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[RP - 18/04] Cathédrale - Sacre de Sa Majesté Vonafred

Doucebrise
Après un voyage rapide venant de Toulouse, Douce arrive devant la Cathédrale...
C'est la deuxième fois qu'elle vient en cet endroit si magnifique....admire cet édifice grandiose....puis cherche si un Frère ou Soeur du Saint-Sépulcre serait déjà arrivé...

Sa main appuyée sur le pommeau de son épée, Douce marche tranquillement en observant beaucoup de gens qui passent..et souvent repassent...
Elle aperçoit Liloia toute prête à surveiller....sourit et s'approche vite .
..

Bonjorn Liloia.... lui fait la bise..

C'est à cette place que nous allons rester.... me semble...presque "poireauter".... se marre un peu.....quoique..on peux peut-être faire les cents pas.... ne serais-je que pour se réchauffer....et en même temps surveiller.
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Pattricia
La fouille avait donc été faite dans les règles, aucun recoin de la cathédrale n'avait plus de secret pour la vindicative. La discrétion de la Garde Royale lui convenait tout à fait, mais elle ne pouvait s'empêcher de penser à tous ses frères d'armes qu'elle allait enfin retrouver depuis son retour de mission. Elle zieutait notamment du côté du St Sépulcre ou encore des Hospitaliers où elle savait avoir quelques connaissances.

Fidèles à ce qu'ils avaient été ensemble, ou encore sur des fronts différents, la jeune femme ne pouvait s'empêcher de repenser aux moments partagés, douloureux, et même parfois joyeux. Ce deuxième semestre de l'année 1460, resterait à jamais gravé dans les mémoires.

Son inspection touchait donc à sa fin, il lui fallait à présent ressortir de la Cathédrale et prendre son poste près des huissiers, leur prêter main forte était le rôle qui lui avait été dévolu en cas de désaccord ou encore de tentative quelconque visant à nuire au sacre de Sa Majesté, de quelque manière que ce soit.

En franchissant la porte, la môme au loup aperçoit sa grande chef, deux de ses anciennes Capitaines durant la dernière guerre et quelques Périgourdins qu'elle affectionne particulièrement. Un discret clin d’œil à une certaine Bergeracoise et la jeune femme avait déjà disparu pour prendre son poste...

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Liloia_de_baish
Bonjorn Douce Lui sourit et l'embrasse à son tour
Oui c'est ici qu'on nous a donné ordre de surveiller les personnes présentes sur le parvis. Nous devons être particulièrement vigilantes

Disant cela , je scrutai la foule du regard. Un sourire et un discret signe de la main à une belle de sa connaissance, qui déjà toute en discrétion a été prendre son poste. C'est le côté frustrant de cette mission, le fait de ne pouvoir aller saluer et discuter avec les personnes que l'on connait et que l'on apprécie. Il nous faut rester là, observer et observer encore, chercher le possible grain de sable qui ternirait cette cérémonie ... et intervenir si besoin. Pour le moment tout est calme, peu de foule encore sur le parvis. Des yeux je cherche le troisième Sépulcre qui doit nous rejoindre et pour lequel j'ai une affection toute particulière. Sourire.

Je ne sais pas si on peut faire les cent pas , Douce. regarde là bas de l'autre côté , il y a un garde hospitalier si je ne me trompe pas. Il est arrivé en même temps que moi ce matin. Il vaut certainement mieux ne pas trop nous éloigner...
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Nergal
Adossé au pilier gauche coupant le cordon de sécurité, les bras croisés et l’œil attentif, le jeune Frère du Saint Sépulcre embrassait du regard l'endroit qui serait d'ici peu noir de monde dès l'ouverture des portes à la populace. Rien n'avait été laissé au hasard en ce jour, comme à chaque fois qu'une tête allait être couronnée ycelieu. Discret signe de tête en guise de salut à Pattricia, croisée la veille lors de l'inspection de la cathédral, et rapide coup d’œil aux autres soldats présent. Garde ou pas, si l'un d'eux s'avérait avoir un comportement suspect voir dangereux pendant la cérémonie, il n'hésiterait pas à l’assommer avec l'un des candélabres des environs.
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Mieux vaut avoir la bière dans le corps que le corps dans la bière.
Bardor
[Avant l'ouverture des portes et l'entrée des invités ]

Bardor qui avait reçu sa mission, la plus digne qu'il ai eu dans sa vie. Assurer le sacrement du Roy, c'était pas rien quand même.

Il portait fierement la couleur de sa vidamie recouverte de sa brigantine. Le froid ne lui faisait pas grand mal, ses doigt était couvert par les épais gants de cuir pontifical.

Arrivant devant la garde Royal il déclina son identité en montrant son insigne de Cadet de la garde Épiscopal. Puis en entrant dans la grande pièce, il fut étonner de ne pas sentir l’encens traditionnel, mais plutôt le doux parfum des fleurs.

Il faisait déjà bien plus chaud dans cette pièce certes.
Il salua de la tête les camarades de la garde Royal et ceux de l'ordre de saint Jean. Puis fit un signe discret au autres garde Épiscopal.

Se positionna à sa place, les jambes campé, mains dans le dos et le menton bien droit.


[Après l'ouverture des portes ]

Il guettait sans pour autant dévisager les personnes rentrant dans la cathédrale.
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Aldraien
Jour J, intérieur de la cathédrale.

La veille avait été consacrée à l'inspection de la cathédrale et à l'organisation de la défense pour le lendemain. La Malemort, responsable de placer les Licornes, avait pris contact avec la Grand Maitre des Hospitaliers afin que tout soit fait dans les Règles ; ensemble elles avaient décidé de la place qu'occuperaient les quelques Licornes présentes et établi un plan afin que tous puissent mieux se repérer. La collaboration entre Licornes et Hospitaliers semblait au beau fixe et tant mieux, la rivalité qui les opposait lorsqu'Ursin était à la tête de l'Ordre de Saint Jean n'avait que trop duré.
Elle avait même profité de l'entrevue pour relancer son idée de traité avec le Limousin & la Marche, on est diplomate ou on ne l'est pas.

Quelques heures de repos bien mérité leurs avaient été accordées et c'est presque en la bénissant que la Malemort avait rejoint l'auberge, pour s'affaler dans le premier lit venu.
Elle n'avait pas besoin d'un appartement digne du Louvre pour s'endormir aussitôt, tant la fatigue du voyage et de l'inspection cumulés avait eu raison d'elle ; pourtant, à l'heure convenue, elle était fraiche et dispo au lieu convenu, à l'intérieur de la Capitale. Les postes ayant été distribués la veille, elle pouvait sans mal rejoindre le sien sans avoir à chercher ses frères et soeurs pour la dernière mise au point : Ils savaient tous ce qui devait être fait aujourd'hui.

Epée de cérémonie au côté, la garde enrubannée avec un tissu violet, elle se tenait sur le côté gauche de la nef, droite et digne, la main senestre reposant sur le pommeau.
Toute la noblesse du Royaume de France serait présente aujourd'hui, ou peu s'en faut, et elle comptait bien veiller à ce que tout se passe bien. De sa place, elle pouvait avoir un oeil ou presque sur l'ensemble de la cathédrale et sur les Licornes présentes dans l'édifice sain, exceptées celles qui étaient en hauteur.

Maintenant...attendre et observer.

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Ayena
    Ira, ira pas ? Ira. Les dés avaient parlés.

    Le dernier sacre auquel Ayena avait assisté était celui de Feue Béatrice. Temps regretté que celui où elle était Officier Royal. Aujourd'hui, Ayena revenait à Reims en ayant pris du galon, comprenez quelques pierres de plus à sa couronne. Elle était aussi, accessoirement, Dame de compagnie de SM La Reyne, mais de cela, sans nouvelles depuis quelques temps puisqu'elle s'était retirée en Lengadoc près de son époux tout neuf, elle n'était plus certaine. Elle avait voulu bien faire, demandé quel était le dress code pour la Maison Privée. Mais n'avait reçu aucune réponse. C'est donc sans même avoir pris contact avec Leurs Majestées en ce jour si épouvantable à vivre que la jeune Vescomtessa se présenta à Reims et plus encore à la cathédrale. Mauvais poil... Peut être.

    Elle se faufila en boitant parmi la foule et chercha, perdue, une tête connue. D'autres Dames de compagnie ? Un Huissier qui la reconnaitrai en hommage à la vieille époque où ils avaient été collègues ? La foule, la foule... Rha.

    La jeune femme, qui avait un jour aimé la vie de la Cour, se rendait compte à présent qu'elle se sentait étrangère à ce monde là. il était loin son pays à elle, celui du soleil et de l'accent chantant... Oh, il y aurait sans doutes d'Euphor ou La Froide dans l'assemblée. Mais Pairs, ils ne verraient sans doute pas Ayena, noble parmi les nobles et bien seule au demeurant. Mais Grand Dieu, avec qui causerait-elle pour faire passer le temps ?

    Au moins, elle faisait acte de présence. Viendrait plus tard les moments de parler de ce qu'elle fichait bien là.




    Le froufrous de sa robe made by DECO la suivant, la jeune femme et son œil de couturière avisé commença à faire le tour, espérant pouvoir parler de cette cérémonie dans un futur article de la Guilde des Fines Aiguilles.

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>Sponsor officiel d'Ayena__
Héraldique
Emma.
[Avant Ouverture des Portes..]


Elle avait rejoint Reims en une nuit, au coté de son parrain Wil, sa tenue était exemplaire, et elle se tenait bien droite, un grand jour se profilait, celui du Sacre du Roy.

Son regard parcourait les alentours, à l'affut de la moindre chose, elle esquissa un sourire à Wil, puis elle porta son regard vers les hauteurs de la Cathédrale immensité, et beauté à la fois, elle ne l’avait jamais vu de prés cela serait un grand jour


Elle suivit de prés son parrain, montra son appartenance à la Garde Épiscopale et entra à son tour dans l'édifice, repéra en un coup d’œil sa place, et fit le Salut Militaire à Monseigneur Asphodelle déjà présente sur les lieux.


Puis rejoignit sa place silencieuse, entendant déjà les cloches annonçant le début de la cérémonie.

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Meleagre
Sous les yeux du Normand, le troupeau commença à entrer dans la cathédrale. Troupeau était bien le terme en effet...

Il acquiesça d'un signe de tête aux recommandations de Leello, puis força son esprit à rester attentif.
Et son corps à se préparer à cette journée... Parce qu'ils allaient devoir rester debout, dans cet édifice qui ne semblait jamais garder la moindre chaleur, des heures durant...

Son regard se porta donc sur les divers arrivants.
Souriant à ceux qu'il connaissait, souriant un peu moins à ceux qu'ils ne connaissaient pas.
Après tout on lui avait pas dit d'être débordant de bonheur et d'une affabilité sans failles.

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Alandrisse
Le jour du Sacre était enfin là, tout le monde portait ses plus beaux linges, sans compter les parures qui ornaient les cous des invités. Cette fois-ci la brune avait choisi de venir seule, ce qui n’était pas plus mal, elle allait de toute manière croiser tous ceux qu’elle connaissait lors de cette cérémonie. Son véhicule s’arrêta suffisamment loin pour éviter de piétiner le monde qui s’agglutinait devant la cathédrale. La brune préférait marcher, pour éviter les longueurs interminables dans un carrosse qui n’avançait que de trois sabots toutes les deux expirations de sa personne. Les mains sur le jupon de sa robe vermeille pour réussir à crapahuter les marches qui la séparait de son ultime but. La Montbazon réussit par un grand miracle à se hisser au sommet. Une bonne inspiration plus tard pour effacer les rougeurs qui devaient s’afficher sur ses joues, la brune pénétra dans le lieu saint.
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Zephir
[Avant l'ouverture des portes et l'entrée des invités ]


C’était une première pour le berrichon. Assister au couronnement de Vonafred. Il n’était pas là pour ce roy. Il était là en qualité de cadet de la garde épiscopale. Il prenait ce rôle très à cœur. C’était sa première mission.
La nuit fut courte. Il pensa à cette journée, à sa mission. Il ressentait une certaine pression. Il ne voulait surtout pas entacher la réputation de la garde. Il se leva aux aurores et se prépara. Sa tenue était impeccable. Sa tenue parfaitement tirée, ses bottes parfaitement propre.

Il arriva avec ses frères d’armes devant la cathédrale. Les membres de l’ordre Hospitalier de Saint Jean de Jérusalem assurait la sécurité aux abords et à l’entrée du saint monument. Une fois l’autorisation donnée, il entra aux ordres de son chef dans la cathédrales. Comme tout bon fidèle, il se signa en franchissant les lourdes portes. Le froid qui régnait transpercé tel des lames le corps du cadet. Il parcourra du regard l’édifice. Il était si grand que cela semblait presque inimaginable de la voir remplie, et pourtant il le sera d’ici quelques heures. Il écouta attentivement les dernières consignes qu’on lui donnait. Puis il alla se placer dans le chœur de la cathédrale, au niveau du transept. Il se mit prêt d'un pilier. Ainsi il serait discret mais aurait une bonne vision et rien ne perturberait une éventuel défense comme on le lui avait appris. Il se mit en position réglementaire. Le corps bien droit, les mains derrière le dos, le menton droit, les jambes bien campées. Il regarda les gardes prêt de lui. Maintenant que tout était prêt, il ne restait plus qu’à attendre l’ouverture des portes.


[Après l'ouverture des portes ]


A présent, la cathédrale prenait vie avec l’arrivée des spectateurs au couronnement. Zephir affichait un visage de cire. Il surveillait ce qui se passait avec sang froid qui le surprenait. La pression sera à son comble lorsque les hauts dignitaires de la sainte Eglise aristotélicienne et Romaine arriveront et prendront place car là était sa mission. Les protéger quel qu’en soit le prix.
Souveraine
De son poste de surveillance , La jeune Damiselà observe d'un oeil alerte. Tout semble bien tranquille.

Ses iris se posent tout au tour d'elle. Mémorisant ainsi le décor pour qu'elle puisse remarquée tout changement anodin.

Elle ne pu s’empêcher de regarder les robes et les étoffes de la noble assistance.
Si elle aurait pu assistée , elle aussi au Sacre en robe...elle aurait choisit le brocard argenté qu'elle a acquit il y a peu.

Elle bougonne dans son coin , se concentre sur ce qui se passe tout autour.

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**Cadette de Ordre Royal et Equestre du Saint Sépulcre**
Dandolo
"Nous aurons toujours Paris." Bien avant l'heure, la Capitale avait déjà ce je-ne-sais-quoi de romantisme pour David. Et les battements de son coeur se faisaient plus forts à chaque fois qu'il approchait d'un parvis. Devant celui de Notre-Dame, son amante ne lui avait-elle pas susurré "Où vous irez, j'irai"? Hum!

Mais aujourd'hui il n'est certes pas question de pèlerinage amoureux à Paris mais à Reims... Et l'homme avait dû laisser filer sa belle à son travail de Capitaine de la Garde Royale du côté du Palais du Tau tandis que, enfilant sa tenue et la posture du Grand Maitre, le Chevalier avait battu le rappel de ses frères et soeurs.

Du moins les plus traînards car certaines lève-tôt comme Liloia et Douce l'avait devancées sur les lieux. Salut simple à l'adresse des OSS et aux "GR" présents, de même qu'aux autres membres des Ordres Royaux connus de lui. Pour tout dire, David, légèrement blasé par ce genre d'exercice à la longue, serait volontiers resté dehors avec eux. Cela a un côté pratique infini: on peut se dégourdir les jambes, sortir une flasque de quelque alccol pour se la partager, s'enfiler un fruit ou un quignon de pain pendant la cérémonie, sans que cela dérange quiconque!

Mais, las, pas question de se mettre à un poste de tire-au-flanc, même en arguant du bénéfice de l'âge et qu'on en a assez fait de son temps... La place du Grand Maitre était naturellement plus en l'intérieur de l'édifice religieux.

Pas détendus qui le dirigent donc, un peu contraints tout de même, et le font passer au niveau de ses frères Loupa et Nergal.


Soyez vigilants et profitez bien!

Propos bref et de mise. De fait, il n'y a que deux personnes qui risquent réellement quelque chose dans un sacre: le couronnant et le couronné, dont la disparition ferait capoter l'affaire. Le reste? ... Peau-de-balle... Tout au plus un bel article à rédiger pour la KAP mais rien qui ne serait remettre en cause la Couronne. Par ailleurs, le Chevalier a de profonds doutes sur la capacité de malandrins à effectuer manoeuvre dans une Cathédrale, voire à simplement sortir une arme de quelque danger en plein milieu d'une foule, question d'espace. Enfin bref...

En attendant, notre Gascon va se porter vers l'avant de la nef, sur la gauche, là où l'escorte de la Garde Royale et son ange Stéphandra viendront se placer après avoir ramené leur "royal paquet".

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Armoria
Pourquoi être pair de France ? pouvait-on demander à Armoria. Et sa réponse aurait varié selon les jours et les occasions. Cette fois, elle aurait répondu sans hésiter : "Pour être dans les premiers à entrer dans la Cathédrale lors d'un sacre, et ainsi éviter d'avoir le fondement pris dans les glaces en attendant son tour".

Eh oui, c'était injuste. Les pairs, outre leur chaud manteau, étaient parmi les premiers à ne plus souffrir la bise hivernale sur le parvis. Notez que l'injustice changeait de côté en été, parce que le manteau de pair n'était pas à proprement parler un rempart contre la chaleur...

Enfin bon.

Quelques visages connus parmi les non privilégiés, dont Eloso, salué d'un sourire rapide et chaleureux - c'est toujours ça de pris, hein - et Anne, saluée itou.

Bleu, bleu, le ciel de Provenhenhenceuh...

Ah non, pardon.

Bleus, bleus, bleus, les pairs de Franhanhanceuh. Et à, à, à la queue-leu-leu.

Eh oui. Au début d'une de ces cérémonies dont on a une sainte horreur, on se distrait comme on peut, s'pas.

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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Nahysse
[A l’intérieur de la cathédrale, non loin des lourdes portes]



La petite baronne avait finit sa distribution de boutonnières et de bracelets de fleurs. Elle-même en portait un à son fin poignet. Et tandis que l’orgue cessait, les gardes prenaient place afin de marquer la délimitation peuple / invités. Nahysse s’empressa de remonter l’allée parallèle à la nef centrale afin de ne pas se retrouver engloutie par la foule qui se déversait en masse dans l’espace qui lui était réservé. D’un pas vif, elle finit par gagner sa place, celle qu’elle tiendrait jusqu’à la fin de la Cérémonie.
Et tandis que tous prenait place sur les bancs fraichement cirés, elle, restait debout, caducées de sa fonction par intérim en main, prête à intervenir si nécessaire.
De ses azurs, elle observait chaque invité, gravant les visages plus ou moins déjà connus dans sa mémoire. Comme c’était étrange de se trouver là à jouer ce rôle.
Sur son fin visage, les traits délicats ne laissaient rien paraître de la tension qui l’habitait.

Serait-elle à la hauteur ? Il le fallait.

Enfin, les conversations se turent pour laisser place à un murmure se communiquant comme le feu à la poudre. Lentement, la petite baronne se tourna vers l’entrée, laissant quelques boucles blondes caresser son épaule dénudée, répétant le même mouvement que bon nombre de personnes ayant pris place dans le lieu saint.
Le nouveau Souverain de France, Louis De Varenne Vonafred Salmo – Salar, accompagné de son épouse, et escorté par la Garde Royale, entra à son tour dans l’édifice religieux, et marchait vers sa destinée.

Le cœur battant, Nahysse observa le couple royal avancer dans l’allée principale. Ils resplendissaient de magnificence.
Ce jour était un grand jour pour eux, pour le Royaume de France tout entier.


Translation :
Phrase clef Acte II, étape I anglais : «The new Sovereign of France, Louis De Varenne Vonafred Salmo - Salar, accompanied with his wife, and escorted by the Royal guards, as his time came, entered into the Religion’s building and walked towards his destiny.»

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