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[RP - 18/04] Cathédrale - Sacre de Sa Majesté Vonafred

Charles.diftain
L'Évêque d'Orléans fit sa venue au sein de la Cathédrale de Reims, il était heureux de voir autant de monde et de Prélats. C'était un jour très important pour le Souverain de France, notamment pour Mgr Charles Diftain car il avait la charge de porter le Saint Chrême. Ce fût la première fois dans sa vie qu'il allait faire honneur devant Sa Majesté Vonafred et devant ces chers Frères. Le fait d'officier pour le sacre du Roy de France était tout un honneur pour lui.
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Asphodelle
Officiants à gauche, Cardinaux en face.

Asphodelle avait adressé sourire et regard complice à ses Gardes adorés, qui tous avaient rejoint leur place avec professionalisme, et n'avait pas oublié d'accorder honneur aux Gardes Royaux.

Cela faisait déjà presque deux heures qu'elle était à sa position, programmée sur le bouton "lancé de projectile coupant, lâché de coude dans le bide, opercut dans les gencives ou encore - geste suprême - vol majestueux entre la cible et l'assaillant ou tout ce qu'un assaillant pouvait avoir envoyé sur la cible".

Cardinaux à droite, officiants à droite...c'était selon la position de sa tête fine, aux grands yeux verts devenus plus perçants qu'une machine à trou de la SNCF.

Au pilier en face, bientôt "Monseigneur" Xena - mais chut c'est un secret^^ - était également en position, parée à toute tentative de chaos dans cette journée de précision millimétrique.

Millimétrique au gratouillement de joue près : et oui...c'était toujours quand on était en position de ne plus pouvoir bouger qu'un truc vous grattait. La tête, le dos, le nez...on a juste envie d'amener son doigt en crochet et faire "grat grat grat"...et non, Asphodelle ne le peut pas.

La Garde Episcopale use de ses prérogatives dans des règles strictes et rigides. Beaucoup pourraient dire que c'en est trop, que c'est avoir un balai dans l'derrière mais hey...c'était comme ça et puis c'est tout. Alors le balai elle le garde.
Parce que depuis toujours l'aboutissement de l'Institution était la Garde Pontificale, et que quand on garde le Saint-Père, on doit être le must de la sécurité, mais on n'apparait pas sur le portrait un doigt sur le nez qui...vu de loin...mince on n'est pas sûr qu'après tout ce ne fut une tentative de délogement de caquine...

Alors, bien qu'habituée, Asphodelle ne bouge pas, évitant les grimaces comprises, en rêvant cependant qu'une crosse lui gratouille la joue...

Rêve mais pas trop : elle a remarqué l'entrée des Cardinaux, reconnaît son Connétable et d'autres clercs, également des Evêques.
Pas un sourcillement ne leur ait adressé, seulement une vision sur leurs arrières...leurs arrières...pas leur derrière...rooo...

Elle voit également l'arrivée de frères d'Ordre Militaro Religieux et sourit à l'intérieur de voir le gonfanon Teutonique et d'entendre leur devise.

Elle reste vigilante, sachant que l'entrée de Ses Majestés le Roy et la Reyne est propice à d'éventuels interventions. D'un regard, elle donne ordre de renforcer sa vigilance à ses Hommes.

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Enora...
La dernière des Brocéliandes arriva à la cathédrale.
Elle avait revêtu sa robe made in la Fleur.




Elle entra dans la cathédrale et en eu le souffle coupé. Le bâtiment était immense, quoique peut être pas à côté du Louvre, mais pour un édifice religieux, la cathédrale était immense et magnifique.
Bien que ses souvenirs de Bretagne furent loin, elle était persuadée, qu'il n'y en avait pas d'aussi grande et belle la bas.

Une fois la surprise passée, on la conduisit là où devait se positionner la famille.
Elle se demandait comment allait être habillés sa mère et Louis, mais quoiqu'il arrive, étant respectivement Roy et Reyne, il ne pouvait être que beau.

Elle arriva au bout d'un moment au chaises, qui leur était consacrées, et y trouva sa soeur et dame Aanor, la vassale de sa mère; mais curieusement pas de frère. Elle espérait qu'il n'allait pas faire de bêtises, il lui avait promis d'etre sage. Mais les jumeaux, étant un mélange subtile de Valmo Salar et Bleizmorgan, Dieu seul sait ce qu'ils pouvaient inventer comme bêtises.

Elle embrassa sa soeur et dame Aanor et s'installa à côté d'eux
.

Bonjour, vous allez bien ? Quelqu'un a t il vu Godrick ?

Elle regarda un peu partout, mais la Cathédrale, se remplissait de minute en minute de gens parfaitement inconnus pour elle.
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Petitsuisse

[ Avant l'arrivée du couple royal]

Thibaud scrutant toujours les personnes qui se pressaient en la cathédrale, remarqua une jeune silhouette qui lui fît un sourire lumineux.
Cela capta quelques secondes son attention, Wendoline ! il la reconnu et lui adressa un joli sourire et un signe de la tête.
La jeune garde royale baissa les yeux, nul doute , ils auront l'occasion de se croiser et de discuter de nouveau plus tard.

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Bardor
Bardor qui était toujours campé sur ses jambes, était sur le qui vive. C'était l'arrivé du Couple Royal et il y allait peu être y avoir des imprévues. Sur sa droite ce situais le centre de la pièce. Tout les invités était à leur place, certain n'avait pas oter leur chapeaux.

Quel manque de respect quand même !

Les cardinaux entraient, le stresse commençait à monter, mais il ne voulait pas que sa ce voie.

Un rapide regard vers le couple royal, puis il regarda autour des cardinaux et autres hommes de la saint Eglise.

Il n'aimait pas dont la manière le Roy avait été élu, élu par le peuple et puis quoi encore ? On allait aussi demander au peuple délire le Pope. Ce qui est sacré devrait le rester !

Ronchonnement discret il ce concentra sur sa mission !

Les hommes de la sainte Eglise devait à tout prit n'avoir aucune embuche devant eux.

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Victoire_

Comme dans un ballet de couleurs défilant dans le lieu Saint, les invités arrivaient et prenaient place.
La Cathédrale s’emplissait au rythme des murmures étouffés, bruissements d’étoffes noyés dans les bruits de pas.

Ses soeurs et frères de la Garde épiscopale étaient en place. Elle avait remarqué le déploiement des membres des divers ordres.
Le corps toujours bien droit, mains croisées dans le dos, seul était perceptible le mouvement de ses prunelles bleues qui parcouraient l’assemblée, prêtes à saisir tout mouvement suspect, ses yeux se fixèrent sur les Cardinaux qui remontaient vers le transept et dont certains seraient sous sa protection directe étant placée près d‘eux.

Des clameurs montèrent de l’extérieur de l’édifice, tranchant avec le fond sonore de la Cathédrale, aucun doute le Roy allait faire son entrée.
Assurément la tension montait, redoubler de vigilance était le maître mot qu’elle lisait à l’instant même dans le regard de Monseigneur Asphodelle.

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Godrick_de_varenne
Le petit héritier s'approche de la cathédrale en grande tenue faite par la couturière familliale



L'héritier entre dans la cathédrale cherchant sa soeur et bousculant les personnes présentes.


Noraaa? Vous avez vu ma soeur?C'est quand mon popa et moman arrivent??
Noraaaa t 'es ou??


Repart à la recherche de sa soeur
Louison.
Godrick qui s'égosille comme toujours, en entrant dans la cathédrale. Il ne devait pas avoir eu droit aux grands sermons disant qu'il fallait être sages et discrets aujourd'hui. La demoiselle jette un regard désespéré vers sa marraine, décidément son jumeau était irrécupérable.

Nora, leur soeur aînée, qui était entrée un peu plus tôt dans l'édifice, et qu'il cherchait visiblement à tout prix, sans se préoccuper de chercher également sa jumelle, se débrouillerait bien pour aller le chercher. Lou resta sagement assise. Elle, elle attendait encore l'arrivée de son number two, à défaut de celle des parents.

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Ayena
    Mon Dieu. Ayena vit passer le couple royal et ouvrit grand les yeux : c'était la première fois qu'elle voyait des Souverains aussi mal vêtus pour leurs sacres. Tout de même, c'était honteux, et la jeune femme faillit rougir de honte pour sa Reyne avant de se souvenir que la Reyne était encore (?) saine d'esprit et que si elle portait ces frusque là, elle devait les aimer. Mais... Fiou... La Maistre Couturière qu'était d'Alquines eut du mal a digérer l'affaire. La Grand Maitre de la Garde Robe avait encore agit. Mais Grand Dieu, personne ne pouvait lui dire que son travail faisait honte à toute la profession ? Et le Grand Chambellan, dans tout ça... Agirait-il ? Ou tout le monde ferait-il encore semblant de ne rien voir, de se faire des risettes et d'ignorer qu'un drame se déroulait ?
    Il était indéniable que plusieurs personnes dans l'assemblée portait mieux la noblesse que la Reyne et le Roy. On avait fait des efforts, on avait sortit les plus beaux atours... Ayena elle même avait l'impression de porter une tenue plus adéquat que la Souveraine. C'était dire.
    A coups surs, on en parlerait longtmeps dans le monde de la couture et la GFA allait s'en donner à coeur joie.

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>Sponsor officiel d'Ayena__
Héraldique
Lulue
[Avant l'entée du couple Royal]

En retard, elle était encore en retard. Là où elle était sauvée, c'est qu'elle n'était pas en LD mais déjà à Reims. Sans attendre, la Blanche rejoignit la chambre louée pour l'occasion, et prit le temps de se faire un brin de toilette puis de revêtir la tenue que lui avait confectionné spécialement une certaine Rousse qui se trouvait être également aspirante. En une simple tenue, Melina avait réussi à faire ressortir les deux fonctions principales que Lucie représentait. Le Grand Fauconnier de France et un Chevalier de l' Ordre Royal de la Dame Blanche, bien qu'elle serait au milieu des Officiers Royaux durant ce sacre
.




Lorsqu'elle arriva devant la Cathédrale de Reims, elle put constater qu'une nouvelle fois, la cérémonie avait rameutée du monde. Ça lui en aurait presque donné le tournis. Elle resta quelques instant sur le parvis pour observer tout ce petit monde. Aujourd'hui, la Brune n'attendait personne. Son cavalier avait une autre obligation que de celle de l'accompagner. D'ailleurs, lorsqu'elle vit les Teutoniques arriver, et un certain Brun en particulier, tout fier, un sourire se dessina sur son minois.

Pourtant aucun geste ne sera fait pour attirer son attention, au lieu de cela, elle pénétra dans l'édifice.

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Bibiche75
[ Juste un peu avant l'arrivée du couple royal]


"Deus Manum Ducit !"


Les Teutoniques firent entendre haut et fort leur devise. Il semblait que tous les Ordres Royaux et Religieux étaient enfin en place dans la Cathédrale, sans compter tous les Nobliaux qui s'étaient déplacés, venant de tout le Royaume pour assister au sacre de futur Roy.

Voici qu'arriva Monseigneur Charles Diftain, l'Évêque d'Orléans, la mine fière d'officier un tel évènement. La cérémonie allait bientôt commencer aussitôt le couple Royal installé.
Le regard de Bibiche balayait l'assemblée tout en jetant un coup d’œil complice à ses frères et sœurs d'armes, puis à ses supérieurs. Elle se tenait sur ses gardes, prête à toute éventualité.

Quelqu'un entra soudain dans la Cathédrale en criant. Cette personne heurta brutalement les gens qui attendaient patiemment dans l'édifice. Bibiche eut un sursaut et tourna très vite la tête en sa direction, la main prête à dégainer la dague qui était attachée discrètement contre son avant-bras, au dessus de son uniforme. Elle regarda ensuite la Préfète, cherchant dans son regard l'ordre si intervention il devait y avoir.
Personne ne bougea après l'esclandre de celui qui s'avérait être un enfant. Bibiche ne le connaissait pas mais à la façon dont il était habillé, elle comprit très vite que c'était le Prince héritier qui s'impatientait devant la lenteur de la venue de ses parents.
Le Lieutenant soupira de soulagement et reprit sa posture initiale, les bras derrière son dos.

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*honorine*
Un tel évènement ne pouvait se manquer et elle avait cheminé en direction de Reims pour assister au sacre du roy.
L'évêque d'Angoulême entra dans la cathédrale et chercha des yeux les capes pourpres et or de son Ordre dont elle était la Grand Prieur et à ce titre, elle était aussi membre des Saintes Armées, de la branche non combattante, bien entendu.

Elle même, avait revêtu la cape d'apparat de l'Ordre de Santiago.
Non seulement elle représentait son diocèse mais arborait aussi fièrement les couleurs flamboyantes de l'Ordène.
Elle se mit de côté attendant que la délégation Santiago arrive pour se joindre à eux.

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Charles
Il était mal luné le balafré ces derniers temps, la seule qui lui donna beaucoup de satisfaction fut la naissance de l'héritier de la lignée Talleyrand-Volpilhat. D'ailleurs le duc avait abandonné pour l'occasion femme et enfant pour se rendre en sa qualité de Vice-Amiral au sacre du roi de France.

Hop, place réservée aux officiers de la couronne, pas de salut, pas de regard, le duc faisait acte de présence. Point. Naturellement il avait prévu de quoi manger, gourmand comme il était, il ouvrit son aumônière et commença à picorer les raisins secs et autre mignardises du genre.

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Wilfred_ivanhoe
Wil toujours fierement campé sur ses deux jambes,les mains dans le dos et le menton bien droit jettait des regards a droite et a gauche pour vérifier que tout allait bien,de temps en temps un regard sur ses deux cadets Emma et Clarrissia qui se trouvaient devant lui.
les clercs arrivaient et se serait bientot au tour du couple royal de faire leur entrée.
Wil redoubla d'attention....

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Gorborenne
18ième d’avril, à l’aube
Une chambrée en Reims, quelque part, où exactement, allez savoir...


Géant ne devait pas être le premier, ce matin, à grommeler. Lui maudissait en particulier sa cécité. Il n’avait certes pas pu jouir du décor grandiose des appartements qui lui avaient été accordés. Mais où était-il logé en fait ? Il n’en savait finalement trop rien. Pas comme s’il aurait pu remarquer la différence entre un plumard de classe royale du palais et celui d’une quelconque hostellerie. Enfin, si, à l’épaisseur peut-être. Qu’importe. À l’instant précis, son majeur problème est surtout de trouver, de s’y retrouver dans ses malles et ses affaires. Lui aurait bien fallu un coup de main, tiens, pour en faire l’inventaire. Surtout quand il faut comprendre comment enfilée une tenue… qu’il n’a jamais mise, ni même en fait, jamais vue… Mais ça n’est pas à lui qu’il s’agit d’en mettre plein les mirettes aujourd’hui. Plutôt aux crabes à paniers, sangsues et autres vautours s’enpyramidant par légions de hautes en basses Cours…

Finit par dégoter et enfiler ses braies, à l’envers au premier essai, à l’endroit au second. Tout une histoire aussi, pour remettre chaque chose à sa place, ne rien coincer ni écraser quand le devant se lace. Pour la chemise, déjà plus aisé, ça même tout petit, il l’enfilait les yeux fermés. La tunique longue aussi, il arrive encore à se dépêtrer. Et re-galère à nouveau, pour boutonner le gilet. Doit s’y reprendre à quelque fois pour que chaque fermoir se loge au bon endroit. Guère à l’aise dans des tissus de velours, il se sent tout engoncé. La douceur de l’étoffe même fait qu’il n’ose presque respirer. Mais aujourd’hui, paraît qu’il faut bien s’habiller. Belle-sœur d’amour avait dit "sois pas clode s’te plait". Alors une fois n’est pas coutume, se payer une tenue, ce que ça coute, rien qu’une… De velours oui, en tissage épais, teinté à la Cendre de ses couleurs, d’une obscurité de jais. Mais de ci de là, en fils d’argent, s’entrelacent motifs de rameaux se perdant au torse du Géant, entre feuillages d’anneaux en maille, du même métal étincelant. Métaphore du Bois Cendré, subtile, se devinant.

Prend le temps de s’épousseter un peu, déjà un bon début… ah, non, se rends compte qu’il est encore pieds-nu. Ses bottes ! Celles-là seule qu’il peut avoir aux pieds, toujours de ce gris poussière, mais lustrées à pouvoir s’y mirer - de cette cire toute spéciale pour faire descendre les passagers, un bonheur qu’il ait pu en retrouver. Ni cape ni spalières cette fois à ses épaules, non plus d’estramaçon. Il paraît que cela aurait été déplacé, encombrant de toute façon. Et puis, à nécessité, poings suffiront à distinguer le tort de la raison. Mais aujourd’hui, se battre, doute qu’il en aura l’envie, ou l’occasion. Sacre de Roy, se la péter comme il se doit, mais toujours un brin de dérision. Alors juste aux épaules un large col tombant en blanche fourrure de gros beau renne. Ceinturon qui se ferme d’une boucle en or blanc, paré pour aller sacrer son frère de Roy et sa belle-sœur de Reyne…

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