avec toute sa smala vers le banc où se trouvaient Max et Rachel.

Elle leur sourit, les salua rapidement, un oeil sur Luna, tenant fermement Antoine qui déjà se tortillait pour aller dans les bras de Max.
Elle jeta un oeil sur Cécile qui regardait avec un sourire bienveillant les fidèles arrivés.

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Virgile_rollon

Virgile arriva de bon matin à la cathédrale. Peu adepte des lieux de culte, il s'y rendit pour faire plaisir à la fois à sa grande amie, Cécile mais aussi à sa compagne Coccinelle.

Il pénétra dans l'édifice et s'assit en attendant Coccinelle qui viendrait sans doute avec Clovis leur fils.
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Stromboli

Stromb avait entendu parler d'une messe dite par Cécile. En temps normal, il la sautait allègrement. La messe bien sûr, et non Cécile. Mais là, la blonde déjantée animant l'office, il fut fort tenté d'y aller. Alors il y alla !

Il pénétra dans l'église un peu...euh...vidée de ses fidèles, et se mis en quête d'une place. Il aperçu Matou non loin et se faufila à côté d'elle, passant un bras autour des épaules de sa belle. D'un air rieur, il murmura à son oreille.. :

- Tu sais que tu es très belle ? Ça m'inspire moi dans des endroits comme ça...

Un sourire en coin, un baiser dans le cou blanc de son aimée... Il en avait même oublié qu'il était à l'église !

L'office passa, et le brun suivit sa belle qui allait causer à la curette.

Bon Cécile... Tu le planque où ton vin de messe ? J'ai soif moi !
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Matouminou

En retard, elle était en retard!! arfff....mais où avait-elle la tête!! Cela faisait une éternité qu'elle n 'était pas allée à une messe digne de ce nom, et elle savait que cette messe serait menée par Cécile, la marraine de Stromb. Hors de question de la louper.

Bien sûr elle arriva en retard, la messe était commencée, mais bon, elle parvint à se faire discrète, en se planquant derrière un pilier et à se raccrocher en joignant sa voix à celles des personnes présentes, au nombre de deux, ce qui était mieux que rien.

Elle récita donc la fin du crédo:

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Puis, elle écouta le sermon et soupira en entendant le thème choisi....ne pas tomber dans l'excés...ne pas s'enivrer....arfff...Matou hocha la tête se demandant si son amour excessif pour son volcan pouvait être répréhensible...ce qui la fit se plonger dans une intense réflexion au bout de laquelle elle décida que non, et puis, elle s'expliquerait le moment venu devant Aristote. soulagée, elle se dit qu'elle essaierait de parler à Stromb pour ce qui concernait les excès de bière et de calva...elle fit une grimace, car elle savait ce qu'il lui répondrait...mais quand même, elle devait le protéger du couroux d'Aristote....dilemme quant tu te présentes à nous...elle soupira doucement.
Puis, elle pâlit un peu en entendant Cécile dire:

Citation:

Je vous le demande mes chers amis aimons nous les uns les autres, aidons nous , soutenons nous et vivons avec l'amour du Tres Haut qui est dans notre coeur!

Elle se retint d'intervenir pour dire qu'elle n'avait que Stromb dans son coeur, mais bon, elle se douta que c'était une parabole, ou une image de ce genre.
Matou avait l'art et la manière d'arranger les choses à sa façon afin d'être le plus en accord avec elle-même. Aussi décida-t-elle que si Aristote n'était qu'amour, s'il avait le droit, comme ça, de s'installer dans leur coeur..au moins ne verrait-il pas leur foie...donc, oui, elle était tout à fait d'accord pour continuer d'aimer son volcan sans restriction et de boire...euh...avec la modération qui la caractérisait...

Et elle continua de suivre cette belle messe avec un grand sourire sur le visage. Celle-ci se termina et Cécile les invita a aller dans la paix du Très Haut.
Elle sortit alors de derrière son pilier et se dirigea vers Cécile, et sans façon, naturellement, elle se planta devant elle et lui fit une bise sur chaque joue en lui disant:

- j'ai beaucoup aimé ta messe, le sermon....toussa....c'était très bien, très beau!! Bon, on boit un coup? Enfin....sans excès hein???

Et elle salua Simanor et une jeune dame qui étaient là aussi.

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Simanor

Il écouta jusqu'au dernier mot de Cecile. A la fin, comme il ne voulait gêner personne, il chuchota à l'oreille de sa voisine :

Vous me dites quand c'est fini hein...

Puis il reprit sa place, attendant peut être une autre parole.
De toute façon, il était rond comme un queue de pelle, il allait donc rester là cette nuit, merci Cecile... (^^)

Cecile34

cécile voulait pas rire mais fallait dire que la situation était comique : un chien se balladait et le seul paroissien a avoir entendu son prêche se barrait.......

Regardant desormais les deux paroissiens

Allez dans la paix du Tres Haut !

Cécile se mit à rire, c'etait pas une messe qu'elle était prête d'oublier!!!

Melandrine

Certes, en ce lieu, notre Mel, n'était pas au mieux, néanmoins elle écouta, la ch'tite curette, en ouvrant bien grand ses mirettes....
(surveillant d'un œil.....toujours, son ami canidé )
La prière était belle, mais pas aussi joli que ses poèmes ( Merdum un blasphème )
Et pendant ce temps là, l'autre....oui l'autre paroissien, oui touché par la grâce, revint sur ses pas.....Offrant ainsi a Cécile un verre de picrate !....Re merdum....!
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Simanor

Il sortit tranquillement de la Cathédrale et s’arrêta sur les marches. Une fois revenu à lui, il se rendit compte de ce qu'il venait de faire...

Quoi, c'est pas finit??

La Gaffe... il avait quitté la messe avant la fin. Si son but était de se faire une image auprès de la religion, c'était raté!
Quoi qu'il en soit, il fit demi-tour et alla rejoindre la nouvelle spectatrice en courant.

"le fils de Nicomaque et de Phaetis,
... "

Elle n'avait pas encore finit, il avait de la chance!

Une fois la prière terminée, il sourit Cécile : Pardonnes moi, j'ai dérapé... Cette histoire de Christos ma chamboulée et mon âme a quitté mon corps pour la méditation.

Il se vit alors qu'il tenait un bouteille dans ses mains, du bon vin. Voyant alors un verre derrière l'autel, il l'ouvrit et fit couler le jus.

Pour me faire pardonner... lui dit-il en présentant la coupe devant elle.
Il remit ensuite le bouchon de liège et alla s'asseoir, attendant la suite, muet et un peu gêné.

Cecile34

cécile vit son seul paroissien partir

Mais oui il se barrait.....rhoooooo faisant des billes avce ses yeux elle en revenait pas... lui courrant derriere elle le rattrappa

heu c'est pas finit hein, mais bon si t'es pressé pas de soucis!!

Cécile se mit à rire et lui fit deux gros bisous, puis allant vite chercher sa besace elle lui offrit une bouteille de vin

Ca vient de l'evêché hein mais chuttttttt

Puis elle lui glissa à l'oreille

Et surtout prend soin de toi et ecrit moi hein!!

cécile le regarda partir avec le sourire, cet homme etait charmant et curieux...

elle aimait ça la curette

Saluant melandrine elle vit son chien qui se promenait et melandrine avait l'air des mauvais jours!!!

J'allais terminé melandrine mais disons sensemble le credo si tu veux bien et ton chien laissons le gambander!!!

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Simanor

Son regard s'était fixé, absorbé par le récit. Une bien belle histoire conté aux hommes pour les maintenir tranquille. Il resta un moment immobile puis médita rapidement...

Pourquoi, si Dieu est bon, il met les hommes à l'épreuve, et pourquoi les punit il? Non en fait, pourquoi a t il créé le mal s'il n'en veut pas?
Beaucoup de questions resurgissaient, des questions qui avaient déjà parues dans sa tête mais dont il avait préféré oublié l’existence. Et comme tout le monde sait, beatis paupere spiritu, il était moins embrouillé comme ça.

Il n'allait pas se mettre à croire à Aristote, c'est certain mais au moins il y réfléchira.

J'ai bien aimé ce passage, merci encore pour cette messe privée, lui dit-il en souriant.

Je pars ce soir et je dois vous avouer que ce fut un réel plaisir que de vous connaître. Je vous remercie aussi pour l'ouverture d'esprit

Après l'avoir salué, il sortit de la cathédrale, les yeux dans l'au-delà pensant à ce qu'il devra éviter dans le futur : les excès de toutes sortes possible.

Melandrine

Elle poussa la lourde porte de la cathédrale, enfin elle se glissa a l'intérieur, et comme a son habitude, briscard son chien, qui la suivait partout, passa entre ses jambes, et Hope,en trombe il entra.....
Mel ne pu le retenir, et n'osa pas crier.....le chien, avait fait plus vite qu'elle.....A son tour
elle entra, fit une génuflexion et se signa.....
Elle s'avança en silence, ne voulant pas attirer la foudre sur elle, quoi que pour son chien....... Mais il ne perdait rien a attendre.....le toutou !
Elle s'assoie, lorsqu'elle aperçoit Cécile et un drôle de paroissien......
Surveillant toujours du coin de l'œil, son chien, qui batifole, passant devant, puis derrière l'autel, se faufilant, entre les rangés de candélabres ou autre chandeliers, elle n'ose l'appeler, mais son regard courroucé annonce, déjà l'orage.....
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Simanor

Ah, elle commençait. Simanor se leva comme elle le voulait.
Un vif coup d’œil derrière lui affirma qu'ils n'étaient que deux dans la grande enceinte, il ne pourrait pas se cacher.

C'est vrai qu'il était un peu stressé au début mais ce n'était rien comparé à ce qui allait suivre. Il était seul et quand Cécile commença la prière, il l'était encore plus.

Il ne connaissait pas les paroles à prononcée ni la longueur du discours qu'il devait dire. Alors, pour se fondre dans le décor désertique, essayait de lire sur les lèvres du curé, parvenant ainsi à répéter les fins de phrases à voix basse.

Le moment du "Amen" arriva, il était temps. Après avoir repris son souffle, il se rassit, épuisé. Ça fatigue tant que ça la messe?

Cecile34

S'approchant du lutrin où le livre des vertue était installé elle commença la lecture

Alors, comme Jeshua continuait à marcher, sans regarder derrière, il vit soudain devant lui l'image d'une grande ville. Cette cité était magnifique, les tours et les murailles ne cachaient pas sa richesse et les maisons, ornées d'ors et de pierreries, semblaient briller de mille feux. Un dôme dépassait, qui devait être celui du palais du maire. La douce voix de la créature sans nom dit à Christos :

«Vois cette belle ville, et contemple sa richesse ! Si tu voulais, tu pourrais en devenir le maire, avec les talents que tu possèdes. Car en vérité, tu as été capable de jeûner durant toutes ces journées, ainsi que de résister à la fatigue et aux femmes ; ta force de caractère pourrait t'emmener très haut ! »

Alors Christos lui répondit, sans se mettre en colère : «Va-t-en, Esprit malin, qui veut me perdre dans l'orgueil, l'envie et l'avarice. Je résisterai aussi à ces péchés-là, car il est petit, celui qui cède à ses pulsions. »

Alors la créature sans nom dit : «Dieu nous a fait ses enfants car nous sommes les plus forts de ses créatures. Parmi nous, je suis sa préférée, car je suis le plus fort de nous tous. J'ai compris que le fort devait dominer le faible, comme vous, les hommes, dominez les vaches, les cochons et les moutons. Dieu nous a donné Sa création pour nous apporter les mille plaisirs du corps et de l'esprit que nous méritons. Y a-t-il un meilleur moyen de Lui rendre hommage autrement qu'en sachant apprécier les plaisirs de Sa création ? »

Mais Christos lui rétorqua : «Va-t'en, tentatrice! Ta présence parmi la création est une injure faite à Dieu. Sache que tu n'es pas Sa préférée. Il t'a reléguée dans l'ombre, car tu t'es détournée de Sa lumière. Il ne t'a laissé la parole qu'afin d'éprouver la foi des humains. »

Et il ajouta : «Dieu nous a fait ses enfants car nous sommes les seuls à savoir aimer sans rien attendre en retour. Il ne t'a pas donné ce titre, vile créature, car tu n'as pas de cœur, car ton âme est noire comme le jais. Certes, le monde, créé par Dieu, est source de mille plaisirs. Certes, c'est lui rendre hommage que de savoir les apprécier à leur juste valeur. Mais ces plaisirs doivent être dégustés et non dévorés. Seule la vertu, telle que nous l'a enseignée le prophète Aristote nous permet d'apprécier les plaisirs du monde sans tomber dans le vice et le péché. »

Il conclut enfin : «Car le péché est la négation de la perfection divine. L'abandon total aux mille plaisirs s'accompagne du détournement de l'amour de Dieu, alors que le goût simple et mesuré de la création divine ne peut se faire que dans l'amour de son créateur. Alors va-t-en! »

Aussitôt, la créature sans nom, qui rampait à ses côtés, disparut, le laissant aux portes du désert. Il avait traversé ce pays de tentations durant quarante jours.

cécile regarda le paroissien, esperant que cette messe allait en attirer d'autres quand même

Aujourd'hui je vais vous parler des tentations qui se trouvent à chaque instant à nos cotés, la créature sans nom veut nous détourner du chemin qui nous mene à l'amour du créateur!
Ho je sais bien qu'il y a différentes tentations un simple gateau au chocolat est tentant ou...

se tournant vers simanore

une biere aussi!

cecile souriait

Mais ne tombons pas dans l'exces, ne nous ennivrons pas! Ne nous laissons pas tenter par tout exces, apprécions chaque instant sans nous abandonner dans l'adversité!

Apprécions à juste titre ce que le Tres Haut nous offre : son amour!
Faisons lui honneur en respectant son voisin, en vivant de notre labeur ne nous laissons pas aller à la facilité!
Je vous le demande mes chers amis aimons nous les uns les autres, aidons nous , soutenons nous et vivons avec l'amour du Tres Haut qui est dans notre coeur!

Une fois son sermon terminé elle tenait à rajouter une chose

Apres avoir été curé à beziers durant de longues années, j'ai quitté le Languedoc voici plus de deux ans, et je vous avoue que retrouver des amis et une bonne ambiance cela m'a fait chaud au coeur

Cecile34

Bien qu'elle n'ait qu'un seul paroissien cecile se demontait pas

Bien alors commençons par réciter le crédo

cecile fit signe à simanor de se lever

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Simanor

Il écouta Cécile et s'assit. Posé la, il prit un livre de prière recouvert d'une couverture en cuir bleuté et pour attendre les autres fidèles qui allaient peut être venir, l'ouvrit. Les pages sentaient le renfermé et étaient jaunes mais les caractères étaient encore visibles.
Il en lut une au hasard.

Citation:

Prière du Matin

Dieu Créateur de toutes choses, nous te remettons cette journée !
Guide-nous dans nos actes, nos pensées les plus intimes,
Toi qui sais tout, purifies-les afin qu'ils soient conformes à Ta volonté.
Toi le Très Haut, qui a tout prévu, mais nous laisse libre de notre destin,
inspire ceux qui s’écartent de ta parole Divine,
Pour qu’ils nous aident à préserver le monde.

Tout ça le faisait rire, pourquoi de tels mots pour quelques chose que personne ne peut toucher. Serte, il n'y croyait pas, mais il se dit que ça valait surement le détour.
C'est pourquoi il resta assis, regardant autour de lui, observant les œuvres d'art aux murs, attendant d'entendre une nouvelle fois la voix de Cécile.

...abygail...

Nouveau dimanche à Montpellier,

Elle se rendit a l'église, ou, évidement toujours pas d'office. Peu importe elle s'assied, et prie, se recueille...

Puis elle récite le credo, a voix basse, pour elle simplement et le Tres-Haut.

Cecile34

Cécile curé itinérant était revenu dans ses terres natales et voir ses amis lui avait fait chaud au coeur, alors restant quelques jours sur la ville de Montpellier elle se décida d'aller voir la belle cathédrale.

Poussant les portes, elle se rendit bien compte que le lieu était abandonné par tout ecclesiastique, faisant le tour elle vit une femme qui priait...

Se rendant à la sacristie elle sortit le lutrin et l'installa sur le coté devant l'autel, puis se rendant au clocher fit sonner les cloches

Ben oui, cecile allait faire un office ca pouvait pas faire de mal aux villageois!

Simanor

Apres avoir bu quelques bières dans une taverne bien chaleureuse, Sima entendit les cloches de la cathédrale. C'était la première fois depuis qu'il était à Montpellier qu'un son pareil lui arrivait les oreilles.

Et si j'allais y faire un tour!

Il leva les yeux au ciel et y vit le soleil, pas trop haut, il avait encore le temps pour travailler après. Et puis un peu de saintes paroles ne lui feraient pas de mal!

En entrant dans le lieu saint, il n'aperçu pas grand monde. Ce qu'il remarqua en premier, c’était la poussière sur les bancs de bois vides.
Que faire maintenant, s'asseoir, rester debout, attendre un ordre de la "curette"? Ça faisait si longtemps...

Il resta donc un moment debout entre deux reposoirs à attendre une invitation, pourvu que ça ne soit pas trop long...

Cecile34

cécile vit simanor qui rentrait un peu perdu....bon fallait dire aussi que c'etait pas un habitué...s'approchant elle lui fit la bise

Asseyez vous là !

Elle lui montra le premier banc, puis elle lui fit son plus joli sourire pour le mettre à l'aise

cécile se mit derriere l'autel attendant encore un peu

Loup___dessambel

Loup avait pour but de grimper en haut du clocher de la cathédrale, avec sous le bras une étoffe sur laquelle il avait inscrit un message pour sa compagne. Le problème, le hic, c'est qu'elle était immense cette cathédrale. Il n'arriverait jamais à monter si haut, et même s'il y parvenait il finirait par se vautrer lamentablement en descendant. Sur le coté se trouvait une partie un peu moins haute, plus facile d'accès, il commença à y grimper avec une aisance très relative et accrocha l'étoffe avec tout autant de mal. Sur le tissu, on pouvait lire..

Citation:

MA LOUVE PARDONNE MOI JE T'AIME
JE SERAI LE FIER PAPA DU LOUVETEAU

Bon il n'échappera pas à certaines explications si elle le pardonne, mais il lui fallait tenter le tout pour le tout ne sachant même pas où la retrouver pour tenter de lui faire ses excuses.. Il descendit de glissade en glissade, et finit par atterrir le postérieur sur le sol en regardant le résultat de son travail.

Hum pas si mal... maintenant fuyons !

Sait on jamais que la maréchaussée n'apprécie pas cet élan romantique..
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...abygail...

Une nouvelle cathédrale, c'est courant dans l'coin...
Aby observe deux seconde le bâtiment, aujourd'hui elle à autre chose a penser qu'a l'architecture, son esprit est bien plus concentré sur les événement à venir.
Elle entre dans l'enceinte de l’édifice religieux, c'est calme, ses pas résonne, on pourrait croire qu'elle est seule.. elle se le demande d'ailleurs, serait-ce encore une ville sans cérémonie dominicale?
Enfin soit... elle commence à en avoir l'habitude, elle s'assied donc et baisse la tête pour se recueillir silencieusement.
Elle récita dans ses réflexion le credo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen

Elle resta quelques temps, racontant ses aléas au Tres-Haut.

Chentyt

Chentyt arriva à Montpellier la capitale était très jolie, cependant elle n'y jeta qu'un oeil furtif. Depuis la mort récente de son bien-aimé, elle avait l'impression qu'elle n'avait plus le droit d'être heureuse. Voila des jours maintenant qu'elle pleurait. Elle vivait pour l'amour de Dieu, de sa famille et d'une très grande amie. Elle ne vivait plus pour elle... Arrivant face à le cathédrale, elle fut ébahit par sa beauté. Elle ralenti son pas pour admirer l'édifice. Elle monta pas à pas les marches, chercha la petite porte sur le côté, la trouva, la poussa celle-ci émit un grincement sur ses gonds, arrivant à l'intérieur elle regarda tout autour d'elle. Le silence y régnait dans ces lieux saints, elle s'y sentait toujours apaisée de toutes les souffrances. Des souvenirs remontèrent en sa mémoire, la cathédrale de Bordeaux où elle y avait passé la nuit, afin de prier pour la vie de son chéri. Il lui était revenu puis aujourd'hui la volonté divine lui a ravi à jamais, telle était le désirs du très haut, elle se devait de l'accepter aussi cruel soit-il. Leur amour avait été fort, passionné, il n'y avait que la mort qui pouvait les séparer. Elle avait surgit subrepticement un soir, tel un cauchemar. Elle avait tout juste eu le temps de lui dire adieu. Elle avait crié pourtant si fort! Il ne l'avait pas entendu ses yeux s'étaient fermés pour l'éternité. C est ainsi perdue dans ses pensées qu' elle avança vers une allée sur le côté, qu'elle vint s'agenouiller aux pieds d' Aristote et pria.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Mon dieu maintenant que vous l'avez auprès de vous, aimez le aussi fort que je l'ai aimé. Aidez moi à supporter avec courage cette épreuve. Aidez moi à me rapprocher de vous, je vous donne ma vie ici bas, avant de vous rejoindre là haut, pardonnez mes péchés comme je pardonne à ceux qu'ils m'ont offensé

Amen

Elle se releva, est reparti en marchant lentement. Elle savait qu'elle allait courir encore toute une nuit seule, peut être deux. Elle n'était pas loin d'arriver à destination, en espérant que ce soit la bonne, elle poussa la petite porte qui se plaignit toujours autant et s'enfuit.
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Owelie

Deux ans... Ces deux mots résonnaient dans la tête de la blonde depuis ce matin. Elle s'était levée aux aurores, avait déjà été pêcher son poisson du jour, avait déjà arpenté les ruelles dans tous les sens. Mais rien n'y faisait : rien ne pouvait vider son esprit. Deux ans... Alors une idée lui traversa l'esprit. Une idée qu'elle avait souvent quand elle se sentait mal : prier. Elle s’emmitoufla alors dans sa cape et partit prestement en direction de la cathédrale...

Il était encore tôt, l'édifice était vide ou presque. Le soleil filtrait à travers les vitraux, colorant joyeusement la maison du Très-Haut. Mais le coeur d'Owe n'était pas à la fête. Et ne le serait probablement pas de la journée. C'était la fête des amoureux, elle aurait du se réjouir, profiter, folâtrer. Mais non. Même en se forçant, elle n'y arriverait pas.

Elle s'installa rapidement dans le fond et se laissa presque tombée à genoux. Ses mains se joignirent et commença alors une prière sourde. Ses lèvres bougeaient presque imperceptiblement, aucun son n'en sortait. Et plus les secondes d'écoulaient, plus ses lèvres tremblaient, plus sa respiration se saccadait. Elle baissa la tête pour ne pas qu'on remarque son nez qui rougissait et les larmes qui se mirent à rouler sur ses joues.

Aujourd'hui, Owelie était triste. Car aujourd'hui, cela faisait deux ans qu'elle s'était mariée. Et ce jour lui rappelait à quel point son défunt époux lui manquait.

Après un certain temps à prier, elle essuya ses yeux et ses joues, se releva et s'en alla, l'air de rien. Comme elle était entrée. Allant très certainement rejoindre une taverne et faire, comme d'habitude, comme si de rien n'était....

Sylvine

Trois semaines s'étaient écoulées......

Cette fois-ci, la jeune femme gardait devant elle le garçonnet qu'elle avait habillé de propre et coiffé. Ce qui n'avait pas été une mainte affaire, pour elle, le petit bonhomme commençait à avoir la tignasse un peu longue et les noeuds avec.

Elle avait au moins réussi à ce qu'il l'accompagnât dedans.
Il avait la lourde tâche de porter un bouquet de dents de lion.
Sylvine avait évité toute plante médicinale, de peur que celles-ci disparussent dès qu'elle s'en serait retirée.

Le petit châtain eut un instant d'arrêt vers la grande porte.
Hum... c'est juste un peu noir dedans... Tu t'y habitueras.
La maladie les avait rapprochés. Elle tutoyait dorénavant l'enfant comme s'il fut le sien.

Elle le poussa légèrement vers l'avant, lorsque celui-ci se retourna pour voir son cheval entrain de brouter l'herbe nouvelle.
Tsss... Il ne craint rien.. Ce serait plutôt le pauvre hère qui s'en approcherait qui souffrirait de la rencontre. On l'entendra s'il hennit.
Il faut aller remercier d'être à nouveau en bonne santé....

Elle plongea son regard noisette pailleté de vert dans les yeux bleus du garçon, jusqu'à ce que celui-ci franchît enfin le perron.

Après s'être signée, Sylvine attrapa la main du petit visiteur un peu perdu et le mena directement vers l'autel.
Elle s'agenouilla et lui fit signe de poser son paquet floral dessus.

Elle baissa la tête et commença à réciter le credo sous le regard curieux de son protégé.
Jetant un regard de biais , elle tendit légèrement la main pour l'inviter à s'asseoir près d'elle.
Le credo fini, l'Artésienne commença de suite une prière de remerciement. La suivante et dernière demandant la protection fut très courte.
Il n'était point question de dégoûter cette jeunesse des saints édifices.
Elle se releva et lui sourit.
On peut rejoindre Cheval... mais sans courir....
Les derniers mots arrêtèrent net l'élan qui se profilait. La jeune femme se mordit les lèvres pour ne pas rire.
Passe devant, je te suis....

Il se retournait, bien, de temps à autre, pour vérifier si Sylvine était derrière lui mais qui le connaissait s'apercevait qu'il frissonnait d'envie de sortir.
Les quatre dernières coudées amenant à la sortie furent réalisées rapidement.
Merci de m'avoir accompagnée...Tu peux y aller...

Pendant que l'enfant courait vers l'étalon, la jeune femme jeta un long regard, à l'intérieur, avant d'en clore l'ouverture et de rejoindre le duo.
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Ombeline

[Un soir sur Montpellier.]

Ombeline sortit de la taverne l'esprit perturbé. Elle se promena dans les ruelles de Montpellier sans trop savoir où elle se dirigeait mais au final, n'en avait cure. Elle avait besoin de marcher. La brise glaciale lui claquait au visage.

Sans s’en rendre compte, perdue dans ses pensées, ses pas la guidèrent vers les marches de cet immense bâtiment. Elle posa sa main sur la lourde porte de bois grinçante de la cathédrale et la poussa doucement.

Les fumigations de l’encens embaumaient les lieux si sereins. Elle déposa ses armes à l’entrée. Ses pas résonnaient sur les dalles et la conduisirent vers un banc à l’écart où elle s’assit silencieusement. Elle contempla l’autel, la nef, les statues autour d’elle. Les cierges ornant l’église scintillaient, donnant un peu de chaleur.

Ombeline se contenta de fermer les yeux et de rester là, assise sans faire de bruit. Au bout d'un certain temps, elle releva la tête, regarda la lumière scintillante d’une bougie puis dans un froissement de tissu, se leva puis quitta les lieux.

Sylvine

Sylvine monta plus que doucement les marches du saint édifice. Les larmes au coin des cils, elle venait de faire son premier chemin de croix à travers la ville. Elle redoutait déjà celui du retour à l'appartement.

Il était lui aussi tombé malade! Pour la jeune femme, c'était plus qu'une catastrophe.....
Elle poussa une grimace en enfonçant le panneau de bois dans la noirceur de l'entrée.

Peu lui coutait de venir en ce lieu, peu importait la douleur qui consumait son corps, elle devait venir prier le Très-Haut.
Le petit bonhomme était pour rien. Elle devait le garder, le protéger mais à côté de cela, elle lui avait transmis son mal.

Elle tangua jusqu'à la nef et s'agenouilla en sueur devant l'autel.

Les yeux rougis par la veille sur le sommeil de son protégé, elle fixa le rayon de lumière.

Oh Très-Haut!
Oyez la requête d'une humble servante.

Pouvez vous chasser le mal du corps de l'enfant qui m'a été confié.
Il est encore innocence.
Faites au moins que son être ne soit plus brûlant.
Vous avez déjà sa mère à vos côtés.
Aidez-moi à soulager au moins ses douleurs. Ses gémissements me vrillent
le coeur.

Elle ferma les yeux et les rouvrit dès que l'élancement se fut terminé. Elle avait l'impression d'avoir subi plusieurs poutrages de soule en une fois. Elle desserra ses mâchoires et assouplit un peu sa nuque avant de continuer.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.......

Elle récita son credo, puis resta un moment la tête et les épaules baissées.

La brunette se signa et se releva avec peine, prenant appui sur un banc.
Elle sortit de sa besace, les seules fleurs qu'elle avait pu cueillir et les déposa sur l'autel.

Prenez soin du père où qu'il soit...

Elle tourna les talons et se traîna jusqu'à la sortie. Elle espérait juste que l'enfant ne s’était aperçu de son départ.

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Lolesi

Fidèle à son habitude, elle venait déposer son obole pour les plus démunis.
Non qu'elle était particulièrement croyante, mais elle croyait à la générosité,
et si elle était dispensée ici, et bien, elle viendrait ici.

Discrètement, elle poussa la porte, avant l'arrivée des fidèles.

Elle s'avança jusq'au centre de l'édifice, et déposa ses quelques piécettes dans le panier prévu à cet effet.

C'est en faisant demi-tour, qu'elle aperçu une silouhette familère mais absente depuis longtemps... surprise du cours des évènements, elle disait justement hier à Eli qu'elle se demandait ce qu'il devenait, elle sourit doucement.

Puis ne voulant pas le déranger dans sa prière, elle s'éloigna, elle le reverrait prochainement certainement...
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Morphee

La Donà de Roquebrun, en ce dimanche, vint discrètement assister à l'office. Délaissant ce premier rang que l'on laissait vacant pour les nobles, l'ambrée s'approcha d'une statue de femme; elle se fichait bien du son nom, ou de ce qu'elle avait bien pu faire de son existence pour être considérée comme une sorte de sainte... Son intérêt se porta plutôt vers la petite table qui trônait aux pieds de la statue et qui proposait des cierges.

Quelques écus furent glissés dans un tronc tandis que la jeune femme allumait la bougie à la flamme d'une autre, puis la posa devant la 'Sainte' tout en murmurant :

A toi Gaïa, qui veille sur l'âme de ma mère depuis quelques années déjà.

A vous, mère, que je ne pourrai jamais égaler tant vous étiez rayonnante; Je vous souhaite un joyeux anniversaire, avec cette petite journée de retard, étant comme à l'habitude en voyage...

Vous qui étiez née le jour de l'Immaculée Conception n'avez pas été bien sage... Mais j'envie votre folie et votre joie de vivre.

Vous me manquez... Enormément.

Quelques larmes perlèrent au coin de ses yeux, qu'elle laissa couler silencieusement, dans la pénombre de l'édifice, alors que les pieux aristotéliciens entamaient le crédo en coeur.

Seul un froissement de tissu fut trace de son passage... Elle repartit aussi discrètement qu'elle était venue, dans cette retenue et emplie de cet amour qu'elle ne pouvait plus donner à aucun de ses parents.

Mélancolique... Assurément... Mais ne l'est-on pas de temps en temps?
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Avatar de Mo' avec l'autorisation de Loetitia Pillault

Paimbohe

Ce n'est pas souvent qu'il se rendait à l'église ou dans une cathédrale, le gros marchand de poissons. Mais il faut bien dire que lui le Très Haut, c'est quand il y pensait.
Il se devait cependant de le remercier d'avoir mis sa Mimi sur son chemin.

Très Haut! Vous êtes peut-être même une Très haute! Surement, même!
Sinon, vous n'auriez pas fait le printemps avec ces fleurs qui parfument l'air et inspirent les poètes.
C'est pas un mâle qui aurait songé à çà!
Sans doute, avez vous aussi créé le fer, pas pour faire des épées mais faire des gonds pour mettre aux volets aidant les amants à s'aimer à l'abri du regard des pipelettes.
Je suis certain, aussi, que si vous m'avez donné deux mains, ce n'est pas pour les serrer en poings et pour les mettre sur le nez d'un autre mais pour couvrir de caresses le corps de ma Mie.
Quant à la bouche, ce n'est pas pour dire du mal de mon prochain mais pour l'embrasser et lui dire que je l'aime.
Grâces à vous!

Suite à çà, il se leva et retourna embrasser son épouse.
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Julienas

Il arriva devant le porche de la cathédrale Saint-Pierre et demeura un long moment à la reconnaitre dans ses moindres détails.

Les souvenirs affluaient mais l'heure de l'office approchant, du moins l'espérait-il, il s'engouffra dans le bâtiment pour profiter de ces instants de calme précédant l'arrivée des fidèles. Il aimait, jadis, déambuler dans la nef et les bas-côtés, ainsi que dans l'abside avant de célébrer. Puis, quand arrivait l'heure de sonner les cloches, il envoyait généralement le petit Pokemon64 qui s'acquittait de cette tâche avec un grand plaisir, tandis qu'il allait accueillir les fidèles sur le parvis...

Tout ceci n'était pas si lointain au fond, pourtant il lui semblait que cette époque appartenait à un passé bel et bien révolu.

Il salua quelques visages inconnus alors qu'il avançait par le bas-côté sud, comme à son habitude. Quelques fidèles matinaux, sans doute, qui comme lui venaient se recueillir avant l'office dominical. Qui d'autre viendrait en une église un dimanche de bonne heure ?

Parvenu à son absidiole de prédilection, celle dans laquelle il avait coutume de faire oraison , il s'agenouilla et récita son Crédo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen

Puis il remercia le Très Haut qui l'avait accompagné durant ce long voyage et lui avait laissé la vie sauve, malgré les brigandages dont il avait été victime. Il était convaincu que sans sa protection, il n'aurait jamais eut la chance de retrouver sa ville natale.

Enfin, il pria pour ses frères et soeurs, ainsi que pour la protection de la maison du Très Haut. Qu'elle puisse rassembler dans sa grande famille aristotélicienne toutes celles et ceux qui se perdent dans la solitude, ou pis, dans les voies qui conduisent à l'enfer glacé...

Ô Dieu tout-puissant et éternel,
Toi qui nous combles avec Ton infini amour,
bénis cette demeure qui est Ta Maison,
Bénis toutes celles et ceux qui y viendront,
Qu'elle puisse être un refuge et un toit sûr.
Bénis, ô Dieu, chaque mur et chaque colonne de cet édifice,
au nom de Ton amour immense et impossible à combler.

Amen.

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Scg5

- Bien, merci Quartier-Maitre, nous allons rester ici quelques jours afin de s'assurer qu'ils ne reviennent plus.
Qu'en pensez-vous Lieutenante ?

Lou_dela_mar

Je viens de faire le tour des remparts et de la cathédrale, rien à signaler de suspect pour l'heure
J'allume un cierge pour ma Minette, notre amour, et la tranquillité de nos citoyens ; après j'irai casser une souplette et sa miche
_________________

Absynthe

Mon diu ei lo mei gran! *

(*mon dieu est le plus grand !)

La jeune et gracieuse Absynthe pénétrait dans la capital pour la première fois. Tous était si grand et si animé, c'était presque envoutant. Elle avait envie de tous voir en même temps. Mais très vite son attention fut happé. Ses pas étaient guidés par ses yeux pétillants de voir le si haut clocher dépasser du haut de maison et hôtel particulier de Montpellier.
Une Cathédrale... que c'était grand et beau... La jeune femme avait déjà été impressionné en pénétrant pour la première fois dans l'église de Mende. Mais cette fois, la grandeur des lieux surpassait son imagination. Tout était calme et serein, elle se sentait envahit d'une sensation de paix. Elle avançait doucement, fasciné par la lumière qui traversait les vitraux. Elle observait les fresques et tableaux retraçant la vie d'Aristote et Cristos. Elle respire profondément, et les odeur d’encens chatouillant ses narines, La paix s’installe en elle. Elle regarde vers le haut, et profitant d'être seule en ses lieux elle se mit à chanter à la gloire du très haut.

Puis elle alluma un cierge et s'agenouilla quelque instant les main jointe pour prier.

Merci mon Dieu pour la vie que tu m'offres, merci pour tous les gens chaleureux que je rencontre, digne de l'amitié aristotélicienne qui nous unis grâce à toi. Merci de me donner la force de me battre pour mon comté et pour venir en aide en mes prochains. Et surtout, merci d'avoir mis le Baron Bentich sur ma route, lui qui est si bon et si aimant.
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Scg5

Arrivant à la cathédrale de Montpellier, SCG5 reconnut le Quartier-Maitre Loup24 posté devant le portail, il s'approcha et le salua :
- Bonjour Quartier-Maitre, vous êtes déjà sur place, c'est très bien. Vous avez pu constater les dégâts ? Avez-vous pu obtenir des informations sur les vandales ?

Lou_dela_mar

bonsoir sergent, bonsoir lieutenant !
Non, aucune information à propos de ces vandales !
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--Mephala

Par une nuit de pleine lune et dans un bruit fracassant...

Une grosse pierre arrive de pleine puissance dans les vitraux de l'église...

Sur cette pierre un message y est solidement attaché par une fine cordelette :

Kaleb

Kaleb se rendit à la cathédrale. Voilà longtemps qu'il n'avait pas été à l'église. Une longue retraite l'avait tenu éloigné. Un courant d'air lui fit levé les yeux vers les vitraux. Qu'avait il bien pu se passer ici ? Un bruit de verre qui craque sous ses pieds. Kaleb se pencha et ramassa la pierre ainsi que le mot. Un sourire en coin s'afficha sur ses lèvres. Les hérétiques ne savaient plus quoi faire pour se rendre intéressants. Kaleb ramassa les débris de verre et alla calfeutrer le trou. Les temps étaient souvent pluvieux en automne et il était hors de question que les fidèles soient trempés à cause d'irrespectueux, qui n'étaient pas capable de venir en face ce qu'ils pensent au lieu de briser les biens de l'église.
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Lady_eden

Montpellier..peut être la fin d'un voyage, la ville l'avait grisée de par son effervescence, du monde partout, le port fort animé, le vent qui fait chanter les cordages, les mouettes espiègles, des charrettes en tous sens.
Après avoir visité de ci de là, la jeune femme eut envie d'un peu de calme.

La cathédrale semblait propice, voila depuis un long moment qu'elle n'y avait été.

Traversant le parvis de son pas rapide, la brune poussa la lourde porte et l'odeur de cire et d'encens fit monter en elle le souvenir de l'église de Tours, et surtout de son curé favori, le père Waleran, qu'elle affectionnait tant.

L'homme avait su trouver les mots, pas ceux d'un curé ordinaire non, les mots justes, ceux qui font en vous comme un écho, loin des prières conventionnelles, des mots qui guérissent les maux.

Penser à lui la réconforta, bien sur il lui manquait tant, il n'avait pu suivre la même route, tenu par son devoir, peut être un jour..si Clode lui permettait.

Sortant son chapelet, l’Écossaise tomba à genoux et murmura une prière, où se mêlaient ses espoirs et ses chagrins.
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Philosine

Les ouvriers travaillaient à la restauration du vitrail de la cathédrale endommagé par une tentative de profanation.

Depuis quelques temps déjà, Philosine recevait des courriers de menaces, qu'elle ne prenait pas au sérieux. Le courrier était rempli de fautes d'orthographes et ... l'acte en lui meme dénotait le manque d'intelligence du groupe du sans nom. Ces personnes ne savaient pas communiquer, étaient dépourvues de langague agissant comme des betes en pature.. L'instinct animal...Chacun a sa propre évolution.. le temps fera sans doute avancer les choses.

A genoux devant l'autel elle se mit à prier afin que le très haut pardonne à ces gens dépourvus d'âme, qu'ils puissent retrouver le chemin de la lumière.

Lou_dela_mar

Le Quartier Maître Loup, chargé de la surveillance de la cathédrale depuis les dernières exactions contre le lieu de culte aristotélicien de lma capitale languedocienne.
Après avoir observé les dégats il s'érait posté à plusieurs moment de la nuit dans différente partie de la cathédrale en espérant coincer les vandales
Mais pour cette nuit, rien, personne n'était venu et entre chaque passage icilieu, Loup avait poursuivi sa garde le long des remparts...
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Select2

La Lieutenante Select2 de la Caserne de Montpellier se rendit, accompagnée de son Quartier Maître Loup24, à la Cathédrale pour y monter la garde et défendre ce lieu de culte profané par des hérétiques indignes et mécréants.

Des leur arrivée ils constatèrent les dégâts fait sur le magnifique vitrail qui ornée la façade.

Les deux militaires s'échangèrent un long regard de colère....

- Quartier Maître Loup24, nous allons assurer la protection de notre belle Cathédrale, de ce haut lieu du culte pour que plus personne ne le profane. Nous allons traquer ces mécréants jusqu'au dernier d'entre eux.
En attendant que d'autres soldats arrivent de notre Caserne je vous demande de monter votre garde devant le portail ..... Je me rends à l'intérieur pour inspecter les lieux -

Après un impeccable salue militaire, la Lieutenante laissa son QM Loup24 et entra dans la Cathédrale.

Keliade

En prenants un pas assuré j'allais donc me recueillir encore une fois dans cette belle cathédrale de Montpellier qui à était refaite de l'intérieur même si encore quelque traces de brulure se faisant montrer sur la couverture , mais enfin cela reste la maison de dieu ! donc je me fis Signe de croix avec le bénignité avant de rentrée et continua a marchez puis pris quelque écus dans ma bourse et les plaça dans l'endroit attitrait pour cela toute en prenant mon cierge en le plaçant sur l'autel approprié , je me mis alors à genoux est commença ma prière.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen

Ce n’est donc plus aux hommes que je m’adresse ; c’est à toi, Dieu de tous les êtres, de tous les mondes et de tous les temps : s’il est permis à de faibles créatures perdues dans l’immensité, et imperceptibles au reste de l’univers, d’oser te demander quelque chose, à toi qui a tout donné, à toi dont les décrets sont immuables comme éternels, daigne regarder en pitié les erreurs attachées à notre nature ; que ces erreurs ne fassent point nos calamités. Tu ne nous as point donné un cœur pour nous haïr, et des mains pour nous égorger ; fais que nous nous aidions mutuellement à supporter le fardeau d’une vie pénible et passagère ; que les petites différences entre les vêtements qui couvrent nos débiles corps, entre tous nos langages insuffisants, entre tous nos usages ridicules, entre toutes nos lois imparfaites, entre toutes nos opinions insensées, entre toutes nos conditions si disproportionnées à nos yeux, et si égales devant toi ; que toutes ces petites nuances qui distinguent les atomes appelés hommes ne soient pas des signaux de haine et de persécution ; que ceux qui allument des cierges en plein midi pour te célébrer supporte ceux qui se contentent de la lumière de ton soleil ; que ceux qui couvrent leur robe d’une toile blanche pour dire qu’il faut t’aimer ne détestent pas ceux qui disent la même chose sous un manteau de laine noire ; qu’il soit égal de t’adorer dans un jargon formé d’une ancienne langue, ou dans un jargon plus nouveau ; que ceux dont l’habit est teint en rouge ou en violet, qui dominent sur une petite parcelle d’un petit tas de boue de ce monde, et qui possèdent quelques fragments arrondis d’un certain métal, jouissent sans orgueil de ce qu’ils appellent grandeur et richesse, et que les autres les voient sans envie : car tu sais qu’il n’y a dans ces vanités ni envier, ni de quoi s’enorgueillir.

Puissent tous les hommes se souvenir qu’ils sont frères ! Qu’ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes, comme ils ont en exécration le brigandage qui ravit par la force le fruit du travail et de l’industrie paisible ! Si les fléaux de la guerre sont inévitables, ne nous haïssons pas, ne nous déchirons pas les uns les autres dans le sein de la paix, et employons l’instant de notre existence à bénir également en mille langages divers, depuis les terres du nord jusqu'au Sud , ta bonté qui nous
a donné cet instant.

Merci de m'avoir entendu Seigneur que ton nom sanctifié pour l'éternité!

Amen

Après avoir fait ma prière et mes louange au très haut, je repartis donc me promener peut être irais-je boire une petite Chopine ! qui s'est !

--Auscitain

[Dimanche matin à Montpellier]

Une journée pour les dévotions. Messe ou pas, il convenait de se rendre à l'église.
L'auscitain avait entrepris au nom de son maître un tour du monde. Il était arrivé la veille à Montpellier et profitait des joies de sa halle et de sa gargote. Toutefois, son maître, le diacre Milandor, verrait d'un mauvais œil que son serviteur oublie de soigner son âme, même s'il était loin de lui. Effectuer ses prières était un devoir sacré que le voyageur accomplirait scrupuleusement tout au cours de sa mission. Partout où il irait, il trouverait bien un lieu saint dans chaque ville qu'il traverserait, pour le visiter et y prier.

L'auscitain sortit de son campement de bonne heure. Il se dirigea directement vers la cathédrale. A cette heure matinale, il ne croisa que les chats qui rentraient chez leurs maîtres, après leur périple nocturne, pour se blottir bien au chaud, dans les maisons douillettes de Montpellier. Quant à notre voyageur, il avait encore beaucoup de lieux à voir, tant qu'il serait dans la ville. Il ne voulait pas perdre de temps.

Après s'être agenouillé devant l'autel de la cathédrale, il récite la prière aristotélicienne.
Avant de repartir, il s'attarde dans les allées du lieu saint pour admirer les colonnes et les vitraux qui commencent à s'illuminer sous l'effet du jour qui se lève.

Keliade

Je rendre dans la cathédrale tous époustouflée par la beauté architecturale, je me fis donc le signe de croix en entrant avec l'eau du bénignité. Puis commença à marchez d'un pas sur et silencieux. j'observais beaucoup de ces vitraux merveilleux représentant des scènes du livre des vertu et puis j’allai donc me dirigé vers l'autel pour mettre un cierge pour faire une prière. Je mis donc quelques écus pour prendre mon cierge afin de l'allumé de la lumière divine et me mettre à genoux les deux paume de chaque mains afin de commencé.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

Amen

Seigneur je vous fait cette appelle pour que vous protéger tous ceux qui me sont cher de la maladie et de la mort ! protéger les contre le malin.
faite en sortent que leur vie sois combler de bonheur et que le malheur sois loin de leur logis !
je n'hésiterais pas a donné ma vie afin de les protéger afin qui sois en sécurité de tous danger. Faite en sorte que les pauvre puisse manger et se réchauffer pour le dur hiver qui ne devrais tardé à arrivé je vous en remercie Seigneur Dieu de tout les hommes entendais ma prière quelle donne bonheur et prospérité sur toutes Homme croyant en vos vertu !

Merci Que ton nom sois sanctifié pour l'éternité !

Istar.333

Installée dans un endroit isolée Istar avait un problème pour se concentré. Rare, mais trop de chose arrivaient en même temps et cette fois, elle n’arrivait pas à mettre cela de côté. Elle attendait le début de la messe quand un chuchotement parviens à ses oreilles. Ne voulant pas s’introduire dans ce moment d’intimité, elle feuillette les pages de son Livre des Vertus. Malgré ces efforts, les mots prononcés par cette inconnue résonnèrent haut et fort dans son esprit.

Elle ne pu que sourire devant tant de sincérité et d’amour. Petit rappel du Très Haut à cette milite qu’elle était du pourquoi elle combattait. Ou simplement lui rappeler l’humilité. Istar prit silencieusement le Très Haut pour cette inconnue et le remercie de ce rappel. Un léger bruit de frottement de tissus, lui indique que cette inconnue se déplaçait. Istar ne pu que murmurer à son endroit.

« Que Dieu vous bénisse et vous garde ma soeur. »

Elle reprit son livre des Vertus et c’est sous un regard renouvelé qu’elle lit ses pages comme-ci c’était la toute première fois en attendant la cérémonie.

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Blason en construction

Owelie

Cela faisait déjà quelques jours qu'Owelie se trouvait à Montpellier. Elle qui venait du petit village de Lodève, elle se trouvait bien insignifiante dans la capitale languedocienne. Déambulant dans les rues, elle ressentit le soudain besoin de se recueillir. Elle ne savait pas où se trouvait la cathédrale. Elle leva donc les yeux et suivit le clocher le plus haut.

Une fois devant l'édifice, elle était fort surprise. Elle n'avait pas l'habitude de voir un bâtiment si imposant, si beau. Elle n'était habituée qu'à la petite église de sa bourgade. Et à l'intérieur, sa fascination était encore plus grande.

Elle se dirigea vers l'endroit où brûlaient déjà quelques cierges. Elle en alluma un, tout en récitant le crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

Amen

Puis elle fixa la flamme. En silence. Longuement. Ses idées se bousculaient dans sa tête. Elle pensa tout d'abord à feu son époux, Howpe. Elle ne savait quoi dire, elle n'avait pas vraiment les mots. Mais ses lèvres remuèrent, presque imperceptiblement. Elle espérait qu'il l'entendrait d'où il était.

Howpe, mon amour, pardonne-moi. Pardonne-moi de t'avoir abandonné. J'espère que tu as trouvé le paradis solaire et que tu y es en paix.

Elle prit un second cierge qu'elle alluma à son tour. Ses pensées se concentrèrent désormais sur quelqu'un d'autre. Un homme qui comptait énormément pour elle, depuis toujours, mais beaucoup plus depuis peu. Cet homme, elle s'apprêtait à le rejoindre. Elle était pleine de doutes, elle était morte de peur à l'idée de le rejoindre. Elle ne savait pas quel accueil il allait lui réserver. Elle savait que rien ne serait facile, et encore moins gagné. Et pourtant... Elle pria le Très-Haut.

Toi qui a fait nos chemins se croiser, je t'en prie mon Dieu, ne les sépare plus...

Elle fixa à nouveau la flamme en silence. Silence de cathédrale. Se remémorant ces précieux moments passés en sa compagnie. Le coeur battant à tout rompre. Plein de vie. Plein d'espoir.

Quand les deux cierges eurent presque fini de se consumer, elle tourna les talons et sortit des lieux, aussi discrètement qu'elle y était entrée.

Nela_darc

Traversant le Village Lana vit le clocher , tout naturellement elle si dirigea d'un bon pas ,combien de temps n'avait elle pas mit le pied dans une église.... Poussant la lourde porte en bois elle pénétra dans ce lieu qu'elle affectait tant..Elle se signa , puis traversant la Nef se rapprocha de l'autel puis y déposa un cierge .

S'agenouillant sur le prie-dieu,elle pria demandant qu'Aristote les protéger tout les trois , elle , Néo , mais surtout l'enfant qu'elle portait , puis tout en murmurant tout bas.....

Puis par la même occasion tu pouvais faire un petit coucou à Evi de ma part .... pour te remercier je viendrais tout les jours brulée un cierge , promis ! juré ! Tu en pense quoi ?

Elle resta un moment attendant une réponse mais ne voyant rien venir elle se signa tout en se relevant .

Bon d'accord , d'accord ! je vois que tu es occupé , je te laisse réfléchir

Mindy

Tout avait marché de travers cette année pour Mindy !
Sur la route de Arles pour aller prier Sarah la Kali.. la protectrice des bohémiens..
elle avait failli se faire occire par des brigands aux yeux noirs et cruels !!!

Elle n'avait pas trop l'habitude d'entrer dans l'église "des gens des maisons"mais elle sentait qu'il était temps
que ce matin elle se décide pour ne pas trop contrarier le Baro Devel (bon dieu)!

Quelques "gadjés" étaient déjà arrivés.. aussi ses pieds nus lui permirent d'entrer sans bruit
et de filer se cacher dans un coin sombre pour offrir sa prière..
Après un sourire en direction de Cristos elle chuchotte :

Je suis bohémienne , une pauvre voyageuse. ma roulotte est mon monastère,
et je fais de mon cœur le lieu de ma prière.
J'ai pas d'habits élégants
mais le Devel dit que le corps est plus beau que le vêtement.
Je ne me soucie pas pour le pain de demain
car je sais que tu me donneras un morceau quotidien.

J'amasse pour mon âme une tirelire d'amour
elle est pour toi Devel.. , elle sera ouverte un jour.
Ma roulotte est petite, bien plus qu'une maisonnette:
mais Toi, Cristos , Tu n'avais pas où reposer ta tête.
Les policiers viennent souvent me contrôler.
Je leur souris tu s ais .. car ces hommes font leur métier.

Dans le calme, la nuit tombe peu à peu...
pour Te prier, , j'allume un petit feu.
Ne t'inquiète pas.. je sais que tu m'aimes,et que tu m'aimeras toujours.

ah oui j'oubliais Cristos.
fais un gros tchoume pour moi à tous ceux qui sont maintenant près de toi
puis dis à mon Papou que je suis droite et honnête comme j'avais promis de le faire.
et puis toi Cristos.. prend quand même aussi un p'tit peu soin de toi !!

Puis Mindy s'apprête à repartir.. sans un bruit.. comme elle était venue..
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Le nuage s'arrête pour pleuvoir.. le tzigane se fixe pour pleurer

Philosine

Citation:

APPEL A LA MOBILISATION ARISTOTELICIENNE

Nous, Monseigneur Galahadd, archevêque métropolitain de Narbonne, Primat de la Gaule narbonnaise, Président de l'Officialité métropolitaine de Narbonne, par la grâce du Créateur et de Sa Sainteté le Pape Innocent VIII,

Apprenons avec effroi les horreurs et le chaos qui se sont produits sur les terres aristotéliciennes relevant de notre Province ecclésiastique à Muret et à Toulouse.

Considérons que ces faits sont graves et non excusables pour aucun prétexte.

Condamnons avec fermeté ceux qui ont commandité, se sont associés à pareil crime organisé pour faire basculer le pouvoir toulousain.

Prendrons toutes les mesures judiciaires pour éradiquer l'immonde et illégitime rébellion qui ne vise qu'à anéantir la paix en cette terre qui nous est chère.

Avons lu l'appel à la résistance fait par la Comtesse de Toulouse, Sa Grandeur Amellyne d'Angemont, que nous reconnaissons comme seule interlocutrice légitime du pouvoir temporel toulousain.

Appelons à notre tour les fidèles de l'Eglise Aritotélicienne à combattre pour le bien du Comté toulousain et la restauration d'un pouvoir reconnu par le vote.

Prions dès à présent pour les victimes innocentes et celles qui ont péri dans l'esprit de résistance qu'il convient d'avoir lorsque le vice veut faire triompher ses funestes desseins.

Condamnons, condamnerons et ferons condamner où qu'ils se trouvent les partisans d'un tel crime, et ce par nos cours et celles du pouvoir temporel.

Pourchassons dès à présent les infâmes complices de ces actes barbares.

Salutations aristotéliciennes,

Gloria et pace,

Fait en le Palais archiépiscopal de Narbonne,
ce vingt-deuxième jour du mois de septembre mil quatre cent soixante.

+Monseigneur Galahadd+

Philosine

Monseigneur l'eveque Galahadd avait émis le souhait d'etre assisté lors des messes dominicales, lors d'un entretien avec Philosine. Soucieuse du bien etre de chacun elle accepta la charge de diaconesse, en espérant être à la hauteur de la tache qui venait de lui être confiée.

Pendant que les sonneurs de cloches s'affairent à leurs taches, elle se recueille les mains jointes devant l'autel.

Messe dominicale du 26 aout 1460

Philosine

- Chers fidèles, frères et soeurs je vous souhaite la bienvenue dans la maison de notre seigneur. Je vous remercie d'etre venu vous rassembler en ce jour de communition avec notre seigneur.

Elle se dirige vers le pupitre.

- Je vous invite à chanter ses louanges, si vous le voulez bien.

Après s'être éclaircie la voix.

Citation:

---Toi, Aristote---

Aristote,

Aujourd’hui, devant toi,
Simples humains que nous sommes,
Nous ne te demandons rien de futile.

Juste de protéger tes anges,
Tes fils, tes ministres,
Aujourd’hui sur les routes,
Et certainement dans le doute

Certains sont en quête d'un avenir meilleur.
D'autres cherchent à te prouver leur foi,
Donne leur le courage, qu'ils n'aient point peur,
Et par la lumière montre leur la voie.

- Il est temps de nous reccueillir en silence, prions notre seigneur, et réfléchissons sur nos actions menées cette semaine…

- J'invite ceux qui ont été baptisés de s’avancer vers moi afin de celebrer ensemble l’Eucharistie et reconnaissons nos péchés.

Citation:

- Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

- Et maintenant, récitons ensemble le Crédo.

Citation:

Julienas

Tandis que l'Archevêque baptisait le frère Seashell, il regarda les deux hommes et réalisa que, par cet engagement, l'adjoint au maire venait, à lui seul, de doubler la population de fidèles aristotéliciens qu'il avait rencontrés depuis son retour de Nîmes.
Il se dit alors en lui-même : "Hé bien tu vois. Il serait faux de dire que les vrais fidèles ont tous déserté Montpellier et sa cathédrale. En voilà deux...".
N'empêche qu'un adjoint au Maire, tête de liste aux Comtales, qui se fait baptiser sans aucun proche, se rabattant sur son professeur de Pastorale en guise de parrain... C'était bien la première fois qu'il voyait cela.

La cérémonie expédiée, il alla au devant du nouveau fidèle et le félicita chaleureusement.

"Bienvenue dans nostre Église mon frère et toutes mes félicitations pour vostre courage indéniable.
Puissiez-vous retenir l'enseignement d'Aristote et de Christos que je me suis efforcé de vous enseigner.

Puis il prit un objet sur un banc et le donna au frère Seashell.

- Tenez, ceci est pour vous.
Vous y trouverez de quoi approfondir vostre soif de connaissance et aussi, dans les moments difficiles, de quoi recouvrer l'espoir...

Il allait poursuivre mais préféra de pas en dire plus.
C'était un grand jour pour le nouveau baptisé et il ne voulut pas ternir ce moment unique.

Il lui tapota l'épaule avec bienveillance.

- Je vous souhaite de trouver tout le bonheur qu'apporte la Foy et de connaître la véritable Amitié Aristotélicienne mon frère.
Croyez-moi, ça aide beaucoup...
Maintenant, je vous prie de m'excuser mais je dois vous quitter.
J'ai repoussé mon départ pour vous assister dans vostre entrée dans nostre famille et j'ai encore quelques petites choses à terminer.

Il le salua et s'inclina devant l'Archevêque en marque de respect puis fit une dernière fois le tour de la cathédrale d'un pas nettement plus alerte qu'habituellement quand il devait s'absenter quelques jours.
C'est à ce moment précis qu'il réalisa qu'il était dorénavant complètement détaché de la cathédrale Saint-Pierre et de la ville en général.

Il se dirigea vers l'absidiole où il avait pris l'habitude de se recueillir et trouver les réponses à ses interrogations.
Il sortit son Livre des Vertus et commença sa lecture...

Livre des vertus a écrit:

[...] Chaque plaisir leur donnait l’occasion de négliger leur labeur. Ils aimaient le monde, mais ils l’aimaient pour lui-même, pas parce que Dieu leur avait donné, par amour pour eux. Ils se détournaient peu à peu de l’amour de Dieu.

Le premier péché fut ainsi involontairement découvert par les humains. Elle porta plus tard le nom d’acédie. Celle-ci consistait à se détourner de l’amour divin, de s’abandonner à la vie matérielle en négligeant la vie spirituelle, de se préoccuper de l’instant sans garder à l’esprit ce pour quoi Dieu nous avait conçus. Elle allait amener aux autres péchés, conduisant ainsi les humains à leur perte. Elle atteignit son comble lorsque le dimanche ne fut plus occupé à la prière, mais à la paresse.

Il repensa inévitablement aux dernières messes qu'il avait célébrées en ce lieu.
Son visage s'assombrit.

Livre des vertus a écrit:

[...] L’homme prit alors la femme et la femme prit l’homme. Le fort abusa du faible et le faible subit le fort. Tous s’unirent en une orgie bestiale de stupre et de violence. Leurs corps mêlés reflétaient les flammes des maisons qui brûlaient. La nourriture était dévorée, la boisson engloutie. Les paroles suaves encourageaient les gestes indécents. Une véritable orgie de débauche avait lieu. Et de l’amour de Dieu il ne fut plus question.

Il tourna la page d'une main fébrile.

Livre des vertus a écrit:

[...] Les hommes et les femmes ne regardèrent plus vers les étoiles. Le péché avait prit le contrôle de leur vie. Ils avaient oublié jusqu’à l’existence même de Dieu et ne ressentaient plus son amour. Ils n’aimaient plus que les plaisirs malsains du péché. Sans Oane pour la leur rappeler, la vertu fut oubliée et le vice fut élevé sur le piédestal de leur détestable vie.

Leur seul interlocuteur était la créature à laquelle Dieu n’avait pas donné de nom. Elle exultait de bonheur, pensant avoir enfin démontré au Très Haut que sa réponse était la bonne et que celle d’Oane était fausse. Selon elle, le fort devait dominer le faible et le faible se soumettre au fort. Elle niait la puissance de l’amour comme sens de la vie et détestait Oane pour la pureté de sa foi.

La sueur brillait sur ses tempes et, d'une main moite, il tourna la page suivante.

Livre des vertus a écrit:

[...] Alors, Dieu voulut donner une grande leçon à ces humains, qui l’avaient trahi. Le ciel se fit noir au-dessus de la communauté et les vents soufflèrent avec force. Il leur dit: “Alors que je vous ai donné mon amour, vous vous en êtes détournés, préférant écouter les paroles de la créature à laquelle je n’ai pas donné de nom. Vous avez préféré vous abandonner aux plaisirs matériels plutôt que de me rendre grâce.”

Il ajouta: “J’ai créé pour vous un lieu appelé Enfer, que j’ai disposé dans la lune, où les pires d’entre vous connaîtront une éternité de tourments pour les punir de leurs péchés. Dans sept jours, votre cité sera engloutie dans les flammes. Et ceux qui y seront restés passeront l’éternité en Enfer. Cependant, Je suis magnanime, et ceux d’entre vous qui sauront faire pénitence passeront l’éternité dans le soleil, où se trouve le Paradis.”

Il ferma le Livre et crut entendre le Dies Irae.
Il leva les yeux sur la voûte romane, les ferma et dit :

- Mon Dieu, pardonne-leur je t'en prie.
Épargne cette cathédrale qui est Ta Maison, ainsi que leur ville qui n'est déjà plus la mienne.
Je suis las.
Ton humble serviteur ne peut plus rien.
Je n'ai pas ta puissance divine pour lutter seul contre la Créature.
Je suis si seul malgré le réconfort que m'apporte mon ange gardien...
Daigne les protéger après mon départ, oh Très Haut.
Toi qui sait qu'ils ne sont pas vraiment coupables.
Ils sont justes inspirés par le sans nom.
S'ils se sont détournés de Ta Maison, accueille tes enfants à nouveau quand ils reviendront comme un Père accueille le retour de l'enfant prodige avec des larmes de joie.

Il avala sa salive.

Quant à Moi, mon Dieu...
Permets-moi de retrouver des fidèles, des amis, des frères.
Je m'en vais au-devant d'eux le coeur plein d'espoir.
Ici, mon oeuvre est accomplie.
Je ne puis rien faire de plus, j'ai tout essayé.
Pardonne-moi d'avoir failli en échouant à les rassembler en ta demeure.
Je garderai le souvenir de toutes celles et ceux, même non croyants, qui m'ont toujours accordé leur soutien, par leur bonté, par leur simple présence.
D'ailleurs, Tu as pu voir Toi-même que ce ne sont pas ceux qui se disent les plus fidèles qui étaient les plus nombreux à l'office.

Merci à eux et à Toi Seigneur pour le bonheur que j'ai pu connaître en cette ville avant que le ciel ne se couvre de gris.
Je pars plein d'espoir, ayant toujours en teste les paroles que mon ange gardien m'a murmuré une nuit, avec sa voix pleine de douceur :
"Ne vous en faites donc pas, tout nuage a tendance à s'évaporer avec le soleil."

Que Ta Lumière revienne sur cette ville comme partout en ce monde.

Amen"

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Nikolai_jagellon

Seashell reconnu le premier texte, le récitant dans sa tête en même temps que Mgr Galahadd...

Il prit ensuite dans ses main le cierge, suivit du médaillon.. Là, enfin, il se sentait un vrai Aristotélicien...
Jurant intérieurement de respecter son serment, il baisa la médaille et s'inclina devant l'homme de Dieu...
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Nikolai_jagellon

Écoutant le passage avec intérêt, il s'apprêta alors à prêter serment...

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l’Église Aristotélicienne comme mon guide dans
la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi
Qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l’Être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut
de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu
dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé
et serviteur de Dieu tout puissant.
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Galahadd

Mgr Galahadd fit lecture d'un second texte relatif au sacrement du baptême :
Vita de Christos a écrit:
Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
" Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. " Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles : " Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen " Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit: " Mes apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos péchés. A vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit l’essence."

A l'aide d'un goupillon scintillant, l'archidiacre tout ému arrosa copieusement le front de Seashell d'eau bénite.

et ajouta ensuite :
Par cette aspersion, je vous purifie de vos fautes passées,Seashell !
Je vous baptise, au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité. Recevez ce cierge, symbole de la lumière divine :

Ainsi que ce médaillon :

Cependant, n'oubliez point les mots suivants : Dieu à Ysupso a écrit: Mais ne crois pas que le fait d’être baptisé t’autorise à pécher sans vergogne. Ce sacrement n’est que le moyen de vivre dans la vertu.” Gardez la Foy, et conservez à l'esprit jamais que Dieu reste seul décisionnaire quand à votre accession future au paradis solaire. Afin que sa connaissance du dogme s'enrichisse de vos dires tel le torrent de ses modestes affluents ! Afin que l’amitié Aristotélicienne perdure, et ce malgré les fléaux, pour les siècles des siècles !
AMEN
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Archevêque de Narbonne.

Galahadd

La conviction par les paroles prononcées étaient certaines, alors Mgr Galahadd repris le livre des vertus.

Je vais cité un passage de L’Ethique à Nicomaque qui me semble important pour vous guider

Citation:

.L'amitié est ce qu'il y a de plus nécessaire pour vivre. Car sans amis personne ne choisirait de vivre, eût-il tous les autres biens. Et dans la pauvreté comme dans toute autre infortune, les hommes pensent que les amis sont l'unique refuge. L'amitié d'ailleurs est un secours aux jeunes gens pour les préserver de l'erreur; aux vieillards, pour leur assurer des soins et suppléer à leur manque d'activité dû à la faiblesse; à ceux enfin qui sont dans la fleur de l'âge, pour les inciter aux nobles actions, car on est alors plus capables à la fois de penser et d'agir

Puis,c'était le moment du serment

Seashell répéter après moi ce serment :

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Archevêque de Narbonne.

Julienas

Par ses mains tendues en direction du baptistère, il invita le frère Seashell à rejoindre l'Archevêque, puis lui emboîta le pas.

Il écouta les paroles rituelles prononcées et attendit la réponse du baptisé, l'encourageant du regard...

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Nikolai_jagellon

Seashell avança alors, précédé par son futur parrain.. Sentant son regard dans le dos, il l'aida, intentionnellement ou non, à se concentrer et repenser à toute sa pastoral en se remémorant chaque instant...

Puis respira et dit d'une voix calme :

Oui je souhaite être baptisé et rejoindre la Sainte Église.
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Julienas

Après avoir salué son filleul, il l'accompagna dans la cathédrale pour ne point manquer le début de la cérémonie.
Il écouta attentivement Monseigneur Galahadd procéder à l'accueil, puis vint le Confiteor...

"Je confesse à Dieu tout puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi, mes amis,
Parce que j'ai beaucoup péché,
En pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
Et vous, mes amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Seigneur nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen."

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Nikolai_jagellon

Seashell écouta attentivement aux cotés de son futur parrain et répéta en cœur la prière...
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Galahadd

Mgr Galahadd saisit son manuel pour les cérémonies.

Je vous invite maintenant Seashell, ainsi que votre parrain mon frère Julienas à vous avancer jusqu'au baptistère, vous allez faire votre entrée dans la grande famille de notre sainte église, je vous félicite, j'espère que Aristote et le Christ vous guiderons vers la bonne voie,vous pourrez toujours compter sur moi même ainsi que votre parrain pour vous guidez si vous en avez besoin!

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Le baptême symbolise une nouvelle naissance. Un nouveau commencement. Il nettoie tout vos péchés

puis, Mgr Galahadd devait poser la question
Seashell, désirez-vous, en respectant votre libre arbitre, être baptisé ?

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Archevêque de Narbonne.

Nikolai_jagellon

Seashell arriva un peu à la hâte derrière Monseigneur Galahadd, espérant ne pas arriver trop en retard...
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Galahadd

Mgr Galahadd regardait les fidèles s'installer, puis il se dirigea vers l'autel, quand il fut arrivé, il commença à parler
Mes fils, mes filles, Enfants du Créateur, je vous souhaite, en ce jour, la bienvenue en la Maison du Très Haut. Nous sommes réunis en ce jour, pour nous recueillir auprès du Seigneur et pour le baptême de Seashell.

Mais tout d’abord mes chers frères, mes chères sœurs, il nous faut nous repentir de nos pêchés. Prions pour la rémission de nos péchés, et faisons que nous devenions meilleurs chaque jour, en prières, en actes et en pensées !

N'oubliez pas, vos pêchés doivent être avoués sans retenue pour pouvoir être pardonnés par le Très Haut...
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Archevêque de Narbonne.

Julienas

La cathédrale Saint-Pierre.
Comme un retour au logis !

Il entra, se signa et fit sa génuflexion traditionnelle puis parcourut bas-côtés, transepts et choeur.

Le petit Pokemon64 avait, conformément à ses instructions, fait le ménage la veille, aidé en cela par la petite Barbison, sa "fiancée" comme il l'appelait.
L'archevêque les envoya ensuite tous deux sonner les quatre cloches de la cathédrale, ce que le petit s'empressa de faire, après deux semaines d'abstinence, entrainant avec lui sa petite amie...

Encore une fois, il se réjouissait à l'idée de retrouver les fidèles sur le parvis, et surtout d'accueillir son futur fillot.

Il sortit donc pour aller à leur rencontre, quand il vit Monseigneur Galahadd qui était arrivé.

"Bonjour Monseigneur. Mes respects du jour", dit-il en s'inclinant avec déférence...

Galahadd

En ce jour beau jour de fin d'été, Mgr Galahadd avait préparé la Cathédrale pour le baptême pour Messire Seashell . Ce n'était pas vraiment un travail, intégré une nouvelle brebis dans son troupeau était toujours un moment de joie. Consultant la fiche il s’aperçut avec Plaisir que frère Juliénas avait accepté d’être son parrain.
Il fit sonner les cloches.

Les cierges étaient allumés, les bancs bien rangés, il n'y avait plus qu'à attendre le futur baptisé ainsi que tous les fidèles.
Il ouvrit les portes :
Rentrez mes amis, mes frères et sœurs , bienvenue en notre belle Cathédrale .
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Archevêque de Narbonne.

Alesia_le_garec

La voila hésitante , poussera t' elle les portes ou passera t' elle devant sans s'arrêter , elle ne sait , elle hésite , lève la tête et regarde le clocher qui domine , la croix qui siège tout en haut ...
Enfin ses mains se posent sur les portes et de toutes ses forces les poussent , elles s'ouvrent dans un grincement sinistre , cela l'étonne toujours , toute les églises , enfin le peu ou elle pénétra dans le passé elle se souviens de cela ....Des portes lourdes , grinçantes , comme pour être sur que si on y entre c'est qu'on le veux bien , pas par erreur , pas comme une porte ouverte malencontreusement .....mais pousser de son plein grès..
L'air si frais a l'intérieur la saisie , elle rabat les pans de sa cape, s'arrête , s'habitue a la lumière que les vitraux laissent passer , le jeu des couleurs , regarde le bénitier ..oui , non ....secoue la tête , tellement longtemps qu'elle n'a pas fait cela..
Elle marche jusqu'à l'autel , elle s'agenouille malgré tout par respect , fait son signe de croix, ainsi devant lui elle se sent petite en le voyant devant elle , n'ose lever les yeux

la prière , se rappellera t' elle de la prière , osera t' elle la réciter a nouveau ....Doucement pour ne pas ce tromper elle commence , puis prend de l'assurance a fur a mesure..

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Puis elle se leve , se place face a l'autel et s'adressant a lui... je vous demanderez rien aujourd'hui pour une fois je suis la que pour dire merci d''avoir placé sur ma route Justin...et sans va sans faire de bruit
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Cornazzano

Cornazzano s'avanca puis ouvrit les deux portes imposante. Frere Julienas était parti de Montpellier. Cependant, il n'était pas qualifié pour le remplacer, il s'avanca donc sur un banc, puis commenca à reciter des paroles.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen
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Cornazzano

Cornazzano se leva, puis se diriga sur le pavis. En passant devant le frere, Cornazzano inclina poliment la tête en signe de remerciment.

Je vous remercie mon frere, passez une bonne journée.

Cornazzano monta sur son cheval, puis parti en direction de la mairie, bosser et bosser.
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Julienas

Il pénétra dans la cathédrale qui restait toujours ouverte.

Époque bénie où la population respectait les choses sacrées, hormis quelques hérétiques qu'on avait tôt fait de repérer.
La solidarité était de mise, la Foi très forte en ces temps dits obscurs.
Les hérétiques se cachaient, à moins d'être en nombre lorsqu'ils commettaient leurs exactions contre la Très Sainte Eglise, et si l'un d'entre eux s'avisait de venir pourrir le panier, les autres fruits du Très Haut savaient se préserver.

Certes, il arrivait parfois que quelques villageois tiennent de curieux propos en ville, qu'on eut pu prendre pour des délires d'hérétiques, mais c'était là le fait de quelques âmes qui "se perdaient un peu" comme disait Neajdalf, non sans humour, mais avec une bienveillance certaine.
Rien de bien grave dans tout cela... même si les villageois les croyaient possédés et qu'il fallait user de patience pour dissiper les malentendus qui pouvaient vite dégénérer et entrainer le pauvre égaré vers un destin des plus funestes...
Une fois que l'infortuné simple d'esprit avait retrouvé ses marques et la communauté rassurée, il finissait généralement par s'intégrer dans cette communauté de gens pieux.

C'est pourquoi, dans cette époque de ferveur religieuse où l'on baignait depuis la naissance dans la Foi du charbonnier mêlée de croyances des plus étranges aussi (la superstition était forte également), il ne s'expliquait toujours pas pourquoi les fidèles faisaient défaut à l'Office.

Il sourit songeant à celles et ceux qui réclamaient la messe, quand celle-ci ne pouvait être servie.
Sourire d'un père aimant, devant la mauvaise foi (c'est le cas de le dire) de ses enfants réclamant un privilège dont ils n'usent quasiment jamais...
Bouder ce qui est disponible pour le réclamer ensuite, quand le temps est passé...
C'était ça aussi la nature humaine, il fallait l'accepter.

Il s'agenouilla devant la statue de Christos, puis se mit à prier avec ferveur.

Ô Dieu tout-puissant et éternel,
Toi qui nous combles avec Ton infini amour,
bénis cette demeure qui est Ta Maison,
Bénis toutes celles et ceux qui y viendront,
Qu'elle puisse être un refuge et un toit sûr.
Bénis, ô Dieu, chaque mur et chaque colonne de cet édifice,
au nom de Ton amour immense et impossible à combler.

Amen.

Il récita également son Credo, se signa puis se leva.
Il ne partit pas de suite, voulant encore s'imprégner du calme apaisant de l'endroit.
Il retoucha quelques bancs, ici et là, réajusta un porte lampe à huile excentré... procéda encore à une multitude de petits détails pour faire durer encore un peu ce moment privilégié.

Enfin, il regarda une dernière fois le maistre-autel, contempla les voûtes de l'imposante bâtisse, soupira, puis sortit.

Il sortit, apaisé.
Et bien que sur Montpellier le ciel était toujours chargé de gris, en for intérieur tout nuage s'était évaporé...

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Bibiche75

Le Diacre ne s'était pas fait avoir cette-ci. Il avait très vite abrégé la communion pour que chacun puisse retourner à sa place. Il reprit son discours en annonçant qu'il n'y aurait pas de messe la semaine suivante. Bibiche s'était habituée à cette sortie dominicale, la messe, pour rencontrer des gens qu'elle appréciait. Un voile de tristesse se posa sur son visage, mais le sourire lui revint aussitôt lorsque qu'il termina par une phrase, pleine d'espoir et surtout emplie de poésie.

" Ne vous en faites donc pas, tout nuage a tendance à s'évaporer avec le soleil."

La brunette regardait le diacre et lui sourit en lui faisant un hochement de tête discret. La messe était finie. Bibiche se leva et rejoignit l'officiant pour le saluer, un sourire franc affiché sur ses lèvres.

Merci mon Frère. C'était encore une bien belle cérémonie. Dommage qu'elle n'aura pas lieu la semaine prochaine...

Elle le salua de nouveau et le quitta en espérant le voir de nouveau en taverne, passer un agréable moment.
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Fadette

Elle se souvint des messes passés avec les soeurs , de la joie qui s'en degageait...Mais a l'heure actuelle elle n'était plus si sure d'elle et les paroles de Julienas raisonnaient encore en elle ...

Elle attendit et prefera sorir a la fin de la messe discretement que de se meler a la foule se disant que vu le monde , il ne s'apercevrait pas de son départ..
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Julienas

La communion achevée rapidement, il invita ses frères à regagner leur place puis s'adressa à l'assemblée.

"Quelques mots avant de nous quitter mes frères.

Tout d'abord, je vous rappelle que Nostre Très Haut, dans sa grande miséricorde, accorde la pardon à tout pénitent qui sait se montrer humble et enclin au repentir.
Vous trouverez un prêtre qui saura vous accueillir à l'Archevêché en cas de besoin...

Puis il enchaîne :

- Pas d'Office dimanche prochain célébré par vostre serviteur...

Il affiche un visage grave, ferme les yeux un instant, les ouvre et dit :

- Je ne peux pour le moment garantir qu'un autre célébrant pourra s'en charger, Monseigneur étant très occupé devant les lourdes taches qui l'occupent.

Il s'interrompt. Avale sa salive, prend une profonde respiration, puis reprend :

- Dans nos intentions de prières, nous pensons à toutes celles et ceux qui souffrent.
Que Dieu leur insuffle toute la force nécessaire et qu'ils retrouvent la simple joie d'exister parmi nous, dans nostre Amitié Aristotélicienne.

Gardez confiance, mes frères.
Tout comme Oane, n'écoutez pas tous ces colporteurs de rumeurs, pire, ceux qui sèment la zizanie entre vous.
Doutez, mes frères, doutez !
Doutez toujours, c'est le meilleur moyen de résister aux maléfices de ceux qui sont inspirés par la créature sans nom.
Doutez de leurs paroles de fiel enrobées dans du miel, ne tombez pas dans leurs pièges qui visent à vous désunir.

Il marque une pause.
Après un court moment, il ajoute :

- Mes soeurs, mes frères, il n'est qu'une parole dont on ne peut douter.
C'est la parole de Nostre Très Haut.
Lui seul, Lui qui nous aime comme ses enfants, Lui seul sait la valeur de chacun.
Ayez confiance mes frères.
Ayez confiance en Lui, Il sait tout, Il voit tout, Il entend tout.

Ayez de même confiance en l'avenir.
Tôt ou tard, la vérité finit toujours par triompher.
Conservez ces liens d'amitié qui nous ont toujours unis jusqu'à présent pour nostre plus grand bonheur.
Ne les gâchez pas ces liens !
Au contraire, entretenez les pour que nostre collectivité retrouve sa vitalité et sa bonne humeur comme il y a encore quelques semaines de ça...

Et, très sérieusement, regardant chacun tour à tour, il conclut d'une voix ferme :

- Ma soeur, mon frère, qu'as-tu fait de ton baptême ?
Souviens-toi que l'Amitié Aristotélicienne, l'Amour pour Dieu et ton prochain... est tout ce qui constitue le sens de la vie.

Allez dans la Paix de Christos mes frères, et que le Très Haut vous protège.

AMEN

Il les salua en s'inclinant assez longuement, puis, lui revint ce message d'espoir soufflé par un ange de la nuit dans ses songes...
Il décida de le partager avec les fidèles présents.
Et c'est donc avec un large sourire non feint qu'il cita :

- Ne vous en faites donc pas, tout nuage a tendance à s'évaporer avec le soleil."

Et sur cette note d'espoir qui avait su lui rendre la force de croire à nouveau en l'avenir, il suivit les fidèles qui quittaient l'édifice pour se rendre sur le parvis où l'on aimait échanger quelques propos...

Bibiche75

Elle avait écouté religieusement l'homélie qu'avait prononcé le Frère Julienas.
La confiance en le Très-Haut.. Elle était sans limite pour Bibiche. Quand tout n'allait pas comme elle espérait, elle priait... Elle priait d'une telle ferveur, qu'elle s'en trouvait toujours apaisée, en se disant qu'il y avait bien plus triste sort que le sien. Elle avait tout pour être heureuse. Les petits problèmes qu'elle rencontrait parfois semblaient tout de suite dérisoires quand elle pensait à ces pauvres gens qui devaient trimer chaque jour et ce très durement afin de faire face à de très grandes difficultés financières pour nourrir leur familles.
Ses prières avaient été, pour elle, un très grand réconfort lorsqu'elle perdit son meilleur ami.

La jeune fille le regardait pendant son interprétation du passage du Livre des Vertus et lui souriait gentiment. Ensuite, il s'assit et le silence le plus complet se fit dans la Cathédrale. Le moment de se recueillir était venu. A l'instar des autres fidèles assis, Bibiche croisa ses mains tout en baissant la tête et se mit à méditer sur ce qu'elle venait d'entendre. Julienas avait bien raison. Rien ne servait à se lamenter sur son sort: "Aide-toi et le Ciel t'aidera!"

Ensemble, nous partageons ces quelques bienfaits produits par les hommes, en signe de nostre grande Amitié Aristotélicienne.
L'occasion pour nous aussi de nous témoigner de nostre attachement aux traditions qui nous unissent.
Et ne partez pas surtout avant le final !

Bibiche releva soudain la tête, accompagnant l'assemblée dans un éclat de rire qui anima le lieu saint. Quel sens aiguisé de l'humour, il avait ce diacre! Cette fois-ci, elle se promit de ne pas partir de suite après le festin, enfin la communion...

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Julienas

Il s'approcha du Livre des Vertus pour débuter la lecture du jour.

Au préalable, il regarda l'assemblée, s'éclaircit la voix et dit :

"La semaine dernière, souvenez-vous, nous avons redécouvert à travers nostre lecture, le bonheur de vivre parmi la Création.
Aujourd'hui, nous découvrons la suite du Livre de la Création, dans le chapitre suivant, le 4, intitulé "le Doute"...

Il en fit la lecture lentement.

Citation:

1 Le petit groupe décida de s’arrêter un moment. Ils s’installèrent sur une colline verdoyante, où poussaient de superbes fleurs que les abeilles venaient butiner. Une légère brise venait courber l’herbe. Les oiseaux chantaient. Les étoiles venaient éclairer les créatures pendant qu’elles posaient leurs sacs à terre et s’asseyaient en cercle. L’ambiance était maussade, car elles se posaient toutes la même question.

2 Toutes les espèces qu’elles avaient rencontrées était doté d’un talent particulier. Les vaches, créatures qui broutaient placidement l’herbe, avaient une nombreuse famille. Les moutons avaient une laine douce et volumineuse. Les ailes des oiseaux leur servaient à parcourir le monde en volant. Les chevaux, nobles et fougueux animaux, galopaient à la vitesse de l’éclair. Les poissons étaient les maîtres des vastes océans. Les cochons étaient puissants et farouches.

3 Même les végétaux étaient dotés de talents uniques. Les chênes étaient dotés d’une longévité qui n’avait rien à envier à leur taille. Le blé se multipliait à l’envi, couvrant de larges territoires. Le maïs avait ses épis, gorgés de vie. Les fruits avaient un délicieux goût sucré et les légumes des senteurs appétissantes. Et le petit groupe s’interrogeait. Mais pourquoi leur espèce n’avait-elle aucun talent particulier ?

4 Certes, les créatures du petit groupe avaient des mains, mais leur force n’égalait pas celle du cochon. Certes, elles avaient des jambes, mais elles ne les amenaient pas aussi loin que les oiseaux et pas aussi vite que les chevaux. Certes, elles pouvaient procréer, mais pas autant que les vaches ou le blé. Certes, certaines étaient barbues, mais c’était une bien piètre consolation comparé à la volumineuse laine des moutons.

5 Certes, elles étaient pleines de vie et de santé, mais bien moins que le maïs, les fruits et les légumes. Et elles n’osèrent même pas se comparer à la longévité et à la taille des chênes. Toutes ces créatures, animales comme végétales, avaient de sérieux arguments pour affirmer, tel qu’elles le faisaient, qu’elles étaient les préférées de Dieu. Leurs talents étaient uniques. Alors, le petit groupe essaya de se trouver un talent qui était propre à son espèce.

6 Son espèce se tenait debout. Mais quel avantage cela lui donnait ? "Aucun", répondirent de concert tous les membres du groupe. Leurs mains leur servaient à construire des outils, mais c’était pour compenser le manque de griffes ou d’autres organes. Ainsi, leur estomac était si faible qu’il leur fallait cuire la viande pour la manger. Et leurs yeux étaient si peu perçants, contrairement aux chats ou aux hiboux, qu’il leur fallait s’éclairer dans le noir. Leur fourrure était si peu épaisse qu’ils devaient s’abriter lorsque la pluie, la neige ou la grêle tombaient ou lorsque le vent soufflait trop fort.

7 Faisant ce sinistre constat, les créatures du petit groupe se mirent à pleurer. Ils étaient persuadés que leur espèce était le moins aimée de Dieu, qu’Il les méprisait, qu’ils étaient la lie de Sa création. Un silence pesant s’était installé, alors que tous se regardaient mutuellement, chacun cherchant dans les regards des autres une réponse à ses questions. Mais ces regards ne portaient aucune réponse. Ils étaient juste dégoulinants de larmes.

8 Mais l’un d’eux était resté à l’écart du groupe. Il regardait vers les étoiles. Tous les membres du groupe le négligeaient, le considérant comme un faible d’esprit. Il leur répondait souvent "Heureux les pauvres en esprit...", mais ne savait que rajouter à cette réplique. Pourtant, de tous, il était le seul à se demander ce que Dieu désirait, au lieu de se plaindre de son sort. Cet homme s’appelait Oane.

Après un moment de silence propice à la réflexion de chacun et au cours duquel il s'était concentré, yeux clos, sur le fond de son homélie, préparée avec soin, il reprit la parole :

- Le Doute...
Étape essentielle dans la vie de chacun...
Qui n'a jamais douté ?

Silence...

- Mes soeurs, mes frères, il est bien sûr rassurant de se raccrocher à nos certitudes.
Tout comme nous inclinons tous naturellement à ce besoin de confiance.
Confiance en l'autre, confiance en l'avenir, confiance en la vie... c'est tellement plus sécurisant pour nous.
C'est même une nécessité !

Ceci-dit, il nous arrive fréquemment de douter.
Rien de mal en cela, le doute est aussi naturel que le besoin de certitude, de confiance que nous éprouvons tous.
J'oserais dire que c'est même l'étape bien souvent nécessaire pour entrevoir la Vérité, dans sa nudité absolue.
Foin des fausses croyances et des jugements erronés, le doute est ce gardien qui nous permet de rester lucide et d'approcher la sagesse...

Dans le texte du Livre des Vertus que nous venons d'entendre, les hommes ont acquis la certitude d'être les créatures les moins aimées de Dieu.
Ils en souffrent et cela les chagrine profondément.
Tous les hommes ?
Non !
Un seul parmi eux échappent à cette torpeur qui les plonge dans la tristesse.
Cet homme mes frères, c'est Oane.
Oane qui passe pour les autres pour un simplet, pour quelqu'un qu'on laissait de côté...
Hé bien mes frères, cet homme que l'on prend pour moins avisé que les autres, celui-là échappe à leur détresse.
Et comment donc ?

Il prend le verre d'eau préparé par le petit Pokemon64 et le vide d'un trait.

- Oane doute.
Oui mes frères.
Au lieu de se morfondre sur son sort comme le font ses frères et ses soeurs, il se tourne vers Dieu, et s'interroge.
Il s'interroge non pas sur lui même, non... pas plus que sur ses frères.
"Il est le seul à se demander ce que Dieu désirait" nous dit le texte.

Il sourit regardant les fidèles.

- Sommes-nous, nous aussi, capables de nous oublier nous-mêmes, nous qui ne cessons de nous apitoyer sur nostre triste sort, pour nous interroger ainsi des desseins du Très Haut ?
Quelle belle leçon de confiance que nous donne Oane convenons-en, voilà bien tout le sens de la Foy !
Il se demande ce que Dieu désire... tout simplement.
Voyez comme il échappe ainsi, contrairement à tous ses frères, à la tristesse qui les habite.
Il s'en remet à son Créateur, à nostre Créateur, ayant en Lui une confiance aveugle.
Nous verrons plus tard, un prochain dimanche, quelles étaient les attentes du Très Haut...

Pour le moment, retenons simplement ce message d'encouragement à douter avant de juger de façon péremptoire et erronée, et de nous tourner vers Dieu qui connait toutes les réponses à nos questions.

AMEN

Selon son habitude désormais, il va s'asseoir pour laisser à chacun le temps de méditer sur l'homélie prononcée.
La fatigue se faisant de nouveau ressentir, il mobilise ses forces, joint les mains et se recueille dans le silence qui emplissait le vaste édifice...

Après un moment relativement long, quand il sent avoir recouvré suffisamment de forces, il se lève pour inviter ses soeurs et ses frères à partager la communion.
Communion qu'il avait voulue cette fois plus frugale, craignant de voir partir les fidèles avant l'Envoi comme ce fut le cas la semaine précédente.

- Ensembles, nous partageons ces quelques bienfaits produits par les hommes, en signe de nostre grande Amitié Aristotélicienne.
L'occasion pour nous aussi de nous témoigner de nostre attachement aux traditions qui nous unissent.

Puis il ajoute, un brin inquiet...

- Et ne partez pas surtout avant le final !"

Et les voyant rire de ses propos, il rit à son tour et va trinquer avec eux.

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Cornazzano

Cornazzano écouta avec attention le frere, quand celuil-ci eu fini, il reprit.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen
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Bibiche75

Le Diacre Julienas commençait sa messe. Bibiche y assistait avec plaisir. En plus des paroles dites "normales" d'un discours d'un début de cérémonie, Frère Julienas y mettait une émotion sincère. La jeune fille se sentait apaisée dans cette cathédrale.
Il était temps de réciter le credo. Bibiche s'exécuta avec l'ensemble des fidèles.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen
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Fadette

Fadette écoutait les paroles de Julienas tout en songeant qu'elle aurait bien besoin de parler , de demander conseil...mais oserait t'elle aller au confessionnal , il y avait tellement longtemps qu'elle n'avait été ....en y reflechissant bien ...depuis son départ de chez les soeurs en réalité .
Elle rejeta cette idée et en murmurant tout bas "" cela servira a rien que de demander conseil "" et puis se mit a reciter sa priere quand il y invita

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen
_________________

Julienas

Il entra en poursuivant ses discussions avec les fidèles et, alors que les derniers se hâtaient à combler les places encore libres, il se dirigea vers le maître-autel.
Saluant encore quelques personnes du regard, il attendit que le silence s'installe, puis comme à son habitude, ferma les yeux un instant, prit une profonde respiration et débuta l'Office.

"Au nom de l'amitié aristotélicienne, soyez les bienvenues en nostre cathédrale de Montpellier, mes soeurs et mes frères.
Aujourd'hui...

Il s'interrompt un court instant, refoulant l'émotion qui tend à poindre et risquant de troubler sa voix.
Et ce n'est pas sans quelques trémolos dans celle-ci qu'il reprend :

- Aujourd'hui... c'est encore pour moi un grand plaisir de vous revoir, plus que jamais pourrais-je dire...

Se disant "ça va suffire là, conserve ta sérénité mon garçon", il se contente alors de dire, avec un sourire sobre :

- Merci...

Puis, levant les bras, coudes légèrement fléchis, paumes de mains vers le haut, il poursuit, les yeux en l'air :

- Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis regardant l'assemblée, il ajoute :

- Je vous rappelle que la confession est accessible à chacune et à chacun, et que vous pouvez toujours vous rendre à l'Archevêché pour y rencontrer un clerc en qui vous confier.

Maintenant, mes soeurs, mes frères, nous redisons nostre Profession de Foy, en récitant ensemble la prière qui nous unit dans l'Amitié Aristotélicienne."

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen "

_________________

Bibiche75

Les cloches de la Cathédrale sonnaient à la volée. On pouvait les entendre dans toute la ville de Montpellier. Une semaine était déjà passée depuis l'autre messe dominicale. Bibiche n'en revenait pas de voir à quel point le temps passait vite.

Fidèle à elle-même, la jeune fille prit un grand soin dans sa toilette. Elle n'aimait pas la crasse et surtout elle raffolait de sentir bon. Dans son bain, elle y rajoutait toujours d'essences de fleurs qui laissaient ensuite un léger parfum sur sa peau douce.
Comme tous les dimanches, elle revêtit sa plus belle robe pour assister à la messe. Jamais elle n'aurait oser se présenter mal fagotée devant le Très-Haut, d'autant plus qu'elle n'était pas en service commandé!
Chignon parfait sur sa tête, décoré de quelques perles de culture, et jus de cerise épaissi sur ses lèvres leur donnant une délicieuse couleur rosée, Bibiche se rendit à la messe.

Le diacre attendait les fidèles sur le parvis. Une fois arrivée, Bibiche le salua respectueusement en le gratifiant d'un grand sourire. Elle appréciait le Frère Julienas. Ils avaient un point commun tous les deux: la passion de la cuisine.

Bonjour mon frère!

Elle pénétra ensuite dans le lieu de prière. La brunette croisa le Maire et Fadette qu'elle salua également, se signa, et alla s'asseoir en attendant le début de la cérémonie.
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Julienas

Saluant les fidèles qui se succédaient, qui d'un hochement de teste, qui d'une poignée de main, il répondit au salut du curieux bonhomme qui, en persistant à l'accabler en l'accusant de fraudeur, s'accusait lui-même de recèleur.
Il hocha la teste, rit doucement... et tout ça pour un vulgaire morceau de bois...
"Dieu que Tes enfants sont bien... des enfants", dit-il intérieurement.

- Bonjorn Fadette, dit-il en souriant largement à la jeune fille pleines de ressources qu'il aimait rencontrer souvent en ville.
Julienas suffira... ma soeur.
Comme d'habitude, ajouta-t-il.

Il prit ses mains chaleureusement dans les siennes et lui dit d'un ton rassurant :

- Ravi de vous revoir Fadette.
Mais rien ne presse, vous avez le temps, les gens commencent seulement à arriver...

Et de ponctuer ses propos d'un signe de teste, toujours lui souriant.

Arriva alors Bibiche, fine gourmet, aussi douée pour la cuisine que pour la mise, comme en témoignait encore sa tenue élégante, soignée dans les moindres détails.
Il répondit à son sourire sincèrement et, se reculant un peu pour la voir en pleine lumière, la complimenta :

- Ma soeur, vous rayonnez encore aujourd'hui.
Profitez d'être libérée de vos charges aujourd'hui pour vivre pleinement cet office dominical.

Puis il ajouta sur le ton de la confidence, riant doucement :

- J'ai un peu restreint le contenu de la communion pour aujourd'hui, la dernière fois, tout le monde est parti avant "l'Envoi", pensant que c'était le banquet final."

Son rire lui fit du bien.
Le premier tiens, depuis son lever jeudi.
Il commençait à oublier ses soucis de la semaine.
Une fois de plus, il pouvait constater de la formidable énergie que pouvait insuffler les êtres chers, malgré eux... par leur simple présence...

Julienas

Quel plaisir de retrouver la cathédrale après cette semaine terrible !

A son arrivée, elle lui sembla plus imposante que jamais, avec son porche flanqué de ses deux hautes colonnes, entre lesquelles il avait maintenant la joie d'accueillir les fidèles depuis maintenant trois semaines.

Il entra, se signa et fit une génuflexion face à la nef comme à l'accoutumé.
Avant de faire le ménage, il se dirigea vers l'autel et, à genoux, remercia le Très Haut de l'avoir épargné, pour cette fois, et de lui avoir rendu la force de reprendre ses activités.

Toutefois, encore un peu affaibli, il demanda au petit Pokemon64 de l'aider au nettoyage et aux préparatifs.
Ainsi libéré, il consacra le temps qui lui restait, avant l'accueil des fidèles, à prier avec toujours plus de ferveur.

Pressé de sonner les cloches de la cathédrale, le petit prit peu de temps pour venir à bout du ménage et des préparatifs, pour qu'enfin tout fut fin prêt.

"Très bien mon garçon, lui dit-il.
Tu peux sonner le début de la messe maintenant, je sors accueillir les fidèles."

Aujourd'hui plus que jamais, il se réjouissait à l'idée de les retrouver sur le parvis, après son absence de cette semaine...

Cornazzano

Cornazzano avait entendu sonner les cloches, il se hata donc d'allez à celle-ci. Les querelles avec le frere fraudeur ne devait en rien lui faire changer ces habitudes.

Il prit son cheval, amene son serviteur avec lui, direction la cathédrale. Arrivé devant, le frere Julienas s'y trouvé. Il descendit de son cheval, puis claqua des mains pour que son serviteur aille lui trouvé un endroit pour le mettre.

Bonjour mon Frere,

Cornazzano rentra dans l'eglise, effectuant au passage un signe de croix, il alla sur un banc, pas très loin, pas trop proche du coeur de la cathédrale. D'autres fidèles allez venir, il recita quelques saintes paroles en attendant le debut de la messe.
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Fadette

Fadette se dirigea vers l'église , elle se posait mille questions

Bonjour Julienas ..ou devrais-je dire mon frere ...

Décidément les questions concernait surtout sa future destination , et que Julienas lui ai parlé de Geneve comme d'une ville d'hérétique l'inquietait .

Elle apercue Cornazzano et le salua discretement d'un signe de tete , s'approcha du benitier et se signa...

Que Pal en est après l'église la faisait trembler elle avait inquietude quand aux retombés ,en un mot elle s'inquietait pour la premiere fois de son avenir..

Elle s'installa au centre de l'église et patienta jusqu'a ce que la messe commence
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Fadette

Elle écouta la messe jusqu'au bout , ce qui etait dit l'interpella surtout les mots que prononca Julienas , la fin de la messe arriva , elle vit les fideles s'avancer près du buffet , Fadette discretement prefera s'éclipser sans un bruit
Elle remonta son châle et sortie
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Violette.guernerac

Comme le dimanche précédent, Val se présenta à la Cathédrale ce jour là. Elle tenait à assister de nouveau à l'office dominical de Julienas et s'installa au fond de l'édifice.

Mais cette fois-ci, elle n'était pas seule. Ange l'accompagnait et c'est entre sourires échangés et regards doux que tous deux assistèrent à la messe de ce jour.

Comme à son habitude, Val resta discrète, écoutant Credo, sermon, paroles et prières avant de s'eclipser au moment du buffet.

Samy.

Première fois de sa vie qu'il mettait les pieds dans une Cathédrale .
Il accompagnait sa belle lui ayant promis quelques jours auparavant. Ils allérent tous deux s'asseoir sur un banc au fond, essayant d'être discrets , la messe étant déjà commencée. Il serrait doucement la main de Val pendant qu'il écoutait le prêtre dire son sermon, puis une fois la messe finie, ils partirent aussi discrétement qu'ils étaient arrivés .
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Bibiche75

- Mes soeurs, mes frères, partageons ce pain, signe de nostre Amitié Aristotélicienne.
Amitié qui réconcilie et qui donne sens à la vie.

Après les commentaires du Livre des Vertus, Frère Julienas invita l'assemblée à le rejoindre pour la communion. Bibiche avait rarement assisté à une telle orgie de nourriture dans une église.
Elle reconnaissait bien là la gourmandise du Diacre. L'autre soir, ils avaient longuement discuté recettes de cuisine en taverne en compagnie de Bouna. Elle se permit de prendre un verre de vin et de trinquer avec ses voisins avant de rentrer chez elle, près du port, prendre un vrai repas.

Santé à vous! Excellente messe, félicitations, mon Frère!

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Julienas

Puis arriva l'heure de la communion.

- Mes soeurs, mes frères, partageons ce pain, signe de nostre Amitié Aristotélicienne.
Amitié qui réconcilie et qui donne sens à la vie.

Julienas

Il s'approche du Grand Livre des vertus et débute la lecture :

- Chapitre III intitulé « Les créatures » du Livre de la Création.

Citation:

1 Un groupe de ces créatures composant la vie décida de parcourir le monde pour découvrir les autres espèces, tant animales que végétales. Tous prirent leurs affaires sur leur dos et parcoururent le monde, poussés par la soif de découverte qui leur avait fait prendre cette décision.

2 Ils arpentèrent donc le monde. Ils grimpèrent sur des collines verdoyantes et de gigantesques montagnes. Ils traversèrent des ravins, burent dans des rivières, se reposèrent dans des prairies. Ils dégustaient tout ce que la vie avait à donner de plus beau et doux. Ainsi, ils goûtèrent à la saveur du miel et des fruits. Ils s'enivrèrent de la senteur des fleurs. Ils admirèrent les aurores boréales et les arcs-en-ciel.

3 Dieu, dans son infinie perfection, avait fait de la vie une merveille, un délice pour ceux qui savaient la déguster. Mais toutes les créatures ne savaient pas apprécier ce cadeau à sa juste valeur. Ainsi, le petit groupe fut surpris à chaque fois qu’il rencontra de nouvelles espèces. Chacune d’elles était dotée de talents qui les rendaient uniques. Ainsi, le petit groupe pouvait admirer à quel point Dieu avait doté la vie d’une infinie variété de richesses. Chaque espèce était l’occasion pour chacun d’entre eux d’en admirer les particularités.

4 Ainsi, ils rencontrèrent des vaches. Celles-ci, broutant placidement l’herbe, donnaient la tétée à leurs petits. Plus loin, ils passèrent près d’une plaine recouverte de blé, ondulant sous la brise, et croisèrent la route de nombreux moutons au doux pelage blanc, qui broutaient eux aussi paisiblement. Continuant de cheminer à travers le monde, ils entendirent le chant joyeux des oiseaux. Levant les yeux au ciel, ils les virent virevolter sous les doux nuages couleur de crème, alors que le ciel d’azur était enluminé par l’astre solaire.

5 Ils s’arrêtèrent un moment pour déguster des légumes goûteux, rivalisant de formes, de senteurs et de saveurs. Pendant leur repas, ils purent suivre les galopades de plusieurs chevaux dont les crinières volaient au vent. Plus loin, ils s’approchèrent d’un lac et virent des poissons jouer à se poursuivre mutuellement. Non loin du rivage avait pris racine une forêt de gigantesques chênes dont les branches formaient comme un gigantesque dôme de feuilles vertes.

6 Plus loin, ils virent un champ de maïs dont les épis se gorgeaient de soleil. Quelques cochons s’y trouvaient, en train de s’en nourrir. Mais toutes ces créatures ne surprenaient pas seulement le petit groupe par la variété de leurs natures, mais également par un aspect commun plus troublant.

7 En effet, toutes avaient comme point commun de se vanter d’être l’espèce préférée de Dieu. Leurs talents étaient la raison qu’ils avançaient tous. Les vaches vantaient leur nombreuse progéniture, les moutons leur laine, les oiseaux leurs ailes, les chevaux leur vitesse, les poissons leur possession des mers, le plus grand territoire du monde, les chênes leur longévité sans égal, le blé, le maïs, les fruits et les légumes leurs goûts et leurs senteurs variés, le cochon sa force...

Après avoir laissé quelques minutes de silence il débute son homélie.

- "Dieu, dans son infinie perfection, avait fait de la vie une merveille, un délice pour ceux qui savaient la déguster."

Il marque une pause.

- Mes soeurs, mes frères, aujourd'hui, je veux faire dans la sobriété.

Il sourit en parcourant l'assemblée du regard.

- Oui, comme il est dit dans ce texte tiré de nostre Livre des Vertus, nous jouissons des richesses que nous a confié Nostre Créateur, à commencer par le cadeau de la Vie, et nous ne savons pas apprécier tous ses bienfaits à leur juste valeur...

Son regard s'embrume.

- Ce n'est hélas que lorsque nous sommes privés d'un de ces bienfaits justement, que nous mesurons à quel point celui-ci est précieux.

Il regarde les fidèles présents, leur sourit et conclue simplement.

- Alors pour une fois, je vais laisser place au silence, et vous invite à imaginer que nous ayons tout perdu
Absolument tout.
Et ensembles, sachons renaître, en pensée, et redécouvrir le bonheur de retrouver tout ce dont nous profitons chaque jour, comme si nous en avions été privés.

Puis il ajoute avec une voix plus que jamais convaincante :

- A commencer par goûter la "simple" joie de vivre et de pouvoir partager ensembles de bons moments...

Amen"

Il s'assied et imagine être privé du simple usage de la parole.
Des frissons parcourent son corps, son visage devient blême...

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Gigagil

Ayant pour une fois le temps de passer à l'église, Gigagil pousse la porte de la cathédrale et vient se recueillir.

Citation:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen "

Bibiche75

Suite au souhait de Frère Julienas, le silence s'était installé dans la cathédrale. Bibiche entonna, elle aussi, le credo avec les autres fidèles.

"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen "

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Fadette

Elle avait decidée de faire un effort , malgré son envie de plus en plus presente de rester a la maison , de s'enfermer dans sa solitude , elle avait donc revetue sa robe du dimanche , un châle sur les épaules , un dernier coup d'oeil a son reflet , elle se pince les joues pour donner un peu de couleurs qui lui manque tant.

Elle s'avance jusqu'au benitier , se signe , regarde la croix qui lui fait face , faudrais qu'elle converse avec lui , qu'elle sache ou elle en est !

Elle s'assied dans un coin et attends que l'office commence ; puis vient enfin le moment de reciter le credo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen "

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Bibiche75

De son appartement près du port, Bibiche entendait les cloche de l'église de Montpellier sonner. Elle fit un brin de toilette. La jeune fille choisit de s'habiller en tenue du dimanche avec sa robe blanche en dentelle.

Le papillon commençait tout doucement à sortir de sa chrysalide. Malgré toutes les épreuves qu'elle avait traversées jusqu'à présent, Bibiche ne découvrait sa féminité que maintenant,. En approchant de ses 19 ans, elle mûrissait. Elle ne comprenait pas vraiment ce qu'il se passait en elle. Pourtant, la brunette sentait bien que les regards masculins qui se posaient sur elle avaient changés. Jusque là, elle n'y avait pas prêté attention, mais depuis quelques temps elle y était de plus en plus sensible.. Elle rougissait au moindre compliment et, sans vouloir se l'avouer, elle appréciait.
A la Garde, nombreux étaient les soldats qui étaient mariés ou en passe de le devenir, mais cela ne lui avait jamais traversé l'esprit. Depuis la disparition de Korrigans, son meilleur ami, seul son travail comptait.

En ce beau dimanche d'avril, elle avait envie de plaire. Bibiche avait pris un soin tout particulier à sa tenue. Elle se déplaça jusqu'à sa terrasse et admira le paysage qui s'offrait à elle. La mer scintillait à cause des rayons du soleil qui se reflétaient sur la surface. Le jeune Lieutenant ferma les yeux et inspira une bouffée d'air salin en souriant.

Les cloches s'étaient arrêtées. Bibiche se dépêcha de sortir de chez elle et se dirigea en vitesse vers la cathédrale de la capitale. Elle était très croyante et ne voulait surtout pas rater la messe dominicale. Le père Julienas attendait déjà les fidèles sur le parvis.
Bibiche le salua avant de prendre place à l'intérieur, regrettant que sa nouvelle amie Philosine ne fut pas présente à cause d'un voyage qu'elle devait faire..

Bonjour mon père! Très belle journée, n'est-ce pas?

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Julienas

Il vit la belle jeune fille endimanchée arrivant d'un pas alerte, il lui répondit en souriant :

"Bonjour ma soeur, vous voila bien pressée.
Rassurez-vous, vous n'êtes point en retard, les premiers commencent à peine à arriver."

Et de guetter l'arrivée des prochains fidèles...

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Julienas

Chacun avait pris place et les discussions commençaient à devenir plus rares.
Il regarde l'assistance, salue encore quelques visages connus attendant que le silence s'installe définitivement.
Puis d'une voix ferme, il commence :

"Mes soeurs et mes frères, au nom de l'amitié aristotélicienne, soyez les bienvenues en nostre cathédrale de Montpellier.

Levant les bras, coudes légèrement fléchis, paumes de mains vers le haut, il poursuit, les yeux en l'air :

Puis se tournant vers l'assemblée, il enchaine :

- Mes soeurs, mes frères, récitons maintenant ensembles la prière qui nous unit dans l'Amitié Aristotélicienne.

Il entonne alors le Crédo, invitant des mains les fidèles à l'accompagner.

"Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.

C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen "

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Lolesi

Et voilà... la messe était terminée... Discrète et rapide, elle se dirigea vers la sortie...
Le temps qu'elle arrive, Julienas était déjà là... Tranquillement, elle attends qu'il soit seul, s'approche et lui murmure...

Bravo et merci, je retiendrai une seule chose, la plus importante à mes yeux... celle d'apprendre à se connaître...

Lui souriant, elle laisse à sa tâche et poursuit sa chemin.
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Julienas

Il rit devant la sagacité dont faisait preuve une nouvelle fois la rouquine.

"Vous avez tout compris Lolesi.

Il précisa :

- La Parole distingue les hommes des autres espèces vivantes tels que plantes et animaux. A chacun d'apprendre à en user pour le bien de tous...

Enfin, il ajouta :

- La faculté d'aimer, que le Très Haut a donné à l'homme, constitue le sens de sa vie.
A lui d'user de ce don... ou pas...
Dieu lui laisse le libre-arbitre.

En cela consiste tout l'enseignement de nostre baptême..."

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Julienas

Il arriva tôt encore en la cathédrale pour bien préparer l'office dominical.

Il se signa et s'agenouilla face à la nef.

Un ménage assez long, cette fois, qui l'occuppa une bonne heure, puis il plaça le Grand Livre des Vertus sur le lin blanc recouvrant le maître-autel.

Il disposa ensuite les instruments nécessaires à la célébration, tel que le calice qu'il emplit de vin couleur rubis, ainsi que quelques miches de pain pour la communion.

Le jeune Pokemon64 se proposant d'allumer bougies en suif et cierges en cire d'abeille, il lui accorda ce petit plaisir.

Puis il l'envoya sonner les cloches de la cathédrale pour appeler les fidèles à l'office.

Il se réjouissait de les accueillir de nouveau pour cette seconde messe à Montpellier, sa ville natale, regrettant encore que ses amis hors de Montpellier ne soient pas tous à ses côtés.

Il était désormais plus confiant, plus sûr de lui, mais c'est toujours le coeur battant au rythme des cloches qu'il attendit les fidèles devant le parvis de la cathédrale...

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Julienas

La communion s'éternisant et se sachant attendu en taverne avant le repas pour le... quelques... verres de l'amitié... il décide de conclure.

"Quelques mots avant de nous quitter mes frères.

Quand chacun eut regagné sa place, il prend une inspiration puisée on ne sait où, les yeux fermés, puis se lance :

- Tout d'abord, le propriétaire de la chariotte de maïs qui est stationnée devant la cathédrale est prié de la bouger, elle gêne la sortie de la messe. Merci.

Il sourit puis enchaîne :

- Les enfants de notre paroisse vous invitent à leur exposition de petits Aristotes et Christos en pâte à sel, au fond de l'église.
Nous remercions Dame LHOOQ32 au passage, notre brave boulangère, qui n'a pas hésité à sacrifier ses propres miches pour l'opération.
Les enfants étaient aux anges...

Ensuite, il prend un visage plus grave, ferme à nouveau les yeux, les ouvre et dit :

- Dans nos intentions de prière, ayons une pensée pour nos soeurs et frères sur les routes, qui nous manquent...

Il s'interrompt. Avale sa salive, prend une profonde respiration, puis reprend :

Nous pensons aussi à celles et ceux qui vont bientôt nous quitter.
Pour tous, que le Très Haut les protège...

Il laisse le temps du recueillement, les yeux fermés, visage à demi-tourné vers le plafond, les avant-bras levés, mains largement ouvertes, paumes vers le haut.

Après un court moment, il ajoute :

- Mes soeurs, mes frères, au nom de notre Sainte Église, rendez-vous le lundi 9 avril 1460 pour la fête pascale en la Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur de Narbonne.

(en gargotte).

Et, sourire aux lèvres, il conclut :

- Enfin, je tenais à vous remercier toutes et tous pour vostre présence qui me touche particulièrement, pour ma première cérémonie.
Merci à Son Excellence, Monseigneur Galahadd d'avoir pris sur son temps pour être parmi nous et pour la confiance qu'il me témoigne.

Je n'oublierai pas cette messe en nostre belle cathédrale et c'est à vous que je la dédie.

J'ai une pensée particulière pour celles et ceux qui, bien que n'ayant pas pour habitude de fréquenter les édifices religieux, m'ont témoigné de leur soutiens.
Sachez que je mesure pleinement la portée de vostre présence qui m'honore d'autant plus...

Il s'incline devant l'assemblée, en marque de respect, la dextre sur sa poitrine.

- Maintenant mes frères, allez dans la Paix de Christos.

Les fidèles et autres visiteurs occasionnels commencent à se disperser.
Il les suit, ne voulant manquer en aucun cas son moment préféré de la cérémonie, où chacun, encore imprégné de la Parole divine, prenait le temps de parler avec ses semblables sur le parvis, dans la fraternité...

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Cornazzano

Cornazzano arriva tout droit de la mairie sur son cheval. Il était en retard et sa le rendait terriblement malheureux. En ce jour Cornazzano se devait d'allez à l'Eglise.

Il arriva donc devant l'église, son serviteur le suivait de pret. Il rentra dans l'Eglise, un geste de croix fait, il s'avanca. Pas très loin des bancs, Cornazzano fit un très leger geste de la main pour obliger son serviteur à rester sur un banc loin de lui. Il s'avanca toujours puis se mit pas très loin des premiers bancs.

Il regardit le père s'excusant de la tête, il lui avait dit qu'il serait la à l'aube.
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Aulne

c'est Propre comme un sous neuf que la gamine fonça dès les premiers sons de cloche vers la cathédrale.
Elle avait promis d être là pour le soutenir lors de sa première messe et elle serait là... Elle était là.... figée, sous le grand porche que bordait deux énormes tours .

Jamais elle n'avait mis les pieds dans une église, enfin jamais pour prier . le très haut voit tout , entend tout! qu'il lui avait dit le Julienas.
Oui mais bon, jusque là m'a rien dit l'très haut alors pour une fois qu'c'est pour la messe que j'viens y s'ra content.

l enfant déglutit tout en nouant sous le menton le fichu qui recouvrait sa tignasse bouclée puis pénétra à l'interieur, se faufila dans l'allée droite, jouant des coudes parmi les gueux qui assistaient debout à l'office. Fallait qu'elle se mette devant sinon Julienas ne la verrait pas..

Fadette

Le visage pâle dû a ce qu'elle traversait en ce moment , elle partit quand meme pour assister a la premiere messe de Julienas . une promesse etait une promesse et meme si actuellement elle ne désirait qu'une chose comme s'isoler elle prit sur elle et c'est naturellement qu'elle se décida a y aller , elle penetra discretement ne voulant pas se faire remarquer , s'approcha du benitier , se signa et prit place sur un banc au fond de l'église.
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Absix

Ab n'avait pas oublié la Messe célébrée et arriva un peu en retard, préoccupé par ses affaires.

Il entre discrètement, regarde autour de lui un peu perdu et admire le magnifique édifice qu'il n'avait jamais vu de l'intérieur ...

Un salue poli aux quelques connaissances qu'il reconnait, il va s'assoir un instant sur un banc, un peu caché par l'un des piliers, discret.
Sans croyance, il tient à être présent et honorer ceux qui font vivre la ville et qui lui ont fait si bon accueil, avant de reprendre la route.

A sa façon, il ferme les yeux un instant et laisse doucement ses pensées défiler, méditant comme dans une prière...

Violette.guernerac

Val n'était vraiment pas une adepte des grandes places et encore moins des cathédrales ...En réalité elle fuyait tous les endroits ou se rassemblait du monde mais ....

Ce jour là, elle décida de se faufiler discrètement dans la cathédrale pour assister à la première messe du diacre Julienas. Elle attendit que tout le monde entre et se glissa dans la batisse juste avant que ne débute prière, lecture et homélie auxquels elle assista, du fond de la cathédrale.

Philosine

Après s'etre signée de la croix, Philosine prit place à coté de Lusi afin d'assister à la messe.

Tout en récitant le crédo, son regard fut attiré par les vitraux qui laissaient filtrer les rayons du soleil printaniers.

Ses prières furent consacrées aux voyageurs, languedociens ou non, afin que leur voyage se déroule sans incident ainsi qu'à tous ceux qui avaient besoin de réconfort et de soutien.

Lusitana

Aujourd'hui Lusi c’était réveiller au aurore elle avait préparer ces enfant pour qu'il soit tout beaux pur la messe

elle entra dans l église et s assoit discrètement avec ces deux couffins avec elle

puis elles récitèrent le Crédo,

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

Azelys

D'une petite voix, planquée dans un coin, Azelys répéta le crédo en pensant aux stères de bois demandées par delà la prière et sourit.
Elle en profita pour se recoiffer une fois la prière récitée tout en caressant le parchemin ensanglanté et humide.

Julienas

Il s'approche du Livre des Vertus, ouvert à la page choisie, et débute la lecture d'un extrait du chapitre VII de La Préhistoire, "L'exode" :

Citation:

... ils prélevèrent l’or et l’argent des mines et les fondirent pour en faire de la monnaie. Celle-ci leur facilitait les échanges au sein de chaque ville.

5 Mais, surtout, cela leur permettait d’échanger des marchandises entre cités. Mais ce commerce enrichissait certaines alors qu’il appauvrissait les autres. Les cités se concurrençaient de plus en plus pour le contrôle des ressources. Ce qu’elles ne pouvaient avoir par le commerce, elles tentaient de l’obtenir par la force. Ainsi, chaque cité organisa une armée, engageant des soldats, afin de combattre pour enrichir leur communauté et ses dirigeants.

6 Alors, Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre. Il divisa le langage unique en une multitude de langues.

Les humains ne se comprirent alors plus entre les cités. Le Très Haut leur permit ensuite de pouvoir apprendre les langues qu’ils ne connaissaient pas. Cet apprentissage nécessitait pour chacun de s’ouvrir à la culture de l’autre. Ainsi, ils étaient moins enclins au combat, étant donné les efforts nécessaires pour apprendre les langages de ceux qu’ils voulaient attaquer.

Il cesse sa lecture, s'incline devant le Grand Livre, ferme les yeux et laisse chacun méditer sur le texte lu.
Après un long moment de silence, il rouvre les yeux et débute son homélie.

"Dieu décida de leur permettre d’apprendre ce qu’était l’amitié, afin que, plus jamais, un humain n’en tue un autre." commence-t-il reprenant une phrase clé du texte saint.

- Mes soeurs, mes frères, nous qui pratiquons le même langage, sommes-nous toujours à même de nous comprendre entre nous ?

Il sourit.

- Non, bien sûr.
Chaque jour que le Très Haut nous offre, nous savons tous que, bien que parlant la même langue, nous avons souvent des difficultés à nous comprendre parfaitement.

Il commence à agiter ses avant-bras.

- Combien de malentendus chaque jour qui nous poussent à des extrémités parfois ?
De la simple tristesse, pour un mot malheureux prononcé ici ou là, une phrase mal comprise... que sais-je encore...
Oui, de la simple tristesse à la colère, l'un des sept pêchés qui nous éloigne de nostre route vertueuse vers le Paradis...
Ne sont-elles pas fréquentes ces sources de querelles, pour juste quelques mots, quelques idées entendues, lues ou, pire, rapportées ?

Il prend le verre d'eau et boit rapidement.

- Alors imaginez ce qu'il en est avec des frères qui vivent loin de chez nous, dont nous ne recevons que quelques mots, le plus souvent par écrit, voire par des intermédiaires...
Il est évident que nous ne recevons dès lors qu'une petite partie de l'information.
Comment peut-on se croire capable alors de se forger une opinion fiable, ou plus encore, ce qu'on entend parfois, un "jugement" ?
Je vous le demande...

Il laisse chacun réfléchir.

- Et imaginez maintenant ce qu'il en est avec nos frères et nos soeurs qui ne parlent pas la même langue que nous...
Là j'avoue ma perplexité quand j'entends ces juges, prompts à la conclusion hâtive, venir tenir des propos péremptoires mettant de suite à l'index l'autre, "l'étranger"...
Le classant immédiatement comme ennemi, pour quelques mots vite lus, ou entendus...

Nouvelle pause avant de conclure.

- Mes soeurs, mes frères, si le Très Haut nous a donné des langages différents, c'est, comme nous l'indique le Livre des Vertus, pour nous forcer à nous écouter et à nous comprendre.
Pour nous obliger à faire la démarche d'APPRENDRE à nous comprendre.
Oui, "APPRENDRE"... tout est dans ce mot...

Alors, mes soeurs, mes frères, prenons le temps de nous écouter.
Parlons-nous.
Apprenons à nous comprendre et redécouvrons, comme le veut Nostre Très Haut, l'amitié, la vraie.
C'est le seul moyen d'éviter toutes ces morts, toutes ses séparations qui frappent les êtres partout en ce monde.

Amen

Il va s'asseoir et laisse le silence accompagner les méditations de chacun tout en pensant une nouvelle fois à celles et ceux qui lui manquent, en danger sur quelque chemin, ainsi qu'à ceux qui, en attente de LP, s’apprêtent à prendre la route à leur tour.
Prolongeant le silence propice au recueillement, il prie pour ceux-là...

Puis, après s'être mouché, il invite les fidèles à venir communier.

- Mes soeurs, mes frères, partageons ce pain, signe de nostre Amitié Aristotélicienne.
Amitié qui réconcilie et qui donne sens à la vie.

Ce pain est le produit du travail des femmes et des hommes.
Goûtez-moi cette mie épaisse et cette croûte croustillante... il sent la sueur celui-là !
Remercions Dame LHOOQ32 notre boulangère qui est venue ce matin dès l'aube, chargée comme une bourrique, les bras encombrés tant dessus que dessous.

Il invite les fidèles à s'approcher autour du buffet pour partager ce moment des plus appréciés, au cours duquel ils échangent propos divers en buvant et mangeant.
L'occasion aussi des réconciliations, sous le regard bienveillant du Très Haut, un verre de vin ou d'eau à la main...

Frère Jacques, popotier de l'Archevêché, s'étant déplacé pour l'occasion, pour assister à la première cérémonie célébrée par le frère Julienas, s'approche du pichet.
Il lui murmure discrètement en trinquant avec lui :

- Hé, je vous soigne hein, c'est du Julienas...
Du 57 !
Oui Môssieur !

Et, sur un clin d'oeil, il va ensuite au-devant des fidèles qui s’agglutinent autour du buffet pour trinquer avec eux...

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Klara.

La chorale chantait de vive voix

Klara se mit debout et répéta avec les autres le Credo:

Lolesi

Sagement installée près d'une colonne ... elle écoute...

S'il y a bien une chose qu'elle entend, qui lui parle c'est la musique...
Elle ferme les yeux et la laisse envahir sa tête, son coeur, son âme...

Elle ne connait ni les paroles, ni leur signification, mais déjà, elle peut muser avec les choristes... et cela l'emplit de joie.

Le morceau terminé, il lui faut un peu de temps pour réaliser que les autres avaient bougé... ah, il fallait se lever... mince de mince... il va falloir qu'elle soit un peu plus attentive!
Bon que dit Julienas? Faut qu'elle se concentre, des fois qu'il lui demanderait son avis sur le déroulement de la cérémonie... elle sourit, et s'apprête donc a écouter...
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Galahadd

Aujourd'hui un jour nouveau c'était levé sur la capitale , surtout en la Cathédrale de Montpellier , ce jour son frère Juliénas allait donné sa première messe. Monseigneur Galahadd a l'appel des cloches, en habit d'apparat, sa crosse tournée vers l'assemblé pénétra à son tour dans la demeure du très haut. En se rendant vers l'autel il marqua une pause vers la statue de frères Norv, s’agenouilla, embrassa ses pieds. Puis calmement il se rendit sur la place qui lui était réservée et répéta à son tour le Crédo.

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Archevêque de Narbonne.

Blanche_eulalie

Du fond de la cathédrale, Blanche observait les fidèles qui prenaient rapidement place. L'ecclésiastique ne tarda pas à prendre place afin de débuter l'Office.
La Mama, tout en se levant, surveillait du coin de l'oeil sa progéniture, de peur qu'elle ne lui échappe. Ensembles, elles récitèrent le Crédo, unies par cette communion à Aristote et à Dieu.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

Julienas

"Soeur Klara, bonjorn !
Merci, la Paix soit avec vous également.

Il sourit et ajoute :

- Et merci d'être venue avant le pèlerinage.
C'est rassurant d'avoir des proches à ses côtés, ça rassure... chuchote-t-il.

Puis il ajoute :

- Trouvez-vous vite une place, ça va bientôt commencer.

Puis il attend les derniers fidèles avant de débuter la cérémonie.
En-dedans, son coeur bat de plus en plus la chamade, dépassant le rythme des cloches...

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Julienas

Les fidèles et curieux s'étaient rassemblés dans l'église, chacun attendant le début de l'Office, les derniers se hâtaient de s'installer...

Il leur fait face, reconnaissant ici et là des visages connus, fait encore quelques signes de tête, et ferme les yeux.

Le silence emplit alors le vaste édifice.

Il prend une profonde inspiration, toujours gardant les yeux fermés, et, subitement, ne ressent plus aucune angoisse.
L'exercice est parfaitement rodé et c'est d'une voix ferme, et néanmoins chaleureuse, qu'il entame en rouvrant les yeux :

"Au nom de l'amitié aristotélicienne, soyez les bienvenues en nostre cathédrale de Montpellier, mes soeurs et mes frères.

Levant les bras, coudes légèrement fléchis, paumes de mains vers le haut, il poursuit, les yeux en l'air :

- Mon Dieu, Toi qui nous aime comme tes enfants, prend pitié de nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de la pêche, à pieds ou embarqués.
Accorde-nous Ton Pardon.
Et aussi quelques stères de bois...
Oui, du bois bien sec, pour nous chauffer.

Puis se tournant vers l'assemblée, il enchaine :

- Mes soeurs, mes frères, récitons ensembles la prière qui nous unit dans l'Amitié Aristotélicienne.
Crions au monde entier cette Foy qui nous anime et nous rassemble...

Il s'interrompt, se disant à lui même "holà, tout doux mon garçon, t'emballe pas trop, faut durer jusqu'aux rappels".

Il entonne alors le Crédo, invitant des mains les fidèles à l'accompagner.
Et, les trouvant hésitants, il se tourne vers la chorale en disant "Allez ! Haut les chœurs !".

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Julienas

Profondément interloqué, il assista à la scène bredouillant un :

"Vous... êtes sûre que ça va aller... je...

Mais elles étaient déjà hors de sa vue, absorbées par la grosse bâtisse.

Il se gratta la nuque, tourna sur lui-même et guetta à nouveau l'arrivée des prochains fidèles... toujours au son des cloches qui annonçaient le début de l'office...

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Lolesi

Hésitante, Lolesi s'approcha de l'édifice... comme à chaque fois, impressionnée pas la grandeur et la beauté des lieux... et comme à chaque fois, elle savait qu'elle se sentirait petite à l'intérieur.

Elle ne savait trop ce qu'elle venait chercher ici d'habitude, ne se sentant pas vraiment concernée par la foi... mais elle aimait sentir toutes ces âmes battrent au même rythme.
Elle aimait se dire que chacun apportait sa pierre à l'édifice, sa lumière dans la nuit, un éclat de chaleur et même si elle ne savait trop ni qui ni ce qu'elle priait (ni d'ailleurs si elle priait),
elle aimait à se sentir enveloppée par tant d'unité... elle se disait qu'ensemble, ils avaient plus de force pour atteindre... quoi? Les étoiles? Le soleil?

Elle soupira...

Aujourd'hui, si elle était là, c'était pour Julienas... elle savait que c'était un jour important pour lui, même si elle ne lui avait pas parlé depuis longtemps, elle se rappelait très bien la longue conversation qu'ils avaient eue lorsqu'il faisait sa pastorale...

Et elle voulait être là, en soutien ... même si elle n'était pas grand chose, cela lui semblait important...

Timidement, elle grimpa les marches et se dirigea vers celui qui attendait patiemment l'arrivée des.... euh... des gens... oh, pourvu qu'ils soient nombreux!

Bonjour Ju... euh... Mon père ? Comment dit on? Mon frère?

Rougissante, très vite elle murmure

Félicitations!
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Julienas

Il sourit en voyant arriver la rouquine.
Il descend quelques marches pour aller à sa rencontre, prend ses mains dans les siennes nerveusement, peut-être pour mieux se rassurer, et lui dit tout sourire :

"Ah, vous êtes là !
Merci d'être venue, ça me touche vraiment vous savez.

Puis il rit :

- Merci Lolesi, mais "Mon frère" ou tout simplement "Julienas" suffira.
Nous sommes tous les enfants de Dieu, ainsi, nous sommes tous égaux devant Lui.
Lui seul peut donc se voir attribuer le titre de "Père" selon moi...

Il tapote machinalement ses mains et poursuit :

- Il y a déjà du monde d'arrivé dans la cathédrale, entrez vite si vous voulez une bonne place."

Et lâchant ses mains, lui décoche un clin d'oeil complice...

Et de répéter :

- Merci, merci encore...

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Thonolan

Plusieurs jours qu'il était à Montpellier...mais il n'avait vraiment profité de l'ambiance de la ville que dernièrement. Il avait du rester alité quelques temps puis, avait passé une partie de sa convalescence à pêcher... Le jeune et bouillonnant soldat avait là apprit un peu de la patience qui lui manquait en temps normal...

Il devait quitter la ville incessamment sous peu, et avait un peu traîné en taverne. Il était sur le chemin du retour lorsqu'il entendit les cloches de l'impressionnante cathédrale.

Il leva son regard vers l'édifice machinalement, et eu soudain l'envie de s'approcher. Il n'avait jamais été porté par les choses de l'Eglise, était resté en retrait de toute spiritualité, même s'il avait reçut une éducation réservée à une élite. Comme il n'était point destiné à appartenir à cette classe, et qu'il n'avait pas exprimé le désir d'approfondir cette approche, on l'avait laissé tranquille.

Alors quelle étrange attirance ressentit-il ce soir là ? Etait-ce simplement son esprit curieux qui voulait découvrir la beauté de l'ouvrage afin de rendre hommage à ses ingénieurs, artisans, compagnons et ouvriers d'art qui, pendant des décennies, avait permis l'élévation d'un tel monument ?
Ou était-ce plus profond que cela ? Sa blessure récente, l'éloignement de ses proches ou simplement le fait de savoir qu'il devrait repartir bientôt et livrer sa destinée à d'autres que lui ?
Ses longues méditations lors de ses journées de pêche lui avaient-elles fait entrevoir autre choses que la rationalité des choses qui l'entouraient ?
Ou tout bonnement était-ce la mélodie lancinante des cloches qui sonnaient à tout vent cette soirée Pascale...

Quoiqu'il en soit, il s'approcha presque timidement de l'imposant édifice, et monta les marches, le regard attiré vers l'intérieur...
Il y avait d'abord une forme de curiosité dans sa démarche... Comprendre ce qui pouvait pousser tant de gens à venir prier dans ces lieux, comprendre quel réconfort ils pouvaient donc trouver au sein de cette Eglise Aristotéliciénne...

Lorsqu'il entra, il fut d'abord attiré par la lueur des bougies qui illuminaient le coeur de la cathédrale. Tout semblait y être démesuré. Les colonnes qui s'élançaient vers le ciel obligeaient le regard à s'élever vers les vitraux colorés qui glorifiaient le Très-Haut...

Il resta un moment immobile, figé par une question qui l'angoissa soudain, une question qu'il lui semblait impossible qu'il ne se la soit jamais posée :

Croyait-il ou non ? Son esprit cartésien doutait, pour sûr, mais ces doutes étaient-ils suffisants pour écarter toute foi de son âme ?

Et pourquoi cette question était-elle apparue ce soir avec tant de force, alors qu'il lui semblait avoir toujours vécu sans aucune incertitude et sans hésitation d'ordre spirituelle...
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Klara.

Le son des cloches retentirent dans la Capitale.
Les gens était de plus en plus nombreux.
Elle arriva sur le parvis de la Cathédrale.
Poussa la porte.
A l’intérieur,le nouveau diacre était entourée des gens de son village.
Elle s'approcha pour se joindre a eux.
En inclinant sa tête,avec un sourire respectueux,Klara lui exprima sa joie.

Merci mon frère,c'est un grand jour.
Je vous félicite!
Que la Paix soit avec Vous.

Puis elle,s’écarta afin que les autres fidèles s'approchent vers leur guide spirituel.
S’approcha de l'autel et déposa un bouquet des fleurs.
Se plaçant sur un cote de la néve au fond.
Elle s’agenouillât,se signa et les mains jointes
En silence,dans ces pensées elle pria.

*Seigneur, maître du temps,
fais que je sois toujours prêt à Te donner
le temps que Tu m'as donné.

Seigneur, maître du temps,
aide-moi à trouver chaque jour
le temps de Te rencontrer
et le temps d'écouter les autres,
le temps d'admirer
et le temps de respirer,
le temps de me taire
et le temps de m'arrêter,
le temps de sourire
et le temps de remercier,
le temps de réfléchir
et le temps de pardonner.

Blanche_eulalie

Accompagnée de la Mama, la jeune Blanche avait eu l'autorisation de quitter, le temps d'une messe, sa geôle. Qui eu pensé que l’âpreté du couvent finirait par lui manquer ?
La jeune fille, bien qu'encore enfant, plissait les yeux trop longtemps habitués à l'obscurité de la petite bicoque.

Bientôt, elle serait de nouveau enfermée, et ce dans une cathédrale. Mais le climat austère de ce lieu lui était apaisant, elle pourrait alors se confier à Aristote avec plus de ferveur qu'à l'accoutumée.

Sur le parvis de la cathédrale, un homme en tenue de cérémonie religieuse. Blanche s'avança, suivit de la Mama, un sourire éteint sur ses pâles lèvres.

Mon père..

Azelys

Azelys parcourait la ville vers le lieu de prière...celui qui est censé protéger les êtres qui vous sont chers...les accueillir et les soigner...

Elle avait reçu le matin même une nouvelle qui l'avait déchirée, tranpercée et dont elle ne voulait toujours pas croire la teneur...La tête dans cette affreuse nouvelle, les larmes dégoulinant sur ses joues, elle courut presque à la cathédrale pour prier, un pigeon et une missive ensanglantée à la main.
Elle aperçut messire Julienas sur le parvis de la cathédrale et fut surprise de le voir là.
Elle força un sourire et fila dans l'église, faisant grincer la porte et se jeta au pied de l'autel pour prier, posant le parchemin et le pigeon plein de sang dessus.

Elle murmura une longue litanie...
Puis se leva, prit de l'eau bénite et en aspergea le pigeon et le parchemin...comme pour conjurer le sort.

Elle enfila son gant de cuir, griffonna quelques mots, attela son faucon roux et le fit voler par delà les vitraux et l'entrée de la cathédrale à la recherche des Nonnes qu'elle connaissait.

Elle le regarda partir, inquiète.

Julienas

Alors qu'il attendait les fidèles sur le parvis, il vit une enfant livide, le teint blafard s'approcher de lui...

Blanche_eulalie a écrit:

Mon père..

Souriant en retour à la Dona Azelys qui s'engouffrait dans la cathédrale, il tendit les mains en direction de la jeune enfant fragile, comme par réflexe, s’apprêtant à la relever en cas de défaillance et dit :

- Ma soeur, qu'avez-vous ?

Dans l'urgence, il ne jugea pas utile de la prier de se contenter de "mon frère", ou "Julienas" au lieu du "mon Père" qu'il réservait au Très Haut habituellement.

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Blanche_eulalie

Blanche eu un hoquet de surprise lorsque le "père" s'adressa à elle. Les mots s'étaient échappés deux même de la bouche enfantine et une réponse s'imposait. Mais déjà, la Mama pressait Blanche de pénétrer dans l'obscurité de la cathédrale encore vide, empêchant ainsi toute communication avec l'ecclésiastique.

"Blanche, on est pas là pour bavasser."

Les paroles de la Mama se firent insistantes, aussi Blanche baissa la tête devant le père. Les confessions seraient pour plus tard, loin des yeux inquisiteurs de la mère.

"Pardonnez-moi mon père, je m'égare."

Un sourire contrit se dessina sur le visage poupon, et la Mama profita de cet instant de flottement pour prendre son enfant par le bras et la mener dans la cathédrale.
Elles s'installèrent au fond de l'église car la Mama jugeait important de ne pas tenir Blanche trop longtemps éloignée de leur bicoque. Elles seraient les premières parties, la Mama l'avait décidé.

Julienas

Il arriva à la cathédrale pour les derniers préparatifs précédant l'office dominical.
Pour sa première célébration, il avait pris soin de s'y prendre à l'avance, afin de ne pas être pris au dépourvu devant tout évènement imprévisible...

Il poussa la lourde porte, se signa et s'agenouilla face à la nef.

Le ménage ayant été fait la veille, il prit peu de temps pour fignoler la propreté des lieux

Il plaça le Grand Livre des Vertus sur le lin blanc recouvrant le maître-autel.

Puis il lui adjoint les instruments nécessaires à la célébration, tel que le calice qu'il emplit de vin couleur rubis, ainsi que quelques miches de pain pour la communion.

Il alluma ensuite bougies en suif et cierges en cire d'abeille.

Ce faisant, il envoya le petit Pokemon64 sonner les cloches de la cathédrale pour appeler les fidèles à l'office.

Il se réjouissait de les accueillir pour ce grand jour qui représentait beaucoup pour lui, regrettant juste que ses amis hors de Montpellier ne soient pas tous à ses côtés.

Néanmoins, c'est le coeur battant au rythme des cloches qu'il attendit les fidèles devant le parvis de la cathédrale...

(Hrp.
Avec l'accord de ljd Galahadd, Archevêque de Narbonne en charge de la paroisse de Montpellier, je devance quelque peu le début de la messe qui aura lieu demain.
Ceci en prévision des nombreuses absences sur les jours à venir, et donc pour permettre à chacun de se joindre à nous en postant dès ce soir.

Je serai moi-même absent dans la journée de demain, mais débuterai l'office avant mon départ et la poursuivrai dans la soirée, dès mon retour.

Bonnes fêtes à toutes et à tous...

/hrp)

_________________

Julienas

Agenouillé devant la statue du Grand Arnaud, les mains jointes, il se recueillait dans le silence qui baignait l'édifice.
Fatigué...

"Seigneur, Tu as manifesté une grande bonté en faisant de Ton humble fils Ton fidèle serviteur.
Toi qui as crée tout ce qui nous environne à partir d'un point minuscule, accorde moi toujours sagesse et discernement pour que je sache remplir cette tâche au sein de Ton Église.

La flamme de la lampe vacillait et commençait à charbonner.

Il sectionna soigneusement l'extrémité de la mèche puis la remonta, à la lueur de la seconde lampe encore vaillante, et profita de l'occasion pour ajouter encore un peu d'huile.
Elle serait prête pour demain...

L'odeur d'huile brûlée se mêla à celle de l'encens.
Il ne ressentait pas le froid qui transperçait sa chemise, à peine le contact glacé de la lampe sur la pulpe de ses doigts.
Un léger frisson parcourut ses omoplates, il sourit...

Suivant la fumée qui s’élevait en direction de la voûte de l'absidiole, il y joignit ses prières...

- Mon Dieu, protège mes amis partis depuis quelques jours sur les routes.
Accorde Ta protection divine à celles et ceux qui s'apprètent à faire de même dans les heures et les jours à venir...
Mes pensées les suivent, Seigneur... et je...

Ses yeux se fermèrent malgré lui tandis qu'une sensation de vide se fit sentir brutalement au-dedans de lui-même.
"Je ne suis pas seul" tenta-t-il de se convaincre.
"Le Très Haut est avec moi.
Mes frères et mes soeurs ici présents sont ma famille...".

Le silence était tel qu'il aurait presque perçu les battements de son coeur.
Le sang afflua à ses tempes et le froid environnement renforça la sensation de chaleur sur son visage.

Il rouvrit les yeux, les détourna du regard grave d'Arnaud qui le surplombait et jeta un oeil à l'autel.
Ses pensées s'égarent alors sur le fond liturgique qui se formait progressivement dans son esprit depuis quelques jours.

Il sourit et récita son crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN."

Après s'être signé, il se releva lentement, s'inclina devant le maître-autel et sortit.

"Maintenant, au travail !".

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Charles

Le duc de Piémont était un homme pieux c'était de notoriété public, c'est logiquement que la maisonnée de garde le jour dominical s'était vu confier la collation et l'habillement de sa "Gracieuseté Ducale" pour pouvoir se rendre à la Cathédrale.

Comme le soleil brillait en ce 4ème jour de mars, Charles avait décidé de se rendre à pied de l'Hostel Saint Louis à l'édifice religieux, ce qui frappa le duc c'est de ne pas entendre les cloches appeler les fidèles et la réponse lui vint rapidement quand notre pieux homme s’aperçut que les portes étaient fermées et qu'aucun prêtre n'officiait, alors qu'un nom de prêtre était affiché sur l'écriteau.

La colère monta au nez de notre barbu et rouge de rage rentra chez lui prier dans sa chapelle, assurément le curé de Montpelhièr recevrait une lettre pour le sommer de s'expliquer.
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Ladyday

La ville était immense elle ressemblait à un labyrinthe , elle avait quand même trouvé le chemin ,lasse , les pieds couverts de poussière ,soulagée quand même d'être enfin arrivée , Lady pénétra dans la cathédrale .

elle se signa du pouce ,elle jeta un œil aux magnifiques vitraux ,et elle posa ses fesses sur un banc et se recueillie .

elle avait besoin de prier , dans ce voyage entreprit ,elle avait lâchée la main de son tendre Snake son coeur adorée , elle s'était retrouvée toute seule dans la nuit , sur un chemin désert ,entouré de rapaces qui croassaient méchamment , c'était comme toute une armée perchées dans les arbres .

elle n'avait guère fermer les yeux , juste des brins assoupissements ,et quand l'aube s'était mis à poindre ,elle avait repris la route toute seule , avec ses poules et son coq ,et soulager , la ville était devant ses yeux .

Méditant sur ce voyage épuisant ,elle soupira et murmura

___ Seigneur je te salue , gloire à toi Seigneur , je suis bien arrivée , je suis bien vivante , mes poules et mon coq aussi , personne n'a oser les voler , suis bien soulager !

et Puis Lady avait faim , elle se leva , longea l'allée et tranquillement se dirigea vers la sortie , sur le parvis le soleil l'éblouie ,et regardant ses atours si sale tout crasseux , elle se dit qu'il faudrait prendre un bon bain .

elle s'éloigna en fredonnant .
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Un fil , Deux Fils , Trois fils , Brodeuse de mots ...Un pot ,Deux pots Trois pots Confiturière ...

Naudeas

L'abesse n'avait pas prié depuis des jours, les jours qu'elle avait prit pour voyager et rencontrer cette jeune fille. Souvenir d'une de ses amies qui avaient disparu depuis quelques temps déjà. Elle entra dans la Sainte Mère l'Eglise, fit une génuflexion en direction de l'autel. S'avanca doucement pour prendre une place réservée aux clercs. Elle patienta, le temps que le curé de la paroisse vienne enfin célébrer la messe.

C'est à genoux sur le prie Dieu, qu'elle était pour se faire pardonner de ses péchés tranquillement. L'inquisitrice attendit donc que la messe commence.
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Naudeas

Aucun badaud ne venait, elle secoua la tête, seul le vent venait s’engouffrer dans l'édifice. Toujours les mains jointes, la tête baissée, elle se mit à pardonner ses fautes.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés

Elle continua à faire sa propre messe en lisant dans le dogme. Puis enfin elle récita le crédo toujours en sussurant, des fois qu'il y ait d'autres fidèles et qu'ils viennent prier, mais ça elle ne doutait.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Une fois terminée, elle se signa une dernière fois, embrassa son médaillon de Vicaire, les yeux droits devant et sortie de la froide bâtisse.
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Ayena

Ayena s'en allait pour la messe. Parce que la messe c'est bien, ça fait du bien, on y rencontre du monde et lorsqu'on en sort on se sent ressourcé.
Quelle ne fut pas sa surprise de constater qu'encore une fois, la messe n'avait pas été préparée, que les cloches ne sonneraient pas, que chacun resterait chez soit et que le curé se faisait une grasse mat'. C'était indubitablement inacceptable.

Pour la peine, elle récita trois prières à l'intention de l'âme du curé qui sans doute finirait sur la lune et elle s'en fut, fâchée, écrire à ce glandouilleur professionnel.
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- Héraldique > Devenez beaux et belles !

Lonufiel

Lonufiel arriva sur le parvis de la cathédrale ouvrit la porte et entra.
Une fois à l'intèrieur il alla se chercher une place pour s'asseoir et en profiter pour prier pour les personnes qui ont du mal à se loger en cette hiver, pour ceux qui ont faim, pour ceux que la guerre a meurtri.

Ensuite il récita doucement :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers
aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible; En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
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Azelys

Citation:

À l’universalité des fidèles de la Très Sainte Église,
À tous ceux qui liront ou se feront lire,
Au Lion de Judas, suppôts du Diable,

Salutations,

Nous, membres de la Nonciature Apostolique, prenons la plume en ce jour pour faire part de notre profonde colère suite à la sauvage attaque menée contre la ville de Mende et à la mise en procès de notre Très Saint Père Innocent le Huitième par ces vils brigands sans morale que sont le Lion de Judas. En effet, il y a quelques temps, ces barbares sanguinaires ont attaqué la cité languedocienne et ont réussis à s’en emparer. Ces dépravés malfrats en ont donc profité pour mettre en procès Sa Sainteté le Pape, qui se trouvait apparemment en la ville.

Comment le Saint-Père, empli de pureté et de vertu, premier représentant du Très-Haut sur terre, peut-il être mis en procès? Il n’y avait nulle raison pour mettre en procès ce Saint Homme, si ce n’est la vengeance personnelle de ces Serviteurs du Sans-Nom. Le crime, odieux en lui-même, est d’une ignominie incomparable lorsqu’il est commis à l’encontre de cet homme de bien, choisi par le Très Haut pour diriger Son Église et guider l’ensemble des fidèles dans la Foy Aristotélicienne.

Nous faisons donc savoir, par monts et vallées que nous condamnons avec la plus grande fermeté et la plus rigide détermination la mise en procès, pour absolument aucune raison, du Saint Père Innocent VIII. L’infamie de ce crime dépasse l’entendement, et nous démontre encore une fois la noirceur de ce groupuscule composé de barbares hérétiques, serviteurs du Malin. Cela nous prouve, pour une énième fois, que ces personnages inqualifiables, plus vils les uns que les autres, ne sont qu’emplis de péchés et de vices.

Nous ne pouvons qu’être soulagé d’avoir pu lire la missive du Comte du Languedoc, nous confirmant qu’il considérait ce procès n’ayant ni queue ni tête comme nul et non avenu. Nous assurons que nous sommes avec le Comté du Languedoc, et nous espérons vivement qu’ils réussiront à chasser au plus vite cette gangrène ordurière de leur terre. Ils peuvent contacter les Évêques et Archevêques locaux, ainsi que Son Excellence Arthurcano, Ambassadeur Apostolique, pour qu’ils puissent les aider à prendre les mesures nécessaires correctement.

Nous prions également pour les habitants de Mendes, afin qu’ils puissent trouver la lumière du Très Haut à travers les mensonges de ces hérétiques. Nous prions pour qu’ils soient libérés sous peu du joug de ces abjects scélérats. Qu'ils sachent que le Très Haut est au côté de tous les fidèles.

Que le Très Haut protège le Très Saint Père, le Languedoc et Mendes de la folie des hérétiques,

Fait à Rome le XVe jour du mois décembre de l'an de grâce MCDLIX.

Alexandra1

La jeune mariée en lune de miel traversait de village en village faisant son chemin avec ses compagnons de voyage et son époux. Mais la brunette n'était pas qu'une jeune mariée, elle était aussi Première Archidiaconesse du diocèse d'Arles en Provence et ainsi agrémenta son voyage en visitant toutes les Églises et les Cathédrales qui se dressèrent sur sa route. Bien qu'elle avait prit congé de ses charges ecclésiastiques, sa spiritualité et la richesse culturel lui était important. La voilà donc, dans tout l'ensemble religieux qui la constituait ( Schwester et Warterin de l'Ordre Teutonique, Première Archidiacre d'Arles, Diaconesse de Marseille, fidèle et nouvelle mariée ) en train de gravir les quelques marches de cette Cathédrale qu'elle découvrait pour la toute première fois avec les yeux d'un enfant découvrant le calisson ou le nougat pour la toute première fois.

Une fois l'enceinte du saint lieux passé, sa gourmandise de la découverte lui en était presque péché et pour cette faison elle fit acte de pénitence en allant réciter la prière fédératrice de l'Église en silence. Près d'un banc elle s'agenouilla puis retira le capuchon de sa cape teutonique qu'elle laissa retomber sur ses épaules et enfin se signa. Mine timide, la jeune femme profita de sa posture plus discrète pour scruter des yeux l'endroit qui l'entourait en impreignant chaque détail dans sa mémoire. Un grand sourire à peine dissimuler que celles-ci se mirent à mimer quelques paroles:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Puis un énorme poids de culpabilité vint peser sur ses épaules se rappelant qu'il y avait une manière de s'offrir à Dieu et qu'un minimum d'effort devait être fait avant de se présenter devant Lui; Livre des Vertus, Les Écrits des Saints et des Bienheureux, Saint Origène: De la prière.

Au moins elle avait su choisir un lieu de culte adéquat pour la prière bien que cette sérénité spirituelle pouvait se faire en tout lieu car chacun d'eux fait parti de l'univers. Et comme elle était à l'intrieur, il lui était difficile de savoir où se trouvait le levant mais elle présuma que ce fait fut sans doute considérer lors de la construction de la Cathédrale où elle se trouvait.

Mais voilà où tout se gâchait:

"Celui qui se dispose à prier doit se recueillir et se préparer quelque peu, pour être plus prompt, plus attentif à l’ensemble de sa prière. Il doit de même chasser toutes les anxiétés et tous les troubles de sa pensée, et s’efforcer de se rapprocher de la grandeur du Très-Haut. Songez bien qu’il est impie de se présenter au Très Haut sans attention et sans effort, avec une sorte de sans-gêne ou de désintéressement qui ne pourrait que contrarier le Très Haut."

Voilà ce qu'elle avait bien réussi à faire, se présenter pour prier alors que son attention était porter à la découverte de ce nouveau lieu. Ce qui n'était pas très malin de sa part !

"En venant à la prière, il faut présenter pour ainsi dire l’âme avant les mains, élever l’esprit vers Dieu avant les yeux, dégager l’esprit de la terre avant de se lever pour l’offrir au Très Haut.
L'amitié aristotélicienne doit présider son âme avant de s'adresser au Très Haut, c'est pourquoi, il faut oublier tout ressentiment des offenses qu’on croit avoir reçues, si on désire que Dieu pardonne le mal que l'on a commis."

C'était ici la première étape à franchir, elle devait donc se pardonner à elle-même son offense afin de se consacrer uniquement à lui et parvenir à lui présenter d'abord et avant tout son âme. Roulant des yeux devant sa bêtise, la pensée suivante lui vint à l'esprit: "Heureusement qu'il sait que je ne suis pas méchante ..." Et oui ! C'était là sa maigre consolation pour ses bêtises qu'elle savait petites et qui l'aidait à tendre vers la vertus plus qu'à toute autre chose.

Ainsi se reprit-elle en se levant debout se laissant à l'abandon dans les mains du Seigneur, bras légèrement écartés, paumes et yeux levés vers le ciel tout en se souvenant: "Comme les attitudes du corps sont innombrables, celle où nous étendons les mains et levons les yeux au ciel doit être sûrement préférée à toutes les autres, pour exprimer dans le corps, l’image des dispositions de l’âme pendant la prière." Elle prit donc cette position car son seul désir était de se consacrer uniquement à LUI.

L'object de sa prière n'était pas un bien matériel, l'honneur ou la richesse mais simplement l'Aimer en retour de son Amour.

Et une fois de plus, après s'être disposée à lui, l'avoir Aimé en retour de son Amour, elle s'agenouilla de nouveau, agenouillement spirituel, symbole de pécheur. Elle lui demanda de lui pardonner sa faute de ne s'être entièrement consacrée à lui avant d'entreprendre sa prière alors qu'elle s'était pardonnée elle-même et qu'en toute humilité, regret sincère, elle lui demanda pénitence.

Après un long moment de prière, de silence et de recueillement, elle se releva enfin et quitta le saint lieu avec la conviction qu'IL lui pardonnera sa mauvaise conduite car elle avait foi en Lui et elle savait qu'IL savait combien elle Lui vouait un Amour inconditionnel.

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Azelys

La bergère entendit des louanges à l'église et s'approcha. Elle ouvrit doucement le porte de l'église et écouta..

Magnifique, pensa t'elle

Elle se signa, attendit la fin da la litanie et sortit aussi discrètement qu'elle était venue.

Ayeline

Caché tout au fond de l église , se frottant les mains essayant de se réchauffé entre ses murs , la petite rousse s était à agenouillé à l écart de sorte de ne pas froissé les personnes de par sa tenue
quelques peut rudimentaire , en loque .

Les doigts croisés genoux au sol , les yeux clos priant à voix basse Aristot , son attention fut attiré par une voix nul autre pareil .

Ouvrant un œil , puis l autre cherchant d ou cette voix si douce pouvait venir , lorsque enfin son regard se porta sur un messire devant l entré .

Une léger sourire vint élargir ses lèvres écoutant le chant , se laissant ainsi porter par les paroles
puis un silence , presque lourd losqu il vint à finir ses louanges .

Doucement elle se signa et sortit

Luna_anar

Mon oncle Finubar souhaite que je suive les principes de l'Eglise, ainsi donc je rentrai dans la cathedrale aux cotes de ma preceptrice.
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Axel_de_fersen

Arrivant a Montpellier Bel vit le clocher de l'église , tout naturellement elle si dirigea d'un bon pas .
Poussant la lourde porte en bois elle pénétra dans ce lieu qu'elle affectait tant..
Elle se signa , puis traversant la Nef se rapprocha de l'autel , y alluma un cierge .

S'agenouillant sur le prie-dieu les mains jointes ,elle récita son credo ...

Ell se signa tout en se relevant , puis sortie de l'enceinte .

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Guivrach

Guivrach a peine arriver en ville entra dans l'église et s'adressa d'une voix basse au très haut.

Trés haut permettez moi une fois de plus de chanter vos louanges dans cette église. permettez moi aussi d'une faire une pause dans mon voyage, non pas que je veuillent plus voyager de ville en ville pour chanter votre gloire mais juste le temps de me faire baptiser.

Merci très haut de m'avoir écouter.

Guivrach sortie de l'église et se tient sur le parvis pour être entendue de tous et commença a chanter.

Refrain
A Toi je m'abandonne
Je Te suivrai
Et quand mon heure sonne
Je Te verrai

Ma main est dans la Tienne
Aristote prends-là
Ta voie sera la mienne
Je suis Tes pas

Soulage ma détresse
Viens près de moi
Regarde ma faiblesse
Affermis-moi

Des profondeurs j'appelle
Ton nom, Aristote
A l'ombre de Tes ailes
J'ai accouru

Je garde Ta parole
Je T'obéis
Aristote, Tu me consoles
Sois mon appui

De l'ombre des ténèbres
Tu m'as tiré
Je chante et Te célèbre
Mon doux Berger

Une fois le chant fini il se dirigea vers une taverne, tout cela lui avait donner soif

Amelia.

Pas de messe à Montpellier. Toujours pas. La jeune rouquine s'en désolait, mais elle savait qu'il n'était pas chose aisée de trouver un ecclésiastique. Ayant toujours du temps à accorder au Très-Haut, Amelia passa les portes de la cathédrale. Le vide résonnait terriblement quand ses pas frappaient le sol de l'édifice religieux. Assise, elle se mit à réciter le Credo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen

Eugenie

Malgré le fait qu'aucun homme d'église ne s'occupait de cette magnifique cathédrale, l'imposant édifice n'en était pas pour autant laissé à l'abandon. En effet, les plus démunis étaient parfois sollicités pour s'occuper de diverses tâches au sein de la cathédrale contre quelques pièces, 5 écus tout au plus. Il parait qu'ainsi on y gagne la bénédiction du grand patron... mais pas assez pour planter ses crocs dans un bon bout de pain chaud.

En tout cas, Eugénie n'avait pas trouvé mieux à faire aujourd'hui pour gagner sa modeste croûte. Les fidèles venaient encore ici et il fallait laisser les lieux en état. Aujourd'hui on lui avait dit de passer en soirée, et de s'occuper de retirer les cierges qui avaient finis de se consumer, et de sortir de la réserve de nouveaux cierges prêts à les remplacer le lendemain. Bon, faut dire que pour 5 écus fallait pas s'attendre à faire le boulot du siècle, rien de bien passionnant là dedans.

Alors que le soleil commençait à décroître, la jeune femme entra dans l'édifice d'un air nonchalant. L'immensité du site vide de toute présence semblait-il faisait son petit effet. Chaque son venait résonner de mur en mur pour s'emplifier. En trainant des pieds, Eugénie alla rejoindre l'immense chandelier où trônaient les cierges. Certains s'étaient entièrement consumés, alors qu'une flamme dansait encore sur certains.

Gonflant ses poumons d'une grande inspiration, Eugénie souffla de toute ses forces en direction des cierges, balayant en un instant les quelques flammes encore vivantes et les prières qu'elles incarnaient. Son rire clair résonna alors dans toute la pièce.

Joyeux anniversaire Eugénie !!

Puis elle s'empressa de retirer l'ensemble des cierges présents devant elle, pour les jeter et les remplacer. Eugénie ne se souvenait plus exactement où les cierges neufs étaient rangés, bien qu'on le lui avait expliqué lorsqu'elle avait accepté le contrat. La jeune femme se dirigea alors vers l'autel et les grandes armoires présentes à côté pour fouiller et espérer mettre la main dessus.

Son rire se fit de nouveau entendre lorsqu'elle trouva par hasard après quelques secondes de nombreuses bouteilles de vins liturgiques réservées pour l'eucharistie. Ces bouteilles provenaient de Guyenne, mais celà lui importait bien peu, d'ailleurs elle n'y connaissait rien en vin. Eugénie sortie alors plusieurs de ces bouteilles ainsi que la coupe finement ouvragée et destinée à recueillir ce vin lors des cérémonies, et les exposa sur l'autel.

Mais très vite son envie d'y goûter fut confronté à un bête obstacle : elle n'avait rien pour ouvrir les bouteilles. Elle essaya bien naïvement avec ses ongles de faire sortir le bouchon, ou de le pousser à l'intérieur, puis d'un geste de colère elle éclata le haut de la bouteille sur l'autel. Le verre explosa et la moitié environ de son contenu gicla tout autour, venant recolorer le buste d'Eugénie en rouge. Il ne lui restait plus que le cul de la bouteille encore plein qu'elle vida dans la coupe, avant de la vider elle même dans son gosier.

Elle essuya d'un revers de manche l'épaisse goutte d'alcool qui glissait le long de son menton et soupira d'aise. Avec un plaisir non dissimulé, elle s'ammusait à éclater les autres bouteilles de la même manière pour récuperer le précieux nectar et en remplir la coupe. La sensation procurée par l'action de briser faisait monter en elle l'excitation, en même temps que l'alcool lui montait à la tête au fur et à mesure. Elle leva sa coupe en direction de Jésus qui tronait sur sa croix non loin.

A ta santé l'ancêtre !!

Elle rit alors niaisement de sa remarque avant de continuer à s'enfiler les gorgées. La belle Eugénie finit par ne plus tenir sur ses jambes et se vautra par terre dans la belle flaque de vin et de verre qui s'était formée à ses pieds. Il y avait peu de chance maintenant pour que les fidèles trouvent de nouveaux cierges prêt à l'emploi le lendemain. Mais elle en tout cas, à défaut de gagner une fortune elle avait put s'offrir une tournée générale pour bien peu.

Wantaka

Arrivée dans cette ville, Wantaka se dirigea vers l'église, elle entra se signa et prit place sur un banc, à genoux , elle récita le credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen

Ptronille25

Aaaaaatchii Oups, pardon Seigneur

Elle renifla un p'tit coup, n'ayant rien sous la main pour s'essuyer le nez. Enfin si, elle avait bien la manche de sa chemise mais comme elle voyageait léger et n'avait pas pris de rechange... Il fallait que celle ci tienne jusqu'au retour donc.
Bref, elle renifla en espérant que cesse ce picotement désagréable qui lui titillait les narines depuis qu'elle était entrée dans la cathédrale et s'avança plus loin dans la nef, regardant de droite et de gauche si sa bruyante irruption n'avait dérangé personne.

Apparemment ça ne risquait pas ... la maison de Dieu était déserte. Déserte et comme à l'abandon si elle en jugeait par la couche de poussière qui recouvrait les bancs, jusque y compris les plus proches de l'autel. Ma foi, elle n'y poserait pas son fessier, voilà tout (ça tombait bien, il était encore endolori par sa chute récente). On pouvait tout aussi bien prier debout, pas vrai ?

Pétronille, s'arrêta un instant devant le choeur pour en admirer les baies colorées, se demandant quel saint y était représenté. Pas facile quand on ne connait pas l'histoire locale ... Il lui sembla que c'était Sainte Boulasse sur la droite, reconnaissable à ses pieds dépassant d'une énorme barrique de vin. Mais les autres ...
Puis elle remonta la travée jusqu'à une sorte de petite chapelle latérale où quelques chandelles étaient empilées à côté d'un porte-cierge qui ressemblait à un râteau. Pétronille fouilla dans son aumônière pour en extirper un bel écu toute neuf et brillant, pris une chandelle dans la pile et posa sa pièce à côté.

Grumpf, pas de feu ! Elle avait beau regarder, pas le moindre lumignon en vue.

La veuve hocha la tête, contrariée, et dû se résoudre à ressortir du lieu- saint, sa chandelle de suif à la main, pour tenter de trouver une taverne d'ouverte où quérir de quoi en allumer la mèche

Tssss ! Si c'est pas malheureux de voir ça tout de même ! Une si belle cathédrale abandonnée ... Nan mais j'vous jure ... ëtre obligée d'aller en taverne avant de prier, on ne me l'avait encore jamais faite . C't'une ville de mécréants ... !
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Pétronille veuve d'Astutus

Galahadd

Citation:

Nous, Mgr Galahadd, Évêque de Nîmes, par la grâce du Créateur et de Sa Sainteté le Pape Eugène Cinquième

Salutations Aristotéliciennes !

Suite au décès brutal de notre bien-aimé défunt archevêque métropolitain, Mgr Pierroléon de Riddermarck, avons décidé de décréter un pèlerinage dans la Bonne ville d'Alais.

Cette ville a vu grandir Mgr Pierroléon de simple Diacre à Archevêque, mais c’est aussi celle qui accueillera son cœur selon ses dernières volontés.

Ainsi, toute personne souhaitant rendre un dernier hommage à notre défunt Archevêque, est invitée à venir passer deux jours à Alais le 13 et 14 Juillet 1459 pour assister à la cérémonie d’Adieu, présidée par nous-même.

En sus, un cortège sera constitué pour transporter le cœur de Mgr Pierroléon de Narbonne à Alais, toute personne volontaire et désireuse de participer à ce cortège doit contacter l’aspirant-Lieutenant Korrigans au plus tard le 06 juillet. Soucieux de votre sécurité, La date de départ vous sera transmise au cas échéant.

Puis Aristote guider vos pas.

Faite à Narbonne, ce XX jours de l'an de grâce 1459.

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Archevêque de Narbonne.

Padremanuel

le futur prêtre, enfin il l'espérait, entra dans la demeure d'Aristote, cette maison était bien trop grande pour lui, lui qui ne souhaitait, plus tard qu'une petite église.

Il se dirigea vers l'autel et se signa devant, avant de prendre place sur une des chaises afin de prier
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Galahadd

Nous, Mgr Galahadd, Évêque de Nîmes, par la grâce du Créateur et de Sa Sainteté le Pape Eugène cinquième,

Salutations Aristotéliciennes !

Aujourd'hui je suis dans votre bonne ville avec le cœur de mon frère bien-aimé défunt archevêque métropolitain, Mgr Pierroléon de Riddermarck, un pèlerinage est organisé il nous mènera dans sa bonne ville d'Alais le. 13 et 14 Juillet 1459
Un cortège est constitué pour transporter le cœur de Mgr Pierroléon de Narbonne à Alais,
La relique de son cœur est portée par la garde épiscopale

ensuite suit le cortège qui récitera les prières et chantera les chants de notre sainte église.

Ainsi, toute personne souhaitant rendre un dernier hommage à notre défunt Archevêque, est invitée à venir me rejoindre pour me rendre sur Alais voir m'accompagner un ou deux jours.
Cette ville qui a vu grandir Mgr Pierroléon de simple Diacre à Archevêque, est aussi celle qui accueillera son cœur selon ses dernières volontés.

Puis Aristote guider vos pas.

Faite à Montpellier , ce 10 juillet de l'an de grâce 1459.

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Archevêque de Narbonne.

Marieck_de_osmosi

Marieck se promenait à la découverte de cette ville. Il n'y avait pas grand monde ni dans les tavernes, ni dans les rues. Au détour de sa promenade, elle tomba emerveillée sur la cathédrale. Elle était grandiose .... Elle l'admira un moment puis se décida d'entrer. Et elle ne fut pas déçue, l'intérieur était somptueux. Elle avança doucement jusqu'au premier rang, le nez en l'air à regarder de partout. Une fois assise elle se mit à prier "à sa façon". Personne encore ne lui avait appris à bien le faire.

Bonjour. Je me suis renseignée hein et je connais votre nom maintenant. On m'a dit qu'on devait vous appeler le Très-Haut. Vous ne me connaissez pas bien hein, je m'appelle Marieck. Il parait qu'on peut tout vous demander. Alors, s'il vous plait. Si vous avez le temps de lui parler, demandez lui de renoncer à son projet. Quand je serai établie je vous promets que je me ferai baptiser. Mai pas maintenant hein, j'ai pas trop le temps.
Bon, je vais y aller là ... Bin merci et à la prochaine fois.

Marieck se leva et fit une petite genuflexion respectueuse, puis elle reprit l'allée vers la sortie.

Marie_jeanne

Dame Marie Jeanne entra dans le lieux saint, l'enceinte était vide.
Elle s’avança d'un pas discret , en direction de l'autel .

La, elle s'agenouilla et commença a prier ...

sa prière fini marie jeanne s'attarda a regarder les vitraux et autre sculpture.

elle se dirigea enfin vers la sorti un dernier coup d'oeil et passa la lourde porte.

Susu74

susu ne s'installa pas, se contenta de marcher, de visiter la cathédrale et de regarde si tout cela avec changé
susu etait de passage dans coin aprés tant d année et trouve que auriia avec fait du bon travail de cette ville susu prend une bougie puis fait un voeux et prie le ciel encore et encore puis se retourne et se dirige vers la porte et puis la sortir d un son de voix susu crie fort

auriia je t ai aimé et tu sera toujours dans mon coeur

puis prendra route du coté des tavernes avec un sourit au lévre

Camilia

La jeune demoiselle se promenant dans la ville, aperçut une porte en bois imposante.
Curieuse de savoir se qui se cacher derriere, elle partie la pousser de toute ses forces.
Le regard de Cami se posa a l'interieur des lieux.
Un sourire sur le coin de ses levres, elle entra discretement et se dirigea vers les bougies allumées pour certaines.
Cami se signa, prise une bougie qu'elle alluma a laide des autres.

Pour toi mon Fils, que le tres haut veille sur toi....

Elle resta silencieuse un moment puis baissant les yeux, se dirigea vers la sortie toute aussi discretement qu'elle est venue

Pachillou

Devant le parvis de la cathédrale

Les Ponots avaient vécu l'Apocalypse pendant une longue semaine : braises, pluies bouillantes, loups, incendies, tremblements de terre s'étaient abattus sans relâche sur la bonne ville du Puy-en-Velay. Au 27 janvier, il n'en restait plus rien. Quelles explications donner à cet événement ? Pachillou avait une réponse toute trouver :

Le Puy a disparu ... J'ai péché ... J'expie

Un coup de ceinture sur l'épaule gauche

Le Puy a disparu... J'ai péché ... J'expie

Un coup de ceinture sur l'épaule droite

Le Très-Haut nous a puni, nous tous, car nous ne l'avons pas assez craint, nous ne l'avons pas assez prié, nous ne l'avons pas assez écouté

Vêtue d'une simple chemise blanche, les taches de sang rouge étaient visibles, une nouvelle apparaissant à chaque coup de fouet

Le Puy a disparu ... J'ai péché ... J'expie

Un coup de ceinture sur l'épaule gauche

Le Puy a disparu... J'ai péché ... J'expie

Un coup de ceinture sur l'épaule droite

Le Très-Haut nous a puni, nous tous, car nous ne l'avons pas assez craint, nous ne l'avons pas assez prié, nous ne l'avons pas assez écouté

Le Puy a disparu ... J'ai péché ... J'expie

Un coup de ceinture sur l'épaule gauche

Le Puy a disparu... J'ai péché ... J'expie

Un coup de ceinture sur l'épaule droite

Le Très-Haut nous a puni, nous tous, car nous ne l'avons pas assez craint, nous ne l'avons pas assez prié, nous ne l'avons pas assez écouté

Et cette scène macabre dura ainsi pendant des heures ...
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Ex-ponot ayant survécu à l'apocalypse, maintenant habitant de Murat en Bourbonnais-Auvergne.
Roturier. BAroudeur.
Ambassadeur Royal de France auprès de l'Irlande et de la Provence

Eshu

Eshu qui n arrivais pas a se reconstruire de la mort du puy s genouilla a cote de pat et priat avec lui

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
_________________

Ariana_anthea

Ses pas l'avaient menée vers la Cathédrale comme on se réfugie vers une mère aimante...

Elle avait besoin d'un instant de calme et de recueillement. Trop de choses la tourmentaient en ce moment...

Elle entra donc, prenant quelques minutes pour admirer l'architecture et la beauté des lieux...

Puis, elle avisa un endroit au calme, s'y rendit, s'agenouilla et s'abima dans une prière silencieuse demandant au Très-Haut de la soutenir et surtout de lui montrer la voie...

Elle était, à cet instant, tellement en dehors du monde, qu'elle ne remarqua même pas que des larmes coulaient le long de ses joues...
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Elsie.

Elle ne s'installa pas, se contenta de marcher, de visiter la cathédrale, d'en apprécier l'architecture, les vitraux. La bâtisse était déserte, la poussière accumulée sur certains bancs laissant deviner le peu de fidèles qui venaient s'y recueillir ou qui, tout comme elle, n'éprouvait peut-être pas le besoin de s'asseoir pour le faire. La rousse trouva un certain apaisement dans la sérénité émanant des lieux, de multiples questions fusant malgré tout dans son esprit.

Des décisions étaient à prendre, et son humeur était à faire les choses sur des coups de tête, des coups de coeur. Rien de raisonné en somme, aussi continua-t-elle à errer entre les rangs, en vain.

Plusieurs minutes plus tard, la main sur la porte qui la tenait entrouverte, elle se signa, balaya d'un dernier regard l'immensité de l'endroit puis sortit.
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Pierroleon

D'Alais à Narbone, il y avait bien de la route.

L'archevêque de Narbonne, accompagné de lourds chariots et de quelques gardes épiscopaux à cheval, avait pris l'ensemble de ces biens pour aller s'installer dans son palais de Narbonne.

Cinq gardes se postèrent près des portes de la cathédrale, les firent s'ouvrir.

L'archevêque, en habit de simple prêtre et portant son fameux chapeau romain noir à tricorne, arriva sous l'acclamation de dizaines de paroissiens, surpris de le voir ce jour.

Monseigneur bénit la petite foule.

Il dit ces mots à l'assistance sous la grande porte centrale de la cathédrale :

-Mes chers amis de notre Sainte Eglise, chers fidèles languedociens,

Je suis bien heureux de vous voir et d'aller à la rencontre des Montpelliérains dont j'ai entendu de si bonnes choses.

Montpellier est une ville moderne et belle. J'admire vos hôtels et cette belle cathédrale.Votre imposante cité a la chance d'accueillir en le sein de notre Eglise et de cette cathédrale, un bien honnête homme.

J'espère que chacun se rend compte de la chance qu'il a de pouvoir se confesser à Monseigneur Pouic.

Un saint languedocien, humain et dévoué à la cause d'Aristote.

Allez aux messes qu'ils organisent.

Si le temps me manque pour célébrer en sa compagnie un office, je reviendrai ici profiter du bel air pur et sain de Montpellier.

Puis, Monseigneur de Riddermark fit un signe de croix devant la foule de plus en plus grande et lança quelques gouttes d'eau bénite.

Montpellier, soit bénie ! Qu'Aristote protège tes habitants et tes serviteurs fidèles ! Amen.

La foule reprit le crédo que l'archevêque récita en choeur.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis...

Puis, l'archevêque se retira dans l'édifice, après moults au revoir.

Desiderade

Tout ceci commençait à ressembler à un vrai pèlerinage. Chaque jour, une nouvelle maison de Dieu.
Comme à son habitude, elle pria en silence.

Tu nous guide quand notre âme est embrouillée
Tu guéris le chétif et le maladif
Tu nous offre tes vêtements quand les nôtres sont mouillés
Tu éloigne les marchands des brigands, les bâteaux des récifs

Tu soulage les plaies
Tu guide tes prophètes pour qu'ils puissent nous montrer la voie
Tu nous sauve des guerres en aidant la paix
Tu fais règner l'ordre quand toutes s'égarent les voix

Et nous, nous te louons
Et nous, nous nous confessons
Et nous, nous t'aimons
Ô Très-Haut!
Soit loué!

Credo

AMEN

Coalbe2

Coalbe avait perdu une amie, au plus qu'une amie.... elle decida d'aller prier pour elle. Elle espérait que le Très-Haut prenne soin d'elle. Elle s'agenouilla et commença a prier :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis...

Elle murmura : tu vas me manquer...... Une larme coula et puis se ressaisit il fallait continuer.....

Laellyne

Bonjour je suis yasmin1923, j'ai suivi la pastorale à Bourges. Je voudrai me faire baptiser le plus rapidement .
Je ne sais pas si c'est ici que je dois me renseigner. Pourriez vous me dire la marge à suivre
Je vous remercie d'avance.
Yasmin

Ci joind le papier comme quoi j'ai bien passé la pastorale.
Sujet: Re: pastorale LX, Patrocle34, début Lundi 12 Aujourd'hui à 0:26

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Patrocle n'était plus dans la salle depuis longtemps mais en entendant les protestations, il fit afficher les résultats par un disciple pour que ce soit plus clair.

Citation:

Reçus

Yasmin1923
Chrie6768Celma
Damefloresse
Falbila
ledigue
Hermina
Napoleon_louis
Clotildette
Teny

Cecile34

cecile etait arrivée a montpellier et avant de trouver une paillasse pour dormir elle rentra dans la cathedrale....celle ci etait vide.....se mettant a genoux elle commenca a prier en silence

a la fin elle se leva et fit bruler un cierge

ses pas l emporterent vers l exterieur, le soleil commencait a chauffer il etait temps pour elle de trouver un lieu pour s y reposer

Pouic

Monseigneur Pouic, le curé de Montpellier, vint afficher le message d'arrivée de notre nouvel Archevêque de Narbonne , qui était le bien connu Monseigneur Pierroléon, précédemment évêque de Nimes !

Citation:

AUX FIDELES
DE LA PROVINCE ECCLESIASTIQUE DE NARBONNE

Nous,
Monseigneur Pierroléon de Riddermark,
Archevêque métropolitain de Narbonne,
Primat de la Gaule narbonnaise,
par la grâce du Créateur et de Sa Sainteté le Pape Eugène cinquième,

Prenons acte de notre élection au poste d'archevêque métropolitain de Narbonne et remercions vivement les membres de l'Assemblée épiscopale de France de nous avoir choisi à la quasi unanimité.

Il est une grande joie et une grande charge que de servir la Province de Narbonne à laquelle nous sommes attaché et qui nous a donné les plus beaux fruits de sa spiritualité.

Nous souhaitons que notre élection soit le signe d'une confirmation de la foi aristotélicienne en notre Province.

Nous voulons que la paix religieuse soit un fait.

L'Eglise Aristotélicienne, si belle et si grande par son inspiration, son dogme et ses textes, doit ouvrir ses portes pour accueillir les autres et prôner l'amour du prochain.

Notre Eglise n'a pas vocation à batailler contre les autres, que ce soit au niveau des religions ou de la politique.

Nos clercs doivent être irréprochables, sortis des bassesses et des compromissions politiques.

Nous souhaitons que chaque clerc de notre Province se consacre entièrement, fidèlement à sa mission spirituelle et que tout engagement en politique soit le plus possible banni.

Nous souhaitons que la tolérance prenne le pas sur les combats stériles et finissants qui conduisent trop souvent à des, des haines et des rancœurs qui ternissent l'image de grandeur innée de nos Saints et maîtres Aristote et Christos.

Il faudra du courage et de la peine pour mener à bien ce vaisseau vers les rivages de la plénitude.

De nombreux chantiers seront lancés pour que chaque fidèle puisse vivre dans la quiétude de l'esprit sa foi et qu'il se réalise au sein de sa famille aristotélicienne.

Nous invitons chaque fidèle à faire vivre nos paroisses et notre institution en les fréquentant et en s'y engageant.

Notre Eglise est humaine. Sans Hommes, point d'Eglise.

Je compte sur tous les fidèles de notre Eglise et tous ses serviteurs pour faire de notre Province de Narbonne une terre de l'excellence divine.

Salutations aristotéliciennes,

Gloria et pax,

Fait en l'archevêché de Narbonne,
ce vingt-septième jour du mois de juillet mil quatre cent cinquante huit.

Monseigneur Pierroléon de Riddermark

_________________

Ex-Edile de Pontarlier, élu haut la main sur la liste Hydrique...

Nath31

Avant de partir pour Lodève, elle voulut faire une tour à l'église. Serrant Ericia contre elle , elle poussa la lourde porte et entra. Elle s'installa dans le fond de la nef et admira l'édifice. Le soleil faisait briller les vitraux et une lumière douce l'éclairait. Elle resta là un long moment à contempler, à rêver, sa fille dormant calmement dans ses bras. L'endroit était calme et elle se laissa aller, fermant les yeux, à penser à tout le chemin parcouru et à tous les projets encore à venir. C'est certain, ils ne resteraient jamais inactifs... Sa réflexion la fit revenir dans le berry, sa terre natale. Son frère que devenait il? Elle était sans nouvelle. Elle pensa à sa soeur Coccy et son coeur se serra un peu... elle avait eu tant de déboires ces derniers temps. Il falait la soutenir du mieux qu'elle pouvait. Tous ces amis partis loin pour certains... ils reviendraient c'était certain. Profiter de ce moment, de ces quelques jours de repos, de détente, c'est ce qu'elle devait faire. S'occuper de son mari, de sa fille... et d'elle aussi. Elle s'était tellement oubliée ces derniers temps, qu'elle devait retrouver ses priorités. Sa famille avant tout ! Du moins pendant ses courtes vacances car elle le savait les affaires reprendraient rapidement le dessus. Elle soupira et se leva calmement en voyant Ericia se réveiller et ouvrir ses grands yeux vers sa mère. Elle la regarda en souriant et l'embrassa doucement sur le front. L'heure de son repas approchait et elle n'avait plus le temps de trainer. Elle revient donc vers l'allée centrale, se signa, sortit de l'église et se dirigea vers son hotel.

Fool.deboishardy

Fool vit arriver son parrain avec plaisir et soulagement. Il avait craint qu'Antimond ne l'oublie, emporté dans la tourmente de la vie publique languedocienne... Il avait put se libérer. Il lui en était reconnaissant. Il lui rendit son sourire puis reporta son attention vers la cérémonie. Il était heureux de se retrouver ainsi entourer de ses amis et de son amour pour cette importante journée. Il jeta un oeil vers Chelséa qui se tenait à ses cotés. Les sentiments qu'il avait éprouvé à son égard dès leur première rencontre étaient toujours bien présent, et faisait battre la chamade à son coeur chaque fois qu'elle était en sa présence. Il regretta de ne pas lui dire plus souvent combien elle comptait pour lui, combien son Amour était précieux à ses yeux.

Il quitta sa contemplation pour écouter Dona Desage qui prenait la parole à l'invite de l'évêque. La jeune bourgmestre commença son discours sur son filleul. Fool ne put retenir un fugace sourire à l'évocation de sa première rencontre avec cette fillette au tempérament bien trempé enfouit sous un couvert de douceur et d'innocence, marquée malgré tout par une tristesse propre à une jeune orpheline. Mais elle n'avait cesser de l'étonner par son énergie depuis cette époque qui lui paraissait bien lointaine en ce jour. Il rougit aux derniers compliments de sa marraine et lui adressa un regard plein de gratitude pour cette éloge inattendue.

Le prélat reprenant la cérémonie, il le suivit jusqu'au baptistaire. A la question posée, il répondit sans hésiter.

Oui de mon libre arbitre, je désire être baptisé.
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G_de_b

La rumeur était lancé.

Le Saint Artmaniak du Doubois avait fait déborder un fleuve après sa mort.

Guillaume s'était rendu très tôt au lac ce jour-là. Il marchait doucement, humant l'air, écoutant le chant des oiseaux dans le printemps commençant... Il observait ce lieu de paix dans l'attente de l'agitation humaine de la journée.

Une image lui apparut soudainement : un homme, un évêque d'après sa tenue, était alongé, les yeux clos. Augis se figea instantanément car son pélerinage était pour lui. Avant de mourir dans le monastère grégorien. Il s'appelait Artmaniak du Doubois, était évêque de Toul et était mort.

Guillaume finissait de se perdre dans ses pensées et dans ses souvenirs quand une idée lui vint comme si une lumière divine l'avait soudainement inspiré et il partit à l'église.

Il poussa la porte de l'édifice et, à l'intérieur, il referma un peu plus sa bure sur son corps qui tremblait de froid. Pourquoi l’intérieur des églises est toujours froid ? Il avança le long de la nef, posa sa main sur le dossier d’un des bancs de bois, s’agenouilla puis se signa. Il se rapprocha encore de l’autel. S’installa sur une chaise de prieur et récita une prière improvisée.

Citation:

Dieu Créateur de toutes choses, Toi qui n'est ni bon ni mauvais !
Toi qui sais tout, purifies ton enfant afin qu'il soit reçu à ta droite.
Guide-nous dans nos actes, comme il a put nous guider en ton nom,

Dieu qui n’intervint plus dans le monde, laissant Ses enfants vivre et prospérer.
Toi, L'Omniprésent mais nous laisse libre de notre destin,
Gardes les Vertueux dans un destin solaire et lumineux,

Dieu, Jetes les corrompus dans la lune, reclus et sombres.
Toi, je fais ma confession et mon pélerinage en Ton nom.
Gardes un regard sur mes actions et juges moi.

Dieu te Garde mon frère

Une amitié voire un amour sans borne envers Artmaniak du Doubois envahit Guillaume. Il avait envie d'en savoir plus, de connaître les lieux où cet évêque avait vécu, de connaître son histoire.
Faire un pélerinage au nom du Très-Haut? Artmaniak aurait aimé.

D'où lui venait cette prière? Et d'où lui venait ce regain d'envie de faire un pélerinage ? Guillaume avait vraiment envie que la Foy s'en revienne au Bearn pour enfin pouvoir cheminer comme il l'avait proposé il y a déjà quelques mois sur les routes de l'Empire, en pèlerinage !

Son temps au Bearn était Finit. Il était parti vers Pau, Puis tarbes, puis une ville avec un nom trop long... (saint bertrand de comminges) et enfin Saint lizier, Foix, carcasonne, narbonne et hier saint bézier. ET il finissait aussi de traverser la frontière cette nuit et arriver à Monpelier avec monseigneur Lemoine.

Mais à présent il continuera sa route seul.

Sauf si...

Rose_de_damas

La dame du lac qui était revenue de ce voyage étrange en Provence, venait de recevoir un pigeon de son bien-aimé Andy. Il lui disait que lui et Argueros allait reprendre la mer ce jour. Quel soulagement pour elle de les savoir en vie. Mais il y avait encore le voyage retour...
Elle s'agenouilla et pria le Très-Haut pour qu'il les protège durant tout le voyage retour...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis...

Lemoine

Lemoine regard la deuxiéme personne, pour avoir la réponse

Augustin06

bonjorn Augustus Lemoine!

je me présente Magnus Augustin de Retz,fils de Auriia et de Susu74.
j'aimerais être baptisé par vos soin,je crois en Aristote!

il sourit au prêtre

Lemoine

augustin, on est en pleine cérémonie la

Lemoine sourit puis il dit

Il faut faire la pastoral avant le baptéme

Chelsea.2

Les paroles de Liloïe ne laissèrent aucun des deux futurs baptisés indifférents. S'étant tournée vers la jeune fille pour l'écouter, Chelséa lui adressa un chaleureux sourire de remerciement.
Son regard se porta ensuite sur Fool pour y lire l'émotion que ce moment particulier venait d'y inscrire. Un regard empli de tendresse, de fierté pour l'homme qu'il était.
Sa main chercha la sienne, la trouva et la serra fort quelques instants comme pour lui dire tout cela.
Puis à la demande du Père Lemoine Chelséa s'avança vers le baptistère et pris la parole d'une voix douce lorsque vint son tour :

Oui, de mon libre arbitre je désire être baptisée

Coalbe2

Coalbe entra dans la cathédrale , il y avait une cérémonie, elle ne voulait pas déranger, elle s'assit au fond pour pouvoir prier pour ses amis qui ont pris la mer, et que les Très-Haut les protège.....

Elle ferma les yeux et commença une prière pour qu'Aristote les protègent. Une fois fini elle se signa et reparti sans faire de bruit.....

Ysi

Quand Ysi arriva à la Cathédrale elle vit pleins de personne sortir de là, elle les laissa descendre les escaliers.
Elle salua les personnes qui passaient devant elle puis à son tour elle gravit un par un les escaliers.
Ysi poussa cette lourde porte et entra... Elle alla se signer devant l'autel puis prit place sur un banc.
Elle pria pour que le Très-Haut prenne soin de ses amis(es) cher à son coeur.... Puis à ce disparu.... Elle resta un moment dans cette chère Cathédrale en contemplant le Très-Haut et pensa au moment ou elle était sur le point de le rejoindre, puis elle le fixa et lui dit à voix haute "Monseigneur.... Merci, merci de m'avoir accorder la vie quand mon âme était entrain de me quittait, merci de prendre soin des miens"... Puis Ysi alla se signer devant lui et prit cette longue allée pour sortir et retourner à ses occupations.

Rosely

Arrivée a peine dans la capitale du Languedoc, Rosely entra dans la Cathédrale avec son fils à la main qui ne savait où poser les yeux émerveillé , ils marchent un moment dans l'allée centrale et prirent place sur une chaise .
- chut pas de bruit mon coeur
Rosely demande doucement à Rémy de ne pas faire de bruit, elle se mit à genoux en regardant droit devant elle et pria pour celui qu'elle aimait , qu'il ne lui arrive rien de fâcheux , elle ferma les yeux des larmes coulent sur ses joues faites qu'il me revienne mon Rémy a besoin de son papa et moi j'ai besoin de lui tellement.
Rémy lui tira un peu sur la chemise , elle se retourne et le voit près d'elle debout , il s'installe à genoux et fait comme elle et de sa petite voix dit tout bas.
- papa revient stp , je t'aime
et sourit à sa maman , ils restèrent un moment sans rien dire la main dans la main et se levèrent ensemble pour sortir de la Cathédrale , il fallait rejoindre Froncine maintenant .

Lemoine

très bien

Vous allez faire votre entrée dans la grande famille d'Aristote,et je vous en félicite, j'espère que Aristote et le Christ vous guiderons vers la bonne voie.

Lemoine accompagné les 2 futurs baptisé jusqu'au baptistaire

[b]Le baptême symbolise une nouvelle naissance. Un nouveau commencement. Il nettoyé tout tes péchés

puis,lemoine devait poser la question

désirez-vous, en respectant votre libre arbitre, être baptisé ?

Liloie

Aux côtés de Fool, Chelsea, et Auriia, Liloïe continuait de sourire en écoutant le couple récité le crédo. Comme lors de son baptême à elle, tous l'avait récité, c'est donc ce que fit Liloïe ; les paroles à peine audible du crédo glissaient doucement sur ses jeunes lèvres.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN

Ensuite, la jeune Desage écouta les deux futurs baptisés. Ils avaient la chance de pouvoir faire cette cérémonie ensemble, ce qui pouvaient les rapprocher d'autant plus : ils l'étaient à présent également sur le plan spirituel. Lemoine reprit ensuite la parole et invita les futurs marraines et le futur parrain à venir parler de leur futur filleul(e). Et, c'est à ce moment là que Liloïe se demanda si Antimond allait finir par arrivé ou non. Alors qu'elle allait laissé place à Auriia, elle entendit une petite voix lui glisser quelques mots à l'oreille. Reconnaissant la voix, elle avait sourit, puis s'était retournée afin de voir si elle avait bien reconnue la voix à qui elle appartenait. Un sourire adressé à Antimond se forgea sur son visage, puis, se tournant vers le reste de la troupe, elle enchaîna.

La première fois que j'ai rencontré Fool, c'était sur un terrain de soule. Je m'en souviens encore comme si c'était hier, ce jour là, il y avait eu beaucoup d'animation et j'étais bien plus jeune. Père m'avait présenté Fool, comme son ami, et le Lieutenant de l'Ost qu'il était à l'époque. Et depuis ce jour, à chaque fois que nous nous voyons, une amitié est née. Je sais que je peux et pourrais toujours compter sur Fool, comme il peut compter sur moi.

Elle mit un terme à cette première partie de discours, elle se mit à sourire en se rappelant brièvement ledit jour, sur le terrain de soule où Liloïe s'était caché dans un tonneau avec son petit chien qu'elle avait à l'époque en observant Fool et son père discuter.

Pour ce que je connais de mon cher futur filleul, c'est qu'il est droit, il s'est s'amusé, il est également très respectueux et protecteur.

Puis, elle se tut enfin, laissant place au prochain. Pour ce qui est de Chelsea, elle l'a connaissait bien moins, mais ce qu'elle savait d'elle, c'est qu'elle était très gentille et très agréable.
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Lemoine

très très bien, si les parrains ou marraines sont présents, j'aimerais qu'ils viennent parler des filleules

Antimond

Antimond venait de se réveiller après une nuit difficile. La situation du Lengadoc l'inquiétait bien plus qu'il ne voulait le montrer à ses proches et le conduisait très souvent à de terribles insomnies pendant lesquelles il défaisait et refaisait le monde, pardon le Comté.

Il se leva plus tard qu'à l'accoutumée et se lança dans sa journée de chef de port, tisserand, conseiller municipal et Lengadocien pris dans la tourmente. Un mal de tête obsédant le gênait depuis le matin, mais surtout il avait l'impression d'avoir oublié quelque chose, quelque chose d'important de surcroît. Au beau milieu d'une de ses visites du port et de ses quais presques vides, la mémoire lui revint, brutalement, avec la force d'un coup de poing. Fool, le baptême !

Mordiou ! Vite, retour à l'eschoppe, choix de vêtements de circonstance et habillage très très rapide. A la cathédrale !

Pourvu qu'il ne soit pas trop tard, je m'en voudrais tant !

se dit-il en entrant le plus discrètement possible dans l'édifice qu'il connaissaît si bien pour aller presque tous les jours à l'office.

Il s'arrêta alors quelques courts instants pour regarder et écouter. Il aperçut son filleul, sa fiancée, les futures marraines et bien entendu Monseigneur Lemoine.

Fool venait d'achever son credo et Monseigneur Lemoine demandait aux Parrains et Marraines de s'avancer. Il passa alors derrière la Barona de la Voulte et lui souffla discrètement à l'oreille.

Bonjorn Liloïe, désolé pour le retard. Je vous laisse bien entendu commencer.

Il s'empressa ensuite de saluer de la tête toutes les personnes présentes en souriant du mieux possible.
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Senher de Vilarzèl-de-Rasés
1er Maire élu et 1er Chef du Port de Montpelhièr.

Chelsea.2

Chelséa répondit au salut de Liloïe en lui adressant un petit sourire et resta légèrement en retrait dans un accès soudain de timidité.
Elle était heureuse de la trouver en ces lieux et se dit que Fool n'aurait pas pu rêver mieux comme marraine.
Mais ne lui avait il pas parlé aussi d'un parain ?? Ses interrogations en restèrent là car à sa surprise ce fût le père Lemoine qui fit son apparition et non pas le père Pouic attendu.
N'ayant pas de préférence et surtout trop heureuse qu'un curé se trouve là pour les baptiser, la jeune femme ne cherchant pas plus loin, se contenta de le saluer puis d'hocher affirmativement la tête aux propos qu'il tint.
Elle écouta distraitement le chant qui emplissait harmonieusement la batisse jusqu'à ce qu'un assez curieux son émane de sa droite...
Tournant la tête vers l'objet de sa curiosité, elle constata que c'était bien Fool qui tentait une approche vocale et ne pu s'empêcher d'esquisser un léger et discret sourire amusé.
N'ayant guère envie de subir les moqueries de son voisin, Chelséa se garda bien pour sa part d'émettre le moindre son.
L'arrivée d'Auriia ne tarda pas à venir la distraire. La coquine était elle aussi arrivée en retard !^^ Ne lui en tenant pas rigueur, Chelséa lui adressa un sourire heureux et plaqua un bisou aussi rapide que démonstratif sur sa joue avant de repporter à nouveau son attention sur la cérémonie.
A la demande du Père Lemoine, Chelséa s'avança et parla d'une voix claire.

Je souhaite me faire baptiser car j'ai foi en Dieu et dans les préceptes qu'ils nous enseigne, je souhaite vivre dans l'amitié et l'égalité Aristotélicienne. Par ce baptême j'espère être désormais lavée de mes péchés et commencer une nouvelle vie dans l'amour de Dieu et de notre prochain.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN

Fool.deboishardy

Fool s'approcha de Monseigneur Lemoine.

Il écouta Chelséa. Puis à son tour il pris la parole.

Je souhaite rejoindre la communauté des baptisés de l'église Aristotélicienne pour l'amour de Dieu et de mes prochains. je crois à la rémission des péchés.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
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Auriia

A la demande de sir Lemoine , Auriia s'approcha en suivant le pas de la jeune Liloie . Les deux mains liées derrière elle, elle laissa son regard vaguer tout autour...
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« Un véritable ami vous poignarde en face. »

Lemoine

Nous allons commencer, j'aimerais que les deux personnes voulant se baptise, viennent devant notre assemblée, et nous parle de la foy, puis récite la prière que chaque croyant doit connaître, le crédo.

Lemoine les invite par la main et il se met sur le coté

Fool.deboishardy

A la surprise de tous Monseigneur Lemoine arriva et ordonna à la chorale d'entamer le chant d'entrée. Fool n'était pas très calé en chant liturgique ni en musique sacrée, il préférait de loin les chants de corps de garde, certes peu adapté à la situation mais nettement plus amusant. cette idée de chants païens au beau milieu de la cathédrale lui arracha un sourire, qu'il masqua au plus vite avant que ceci se transforme en fou rire.

revenant à la situation actuelle, il tenta maladroitement de suivre le chant,

Te Deuuuuuuum
Laudamuuuuuuuuuuus...

Puis opta finalement pour une méthode en sourdine... en fait simplement bouger les lèvres en espérant que personne ne remarque rien.

Il se concentra sur les voix des choristes qui résonnaient de mille éclats dans l'enceinte du choeur de l'édifice sacré. Le soleil d'hiver traversait par les vitraux multicolores de la nef. la magie du lieu et de l'instant opérait. Il se sentait quitter le lieu et le moment, les chants s'éloignaient et les vitraux de la cathédrale s'estompaient. Il commença à percevoir une présence... serait ce...?

On lui tapota sur l'épaule. Le charme fut rompu. A regret les chants résonnèrent de nouveau. Les vitraux rayonnaient toujours mais quelque chose avait changer. un peu hagard et perdu, Fool regarda Auriia qui, encore essouflée, lui souriait. il lui rendit son sourire en guise de salut.

Il tenta de se concentrer afin de retrouver la sensation quittée peu avant... vainement.

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Lemoine

Lemoine dit aprés les chant

les deux amoureux peuvent s'avancer avec les témoins

Liloie

Liloïe qui regardait précédemment un vitrail, redescendit la tête alors que Fool s'approchait. Elle lui sourit doucement, avant de lui répondre. Elle le connaissait depuis pas mal d'année à présent et ils avaient un mutuel respect entre eux.

Le plaisir est partagé, mon ami. Je n'aurais manquée ce moment pour rien au monde, vous êtes mon premier filleul !

Nouveau sourire, et regard complice. Liloïe tourna les mirettes vers Chelsea qu'elle salua d'un inclinement de tête et puis arriva Auriia et Lemoine. Lui, avait fait le baptême de la jeune Montpelieraine, quelques temps auparavant. Après la chorale, l'homme d'église demanda à ce que la petite troupe s'avance, ce que fit Liloïe rapidement, mais néanmoins, avec une question qui lui restait en tête, où était le futur parrain de Fool ?Bientôt commencerait le baptême de ses deux amis.
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Rose_de_damas

Cela faisait quelques temps que Dame Danny n'était venue en la cathédrale.
Cela faisait plus de deux mois qu'elle avait fini sa pastorale avec ses amis Kelak et Tireli. Maintes fois que depuis le 25 novembre 1457, Kelak avait envoyé des pigeons à monseigneur Pouic mais c'était toujours sans réponse.
Or il semblait qu'un baptème allait avoir lieu en la cathédrale. Elle ne comprenait pas le pourquoi du comment.
Elle s'aguenouilla et pria le Très-Haut pour que se réalise enfin ce baptème ...

Fool.deboishardy

Fool arriva en courant à l'approche de la cathédrale, puis ralenti le pas au seuil. Il était très sérieusement en retard.

Il pénétra dans le gracieux édifice. Il le balaya du regard et aperçut Chelséa, toujours aussi ravissante dans sa magnifique robe blanche. Soulagé que la cérémonie n'est pas encore commençée. Malheureusement a part elle personne d'autre n'était là.
Il s'approcha d'elle.

Bonjour ma douce.
Je vois que malgré mes craintes je ne suis pas le plus en retard...
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Chelsea.2

Chelséa leva les yeux vers Fool et un sourire illumina instantanément son visage. Elle se sentait soulagée de le voir là même si elle ne lui avouerait pas qu'elle avait eu peur l'espace d'un instant qu'il oublie de venir. Cela lui ressemblait si peu d'arriver en retard...
Après avoir déposé un chaste baiser sur la joue de son fiancé par respect pour le lieu où ils se trouvaient Chelséa lui pris la main, l'invitant par ce geste à s'assoir à ses côtés.

Bonjour mon amour...
C'est vrai, tout le monde est en retard...
Je pense qu'Auriia ne devrait pas tarder, je l'ai vue il y a quelques jours et lui ai rappelé la date de notre baptême.
En revanche, je me fais beaucoup de souci au sujet du Père Pouic... On dit qu'il ne fait pas souvent honneur de sa présence dans la paroisse...
As-tu pensé à lui envoyer un pigeon ?

Liloie

En ce jour de janvier, Liloïe s'était réveillée avec la bonne humeur en elle. Cette journée était particulière pour plusieurs personnes. La jeune fille qui devenait de plus en plus femme avait été choisie pour être la marraine de Fool. Lorsqu'elle avait lu le courrier avec la demande, elle avait souri et avait répondu positivement sans tarder. On l'avait vêtue d'une robe verte avec une ceinture marron pour rappeller les couleurs familiales.

Comme à son habitude, elle laissa les gardes à l'extérieur, avec la voiture tandis qu'elle pénétrait dans le lieu saint. Souriant à la vue du couple, elle resta en retrait à observer un des vitraux de la cathédrale.
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Fool.deboishardy

Il sourit au baiser chaste donné par sa douce amie. Quelle douceur de la retrouver enfin... Il était heureux de partager ce moment privilégié avec elle. Il revint à contre coeur à la situation actuelle.

Hum... J'espère que Monseigneur ne tardera pas trop. Je lui ai fait porter un message.

Il fut attiré par le son de pas résonnant dans la nef. Il sourit en reconnaissant sa marraine, demoiselle Desage. Il s'approcha d'elle pour la saluer.

Dona Desage, Quel plaisir de vous voir. Je craignais que vos obligations de bourgmestre ne vous retiennent.

Indéniablement ce petit bout de femme l'impressionnait grandement par son énergie débordante et par sa fraîcheur impérissable. Il la respectait tout autant que son père le baron Desage. Il regarda les 2 demoiselles qui resplendissaient toute deux dans leur tenue respective. Il se dit qu'il aurait du faire plus d'efforts sur son port. Au moins était il en charmante compagnie pour attendre que le prélat de Montpellier se présente à la cérémonie.
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Lemoine

Lemoine rentra à grande vitesse dans l'église, sur une petite porte sur le coté, il prit place devant l'autel et dit:

Bonjour les enfants, je suis désolé du retard, nous allons continu, je crois que nous avons assez attendu l'arrivée des invités, je crois que vous êtes d'accord?

Lemoine sourit, puis il fit signe en direction de la choral pour avoir un chant.

Auriia

Auriia s'éveilla au aurore, réveillé par des griffes de pigeon qui crissaient sur la tuilée, paupière mi close sur la lumière cru du matin elle se redressa de sur sa chaise. Une fois de plus elle avait passé la nuit dans les dossiers et c'était assoupi exténué...
Quand d'un coup une lumière arriva illuminer son esprit.

Oh ! Nan ! Le...

Ne quittant plus la caserne ou rarement elle avait aménagé sa garde robe la bas et elle avait bien fait car la tenue militaire n'était surement po adéquate pour se présenter à la cathédrale.

Après s'être habillée à la hâte et avoir glissé quelque chose dans sa poche elle quitta son bureau an panique. Elle dégringola les marches qui menait à l'extérieur, fit le tour de la battisse... Bien que le soleil fut à peine dégagé du lit de brume qu'offrait le paysage ce matin, elle sentait la chaleur sur son visage. Auriia traversa la ville dan un immense silence, seul les sabots de sa jument venait troubler ce calme. Une fois arrivé devant la maison d'Aristote elle attacha la bête à un arbre et se dirigea vers l'entrée.

Bon.

D'un geste machinal, elle remit une mèche de cheveux derrière l'oreille. Elle les portaient long et les avait laissé libre pour l'occasion laissant juste attaché sa frange qu'elle avait ramené en arrière. Elle portait une robe uni , sur l'encolure avait était cousu un filé d'or, sa croix d'Aristote offert par son parrain Tancrel pendait à son cou. Il était temps...

Le hurlement du vent se fracassait contre la grand porte de la cathédrale, Auriia tira des deux mains pour l'ouvrir sous un bruit de grincement... Elle qui voulait passé inaperçue commençait bien... Elle avança dans l'allée le plus silencieusement possible sous les chants des choristes en saluant les présents d'un petit geste de la main. Auriia grimaça en voyant qu'elle n'était po en avance et se mit à sourire de toute ses dents quand ses yeux avait croisé les regards de ses deux amis. Ques que Chelsea était belle, le trait sur son visage dessiné le bonheur. Elle s'approcha d'elle pour lui glisser un énorme bisou sur la joue, tapota l'épaule de Fool et s'inclina devant sieur Lemoine discrètement en guise d'excuse pour le retard. Sans attendre elle s'installa sur le banc et écouta l'éclat des voix résonner tout autour.

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« Un véritable ami vous poignarde en face. »

Jeannelouise

Comme à chaque fois que Jeanne arrivait dans une nouvelle ville, sa première visite était pour l'Eglise. Elle poussa la lourde porte de l'édifice. Elle s'avança doucement en regardant autour d'elle. Elle admira l'architecture du lieu saint. Parvenue prés de l'autel, elle s'installa au premier rang, s'agenouilla et se mit à prier dans un murmure :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Elle termina sa prière en pensées.
Puis restant immobile elle se souvint des dernières jours passés avec Chara. Sa déception était immense, sa peine très lourde.
Elle avait fait une énorme erreur avec Chara elle le savait maintenant et rompre avec lui avait été la meilleure solution.
Elle pria le Trés Haut de l'éclairer dans les décisions qu'elle prendrait à l'avenir.
Puis elle se leva et sortit de l'édifice tout aussi doucement qu'elle y était entré.

Chelsea.2

Après une longue attente, le jour du baptême de Fool et Chelséa arriva enfin.

Pour l’occasion elle avait mis une jolie robe blanche, simple mais symboliquement adaptée à la cérémonie qui devait avoir lieu. Un doux ruban de satin noué dans ses cheveux venait compléter sa toilette et lui donner un peu de fantaisie.

C’est un peu nerveusement qu’elle poussa la porte de la cathédrale et entra…
Légèrement surprise elle constata qu’elle était la première arrivée. En effet, seul le solennel silence l’accueillit.

Tâchant de faire taire la légère inquiétude qui la saisit insidieusement, elle profita de cet instant de solitude pour allumer un cierge à la mémoire d’Aristote puis se dirigea vers le premier banc qui faisait face à l’autel.

Dans une attitude de recueillement, elle récita intérieurement le crédo qu’elle avait appris lors de sa pastorale. Puis plongée dans ses pensées, elle attendit l’arrivée des autres participants tout en faisant tourner entre ses doigts sans même s’en rendre compte, la bague de fiançailles qui ornait depuis peu son annulaire gauche.

Frederique85

Fred entra dans la cathédrale de bon matin, elle désirait prier Aristote. Elle avait le coeur chagin, non pas une peine de coeur de ce coté tout allait pour le mieux, mais pour ce qu'il se passait en Languedoc.
Des amis se querellaient, s'invectivaient se donnaient des noms d'oiseaux. Elle ne désirait qu''une chose que tout cela cesse.

Elle s'agenouilla et pria avec ferveur

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines ....
.....
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
AMEN.

Elle resta un long moment dans cette position, jusqu'à ce que ses genoux deviennent douloureux.

Elle finit par se relever péniblement pour s'assoir sur le banc priant encore le très Haut.

Elle n'avait aucune envie de quitter l'enceinte de la Maison du Très Haut où elle ressentait peut à peu une certaine sérénité un apaisement.
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Liloie

Liloïe, comme tout Aristotélicien avait réalisé son baptême. Et, à l'approche des fêtes de Noël, une chorale avait été mise en place, il fallait encore des participants, et toute voix était bonne à prendre. Elle en avait parlé d'ailleurs avec Lemoine, et un autre homme d'église.

"A la recherche de Voix", en gargote. Vous pouvez venir y participer sans problème

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Rose_de_damas

Elle venait prier le très-haut lui dire combien elle était comblée par un amour des plus tendres, des plus forts pour Mr anderson. Elle s'agenouilla et mains jointes , regard dirigé vers les cieux de la cathédrale:

-" Très-haut en cette journée spéciale qu'est la Saint Noël, je viens te remercier de tout ce que tu m'as donné en cette année 1457. Bien sur il y a eu des hauts et des bas mais , le bonheur est entré dans ma maison
d'abord la pastorale qui m'a renforcée, et mes ami(e)s et celui que tu as mis sur ma route et qui n'est qu'amour, générosité ...
Merci Très-Haut....

Et elle pria de tout son être...

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines ....
.....
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
AMEN

Comme à son accoutumée elle resta en la cathédrale pendant un long moment ...

Pouic

*Bombadil* a écrit:

Citation:

Nomination d'un nouvel archevêque
Monseigneur Lemoine de Bourbon est nommé archevêque de Narbonne.

Nous, Thomas d'Azayes, Primat de France, au nom de l'Assemblée Episcopale, faisons annonce de :

La nomination de Monseigneur Lemoine de Bourbon, au poste d'archevêque métropolitain de Narbonne. Nous lui souhaitons par la-même tous nos vœux de réussite dans sa nouvelle affectation. Puisse-t-il, en tant que digne successeur des apôtres, diffuser la foi, mener ses ouailles vers le Salut, et demeurer un modèle pour ceux qui l'écoute.

Puisse Aristote le guider dans la tâche qui est à présent la sienne,

Fait à Rome, le dixième jour du mois de novembre, de l’an de grâce 1457.

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Ex-Edile de Pontarlier, élu haut la main sur la liste Hydrique...

Rose_de_damas

Elle franchit la haute porte de la cathédrale. Elle avait besoin de se retrouver dans ce lieu. Elle voulait s'adresser au Très-Haut, lui faire part de la détresse dans laquelle elle se trouvait.
Elle s'agenouilla et pria , pria ...--------------------------------------------------------------------------------
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Ysi

Ysi qui avait un mal êtres en elle depuis qu'elle avait apprie la disparition de son ami Vince-mercutio la veille, alla à la Catédrale pour y brillé un Cierge en sa mémoire...

Elle entra longea la longue allée, prit un Cierge et l'alluma à cette bougie qui tronait sur l'autel, elle alla le mettre sur un des bougeoirs, alla s'assoir sur le premier banc et pria...

Longtemps elle resta les mains jointent en pensant à son défunt ami, elle qui l'avait accueilli à son arrivé ici, elle qui lui avait apprie la vie à Montpellier, elle qui avait rie avec lui était depuis hier dans la tristesse.

Puis elle se leva se dirigea vers le Très-Haut, se signa devant celui qui lui avait temps accordé de choses, elle lui demanda à voix haute " Mon Dieu, prennez soin de l'homme que vous avez accueilli au près de vous hier, il s'agit de Messire Vince-mercutio, sachez qu'il fût un homme bien aimant envers sa fiancée, et proche de ses amis(es)... Paix à son âme.... Puis tant que j'y suis veillez sur la vie de mon tendre amoureux Messire Kelak aussi que toutes les personnes que je porte dans mon coeur...

Puis Ysi se re-signa et se dirigea vers la sortie les larmes aux yeux...Mais avant de refermer la porte derrière elle, elle regarda le Très-Haut et eut une pensée pour tous les novices décédés... Et elle sortie.

Rose_de_damas

Elle avait franchi la porte du grand édifice. Depuis combien de temps n'était-elle pas venue ici? .. elle ne s'en souvenait plus . Sa vie avait changer, en bien en mal ? Elle ne pouvait le dire . En bien certainement.
Elle venait de terminer sa pastorale à Narbonne. Elle avait été félicitée tout d'abord par le jeune diacre et enfin par l'archidiacre Stiv. Et elle avait obtenu son "rouleau". Quelle émotion à la lecture de celui-ci. Elle était prête à recevoir le sacrement du baptême. Elle eu une pensée pour Monseigneur Griffes qui l'avait beaucoup aidé, qui avait été un fidèle ami, elle eu une pensée pour le jeune diacre Lakdhar qui un soir en taverne lui avait, à elle et à ses amis, demandé de venir à la pastorale, elle eu une pensée pour ses parents qu'elle ne verrait plus sinon la Haut si elle le méritait et si eux y étaient... Elle eu une pensée pour son amour ...
Elle avait appris le Credo à la pastorale et tout bas, aguenouillée, tête baissée, mains jointes, elle le récita:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines ....
.....
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
AMEN.

Elle se signa et resta encore un moment dans ce lieu qu'elle avait toujours affectionné. Ca n'était pas son lac mais c'était un complément , l'un ne pouvait être sans l'autre dans sa vie. D'un côté elle était en communion avec le Très-Haut et d'un autre avec ce lac qu'il nous avait donné...

Calis44

Calis errait dans les rues de la ville...elle entendît les cloches tinter...
elle se dirigea vers ce lieu sacré au son de celle ci...elle arriva devant...
qu'elle était belle ...en admira l'architecture...elle poussa la grande porte...
entra mît un genou au sol et se signa...elle s'avança vers l'autel...observant au passage ...humant au passage les odeurs bien particulières des églises...
elle s'agenouilla et joignit les mains et f^t une prière en silence...elle alla mettre quelques écus dans le tronc...et alluma des cierges pour tous ceux qu'elle avait laissée...et bien sure pour son tendre amour...que leur route se passe sans encombres...elle erra un long moment ...puis s'en retourna vers le village...avant de sortir ....se signa...

Gadej

Cela faisait longtemps que Gadej n'était plus rentré dans une cathédrale ... Ô oui bien longtemps !!! Aussi quand il vit la cathédrale de Montpelhièr devant lui, lors d'une promenade dans les rues de la ville, il hésita un moment puis decida d'y rentrer !!!

Il poussa la lourde et impressionante porte et pénétra lentement dans la cathédrale non sans avoir oublié d'enlever son chapeau ! Il entendit le silence des lieux et s'avança dans l'allée centrale !

Arrivé devant l'autel, il s'agenouilla et baissa la tête pour se recueillir !!! Il se surprit à prier pour le repos de ses amis morts pour le royaume espagnol ! Dans sa tête, Il revit chacun d'eux très nettement et chacun lui adresserent un geste de reconnaissance !

mon dieu, que m'arrive-t-il ? ce n'est pas possible non pas possible ... murmura-t-il !!!

Il se remit debout et après s'être signé, il ressortit de la cathédrale non s'en avoir été surpris et décontenancé par ce qu'il venait de voir !!!

sans doute un signe du tout puissant pour me dire que ...ne préférant pas terminer sa phrase , il s'en alla vers le centre de la ville à la recherche d'une taverne dans laquelle il pourrait continuer à oublier son passé et se tourner vers son avenir

Tireli

Tireli se tenait devant le portail principal de la cathédrale de sa ville. Il aimait ces lieux de méditation et de recueillement, ces lieux chargés de toute la foi du monde.

Lorsqu'il pénétra dans l'édifice, la pénombre lui fit perdre ses repères. Il attendit que ses yeux s'habituent au manque de lumière et se dirigea vers une des chapelles du choeur. Là, à genoux, il pria longuement. Il pria pour lui bien sûr, pour l'aider à affronter les épreuves qui l'obligeait à se retirer du monde le lendemain, mais il pria aussi pour ses amis et sa famille. Il remercia le Très Haut tout puissant de l'avoir guidé durant la Pastorale et de lui avoir permis, très bientôt peut-être, de se faire baptiser. Il en était d'ailleurs à se demander si la voie de l'Eglise ne lui permettrait pas de trouver les réponses aux questions qu'il se posait sans arrêt.

Près d'une heure s'écoula. Mais lorsque Tireli sortit de l'édifice, il se sentit ragaillardi, la conscience apaisée et une foi ardente en l'avenir...

Gadej

Bien que n'étant pas un fidèle serviteur du tout puissant, Gadej, de passage à Montpelhièr, décida de revenir dans la Cathédrale de la ville ... Devant la porte de la Cathédrale, il réflêchit un instant en parcourant des yeux, l'impressionnant édifice puis entra ...

Il était toujours impréssionné par ses lieux et se sentait apaisé par la force qui se dégageait de l'endroit où chaque mur, chaque voute, chaque objet semblait posséder cette force, cette force tranquille !

Il s'avanca au milieu de l'allée principale non sans avoir oté son chapeau ... et posa un genou au sol devant l'autel et se signa.

Dieu Tout Puissant, je viens à toi bien que je ne sois pas un fidèle assidu ... je viens te demander une faveur ... celle là concerne une personne qui se prénomme Mo...

Gadej continua sa prière pendant un certain temps puis se releva et regarda le christ sur sa croix...

Il remonta jusqu'à la porte, se signa et sortit.

Une fois dehors, il se sentit plus tranquille et remonta sur sur Tonerre pour prendre la direction du centre du village pour rejoindre son amie en taverne ...

Il lui proposerait d'aller faire une balade pour voir le port de Montpelhièr qui à ce qu'il parait semblait colossal en terme de réalisation !!!

Maquis

Maquis senti aujourd’hui qu’il avait besoin de ce recueillir, il était perdu depuis deux trois jours, il ne savait plus vraiment quoi faire, peu être avait t-il tout cassait, bon en même temps c’était plus simple comme ca de dire que c’était de ca faute, en tout cas ca ne le dérangeait pas de croire que c’était lui le fautif, et peu être que c'était lui vraiment.
Il s’assit sur un banc et baissait la tête en priant et en réfléchissant à ce qu’il allait bien pouvoir faire par la suite.

Ysi

Ysi était perdue dans ses pensées, elle ne savait plus ou quoi faire..
Elle alla à la Cathédrale prier le Très-Haut, pour que celui-ci apaise son mal être.
Elle arriva devant lui s'agenouilla se signa de la croix et pria.
Elle ne comprennait pas l'homme avec qui elle aurait ou devait faire sa vie.
Elle chercha des réponses à ses questions au près du Seigneur.
Devait elle rester ou fuir... elle n'en savait rien.
Puis elle se leva se signa devant le Très-Haut et partit.

Pouic

Monseigneur Pouic, l'archevêque métropolitain, de retour à Montpellier pour ses affaires temporelles , en profita pour entrer dans la cathédrale et se dirigea immédiatement vers le presbytère pour disparaitre dans ses appartements privés ......
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Ex-Edile de Pontarlier, élu haut la main sur la liste Hydrique...

Ysi

Quelques semaines plus tard Ysi revint à la Cathédrale, elle gravit les marches en courant, poussa cette lourde porte comme jamais elle ne l'avait fait auparavant, celle-ci lui sembla même légère, elle se mit à sourire puis elle rentra.
Ysi s'avança devant le Très-Haut, s'agenouilla se signa de la croix devant lui et le remercia pour le miracle que celui-ci lui avait accordé, elle vint à voie mi haute le remercier, elle leva la tête le regarda et lui dit

" Mon très cher Dieu je vous remercies pour votre aide envers moi, vous m'avez accordé la vie alors que mon âme me quittée, mille merci à vous seigneur mon saveur"

Elle se redressa embrassa les pieds du Très-Haut et lui dit à nouveau

"Seigneur grâce à vous j'ai pu me rendre utile auprès des novices du village
et vous m'avez également permise de trouver un homme aimant et tendre avec moi, je vous fais la promesse que dés que celui-ci aura reçu le Baptême que nous viendrons nous unir en ces murs là ou ma vie aurait puis aussi se terminée, mais grâce à vous mon Seigneur je suis en vie et heureuse enfin".

Elle se signa devant lui et repartit vers cette allée poussant la porte et sortit.

Sasha

Au grés de sa promenade, Morfala arriva devant la cathedrale ... elle regarda la lourde porte et hesita un moment ... puis gravit les marche et entra ...

Il y avait bien longtemps qu'elle n'était plus entrée dans une église ... comme à chaque fois elle fut saisie par la paix qu'engendrait ces lieux de prières ... ses pas raisonnaient sur les pavés ... elle prit place sur un banc et ferma les yeux ...

Le très haut lui pardonnerait il ses pensées ? ses actes ... non elle n'était pas en paix avec elle même ... le serait elle à nouveaux un jour ...?
De grosses larmes roulerent sur ses joues ... incapable d'implorer le pardon ... consciente qu'elle recommencerait ... Elle était si faible devant lui ...

Elle resta la un long moment ... ce n'est que quand ses larmes ce furent tarient qu'elle se leva et ressortit dans l'air froid du petit matin ... resserant les pans de sa cape ... elle continua sa ballade dans les rues de la ville ...

Pasoa

Elle était revenue en la Capitale laissant son Evêque à Lodève où il surveillait la reconstruction de l'église.
Arrivée fort tôt ses pas l'avaient menée naturellement en la demeure de Dieu... qui était devenue un peu la sienne aussi...
La "bête sans nom" s'était reveillée et là, à deux pas, des hommes allaient succomber dans l'horreur indicible de la guerre.
En traversant les faubourgs elle evait entendu le cliquetis des armes et croisé des groupes de jeunes gens qui répondaient à l'appel. Plus jeune, elle se serait mêlée à eux. Aujourd'hui, même si son sang bouillait toujours, sa charge lui interdisait l'affrontement.
Aussi elle ne pouvait utiliser qu'une arme : la prière.
A genoux sur la pierre froide, elle implora Dieu pour que le Languedoc triomphe du mal.

Attala

Encore une nuit sur la route, encore une nuit en solitaire quoi que.... plusieurs fois elle avait pu voir loin devant elle un cheval tirant une roulotte... des gitans sans doute...

L'arrivée en ville s'était passée sans encombre, exceptée cette taxe qui soit disant vous procurait le gîte.

Pfff.... y'a mesme pas une auberge digne de ce nom céant...

Par contre, la guerre avait du bon. Les brigands se faisaient discrets car les armées veillaient. Juste ce qu'il fallait pour se déplacer tranquillement.

Fatiguée, la voyageuse poussa le porche de la cathédrale à la recherche d'un coin où se reposer, comme la veille.
La cathédrale sommeillait encore et seuls des cierges achevant de se consummer jetaient ça et là des halos de lumière.

Y'a point grand monde... faut que je me haste avant l'office dominical...

Le premier banc de pierre venu fut le bon. Mais avant de s'allonger l'inconnue prit le temps d'engloutir une miche de pain achetée la veille.
Puis elle s'agenouilla pour une courte prière qui, loin de la soulager raviva ses remords et s'est en pleurant silencieusement que la jeune femme se roula en boule sous sa cape, la tête posée sur sa besace pour quelques heures de repos.

Ysi

Ysi avait passée la nuit sur les marches froide de la Cathédrale
sachant que sa vie ne tenait plus cas un fil, elle pensa toute la nuit aux personnes qu'elle avait croisés dans sa courte vie.
Puis au petit matin elle regarda le soleil se levé, les yeux gonflaient des pleurs qu'elle avait eut, puis elle se leva, gravit les marches, poussa la porte de bois cette porte qui lui semblait de plus en plus lourde...
Elle entra s'agenouilla devant cette homme cloîtrait sur cette croix, le salua d'une croix sur son corps se corps qu'il lui faisait mal, puis elle lui demanda d'un miracle vienne la sauvait, elle qui ne voulait pas mourir, qui avait tant à faire encore ici bas." Etre-divin je vous en confire accordez moi un miracle je ne souhaite point mourir, j'ai tellement de choses à faire ici." Puis elle resta longtemps devant le Très-Haut, comme si elle attendrait qu'il vienne lui faire un signe...

Quelques heures plus trad elle se leva, embrassa les pieds du Très-Haut, se signa d'une croix et reprit la longue allée de la Cathédrale pour atteindre la porte.
Puis elle sortit les larmes aux yeux le coeur en bataille contre elle même et s'enfuit en courant pour que personne ne la voies dans cette état, car tous la connaissait heureuse, rieuse....

Lemoine

Monseigneur Lemoine de Bourbon rentra dans la cathédrale, il alla vers l'autel, il se mit à genoux et commenca à prier, puis aprés quelque minute, il se leva et il sorta, il avait de la route

Lakhdar_shaggash

L'annonce officielle venait juste de lui parvenir, accompagné de la consigne de l'afficher dans le lieu concerné. Ainsi, se pressa-t-il en direction de la majestueuse cathédrale de Montpellier. Il en était si fier; il avait enfin trouvé le courage d'emprunter la voie salvatrice. C'est maintenant aux yeux de tous qu'il devait montrer sa dévotion. Long et dur est le chemin, qui des enfers mènent à la lumière. C'était pour lui un premier pas que de se mettre au service des fidèles aristotéliciens.

Citation:

Nous, Père Pierroléon de Riddermark, Vicaire Général de la Province ecclésiastique de Narbonne,

Nommons temporairement Messire Lakhdar à la charge de Diacre de Montpellier, pour assurer le service dans cette paroisse

Précisons que cette nomination sera confirmée dès le retour de Mgr Pouic,

Qu'Aristote le guide dans ses nouvelles tâches !

Fait à Narbonne, ce vingt-et-unième jour du mois d' Aout mil quatre cent cinquante sept.

Liloie

Comme elle avait envie de lui parler... comme il lui manquait... comme elle regrettait.... comme elle pleurait. Liloïe devrait quitter Montpellier... dans quelques heures. Elle avait passé sa soirée à l'hostel de la famille Desage a faire cherché la cotte de maille de sa chère mère. Elle aurait très bien pu la demandé comme pour se remémorer des souvenirs, mais ce n'était pas le cas, elle s'en servirait bien autrement. Elle se souvient de quelques cours d'épée qu'elle avait reçue, cette arme était très lourde pour elle, mais elle n'aurait pas le choix.

De nouveau à demi-agenouillée entre deux bancs, les mains jointes, Liloïe prie. Elle pense à ce départ, à cette crainte qu'elle a en elle, à ce désespoir, à ce courrier de l'ami Vince, à toutes ces âmes qui en ont besoin, elle pense à lui, elle prie, encore... et toujours. Elle se relève enfin, fait un signe de croix puis chuchote tout bas.

Pardonnez-moi si vous le pouver...

Elle regarde quelques bougies encore allumées, avant d'empreinter la porte et rejoindre l'obscurité.
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Ryllas

Ysi

De son retour de la plage Ysi monta les marches de la Cathédrale, elle poussa cette lourde porte de bois et entra.
Un silence y régnait...
Elle qui avait le coeur noirci de chagrin, s'agenouilla devant le Très-Haut, les yeux remplient de larmes elle implorait Aristote pour qu'il lui vienne en aide.
Elle reçu comme message de celui-ci, de ne pas perdre courage le temps apaise les souffrances, mais qu'il faudrait du temps pour ça.

Elle leva les yeux regarda le Très-Haut cloitré sur cette croix...
Elle se signa d'une croix le visage remplit de larmes puis elle se redressa.
Se dirigeant vers cette porte si lourde, puis elle sortit.......

Alexouss

Venant de contrée lointaine, La Sainte Mère Russie, Sire Alexouss de Saratov arriva a Montpellier, rentra dans la Cathédrale, contempla l'architecture de ce magnifique batiment qui le laissa sans voix.

Malgré sa religion orthodoxe, il s'agenouilla afin de prier et de remercier Aristote de l'avoir protégé pendant son long périple.

Il demanda a Aristote, dans sa prière, de lui donner la force de retrouver son cher cousin Vladimir Koslov de Vladivostok quelque part dans le Royaume de France.
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Pouic

Un messager de l'archevêché de Narbonne vint placarder cet avis sur la porte de la grande cathédrale de Montpellier et s'en fut aussi vite qu'il était arrivé !

Citation:

Nous, Pouic, Archevêque métropolitain de Narbonne, par la grâce du Créateur et de Sa Sainteté le Pape Eugène cinquième,

Nommons temporairement Mgr Griffes à la charge de Curé de Montpellier pour nous assister.
Qu'Aristote le guide dans sa tâche !!.

Faict à Montpellier, ce quatrième jour du mois d' Aout mil quatre cent cinquante sept.

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Ex-Edile de Pontarlier, élu haut la main sur la liste Hydrique...

Aeris_g.

Aeris passait devant la Cathédraledans elle fut une affiche sur les portes de cette dernière.

Qu'est ce que cela peut bien être?

Elle se dirigea afin de vérifier qu'il ne s'agissait pas d'un parchemin blasphémateur. Elle le lut tranquillement finit pas hurler.

Enfin ce n'est pas trop tôt,

Puis reprit d'un ton plus calme: un curé pour la Capitale et pas n'importe qui, Aristote nous a écouté !

Rose_de_damas

Dame Danny revenant du marché fit un détour par la cathédrale. Entrer dans ce lieu sacré lui plaisait . Des doutes elle en avait...
Un parchemin placardé sur la porte attira son attention.

-" Griffes, monseigneur Griffes est de nouveau parmi nous. En voilà une bonne nouvelle !

Il est vrai que l'huilière de Montpellier avait fait affaire avec Monseigneur alors qu'il était maire de la ville. Il l'avait soutenu dans ses démarches pour acquérir le fameux moulin à huile ...

Andreia

Andreia avait fait le chemin depuis Uzès afin de mener à bien quelques démarches, en vu de sceller sa vie à celle de son fiancé.

Après avoir fait un brin de toilette, suite à cette marche harassante, elle entra dans la Cathédrale afin d'y déposer, comme il se doit de l'être, une demande officielle de cérémonie de mariage, débutant par une publication des bans. Pour se faire, elle avait tout préparé déjà, pour faciliter la tâche du curé de la paroisse.

Faisant silence, elle s'avança vers l'autel et y déposa le document officiel de demande de cérémonie :

Citation:

Monseigneur,

Nous avons l’honneur de porter à votre connaissance, qu’il y a promesse
de mariage entre :

Damoiselle Andreia de Montjoie, actuellement domiciliée à Uzès - Comté du Languedoc, exerçant la profession d'Avocate de l'Ordre du Dragon et cultivatrice de Maïs

Et

Boniface Ryllas demeurant à Montpellier - Comté du Languedoc
exerçant la profession d'Avocat de l'Ordre du Dragon et étant également étudiant

Le domicile conjugal sera sis en la capitale Languedocienne.

Voici également nos certificats de baptême en bonne et due forme :

http://images.imagehotel.net/?uiez1plohy.jpg

http://www.servimg.com/image_preview.php?i=248&u=10046820

Donnant ces parchemins à qui de droit, elle se permis d'ajouter :

Nous souhaiterions que le Mariage soit célébré en la Petite Chapelle Saint Nicolaïde , l'accès à cette chapelle étant plus aisé pour nos témoins respectifs.

Puis, elle attendit que quelqu'un lui indique qui serait le plus à même d'officier lors de cette cérémonie et surtout, à quelle date. Elle se doutait qu'il y aurait des directives et autres démarches à réaliser, aussi, elle resta là, attendant de connaitre la suite.

Lakhdar_shaggash

Au matin quand le soleil pointa, il sortit de son fragile sommeil d’amant et revint à la réalité de sa journée. Après un petit déjeuner frugal, il pris se décida à prendre les chemins des jardins. Une brise passa, détachant des arbres quelques fleurs : et les lourdes grappes de lilas balancèrent dans l’air alangui leurs pléiades d’étoiles. Contre le mur d’une habitation passante, une sauterelle stridulante se mit à crisser ; et tout près, une libellule, longue et mince comme un fil bleu, palpita sur ses ailes de gaze brune. Lakhdar baissa la tête et rendit grâce au Seigneur pour la magnificence de ces créations.

Il fixa le ciel d’un gris intense et remarqua que les nuages, noirs d’être si lourds, allaient bientôt crever. L’orage menaçait. Soudain il y eut une sorte de silence ; l’air cessa de bourdonner d’insectes ; puis, après quatre secondes, de lourdes gouttes commencèrent à tomber. Des roulements de tonnerre retentirent, confirmant solennellement le début de l’orage. La lumière accentua ses contrastes, satura les couleurs et l’humidité s’empara de lui, telle une vague de vapeur déferlant sur la côte en raz de marée.

Il se réfugia dans la cathédrale de Montpellier. Il arborait une figure honnête, sincère, nette, quoique ses traits révélassent une tendance à la tristesse. Il s’avança lentement, dans ce lieu si chargé de prière. Le nombre considérable de procession semblait avoir piégé entre les murs un parfum d’encens, encore identifiable. Il inclina le genou droit, laissa choir sa tête et exécuta un signe de croix. A cet instant, son abnégation était totale. Il s’avança dans la nef centrale.

Après s’être posé sur un large banc de chêne, pour dédier sa prière au Très-Haut, il entreprit de réciter un credo :

- « Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN »

Il se sentit si léger qu’il eut l’impression que sa tête venait de heurter la lune. Son cœur manqua de se briser. Quelle formidable prière ! Chaque récitation était différente, le prenait au cœur et le touchait toujours plus dans sa foi, chaque récitation était une redécouverte.
Il n’aimait pas prier à haute voix, il referma donc les lèvres, et pria. Pour sa famille, et pour ses amis, pour sa mère, son père, sa sœur, Liloïe, Aymeric, et tant d’autres. Il les aimait tous.

En grandissant, Lakhdar avait reçu un don : la joie. Aucune difficulté ne la démontait. Face à un problème, il cherchait la solution. Puisque l’humilité et la modestie constituaient son caractère, n’estimant pas, en toute occasion, qu’elle méritait mieux, elle ne se sentait guère frustrée. Quelques heures plus tard, assis sur son banc, tant que la lumière se grisait pour laisser l’obscurité remonter du sol au ciel, Lakhdar ne se résolvait pas à entrer dans sa demeure.

Prisca.

Prisca de passage , s'arrêta à l'église pour y remercier le Très-Haut de l'avoir protéger pendant son voyage.
Elle regarda l'immense église qu'elle trouva impressionnante et froide, elle s'agenouilla à même le sol et se mit à prier...

Oh grand Aristote, protège nous sur les chemins, moi et mon compagnon...
merci de me l'avoir fait retrouver quand je n'y croyais plus...

Prisca se signa, et parti heureuse de son nouveau bonheur...

Coalbe2

Coalbe entra dans la cathédrale . Inquiète elle venait trouver du réconfort auprès d'Aristote. S'agenouilla et commença a prier ...

Elle espérait qu'Aristote entende ses prières et que tout pourrait aller pour le mieux dans les prochains jours, elle alluma un cierge.

Se releva, fit le signe de la croix et reparti travailler.

Landyves

Il y en a un qui rentrait tout juste du monastère le plus proche, c’était Yves.
Le blondinet s’était ressourcé une bonne semaine, mais il n’en restait pas moins qu’il se posait bien des questions sur son devenir.
Une amie lui avait écrit peu de temps avant qu’il ne se retire de la vie active, et quoi lui répondre à ses interrogations ? Elle avait son opinion sur bien des sujets, mais le jeune homme, lui, n’était pas toujours en accord avec ses dires.
Alors en ce jour de messe, qui ne semblait d’ailleurs pas être célébrée en la capitale languedocienne, il vint se recueillir avec le jeune Samuel qui entrait dans la cathédrale en précédant son père adoptif de quelques pas.

Le petit ne comprenait toujours pas les rituels effectués par les aristotéliciens, mais respectait tout de même, malgré son jeune âge, la ferveur de cet homme qu’il considéré maintenant comme son véritable père.
Se signant là, Yves rejoignit rapidement un banc, et s’assit après avoir invité l’enfant à faire de même.
Sa médaille toujours sur lui, le benêt la serra, et après avoir récité le crédo, il se mit à prier, longuement, cherchant à communier avec le Très-Haut, espérant trouver des réponses aux questions qu’il se posait, celles qu’il considérait comme les plus importantes et pressantes.

Samuel quant à lui, restait silencieux, s’inquiétant tout de même de voir quelques gouttes de sueur perler sur le front de son père. C’est que l’homme devait être dans un état second pour paraitre ainsi, mal en point. A croire qu’il n’y avait pas plus croyant, bien que de ses jeunes yeux, il ne pouvait l’affirmer avec exactitude.

Le nîmois resta là encore un moment, frottant doucement, mais nerveusement cette médaille qu’il avait retiré du tour de son cou peu de temps avant.
Des réponses, ce n’était pas simple d’en récolter. Et se jour là, autant dire qu’Yves fit choux blanc. Tant pis, il avait pu, une fois de plus, réitérer son engagement envers la religion.
Un regard attendrit en direction de Samuel, ces deux là ressortirent alors de l’édifice une bonne demi-heure après leur entrée, pour se rendre en quel endroit ? C’était encore à déterminer, bien que le benêt était tenté par une auberge, lieu propice pour y trouver un rafraichissement digne de ce nom.
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Liloie

Elle prie. Entre deux bancs de la cathédrale, à demi agenouillée, les mains jointes, elle prie.

Un peu plus tôt, avant d'entrer dans la cathédrale, elle avait supplié son homme d'arme pour ne pas qu'il l'accompagne. L'édifice se trouvant très calme à ces heures, Bérot avait accepté de la laisser seule quelques instants. L'homme d'arme était posté devant la lourde porte de la cathédrale. De temps à autres, il poussait légèrement la porte, juste de quoi l'entrouvrir pour y apercevoir la petite baronne qui, était toujours à ses prières.

Liloïe prie. Elle prie pour ces personnes... elle prie pour ce qu'il s'est passé ces derniers jours, elle prie pour son père, elle prie pour sa mère, elle prie. Elle prie pour lui... elle prie pour ce qu'elle a fait, elle prie pour ce qu'elle n'a pas fait. Elle prie pour ces moments passés, elle prie pour ses amis.
Elle aurait aimé que tout ce passe bien du côté d'Arles, elle aurait aimé savoir ce qu'avait leur amie Arlésienne, mais elle respecte leur choix. Elle aurait aimé qu'aucune disputes n'éclosent... elle aurait aimé ne jamais recevoir ce pigeon. Elle prie pour cet enfant Alaisien qui a perdu ses parents, elle prie pour lui. Elle prie pour eux.

Son père... son pauvre petit père est bien malade, elle rêve chaque jour qu'on puisse lui permettre de le revoir. Elle prie pour lui, pour qu'il aille mieux. Elle aimerait le voir... on lui interdit de le voir de peur qu'il ne lui transmette une vilaine maladie apparemment, mais Liloïe est certaine que ce n'est pas la raison, elle pense plutôt que c'est pour lui éviter toute souffrance, pour ne pas qu'elle voit l'état où il pourrait être. Elle l'aime, elle prie pour lui.

Elle prie pour un bouquet d'événement... elle prie pour cette petite fille dont le père se serait armé de l'arbalète, elle prie pour ce petit garçon qui aurait pu être un grand chevalier, elle prie pour ces moments..., elle prie pour lui, elle prie. Elle prie pour ce qui au départ, n'était qu'un joli conte.

Elle prie pour ces deux amis se trouvant dans le comté voisin. Elle prie pour eux, elle prie pour qu'ils aillent bien, elle prie. Elle prie pour MonSeigneur Griffes, elle prie pour le revoir un jour. Elle prie pour son baptême, elle prie pour Petitechat. Elle prie pour Bérot, pour la soirée d'hier, elle prie pour tout ceux qui en ont besoin.

Liloïe se relève enfin. Elle a fini de prier, elle adresse encore quelques mots à Aristote. Puis, plus tard, elle quittera la Cathédrale.
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Zazou

Zazou se trouva fort flattée des compliments portés par Dame Dannydm, elle était encore plus fière de sa fille que jamais. Sans attendre que l'huilière de Montpellier ne se retourne, elle lui lançà :

- Capucine sera son nom... une jolie Capucine de velours, son père lui enseignera l'art d'user de ses griffes de fauve aux moments opportuns, moi, je lui apprendrait l'art de vivre en harmonie avec son environnement et l'Amour. Priez pour nous Dame, nous en avons grand besoin, je vous en remercie.

Sur ces mots elle continua son chemin paisiblement. Heureuse, elle constata que Montpellier comptait encore des gens humains et bons tout simplement.
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Rose_de_damas

L'huilière sortit de l'église, se frayant un passage entre les mendiants, les sans logis...
Elle regardait la ville du haut du parvis, il lui sembla qu'il soufflait un vent de tristesse...
L'élection du nouveau maire s'était faite dans un calme absolu,... où étaitent passées les joutes oratoires, les apostrophes, elles avaient été bien minces, voir inexsistantes, de la guimauve dont se délestent les enfants...
Elle se dit " A nouveau maire, nouvelle vie . Attendons , nous verrons bien!

Et puis comme à l'accoutumé , elles mis de côté toutes ses noires pensées et repris en main son avenir avec toute la gaité possible.

D'un petit rien, on en fera un bonheur!

Gally63

Xellotath avait tout préparé, avec la participation des aides de la cathédrale. La jeune diaconesse biterroise était arrivée dans la nuit et tôt le matin, elle avait tiré les malheureux de leur sommeil pour commencer les préparatifs avant l'angélus. Ce fut un travail assez simple, la cathédrale étant entretenue régulièrement, mais qui prenait du temps. Toujours est-il que l'heure approchait et que tout était en place. Elle somma un aide d'aller sonner les cloches.

Celles-ci résonnèrent, dans l'air et dans les murs. On eut dit un cri au monde, un cri manifestant la joie de tinter à nouveau. Une joie de rassembler les âmes aimant le Seigneur.

Nul doute que les fidèles allaient venir en ce jour béni, afin de prier et d'assister au baptème de Tritant07.
Xellotath avait revêtit l'habit et attendait l'entrée des fidèles sur le parvis. Les saluant, les grâciant d'un sourire, voire les rassurant ou encore réconfortant. Il était dur de vivre dans une ville où il n'y avait plus de représentant du Très Haut. Elle s'en doutait bien...

Petitechat

pc entendis les cloches sonnées et alla dans la cathédrale où elle aimait se rendre.
c'est un jour magnifique pour elle de conduire Tristant dans la grande famille Aristotélicienne. Elle repensa à son propre baptême, il y a de sa plusieurs lunes, sortant de ses pensées elle se dirigea vers l'autel. .

bonjorn ma soeur !! cossi va ? eu je voit que tristant et en retard il devrai pas tardé

Tristant07

Le grand jour était enfin arrivé. tristant était fébrile, quand la cérémonie sera terminé il serait un autre homme. Comme pour célébrer ce changement le soleil lui réchauffait les épaules et les oiseaux semblaient chanter la gloire du Très Haut.

Après un voyage fait de pensée et de réflexion, tristant se trouva devant la cathédrale . Elle était tout à fait charmante avec ses vitraux . Avant d'entrer icelieu, Arc se permit de faire une prière dans la nature profitant des prémices du printemps.

Puis, il se décida et d'un pas franc entra dans la la cathédrale . C'est alors qu'il vit celle par qui le Très Haut le fera entrer dans sa famille.

bonjorn ma soeur , bonjorn ma marraine adoré désoler de mon retard

je suis prêt on peut commencé !!!!!

Gally63

Xellotath accueillit son amie Petitechat et son futur filleul Tristant07 :

Adissiatz ! Va plan.
Si vous désirez commencer tout de suite, alors faisons ainsi.

La jeune femme entra suivit de Tristant07, afin de rejoindre Petitechat vers l'autel.
Quelques personnes soucieuses de leur foi s'étaient installés sur les bancs, pour venir prier.

Mes frères, mes soeurs. Je vous souhaite à tous la bienvenue en la maison du Seigneur.
Aujourd'hui est un jour bien particulier, en effet aujourd'hui nous célébrons l'entrée de Tristant parmi nous, au sein de la communauté aristotellicienne. Cette cérémonie est un moment très important dans la vie de tout un chacun et il ne saurait toléré d'être souillé par le péché. Aussi je vous invite tous à prier pour l'absolution de nos péchés.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Tristant07

tristant réçita :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Petitechat

pc réçita

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Gally63

Les gens priant à haute voix en choeur, une fois cela achevé, Xellotath continua :

Cette prière nous allège des petits péchés et nous permet de mieux communier avec le Très Haut.
Néanmoins, cela ne suffit pas à se laver définitivement et correctement du péché.
Aussi je vous invite à venir me voir à la fin de la cérémonie si vous avez à venir vous confesser.

La jeune diaconesse ne restait à Montpellier que peu de temps mais elle pouvait en consacrer une partie a recevoir les gens voulant se défaire d'un péché.
Elle se tourna vers Tristant et le somma :

Vous, qui avez effectué votre cathéchisme, vous qui êtes plein de votre jugement et de votre conscience, dites moi ainsi qu'au membres de la communauté aristotellicienne ici-présent et surtout au Seigneur.
Dites nous, pourquoi demandez-vous le baptème en ce jour ?

Tristant07

Je me présente à vous Très Haut pour demander le baptême et ainsi entrer dans la famille de l'Eglise Aristotélicienne.

Reprenant son souffle
Je désire ardemment servir le Très Haut et servir son Eglise qui m'apporte tout le bonheur en ce monde difficile. Je loue le Seigneur pour ses bienfaits

Gally63

Xellotath sourit au jeune homme. Elle fit face à l'assemblée.

Voilà un discours bien succin. Mais dont on ne peut douter de la sincérité.

Revenant à Tristant elle lui dit :

Si toutefois vous ne mentiez, sachant que rien ne peut être dissimulé aux yeux du Très Haut, alors vous vous condamneriez vous même aux flammes de l'enfer.

Se tournant vers Petitechat :

Vous, ma fille, qui avez choisi d'accepter de guider cette âme et de la supporter au sein de la communauté, je vous prie de vouloir nous parler de Tristant. Ceci à haute et intelligible voix, afin que nous puissions savoir qui est Tristant, avant de l'accepter parmi nous.

Petitechat

pc ce retrouna vers la soeur et dit :
tristant un homme pour qui je suis la marraine
mais il et vrai avec le temps un amour et née entre nous
cette homme et formidable honnête qui aime son prochain
il travaille très dur pour sa

Gally63

Fort bien ma fille.

Xellotath prit une inspiration.
Diriger une cérémonie n'a en soit pas de difficulté particulière, néanmoins si l'auditoire n'est pas non plus immense,rarement plus de 50 personnes, il n'en demeure pas moins que ceux-ci sont "pendus à ses lèvres". La moindre faute n'est pas permise, mais la jeune femme quoiqu'on puisse en penser était plus aguerrie qu'on ne pouvait le croire.
Elle sourit à Petitechat et Tristant puis continua :

Désormais clamons tous notre foi envers le Seigneur et entonnons le Crédo

http://img169.imageshack.us/img169/1887/credoey4.gif

Petitechat

pc entama le credo :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

C'est ainsi qu'elle recita le credo avec tout plein d'émotion

Tristant07

Tristan entama le credo :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

C'est ainsi qu'il récita le credo avec tout plein d'émotion

Gally63

Xellotath écouta les récitations. Peu, très peu d'hésitations même.

Voici la réponse de Oane au Très Haut, lors du rassemblement de toutes ses créatures, répondant justement à sa question sur le sens de la vie :

Livre des vertus a écrit:

« Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour. » Alors Dieu dit : « Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes. »

L'Amour est ce qui nous guidera tout au long du chemin pour atteindre le soleil et le Seigneur.
Mais avant de marcher sur le chemin encore faut-il se placer dessus au commencement. Comme à la naissance matérielle, le baptême est une naissance, vierge de tout péché.
C'est votre entrée dans la communauté aristotellicienne, pur et prêt à marcher sur la voie de la vertue.

Xellotath adressa un sourire à Tristant.

Maintenant répétez après moi le serment :

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l’Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu,
Et je jure de lui rester fidèle ainsi qua son autorité,
Seule représentante sur terre de l’Etre divin.
J’accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme
En vue de ma résurrection près de Dieu
Dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Rose_de_damas

Il arrivait à l'huilière de Montpellier d'aller à l'église de temps à autre. Une petite prière ne pouvait pas faire de mal. Elle entra dans l'église là où quelques gueux avaient passé la nuit. elle s'anançait vers l'autel et ... elle entendit des vagissements.
Sa réaction fût immédiate, aller en direction des pleurs

-" encore un gamin abandonné ! "

Mais non , elle vit de dos une jeune femme qui portait avec amour un nouveau né. Il ne devait pas être bien vieux! Et la maman était déjà debout, voilà une force de la nature se dit-elle.
Elle s'approcha de la jeune femme et la reconnu elle l'avait vu à une cérémonie qui avait eu lieu il y a quelques temps . D'ailleurs l'huilière n'était pas restée, mais elle la remettait cette jeune femme, il y avait aussi un jeune enfant... Mais oui c'est la fiancée de notre maire...de monseigneur Griffes...

-" Oh voilà un bien bel enfant! bonjour Damoiselle, je suis Dame Danny
vous ne me connaissez pas, je fais commerce de l'huile et de blé ici même...
Et bien dites donc il est tout nouveau né ce bel enfant ! Oh si c'est pas mignon ...".

L'huilière était toute émue à la vue de ce nourrisson. Que c'est beau la vie, se dit-elle !!

-" Je ne vais pas m'imposer davantage, mais sachez que je vous souhaite à vous et au père de cet enfant, tous les bonheurs et que vos deux enfants soient en bonne santé ainsi que vous aussi les parents. Voilà un bien grand bonheur ! j'm en vais faire une petite prière pour vous et votre enfant et que le très haut veille sur vous et votre famille".

Dame Danny n'attendit aucune réponse de la damoiselle, s'éclipsa et s'en alla faire ses prières sur un prie-dieu près d'une petite chapelle située sur le coté de la nef, elle mettrai aussi une bougie, elle aimait cette flamme qui s'élevait vers le ciel...

Tristant07

tristant répéta comme il ce doit le serment

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l’Eglise Aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu,
Et je jure de lui rester fidèle ainsi qua son autorité,
Seule représentante sur terre de l’Etre divin.
J’accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme
En vue de ma résurrection près de Dieu
Dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

Gally63

Xellotath fit alors agenouiller le jeune homme devant le baptistère à côté duquel elle se trouvait. Utilisant le calice prévu à cet usage, elle prit de l'eau dans le réceptacle en pierre et en fit couler sur le nouveau baptisé.

La diaconesse poursuivit alors.

Ecoutez le récit du premier baptême, institué par le prophète Christos lui-même :

Vita de Christos, Chapitre XII a écrit:

Lorsqu’il se trouva face à Christos, le centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et s’agenouilla en embrassant la robe de notre messie.

« Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! »

Alors Christos le releva et sous le regard médusé des Romains, il prononça ces mots :
« Pécheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs péchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. »

Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
« Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence. »

Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au centurion :
« Par la grâce de l’Eternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. »

Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :

« Seigneur, daigne laver cet homme de ses péchés, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très-Haut. Amen »

Puis, Christos nous appela à lui, nous, ses apôtres et, les uns après les autres, il nous ceignit de l’eau de la fontaine, nous faisant naître à nouveau. Il nous dit : « Mes apôtres, tant hommes que femmes, par la grâce de Dieu, vous voici lavés de vos péchés. A vous de Lui montrer que vous saurez vous montrer digne de cet honneur qu’Il vous fait, car le sacrement du baptême pourra être retiré à quiconque en trahit l’essence. »

Tristant, comme cette eau témoigne de la permanence de votre baptême, je vous baptise dans ce sacrement au nom de l’Eglise aristotélicienne et au nom du Très-Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.

En souvenir de votre baptême, nouvelle naissance, et en signe de la foi que vous entretenez en votre âme, recevez ce cierge, symbole de la lumière divine dont vous vous engagez à être le porteur…

… ainsi que ce médaillon, que vous porterez en témoignage de votre engagement au sein de l’Eglise aristotélicienne.

Néanmoins, n'oubliez surtout pas que Dieu a dit à Ysupso :

« Mais ne crois pas que le fait d’être baptisé t’autorise à pécher sans vergogne. Ce sacrement n’est que le moyen de vivre dans la vertu. »

Tristant, vous voici désormais pleinement membre de la communauté aristotélicienne. Puissiez-vous être un modèle de foi et de vertu pour tous.

AMEN.

Petitechat

pc suivait consciencieuses le bon déroulement de la cérémonie. C’est avec la plus grande joie qu’elle regarda tristan son filleule donc, recevoir cette eau bénite, et que désormais il faisait parti de la grand famille d'Aristote.

pc toujours avec sa bougie en main fit un pas en arrière, laissant le temps d’un instant xello féliciter tristant , avant d’y aller a son tour

« Toute mes félicitations tristant , bienvenu parmi nous…j’espère qu’on pourra le fêter comme il se doit . »

Puis elle s’adressa à xello

« Bravo a toi aussi xello, se fut une très belle célébration »

Roland_fr

Roland se glissa dans la cathédrale.
Il avait l'esprit fort inquiet et vint se recueillir sous la croix d'Aristote.
Il murmura quelques paroles.
Aristote, toi qui nous éclaire depuis si longtemps
Guide nous vers la sérénité.

Sa gorge était nouée, quant il ajouta
O Tout Puissant, protège nous.
Nous accepterons le destin qui nous est réservé.
Sa voix trahissait un soupçon de lassitude.
Montpellier me manque déjà,
Mais nous avons tous nos responsabilités à honorer.
Protège Dame Enelram qui m'accompagne,
Protège nostre respecté Duc de Bourbon Auvergne,
Mon puissant seigneur qui nous accorde protection pendant notre retour.
Protège le Languedoc dans la période difficile qu'il traverse.
Il se signa et ferma les yeux un instant.

Puis il quitta la cathédrale, espérant un jour pouvoir y revenir.

Andreia

Andreia entra dans la cathédrale ou seul le murmure du vent répondait au bruit de ses pas foulant le sol. Écho.

On en revient...

Il n'y avait pas âme qui vive dans l'enceinte de la bâtisse, elle y était seule. Avec le Seigneur.

Toujours..

Un doux rayon de soleil filtrait à travers les vitraux, caressant ses joues où trônaient encore les traces de ce qui fut un océan de larmes. Amères.

Là.

Elle s'agenouilla devant l'autel tenant dans ses mains jointes un petit anneau, que nul n'aurai su voir tant elle le serrait fort, comme ne voulant pas qu'il lui échappe. C'était une prière silencieuse, mais intérieurement elle hurlait ses suppliques. Douloureuses.

La vie est...

Tant de fois elle avait prié, supplié, pour que ce moment n'arrive pas. Il faut croire que ses péchés ne sauraient être lavés par autre chose que ses larmes. L'eau du baptême n'y avait rien fait. Souffrances.

Un éternel..

Tant de questions, tant de doutes, toutes ces attentions, ces confessions, ces précautions aussi, rien n'y à fait. Il a ouvert les yeux, et le désir lui est apparu fait femme. Sur cette autre ses mains veulent se poser. Danger.

Déchirement.

Reste à prier, Dieu et tous ses saints réunis. Elle l'avait aimé la première, elle le perdrait en premier. Seul espoir ? Les premiers seront les derniers dit l'adage. Le voulait-elle seulement au vu de la situation ? Égoïstement, la réponse limpide fut de dire Oui. Mais songeant à lui, à ses rêves, ses désirs..Elle songea à s'effacer. Alors elle pria davantage, pour elle, pour lui, pour cette autre aussi.Pour savoir quoi faire. Et les larmes vinrent bénir cette prière.

pnj

Anthinéa de passage à Montpellier, s'arrêta à l'église pour y remercier le Très-Haut de l'avoir protéger pendant son voyage.
Elle regarda l'immense église qu'elle trouva impressionnante et froide, elle s'agenouilla à même le sol et se mit à prier...

Oh grand Aristote, aidez-moi à arriver à destination...
Je suis seule au monde et sans amour... un monde de solitude bien difficile à porter...
La route est longue quand on est seule et que l'on ne peut rien construire, aidez-moi à trouver mon double...

Anthinéa se signa, et partit tête baissé, elle avait des larmes dans les yeux...

Zazou

Zazou, portant un tout petit bébé dans les bras, entra dans la cathédrale. Elle s'avança d'un pas lent, souple, comme pour bercer le sommeil de l'enfant nouvellement né. Seule dans cette immense bâtisse elle se mit à parler, d'une voix déterminée et douce, elle s'adressait au très haut....

"Il y a peu de temps j'ai été baptisé, ainsi que mon fils Jaime, et à présent, je te présente ma fille, que je ne nommerai pas encore car avec son père nous n'avons pas tout à fait choisi. Elle est née ce matin, dans la demeure de Griffes, son père, à 11H3O, dans la douleur et l'amour. Je vous demande de la protéger..."

Elle resta un long moment assise, en méditation, le regard posé sur le nourrisson paisiblement endormi. Puis se releva, se signa et repris le chemin inverse pour sortir de la cathédrale.

Elle semblait calme, reposée, comme si elle venait de prendre une grande décision.
_________________

Petitechat

Pc s'ennuyait un peu elle décida d'aller à la cathédrale pour chanter un peu. Elle arriva et monta les grandes marches, poussa la porte, elle adorait cet endroit. Quelle belle fin de soirée, pour pousseer la chansonnette. Elle pris le parchemin de la chanson quelle avait choisit pour s'entrainer un peu.

Qui voudrait etre a ma place ?
qui saurait comment faire face
a ce role qui me fait peur ?
je vous laisse jugés complices
vous en laisse le bénéfice
pour jouer en coulisses

pas la peine de me chercher
non pas la peine de me proposer
à vos rêves m'attacher
je suis fait pour rien faire
mais surtout pour bien le faire
pas envie de me lever
non je n'ai pas envie de m'encombrer
ni d'avis a donner
je suis fait pour la fête
par pour la prise de tête non

à qui la faute ?
la vie est trop sérieuse pour m'y ennuyer
à qui la faute ?
non non c'est pas de ma faute non

pas de quoi se relever
non pas de quoi en rajouter
ni de quoi s'en venter
je suis fait pour la fête
par pour la prise de tête non

à qui la faute ?
la vie est trop sérieuse pour m'y ennuyer
à qui la faute ?
c'est pas de ma faute
à qui la faute ?
les envies trop nombreuses pour y resister
à qui la faute ?
non non c'est pas de ma faute non

je le suit comme je le suit
je suis comme je vis
je fait tout ce que je peux
je vis comme je vis
tout ce qu'on me dit
ne me rend pas,
ne me rend pas heureux

à qui la faute ?
la vie est trop sérieuse pour m'y ennuyer
à qui la faute ?
non ce n'est pas de ma faute
à qui la faute ?
les envies trop nombreuses pour y resister
à qui la faute ?
non non c'est pas de ma faute non

lève les mains au ciel et dit c est la faute de personne juste des erreurs

, repartir pour sa brigade

Maccha

Elle prit sa sœur qui serait dans ses bras et la vit sourire l' annonce qu'elle lui avait fait., et se dit que ce type qui se prenait pour un Seigneur, elle s' en foutait carrément.

La elle était certaine que leur baptême serait valide ,car x. est un vrai serviteur de dieu qui ferait la cérémonie. Heureusement que ce n' était pas lui. Un type qui laisse sa vocation, comme bon lui semble, qui se fout des habitants, elle n' en voulait aucunement.

Pur elle le baptême était sacrée et heureusement elle vivrait une vrai ceremonie. Elle remercia le très haut , intérieurement que les choses ait tournées ainsi.

Tristant07

Tristant arriva en courant à la cathédrale pour demander à son exellence Griffes où il faut aller pour faire sont cathéchisme

Jo_der

Jo_der fit un petit signe à Griffes au moment où ce dernier allait baptiser Ysi... Surpris, l'Homme d'Eglise s'excusa et se mit en retrait pour parler à l'orphelin... Ils conversèrent très brièvement...

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Griffes

Revenant, l'air soucieux, Griffes prit la parole :

Fidèles de la paroisses,

Beaucoup semblent avoir oublié ce qu'est le message d'Aristote, il ne suffit pas de répondre à des questions pour accéder au baptême.

Je suspend donc ici la cérémonie.

Frzazou, Coalbe, je suis heureux que vous soyez baptisées, gardez précieusement la Lumière qui vous est confiée et qu'elle vous offre éternellement la Chaleur et la Lumière dans vos coeurs.

Merci à toutes et tous.

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Ysi

Comment! Je suis outrée de voir qu'un homme d'église ne tienne pas sa parole, j'ai récitée le Credo reçu le présent de ma marraine, et là mon baptême ne compte PAS!!!!
Comment peux-tu agir de la sorte!
Ne faut-il pas avoir de coeur, pour agir ainsi!
Êtes vous sur Messire Griffes dans posséder un?
Toutes personnes à droit à des colères mais pas vous, un homme d'église enfin!
Ne mélangez pas vos histoire de maire à celle de l'église, cela n'arrangera rien, tout au contraire.

Sur ce Ysi partit en courant vers la sortie, claqua cette lourde porte, pour fuir, elle avait un gout amer à la gorge envers Griffes, pourtant Ysi était de nature à aimer les personnes mais fallait pas la trahir.

Vincenzo8313

Vincenzo écouta Sir Griffes annuler le batême, il en resta choqué, il entendi ensuite sa belle et tendre Ysi s'exclamer pour indiqué son indignation envers cet homme d'église. Le jeune homme n'arriva pas a temps pour retenir sa fiancée, la porte se referma sur lui. Il se retourna vers ce Monsieur Griffes, le regard noir. Il s'en approcha et vint se planter devant lui, le regardant dans les yeux. Il réévalua son jugement sur cette personne, le trouvant de plus en plus petit.

Je ne suis pas un homme pieux mon chére, mais je respecte votre ordre et vos croyances et j'attend d'un homme d'église qu'il respecte la nature humaine ce qui n'a pas été le cas dans ces murs. Aucune explication pour cette annulation j'appel ça de la couardise, vous aurez interré a en donné et au plus vite, non pour vous donner bonne conscience mais par respect pour le travaille que ces dames ont fourni et leurs dévotions a votre dieu. Ma dame a été froissé dans son estime, j'attend une réparation morale pour ça. Que votre dieux rassemble les brebis qui se sont égaré en chemin, parce que dans cette cathédrale, j'en vois une qui est sorti de l'enclo...

Vincenzo, un brin énervé, ouvrit la lourde porte de la cathédrale et se retourna, regarda dans la cathédrale puis une derniere fois l'homme d'église qui se trouvé au milieu de l'alleé centrale.

Maccha

Fidèle a lui-même il annula, de toute façon , elle n' aurait en rien put être fière d' être baptiser par une homme si vil. Elle laissa le parchemin montrant a ses amis ou,elle avait choisit d'être baptiser.

http://cistercien.forumactif.com/conciergerie-du-frere-portier-f80/arrivee-de-maccha-t4068.htm

Scarlett_de_kerdraon

Houla …… Pensa Scarlett …. Il y va fort ! Elle savait que lorsqu’elle rentrerait chez elle, elle serait assaillie par les uns et les autres …. Qu’on tenterait de lui faire prendre position, tant sur cet incident que sur la polémique qui déchirait la ville depuis des jours et des jours. Les deux camps lui avaient demandé d’intervenir. Elle avait refusé d’en parler et ce avec quiconque …. Et bien elle continuerait !!!! Quant à son baptême, cela n’avait aucune importance …. Elle le ferait ailleurs, c’est tout …. Elle était même assez amusée de la situation. Elle avait déjà connu ce genre de chose quant elle avait dit « non » le jour de son mariage ! Désormais, elle riait presque chaque jour en se souvenant de cette cérémonie … elle ferait sans doute pareil plus tard en repensant à son baptême loupé … Décidemment les églises et compagnie, c’était pas fait pour elle !

Néanmoins, et pour jouer sa sortie de façon théâtrale, elle se drapa de sa dignité, tourna les talons et annonça :

Edmond, Titi, on y va … On n’a plus rien à faire ici … Edmond, je ne tolérerai aucun commentaire, AUCUN !

Edmond_tesquieu

Edmond relève soudainement la tête à l'annonce de l'arrêt de la cérémonie. Il n'en revient pas. Ca va donc jusque là... Voilà donc comment agit un homme de Dieu lorqu'il est vexé comme un pou ?

Voilà bien un pur scandale. Un de plus ! Comment un homme si vil peut en arriver à de telles extrémités. Mettre fin à la cérémonie de dame Scarlett et de Maccha ainsi sans explication, sans raison. Et que dire de la pauvre Isy, stoppée net au beau milieu de son baptême. Quelle honte !

Toutes ces semaines de travail, de préparation… Tout cela perdu, gâché par la bêtise et l’égoïsme d’un maudit curé aigri.

Le message d’Aristote a bien été oublié par certains. Mais pas par ceux qu’on croit…

Puis il voit Scarlett tourner les talons, prête à sortir, superbement drapée dans sa dignité. Il la reconnait bien là, elle n'a pas changé avec le temps. Dommage seulement qu'elle ne le soutienne pas dans l'action qu'il mène actuellement.

Mais peut-être maintenant va-t-elle enfin changer d'avis...

Edmond, Titi, on y va … On n’a plus rien à faire ici … Edmond, je ne tolérerai aucun commentaire, AUCUN !

Loupé... Bon, tant pis. Il dirait bien quelque chose mais à quoi bon... Il n'a pas envie de se disputer avec elle. Les choses n'en seraient que plus compliquées encore pour elle comme pour lui. Et puis ce n'est pas le lieu.

Il se lève et rejoint la sortie. Regardant la cathédrale une dernière fois, il se dit que décidément Dieu a abandonné cet endroit. Puis sans s'attarder, il sort.

Roland_fr

Il avait écouté en silence, en pélerin, en séminariste. Il avait pu échanger un peu depuis son arrivée avec quelques paroissiens. Roland éprouvait de la tristesse. L'incompréhension était bien souvent source de déception. Et c'était le sentiment qui parcourait l'assemblée qui quittait peu à peu la cathédrale.
Etranger, il se devait de garder sa réserve. Pourtant il resentait de la compassion à la fois pour Griffes, officiant à la chaine, bourgmestre, et jeune marié en lune de miel... et pour les candidates au baptème qui devront attendre...

Mais que représente au fond le baptème ? Les paroles de sa préceptrice lui revenaient à l'esprit.

Citation:

"Le baptême introduit le fidèle dans une union avec les autres baptisé et une communion avec les Saints."

Mais que représente un délai de réflexion ou d'attente supplémentaire ?
Il se souvenait des longs mois d'attente qu'il avait lui même vécu, attendant le retour du diacre. Mais quelle récompense, avec une cérémonie exceptionnelle, entouré de tous ses amis, l'honneur suprême de la présence de son Evèque, les représentants de la cité,... et la présence de celle qui était revenue de si loin pour être à ses cotés, en larmes...

Roland savait au fond de lui qu'on ne pouvait blamer celui qui avait voulu temporiser et demander un peu plus de solennité dans les sacrements qui s'enchainaient. Pourtant quelle déception pour celles qui attendent de rejoindre la communauté aristotélicienne. Il espérait que Maccha trouverait à l'abbaye de Noirlac les paroles de réconfort qu'elle recherchait.

Roland s'agenouilla dans la cathédrale qui se vidait, et se mit à prier.

Griffes

La décision n’avait pas été facile à prendre…

Il repensa à son propre « premier baptême » qu’on lui refusa à Bourganeuf… « je n’étais pas prêt » avait dit le curé… Ses mots m’avaient poussé vers la rage et l’incompréhension, un certain rejet aussi de l’Eglise, mais qui, heureusement ne fut que passager…
Il me fallut me remettre en question, seul, sans guide et sans repères apparents… la réponse était pourtant là, évidente… Et je changea mon comportement...
J’allai desormais à la messe depuis ce jour, sans en manquer une seule, j’œuvrai avec dévotion pour mon prochain sans compter sur mes intérêts, je donnais ce que j’avais de meilleur sans exploiter le reste… Et ce fut une Grande Dame qui finit par me dire un jour : « Regardes-toi aujourd’hui, maintenant tu as compris ce qu’est le baptême »… Ainsi je reçu le Saint sacrement telle une récompense et non tel un du…
Baptême, Mariage... Chaque sacrement à son sens et ne doit être trahis par de fausses raisons

En repensant à tout cela, il avait désormais l’intime conviction et la Foi que son acte de suspension des cérémonies restantes n’avaient pas été une erreur… peut-être avait-il juste oublié de leur dire « Vous n’êtes pas encore prêtes »…

Il se changea dans la sacristie et entra chez lui…

Fin de la cérémonie

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Maccha

Elle regarda le baptême de ses sœurs en attendant le sien et pleura de joie. Elle les regardait avec tendresse et admiration. Elle les aimaient tellement et en était fière. Malgré tous les événements , leur famille restait unit et soudé, comme leur parents auraient désirés.

Mes sœurs , félicitations , vous voila maintenant dans la grande famille aristotélicienne.

Soyez en toujours digne et fière.

Puis elle les embrassa en attendant sn tous.

Scarlett_de_kerdraon

Scarlett avait beaucoup de qualités. Plusieurs étaient même admirables mais il se trouve qu'une lui manquait particulièrement. C'était très très caractéristique de cette jeune femme ... Elle était tout ce qu'on voulait mais elle n'était pas patiente.

C'était un drame pour elle, elle ne supportait en aucun cas d'attendre. Elle s'était déjà mise dans des situations incroyables parcequ'il aurait fallu patienter un peu.

A priori, tout son entourage, proche ou pas, connaissait cette tendance qu'elle avait.

Enfin, pour son baptême, elle se dit qu'il fallait faire un effort ... mais elle avait l'impression qu'il lui faudrait attendre plusieurs jours, et ça, c'était hors de question. Elle resta donc assise en attendant que la cérémonie veuille bien se dérouler ...

Auriia

Coa venait de recevoir l'eau bénite... Sous la demande de sieur Griffes Auriia alla prendre la bougie qui brillait le plus, elle l'a donna à sa filleule puis ce pencha vers elle pour la bizouiller;

C'était au tour de Ysi maintenant, avec la même envie Auriia se tourna vers elle et récita...

Oui en ce jour de baptême je prend l'engagement de veillez sur Ysi, oui je reconnait que l’Amitié sera toujours présente, aujourd’hui et pour l’éternité, par mes conseils et ma Lumière de femme d'église je serai lui apporterez tous au long de son existence la sainte parole, même si un jour nos chemins se séparent alors nous seront nous retrouver par la prière .

Puis d'un grand sourir envers son amie elle lui donna la chaîne identique à celle de Coa pour accrocher sa médaille.
_________________

« Un véritable ami vous poignarde en face. »

Ysi

Sur les paroles de sa Marraine, Ysi sentit une larme coulée sur son visage, elle reçu cette chaîne avec amour, elle embrassa Aurii et lui dit!" merci Marraine".

Ysi

Après le chuchotis que Griffes envers Ysi, elle prit la parole.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créature de Ciel et de la Terre,
Des Enfants et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse,
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je aussi en Cristos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait,
Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la vie Eternelle.

AMEN

C'est comme cela qu'Ysi récita le Credo

Griffes

Il sourit

Coalbe, c’est un véritable plaisir pour moi de te baptiser, viens à mes cotés.
Tu as su durant toute ta pastorale, être attentive, juste dans tes mots et dans tes réponses, je me suis rapidement rendu compte que les valeurs qu’a porté jusqu’à nous Aristote te sont acquises.
Tu as choisi Auriia pour te guider et elle s’engage devant le Très-Haut, devant nous tous à éclairer ta vie de ses conseils chaque fois que tu en auras besoin.

Il plongea ses doigts dans l’eau bénite, Elle se pencha et il l’a marqua d’une croix sur le front.

Coalbe, par cette croix, que soient absoutes tes fautes passées et que loin du péché tu vives désormais et pour l’éternité.
En vertu de l'autorité qui m'est confiée, je te baptise au nom de l’Être Divin, Soit la Bienvenue dans la famille Aristotélicienne.

Il avait vraiment le cœur léger d’opérer ce baptême.

Damoiselle Auriia, vous pouvez offrir à votre filleule une bougie allumée, symbole de la Lumière que vous lui transmettez.

Et puisque les postulantes restantes en on fait le choix, nous allons poursuivre cette cérémonie juste à coté, sur les bords du lac, ici dans l’enceinte de l’édifice Saint qu’est cette église. La terre bénie de cette Cathédrale s’étend au Sud-est vers le lac, nous nous y rendons de ce pas.

Passant à coté d’ Ysi, il lui glissa : Tu es la prochaine !
Accompagné d’un clin d’œil amical

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Seloutte

Seloute, toute émue de cette cérémonie, joignit les mains et entama le crédo :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Elle ferma les yeux et pensa à bientôt faire le sien.

Galahadd

Galahadd était remplis de joie cette jeune brebis allait rejoindre par son baptême notre grande et sainte église Aristotélicienne.
il la serra très fort ainsi que son enfant contre lui comme un père fait à sa fille et lui dit doucement:

Citation:

Je serai très fière d'être ton témoin de mariage dans notre belle cathédrale de Lodeve. demain je reprendrai la route car déjà mon village me manque

puis s'adressant a Griffes il lui déclara:

Citation:

Je viens de me confesser a Monseigneur Lemoine, ce soir je vais rester dans cette cathédrale prier pour mon village, trop d'événements se préparent, je vais demander conseil au Tout Puissant, j'ai besoin de son aide, qu'il m'indique la voix de la sagesse, je ne sais plus quoi faire, agir en homme d'église m'apporte une haine de mes paroissiens et amis et agir en être humain m'apporterai une disgrâce de la part de mes pairs, je serai alors rejeter de la voie auquel je m'était destiné et qui est ma joie de vivre

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Archevêque de Narbonne.

Auriia

Auriia s'avança au coté de Coa avec une grande fièrté. Son amie allai bientôt faire partis de la famille d'Aristote et leurs amitié sera renforcé par le lien de filleule à maraine.

Elle posa les yeux sur Coa et s'éclama....

Oui en ce jour de baptême je prend l'engagement de veillez sur Coalbe2, oui je reconnait que l’Amitié sera toujours présente, aujourd’hui et pour l’éternité, par mes conseils et ma Lumière de femme d'église je serai lui apporterez tous au long de son existence la sainte parole, même si un jour nos chemins se séparent alors nous seront nous retrouver par la prière .

Une fois terminé Auriia glissa la main dans sa poche et posa à l'intèrieur de la paume de son amie la chaîne qui servira à accrocher sa médaille.
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« Un véritable ami vous poignarde en face. »

Griffes

Jaime et Zazou étaient baptisés. Les postulantes avaient choisies soit de le faire dans l’Eglise, soit dans le lac. Aussi Griffes passa à la suite :

PetiteChat et Galahadd allumèrent un cierge et l’offrir à Zazou, pendant que d’autres approchaient de l’autel.

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Coalbe2

Coalbe remercia Auriia et entama le credo :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

C'est ainsi qu'elle recita le credo avec tout plein d'émotion
_________________

Maccha

Assise avec ses amis, elle attendit son tour pour prononcer ses vœux sacrés. Elle pensât son père et sa mère qui devait surement les regarder de la haut. Ils avaient été de fidèle croyant et serait surement fiers de ses enfants.

Euhhhhh,,, a moi la.......

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Griffes

Le sourire se lisait sur le visage de Griffes ; Galahadd puis PetitChat venaient de se prononcer et la broche était sans nulle pareille.

Zazou, nous allons procéder au baptême de Jaime et du tien.

Les yeux du Père brillaient de milles feux.

Aussi, je t’invite à prononcer le crédo que tout Aristotélicien prononce le jour de son baptême. Nous t’écoutons.

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Zazou

Zazou remerciait Petitchat du regard accompagné d'un large sourire, illuminant son visage. Elle rit de voir Jaime essayant d'attraper ce bel objet brillant. Enfin, c'est vers Griffes que se tourna son regard, plus amoureuse que jamais, l'air serein, elle entama le crédo, y mettant tout son cœur et sa sincérité.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

C'est ainsi qu'elle prononça le crédo, le regard brillant d'émotion...

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Griffes

A la suite du Crédo, il trempa ses doigts dans l'eau claire et bénite... en vérifia la température, comme il le faisait dans leur demeure commune, elle était tiéde comme il fallait... Les doigts humides il s'approcha du front de Jaime que Zazou tenait dans ses bras... Griffes ne tremblait pas, au contraire, mu par la Foi et la force de ses convictions Aristotéliciennes, il marqua d'une croix l'enfant aimé.

Le regard de Griffes ne quittait pas celui de son fils, apparement chatouillé par ces quelques gouttes sur son front... Il regarda ensuite Zazou avec une tendresse infinie...

Il détacha sa propre croix qu'il ne quittait jamais, déposa un baiser dessus et la posa sur le ventre de son fils qui commença à jouer avec. Il avait le coeur a tout romptre, il savait à quel point Zazou avait des efforts au quotidien, dans tous les domaines...

Il trempa à nouveau sa main dans le baptistère et marqua Zazou de la croix symbolique.

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Galahadd

Galahadd était aux anges il avait pour un court instant oublié ses problèmes, le futur couple qui allaient prononcé leur vœux de mariage bientôt dans sa cathédrale à Lodève était resplendissant, on voyait sur leur visage la joie et l'amour ainsi que toute l'attention que portait Griffe sur sa futur épouse mais malgré ça on remarquait que sa filleul était très angoissée.
il s'approcha sous l'ordre de son frère prie doucement Frzazou par l'épaule et prononça ses paroles.

Citation:

Oui en ce jour de baptême je prend l'engagement de veillez sur Sophicie Tadelle, dite FrZazou, et sur son enfant, Jaime, fils de FrZazou et de Griffes, il est né de l’Amour le plus pur et le plus fou je suis certain que cet enfant sera élevé dans la foi de notre église .
oui je reconnait que l’Amitié sera toujours présente, aujourd’hui et pour l’éternité, par mes conseils et ma Lumière d'homme d'église je serai leur apporterez tous au long de leur existence la sainte parole, même si un jour nos chemins se séparent alors nous seront nous retrouver par la prière

_________________

Archevêque de Narbonne.

Petitechat

pc était aux anges de voir sa filleule qui aller prononcer ses voeux de baptême. Elle regarda zazou avec un beau sourire, puis sortie de sa poche un petit cadeau. Elle lui accrocha la broche quelle avait fait pour elle et l'embrassa en prononçant ces paroles :

Citation:

Auriia

Auriia se tourna vers sa deuxième futur filleul qui était concentré sur les paroles qu'elle récitait...
En l'observant, elle remarqua que Ysi avait l'air beaucoup moin stréssé que Coa, enfin pour le moment.
La cérémonie n'était pas encore fini, mais une grand parti c'était déjà déroulé.Perdant le fil du discourt elle parcoura du regard toute la salle en esperant trouver un visage familier.
_________________

« Un véritable ami vous poignarde en face. »

Griffes

Griffes était plus qu’en joie de cet instant, son frère Galahadd avait fait la route depuis Lodève pour l’évènement, Bénit soit-il se dit Griffes… Tous confessèrent au Très Haut leurs péchés, Maccha était restée muette pour l’instant mais cela ne saurait tarder… FrZazou avait les yeux luisant de sérénité et ses mains posés sur son joli bidon… Il avait pensé « finir la cérémonie par elle »… Mais, si elle accouchait soudain !!! Non non, cela ne se pouvait… Il tendit la main à sa belle pour qu’elle approche du Baptistère.

Il les invita tout trois devant le baptistère. Il avait les yeux presque en larmes au vu de l’évènement… Sophicie était resplendissante comme jamais… un peu anxieuse peut-être… Griffes lui offrit quelques fleurs à savourer puis parla aux parrains.

Il s’approcha de son Aimée, la prit par la taille, caressa son ventre rond et déposa un baiser sur le front de son fils.

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Zazou

A peine Auriia eut elle finit de parler que la grande porte de la Cathédrale grinça... Enfin! Galahadd faisait son entrée le plus discrètement possible. Zazou, s'étant un court instant retournée pour regarder, était fort soulagée de voir son cher Parrain arriver.

La cérémonie pouvait à présent continuer dans la sérénité. Accompagnée de sa Marraine et de son Parrain elle se sentait plus confiante et déterminée que jamais à devenir une bonne Aristotélicienne. Galahadd s'étant approché, répétait à présent les saintes paroles...

Elle déposa un doux baiser sur le front de son petit Jaime et lui sourit tendrement après avoir chuchoté ces quelques mots.

- Oui mon Ange, toi aussi tu seras bâptisé, comme un grand.

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Galahadd

Galahadd, sacristain de Lodève suspendu en attendant le verdict de son procès et après une longue marche arriva à Montpellier, il était fatigué.
Il aurait aimé faire ce baptême dans sa cathédrale mais la joie d'être le parrain de Frzazou, l'une de ses paroissiennes le comblait pour aujourd'hui.
il fit un signe de croix en pénétrant dans la maison du Tout Puissant regarda ses amis et répéta les saintes paroles.

Citation:

- Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
- Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis calmement il attendit que son frère Griffes l'appel pour la suite de la cérémonie.

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Archevêque de Narbonne.

Auriia

Auriia se dirigea vers l'autel avec un grand sourir, cela lui rapelait de vague souvenir lointain.Coa marchait à ses cotés, quand elle posa son regard sur elle, Auriia s'apercue du traque de sa futur filleuil.
Elle mela ses doigts derriere son dos puis commença à réciter...

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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« Un véritable ami vous poignarde en face. »

Ysi

Ysi qui était restée agenouiller devant l'autel se décida à prendre la parole.[i] Aurii était là aussi pour elle en tant que sa Marraine.

Je me confesse à Dieu tout-puissant, à tous les Saints et à vous aussi mes amis(es), parce que j'ai péché, en pensée, en paroles, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous mes amis(es) de prier le créateur avec moi.
Que le très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et là rémission de tous nos péchés.

Seloutte

Petitechat

Zazou

Zazou, inquiète de ne point voir arriver son parrain, regardait discrètement vers l'arrière de la Cathédrale mais ne le vit pas. Le teint pâle, elle respira profondément en concentrant son regard sur le visage radieux de Jaime qui jouait sur ses genoux. Elle ne se sentait pas vraiment bien, la nervosité sans doute.

Elle releva la tête, son regard croisant celui de Griffes... et commença...

- Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

- Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Roland_fr

Roland s'était mis à l'écart, simple pélerin de passage il souhaitait pourtant s'associer aux prières et partager l'accueil de ces nouveaux aristotéliciens. Dans la foule des nombreux montpellierains, certains visages ne lui étaient pas inconnus.
Il écouta le sieur Griffes et se joignit au recueillement prélude au sacrement du baptème.

Coalbe2

Coalbe se dirigea vers l'autel accompagnée de sa marraine Auriia, les jambes tremblantes, surement l'emotion et dis :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.

Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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Scarlett_de_kerdraon

Scarlett avait déjà connu beaucoup de confessions plus marrantes ! mais n'en pouvant plus d'attendre, elle se précipita et répéta :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Ysi

Griffes

Griffes finissait l’accueil, les parrains et marraines était là...
A la venue d’Ysi, il sourit :

Il faudra mettre de la pommade Ysi et soigner tout ça… Mais tu as raison, Commençons…

Il se dirigea vers l’autel et appela à lui les marraines et futures baptisées.

Citation:

Il écouta avec attention... Ce genre de paroles, mal dites, seraient à répéter s'elles étaient prononcées de travers...

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Petitechat

Franckyboy

Griffes

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Ysi

Edmond_tesquieu

Vincenzo8313

Ysi

Ysi arriva avant que le baptême ne commence elle ne voulait pas êtres une fois de plus en retard. Elle poussa la porte de la Cathédrale et regarda autour d'elle. Une silhouette était assise au premier rang, elle s'approcha, des gazouillement de bébé lui vint aux oreilles. Puis de plus près elle put reconnaitre Zazou de dos. Elle arriva à ses côtés et la salua en lui collant de gros bisous sur les joues elle posa un doux baiser sur le front du petit Jaime qui était entrain de sourire à sa mère.

Heureuse de te revoir ma belle! alors comment te portes tu? Il y a longtemps que tu attends ?

Puis Ysi prit place au côté de zazou et attendit l'arrivée de ses soeurs des invités et surtout de Griffes.

Coalbe2

coalbe arriva a la cathedrale s'etonnant de ne pas avoir entendu des cloches. Elle entra doucement et appercu au premier rang deux silhouettes. Elle s'approcha et reconnu Zazou, son fils jaime et Ysi sa soeur.

Bonjour Zazou jaime et Ysi . Je leur fis la bise et je m'assois a leur cote.

Plus qu'a attendre mes soeurs et Griffes bien sur.
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Titoo

titoo rentra dans cette super cathédrale . et attendis dans un coin que les invités arrivent . regarda les alentours de cette édifice , contempla avec stupéfaction , toutes ses belles choses . au passage il alla saluer toute le monde et continua sa visite .

Auriia

Auriia arriva devant le grand porche, elle poussa la porte des deux mains et s'engouffra à l'intèrieur. Elle ne rentrait pas souvent ici et a chaque fois ses yeux était émerveillaient par le lieu.
En longeant l'allée central elle aperçue quatre personne assise, en ce raprocha elle remarqua les futurs baptisés.
Elle prit place à coté de Coa et les salua d'un sourir...

Alors les filles prête?
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« Un véritable ami vous poignarde en face. »

Griffes

Messe et Baptêmes du 02 Mai 1457

- Je suis en retard petits trésors, vos baptêmes ne sauraient tarder.

Ysi, Auriia, Coalbe et Titoo étaient déjà là aussi. Il salua tout le monde et se dépécha, allant à la sacristie pour se préparer.

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Scarlett_de_kerdraon

Maccha

pnj

Tireli

Zazou

Zazou, poussa tôt ce matin la porte du grand édifice, espérant y trouver Griffes. Elle entre, tout semble vide et désert. Elle s'approche plus en avant, et s'assoit au premier rang des bancs, le petit Jaime dans ses bras gigote gaiement et lui fait de large sourires.

Levant la tête elle contemple les sculptures et enluminures, puis se prend à parler à voix haute.

- Griffes pourquoi n'est tu point là? Je voulais te demander de nous baptiser, notre fils et moi... Tu sais que celà est très important pour nous.

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Xael

Parchemin mystérieusement apparu sur la porte de la cathédrale durant la nuit:

Citation:

Credo spinoziste :

~> Dieu n’est pas hors du monde : Dieu est Nature, Substance infinie, produit de sa propre création.
~> La Nature est tout ce qui existe, dans l’infini des possibilités.
~> La Nature est constituée de deux attributs perceptibles par l’homme : l’étendue et la pensée.
~> La Joie permet d’approcher la Liberté, la Tristesse en éloigne.
~> L’Idée existe non seulement en tant que descriptive de l’objet, mais aussi en tant qu’elle-même : elle est sa propre Vérité, sa propre perfection.
~> L’affect est l’apport d’un objet ou d’un sentiment à l’individu : il est bon (et apporte la Joie) ou mauvais (et apporte la Tristesse).
~> Le bien et le mal n’existent pas : Dieu ne pense pas, il est.
~> La morale est humaine. La Nature ne connaît que le bon ou le mauvais, relativement à un sujet et à une situation donnée.
~> La Nature est éternelle, par ce qu’elle est, et chacun de ses composants conséquemment.
~> Un objet est par essence constitué de l’infinité des attributs de la Nature, indissociables les uns des autres.
~> Le corps et l’âme sont parallèles entre eux, conséquemment à tous les attributs d’un même objet, en tant que mode de l’Etendue et mode de la Pensée de l’humain.
~> L’homme libre naîtra au sud, viendra du nord, se nourrira à l’est, et montrera le chemin aux sages qui l’auront attendu. Ce non-messie viendra un jour car c'est statistiquement inévitable.
~> L’homme ne peut se définir par lui-même : il est ce que l’affect extérieur fait de lui. L’homme libre choisit les affects auxquels il se livre pour améliorer son conatus, sa puissance de vie.
~> La liberté d’être ce que l’on est provoque la joie, à condition de n’être pas entouré d’esclaves : le spinoziste aime la liberté des autres autant que la sienne.

Rejetez le dogme rigide d'Aristote!
Ne laissez point les prêtres s'approprier le monopole de la vérité!
Que cesse l'oppression de la raison!
Sachez penser par vous-mêmes, comme le veut Spinoza!
Ne tirez point votre sagesse des livres soit-disant saints, mais de votre expérience personnelle!
Ayez foi non seulement en Dieu, mais aussi en l'Homme!
Pourquoi attendre un Paradis après la mort? Ensemble nous pouvons bâtir notre Paradis ici-même, sur Terre!

Que la lumière de Spinoza brille sur la France!

Roland_fr

Roland arrivait sur le parvis de la cathédrale. Il allait y entrer pour se recueillir quand il aperçu un parchemin. Il se prit à le lire avec attention.

Séminariste, Roland ne pouvait qu'être perplexe devant une vision si différente du monde. Il sorti son carnet à croquis de charpentier et nota quelques idées et concepts. La vie lui avait apprit la tolérance et le besoin de comprendre les cultures qu'il croisait au hasard de sa route de pélerin et compagnon charpentier.

A la reflexion, il se demandait si la Nature pouvait être éternelle. Comment l'affirmer, et quand bien même, éternelle ne signifiait pas nécessairement qu'elle pourrait rester généreuse avec les hommes pour l'éternité si les hommes n'y prenaient pas garde.
Non, ce qui le perturbait dans la déclaration qu'il lisait, c'était cette apparente absence de responsabilité des hommes vis à vis de leurs actes. La liberté individuelle comme credo et un seul engagement : aimer la liberté des autres.
Aristote rapportait une vision d'amour bien plus large que celle de la liberté.
Comment chaque homme libre pourrait il exercer sereinement le choix des affects auxquels il se livre... sans référence. N'y avait il pas là une forme de négation de la vie en communauté ? Comment exercer son libre arbitre sans notions partagées du bien et du mal, même si la frontière est souvent délicate à cerner. L'intention, la volonté, d'oeuvrer pour le bien de tous comme de soi n'était il pas l'essence même d'une vie ?
Ainsi, a quel moment les échanges en tavernes franchissent ils la frontière entre bien et mal pour un spinosiste qui nie l'existence du bien et du mal ? Pouvait on tout dire, tout faire en taverne, sur la place de la Comédie ? Il le savait d'expérience, les lieux publics imposent à chacun de respecter les autres et pas uniquement leur liberté.

Roland décida qu'il ferait halte le jour venu dans un monastère spinoziste pour y trouver les réponses.

Enfin, il poussa la porte et entra dans la cathédrale.

L'atmosphère de ces lieux de cultes était pour lui source de méditation. Il venait y chercher les réponses aux décisions qu'il avait à prendre. Il venait y exercer son libre arbitre, en aristotélicien responsable de l'issue de son destin. Il en était convaincu. Et lorsque la décision à prendre relevait du coeur comme en ce jour, il se sentait bien frêle face à la portée de son choix.
Il médita, longuement.
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Roland

Lysyan

Nouveau passage à Montpellier, nouvel arrêt pour Ly à la cathédrale.
Il ne faisait qu'y passer.
Avant de repartir, il y entra. Il souhaitait allumer un cierge, laisser une petite lumière qui symboliserait ses prières....Ephémère quand même cette frêle lueur qui ne durait qu'un temps. En allait-il ainsi des prières ?
Il soupira, alluma son cierge.....

Voeux non exaucés mais espoir d'autre chose....Il en allait ainsi de la vie.
Petite soif, mais bon, boire dans un tel lieu, ça ne se faisait pas...encore que...pourquoi ? Il n'y avait pas de raison que quiconque s'en offusque, mais il préférait s'abstenir.
Au moins pour cette fois....Jusuq'au jour où il pourrait goûter au vin de messe.

Il quitta la cathédrale.

Roland_fr

Roland poussait la porte de la majestueuse cathédrale St Pierre de Clermont. Après une longue route depuis Clermont, et une longue retraite, il goutait enfin au plaisir de découvrir le lieu où St Benoit était autrefois passé. Roland, qui depuis sa cellule du séminaire de St Benoit étudiait régulièrement, se laissa emporter par l'atmosphère de la cathédrale.
Il se mit à genoux et pria, remerciant Aristote de l'avoir guidé jusqu'ici, remerciant le Tout Puissant de les avoir protégés dans leur longue route.

En modeste compagnon charpentier, il fit le tour de l'édifice, griffonant des croquis sur son carnet, avec un regard mi admiratif, mi critique aiguisé sur les infimes défauts qu'un ouvrier maladroit aurait pu laisser.
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Roland

Griffes

Annonce de mariage de Topaze et de Polchtron, de Nîmes

L'Archevêque était content de pouvoir afficher cette annonce : Damoiselle Topaze était délicieuse et son Homme parfait ! Elle l'invita à la cérémonie de leur mariage et il serait heureux de s'y rendre...

Voyager jusqu'à Nîmes, pourquoi pas ! Il parait que les gens là-bas sont presqu'aussi heureux qu'ici^^

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Brigide

Les voilà arriver à Montpellier depuis peu et repartait aussi sec, mais elle voulait aller voir la belle Cathédrale dont elle avait vu la pointe au loin sur le chemin. Ils avaient passé la nuit dans une auberge, comme à chaque fois depuis leur départ. Une fois levé elle avait dit à Lysyan de la rejoindre à la Cathédrale. Elle était sûre que cela lui ferait plaisir, étant un futur Diacre ...

A cette pensée elle pousse un soupir lourd de confusion. Ses sentiments à l'égard de Ly était confus. Elle aimait Reyan, elle le savait. Son coeur se mettait à battre la seule évocation de celui-ci. Inconsciemment elle touche l'anneau qu'elle avait à son doigt et elle sent les battements de son coeur s'accélérer. Pourtant, elle tenait a Ly, certainement plus qu'elle ne devrait ...

Perdu dans ses pensées elle arrive enfin devant cette grande Cathédrale. Elle reste un moment devant à la regarder. Puis elle pousse enfin l'immense porte de bois sculpter. Trempe ses doigts dans le bénitier, se signe et avance dans le grand couloir de la bâtisse. Prenant place sur un banc, elle s'agenouille, croise ses doigts, incline la tête et se met à prier en espérant que Ly viendrait la rejoindre ...

Lysyan

Montpellier qu'il n'aurait découvrir...Ce voyage, où tous ne faisaient que de brèves haltes, lui plaisaient. Peut être parce qu'il était avec elle. Bri, sa dame aux cheveux couleur miel.
Une dame qui n'était pas sienne, destinée à un autre. Cela le tourmentait et le rongeait sans cesse. Il savait qu'il ne pouvait pas être avec elle comme il le souhaiterait. Il le savait, mais ce qu'il éprouvait pour elle devenait plus fort de jour en jour.

Devenir diacre, l'aiderait peut être à ne pas franchir la ligne. Et pourtant....

Il sourit en songeant à elle. Brigide qui le voyait pas devenir prêtre. Pas vraiment diacre, mais qui se faisait à cette idée.
Brigide qui n'allait plus à l'église et qui, parce qu'il le lui avait demandé, il faut dire qu'il avait insisté, avait fini par s'y rendre.
Se retrouver à ses côtés et dans une église qui plus est, l'amusait et le faisait culpabiliser. Elle lui avait toujours parler de........l'autre. Elle avait été franche avec lui, qui ne pouvait décemment pas lui dire ce qu'il éprouvait pour elle.....

Il entra dans la cathédrale et la vit qui priait. Comme à son habitude, il ne signa pas, ne prit pas d'eau bénit. Avec son baptême, peut être que cela viendrait.
Le baptême. Il pensa au curé qui avait suggéré que Brigide lui tienne lieu de marraine. Ce qui ne faisait pas partie des projets du jeune homme....Ni de ses espoirs quant à la dame de ses pensées.
Il avait éprouvé de la fureur....Il reporta son attention sur elle, si belle en ce lieu. Surtout, ne pas oublier où il se trouvait. Ne pas céder à ses pulsions.
Lentement, il la rejoignit et avec précaution, tira très doucement une mèche britienne.....A nouveau, il sourit....

Brigide

Elle priait depuis un certain temps déjà, quand elle entend des pas résonner dans l'enceinte de l'église. Finissant sa prière, elle se signe et se tourne enfin vers Ly qui lui avait tiré une mèche de cheveux comme à son habitude. Il lui souriait. Elle le regarde en lui rendant son sourire. Son coeur ne s'était pas emballer à la vu de son ami. Elle était sur de ses sentiments pour Reyan, mais elle n'accepterait de personne que Ly souffre ... Elle l'aimait ... A sa manière ...

Tu es enfin venu. J'ai eu le temps faire une prière ... Comment trouves-tu la Cathédrale ? Elle est belle, non ?

Elle donne sa main à Ly pour qu'il l'aide à se relever. Une fois debout, elle quitte le banc et prend la direction de la sortie. Arriver vers la grande porte, elle plisse les yeux. La chaleur de l'extérieur de ce début de printemps contrastait avec la fraicheur de la bâtisse. Le soleil frappait et un petit vent soufflait. D'une main elle ramène des mèches de cheveux que le vent rendait folles.

Tu es prêt Ly ? Il nous faut continuer. Encore quelques jours et nous serons chez toi.

Elle lui montre le chariot qui attendait non loin de l'église. Avec le sourire elle le pousse en sa direction ...

Lysyan

Toujours aussi directive la petite dame. Il se laissa faire sans broncher. La découverte de la cathédrale, qu'il ne regardait pas d'ailleurs, serait pour la prochaine fois.

Tu es prêt Ly ? Il nous faut continuer. Encore quelques jours et nous serons chez toi.

Chez moi ? J'croyais que chez moi, c'était chez toi, dit il avec un demi sourire.

Phrase anodine et pourtant pas aussi innocente qu'elle le semblait.
Il se laissa pousser vers le chariot...."Ne pas retourner la bas, l'emmener, l'enlever."
Il ne put s'empêcher de rire. Manquerait plus que ça, un homme qui futur diacre, car la chose était entendue, qui enlevait une dame. Voilà qui ne manquait pas de piment !
Il imaginait déjà une partie des réactions....Au moins deux personnes, ne trouveraient pas cet enlèvement à leur goût.
La tentation.....Mmmmh....Seule la réaction de Bri en vérité lui importait, et il était à peu près certain de se faire passer.....à tabac par la dame de ses pensées. Autant éviter, quoique, ce serait un contact comme un autre. C'est alors qu'il se rendit compte qu'il lui tenait toujours la main. Geste amical pour elle....

Il la prit la souleva, l'installa dans le chariot, tant par prévenance que pour l'avoir un bref instant dans ses bras, contre lui.
Et résista à l'envie de l'embrasser.

En route ma dame....Hue Tempête !!!!!

Rose_de_damas

Dame Danny qui avait écouté avec attention monseigneur Griffes se dit:

-" Dieu lui a donné l'art du verbe, qu'elle même ne saurait manier avec tant d'aisance. Elle, qui est peut-être souvent trop consise. Et ces jeux de mots mélés d' humour qu'elle savourait ... Voilà un homme plaisant à entendre !"

Dame Danny péchait et pêchait , ça n'était qu'une vérité la concernant. Elle n'était pourtant pas trop partisante d' aller à " confesse ". Elle s'appliquait l'adage " il vaut mieux s'adresser plûtot au Bon dieu qu' à ses saints".

Mais peut-être qu'un jour...

Brangaine

Brangaine était entrée discrètement dans la cathédrale, quelques secondes à peine avant que Griffes n'entame son prêche. Aux premiers mots, elle fut ébahie et se sentit immédiatement concernée en tant que pêcheuse pécheresse. Ou pécheresse pêcheuse. Mais avec barque, filet et obstination.

Ce prêche... entre sérieux et fantaisie, entre mise en garde et incitation... Du grand art, du grand Griffes. Ou inversément.

Brangaine savoura chaque minute et chaque mot du discours, tout en pensant à sa barque qui l'attendait dehors, garée en double file. L'appel du lac commençait à se faire entendre, aussi elle n'attendit guère longtemps après que Griffes se soit tu pour prendre à sa suite le chemin du péch... de la pêche.

Coalbe2

en ce dimanche je parti pour la cathedrale. j'ouvris la porte mais personne je m'avancais et m'agenouya et commenca a prier.

Ysi

Ysi entra en se beau matin du 1er Avril,elle qui n'avait jamais mis les pieds dans une cathédrale, elle admirait ces beaux vitraux.
Personne a l'horizon "ouff" se dit-elle.

Elle vit se bonhomme de bois crucifiait sur cette croix .
elle lui parlamsieur euhhh.... je sais pas qui vous êtes mais moi je suis Ysi des Lys, j'ai bu fumée et couchée alors que je suis pas marier et ne le veux pas l'homme qui a pris mon pucelage est Xoolam!
Je l'aime tu sais! J'espère que personne ne m'en voudra et surtout de celui qui vie là haut hein!

[i]Elle le salua et sortie avant qu'un villageois n'arrive.

Griffes

Griffes vit Ysi sortir de la Cathédrale, elle avait l’air changée… Etrange… Etes-ce du au poisson d’Avril ? Il avait de nombreuses vertus parait-il… Aussi, il la salua et la bisouilla puis fit sonner haut et fort les cloches de la Cathédrale !
Il avait un prêche à faire et souhaitait être entendu de tous, aussi il fit monter une estrade sur le parvis et commença son prêche du 1er Avril, dédicacé à tous les Montpelliérains.

Paroissiennes et Paroissiens,
L’heure est grave à Montpellier !

Que vous soyez pêcheurs ou pécheurs, écoutez ce prêche…
Pêcheurs et Pêcheuses pêchez ! Pécheurs et Pécheresses cessez de pécher !
Car, en ce 1er Avril 1457, il est de bon thon de parler du poisson sans pour autant taquiner l’anguille !

Montpellier vit une crise sans précédent ; trop de pécheurs et pas assez de pêcheurs.

Sachez, Ô paroissiennes et paroissiens, Qu’un pêcheur pêchant avec une barque est un meilleur pêcheur ! Et Qu’un pécheur péchant sans filet s’expose aux pires péchés !
Pêcheurs, Si vous péchez en pêchant, faites-le avec un bon filet ! Pécheurs, Si vous pêchez en péchant ou non, faites-le avec une bonne barque !

Ô Combien sont disparus en mer pour n’avoir pas su mettre le filet comme il fallait,
Ô Combien sont restés sur la berge pour n’avoir pas su utiliser la barque comme il fallait,

Si vous êtes pêcheur occasionnel, multipliez vos pêches et restez loin des pécheurs et de leurs péchés ; Restez avec les autres pêcheurs et pêchez entre vous tant que vous pourrez : Pêcher à plusieurs est très bon et motivant, vous devriez essayer ! Cela accroit votre rendement si vous pêchez au meilleur endroit… Et oui, mes sœurs et mes frères, pêchons tant que nous pouvons avec force, amitié et solidarité… Méfiez-vous néanmoins des pécheurs, ils pèchent sans raison et avec un rythme effréné, parfois seuls et cela est bien triste ou à plusieurs et là il faut leurs pardonner. Certains pécheurs prétendent avoir une femme dans chaque port, mais que personne n’oublie qu’il y a un « port » dans chaque homme.
Que les pêcheurs prient pour la pêche et que les pécheurs se confessent d’aimer trop la sardine. La fragrance de la marée n’a nulle pareille, alors sachez vous y adonner avec ferveur comme vous y invitent tous les Saints. Pêchons, Pêchons, tous ensemble et d’une même voix faisons entendre notre ardeur. Que nos cris de joie de pêchez retentissent par delà des lacs et de la Méditerranée ! Fuyons les péchés chers pêcheurs et pêcheuses et péchons sans relâche… non, pardon ! Pêchons !
Qu’en ce jour du 1er avril où nous pêcherons le poisson d’Avril, les pêcheuses viennent à moi, je les y attends au meilleur endroit, je les guiderais avec grande grande joie.
Qu’en ce jour du 1er avril où certains pécheront, j’invite les pécheresses à venir à moi pour les accueillir au confessionnal, je les libèrerais avec la fermeté qu’il se doit.

Pêchez sans péchés ! Pêchez plutôt que de pécher ! Sachons pêchez avec dignité et soyons fier de cela à Montpellier ! Montrons l’exemple avec nos barques et nos filets !

Permettez aussi que ce prêche soit un appel ; Montpellier n’a toujours pas d’officiant pour les messes, et même s’il faut pêcher tous les jours sans jamais pécher, il faut quelqu’un pour prêcher… Devenez Diacres ou Curés et pourquoi pas Abbesses et vous découvrirez ainsi les joies de confesses et de pouvoir guider les pécheurs et les pêcheurs vers une plus belle destinée.

Prions à genoux Ô paroissiennes et paroissiens,
Que nos pêches soient belles et nos péchés pardonnés, et à tous, je souhaite que vos filets soient pleins.
Et comme le disait un pêcheur pêchant en barque et sans filet voyant un pécheur pêchant la dorade avec difficulté mais avec de beaux filets :
AMEN !

Sur ce, Griffes se dirigea au port, avec barque et filet…

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pnj

Le ptit XoO qu'avé rien compris et planant dans sa tête il voyait la vie en rose et se sentait vivre dans un wonderful world...

I see trees of green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself, what a wonderful world

I see skies of blue and clouds of white
The bright blessed day, the dark sacred night
And I think to myself, what a wonderful world

The colours of the rainbow, so pretty in the sky
Are also on the faces of people going by
I see friends shakin' hands, sayin' "How do you do?"
They're really saying "I love you"

I hear babies cryin', I watch them grow
They'll learn much more than I'll ever know
And I think to myself, what a wonderful world
Yes, I think to myself, what a wonderful world

Oh yeah

le petit Jazzman fini sa chanson avec le même sourir tête en l'air et heureux du début du peut être à l'odeur de la délicieuse mixture de Maccha..

Griffes

Avant de faire la communion, lisons un extrait de la Vita de Christos, comme il est de coutume.

Dans la Vita de Christos, Chapitre I, il y a écrit:

Lorsque j’ai connu Christos, celui-ci aimait à nous parler des heures durant, d’une voix passionnée autant que passionnante. Nous buvions ses paroles avec ferveur et en nourrissions nos âmes. Ce fut lors d’une de ces discussions que Christos nous raconta son enfance. Ainsi, je vous la rapporte, mes enfants, car cette partie de sa vie fut aussi belle que ce que j’ai vécu à ses côtés.

Maria vivait avec Giosep qu’elle allait épouser. Tous deux étaient d’humbles vagabonds, mais ils vivaient dans la vertu, en remerciant le Très Haut des bienfaits terrestres dont ils jouissaient. En outre, ils éprouvaient l’un pour l’autre un amour sincère et pur de toute luxure, leur vie était heureuse. Mais un jour, Maria vit en songe un cavalier venant de loin aller à sa rencontre. Arrivé devant sa maison, il mit pied à terre. C'était un homme d’allure majestueuse; il s’avança, et dit :

" Maria, n’aie crainte, car l'Eternel t’aime et t’a choisie. Aussi, un enfant va naître de toi, que tu nommeras Jeshua. Il sera un guide, un messie habité par Dieu. Il portera la parole de Dieu partout ou il lui sera donné d’aller et sauvera le peuple de ses péchés en lui enseignant la sagesse d’Aristote. "

Le cavalier repartit ensuite vers sa contrée lointaine comme il était venu. Maria se réveilla à ce moment là et vit Giosep devant elle la regarder avec des yeux amoureux.

Et il advint ce que le songe avait annoncé, Marie conçut un enfant, et les deux parents firent en tout selon la prophétie d’Aristote, le nommant Jeshua.

L’Enfant naquit à Bethléem, en Judée. Du fait du surpeuplement qui existait alors dans cette ville, le couple ne trouva pour se loger qu’une bicoque délabrée car il n’y avait plus de place ailleurs pour les accueillir. Mais lorsque l’enfant naquit, celui-ci semblait, à tous ceux qui le virent, être touché par la grâce divine, car il rayonnait de douceur et de calme. Si bien que les gens du petit village se cotisèrent pour que cet enfant béni de Dieu ait tout ce qui lui était nécessaire. Les uns amenèrent du linge, d’autres contribuèrent à la rénovation de la bicoque et d’autres encore amenèrent des vêtements neufs et de la nourriture aux deux heureux parents.

Maria était transfigurée par le bonheur. Sa joie la rendait lumineuse et elle remerciait chaque jour le Très Haut de la naissance de cet enfant.

C'est dans ce calme paisible que Jeshua commença sa vie, loin de toute violence et de toute perversion... jusqu'à ce que...

Je vous invite maintenant à vous rapprocher pour la communion, qui nous rappelle à chaque fois l'amour que Christos nous porta et l'amour que nous lui avons porté et que nous lui portons toujours aujourd'hui.

Maintenant, avant de quitter, rappelez-vous des paroles d' Oane! Mangez! Faites la fête, amusez-vous, pour qu'ensuite, vous puissiez être témoin du renouveau de la foi, de votre renouveau! Souvenez-vous, l'Église vous aime et vous veux du bien!^^
Et jouissez du Printemps qui est là !!!

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Auriia

Auriia pénètra discrètement dans la cathédrale avec Fyodor et Lenna dans les bras, elle se dirigea vers l'aile droite et posa deux pièces d'argent dans le petit receptacle qui convenait, puis prit un cierge et l' alluma au pied de la statue d'Aristote.
Elle marcha lentement le long de l'allée et prit place sur un banc dans un coin, invisible derrière un pilier, elle souria à Fyodor et Lenna et les posa près d'elle.
Les mains liées sur ses genoux, Auriia ferma les yeux et inclina sa tête afin de se recueillir, elle pria le trés Haut de prendre soin de ceux qu'elle aimait qu'ils soyent près ou loin d'elle, puis récita...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.
Amen.

Quand elle releva son regard elle ria doucement en voyant les jumeaux les mains jointent l'une à l'autre en éssayant de l'imiter, elle aprocha ses lèvres de leurs frond et leurs déposa un baiser.

Vous commencez tôt vous deux.
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« Un véritable ami vous poignarde en face. »

Maccha

Elle s'était confortablement assise, et suivit avec intérêt la cérémonie. Malgré son ignorance en la matière, elle appréciait le calme et la sérénité qui y régnait. Tout était tellement silencieux qu'ont pouvait entendre voler un moustique.

Elle mit la main dans son sac et caché par un homme assez grand en avant d'elle, elle but une gorgée en vitesse de ce bon vin. La chaleur lui donnait une de ses soif. Elle passa le flacon a ses amies en silence et se retint de rire.

Elle leur murmura ,, chuttt, faut pas que L'Archi nous voient. je ne crois pas qu'ont ai le droit de boire cela ici.

Puis elle s'empressa de le remettre dans son sac et sans que personne d' autre e la voit, elle se mit a réciter le machin truc qu'il disait a haute voix.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
Amennnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn

Griffes

Il allait poursuivre la messe et se rendit compte qu’en Montpellier, il manquait beaucoup de monde à la messe… Où donc étaient les croyants, les baptisés, les couples mariés, les Nobles de hautes familles qui peuplaient la Cité, les gardes épiscopaux… Bref, où étaient celles et ceux qui devaient être là…

Il s’avança vers le lutrin et commença une longue longue lecture sans fin parlant du paradis, sur le soleil, et de l’enfer, sur la lune… du fait que le Très-Haut avait deux prophètes : Aristote et Christos… et ce genre de choses.

(la suite demain ! vous pouvez encore venir évidemment)

_________________

Griffes

En voyant Maccha arriver, tous les hommes furent émoustillées^^, Griffes lui dit tous simplement :

Mac, tu es magnifique… Le printemps te va à merveille… le court pour la chaleur qui arrive

*soupire de Griffes en regardant plus en détail*

et le blanc de la pureté

*re-soupire en observant les nuances que faisait le tissu sur les courbes de Mac*

Tu peux aller t’assoir Mac, il reste des places au premier rang.

Le bruit des talons dans l’allée centrale incita Griffes a suivre du regard la jeune femme qui prenait le temps de se déplacer avec tant d’aisance et de féminité^^

A la suite de cet épisode, il se signa évidemment et accueilli les dernières personnes présentes et alla à l’autel, face à toutes et tous.

Paroissiennes et Paroissiens,
Mes Amis,

Bienvenue en cette demeure qui est la votre !
En ce premier jour de printemps, nous porterons hommage aux Zozios, aux Champs qui laissent rêveurs, aux Capucines que j’aime tant, aux Barques sur le Lac qui nous mènent vers de si agréables rivages

Pour commencer, prions tous ensemble et partageons nos voix

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Scarlett_de_kerdraon

Scarlett, à la vue de la mine de sa copine Brangaine, se leva et alla s'asseoir à côté d'elle.

Elles avaient les mêmes préoccupations ces temps-ci, le monde les inquiétait.

Scarlett dit doucement à Dame Brangaine :

Brangaine, il faudrait qu'on parle un peu toutes les deux. Essaye de nous rejoindre tout à l'heure à la taverne

Maccha

Dans ses mains , le fameux nectar divin ,pour déguster en écoutant la cérémonie dominicale. Elle l "apportait partout ou elle allait.

Elle se signa pour imiter les autres, ne sachant pas trop ce que signifiât ce geste mais bon. Elle alla retrouver ses amies assise sur un de banc .

Vêtu de ses plus beaux atouts , elle marchait fièrement dans la grande allée centrale.

.

Du coup , elle prit une bonne rasade et en offrit a ses amies.

Brangaine

Brangaine n'avait pas trop le coeur à se réjouir en ce moment. Elle était très affectée par la morosité ambiante qui pesait sur les ruelles de la ville et même sur son lac. La jeune femme n'arrivait plus à se divertir ni à trouver du plaisir dans le fait de pêcher. Elle sentait qu'elle était en train de glisser vers quelque chose de sombre, elle se sentait happée par une forme de désespoir.

L'accueil de Monseigneur Griffes la surprit un peu. Tant d'égards pour sa petite personne, cela réchauffait le coeur. Brangaine s'efforça de composer un sourire et l'adressa à l'Archevêque en guise de remerciement sincère. Elle avisa un siège vide un peu en retrait et s'y installa, plongeant aussitôt dans sa méditation.

Hadelize

En ce dimanche, Dany espérait pouvoir assister à la messe.

Elle entra dans l’imposante cathédrale qui était vide.

Elle s’avança respectueusement, les rayons de soleil qui entraient à travers les vitraux avaient des couleurs fantastiques.

Pas de messe en cette capitale se dit-elle

Elle s’agenouilla et récita silencieusement ses prières, remerciant Aristote de veiller sur son groupe de voyageurs.

Griffes

Le 22 mars 1457

Griffes avait promit une messe pour le premier dimanche de Printemps...
L'heure était arrivée... Les cloches sonnaient à la volée...

Brangaine

Le bruit des cloches n'avait pas pu échapper à Brangaine. Intriguée, elle s'avança vers la Cathédrale pour en comprendre le sens. Là elle vit qu'une messe se préparait, aussi elle vérifia si sa tenue était correcte et poussa le lourd battant de la porte.

Scarlett_de_kerdraon

Scarlett, réveillée par le bruit des cloches, arriva en toute hâte à la cathédrale.

Tiens une messe !

Elle entra pour assister à l'office

Coalbe2

coalbe entendi les cloches et se dirigea vers la cathedrale.

entri doucement et s'assi

Griffes

Brangaine était la première arrivée ! Griffes alla directement à sa rencontre pour la saluer. Puis, de même quand Scarlett et Coalbe furent venues.

Content de vous voir Damoiselles, soyez ici chez vous et installez-vous confortablement !

Ouvrant en grand les lourdes portes de l’Edifice, il ajouta :

Attendons d’être un peu plus nombreux avant de commencer l’office.

Il semblait très très sérieux ce matin, à moins que ce ne soit une gueule de bois...

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Damebeatrice

Béa etait repassée par Montpellier avant de se rendre dans le Bordelais et se decida a repasser a la cathedrale pour y prier et trouver un peu de calme et de plenitude apres une matinee un peu remuante mais instructive elle etait contente de pouvoir réaliser son reve etre enfin baptiser
Elle se signa s agenouilla pria dans un silence subliminal sourire au levres
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l'ignorance est le pire des poisons elle tue à petit feu sans s'en appercevoir,mais l'enveloppe n'est que charnelle l'esprit est bien plus puissant

Damebeatrice

Quelque temps apres elle reparti tranquilement apaisée prete pour le long voyage qui l attendais remercia Aristote d avoir accedé a ses prieres et se promit de revenir dans cette charmante ville
Elle fit une derniere priere dedieée a tous

se signa et sortit le pas leger elle monta sur son etalon et se mit en route
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l'ignorance est le pire des poisons elle tue à petit feu sans s'en appercevoir,mais l'enveloppe n'est que charnelle l'esprit est bien plus puissant

Griffes

Griffes passait dans la Cathédrale et entendait PC s’entrainer… Sa voix faisait des merveilles, son choix était des plus judicieux et la musicalité toujours aussi harmonieuse.

En entrant dans l’édifice Saint, il vit une jeune femme qu’il ne connaissait pas qui priait… il resta discret pour ne point la déranger… Son visage lui dit quelque chose mais ne retrouva pas immédiatement qui exactement… Il profita de ce silence pour aller afficher deux annonces : la nomination de MonSeigneur Pouic au titre et fonction d’Archevêque de Narbonne… Ainsi lui aussi jouirait du titre de « SonExcellence », c’était une très bonne nouvelle pour les Languedociens, Griffes en étant ravi. Griffes afficha aussi une seconde annonce, celle de l’avis d’élection de l’Archevêque de Bourges. Peu le savait mais une partie du Languedoc dépendait de la Province de Bourges ; Mende et Le Puy… ainsi, bientôt, Les languedociens auraient non pas 1 mais 2 nouveaux Archevêques !!! En plus de Griffes évidemment qui persistait à vouloir rester Languedocien et non Bordelais^^… Mais que voulez-vous, Montpellier a tant de charmes…

Citation:

Nomination de Pouic au poste d'archevêque métropolitain de Narbonne.

Nous, Tibère de Plantagenest, dict Rehael, Primat de France :

Pouic

Archevêque métropolitain de Narbonne

Pace e bene,

Rédigé puis scellé à Rome en ce XIIIème jour du mois de mars de l’an de grâce MCDLVII,

Citation:

Avis d'élection pour l'archidiocèse de Bourges

Au nom de l'Assemblée Episcopale de France, nous, Tibère de Plantagenest, dict Rehael, Primat de France, faisons annonce de :

Suite au décès de Monseigneur Zabouvski, l'ouverture du dépôt de candidatures pour le poste d'Archevêque métropolitain de Bourges, et ce pour une durée de sept jours à compter de la date d'affichage Place d'Aristote.

Les candidats sont priés de nous faire parvenir un curriculum vitæ synthétique et une lettre de motivation par courrier privé. Nous rappelons que les candidatures doivent respecter les statuts de l'assemblée épiscopale de France.

Aussi, seul un clerc théologien ayant exercé pendant au moins quatre mois une charge d’évêque ou d’archevêque suffragant peut postuler à la charge d’archevêque métropolitain, et tout évêque ou archevêque déposant sa candidature pour un autre diocèse ou archidiocèse doit avoir assuré ses fonctions durant au moins 4 mois dans son diocèse ou archidiocèse d'origine. En outre, tout candidat doit être titulaire d’une licence es théologie obtenue dans un séminaire primaire reconnu par la Préfecture à l'Enseignement Aristotélicien. Est mandé aux prétendants d'ajouter leur diplôme dans leur candidature.

Précisons que nous nous tenons à disposition des candidats pour toute demande explicative.

Merci de diffuser cet avis dans les palais épiscopaux, cathédrales et gargotes.

Paix et prospérité,

Rédigé puis scellé à Rome en ce XIIIème jour du mois de mars de l’an de grâce MCDLVII,

(HRP : Envoyez votre candidature à Rehael sur le forum de Rome)

En punaisant les deux annonces, un éclair traversa l’esprit de Griffes !!! Oui, ça y est, cette jeune femme qui priait ressemblait énormément à l’une de mes baptisées du 24 décembre. Il se dépêcha de finir pour aller la voir mais sans succès, elle était déjà partie… Avec un peu de chances, il la croisera en taverne !

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Damebeatrice

Béa etait arrivee a Montpellier du matin de bonne heure avait fait le tour de la ville et s arreta devant l imposante cathedrale dont elle sut quelle etait servie pas Msg Griffes
Elle entra elle voulait aller prier elle se signa s approcha et s agenouila devant l hotel

Quand elle eu finit elle fit une offrande pour celle ci se ressigna et repartie tout aussi discretement quelle etait venue sans avoir rencontre le Msg en question
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l'ignorance est le pire des poisons elle tue à petit feu sans s'en appercevoir,mais l'enveloppe n'est que charnelle l'esprit est bien plus puissant

Antoine_lefrogeron

Un courrier arriva porté par un jeune villageois

Monseigneur je vous confirme ma présence pour mon baptême , j y serai avec ma marraine et mon parrain.

Cordialement

Antoine

Petitechat

Pc s'ennuyait un peu elle décida d'aller à la cathédrale pour chanter un peu. Elle arriva et monta les grandes marches, poussa la porte, elle adorait cet endroit. Quelle belle fin de soirée, pour pousseer la chansonnette. Elle pris le parchemin de la chanson quelle avait choisit pour s'entrainer un peu.

Seigneur, Seigneur
Cossé qu'tu veux que j'te dise ?
Y'a plus rien à faire j'suis viré à l'envers
J'aimerais m'enfuir mais ma jambe est prise

Seigneur, Seigneur
Cossé qu'tu veux que j'te dise ?
Son indifférence m'arrache la panse
Pis j'pense plus rien qu'à mourir

Mon rôle dans la vie n'est pas encore défini
Pourtant je m'efforce pour qu'il soit accompli
Je l'sais faut tout que je recommence
Mais Seigneur j'ai pas envie

Seigneur, Seigneur
Je l'sais tu m'l'avais dit
Respecte ton prochain, réfléchis à demain
Car la patience t'apportera de belles récompenses

Travaille avec entrain pour soulager la faim
De la femme qui t'aime
Elle en a de besoin
Elle a besoin d'un homme fidèle qui sait en prendre soin

Lucifer, Lucifer
T'as profité d'ma faiblesse
Pour m'faire visiter l'enfer
Mais je t'en veux pas c'est moi
Qu'a pensé que j'pourrais être chum avec toi
Mais j'm'ai ben faite avoir mon chien de Lucifer

le réve, la biere, les bars et le pain
C'est le genre d'illusion que j'consomme
Si on est ce que l'on mange Seigneur
Tu sais ben que trop que j'serai jamais un ange

Mais j'veux changer de branche
Filtrer mon passé pis sortir mes vidanges
J'aimerais prendre le temps
De faire la paix avec quelques souffrances

Oui j'aimerais prendre le temps
De faire la paix avec quelques souffrances

voila C’était une vraie ballade aux accents bien lointains mais qui prenait au ventre http://www.youtube.com/watch?v=zMqPre1TDUE&feature=related

Griffes

Après, la magnifique performance de PetiteChat, Voilà qu'Horlane nous offrait un moment de musicalité extraordinaire... mais d'où sortait-elle tant d'énergie et de justesse ? Elle était déchainée, bougeant et chantant en même temps et rien à voir avec d'autres en taverne... C'est clair, Elle avait travaillé, Elle s'était entrainée... Le sourire de Griffes était à son zénith...

MesDemoiselles, je vous félicite pour votre travail et surtout les progrès incroyables que vous avez réalisé. J'espère sincèrement que la Chorale s'étoffera de jours en jours et que nous pourront donner de la Voie bientôt dans de belles cérémonies.
En attendant, allons boire un verre en taverne, c'est ma tournée !

Le temps de ranger les partitions, de mettre les parchemins dans la besace, de se rendre compte que "quelqu'un" s'était servi dans les réserves du vin de messe... grognement sourd de la part de l'homme d'Eglise... Mac avait dit vrai... et de tout mettre en ordre dans la Cathédrale.

Griffes vérifia son courrier... rien, pas de courrier de Messire Antoine qui devait lui confirmer sa présence pour le baptême... tant pis, ça sera pour une prochaine fois... pas de messe aujourd'hui !

_________________

pnj

Malgré tout horlane tenait à chanter une dernière chanson…
elle y mit tout son cœur et chaque son qui sortait de sa bouche
venait du plus profond de son organe vocal,
elle voulait mettre la fièvre du samedi soir …^^

Oh happy day
Oh Happy Day
Oh happy day
Oh Happy Day…
Un grand silence,
Un jour de chance
Une joie immense
Enfin est arrivée
Oh happy day
Tous avec nous
Oh happy day
Oh happy day
Oh happy day
Oh happy day
Oh happy day…
Un grand silence,
Un jour de chance
Une joie immense
Enfin est arrivée
Oh happy day
Tous avec nous
Oh happy day
Alléluia
Chantons on est frères
Dans la foi
Alléluia
Chantons on est frères
Dans la foi
Suivons la flamme
Paix à nos âmes
Séchons nos larmes
Le soleil est levé
Oh happy day
Oh happy day
Oh happy day
Alléluia
Oh happy day
Le monde
Est sans voile
Que c'est beau
C'est un cri de joie
Oh happy day
Le Seigneur est là
Oh happy day
Il est tout amour
Oh happy day
Comme au premier jour.
Oh happy day
Oh happy day
Oh happy day
Oh happy day
Paix sur la terre,
Dans la lumière
Plus de frontière
Pour des millions d'années
Oh happy day
Tous avec nous
Oh happy day
Alléluia
Chantons
On est frères
Dans la foi
Alléluia
La voie
Sans mystère
Est bien là.
Alléluia
Oh happy day
Oh happy day
Cette étoile
Tout là-haut
C'est un cri de joie...

Tout le long de son chant, elle ne pu s’empêcher
d’avoir un frisson d’adrénaline,
chaque paroles était en rythme et sans aucune fausse note…
chaque personne présente, était émerveillés et stupéfait par la voix d’horlane et se dandinais sur le tempo de la chanson rythmé et envoutante…

ca swinguai dur dans la maison du bon dieu !^^
Un miracle de l’entendra ainsi chanter…
Sa voix portait toute la cathédrale ou l’écho pouvait se faire entendre…

pnj

Horlane âpres avoir passé la nuit dans la taverne de pc, prit la décision d’arrêter la choral… elle n’avait plus le cœur, ni l’envi de chanter, elle s’adressa a toute les personnes présent…

Désole tout le monde, mais je crois que je vais arrêter la choral ! Et rechercher mes dons, la ou ils sont vraiment et sans fausse notes…

Griffes

Ecoutant Horlane

Ha... bien... je ne puis qu'espérer que vous changerez d'avis.

Sentiment d'échec qui serait, il espérait, vite rétabli...
Il se tourna alors vers PC :

Damoiselle PetiteChat, je serais heureux de vous voir demain à la messe, il y en aura peut-être une si il y a baptême.

Je viens de recevoir un accord pour officier ces cérémonies ici à Montpellier, dans l'attente qu'un clerc soit désigné

Il en profita pour afficher une annonce lisible de tous :

Citation:

l'accord d'offrir le baptême aux paroissiens de Montpellier vient de m'être autorisé

Niveau 3 de la voie de l'Eglise

Gain de PVD pour le Niveau 4

+SE Grégory de Festigny, dit Griffes
En Montpellier, le 07ème de Mars de 1457

Nota : A titre personnel, je puis recevoir vos souhaits de confession comme tout Homme d'Eglise, néanmoins, je recherche moi-même un confesseur accrédité de toute urgence !!!

_________________

Griffes

Griffes avait eu un moment d'absence... chercher et chercher des chansonnettes à leur proposer... le travail n'était pas des moindres, il fallait rassasier ces deux gourmandes d'airs enjoués...

PC soudain proposa un duo !!!

Excellent ! c'est une merveilleuse idée !!
Mais pour le texte... là, je suis un peu désemparé... Vous avez une idée ?

_________________

Lakhdar_shaggash

Dimanche 1ier mars : jour du seigneur.
Comme chaque semaine, Lakhdar consacrait son dimanche au repos et à la prière. Il aimait se recueillir seul après la messe. La plupart du temps, il se plaçait au même endroit. Dans une petite chapelle parallèle, à genoux devant une statue de Christos, les mains jointes, et récitait le crédo. Il avait encore du mal à se souvenir de tous les mots. C'était pour lui, une bonne répétition.

Citation:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN

Petitechat

pc fut un sourire a monseigneur griffes

ROME a dit que l'acte d'amour sans être marié est un péché
Cette nouvelle il me faut l'annoncer à ma paroisse, même si je ne suis pas curé
J'ai pris une bonne dose de Chablis afin de préparer mon sermon,
je n'ai pas fermé l'œil de la nuit, Je me posais bien trop de questions

Au petit matin Dieu m'est apparu. Et il m'a donné la solution.
Aussitôt vers la chorale j'ai couru parler à mes amis sur ce ton :
« Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs…
…Reprenez avec moi tous en cœur :
Pas de gousi-gousi avant de faire vos prières du soir !!!
Pas de gousi-gousi, Non, Pas de gousi-gousi !
Ne faites pas de gousi-gousi avant de faire vos prières du soir…

Maintenant l'amour est devenu péché mortel…
…Ne provoquez votre Père Eternel…
…Non pas de gousi-gousi avant vos prières du soir. »

Puis j'ai réclamé le silence afin d'observer les réactions
sur certains visages de l'assistance se reflétait surtout l'indignation…
…Quand aux autres visiblement obtus, voyant qu'ils n'avaient rien compris,
Ils me demandaient de faire à nouveau le sermon du gousi-gousi

« Ah, mes biens chers frères, mes biens chères sœurs,
Reprenez avec moi tous en coeur :
Pas de gousi-gousi avant de faire vos prières du soir !!!
Ne faites pas de gousi-gousi avant de faire vos prières du soir…
…Non pas de gousi-gousi avant vos prières du soir. »

Maintenant l'amour est devenu péché mortel… …
Ne provoquez votre Père Eternel…
…Non pas de gousi-gousi avant vos prières du soir.
AMEN !!! »

voilla monseigneur je suis donner a fond dans cette chanson ou j ai trouver grand plaisir

pnj

Toute souriante âpres avoir entendu Pc aussi bien chanté, s’adressa à sir Griffes…

Bon et moi Sir Griffes, quel chanson, vous allez m’attribué cette fois !^^

Petitechat

PC comme à son habitude aimer ce rendre à la cathédrale, elle aimais cette endroit de paix et de bonheur. Elle monta les marches poussa la grande porte. Elle avait les yeux qui brillais par temps de beauté, retrouva un bien être, aperçu horlane et se dirigea vers elle ,

BONJOUR MA LOULOUTE !!!! ON VEUT UNE CHANSON !!!! POURQUOI PAS FAIRE UN DUO TOUTE LES DEUX ? TU EN PENSE QUOI DIT MOI ? BON, IL FAUDRAIT EN PARLER A MONSEIGNEUR GRIFFES ,SE RETROURNANT VERS LUI : "MONSEIGNEUR VOUS EN PENSER QUOI ,POURRAIT-ON FAIRE UN DUO AVEC HORLANE ?

Petitechat

bonjour monseigneur griffes je pourrais avoir une autre chanson s'il vous plais, j adore chanter dans votre chorale cela me fait beaucoup de bien surtout après mes taches de la journée. Elle lui sourit et lui dit sinon sa va mal finir!!!!!!!!!!!!!!!!!

Griffes

[Plusieurs jours plus tard, Au retour de Griffes]

Un dimanche sans messe avait pour Griffes la saveur d’un repas sans vin, d’une paroissienne sans sourire, d’un apéritif sans olives… Il ne pouvait se résoudre à ne pas aller prier…
Il poussa les lourdes portes de la Cathédrale et fut immédiatement émerveillé en entendant le chant qui y était donné… Il avança, se signa et remercia le Créateur…
Puis s’avançant plus en avant, il sourit en voyant Horlane et PetiteChat ;
La première s’entrainait ! C’était admirable ! Griffes ne connaissait pas ce chant mais trouvait qu’elle avait fait des progrès remarquables… Il n’entendit presque pas de fausses notes… Assurément il lui faudrait un Maitre de Chant particulier pour lui faire travailler la gorge et la faire vocaliser avec puissance et art.
La seconde vient à sa rencontre, avec la même malice que d’habitude. Et immédiatement lui demanda un nouveau texte ! Griffes était comblé ! PC voulait s’investir encore et encore… Sourire de satisfaction…
Après les protocolaires échanges de salutations de bises et du reste, il leur dit :

Horlane… Il va falloir travailler encore, ta bouche a toutes les qualités requises pour le chant, il te faut œuvrer avec ardeur et continuer à l’entrainer pour que ta voix soit sublimée.

PC… Je suis extrêmement satisfait de ton investissement et j’ai justement plusieurs textes pour toi, j’espère que ce premier te comblera.

Il remit un nouveau texte à PC et ajouta…

Bien, tu peux y aller dès que tu te sent prête et vas-y à fond, lâches-toi, n’hésites pas !

_________________

pnj

En attendant la reprise de la choral, Horlane s’isola au fond de la cathédrale afin d’approfondir ses base dans le chant…
elle sortit du fond de son sac, une chanson qu’elle aimait beaucoup murmurer, en prenant son bain, de si beaux matins…^^
Elle commença à murmurer ses paroles…

Un prince charmant sur un cheval blanc
Galopait dans mes rêves d'enfant
Dès que je dormais je le retrouvais
Et alors il m'emmenait

Au fond des forêts il avait un palais
Où déjà sa mère m'attendais
Vite ton habit et vite on me coiffait
À minuit, il m'épousait

Tu sais il ne faut pas m'en vouloir
J'avais à peine 15 ans
Non tu sais il ne faut pas m'en vouloir
Ce n'était qu'un prince charmant

Un prince charmant sur son cheval blanc
Galopait dans mes rêves d'enfant
S'il était blessé je le caressais
Et mon prince guérissait

Par amour pour moi il devenait Roi
Quand on aime on fait n'importe quoi
Toi tu deviendras ce que tu pourras
Je ne t'aime pas pour ça

Tu sais il ne faut pas m'en vouloir
J'avais à peine 15 ans
Non tu sais il ne faut pas m'en vouloir
Ce n'était qu'un prince charmant

Un prince charmant sur son cheval blanc
Galopait dans mes rêves d'enfant
Tu m'as fait danser, tu m'as embrassé
Et ma vie a commencé

Oui je t'aimerai, je t'épouserai
Mais pourtant je n'oublierai jamais
Le prince charmant sur son cheval blanc
Mes beaux rêves et mes 15 ans…

Maelie

Maëlie sursauta.

Comment donc, vous allez à Lodève ?! Mais j'y retourne moi aussi dimanche ! Quel prodigieux hasard!

Surement nous reverrons-nous là bas, alors!

pnj

Horlane regarda sir Griffes et lui dit:

Vous voulez me parler sir?? je suis a votre dispotition...

Tristan_du_cost

Tristan, Diacre d'Autun, admira le typan de cette magnifique cathédrale. Il poussa la lourde porte et entra.
Il fut subjugué par la beauté de ce lieu, inondé de la lumière qui passait à travers les vitraux aux couleurs chatoyantes.
Il fit quelques pas en direction de l'autel et s'assit sur un des bancs.
Cette cathédrale était encore plus belle que ce qu'on lui avait dit.
Il se mit à genoux et pria saint Aristote. Il était enfin arrivé à destination. La route avait été longue et dangereuse. Il n'avait pu échappé à l'attaque de brigands, mais grâce au Très Haut, il n'en était pas mort.
Il etrmina sa prière et se dit qu'après la nourriture spirituelle, il fallait penser à la nourriture terrestre. Mais quelle est donc la spécialité culinaire d'ici ?
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Professeur au séminaire archidiocésain Saint Bynarr de Lyon
Diacre d'Autun
Haut Fonctionnaire
Ex Ambassadeur

Petitechat

PC décida d"allez à la cathédrale pour aller prier. Elle se sentais très seule et voulais trouver un réconfort auprès du seigneur. Elle monta les marches et poussa la grande porte puis se mit dans un coin pour prier en silence.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle. AMEN

Après avoir prié elle repartir

Scarlett_de_kerdraon

Scarlett avait vu Petitechat sortir de la cathédrale. Elle avait l'air si triste et si pensive.

Scarlett pensait aux jours précédents. Elle avait entendu en passant devant la cathédrale, des rires et des chansons.

Cela rendait toute la ville de bonne humeur même ceux qui, ne sachant pas chanter, s'était abstenus de participer à la chorale.

Revenez vite toutes les chanteuses et tous les chanteurs. Il s'agit d'un devoir civique pour le bien être de toute la population. Ne vous laissez pas entrainer dans le nostalgie.

Je vous rappelle que Messire Griffes vous a recommandé de vous entrainer pendant son absence. Alors revenez chanter que nous puissions encore entendre vos éclats de rire et vos chansons. C'est si merveilleux.

Griffes

PetiteChat avait une motivation d’enfer… enfin… de paradis plutôt^^. Elle donnait tout son cœur dans cette chanson qu’elle avait choisi . Rythme et sourire, tout ça en PC… Elle deviendrait probablement la « Première Choraliste » si elle continuait comme ça… C’était une vraie ballade aux accents bien lointains mais qui prenait au ventre tant elle était chantante.
Griffes avait un sourire jusqu’aux oreilles, heureux de vivre un tel enthousiasme…

Dame Maelie intervient, c’était là la plus belle récompense qu’un homme d’Eglise puisse espérer.

Il marqua une pause, ne voulant pas s'embarquer dans une messe ni un sermons... et reprit :

Oui oui, c’était l’heure de donner des devoirs à tous^^

Il donna quelques conseils à tous… Quoique lui-même mal placé car il chantait comme une vielle casserole.

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Petitechat

pc sourit a monseigneur griffes ce lance le coeur au ventre

"J'suis fatiguée de devoir,
fatiguée d'entendre tout le monde me dire
de comment vivre ma croyance,
comment j'devrais agir.
J'ai envie de r'trouver
c'que j'étais, tout ce que j’voulais devenir
retrouver la Sainte paix
juste faire briller la Foi pour de vrai

enweye embarque ma belle
j't’emmène à la Chorale
on va donner de la voix
gueuler tous ensemble sur la halle
j’veux jamais t'entendre dire jamais

La belle Cathédrale m'appelle
viens donc faire un tour
on va faire les fous
on va donner de l'amour
pis j'te jure qu'on va vivre vieux

Vivre sincèrement l’Amitié et la Joie,
Viens t'coller aux autres villageois
on pourrait chanter sans nul doute
jusqu'à temps qu'on enchante toutes les routes
on va s’creuser un trou
perdu quelque part au bout du monde
on n'aura pas d'argent, mais du bonheur,
on f'ras pousser partout des enfants de Chœur !

J'te jure qu'on va vivre heureux !"

Maelie

Maëlie se retenait d'applaudir, par respect pour le lieu et pour les présents, mais son enthousiasme était sans cesse relancé par les interventions de chacuns.

Lorsque le chant de Petitchat s'éteignit, Maëlie s'approcha de Monseigneur Griffes.

Vraiment, félicitations ! Vous avez réussi à rassembler tous ces talents et leur avez attribué de magnifiques chansons ! C'est un réel plaisir de pouvoir prendre part à ce genre de choses.
J'ai été ravie d'être des vôtres pour partager ces moments, et je les graverai dans ma mémoire.

Une petite pointe de mélencolie s'entendait dans sa voix, car Maëlie savait que dans quelques heures, elle reprendrait la route pour rentrer chez elle.

Griffes

Griffes écouta avec attention Messire le Maire qui chanta un air du « Berger Michel », dans un autre registre, c’est Horlane qui émerveilla Griffes avec son chant^^ Une fausse note ? où ça une fausse note ???
Dame Maëlie entonna alors un air doux… Griffes chuchotait les paroles en même temps, elle semblait des plus à l’aise en chant.

La surprise vint des paroles de Messire Xoolam…

Il esquissa un léger sourire.

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Petitechat

PC qui écoutais monseigneur griffes, le laissa finir ,

pardonnez moi monseigneur, je pourrais avoir une autre chanson s'il vous plais, j adore chanter dans votre chorale cela me fait beaucoup de bien surtout après mes taches de la journée. Elle lui sourit et attendit une réponse.

Griffes

Griffes eu un large sourire, heureux de voir PetiteChat aussi motivée.
Evidement Damoiselle, avec grand plaisir.

Elle resta mi-figue mi-raisin, Griffes alors se reprit :
Evidement PetiteChat, avec grand plaisir.

Il accompagna ses mots d’un généreux sourire… A plusieurs reprises elle avait insister pour passer du « Demoiselle » à PC et puisque tel était son désir, Griffes ne pouvait que s’y plier.

Il y a-t-il un texte qui vous plaira plus qu’un autre ?

Elle fit un « Oui » spontané de la tête, toute guillerette, et vient lui chuchoter à l’oreille le titre d’une chanson lointain « Embarque Ma belle ». Cette chanson n’était pas des plus connue dans la région mais sonnait dans le mémoire de Griffes comme un air déjà entendu… C’était une douce ballade dans son esprit… Il regarda dans sa besace, espérant avoir les paroles de ce chant… Il n’y avait rien dans le premier livret, rien dans le second… Il chercha et chercha encore jusqu’à trouver un parchemin à la senteur d’érable sur lequel le titre était affiché ! Il le tendit à PC…

Je crois que c’est celui-là !
Allé, c’est à toi… Embarque ma belle !

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pnj

Horlane intimidée par la splendur du chant de sa pc, prit son courrage à deux mains et se mis a chanter de toute sa grace et son élégance...

Je vais t'offrir un monde…
Aux mille et une splendeurs…
Où les villageois de Montpellier…
Vivent dans l’Bonheur…
et offrent leur Joies…
Je vais ouvrir tes yeux…
Aux délices et aux merveilles…
De ce voyage en plein ciel…
Au village de mer bleue…
Cette mer bleue…
FAUSSE NOTE
Je n'y crois pas c'est merveilleux...
Un monde Divin est dans les cieux…
Où nous voguons dans cette mer bleue à deux…
Sous le ciel de cristal je me sens si fier…
Je prie, prêche et pêche dans un océan de Lumière…
Cette Divine mer bleue...

Le visage legerment rougi, Horlane regara messire griffes, puis lui sourit et lui dit...

Désolé pour la fausse note sir!

Maelie

Chacun y était allé de sa chanson, et Maëlie observait attentivement les paroles que lui avait tendu Monseigneur Griffes.
La précédente ayant fini sa chanson, Maëlie s'avança à son tour et laissa s'élever sa voix, avec un plaisir évident.

Elle rêvait d'une ville étrangère…
Un village de fêtes et de jeux…
Elle voulait revivre, mais d'une autre manière…
Dans un autre milieu…
…
Elle rêvait sur son chemin de pierres…
"Je partirai demain, si je veux…
J'ai la force qu'il faut pour le faire…
Et j'irai trouver mieux"…
…
Elle voulait trouver mieux…
Que son champ de pommes de terre…
Que sa boulangerie au four un peu vieux…
Trouver mieux que nos tavernes du soir…
Qui ne demandent que des stères pour le feu…
Qui réchauffait ses amies, son « père »…
Et la troupe entière des fieffeux…
Le soleil sur les murs de poussière…
Elle voulait trouver mieux…
…
Elle a fait tout le tour des Comtés…
Elle a même demandé à Dieu…
Elle a fait tout l'amour qu’on pouvait lui donner…
Elle n'a pas trouvé mieux…
Elle a croisé les Ducs de naguère…
Tout drapés de diamants et de feu…
Mais dans les châteaux des Ducs de naguère…
Elle n'a pas trouvé mieux…
Elle n'a pas trouvé mieux…
…
Elle n'a pas trouvé mieux…
Elle a dit : "Je retourne en arrière…
Je n'ai pas trouvé ce que je veux"…
Elle a dit : "Je retourne en arrière"…
Elle a retrouvé tous ses amis…
Fidèles qui l’attendaient bras ouverts…
Elle a retrouvé tous ses amis…
A fait fuir la solitude et la tristesse…
Et à retrouver la solidarité et l’amicale ivresse…

Puis elle se tut. L'expérience était amusante et nouvelle, elle qui n'avait pas l'habitude d'interpréter les paroles d'un autre... Avec un sourire amusé, elle espérait que sa prestation soit à la hauteur des autres. Elle recula et se remit humblement en retrait.

pnj

Xoolam, impressionné par le talent des plusieurs des choristes tapota dans ses mains. Quand fut venu son tour Xoolam décida d'antoner une chanson en Anglo-Saxon. Il prit sa respiration et se lança...

I press her hand gently look laaaannng wishing doooownn
And by passionate siiiilence I maAAAke my love known
But hoOO how I'm blessed when so kiInNd she does prove
By some willing miss take to discover er love

When he striving to hide she revils on her flamme
And I tell each other what neiiither there's naaaaaaaame

Ce chant est normalement constitué de 4 voies et celà rend magestueux l'interpretation de celui-ci

Sa melodie fini il recula baissant la tête et espérant que ses défault de prononciation soient passé inaperçu auprès de ses compagnons

Griffes

Les yeux de Griffes étaient émerveillés ! PetiteChat chantait à la perfection, avec un rythme impeccable et une sonorité très dansante. Elle s’était réappropriée la chanson immédiatement… Un vrai bonheur à écouter… Il avait le sourire aux lèvres d’entendre cette interprétation et la remercia de la qualité de son chant…
Il regarda les autres en espérant que quelqu’un prenne la parole à la suite de PetiteChat.

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Antoine_lefrogeron

Antoine encore très fébrile , se releva avec les cliquetis de son armure, porta une mains sur son cœur les larmes coulant le long de son visage , et avec une sonorité tremblotante d'émotions mais de façons juste repris au millieu de la nef

« Ce sentinelle passe toute la nuit
A regarder les étoiles
En pensant qu'au bout du monde
Y a quelqu'un qui pense à lui,

Et ce jeune soldat qui traque
Qui, pendant toute sa tournée
Et qui réagit si quelque chose craque
Qui dans n’importe quel fourré

Où qu'ils aillent
Ils protègent nos vies, nos fêtes
Où qu'ils aillent
Ils sont courageux dans leurs têtes

Je veux prier pour ceux
Qui sont loin de chez eux
Et qui ont dans leurs yeux
Ce désir de protéger tous les lieux
… oui, tous les lieux

Je veux prêcher pour ceux
Qu'on oublie peu à peu
Et qui gardent par devers eux
La Foi en l’amitié et la sureté
De toutes nos cités

Personne n’a volé votre histoire
Nous vous gardons tous en mémoire
Car vous protégez nos vies
Soyez fiers de croiser des miroirs

Celui-là tournera en rond
Celui-là jouera du tambour
En alignant des bâtons
Comme on apprend à la garnison
Où qu'ils aillent
Ils protègent nos vies, nos fêtes
Où qu'ils aillent
Ils sont courageux dans leurs têtes

Tant de chose l'avais éloigné du Très-Haut ... voila le moment venue de pardonner.

Petitechat

PC sourit à sa sœur de cœur Horlane, puis éclata de rire de ses murmures, se retourna vers monseigneur griffes j'espère que vous êtes prés ? Attention à vos oreilles ^^

pc regarda le texte et commença à chanter

Un jour j'irai à Montpellier avec toi …-…
Toutes les nuits pour prêcher…-…
Et boire aucun verre en entier, ça va d'soi…-…
Avoir la vie partagée, de charité…-…
Bercés par le ronron d’un chaton apprivoisé…-…
Dormir dans une auberge dépeuplée…-…
Traîner du côté pieu et voir les âmes transcendés…-…
Voir leurs doutes les quitter et prier…-…
Oui, prier…-…
Un jour j'irai là-bas…-…
Boire un verre avec PetiteChat^^…-…
Voir si le cœur de la paroisse bat en toi…-…
Et tu m'emmèneras…-…
Emmène-moi ! …-…
Un jour j'aurai Montpellier au bout des doigts…-…
On y prêchera, tu verras…-…
Dans les tavernes il fait noir, mais il ne fait pas froid…-…
il ne fait pas froid si t'y crois…-…
Et j'y crois ! …-…
Les Aristotéliciennes tentures sur les murs ont parfois…-…
La couleur des verres que tu bois…-…
Et puis c'est tellement grand que vite on oubliera…-…
Que nulle part c'est chez moi, chez toi…-…
Chez nous quoi ! …-…
Un jour j'irai là-bas…-…
Boire un verre avec PetiteChat^^…-…
Voir si le cœur de la ville bat en toi…-…
Et tu m'emmèneras…-…
Emmène-moi, mène-moi …-…
Emmène-moi, mène-moi …-…
Prêcher ceci, Prêcher cela…-…
Voir si le cœur de la paroisse bat en moi…-…
Et tu m'emmèneras ! …-…
Emmènes moi ! …-…
pc regarda monseigneur Griffes

Griffes

Damoiselle PetitChat entra et la complicité avec Horlane se fit immédiatement, elles semblaient bien à leurs aises et tant mieux, leurs sourires et leurs joies faisaient comme du baume au cœur.

Il fouilla dans ses parchemins et saisit celui dont il avait parlé… Celui là lui irait très bien !

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Auriia

Heu bin sivous le dite sir Griffes je veut bien vous croire.

Auriia lui fit un grand sourir...

Merciiiiiiii !!

Petitechat

PC qui se promenait dans les rues de Montpellier se décida à entrer dans la cathédrale. Elle monta les marches et poussa la grande porte, entrant en silence elle était émerveiller par la beauté de la cathédrale, puis regardant le groupe de femmes qui était présentes elle reconnue la silhouette de son chéri. Elle se mit dans un coin pour prier en silence.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle. AMEN

Après avoir prié, elle alla saluer le groupe de femmes et monseigneur griffes
BONJOUR MES DAMES, S'INCLINant DEVANT MONSEIGNEUR GRIFFES : VOUS ALLEZ BIEN TOUS ? je voudrais savoir si je peux faire partir de votre chorale ?

pnj

Horlane, qui se trouvait dans la chorale,
attendait avec hâte que tout cela se termine.
Puis elle aperçue son amie petitechat…
d’un coup, le sourire amusé d’horlane apparaissait subitement a ses lèvres,
se disant qu’elle ne serait plus toute seule dans cette drôle d’aventure…

Coucou ma belle ! Alors, comme ca on vient chanter ???

Puis elle lui murmura :

Euh… à tout hasard, aurais-tu sur toi, une fiole de liqueur de prune ???
Car la, je sens que ma ptit voix d’ange, faiblit !

Horlane a ses mots murmurés à Pc, éclata de rire

Griffes

Il écouta attentivement la

chanson

et trouva qu'Auriia avait beaucoup de talent !

Damoiselle, je pense que vous sous-estimez le don de votre voix ; je suis certain que dans cinq cents ans, ce chant sera encore connu de tous.
Félicitations !

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pnj

Avec un rire amusé horlane fixa messire Griffes et lui mumura a l'oreille:

...............................................................................

elle regarda messire avec un grand sourir

Antoine_lefrogeron

Antoine se promenais , et profitais d'un petit Moment de calme. Il prit la direction du lac avec sa canne a la main. Mais un petit détaille attira son attention ,lorsqu'il passa devant le château. La porte de la cathédrale étais ouverte.

Des voix fusaient de l'intérieur. Curieux il entra a son tours dans le bâtiment qui étais abandonné depuis fort longtemps.
Plusieurs gens s y trouvaient et écoutaient Griffes.Homme qu'avais connue son père et que Antoine avais entendue parler.

Antoine le plus discrètement qu'un homme en armure pouvais le faire s'avança et mit genoux a terre dans une rangée au centre et pria en silence remerciant le Seigneur de leurs avoir envoyer un guide.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Il y avais fort longtemps que Antoine n avais priez ainsi. Certainement depuis la mort de son père qui étais pourtant un serviteur de Dieu.
Mais Antoine ne voulais pas garder rengaine envers le seigneur qui même parfois de manière cruel , décidait a son bon vouloir de nous rappeler a lui.

Perdue au plus profond de ses pensées , Antoine ignorais ce qui ce passais devant restant a genoux les yeux fermés , une larme coulant sur ça joue.

Maelie

Alors qu'elle profitait de sa halte dans la ville pour faire un peu de tourisme dans le parc, Maëlie avait été interpellée par des bruits aux alentours de la Cathédrale. Lorsqu'enfin elle parvint au bâtiment, les alentours étaient à nouveau calmes : étaient-ils donc tous partis?
Elle avisa une étrange affiche qu'elle lut avant de s'exclamer avec plaisir : une chorale ! Et cette signature lui arracha un petit rire.

Poussée par la curiosité, elle pénétra dans le bâtiment. Elle tomba d'abord sur la silhouette en prière du maire : avec prudence, elle le dépassa en silence pour ne point le déranger.

Un peu plus loin, une vive agitation semblait régner dans les lieux. Intriguée, elle s'en approcha, pour constater qu'une foule féminine entourait un visage qu'elle reconnut assez rapidement : Monseigneur Griffes !

Ah! Monseigneur ! Quel heureux hasard !

pnj

Elle regarda Messire Griffes et lui dit, tout en grognant :

Bon ok. .. Mais … c’est vraiment parce que je veux me faire pardonner !!

Griffes

Griffes sourit à la remarque murmurée d’Horlane et lui répondit de la même imperceptible voix… Apparemment ils étaient d’accord sur la pénitence de pardon.

Il distribua à chacun une page différente ; chacune d’elle comportait un chant unique et distinct de son voisin… puis il enchaina directement :

Il allait inviter quelqu’un à chanter son texte quand Dame Maelie intervint…

Il lui restait quelques parchemins en main... Il réfléchit et en choisit un bien particulier, puis lui tendit…

Il n’attendit pas de réponse, faisant comme si celle-ci était positive et pouvoir la garder aussi avec le reste de la chorale…

Chaque personne va recevoir un courrier avec un texte, libre à vous de le chanter ou non, d'en prendre un autre ou celui-là... je vous laisse la surprise

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Auriia

Auriia prit la feuille tendut par sir Griffes et commença à lire dans sa tete...Voici venu le temps de travailler dans les champs…
D’arrêter de jouer au ramponneau… Et d’aller prier le Très-Haut…
Nous sommes au village très pieux des fidèles heureux…
Des pêcheurs gentils… Oui c'est un paradis…

Heu un chant pour les enfant.

Auriia sourit amusée à sir Griffes.

Alors la part contre non je suis pas la première !!

Griffes

Damoiselle Auriia commença les premiers vers puis s'interrompit...

Peut-être que ce chant ne lui plaisait pas... Peut-être devait-il lui en donner un autre ? Il lui adressa un sourire amical, espérant qu'elle se jette à l'eau

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Auriia

Heu très bien partie c'est que vous avez pas écouté ma voix encore, j'aurai du me taire...

Elle regarda sir Griffes la supliant du regard de commençer...

Arf, bon c'est bon je me lance, attention bouchez vos oreilles !!

Auriia regarda le texte et commença à chanter.

Voici venu le temps de travailler dans les champs…
D’arrêter de jouer au ramponneau…
Et d’aller prier le Très-Haut…
Nous sommes au village très pieux des fidèles heureux…
Des pêcheurs gentils…
Oui c'est un paradis…

La mer n'est pas loin…
Car il suffit de prendre la bonne direction…
Pour que tout, tout près de vous…
Vivent là-bas les poissons, et résonnent nos chansons…

Si seulement les plus grands…
Avaient envie de vivre dans notre ville…
Tout serait beaucoup plus gai…
Et pour chacun la vie serait plus facile…

Et le soir, dans le noir…
Quand bien au chaud, votre journée s'achève…
Vous pouvez en cœur prier…
A revenir chaque nuit dans vos rêves…
La lala lala…
Lala lalala ...

Auriia releva la tête en direction de sir Griffes un sourir en coin.

Je vous avez prévenu^^!!

pnj

Horlane prit par le bras, s’approcha de l’autel, se demandant vraiment ce qu’elle fessait ici… puis elle s’adressa à sir Griffes :

Euhhh…. Messire…. Je crois que la vous vous trompé de personne ! Ne voyez vous donc pas que je n’es point d’auréole sur ma ptit tête d’ange ???
Arfff vous savez, le chant et moi, ce n’est pas une grande histoire d’amour ! Et encore moins avec les églises ! Bon ok, j’aime bien les soutanes, mais quand même…

Elle éclata de rire...

Griffes

Un sourire amusé…

Il se souvint d’un coup qu’elle n’était qu’à moitié pardonnée pour le pichet d’eau qu’elle lui avait renversé sur la tête…

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Auriia

Auriia poussa la lourde porte de la Cathédrale , ele fut impressionait par la beauté des lieux, elle aperçut Monseigneur Griffes...

Re bonjour !! Ayez c'est enfin ouvert on va pouvoir commencer à chanter !!

Auriia lui fi un grand sourir...

pnj

Mdr trop bon On va chanter !!
Ho Happy day, Ho happy day

pnj

la curiosité horlane était plus fort qu’elle, donc elle décida de se rendre a la cathédrale... arrivée devant cette immense porte, elle la poussa et entra...
Elle aperçu messire griffes...

Messire griffes, enchantée de faire votre connaissance, euh... pour a chorale ne comptez pas sur moi! Car je crois que je ne suis pas assez saine pour cela!

Elle li fit un clin d'œil...

pnj

Etant présent dans l pièce lors de cette discution, Xoolam dit à Horlane

Domage que vous ne vouliez pas en faire partie, mais je dirait plutot que vous êtes plus une femme mature que malsaine..

Puis il repartit à sa mandoline en chantant

Griffes

Damoiselle Auriia, Heureux de vous revoir et oui, on va tous chanter ! L'endroit est merveilleux, n'est-ce pas ?

Entendant Xoolam, il sourit :
Oui, cet air là me plait, Bon… et si nous commencions par un plus air simple… attaquer directement avec « Happy Days » est ardu je trouve, peut-être faut-il s’entrainer avant avec quelque chose de plus accessible ?

Puis arriva Horlane… Il lui jeta un coup d’œil, « ça va, elle n’est pas armée » se dit-il soulagé… « Elle n’est pas venue avec son pichet d’eau^^ ».
Damoiselle Horlane, voyons, pas tant de manières !
Il l’a prit par le bras pour l’amener vers les autres, elle protesta un peu avec son caractère de feu habituel…

Il demanda :

Tout le monde connait la chanson : « Christos revient, Christos revient parmi les tiens »

(lien)

qui peut nous la chanter ou est-ce que vous préférez que l’on attaque directement avec « Happy days » ?

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Griffes

La Cathédrale Saint-Pierre de Montpellier était à l’origine la chapelle du monastère de Saint-Benoît, fondée en 1364. Elle fait désormais partie des paroisses de l’Evêque MonSeigneur Rehael… En manque de Curé pour l’instant, Griffes, connu aussi sous le nom de MonSeigneur Grégory de Festigny, entreprit de pousser les portes de ce bel établissement…

En arrivant sur le parvis, il pu voir la splendeur et la sobriété de la façade, dans un style fort d’époque avec deux tours érigées à l’entrée… L’intérieur était tout aussi magnifique avec un cloitre intérieur orné d’arbres d’un jardin privatif…

Pour l’heure, l’essentiel était de mettre de la Vie dans cet établissement.
Après consultation de plusieurs personnes motivées, il afficha le message suivant :

Citation:

chorale

+MonSeigneur Grégory de Festigny, dit Griffes
+HONOR:ET:FIDES

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[RP] Cathédrale de Montpellier