Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 18, 19, 20   >   >>

[RP - 18/04] Cathédrale - Sacre de Sa Majesté Vonafred

Vabou
Vabou arriva à la cathédrale de Reims sans faire trop d'efforts, il avait la chance de vivre juste à côté toute l'année, il vit plein de monde arrivé de toute part il fût impressionné de voir autant de monde et pour la majorité si bien habillée.
Avec son air un peu paumé malgré qu'il soit un des rares étant de Reims ici, Vabou avança dans la cathédrale déjà bien peuplée. Vabou avait sorti sa tenue de soirée qui était neuve, la Reyne lui avait offert cette tenue et c'est avec un grand honneur qu'il vient a la cérémonie avec puis il avance au plus prêt qu'il puisse quoiqu'il soit conseiller ducal il n'avait pas de place réserver. Vabou se mit dans un coin entouré de personnes, à son grand regret il ne voyait pas grand-chose car il y avait beaucoup trop de monde devant lui.

Childeric

    [ Avant l'ouverture des portes]

    Ayant reçu son Ordre de Marche scellé. Ce par l'entremise de son messager habituel, que lui même ne connaissait que sous le pseudonyme du " Boiteux ".

    Décachetant le parchemin, Childeric sauta de joie à la lecture de la convocation.
    Il fît préparer deux chevaux frais, et s'offrît une séance aux bains avant de se faire coiffer et raser de près par la jeune Anna.

    De retour à l'Archevêcher, il s'excusa auprès de son Maître pour son absence, puis couru dans sa Chambrette.
    Avec grand soin, il ne manqua pas de s'oindre le corps, de cette eau Parfumée au Lilas, qu'il avait fait venir à grand frais de l'Italie toute proche.

    Tout en se vêtant, il s' imaginais déjà dans la Grande Ville pensant aux milles choses qu'il faudrait qu'il y fasse....
    Mécaniquement il boucla ces bottes à bout ferrés, tout en glissant dans chaque une d'elles, un daguet.
    Dans son dos, le Cadeau de Monseigneur Neocor, dont il ne se séparait jamais.

    Enfilant son veston, aux couleurs blanc et sinople de sa Vidamie, il compéta le tout d'une brigantine de cuir, glissant au passage ces dagues de jet, dans chaque une de ces manches.
    Une attache dans ces cheveux, ces Gants de Cuir, puis c'est le grand départ dans la solitude des pleines mornes.......



    [ Garde Episcopale. Devant Nostre Dame. Avant l'entrée du Roi]



    Lorsque le jeune presque lieutenant, arriva dans la grande place, la foule l'avait déjà rempli.
    Se rendant au lieu de rencontre, il tomba pile sur La Capitaine qui venait de débuter le briefing ...
    Se glissant parmi ces frères et Soeurs, il vint respectueusement saluer la Préfette, l'assurant de son arrivée sans encombres, sur quoi il se plaça à l' extérieur de l'édifice.
    Opinant de la teste, pour saluer ces frères croisés au passage de chaque uns d'eux.



    [Après l'ouverture des portes]


    Une fois la porte géante ouverte, commence l'entrée des Gardes Royaux. Suivi de près par tout ce que Paris et ces environs Compte de prélats, vestu de leur plus bel habit et portant, fort imposante Mitre.

    Parmi les Cardinaux, Childeric reconnut son conestable, S.E Rehael.
    Il fallait dire que jamais il n'avait vu pareille défilé, de Hauts prélats........



    [ L' Entrée du Roy ainsi que sa Suite... ]


    Après une Courte attente, arriva le futur couple Royal.

    Tout de Noir vestu, rehaussé de sinople, ne portant nul Bijoux, autre que ces attributs royaux. Le futur souverain, Fît son entrée.
    Lorsqu'il arriva à son niveau, Childeric Claqua des talons et se fît droit comme un I.

    Alors qu'il était encore au garde à vous, et que passaient les nobilaires. Son oeuil droit ( Le gauche veillait, toujours..) fût attiré, par la blancheur immaculée, et la blondeur d'une.... Une Druide.
    C'était pour lui la première fois....
    Il resta un court instant, à s'émerveiller sur cette apparition et lorsque les portes se fermèrent, il vint prendre la place qu'on lui avait assignée.

    Juste a Gauche de l'entrée, dos au Pilier, l'oeuil aux aguets...
    Soudain, une parole retentit du fond de la Nef.....


    Citation:

    -Peuple de France, Pairs de France, Grands Officiers Royaux, Cardinaux, Nobles de France et d'ailleurs faites place et accueillez Sa Majesté le Roy de France LouisVonafred et Sa Majesté la Reyne de France Leyah
Enguerranddevaisneau
Parce qu’une cérémonie sans Enguerrand, c’est comme un bon champagne sans bulle, il fut certain que le coche qui pris place devant l’imposant édifice de Reims était frappé des Armes du baron d’Ittre.
Ce dernier d’ailleurs, posait pied à terre, avec prestance, élégance, et raffinement. N’était pas Vaisneau qui veut, et pour sûr qu’avant d’égaler un tel maintien, nombreux étaient les nobles qui pouvaient prendre leçon.
Ainsi, d’un pas vif, ses bottes brunes lustrées avec acharnement foulant les pavés jonchés des sempiternel détritus, maux certain d’un rassemblement important, il fit son entrée au centre du maigre flot de présents.

Il était venu sans armes, hormis le stylet habilement dissimulé dans le bouffant de ses manches, et simplement accompagné de son maure, Rachid, presque nain au cou de buffle, habillé avec autant de prestance que son maître en ce jour, pour évidemment, passer inaperçu.
L’agitateur Frondeur était aux aguets, notant dans sa mémoire qui était où, de l’hospitalier au garde royale, du Licorneux à l’huissier. Chacun était jaugé de pied en cap, sous l’œil inquisiteur du chevalier Banneret de Fauquez qui ne pouvait dissimuler plus avant un certain sourire satisfait.

Et de prendre place parmi la noblesse de France, sans tenir compte de son plausible voisin alors que l’excitation, palpable, le gagne avec une verve de plus en plus conséquente.

Le Roy des Parisien, et sa bretonne épouse qui ne savait pas (comme le reste de la cour) qu’elle devait se faire nommer Altesse Royale et non majesté firent leur entrée, gagnèrent l’autel, alors que le spectateur le plus chevronné aurait déjà pu remarquer que l’Ittre chuchotait vivement à l’oreille de l’arabe, qui d’un bon, s’en vint quitter la salle, comme répondant à une directive.

Un hideux sourire venait souligner la cicatrice qui ourlait la joue de l’éphèbe.
Que le Sacre commence.

_________________
Valeryane
Après le Parvis et les présentations la volcanique brune, avait tiré sa fille jusqu'à elle, elle avait pris place, c'était toujours avec émotion que valeryane assistait aux sacres, mais ce sacre là était différent parce que cette reine était différente et se roi aussi, ils sortaient des stéréotypes coincés, elle était naturel, direct qui ne tournait pas autour du pot, lui plus discret mais tout aussi direct, pourquoi essayer de trouvé des mots de remplacement quand on doit dire les choses, un chat est un chat.

Val avait mis sa superbe Robe, faite avec la plus belle étoffe en velours de soie, sa robe lissé impeccablement, très raffiné accentuant la ligne fine de sa taille, de "guêpe" oui Val aimait faire dans le raffiné, ou le fil d'or accentue la broderie faite souvent de perles, mais sa robe à elle était très simple être "fournisseur royale" depuis deux sacres ne lui donnait pas de quoi non plus avoir des gros bijoux et tenue très riche, disons qu'elle avait de quoi s'habiller, depuis son banc val avait regardait les différentes tenues des dames, certaine étaient raffinées d'autre par contre ressemblaient à heu! rien à dire, ses yeux s'agrandirent, Val ne critiquait pas les autres, c'est pas bien, chacun avait sa façon de faire. Elle restait humble, malgré toute les méchancetés dont elle avait été victime, des paroles bien basse de la part de dame bien haute, qui se disent grande et noble, qui de leur bouches sortaient la jalousie, mais la jalousie rend laid, vieillit et donne des traits dur sur le visage, l'oeil se plisse, la paupière gonfle, la bouche se tord et la langue vocifère saleté, ainsi le jaloux ressort aussi laid que le sans nom puisse l'être dans son imaginaire et que ces propres mots. L'article de GDA n'avait pas blessé la volcan elle n'en faisait pas partie, heureusement pour elle plus rien de la part de certaine personne, ne touchait Val. elle tenait à garder sa beauté, car oui Val non seulement était douée, pas elle qui le dit, mais en plus elle était très belle pas elle qui le dit non plus, ce que disait les courtisans qui ne manquait pas en ce moment.

On ne l'aimait pas on voulait cassé du Llobregat, mais Val ne se laissera pas casser, ni briser, et si prochainement elle perdrait son titre, peut lui importait, elle continuera à faire ses robes pour tout le royaume même au delà et oui, l'Italie, l'Angleterre venait chez les Fées Tisserandes
la chouchou de feue Nebisa et maintenant de Leyah, avait sa clientèle, elle n'avait besoin d'aucun pouvoir ni d'une guilde pour continuer à créer des tenues magnifique, son talent suffisait à se voir à son carnet de commande, plein à craquer.

-Peuple de France, Pairs de France, Grands Officiers Royaux, Cardinaux, Nobles de France et d'ailleurs faites place et accueillez Sa Majesté le Roy de France LouisVonafred et Sa Majesté la Reyne de France Leyah


Le roi et la reine entrèrent, Val regarda enfin au passage, elle avait fait selon ce qu'on lui avait donné a faire, en tout cas pour une foi le roi et la reine respiraient l'air frais, pas engoncé dans leur fraise ou le cou était raccourcis au point qu'on le voyait plus, pour peu que l'homme qui portait cette chose avec de grosse épaule, imaginait vous l'image que cela pouvait donner, personnellement j'aurais pris mes jambes à mon cou , c'est cas de le dire, elle aussi trouvait certain tenue moche mais pas pour ça qu'elle critiquait, mais au bout d'un moment quand on essaye de casser du volcan faut s'attendre à recevoir sa lave pour brûler la bave du crapeau, quand on attaque faut savoir recevoir le répondant et les coups de retour..


Malgrè tout Val reste humble et regarde passé sous le bruit du froufrou le roi et la reine, le sacre commençait enfin.
_________________
Godrick_de_varenne
Le petit héritier toujour à coté de sa mère.
Présent aux premières loge de la ceremonie
N'en croyant pas ses yeux laissant echappé
vous ètes tres beaux popaa et momaan

L'héritier sourit a ses parents
*atalante
Après une attente qui semble interminable et le balais des grands du royaume et de sa noblesse, enfin, après un bref discourt de préface, la cérémonie peu commencer..
Mais du bruit derrière tiens donc, que se passe t'il, je me retourne pour voir, et quelle surprise, ce n'est rien d'autre que Enguerrand l'éléphant heu, l'élégant.
Mais que viens donc faire ce baltringue, graine d'indépendantiste en ce lieu si ce n'est qu'un mauvais coup.
Il va falloir le surveiller celui là.
Je préviens les filles qu'elles aussi surveille la foule depuis son milieu.
Je ne suis plus dans l'ordre, mais bon, on reste ce que l'on est dans l'âme, puis ma charge me l'impose n'est il pas?

_________________
Ayena
    Forcément, quand on était pas au fait de la mode ou de ce qui se faisait de mieux, on ne pouvait tourner vers Ayena que des regards étonnés. Ce qu'elle avait sur la tête s'appelait un truffau. Sa robe, aux broderies fines et loin d'être aussi grossières que d'autres, pouvait, bien sur, rendre jalouses les moins douées. Car à DECO, on ne faisait que de belles choses. Et on avait les moyens que d'autres ateliers ne pouvait vraisemblablement pas se permettre. Les moyens étaient autant financiers qu'humains : dans cette atelier qui faisait partie de la GFA, on apprenait aux apprentis à devenir les meilleurs, pas de pâles copies de ce qui se faisait actuellement par des fournisseurs royaux qui faisaient honte à la profession.
    Quand aux regards amusés qui se tournaient vers elle, Ayena n'en eut cure : les femmes qui sortaient têtes nues n'avaient pas son attention : trop frivoles à son goût, d'Alquines préférait les bonnes aristotéliciennes. La Reyne, bien sur, était dispensée de coiffe aujourd’hui et c'était bien normal : une lourde couronne lui couvrirait sous peu les cheveux.

    Enfin, de tout cela, Ayena aurait volontiers discuter avec les moins érudites. Elle était une femme ouverte et pédagogue. Et elle ne se prétendait pas couturière sans connaître les détails de base du costume de l'époque.
    Aussi, pendant que certaines se moquaient de ce qu'elles ne connaissait pas, elle, Ayena, observait le couple royale et écoutait les prémices de la cérémonie.

_________________

>Sponsor officiel d'Ayena__
Héraldique
Suzette
[Avant l'ouverture des portes]

Suzette, sergent des Loups de Champagne, écoutait les dernières instructions dictées par son Général en chef, Hersent.
Leur groupe serait scindé en deux et elle irait prendre position sur les coursives est avec Carbone tandis que le groupe de Max prendrait place dans les coursives ouest.
Un peu stressée et encore légèrement gênée par sa blessure, elle fit signe à Carbone.
Ils montèrent les marches rapidement et se placèrent face à l'assemblée.
Le vue était imprenable et de là haut, ils pouvaient voir tout ce qu'il se passerait.
Avant de quitter la caserne, elle avait à maintes reprises vérifié son armement.
Elle prépara son arc et le posa discrètement contre une balustrade.
Main sur le pommeau de son épée, elle jeta un coup d'oeil vers Max qui lui faisait face.
Elle lui adressa un clin d'oeil d'encouragement.
A ce moment là, les portes s'ouvrirent.


[Après l'ouverture]

Une foule innombrable prenait place dans la cathédrale. Suzette faisait défiler ses yeux sur toutes ces personnes - régicides potentielles - afin de prévenir tout débordement.
De son poste, elle pu reconnaître bien du monde, des étudiants et professeurs de Belrupt, des auvergnats qu'elle avait perdu de vue depuis son déménagement en Champagne, des champenois et biens d'autres visages croisés au détour d'une taverne lors de ses voyages.

Vigilante et alerte, elle scrutait cette masse mouvante et bruyante.
Sa nervosité s'apaisait peu à peu quand on annonça l'entrée du couple royal
.

Citation:
-Peuple de France, Pairs de France, Grands Officiers Royaux, Cardinaux, Nobles de France et d'ailleurs faites place et accueillez Sa Majesté le Roy de France LouisVonafred et Sa Majesté la Reyne de France Leyah


Elle en frémit.
Sa majesté Vonafred et son épouse pénétrait dans la cathédrale.
Elle resta pantoise un court instant, voir le roi de ses propres yeux n'était pas chose habituelle et surtout, c'est la première fois pour la jeune femme.
Après quelques secondes d'inattention, elle se repris bien vite et porta son regard non plus sur le couple royal mais sur les personnes autour.
Elianor_de_vergy
[Avant la royale arrivée]

La quintefeuille était haute comme trois pommes mais Kronembourg, lui , était d'une taille assez élevée pour être remarqué. D'autant qu'en fait, elle le cherchait elle aussi du regard. Ne lui avait-il point promis de les rejoindre? Et jamais au grand jamais la poupée n'aurait douté de la parole du frère. Elle le cherchait, donc, et il faut avouer qu'il est infiniment plus facile de reconnaître quelqu'un qui remonte la nef d'une cathédrale que de trouver une poupée de poche parmi la foule ayant pris place sur les bancs.

Seulement voilà: l'avoir vu, c'était bien. Attirer son attention pour qu'il vienne s'assoir avec eux serait mieux. Mais comment diable voulez-vous attirer l'attention de quelqu'un qui marche les yeux baissés? Elle n'allait tout de même pas se mettre à agiter les bras en braillant comme une harengère!

C'est alors, ô soulagement, qu'elle s'aperçut que Jonathan regardait lui aussi en direction de Kronembourg. Et l'huissier, contrairement au duc, se trouvait assez près d'elle pour qu'elle puisse lui glisser quelques mots. Ce qu'elle s'empressa de faire!


Senher Jonathan! Par ici! Auriez-vous la gentillesse de guider sa Grâce Kronembourg vers nous?
_________________
Lordmick
Lord fut invité alors il se rendit à la capitale pour voir le sacre. Il etait un peu en retard alors pour etre discret il rentra doucement sans faire de bruit presque invisible par la porte d'entré et alla s'installer au fond de la salle afin de pouvoir admirer la cérémonie qui allait se dérouler.
_________________
Maxdph
[Avant l'ouverture des portes]

Lt Max, GES des Loups de Champagne et Commandant le "Griffon Champenois"
Je prends connaissance des ordres et consignes auprès de son Général en Chef, Dame Hersent.
L’ordre de mise en place est donné, chaque groupe prends les positions définies à l'avance.
Un groupe de deux Loups sur la coursive à droite et, mon groupe de trois Loups sur celle de gauche.
Ces coursives, placées en hauteur et de chaque côté de l'emplacement prévu pour notre Souverain, nous donnent une vue parfaite pour en assurer la surveillance.
Après avoir déterminé pour chaque Soldat, un secteur de surveillance ceux ci se recoupant par moitié, les armes sont disposées prête à servir.


[Après l'ouverture]


Les invités entrent avec empressement, créant quelques bousculades. Petit à petit les personnalités avez trouvé leur place et, le bruit de la bousculade laissa la place à un brouhaha de discutions et de rires.
Observer chaque détail, chaque geste pouvant nous mettre en alerte.

Et voici le moment attendu. Le couple Royale entre dans la Cathédrale.
Ne pas se laisser distraire.
Nergal
Les yeux parcourant l'assemblée, le Frère du Saint Sépulcre continuait sa surveillance sans se soucier des chuchotis et murmures qui fusaient de toutes parts. La populace n'ayant pas encore été autorisée à entrer dans la cathédral à ce stade de la cérémonie, certaines personnes présente faisait tâche parmi tous ces nobles aux riches atours, et le Commandeur de l’ORESS ne manquait pas de surveiller plus attentivement encore tous ces marginaux.

Et quoi de plus marginale qu’un semi-maure crapahutant dans une cathédrale en plein sacre du roi de France ?

Soupçonneux vis-à-vis des personnes de petite taille depuis que l’une d’elle avait manquée de peu de lui soustraire ce qui fait qu’un homme en est un, il fit discrètement signe aux autres gardes dont il croisa le regard afin que ceux-ci surveillent eux aussi les mouvements de l’étrange personnage…

_________________


Mieux vaut avoir la bière dans le corps que le corps dans la bière.
Melior, incarné par Akane
Melior réfléchissait...Peut-être en ce lieu Saint la Grâce du Très Haut lui tomberait dessus. Ceci dit, fallait se méfier parce qu'il était déjà arrivé que des choses tombent dans les cathédrales, des fois statues d'ailleurs.
Suis-je une huître ou un bulot ? avec le manteau, je pencherais pour huître.
Le couple royal fit son entrée, la tirant de sa ô combien passionnante introspection.
La cérémonie débuta. Le Roi et la Reine s'étaient placés devant les officiants. Et dans le silence, la jeune Nahysse lui signifia qu'elle devait parler.
Soit.
Alors, la Prima se leva, et de sa voix claire, elle dit :



« Seignourir doit et par son vasselaige
Vices hair et entendre aux vertus. »

Ecouter les vertus, écouter le coeur du Royaume de France.

Majesté, en ce jour, Vous n'êtes plus noble parmi les nobles, mais le plus noble d'entre nous. Et cette majesté qui est désormais Vôtre, par la couronne qui ceindra Votre front, par l'onction qui sera faite, Vous porte en Père de la France.

Entre Vos mains repose le destin d'un peuple, d'un Royaume. Que la bienveillance du Très Haut qui s'est penchée sur Vous soit celle que Vous offriez à Vos sujets.

Le Royaume de France est un enfant terrible, vigoureux, et cédant parfois à certaines colères. Il vous faudra, comme tout Père, ramener à Vous ceux qui se sont éloignés, pour les guider sur le droit chemin, celui de l'Honneur, celui qui fait de lui un grand et fier pays.
Mais que certains ne s'y trompent pas, si la bienveillance n'est pas usage immodéré de la force, elle n'est pas non plus faiblesse, elle s'accompagne de fermeté.

Certaines voix appellent sur d'autres voies, la Vôtre devra se faire plus sage que la folie de ceux qui veulent ce qui leur a été refusé.
Pour cela, il Vous faudra, le plus noble d'entre les nobles, par votre noblesse haïr les vices et écouter les vertus : Justice, Prudence, Force, Tempérance.

Justice veut que soit attribué à chacun ce qu'il mérite. Prudence peut se voir comme l'habileté à trouver le moyen de faire un choix entre le bien et le mal. Force est celle de l'âme qui emmène vers les grandes choses et méprise les choses basses. Tempérance est la modération d'une âme maîtresse de ses passions.

Puissiez-vous alors faire grandir encore cet enfant, au nom de France, l'élever vers un ciel serein.

Celle qui Vous précéda, feue Sa Majesté Nebisa de Malemort, avait fait le souhait d'un lys fort et rayonnant. Puissiez-vous lui rendre cet hommage et lui accorder ce voeu.

Puissiez-vous donner aux Sujets du Royaume de France un Roi qui saura entendre et mener.
*bombadil*


[avant le sacre]

Thomas avait réussi à se préparer dans la chambre qu'il occupait au palais de Tau. Il régnait en son palais, occupé par le roi et sa cour une agitation comme il y régnait rarement. Il avait réduit ses quartiers à leur plus simple expression (une seule chambre, néanmoins de fort belle taille) afin d'acceuillir dignement l'hôte de marque qui se rendait à Reims, comme lors de tous les sacres. Vêtu de ses plus riches habits de cérémonie, le cardinal-archevêque de Reims, retrouva les cardinaux devant la majestueuse cathédrale qu'il connaissait bien afin de rentrer avec eux en procession à l'invitation de Rehael.

[pendant le début du sacre]

Il alla se placer dans les premiers rangs sur la gauche, où était réservées les places des cardinaux en attendant que ce soit à lui d'agir. La veille, il avait assuré les préparatifs et avait notamment vérifié que l'ampoule du Saint Chrême était bien prête et sous la protection de l'ordre de Saint Rémy.
Il écouta l'acceuil de Rehael, ainsi que les premiers mots de Melior. Le roi et la reine avaient fait leur entrée et l'édifice religieux était transformé pour l'occasion en un riche écrain de luxe et de richesse qui symbolisait la force du royaume de France
.

_________________

Cardinal-archevêque de Reims, Ami Lescurien
Nahysse
Tout en écoutant Son Eminence, la petite blonde fit un effort de concentration et observa les visages alentours, veillant ainsi à voir arriver l’imprévu. Car il y avait toujours une source d’imprévisibilité, à elle de savoir l’anticiper et bien réagir.
Durant les précédents sacres, elle avait ouï dire que des événements assez surprenants s’étaient ainsi produits.
De ses azurs sages, elle observait autant que cela lui était permis.
Enfin le Primus prit la parole et son discours contenait des paroles sages et réfléchies.

Quand fut venu le temps de lancer le magnificat, Nahysse envoya un page faire signe au Maître de la Chapelle Royale. La musique retentit alors dans la cathédrale, moment d’apaisement partagé, de recueillement également.

Quand les dernières notes finirent de résonner dans tout l’édifice religieux, Son Eminence attendit quelques secondes avant de prendre la parole, insufflant ainsi plus de solennité encore à l’instant, plus d’aristotélisme.

C’est ainsi qu’arriva le moment de la prestation de serment, menée par Son Eminence Tibère de Plantagenêt… Serment qui mettrait en lumière le nouveau Roy de France, Louis Vonafred de Varenne Salmo Salar.

Nahysse leva ses azurs vers son cousin au second degré, un sourire accroché aux lèvres et patienta. C’était à lui.




Translation:
So came the moment of the swearing-in, directed by His eminence Tibère de Plantagenêt… Oath that would highlight the new King of France, Louis Vonafred de Varenne Salmo Salar. 

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 18, 19, 20   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)