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[RP - 18/04] Cathédrale - Sacre de Sa Majesté Vonafred

Ramon
[Dans le groupe de l'ordre teutonique]

L'ordensmarschall se tenait derrière l'hochmeister qui chevauchait devant en compagnie de Bender. Il était fier de pouvoir ne serait ce que par sa présence honorer le futur roi de France. Il avait d'ailleurs pour l'occasion préparé lui même Bucéphale et pris soin de revetir et d'ajuster comme il se devait sa tenu de cérémonie.
Le bannière frappait de la croix jaune les devançait et ramon le regarda un instant avant que le groupe ne stoppe.
La foule maintenant s'amoncelait et le borgne pu remarqué que le carrosse royale passait à présent devant eux.
Il reprit avec ses frères à l'initiative de l'Hochmeister:


-DEUS MANUM DUCIT
Childebert




Le vieux cardinal avait en charge toute la musique pour le sacre. Il arriva donc fort avant l'heure, pour placer les chantres et les musiciens dans les stalles et tribunes qui leur étaient réservées. Après une ultime répétition, il leur fit quelques recommandations puis guetta l'ouverture des portes. Les Grands Officiers, les Pairs et les cardinaux allaient faire lur entrée. Childebert prit son poste de Maitre de Chapelle, et commenca à faire exécuter une musique de circonstance.
Nahysse
Au fur et à mesure que Ses Majestés avançaient, accompagnés de la garde qui se déployait autour d’Elles telle une corole de fleur, la boule d’angoisse qui habitait son ventre se contracta de plus belle. C’était le premier sacre auquel elle participait de A à Z et voilà qu’elle tenait le rôle principal. Autant dire que la petite blonde était au bord de l’évanouissement. Elle n’en montrait rien néanmoins et restait droite, le menton relevé.
Ses azurs croisèrent le regard bienveillant de Meileen qui tenta vainement de la rassurer.
Une fois Ses Majestés devant l’autel, face aux officiants, un silence s’imposa marquant là toute la solennité du moment.
Alors la petite baronne jouant son rôle de Grand Maître des Cérémonies, s'approcha de Primus Inter Pares, Sa Seigneurie Melior de Lioure, pour l’inviter à prononcer son discours.
Elle lança ensuite un sourire à son oncle Rehael. Ce serait ensuite son tour.



Translation :
« The Great Master of the ceremonies of France approached the Primus Inter Pares, her lordship Melior de Lioure, to invite her to give her speech. »

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Deedlitt
Deedlitt avait fait le voyage, elle était bien contente, car cette fois, elle se rendait à la cérémonie avec sa cousine. Et ça c'était une fichtrement bonne nouvelle, sans doute qu'elles ne seraient pas placées à coté à l'intérieur, mais qui sait qui ne tente rien n'a rien.
Elle était souriante, car sa cousine lui avait promis une entrevue avec sa majesté la Reyne plus tard dans la journée, une histoire de pari, cela la fît sourire, elle ne savait pas tout, mais elle faisait confiance à Dotch.

Les deux cousines avaient planifié la chose, ce soir après la cérémonie, Dotch accueillerait sa cousine dans l'appartement qui était à sa disposition au Louvre. Cela lui faisait afficher un large sourire sur le visage. Cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas passé un bon moment lors d'une intronisation, sacre et autre réjouissance.

La dernière en date était celle de sa cousine. Elles avaient pu envoyer de la tarte au gingembre à leur cousin, empoisonnée la tarte, par définition elles sont toujours empoisonnées les tartes de sa filleule, pas de sa faute à la pauvre petite, mais sa mère avait une prédisposition pour ce genre de chose, elle avait du le transmettre. Un regard vers les vitraux de la cathédrale, "Ylalang du haut de ta lune si tu vois ça tu dois bien rire", se dit-elle pour elle même.
Un soupir en repensant à tout cela. Puis elle partit en chasse de sa place, faisant signe à sa cousine qu'elles se retrouveraient après.

Déjà le couple royal arrivait. Elle observa avec attention ce qui allait se passer.

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Bender.b.rodriguez
[Dans le groupe de l'ordre teutonique]

Le Grand chapelain de l'Ordre Teutonique, second et chef religieux de la confrérie, élu chevalier par ses pairs, chevauchait aux côtés de l'hochmeister Makcimus et juste devant l'ordenmarschall Ramon. L'ordre était au garde à vous, chacune et chacun devait ressentir ferveur et fierté de voir l'un des leurs embrasser le rang de souverain de la nation. Le carrosse Royal passait ainsi sous leurs yeux. Les plumes de faisans ornant leurs casques, les étendards Teutoniques flottant au gré des courants d'air et les bannières de l'Ordre claquant au vent, Bender vivait ici un moment particulier qu'il pensait être certainement le seul qu'il pourrait voir de sa vie. A l'unisson, il reprit avec les siens :

-"Deus Manum Ducit !"

Ces trois mots qui pour beaucoup ne signifiait rien ou pour un grand nombre n'étaient pas compréhensibles portaient une charge sans pareille pour chaque frère ou sœur teutonique. Dieu guide ma main. Une devise qui ornait chaque bouclier d'arme, qui était inscrit dans le cœur de chaque membre, du plus jeune au plus ancien, du simple aspirant au plus gradé. Cette devise était tout ce qui illuminait la vie de ces membres. Non loin derrière lui, le prêtre eut un regard pour la jeune Lore qui devait subir une épreuve terrible en cet instant. IL essayait depuis déjà longtemps de calmer sa souffrance et d’amoindrir les cicatrices laissées béantes par une blessure profonde qui l'avait marquée au fer rouge. Il eut un sourire de compassion à son égard, comme si le fait qu'elle soit là était déjà un grand pas pour elle dans cette guérison nécessaire.

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Alieniore
Et un navire qui amarre, deux navires amarrent , trois navires .. Et une amirale qui arrive .. en retard. Mais pas trop. Juste le temps de passer dans une auberge pour se rafraichir et se changer. Un carrosse pour faire bien et elle arrive aprés le couple royal.
L'Amirale avait passé sa Saie de cérémonie qu'elle avait fait coudre spécialement pour le sacre de Vonafred.
Son baton druidique à la main , elle entra dans la cathédrale pieds nus comme il se devait et trouva un endroit pour se poster et suivre la cérémonie.



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Zoyah
[Avant l'arrivée du souverain]

On prend les mêmes – ou presque- et on recommence. Aussi étrange que cela puisse paraître, c'était le troisième Sacre pour la Baronne. Aussi, la cérémonie n'avait plus vraiment de secret pour elle, cependant la question du placement demeurait. Devait-elle s'asseoir suivant son rang, parmi la noblesse ? Ou bien selon celui de son cavalier parmi les invités, puisque Robins était un proche du roy ? Solidement accrochée à son chevalier servant, son bras enroulé autour du sien, une main liliale baguée d'un petit saphir venant se reposer sur l'avant-bras de l'homme, elle opta pour la solution de facilité. Confiante, elle s’abandonna donc aux mains de "Monsieur l'ami du roy"qui la dépassait d'une bonne tête et se laissa guider sans trop d’hésitation. Tandis qu'il la menait vers leurs places, silencieuse et souriante, elle observait les présents, en reconnaissant quelques uns auxquels elle adressa un fin sourire. Pour l’occasion, la luxuriante chevelure de jais était relevée en un chignon bas et abritée sous une résille argentée. Et selon l’habitude, des mèches rebelles ondulaient autour de son minois. Trop heureuse que sa robe azur made in « The Manoir » ait survécu au périple à travers les rues, elle tenait avec grâce les pans de soie qui frôlaient le sol à chacun de ses pas.



Elle tentait de retrouver parmi l'assemblée les visages familiers d'Henry et d'Adalsende, mais en vain. Se penchant à l'oreille de son cavalier... hormis le roy et son épouse, vous connaissez du monde ?

Mais déjà, on annonçait l'arrivée du cortège royal, une certaine agitation s'emparait de la cathédrale et la jeune femme pressa sa main contre le bras de Robins... Hâtons-nous de prendre place, je vous prie...

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Wallou74
Un mot laissée au pas de sa porte lui rappela l’évènement important qui se déroulera dans les prochains jours. La Maréchal vérifia si son uniforme d'apparat était bien propre et son épée bien rangée. Il lui fallait bien prendre le chemin de Reims. Elle laissa les enfants a la gouvernante et le loup avec son jeune fils.

Soyez sages tout les deux....

Oui m'ma... Promis.



Elle calina son fils et replaca une mèche qui pendait sur son front. Wallou déposa une bise sur son front l'ayant dégagé


Prend soin de ta soeur et entraîne toi a l'épée. Je veux y voir une amélioration a mon retour!

Oui oui m'ma je ferai tout comme t'a dit.


Une bise sur le front de sa fille et les dernière recommandation faite a la gouvernante, elle monta sur Galop et fila a toute vitesse.

La Templiere arriva en quelque jour a la cathédrale ou se faisait la cérémonie. Wal entra doucement dans la cathédrale et fut surpris d'y voir autant de gens. Elle tenta de se trouver une place en salua d'un signe de tête ceux qu'elle connaissait comme Attalus et Julien de loin ayant de meilleur place qu'elle. Elle remarqua plus loin aussi Sinbad. Elle se sentait déjà moins seule avec ces normands aux alentour. IL ne manquait que quelques Templiers.


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Optat


[Avant l'arrivée du souverain]

On y coupait pas. Certaines jeunes recrues et un autre plus ancien avaient oublié d'ajuster leur tenue. De la négligence ? Non point, juste des oreilles un peu bouchées après des agapes d'arrivée dans la ville du sacre.
Scrongneugneu grogne-t-il mezzo voce à l'encontre des étourdis,
j'en vois deux ou trois qui vont avoir droit à quelques tours de garde supplémentaires. Fouillez dans vos poches et arborez votre galon avant que le Grand Maitre ne vous aperçoive.

[Devant la porte Nord]

Il reprend la tête de son groupe après avoir traversé une bonne partie de la noble assemblée déjà présente. Il voit passer des têtes à lui familières, adresse des signes complices aux plus intimes et salue règlementairement les collègues des Ordres Royaux présents. A certains il adresse un compliment et son impression.
Adoncques mes amis, vos troupes ont fière allure. Beau spectacle en vérité que nos Ordres réunis ici même en rangs serrés pour la protection du souverain.
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Tayabrina.reudi
Avant l'ouverture des portes et l'entrée des invités

Aux côtés de son époux, en attendant que les portes s'ouvrent...La de Salières qu'est l'épouse du Reudi laissait ses forets denses caressaient les présents, si les robes que portaient les dames présentes ne lui faisaient aucun effet, puisque la Châtaigne elle s'était vêtu le plus simplement possible. Tenue Militaire pour représenter la Touraine. Elle suivait de très près le déploiement organisé pour le sacre. Que vous voulez vous ? La duchesse de Touraine était une guerrière et les stratèges et autres chichis militaires c'était pour elle. De par sa petite taille, elle cherchait également son capitaine. Diantre...pourquoi est-elle si loin? Et fallait que dans cette foule immense elle ne capte pas de vue où se positionnent ses conseillers. Soupire discret puis ce regard inquiet vers le balafré qui tentait bien que mal de bien se tenir. Elle avait espoir que son tendre démon allait tout faire pour tenir le rang du Duc qu'il était !

On se détend et on regarde devant soit. Du mouvement droit devant... Le cortège est là.

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Hansreudi
Le Balafré était e, même temps empreint à la fois d’inquiétudes et de fiertés. Non pas qu'il ait peur de quoi que ce soit, mais c'était surtout pour ne pas se faire remarquer. C'est tellement pas son genre de faire une grosse conneries, comme de tousser quand il fallait pas ou taper dans le dos d'un pair de France pensant reconnaitre un de ses amis.

Donc là, c'était propre sur lui, aux bras de son épouse, pas un cheveu qui dépasse des autres, pas un accros au veston, enfin, un Duc consort qu'on a envie de sortir en somme.

Il attendit aux cotés de son ange de Duchesse qu'ils puissent pénétrer dans l'édifice. Il cherchait en même temps du regard le Capitaine de Touraine, qui nul doute avait un oeil sur lui et sur son comportement; Il se sentait épiais de toutes part en fait là. Enfin, il en avait vu bien d'autre et ce n'est pas cette cérémonie qui allait lui foutre la trouille. Enfin, ce serait pas mal que Line, Pierre ou Arthur ne soit pas loin. C'est tout de même plus aisé avec des têtes amis. Puis eux y connaissent tout ces cérémonials.
Étrangement on avait jamais invité le Balafré à y assister dans le passé...allez savoir pourquoi. Enfin, là c'est son épouse qui était conviée.

Enfin, bref, ils sont où les collègues du conseil......

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Aimbaud
Aimbaud avait trouvé place parmi les derniers dans la cathédrale, le visage neutre quoi que marqué par l'ennui. Vêtu le plus sobrement du monde, d'un pourpoint de tous les jours, il baillait désormais, le bec ouvert à qui voulait voir sa glotte.
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Yut
Ce jour était très spécial. Non seulement le Souverain de France se verrait sacrer, mais plus encore, l’Archevêque Lyonnais ferait parti des officiants. Officier pour le sacre du Roy de France était tout un honneur pour lui. Arrivé devant le somptueux édifice religieux, le Primat de France sourit. Tant de choses il avait vécu ici, à Reims. Tant de cérémonies, il avait officié dans cette Cathédrale tout simplement magnifique. C’était le bon temps… Enfin, être officiant voulait aussi dire pas d’entrée spectaculaire. Et puis bon, Mgr Odoacre étant arrivé à dos d’éléphant un an auparavant, qu’est-ce qui aurait vraiment pu être plus spectaculaire que ça?

Une grande foule était déjà sur le parvis de l’Église. Le carrosse du prélat les contourna pour rejoindre une plus petite rue, derrière, avec accès direct à la sacristie. Il entra dans la Cathédrale, se rendant dans la sacristie pour se préparer pour la messe. Mgr Aurélien était déjà là. Souriant, il revêtit ses vêtements liturgiques, qu’il avait fait commander pour une petite fortune afin de les porter en ce jour de sacre. Par-dessus sa soutane dorée, il avait posé une chasuble cramoisie sur laquelle ornaient des filetages d’or, qui offraient une représentation de Saint Titus, premier Pape de l’histoire. À l’arrière de la chasuble était brodée une colombe, symbole de la paix. Il mit son pallium avant de poser sur sa tête une imposante mitre, toujours dorée, ornée sur tout le contour par de tout petits rubis. Il était fin prêt; la cérémonie débuterait sous peu. Il sortit donc de la Sacristie et entra dans le Choeur, où la musique de la chorale résonnait. Il prit place sur le siège qui lui était désigné à côté de l'Autel et attendait que le Souverain arrive.

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«Tout homme est disposé à accepter un prix, même pour ce qu’il espère ne jamais avoir à vendre. »
Lorelei_
[Les Teutoniques, encore et toujours, Purée sont combien ?]

Ira, ira pas ? La décision n'avait pas été simple à prendre pour moi. Des souvenirs peu joyeux étaient remontés à la surface, trop rapidement pour que je réussisse à les gérer sereinement. Pourtant, j'avais décidé d'être la. Être la pour l'Ordre, cette famille, fière, fidèle, saine ... Être la pour lui, l'Hochmeister, celui qui depuis mon arrivée se battait pour une juste cause, celui qui savait écouter, conseiller, aimer à leur juste valeur chaque être. Être la pour lui, ce nouveau roy, ce père qui jamais ne le reconnaitrait. Être la pour tenir cette promesse que j'avais faite. Toujours être la, qu'importe les souffrances endurées, les humiliations, les méchancetés.

J'étais donc la, perchée sur ma monture, derrière l'Ordenkreis. Je ne ressentais pas la même fierté que les autres membres. Je ne savais à vrai dire pas vraiment si je ressentais de la fierté. Surement un peu. De la fierté pour lui qui avait accéder à cette charge qu'il convoitait. Le carrosse passa juste devant nous et mes yeux s'assombrirent, mon visage se ferma. Je me demandais à cet instant si j'avais fait le bon choix. Je restais silencieuse un instant, les yeux rivés sur son visage. Le cri de mes frères me sortit de ma torpeur, et je repris avec eux.


-"Deus Manum Ducit !"

Cette devise me remit les idées en place immédiatement et je souriais alors que mon regard croisa celui du Padré. Ne jamais oublier l'essentiel, Dieu. Il était la, il veillait sur chacun de ses enfants. Et à l'heure de notre mort, il nous offrirait le Salut ... ou non. Il était le seul Juge. D'un signe de tête discret, je remerciais Bender d'être toujours la pour moi, comme un père qui protège sa douce enfant. D'un regard, j'embrassais le parvis. La foule était bien présente, mais qui de ceux la connaissaient réellement l'homme qui était leur roy ? Un sourire tendre se figea sur mon visage, j'étais redevenue sereine, l'espace d'un instant, certains mots me revenant en mémoire. Mais la sérénité ne resta guère longtemps. Voila que je pensais déjà à la suite des évènements. Comment descendre de cette foutue monture avec une jambe en vrac et un bras ... pas dans un meilleur état. L'exercice risquait de devenir périlleux.
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Kronembourg
[ Avant le ... ]



Mais pourquoi n'avait-il pas dit non ?
Parce qu'il ne savait pas lui dire non.
Pourquoi ne pas avoir prétexté un ongle incarné qui l'aurait paralysé au lit ?
Parce que mentir, c'est pêché.
Pourquoi ne pas avoir feint de s'être perdu en route ?
Parce qu'elle lui avait donné un plan détaillé des lieux. Aucune feinte possible. Juste la rejoindre là où elle se trouvait.
Mais pour la rejoindre, encore fallait-il qu'il la localise ! Imaginez-vous au beau milieu d'une foule bruyante à devoir retrouver un diamant posé à terre.
Car il s'agissait bel et bien de ce type de recherche, dans lequel s'était lancé l'homme de Dieu : La Duqueseta Elianor de Vergy, de toute petite constitution, ne paraîtrait jamais parmi les plus hauts visages du troupeau. S'il voulait la retrouver, il faudrait que son regard se porte vers les épaules, voire même les torses et poitrines de ces messieurs-dames, sans toutefois paraître ému par ce qu'il voyait. Il ne s'agissait pas de se ramasser une gifle avant même que la cérémonie commence. Ni de faire honte à sa chère duqueseta.
Tandis qu'il scrutait la foule, il salua d'un signe de tête chaque visage qu'il connaissait : Le grand Maître de l'ordre du Saint Sépulcre, le premier huissier de France, le Vicomte de Cessac, oh, messer Jonhatan et le père Bender !
Mais nulle trace de la duqueseta Elianor.
Lui vint alors l'idée d'une ruse. Comme il était vêtu de sa tenue de Veilleur du Prieuré du Rivet, il fit mine de prier le nez baissé en marmonnant quelques mots de latin, tout en poursuivant ses recherches visuelles.




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