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[RP - 18/04] Cathédrale - Sacre de Sa Majesté Vonafred

Alexandre*
Bueno .. décidez-vous ! Ou je suis notée sur vos parchemins, auquel cas nous allons nous installer, ou je ne le suis pas et auquel cas nous passons quand même après que j’ ai hurlé un mot que notre Roy reconnaîtra entre mille ! ¡ Creame, valdría más evitar esto ! (croyez-moi il vaudrait mieux éviter ceci)
Vous faut quoi pour me croire ? Je ne présente pas assez bien ? Je ne vous ai pas donné tous mes titres et fonctions ? J’espère que vous parlez espagnol señor …


Tatati... Tatata...Le Premier Huissier de France était habitué aux personnes qui s'offusquait de ne pas être reconnu, ou de ne pas pouvoir assister à la cérémonie sur les genoux du Roy.

Il leva ses yeux sur la Dame d'un air de dire si tu comptes passer faudra me passer sur le corps, et refixa sa liste se disant à lui même


Si au moins cette liste était lisible et les gens dans l'ordre alphabétique.

Pointant du doigt et descendant les nom au fur et a mesure

Eony...Eony....

Et soudain le miracle...normal dans une cathedrale me direz vous...

Eony...oui je vous ai là....Z'etes même une invitée du Roy

un peu géné le prime Huissier mais il avait fait que son travail


Vous allez avoir une place de choix avec les Evèques, derrière les Grands Feudataires du Royaume

Place de choix mais pas si prés que cela. Il lui montra la place en l'accompagnant

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Hellvyra
La médicastre de l'Ordre Teutonique avait quitté la Commanderie avec ses Frères et Sœurs. Nouvellement mère, elle avait dû laisser à regret son fils à sa nourrice. Dans son armure, portant fièrement la cape Blanche frappée de la Croix Noire Teutonique, Hellvyra galopait aux cotés de son mari, le Chevalier Hobb VonKorwald. La route avait été longue mais sans encombre.

Ils arrivèrent enfin dans la grande ville pour rendre honneur à leur Frère Vonafred, maintenant Roy de France. La dame aux cheveux sombre avait été si fière lorsqu'elle avait eu connaissance de la merveilleuse nouvelle. Homme de Foy, le Roy avait toujours été un homme de combat, toujours prêt sur le terrain. Homme de parole, il n'avait jamais déçu les Teutoniques.
Elle fit son signe de croix en pensant à lui.

Que Dieu le Protège! Que Dieu protège le Roy de France!

Et elle cria haut et fort avec le reste de la troupe.

DEUS MANUM DUCIT!

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A toi pour toujours...
Lekaiser
Alors qu'il s'était installé parmi les siens, LeKaiser assistait au sacre du Roy. N'aurait-il eu de perception de ses deux yeux qu'il aurait tout de même reconnu l'homme. Des paroles propres au Vonafred Salmo Salar qu'il ne connaissait que trop bien. Icelles qui lui avaient valu la reconnaissance du peuple périgourdin, en le portant au trône comtal maintes foys. Icelles qui lui permettaient aujourd'hui d'accéder au trône royal. Icelles qui lui permettraient demain de gouverner le Royaume de France, de porter la voix du Roy, sans l'ombre d'un doute quant à sa légitimité d'exercer : comme le nouveau Souverain du Royaume de France.

LeKaiser aurait eu vue suffisamment aguisée qu'il aurait reconnu des confrères de tous horizons. Il n'en était hélas point le cas. La foule réunie & l'unicité de l'évènement ne lui permettaient pas de puiser dans sa concentration pour réussir telle prouesse. Adoncques le baron souverain de Massy resta là, observateur hagard devant le spectacle qui s'offrait à lui.

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Bouchenbiais
Elle l'a bien vu! Dans un soupire de soulagement, le cathare albigeois lui sourit et hoche la tête.

Le Bonjour ma Sœur!!

Mais sitôt les salutations faites, Eony s'inquiète de ne pouvoir entrer. Elle porte à nouveau toute son attention sur l'huissier, lui même plongé dans la lecture de sa liste. Bouche apprend alors qu'elle est parente de Sa Majesté et reste un peu pantois.

Il n'a ni titres, ni fiefs, ni aucun lien de parenté et il comprend fort bien qu'en ce jour particulier, les mondes ne peuvent se croiser librement.

Son amie se doit d'être présente auprès de Sa Majesté et il n'a ni le cœur, ni le courage de la retenir. Il lui fait signe qu'il s'éclipse pour la laisser en paix.


J'aurai grand plaisir à vous revoir prochainement! A bientôt!


Des murmures confus proviennent de l'intérieur et Bouche comprend que le Roy vient de prêter serment!!

VIVE LE ROY!! VIVE LE ROY!!
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"Œil pour œil et le monde entier finira aveugle!" GANDHI
Melian
[Sur le parvis avec sa moitié et la délégation de l'OCF/Temple/Santiago]


Le voyage avait été long mais finalement ils étaient arrivés pour ce jour important pour la France qui se voyait dotée d'un nouveau Souverain. Suivant les leurs tranquillement, le couple s'était présenté pour ne pas inquiéter la sécurité, et attendait que le regroupement général s'achève pour entrer et prendre place.
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Khaliama
Une lignée soldatesque mélangée des différents OR, servait quasiment de corridor à l'entrée ou sortie des invités et du futur Roy. L'organisation de la sécurité avait placé la blanche en intérieur pour la surveillance, juste là en cordeau pour éviter à la populace d'entrer.

Depuis le premier sacre auquel elle avait assisté, il s'avérait qu'il y avait toujours autant de monde. Toutefois, la situation était différente pour l'esquire. Elle avait sous son aile une jeunette de la commanderie à ses côtés. Agatha, sa soeur et cousine l'accompagnait dans la formation. Les deux plus anciennes encadrant la futur apprentie, avaient ainsi former un trio qui avait écumées les ruelles alentours de la cathédrale la nuit précédente. Des petits conseils lors de la surveillance des lieux la veille avait laissé place à des consignes au moment de la mise en place pour la cérémonie. Puis elles avaient profiter de leur point de vue pour admirer toilettes et personnalités.

La première qu'elle avait pu repérer fut Sakurahime, la blanche des blanches. Elle avait regardé Agatha en lui faisant un clin d'oeil puis murmurant à l'oreille de Melina...
"là tu connais...". Tour à tour les invités étaient arrivés et plusieurs visages furent reconnues par Khaliama. De la Maréchal de France, en passant par Sire Meleagre ; Alandrisse fille de sa suzeraine ; Souveraine puis Armoria, à Lucie, une des chevaliers de l'ordre des Dames Blanches etc... Elle glissait à chaque fois une petite phrase à Melina pour qu'elle se repère un peu dans tous ces visages. Et la blanche profitait aussi des commentaires de ses soeurs.

Puis le futur Roy était entré et la cérémonie avait débuté. L'assemblée bien que nombreuse avait commencé à faire silence pour écouter. Des petits mots plus explicite était venus étayer la surveillance... dont un d'Atalante... mais tout semblait se passer au mieux.
Enfin, disons presque tout. Depuis plusieurs minutes maintenant, il semblait que son flanc droit était légèrement poussé. Elle regarda Melina du coin de l'oeil mais rien de son côté ne semblait la perturber dans l'écoute du serment du Roy. Pensant que la foule avait eu un petit mouvement derrière elle, elle recula d'un demi pas brusque pour repousser ce qui tentait de la faire avancer. Elle eu un petit moment d'apaisement quand ce fut son genou qui semblait résister...

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[en reconstruction]
Fred


[Avant l’arrivée du couple Royal]



Il était venu le temps de prendre la route, le couple Giffard-Puycharic-Castelviray devait se rendre à Reims pour le Sacre du nouveau Souverain. Ils auraient pu faire le chemin sur le dos de leur monture cependant, le Vicomte avait insisté pour prendre le coche. Le voyage en serait plus agréable surtout pour elle. De plus elle pouvait de ce fait, profiter des bras du brun, de son SG. Elle pouvait également profiter de cette main que le Castelviray déposait naturellement sur son ventre qu’il câline tendrement. Il savait que cela lui faisait du bien à elle puis également à ce petit être qui venait se blottir sous sa main.

Cependant, un voyage de la sorte n’est pas des plus reposants. Fort heureusement qu’ils n’étaient pas partis trop tard, ils avaient encore le temps pour aller se reposer dans un des hôtels de Reims. Le couple en avait profité pour trouver un calme avant de se rendre dans la Cathédrale Notre-Dame de Reims, ils en avaient profité afin de gagner cet apaisement qu’ils arrivent à trouver uniquement lorsqu’ils sont juste tous les deux, elle, blottie dans ses bras et lui la serrant, profitant de respirer son doux parfum. Cependant, c’est lors de ces moments qu’on a l’impression que le temps s’arrête alors qu’il file à grande vitesse. Oui il était l’heure, l’heure de se préparer et de s’y rendre. Il avait vêtu ses vêtements de Grand Maistre de l’Ordre du Saint Esprit, oui cela sera le moment idéal afin de montrer que cet Ordre reprend des couleurs, qu’un jour prochain il faudra à nouveau pouvoir compter sur eux. Dès leur descente du coche, le Vicomte proposa son bras pour l’aider à descendre, petit baiser tendre avant de s’avancer ensemble, La Blanche tenant son bras, bras qu’elle ne lâchera pas sans doute durant toute la cérémonie.

Le Castelviray regarda autour de lui, beaucoup de têtes connues. Il faut dire qu’à force de se rendre à Paris afin de remplir ses tâches de Secrétaire d’ Etat de Normandie, il en croisait du monde et puis il faut dire qu’il arpente ces couloirs depuis un certain moment maintenant. Lui n’était pas connu de tous, car fort discret, mais il les connaissait quasiment tous, de vue, de nom. Il salua le Cousin de sa douce Duchesse, Kéri, il fit également un signe de la tête en direction de ses frères du Saint Esprit accompagné d’un sourire fraternel. Grand sourire destiné à Leello la nouvelle Grand Maistre de l’Ordre des Hospitaliers. Une fois la cérémonie terminée, il en profitera pour aller la saluer en personne. Vrai que cela faisait bien longtemps qu’il n’avait plus pu converser avec elle.

Le Vicomte tourna son regard dans celui de sa compagne, sourire tendre qui ne quitta pas ses lèvres.

Et si nous allions prendre place vostre Grasce ?

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Delamark
Arambour avait cette expression morbide, comme s'ils allaient visiter catacombes ou endroits réellement peu glamour. Le brun balafré ne la comprendrait peut-être jamais sur cet aspect des choses car il s'agissait bien d'assister à un sacre crévindiou ! Et il n'aurait point rêvé mieux comme personne sacrée ce jour.

Ils entrèrent donc, se frayant un chemin avant l'arrivée du couple royal. A entendre les clameurs au-dehors qui résonnaient sous la nef centrale, cela ne devait point tarder. Le sentiment d'excitation allait crescendo pendant que le Dijonnais passait devant la flopée de nobles et officiers royaux -c'te classe-, reconnaissant la Baronne de Culan qu'il salua d'un léger signe de tête, façon de dire "J't'ai vue, coupine !". Il se fit par la suite indiquer son placement un peu au devant par une charmante noble dont il ne manquerait pas de faire plus ample connaissance une fois cela terminer. C'est ainsi qu'il abandonna la Démesquine pour rejoindre l'endroit où il était censé se trouver et qui n'était d'ailleurs qu'à quelques pas de son accompagnatrice bourguignonne.

Se trouver parmi les Evêques était toutefois troublant pour François, enfin, pour le grand pêcheur qu'il était et dont seul le Très-Haut pouvait témoigner. Encore heureux que le secret n'était pas éventé ! Objectif donc : faire bonne figure, et il se doutait bien qu'une paire d'yeux Fraiziens proférait menaces mortelles sur sa personne, et cette pensée le fit immanquablement sourire.


[Et vint l'entrée royale.]

Le Roy était là, dans toute sa grandeur, en compagnie de sa gracieuse Reyne.
Des "Vive le Roy !" fusèrent alors, comme issus d'un seul homme pour saluer le Souverain et Lieutenant du Très-Haut. Il était l'avenir du Royaume de France et tant d'espoirs reposaient sur sa seule personne.
La joie était intense, et elle était partagée. François porta avec attention son regard sur les Pairs et il reconnut la Chamilly mais, à son grand regret, et il avait beau la chercher, la Duchesse d'Auxerre avec ses magnifiques yeux de biche à faire fondre un iceberg sous l'ère glaciaire ne se trouvait point parmi eux. Avait-elle eu vent de sa venue et craignait-elle de ne point lui résister en ce jour ? Voilà qui était possible, sinon fort probable. Las, et quelque peu triste de ne pas avoir nouvelle occasion de se rincer l'oeil -ou de pouvoir obtenir quelque approche bien maligne-, il se surprit à admirer la garde royale à l'armure éclatante.
Presque tout semblait parfait, si ce n'est l'absence de la Princesse aux formes voluptueuses.

Le rituel commença et le Bourguignon observa la suite en silence, les yeux rivés sur le Saint Autel et sur Sa Majesté.
Et les premières paroles du serment se firent entendre, solennelles et pleines de sens.
Birdinflames
Birdy était arrivé, accompagné d'Eony et de leur fils, Lysandro. Le voyage, bien que long et fatigant, s'était bien passé.

Désormais aux portes, on avait tardé à leur accepter l'accès. Son épouse avait alors pris les choses en mains, parlant suffisamment fort pour que l'huissier et tout le monde porte son attention sur elle... Bouche et Pat étaient arrivés sur ces entrefaits, et Lysandro avait d'un seul coup disparu.

Tous étaient bien trop occupés pour qu'il s'ennuie à les prévenir, et puis, il songeait à régler l'affaire en toute discrétion.

S'il imaginait aisément dans quelle direction était parti le petit, il lui était difficile de traverser la foule.

Pardon... excusez-moi, pardon... Oui...

Bien conscient de déranger pas mal de monde, il avançait tant bien que mal.

Là, quelques pas devant, il aperçoit la petite tête blonde qu'il reconnaitrait entre milles... Deux pas, un pas... Et hop il l'attrape par les épaules... Regard et ton de réprimande...

Lysandro ! Nous te l'avons dit et répété... Tu ne pourras pas !

Tenant fermement son fils, il cherche déjà du regard Eony, qui doit sans doute s'inquiéter.
Sabotin
[Sur le parvis de la cathédrale avec les délégations OCF/Temple/Santiago]

Il avait été convenu que les délégations de l'Ordre des Chevaliers francs, de l'Ordre du Temple et aussi de l'Ordre de Santiago se retrouvent avant la cérémonie du sacre près de l'entrée de la Cathédrale pour se regrouper.

Malgré l'excitation contagieuse des jours de fêtes qui règnait dans cette ville et les difficultés d'y circuler même avec une escorte réduite à quelques écuyers, le regroupement de ces Ordres devait s'achever par l'arrivée des trois Grands Maistres respectifs, les chevaliers Sabotin, Haeven et Eleanore

Venus des quatre coins du Royaume tout ce beau monde s''était retrouvé pour ainsi dire à l'heure précise, il suffisait d'ailleurs d'un seul coup d'oeil pour observer que chacun avait plaisir de se retrouver, sentiment qui fut bientot gagné par l'impatience d'entrer dans la cathédrale. La voix du Grand Maistre Sabotin restait posée malgré la cohue :


- Nous voilà tous bien réunis comme nous en avions convenu. Je crois qu'on peut avancer maintenant...Dame Haeven je vous offre le confort de mon bras jusqu'à l'entrée de la cathédrale


En disant cela, il faillit éclater de rire, mais se demandait en même temps si Eleanore, sa fille bien aimée n'allait pas prendre ombrage de voir son père redoubler d'attention envers cette noble guerrière.

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Sabotin de la Marche Di Césarini
Grand Maistre de l'Ordre des Chevaliers francs
Chevalier de l'Ordre militaire d'Aristote dict "d'Isenduil"
--Rachid


Et le Maure du Vaisneau, qui n’était pas vraiment nain, tout du moins, pas plus grand qu’une femme de petite taille, était néanmoins pourvu d’une proportion plus que généreuse, en partie faite de muscle et de nerf. Circonférence gigantesque donc, il n’aurait pu envier un bœuf, et avançait avec insolence vers la sortie de la cathédrale.

Son pourpoint seyait parfaitement à sa carrure, mise en valeur presque outrageusement alors que le tissu noble dont l’avait paré son maitre se tendait. Il préférait d’habitude porter chemise large et braies du même acabit, mais une mission était une mission, et il se devait de l’acquitter dans les règles. Alors même si il se croyait ridicule, il ne se plaindrait pas.

Quelques pas, le voila aux portes de l’édifice, crispe la mâchoire et entreprend la descente du Parvis.
Une mission était une mission, et le de Vaisneau ne souffrirait pas qu’il échoue…
Kad
C'est sous bonne escorte, aux côtés de la radieuse Augerolles, que la cardinal d'Azayes avait rallié Reims afin d'assister au couronnement du roi Louis. Il devait être présent. Ce monarque n'était autre que l'un de ses anciens suzerains périgourdins, mais également un frère des ordres, ou encore la famille proche du vieux grincheux de Cap'tain. La garde épiscopale assurait son rôle aux abords & au sein de l'édifice. Franchissant le seuil de la cathédrale, il ne put réprimer un hochement de la tête sobre et succinct en directement de Monseigneur Asphodelle, qui signifiait clairement qu'il était fier d'elle, de la vielle comme de la jeune garde. Ils devraient se parler. Mais ce jour n'y était guère propice.

C'est non sans avoir remercié Augerolles de l'avoir mené jusqu'ici qu'il s'écarta d'icelle afin de rejoindre le collège des cardinaux s'amassant dans le transept nord. Un regard vers Atalante, "La Roche" du BA, qu'il avait repéré dans la foule. Et il vint se porter aux côtés du cardinal Bombadil, lui offrant de partager une fiole de goulue picole marquée de la croix et bénie par ses soins afin de se revigorer le cœur et les muscles transmis par le froid. Le regard rivé sur le monarque et le cardinal de Plantagenêt, son vieil acolyte, il s'enfonça dans son siège...

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Cyril Kad d'Azayes
- En re-construction -
Eleanor
[Sur le parvis de la cathédrale avec les délégations OCF/Temple/Santiago avant l'arrivée du couple royal]


Eleanor se tenait aux côtés de son père le Grand Maitre des Chevaliers Francs et de la Grand Maitre de l'Ordre du Temple sur le parvis de la cathédrale. Leurs délégations respectives devaient rentrer en premier et il avait été décidé auparavant que les trois Grands Maitres entreraient en dernier et ensemble.

Elle vit son père offrir son bras à Haeven et elle sourit en le voyant faire, il avait des réactions de vrai gamin dès qu'il était en présence de la Grand Maitre des Templiers. La Grand Maitre des Santiagos se plaça de l'autre côté et ils avancèrent afin d'entre dans le lieu saint.

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Eleanor de La Marche DiCésarini Cor Leonis

Grand Maitre de l'Ordre de Santiago
Wendoline
la Cathédrale se remplit à vue d'oeil, et en parlant d'oeil il est question dès à présent d'ouvrir le bon.

Les sens en alerte, droite comme un i, la paume de sa main droite sur le pommeau de son épée, son regard perçant surveille attentivement un à un les invités passant devant elle pour rejoindre la place qui leur est attribuée.

Un léger brouhaha, un bruit suffisamment reconnaissable pour deviner que le couple royal fait son entrée.

Impassible, son rôle du jour ne lui octroyant aucun laisser aller, elle s'amuse intérieurement néanmoins. Tous ces visages connus, ces nobles venus de toute part du royaume, seul Thibaud lui a rendu son sourire.

Qu'importe, on attend d'elle que le Guet Royal qu'elle représente soit à la hauteur. De l'autre côté, son Lieutenant lui adresse un rapide signe de tête voulant dire
"cette fois-ci on y est".
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Rehael
Rehael avait hoché la tête lorsque le Roy acheva de prononcer le serment. C'était un moment fort, car c'est en cet instant que le Souverain s'engageait à renouveler l'alliance entre Dieu et le Royaume.

Il était désormais temps aux Grands Officiers de remettre au Roy les attributs de sa charge, les regalias. Le Cardinal porta son regard sur eux, attendant qu'ils s'avancent.

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