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[RP - 18/04] Cathédrale - Sacre de Sa Majesté Vonafred

Koyote
[ AVANT L'ENTREE DES FUTURES TETES COURONNEES DE LYS ]

C'est encore une fois de l'autre bout du Royaume, depuis la désormais fringante Guyenne que s'en vint un nouvel équipage. Les chemins étaient toujours aussi cahoteux, la route plutôt désagréable, sûrement pour cela qu'il limitait ses visites au strict nécessaire.
Ici, de strict, il était justement question. Le Comte voyait les nobles et autres prétendus se faire légèrement rudoyer par la garde qui ne se laissait pas démontée malgré l'ampleur de l'événement. Les sacres étaient rares, ils étaient donc d'autant plus couru, chacun espérant glaner les faveur de la haute noblesse, et pourquoi pas du nouveau Roi en personne.

Le destrier chevauché pour l'occasion fut donc laissé à un palefrenier à proximité de la cathédrale, non sans surveillance tant ces bêtes étaient rares, et donc chères. C'est ensuite une petite procession encadrant le noble de Chevreuse qui se dirigea vers l'entrée de la cathédrale, où il s'empressa de décliner son identité avant de se faire refouler. Mais le manteau de velours bleu ne laissait que peu de doute quand au statut du personnage.

A la garde :


Je suis Koyote, Comte de Cieux et Pair de France. Je souhaite entrer pour assister au sacre de Sa Majesté le Roi de France. Que l'on me conduise auprès de mes Pairs.

dit-il en tendant le parchemin qu'il avait reçu en guise d'invitation.
Puis reconnaissant non loin de là le noble Guyenno-Rouergat, il adressa un signe amicale de la main au comte Alexandre*.

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Comte de Chevreuse et Pair de France
Dotch
[Au moment de l'entrée du cortège des pairs]

La Duchesse de Saint Florentin avait revêtu ses plus beaux atouts pour ce nouveau sacre royal. Elle avait hâte de revoir sa cousine, elle logeait pour l'occasion dans ses appartements du Louvre et elle espérait après le sacre plus tard dans la soirée... Et comme elle avait perdu son pari stupide, la blonde était donc nus petons sous sa robe... Elle avait suivi un cour avec la meilleure des professeurs sinon à cette heure elle aurait déjà les pieds en feu. Elle espérait simplement que personne ne lui écrase les pieds... Marcher le plus possible sur la pointe des pieds voilà la clé du secret. Et il faut dire que d'Armentières s'en sortait pas trop mal... Saluant quelques personnes qu'elle connaissait au passage, la blonde se laissa guider par le cortège jusqu'à l'emplacement où ils devaient s'installer.
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Bouchenbiais
Sur les marches du parvis, tiraillé de tous côtés par la foule des curieux, le boiteux albigeois ronchonne, fidèle à son habitude, lorsqu'il entend une voie particulièrement familière.

Citation:
Je suis Eony, Dame de Saint Ynoé, filleule de sa Majesté notre Roy, et je pense que places nous sont réservées à mon époux, à mon fils et à moi-même.
Pouvons-nous ?


Son sang ne fait qu'un tour! Eony!! Il n'en connait qu'une, la seule du Royaume!

A toute hâte, il dénoue de son cou son étoffe rouge, brodée d'une croix occitane, l’accroche au pommeau de sa canne, sautille sur sa jambe valide, brandit bien haut son bâton et s'époumone pour attirer son attention.


EONY!! EONY!! MORDIOUSS!! EONY!!

Il prie le Grand Architecte des destinées pour qu'elle l'entende. Si au moins, elle tourne la tête, elle ne manquera pas de le reconnaître. En ce jour de sacre et de grandes pompes, il est seul capable de se rendre si ridicule.

Il se fait aider dans ses prières par quelques coups d'épaules et de coudes.

Pardonnez moi, Doña ... Mille excuses messire ...

Après moult hochements de tête confus, il arrive à se frayer un chemin et se rapprocher quelque peu.


EEOONYYY!!

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"Œil pour œil et le monde entier finira aveugle!" GANDHI
Jonhatan27
[Avant l'arrivée du couple Royal]
Jonhatan voyant la blanche et le frère Fred les salua.

il portait la tenue des huissiers, bon il aurai bien aimé mettre l'insigne dessus brodé de son ordre, mais il ne le pu.




il s'approcha d'eux et regarda la tenue de la blanche.

Mes salutations, puis je vous aider. Si vous cherchez vos places suivez-moi.
Puis arrivé à la travée il leur montra deux places de la main. Au passage et a voie basse.

Dites moi sœur, votre couturière vous a bien habillée, mais où est donc le symbole cérémoniale de l'O.S.E, elle n’a pas eu le temps de le coudre votre brodeuse.
Il eu un sourire et se replaça en faisant un signe à la boite à biscuit.
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Eony
Et de se fendre, à l’encontre de l’Huissier, d’un autre sourire, moins spontané et plus crispé

Vérifiez ... vérifiez … mais gardez pour vous vos …

Elle ne peut finir sa phrase. Un " Eonyyy " sonore retentit et lui fait tourner la tête.
Heureuse coïncidence qui l’ empêche de dire à l’Huissier ce qu’elle pense de ses remarques de " n’importe qui peut dire " ....
N’importe qui ! Heureusement pour lui que le Roy est loin et heureusement qu’elle n’a pu en dire plus ... pour sûr l’homme se serait aperçu qu’on ne dit pas n’importe quoi à n’importe qui !

Lâchant la main de Lysandro … terrible erreur qu’elle n’aurait pas dû commettre … elle fait face à celui qui venait de l’interpeller


Frère Bouche, mon ami, c’est plaisir que de vous croiser en ces lieux.
Mais le regard soupçonneux de l’Huissier pèse sur elle

Bueno .. décidez-vous ! Ou je suis notée sur vos parchemins, auquel cas nous allons nous installer, ou je ne le suis pas et auquel cas nous passons quand même après que j’ ai hurlé un mot que notre Roy reconnaîtra entre mille ! ¡ Creame, valdría más evitar esto ! (croyez-moi il vaudrait mieux éviter ceci)
Vous faut quoi pour me croire ? Je ne présente pas assez bien ? Je ne vous ai pas donné tous mes titres et fonctions ? J’espère que vous parlez espagnol señor …
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Rehael
Le Cardinal trouvait une bonne partie de l'assistance bien dissipée. C'était un évènement aussi fort que sacré, pas un rassemblement mondain, songea-t-il un instant, avant de se résigner.

Le temps de l'accueil et des discours s'achevait. Le premier moment fort de la cérémonie arrivait, avec la prestation de serment du nouveau Souverain. Il s'agissait sans doute du moment le plus important, car de ces mots prononcés dépendaient la sacralité du Roy.

Le Lion Rouge quitta sa place derrière l'autel pour se placer devant celui-ci, c'est à dire face au Roy. Il connaissait bien Vonafred avec qui il avait maintes fois travaillé par le passé. Il savait qu'il était droit et juste, et qu'il faisant de l'honneur un principe capital, aussi il était confiant dans l'avenir. Beaucoup de choses dépendaient de lui : la paix, le redressement du royaume... Rehael, qui avait été en son temps le confesseur du Roy Levan, savait qu'il était dur d'être Roy, tant la charge qui pesait sur ses épaules était lourde. Toutefois, son regard était droit et serein. La France aurait un bon Roy.

S'il s'exprima d'une voix forte, de manière à être entendu par tous, il ne s'adressait plus à l'assistance mais directement à Vonafred.


Majesté, le temps du serment est venu. Par ces engagements, et par l'onction et le couronnement qui suivront, vous deviendrez Roy de France par la grâce de Dieu, lieutenant de Dieu sur Terre, pour Sa plus grande gloire et pour la prospérité du Très Aristotélicien Royaume de France.

Répétez après moi, Majesté, ces mots, devant Dieu et vos sujets.


Faisant silence quelques secondes, il reprit la parole avec une voix des plus solennelle.

Nous, Louis Vonafred de Varenne de Salmo Salar, Roy de France par la volonté du peuple, nous engageons à préserver l’ordre social voulu par Dieu et la paix aux gens de notre royaume.

Nous jurons de rendre la justice avec équité et clairvoyance et à défendre le peuple de France contre tout ennemi.

En tant que fidèle, nous jurons d’observer les canons et doctrines de Notre Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, et en tant que Lieutenant de Dieu, a ne nous entourer et à ne recevoir de serments que d’hommes et de femmes de la même foi que la nôtre afin de nous aider à combattre les ennemis de la Vraie Foi en pourchassant les hérésies par le verbe ou le glaive et en châtiant les obstinés. Nous engageons à conserver aux gens d’Eglise leurs libertés et immunités dans l'exercice de leur ministère.

Nous, Louis Vonafred de Varenne de Salmo Salar, Roy de France par la volonté de la Nation, jurons devant le ciel d’accorder à notre peuple paix, justice et miséricorde, de régler les lois et l’ordre social du Royaume sur les commandements de Dieu et le droit naturel.

Par ce serment, je renouvelle l'Alliance de Dieu et du Royaume, que je sois mille fois maudit et perde tout pouvoir et toute puissance si j'en venais à parjurer mon serment.

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Pattricia
Bueno .. décidez-vous ! Ou je suis notée sur vos parchemins, auquel cas nous allons nous installer, ou je ne le suis pas et auquel cas nous passons quand même après que j’ ai hurlé un mot que notre Roy reconnaîtra entre mille ! ¡ Crea yo, valdría más evitar esto ! (croyez-moi il vaudrait mieux éviter ceci)
Vous faut quoi pour me croire ? Je ne présente pas assez bien ? Je ne vous ai pas donné tous mes titres et fonctions ? J’espère que vous parlez espagnol señor …


Hop hop hop, une vindicative qui se faufile vite fait bien fait en direction de la rixe qui menace, pas de vague, pas d'accroc, pas de bordel sinon des têtes tomberont ! C'était le leitmotiv de toute personne saine d'esprit qui était chargée, en ce grand jour, d'assurer la sécurité hors et en la cathédrale.

La garde royale fonce donc en direction de la blonde au bord de l'explosion et se glisse entre Eo et l'huissier, faisant face à ce dernier.


Cette dame, son fils et son époux sont attendus, Sa Majesté n'apprécierait pas que ces personnes loupent le Sacre en raison d'un zèle déplacé.

Et de lancer un regarde de connivence à l'homme et de se retourner rapidement vers la Bergeracoise.


Salut Eo !
Un souci ?
Heu... Tu ne tenais pas, à l'instant, ton fils par la main ?


Faire un sourire doux et appaisant, et commencer à chercher du regard la demi portion disparue au milieu de cette foule...
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Acar
Avec son aimée, ils arrivèrent enfin en la magnifique ville de Reims ou trosnait majestueusement la grande cathesdrale, le long vaisseau de pierre et de lumières...

La deslegation de l'OCF se regroupait car tous arrivèrent des quatre coins du royaume de France et grande joie estait ce rassemblement pour fester le nosvel roy.

Une personne vint alors à son encontre
: Messire, je suis le baron d'Esparros, Acar de Ventoux, chancelier de l'OCF et chevalier d'Isenduil.

Laissez-moi vous presenter mon espousée, la baronne d'Esparros, dame Melian, intendante de l'OCF, chevalier d'Isenduil et chevalier-Senateur de la Congresgation des Sanctes Armées de Rome.

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Eony
Patt … la voix forte du Cardinal officiant lui fait baisser la voix. Et c’est dans un murmure à peine audible qu’elle répond à sa Sarladaise amie.

Esto hombre ne veut pas croire que je suis la filleule de … Lysandro … arh …
Un regard vers le Frère Bouche, un autre derrière elle … Madre de dios ! même son époux a disparu dans le foule.

Et de se pencher à nouveau vers la vindicative … bueno tu crois que je peux avancer ? Lysandro … je crois savoir où le trouver. ¡ No es una preocupación !
Autant ne pas affoler Patt en lui avouant l’impatience et le désir secret de son fils.
Impatience qu’elle et Birdy avaient bien essayé de freiner et désir qu’elle avait tenté d’expliquer impossible au jeune gamin
.
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Vonafred
Le Roy tout à sa foy, acheva ses grâces aux premiers mots d'accueil du Cardinal.Elégance de style et profondeur des mots, il l'écouta en opinant du chef, message juste et parfait.
Le déroulé du Primus inter Pares n'en fut pas moins éloquent. A chaque instant le Roy pesait un peu plus le poids de sa charge, il l'assumaerait avec Foy et courage, sous le regard du Tout puissant.

Les yeux rivés sur l'autel, le Roy, imperturbable au monde se rapprocha d'un pas et courba la tête aux premiers mots du Cardinal...

Le Souverain alors fit demi tour et devant la foule assemblée prononça serment du Roy à voix haute et claire.


-Nous, Louis Vonafred de Varenne de Salmo Salar, Roy de France par la volonté du peuple, nous engageons à préserver l’ordre social voulu par Dieu et la paix aux gens de notre royaume.

Nous jurons de rendre la justice avec équité et clairvoyance et à défendre le peuple de France contre tout ennemi.

En tant que fidèle, nous jurons d’observer les canons et doctrines de Notre Sainte Église Aristotélicienne et Romaine, et en tant que Lieutenant de Dieu, a ne nous entourer et à ne recevoir de serments que d’hommes et de femmes de la même foi que la nôtre afin de nous aider à combattre les ennemis de la Vraie Foi en pourchassant les hérésies par le verbe ou le glaive et en châtiant les obstinés. Nous engageons à conserver aux gens d’Eglise leurs libertés et immunités dans l'exercice de leur ministère.

Nous, Louis Vonafred de Varenne de Salmo Salar, Roy de France par la volonté de la Nation, jurons devant le ciel d’accorder à notre peuple paix, justice et miséricorde, de régler les lois et l’ordre social du Royaume sur les commandements de Dieu et le droit naturel.

Par ce serment, je renouvelle l'Alliance de Dieu et du Royaume, que je sois mille fois maudit et perde tout pouvoir et toute puissance si j'en venais à parjurer mon serment.


Un court silence et de lever les yeux au ciel...
Ad Majorem Francia Gloriam...Pour la plus grande gloire du Royaume de France.
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Akane
Jusqu’à présent, tout se déroulait pour le mieux.

La brune normande quelques instants auparavant, remarqua la présence de sa sœur cadette, à laquelle elle répondit par un sourire suite à son salut de la main. Impassible, droite, elle se tenait non loin du Grand Maistre des Cérémonies de France.

Ses yeux balayèrent de nouveau l’assemblée de crainte qu’un événement perturbe le bon déroulé du Sacre.

Le serment de Sa Majesté effectué, il était temps de passer à l’étape suivante : Chaque Grand Officier, ou presque, remettrait un objet qui symbolisait les pouvoirs du Régnant.

Un regard appuyé du Grand Chambellan du Royaume de France à ses camarades Grands Officiers. Elle les invita ainsi, tout à tour, à aller présenter les regalia au Roi de France.



Translation :

With a sustain look from the Great Chambellan of the Kingdom of France to her fellow Great Officers. She invited them, one by one to subsequently, presented the Regalia to the King of France.

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Semper Paratus Servio
Cedmisc
Même s'il n'affectionnait pas, et le mot était faible, les cérémonies, le duc de Champagne se devait bien de suivre celle-ci. Il regarda la Duchesse de Brienne qui l'avait accompagné, mais qui se trouvait dans la partie réservée aux officiers royaux. Pas moyen de lui parler pour passer le temps...

Un autre coup d’œil sur les soldats défendant la cathédrale, reconnaissant une partie des loups de Champagne. C'est qu'à part lui et les soldats, ils n'étaient pas nombreux à être présent dans la cathédrale. Sûrement occupé pour la plupart à défendre leur village. Il eut un léger soupire...

Reportant son attention sur le Roy, il l'écouta prêter serment, espérant qu'il tienne parole...

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Maltea
Un sacre... quoi de plus réjouissant hormis peut-être l'enterrement d'un souverain? Du moins pour le peuple, parce que pour la duchesse héraut, ça en devenait lassant à force. Ecouter les serments mensongers prêtés, ça en devenait risible. Défendre contre tous les ennemis? En voilà une bonne nouvelle, il allait peut-être se décider à envoyer le renfort promis depuis quelques jours.... ou pas d'ailleurs. Pas faute de relancer à chaque fois... les pensées de la duchesse étaient loin du sacre, trainant plutôt du côté de la défense et de la vie en Champagne. Tous ces gens qui venaient pour voir une couronne se poser sur le crâne d'un homme, mais qui tournaient la tête devant la situation catastrophique de la Champagne, c'était ça le grand et beau Royaume de France. Elle se demanda alors ce qui se passerait si acculé, ils acceptaient l'aide proposée par celui qui se disait légitime Roy du Royaume. Ils en seraient bientôt forcé si ça continuait comme ça.
Son regard se posa sur l'homme qui partageait sa vie et qui avait le séant posé sur le trône champenois. Il était encore trop confiant ou voulait encore croire aux belles paroles destinées à les endormir. Ce n'était plus le cas de la blonde duchesse. Ça en devenait même un sujet de discorde quotidien.... Cela faisait quelque temps déjà qu'elle pensait envoyer au diable tous ces faux semblant, l'hypocrisie, elle ne s'y ferait jamais. Quand elle avait quelque chose à dire, prendre des gants prenait bien trop de temps, un énorme défaut quand on était noble au sein du DR. La coutume voulait que les nobles du DR se la ferment sans jamais s'opposer aux idées saugrenues et au manque d'intérêt des souverains qui se succédaient depuis quelques temps déjà. Elle voulait aussi qu'ils se dévouent et vide leurs poches pour la couronne. Belle coutume que tout cela, ce n'est pas une couronne qui devait être donnée au prime hommage mais bien une carpette voir un oreiller pour avoir moins mal aux genoux à force d'être placé à quatre pattes.
Elle soupira discrètement, c'est qu'en plus elle s'ennuyait à mourir. Tournant la tête elle chercha du regard un frère d'armes ou une connaissance à enquiquiner pour tuer le temps.
Au final, elle se demandait pourquoi elle venait. Par obligation ça c'était certain et parce qu'elle était fidèle à ses serments. Mais peut-être aussi pour ne pas se faire écorcher vive par le Roy d'Armes... c'est qu'elle pouvait être terrible quand elle s'y mettait, la reine de glace. Et puis elle devait aussi renflouer son harem et il n'y avait pas mieux qu'une cérémonie de ce genre pour rassembler tout le gratins et les piques assiettes du Royaume. Ralala les relations amoureuses.... petit sourire mi figue mi raisin au duc champenois... c'est qu'ils étaient un peu en dispute depuis quelques jours mais la duchesse savait comment le mettre dos au mur.... quand elle jugerait l'affaire le concernant ainsi que celle de l'idiote qui avait provoqué son courroux, elle y mettrait la sauce, foi de Maltea! La vengeance d'une blonde n'était jamais à prendre à la légère...

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Pattricia
Elle n'aimait pas la tête d'Eo, mais pas du tout, et la vindicative se devait d'éviter les cata au max, dès qu'elles semblaient se profiler, mais le petit avait échappé à son regard...C'est donc de manière imperceptible, après avoir tourné le dos à la blonde, qu'elle lance des regards appuyés aux autres membres de la sécurité royale, tout ordre confondu, il s'agissait pas d'agir pour sa crèmerie, mais bien pour que le Sacre se passe sans accroc, en montrant de la main qu'il fallait chercher un être de petite taille, avec les doigts elle affiche l'âge approximatif du mini gosse, une fois sure que tout le monde avait remarqué son manège à l'intérieur, la môme au loup se tourne à nouveau vers la mère..

Alors voilà ce qui va se passer, tout le monde est alerté, je ne sais pas ce que va faire ton fils, mais pour la bonne marche du Sacre, et la sérénité de chacun, il vaudrait mieux qu'il n'aille pas se jeter sur Von, tu comprends bien l'importance du truc là.

Il ne pourra pas l'atteindre, il sera arrêter avant, sinon cela voudrait dire que tous les gardes et soldats présents sont nuls dans leur travail, ce qui ne se peut pas, tu seras d'accord avec moi j'espère ?

Donc ils vont l'arrêter en cours de route, il va se mettre à pleurer, voire à crier, et là deux choses vont se passer, d'une le Sacre va être interrompu dans son bon déroulement, ce qui est rarement bon présage, et de deux, ceux qui auront failli à stopper ton fils de manière "silencieuse" se verront réprimander. Il est bien entendu que Von sera ravi de le voir, mais t'assurer qu'il jugera le moment opportun...

J'espère donc que tu le récupèreras bien avant le milieu de la cathédrale, car après c'est le souk assuré. Je t'en pris, Messire l'huissier semble avoir retrouvé ta famille dans la liste des invités, tu peux passer.


Tout avait été murmuré, le tout entre l'intervention du Cardinal et la réponse de Sa Majesté, Patt espérait juste qu'Eo mesurait les conséquences que pourraient avoir pour ceux qui étaient le rempart du Roy si un simple enfant échappait à leur vigilance... Elle retourne donc vers la porte avec un sourire d'excuse en direction de l'huissier pour son intervention intempestive...
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Renlie
[Avant la cérémonie, sur le parvis de la cathédrale]


Et un carosse de plus à garer à Reims... Dieu qu'il était content d'être Comte et pas cocher...

Pied à terre, tenue impeccable, et de foncer alors que les invités commençaient à entrer dans la cathédrale.

Sur sa gauche, une silhouette blonde qui attire son attention, confirmant par un sourire au fur et à mesure qu'il s'approchait l'identité de celle-ci. Se glissant sans bruit derrière elle, un baiser déposé sur l'épaule plus tard.


Bonjour Lily... et de lui sourire tendrement.

Je parie que tu m'attendais pour entrer? Viens, suis moi, on va se faire annoncer auprès des huissiers...

Après avoir suivi la procédure 112F visant à se présenter à l'huissier B14, patte blanche montrée, les voici introduits dans la cathédrale, le Comte du Périgord Angoumois et sa fiancée installés dans la tribune d'honneur, ils seraient bien placés pour assister au sacre. Ne restait plus qu'à attendre l'arrivée de Louis.



[Pendant la cérémonie]

La cérémonie suivait son cours, voyant le défilé des officiels, avant de voir le Roy faire son entrée, majestueux, fidèle à lui même, accompagné de son amie de toujours, la Reyne.

Les discours s'enchainèrent, jusqu'à la prestation de serment du Souverain.

La remise des régalias allait commencer.

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