[RP]Livre d'or de Condoléances

Aux Membres de la Maison de Retz et à la Dileuriad de la Maison de Retz

J’ai appris avec consternation la récente et tragique disparition d’Elfyn de Monfort, Patriarche de votre maison et Grand Duc de Bretagne. Au nom de la République Souveraine de Genève, je tiens à vous dire et à affirmer par votre entremise, à votre Maison de Retz, au peuple Breton à ses nobles et ses notables, le soutien sincère et unanime de Genève et des Genevois dans l'épreuve cruelle que vous traversez et qui affecte la Bretagne entière.

Elfyn de Montfort, pour Genève, restera un souverain de grand renom qui a défendu pour la Bretagne, ce que nous défendons à Genève : le droit d’exister librement. Il a su avec courage et astuce, ces vertus qui font un grand régnant dressé contre les menées hostiles de l’ancien suzerain qui considère qu’il doit récupérer un bien auquel il n’a pas renoncé. Il a fait montre dans ces épreuves de son art de la guerre et de son sens de l’Estat.

Mais il n’a pas été qu’un seigneur de la guerre. La République de Genève a apprécié et apprécie l’engagement d’Elfyn de Montfort, en homme de paix et de dialogue, pour que des relations s’établissent. Aussi, j’ai le sentiment de me faire l’interprète des Genevois qui, par-delà le règne prématurément et brutalement interrompu, du Grand Duc défunt, manifestent leur volonté de coopération avec la Bretagne. Poursuivre dans cette voie, inaugurée avec talent par Madame Roxanne de Montfort-Laval en tant que Consule de Bretagne en nos terres, est l’ultime hommage que nous pouvons rendre au Grand Duc Elfyn de Montfort.

En mon nom, au nom des Genevois, j’envoie en légation SembreEnDevant, chancelier, BigMamma, ambassadrice de la République près la Bretagne et les territoires celtes, Iskander, tous membres du Consistoire des Bourgeois de Genève représenter la république aux cérémonies funéraires.

Fait à Genève, le 2 Mai de l'An 1460.
RGMax
Avoyère de Genève.

De Flavien-Charles Galanodel, dict "Fenthick", Chancelier du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae,
A Roxanne de Montfort-Laval, Chevalier de Langolen et Consule de Breizh,

• Condoléances officielles.
  

C'est avec douleur, peine et surprise, que nous accusons ce jour réception de votre pli funeste, ma Dame. Si il n'était de nos amis, et ne comptait parmi les plus fiers alliés de l'Imperium, il n'en est pas moins que nous ne pouvons que reconnaître les qualités de dirigeants, de meneur, de monarque dont le Grand-Duc Elfyn de Montfort a su faire preuve durant son règne, et des qualités humaines dont on dit qu'il était bien doté, durant sa vie.

Nous adressons à la famille Grand-Ducale nos plus sincères condoléances, et leur souhaitons un deuil digne, paisible et apaisant, au nom de l'Empire.

Nous faisons savoir que nous mettrons un point d'honneur à nous rendre aux dîtes funérailles, si Sa Majesté Impériale ne le peut elle-même, et que nous emmènerons avec nous promesses d'amitié pour nos peuples.

Que le Très-Haut nous est tous en sa bonne garde, et accueille parmi ses pairs le Grand-Duc de Montfort.


Rédigé, signé et scellé,
Le Troisième Jour du Mois de Mai,
En l'An de Grasce Mille Quatre Cent Soixante,

Au Palais de la Chancellerie Impériale,
En Strasbourg, Capitale d'Empire,

Your Excellency,

on behalf of the Duke and people of Galloway I express my condolences to the family of the late Grand Duchess Elfyn de Montfort.

Our thoughts are with you at this sad time.

I hope to be able to pay my respects to you in person at some point.

With your permission I shall also convey this sad news to my brother Wallace, King of the Scots who will no doubt wish to send his own condolences.

Yours sincerely,

Eira Thorsdottir Kerr
Chancellor of Galloway.
Royal Secretary of Scotland

Nous, Oane de Surgères,
Comtesse de Saintonge, vicomtesse de Frontenay & baronne de Luçon,
Ambassadrice extraordinaire au Ponant pour le Poitou

C'est le coeur serré que ce jour d'huy, nous avons pris connoissance que Sa Majesté Elfyn de Montfort, Grand Duc de Bretagne et homme pour qui nostre regard était emprunt de grande estime a rejoint en cette froide nuit le Très Haut.

Toutefoy, c'est avec l'âme sereine que nous songeons à lui siégeant au Paradis Solaire parmi les Justes et sachant d'ors et déjà qu'il y brille par sa Lumière.

Nous présentons nos condoléances les plus sincères à la famille Montfort, à nostre ami Cassius de Montfort, ainsi qu'au Grand Duché de Bretagne et au peuple Breton.

Sa présence au Ponant nous a marqué et ne manquera poinct de nous manquer mesme si bien sur, la Bretagne regorge d'hommes de femmes de talents et de renom qui déjà s'activent pour prendre en charge ce qui fut l'immense responsabilité du Grand Duc.

Nous garderons de lui le souvenir d’un souverain visionnaire,
habile gestionnaire, rusé négociateur,
sachant s'entourer par les plus valeureux et les plus fidèles,
sachant écouter tout autant que commander,
Homme tout à la foy de passion et de tempérance,
Impossible joyau
et pourtant Il fut.

Ce jour d'huy, nous partageons la douleur de perdre un être de valeur, de perdre un être cher à nos yeux.

Faict en nostre chateau de Saintonge

Le quatrième jour de mai de l’an mil quatre cent soixante.

Nous, Missanges de kerrandic, Rectrice de l’université de Bretagne, garante du partage et du savoir de cette grande institution,

Déclarons l’université de Bretagne que nous dirigeons en deuil.

Nous adressons bien sincèrement nos plus fidèles pensées aux proches de la famille.

Nous nous associons à leur deuil que nous partageons avec toute la Bretagne pour la perte de notre Grand Duc, Elfyn de Montfort.


D'ar Sadorn 5 a viz Mae 1460
Missanges de kerrandic, Rectrice de l'université

Votre Altesse

Je viens d'apprendre le décès de votre père, le Grand Duc Elfyn de Montfort.

Je tenais votre père en grande estime et si le Berry pleure aujourd'hui le départ d'un vieil ami, je m'associe à votre famille pour vous transmettre mes plus sincères condoléances en cette épreuve.

Avec l'expression de mon amitié

George le poilu
Duc de Berry

À Roxanne de Montfort-Laval,

Je tiens d'abords à vous présenter mes condoléances les plus sincères. Inutile de rapeller combien ces moments sont difficiles pour tous ceux qui auront eu la chance de connaître un tant soit peu le défûnt. Je tiens à vous témoigner mon appuit dans cette épreuve et espère que vous aurez le courage et la force pour surmonter ces jours sombres.

La Bretagne est aujourd'hui dans un point charnière de son histoire. Par le passé en de tels moments elle a su en sortir plus forte et plus grande, souhaitons qu'il en soit de même aujourd'hui.

La Bretagne pleure un des siens, le Monde connu s'approche de plus en plus vers le gouffre du chaos et Genève demeure témoin des faits qui l'entoure. Souhaitons que le jour où nous surpasserons les considérations actuelles soient proches pour que tous puissent goûter des jours de libertés et de prospérités.

Avec mes sincères respects & amitiés,

John Edward.
ancien avoyer de Genève.

C’est avec grande tristesse que je vous écris ce jour, mais je souhaite tellement que ma compassion la plus profonde vous accompagne. Votre douloureuse épreuve m’émeut profondément et je veux vous dire la part sincère que je prends au chagrin de votre famille.

La douleur est grande bien sur mais l’image du Grand Duc Elfyn de Montfort est profondément gravée dans notre mémoire, sachez qu’elle continuera à animer nos existences et la Bretagne n’oubliera pas cet homme qui a profondément marqué le pays.

Je souhaite, par la présente vous faire savoir que mon respect et mes pensées vous accompagne dans cette épreuve, et que du fond du cœur, je vous exprime mes condoléances les plus sincères. Plus que jamais, je veux aujourd’hui m’associer à votre douleur.

Bran de Coëtivy Dict Ankou

A Sa Magnifiscence, Myrlin de Pontcallec, Régent de Bretagne,
A Sa Grâce, Douchka, Duchesse de Bretagne,
Aux membres des Institutions du Grand Duché de Bretagne,
A la Famille de Monfort,

A tous ceux qui nous liront,

Nous, membres de la Nonciature Apostolique présentons nos plus sincères condoléances et apportons notre aide au Grand duché de Bretagne qui se retrouve orphelin de son Grand Duc Elfyn de Monfort.

C'est un homme profondément engagé pour son pays et pour la Foi que perd aujourd'hui la Bretagne. Elu trois fois Duc, il a été l'instigateur de nombreuses institutions bretonnes. Le 29 novembre 1458, le marquis Myrlin de Pontcallec ,dict le Dagsit, rendit sa couronne cédant sa place au Duc de Retz, Elfyn de Montfort. Homme d'armes, il a toujours agi cependant pour trouver le chemin de la Paix et de l'Amitié entre les hommes. C'est sans vaciller qu'il a oeuvré à la grandeur du Grand Duché malgré les épreuves et les guerres que le Très Haut a mis sur sa route. Régnant avec sagesse, il a su développer des relations diplomatiques avec d'autres pays celtiques, entretenir des liens forts avec des provinces du Royaume de France, et ce malgré les tensions qui ont pu naitre avec la couronne de France.

Il n'est pas facile de diriger un pays. Beaucoup des Grands Ducs de Bretagne ont à un moment où un autre fait le choix de rendre leur couronne sous le poids de leurs responsabilités. Le Grand Duc Elfyn était un homme entier qui croyait en la Cité Idéale et qui a tenu à oeuvrer en ce sens jusqu'à sa mort. Il a fait le don de soi pour son pays, sa terre et son peuple.

Nous savons qu'une lettre est bien dérisoire face à la souffrance d'une telle perte. Mais nous tenons à nous associer à ce deuil et savons que l'âme d'Elfyn de Montfort saura trouver le chemin qui le mènera au Paradis Solaire où il sera accueilli en son sein par le Très Haut, Aristote, Christos et tous les Archanges.

Le successeur du Grand Duc Elfyn aura la tâche bien difficile de perdurer dans l'oeuvre de la grandeur de la Bretagne sous le regard bienveillant du Très Haut, malgré les tourments qui s'annoncent. Que le respect du tombeau du Grand Duc et de tous ceux avant lui soit assuré contre tous les ennemis du Très Haut et du Grand Duché pour qu'ils puissent reposer en paix et observer depuis le Paradis Solaire la vie de leur pays.

Nous voudrions dire à l’ensemble du peuple de Bretagne que nous partageons leurs souffrances et que nous prions pour le repos des âmes des Grands Ducs de Bretagne.

La Nonciature Apostolique,

Fait et scellé à Rome, le VIIIème jour de l’an de grâce MCDLX,