Arangil
[Avant l'ouverture des portes et l'entrée des invités ]
Chevaucher dans les bois en plein printemps était comme voyager par une vaste et lumineuse cathédrale. Les frondes créaient des arcades gothiques et unes inachevées voûtes du croisée, avec des traces vitrées des tendres bourgeons. La tiédeur du le soleil surélevait les parfums du la bosquet, en les faisant tourner la tête comme l'encens. Les papillons battaient des ales entre les arbres comme des images fugaces de vitrages du couleurs, et les pigeons entonnaient un cantique rauque, ensommeillé.
L'éventail du feuillage s'est agité en reconnaissance au passage du le Gormaz, qui voyageait confortablement dans la chaise, avec les longs étriers et son dos contre l'arçon. Après lui, le battre des harnais et les armes, le fracas des casques et le grincement des roues d'un carrosse troublé les oiseaux dans le bois et le terre vibré. Un paire de cavaliers ont surgi à la vue, avec ses magnifiques montures en avançant au trot, et derrière lui autres deux son apparus on portaient des voyantes banderoles en soie, avec un lion d'or couronné debout en portant un épée avec son main droite gantée.
Derrière les escortes avançait un carrosse, entraînée par quatre chevaux, du la race Tordillo, bellement harnaches et quelques clochettes d'argent tintant dans ses piaffements. À l'intérieur de la même, un femme voyageait, une dame adorable du noble lignée, avec les factions furies et claires comme un fontaine cristalline.
Le cortège est arrivée a la Cathedaral et s'est arrêtée aux portes; les chevaux ont brouter et faisons tinter les harnais. Le Duc d'Híjar, Marquis du Lerida, Comte de Besalú, Comte du Albarracín et Baron de Mora de Rubielos, mis pied à terre d'Arnor et ses escortes l'ont imité, et se mettant en garde à côté de la carrosse. Monsieur Gormaz habillait une tunique en soie blanche, avec des brodées dorées et enveloppé d'un manteau bleu, avec l'estampe de son blason héraldique, ajusté par un ceinture de boucle ornementée et de plaque. Il n'y avait pas de vanité dans les jeunes profils de son visage et la dissimulation dans les yeux obscurs. Il a ouvert la portière et aidé à descendre la dame, en s'arrêtant devant son épouse Trencacors et par quelques instants il s'est limité et la regarder. Une ébauche de sourire a courbé la bouche sévère et a illuminé les beaux yeux, et tout à coup tout son visage a rajeuni encore plus s'il tient, comme s'il avait un âge très inférieur à celle que ses traits encore jeunes dénonçaient.
Arangil a pris la main de son épouse, encore un peu accablée, comme s'il la couvraient dans une couverture chaude et moelleuse à la fin d'un voyage accidenté et il l'a chuchotée a l'oreille:
Vous êtes radieuse mon amour.
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