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[RP - 18/04] Cathédrale - Sacre de Sa Majesté Vonafred

Liloia_de_baish
J'avais entendu de loin à l'intérieur de la cathédrale l'annonce de l'arrivée du Roy. Je guettais toutes les personnes qui entraient et ceux qui regardaient , amassés autour.

Rien ne me semblait suspect. je vis passer Sha et notre Grand Maitre, un sourire , un petit salut et les voilà déjà disparus dans la foule. Foule qui petit à petit se tarissait , peut-être les portes allaient elles être bientôt fermées.

Je continuai à scruter les lieux comme on nous avait appris à le faire lors de nos nombreuses gardes. Capitaine Douce était toujours à mes côtés, présence rassurante.

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Bibiche75
[Avant l'ouverture des portes et l'entrée des invités ]

Un nouvel ordre de mission. Bibiche avait galopé de Montpellier où elle résidait le plus clair de son temps jusqu'à Reims où allait se tenir le sacre de Vonafred, le nouveau Roy. A l'instar d'autres ordres royaux, la Garde Épiscopale avait reçu l'honneur de s'occuper de la sécurité de la cathédrale durant la cérémonie.

Quelle responsabilité pour les Gardes! Une fois arrivée en ville, Bibiche prit un soin tout particulier à sa tenue. Il ne fallait surtout pas que quoi que ce soit clochât..
A l'aide d'un peigne en écaille, elle avait tiré ses cheveux bien en arrière pour en former un chignon bien serré sous une toile de cuir. Ils n'allaient pas à un bal et surtout, ils n'étaient pas les invités du futur Roy. Contrairement à ses habitudes, la jeune fille ne se maquilla donc pas. Elle se devait de rester neutre.

La différence de température entre le sud et le nord surprit quelque peu la Nîmoise. Elle, si habituée à la chaleur du soleil, devait faire face à un vent glacial. Fort heureusement pour elle, elle portait son bel uniforme de la Vidamie de Narbonne qui la réchauffait et, pour sa sécurité personnelle, une brigandine dotée d'une cuirasse de cuir épais armé et d'un plastron sans manche. Ses petites mains étaient camouflées par des gants de cuir épais armé.
On ne rigolait pas avec la sécurité, chez les Gardes épiscopaux! Ils avaient tout l'attirail à la mode pour des meilleurs résultats. Bien qu'apparemment non armée, le Lieutenant dissimulait une dague de défense.

Elle avança vers l'entrée de la majestueuse cathédrale. Elle salua de manière très militaire les membres de tous les ordres présents qu'elle croisait. Bibiche déclina son identité et montra ensuite ses galons de Lieutenant à un membre de l'Ordre Hospitalier de Saint Jean de Jérusalem qui lui donna l'autorisation d'entrer.


[Après l'ouverture des portes ]

C'était une étrange et douce odeur de fleurs qui l'accueillit à l'intérieur du Saint Lieu. Les cloches résonnaient à tue-tête. Bibiche aperçut ses frères et sœurs d'armes postés aux endroits que Monseigneur Asphodelle leur avaient indiqué. Elle se dirigea donc vers la partie nord de la cathédrale rejoindre ses camarades les Lieutenant Victoire et Childeric et le Sergent Thymothy. Au passage, elle salua la Préfète Asphodelle en souriant discrètement et le capitaine Xena qui était non loin de là.

Dès qu'elle fut en place avec les autres Gardes, juste derrière les Cardinaux qui arrivaient, Bibiche salua le soldat de la Garde de l'Ordre Royal placé juste à sa droite. Elle mit ensuite ses bras derrière son dos, le corps bien droit et veilla à avoir une vision globale sur les bas-côtés tout en surveillant les arrières de ceux qui lui faisait face.

Le Futur Roy arrivait doucement, avec son épouse à son bras.....

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Aanor
La blonde qui passait la porte principale, suivant le majordome de la futur Reyne, mandaté par la princesse Louison, n'en menait plus bien large. L'édifice était déjà impressionnant de l'extérieur et l'intérieur l'était tout autant. Elle se sentit soudain si petite et perdue dans une assemblée qui ne lui était pas du tout familière.

Comme un clin d'oeil à sa suzeraine adorée, la future Reyne, elle avait opté pour une tenue qui rappelait les couleurs de Besné. Elle savait par expérience qu'il régnait toujours une certaine fraîcheur dans les édifice religieux et la cathédrale de Reims ne faisait pas exception à la règle. Elle ne regretta donc d'avoir pris avec elle sa lourde cape.




Essayant de ne pas se faire trop remarquer, elle suivit Cyprien dans l'édifice jusqu'à la princesse. Elle prit place à ses côtés. Ne pouvant résister à ses joues, elle y déposa un baiser empli d'affection avant de lui murmurer quelques mots.

Alors Votre Altesse, vous vous ennuyer de votre marraine adorée ?
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Yocto
Le recteur du Saint Sépulcre s'était joint dans un premier temps aux badauds venus assister au couronnement pour s'assurer qu'il n'y trouvait pas une mine familière de brigand ou d'ennemi de la Couronne.

Ce type de cérémonie lui était déjà familier et il savait qu'il était aisé de bien vite perturber ce type d'évennement pour certains avec ou sans l'aide d'un pachiderme quelconque.

Il identifia bien rapidement ses frères d'armes du Saint Sépulcre, les Gardes Royaux et des membres de la Licorne avec qui il avait partagé de longs mois pendant les derniers combats au service de feue la Reyne.
Il chercha du regard les Dames Blanches, mais elles semblaient affectées à l'autre aile du batiment qui avait été fort joliment orné de fleurs pour l'occasion.
Un bon nombre d'hospitaliers semblaient s'être donné rendez vous pour la cérémonie, mais il n'avait pas l'habitude de les croiser au service du Roy.

Voyant tous les convives commencer à rentrer, il s'approcha de Liloia son épouse et des autres membres du Saint Sépulcre.

Il les salua très brièvement et leur dit discrètement:


Je n'ai rien vu d'anormal jusqu'à présent. La cérémonie s'annonce sous de bons hospices on dirait. Il ne manque plus que la venue du Roy.
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Tugdual_de_joncheray
Parce qu'il y a des choses difficiles à comprendre, le jeune Joncheray s'était fait à l'idée ne plus poser de question. C'est donc sans en poser qu'il se rendit au sacre du Roy en compagnie du groupe hospitalier auquel il avait été assigné.

Le brouhaha se faisait de plus en plus grand au fur et à mesure que les personnes affluaient.

Après avoir pris place comme le Sénéchal de l'Ordre hospitalier le demandait, le jeune homme se concentra à ne pas bouger d'un poil: l'inspection commençait et il ne voulait certainement pas se faire tirer l'oreille en public.
Hansreudi
Le Balafré de Duc "qu'on sort" de Touraine avait fait préparé le coche pour filer avec la régnante du Duché au sacre de sa majesté à Reims. une chance qu'on ne l'avait pas surpris en train de donner quelques consignes quant au chargement des bagages, ou quant à la composition du panier garni qu'ils allaient avaler en route, sinon on lui aurait fait la remarque que le protocole....et défection. Il n'était pas du genre à rester les mains dans les poches, il ne l'avait jamais été. Le protocole il le mettrait en application en arrivant à Reims.

La voiture Ducale aux portières estampillées des armoiries du Duché, chargée des représentants de la Touraine, fila direction l'Orléannais et le Duché de Champagne. Une pose rapide dans un relais de poste pour changer les canassons, un repas vite avalé et c'était reparti.

La capitale du Duché de Champagne grouillait de monde, c'est au pas, entre badauds, curieux, hommes du peuples qui devaient s’affairer à leur taches quotidiennes, sacre ou pas sacre. Le Balafré passait de temps en temps la tête à l'extérieur avec cette envie de pousser une grosse bramé parce que ça ralentissait encore. Il ajusta sa tenue, regarda son épouse qui était resplendissante et belle comme une huile de Jan van Eyck.

Ils étaient enfin arrivés. La descente du coche se fit avec la plus grande difficulté, courbaturé par le voyage. Un étirement discret dans un coin, il donna le bras à son épouse pour assister à la cérémonie et ils entrèrent dans la cathédrale.

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Louison.
Et voilà le visage de la petite qui s'illumine, mission accomplie pour Cyprien.

Marraine ! Oui on s'ennuie ici, papa et maman n'arrivent pas.

Elle est contente, elle était seule avec ses accompagnants, Aristote seul savait où étaient les autres. Croiser Aanor sur le parvis avait été une chance, ne manquait plus que son duc préféré et la journée serait vraiment parfaite, quoi qu'un peu fraîche il fallait bien l'admettre.

Il faut être sage marraine, c'est Cunégonde qui l'a dit...

Et elle attrapa la main de sa marraine, ne plus la lâcher tant que la cérémonie ne serait pas terminée.
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Doucebrise
Douce passe tout son temps à surveiller la foule qui avance vers la Cathédrale....surtout les gamins qui galopent partout...

Au passage admire les belles robes, toutes ces soieries, de superbes bijoux, toutes ces grandes Dames ont fait le maximun pour être les plus belles de cette assemblée...

Elle remarque d'un oeil rapide que beaucoup de Gardes, pas très loin de nous, sont surtout des gardes Hospitaliers; Ils se sont tous donnés rendez vous ici sûrement...

Aperçoit Frère Yocto qui nous rejoint à notre poste de garde, le salue discrètement ....puis continue tranquillement sa surveillance toujours au côté de Liloia...

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Bouchenbiais
Le voyage avait été long et éprouvant mais il est arrivé entier et dans les temps. Mordiouss! Quelle foule! Il s'y attendait mais tout de même! Tant de gentes dames et de seigneurs, tous les badauds qui se pressent pour contempler Sa Majesté.

Bien entendu, en homme du peuple, il ne pourra pas accéder à la Cathédrale car toutes les places sont prises et réservées pour les Grands du Royaume, mais peu lui importe. Il a promis d'être là et c'est tout ce qui compte. Il pousse un peu du coude pour se faufiler au plus près du parvis avec le seul espoir que son Roy pourra l'apercevoir, le reconnaître et juger de sa fidélité sans faille.

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"Œil pour œil et le monde entier finira aveugle!" GANDHI
Tsampa
Tabard. Le Roy d'Armes avait été clair. Et quand Ingeburge proposait, il était toujours de bon ton de comprendre cela comme une imposition. Alençon avait donc passablement limité les effets contenus dans la malle destinée au sacre. Puisque tenue officielle il fallait, tenue officielle se serait.
Jusqu'à ce qu'un homme à la tenue armoriée aux couleur de la petite Josselinière arrive, encombré d'une robe, cadeau de la demoiselle.
Et là, dilemne, ne pas la porter serait un affront à celle qui offrait, accepter serait affronter la patronne de la hérauderie. Et les affrontements, elle réservait ça au conseil ducal, parce qu'elle savait les gens prompts à monter dans l'agacement aussi bien que le lait sur le feu, sans même qu'elle ne souffle sur les braises. Et ce petit plaisir là, elle se le réserve, comme dessert après ses séjours parisiens. Donc...

C'est une Tsampa vêtue d'une bien étrange manière qui passa les portes de la cathédrale, au bras de son époux. La robe de sable et d'azur, recouverte a demi par le tabard héraldique si cher à son cœur. Assise l'on y verrait rien, et debout, au vue du frimas printanier, sa cape masquerait l'incongruité de la chose. Il serait temps plus tard de poser le tabard.

Saluts de circonstance aux personnes connues qu'elle croise. Hochement de tête au nouveau surintendant des finances, qu'elle a connu maire, il y avait ... pfiouuu longtemps. sourcil levé, interrogateur, à Huon, qui n'a pas l'air d'être dans un grand jour. D'ailleurs, que fait-il, là, alors qu'il devrait être avec la maison royale?

Hop, les Montgommery s'installent, au milieu des hérauts, univers d'azurs et de lys dorés, classe hérautique au grand complet.

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Petitsuisse


Thibaud était là avec son groupe, ils avaient été postés a des lieux stratègiques. Tous guettaient, scrutaient le moindre mouvement, la moindre personnes.
Il reconnu quelques têtes qui lui étaient pas inconnues, malgré sa charge qu'il ne pouvait laissé il les salua d'un hochement de tête rapide.

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Miquette



S'étant placée à l'endroit qu'on lui avait attribué, la jeune Hospitalière restait figée sur ses jambes, les bras croisés dans son dos. Seul son regard scrutait les lieux, regards vers les personnes qui passaient et surtout celles qui ne bougeaient pas. Attendaient elles quelqu'un en particulier ou préparaient elles quelque chose ?

Son regard croisa celui de Patoune, un léger sourire s'afficha pour répondre à son clin d’œil et voilà qu'elle avait disparu. Toujours sur la brèche la miss...

Elle reprit son inspection méticuleuse, par les yeux bien sur, de la foule qui entrait, essayant d'apercevoir son frère, son époux de temps à autres, mais avec tout ce monde impossible...
C'est alors que le couple royal fit son apparition, la cérémonie allait donc bientôt commencer.

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Maximien


Un p'tit sourire au couple orléaniste qui venais de passer, sa sœur hospitalière vains à son niveau, il l’appréciais beaucoup, donc un brin de causette entre deux observation de la foule ne le gênerais point.

Et bien, ma charmante Soeur Della accompagner de son époux le duc d'Orléans Kéridil d'Amahir-Euphor. Ils sont tres charmants tous les deux


Lui dit il dans un de ses beau sourire adonissien
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Anne_blanche
De l'art de s'ennuyer avec sérieux.

Déjà, debout, c'était un peu moins ennuyeux. Tout aussi froid, mais moins ennuyeux. Anne se divertit à regarder passer la foule des inconnus et le petit groupe de personnes connues et appréciées. Elle salua discrètement la blonde Altesse, la dame en rouge, quelques pairs et quelques officiers, grands ou non, s'arrangea pour être follement intéressée par un pan de son manteau vert coincé entre deux chaises au moment où passèrent les gens qu'elle souhaitait ignorer, et finit par se rasseoir.
Moins ennuyeux, le spectacle, mais tout de même assommant au possible.

Que fait une baronne éprise de lettres, de langues vivantes ou mortes, et avant tout d'économie quand elle se trouve contrainte d'assister à une cérémonie ?
Elle se tient assise toute droite sur sa chaise et se passe dans la tête une litanie de chiffres, d'abord en françoys, puis dans d'autres langages. Ça donne des choses assez savoureuses, quand on joue à mélanger les lexiques, quand "two due" - deux deux- devient "tu Doué" -du côté de Dieu- et ça amène par réflexe des sourires que les passants s'imaginent faits pour eux. Très pratique, vraiment.

Enfin l'on annonça le roi.
Anne en était à chercher des correspondances pour "ten zehn dez dieci", et n'en trouvait pas. L'inspiration la boudait. Donc, l'arrivée du roi, c'était une aubaine. Hop ! on efface le sourire niais qui flotte encore depuis le "nine neun" imprononçable sans faire sonner les "N" comme une enrhumée, et sérieux, maintenant.

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En attente.
Aurelien87


C'est dans un ruelle adjacente à la cathédrale que le carosse du Grand Aumonier s'engoufra ce matin là. Plutot que de perdre un temps précieux à passer par le grand parvis et se voir arrété tous les 3 pas, par moultes connaissances, le Grand Aumonier préféra prendre l'entrée de service. il arriverait ainsi directement dans les couloirs menant à la sacristie et aurrait largement le temps de se péparer. Il salua ls gardes qui étaient également postés à cette entrée très discrète, puis se rendit dans la sacristie, à la rencontre des autres prélats devant officier.
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