Victoire.
Longue attente à Troyes pour ce rendez-vous prévu de printemps. La Champagne était belle, elle ne la connaissait pas et c'est avec curiosité qu'elle en visita les caves.
Serrez vos harnais, ajustez vos cuirasses, ramassez vos affaires, saluez vos amis et à cheval !
Le Grand Maréchal annonce la couleur, tant pis pour l'ultime tournée, enfin ils prennent la route. Brise, cape en vol, et dans l'air frais de la nuit souffle un sentiment de mauvais augure.
Enfourchée sur sa monture, Victoire apprécie presque le paysage bucolique de la campagne bourguignonne, caressant paisiblement de la dextre la crinière de Fabelhaft, reniflant d'un grand coup l'air frais et pur du petit matin. Pourtant cette aube ne se lève pas sur un jour comme les autres
Des cris sourds, éteints, comme de lointains échos. La suite est obscure comme l'est la guerre. Soudain, une lumière aveuglante, puis des ombres, des masses informes approchent prenant peu à peu forme humaine. L'embuscade étire ses tentacules, des fourrés ils surgissent et le combat commence. Le corps se crispe un instant, le visage se fige, un temps de battement, un instant infime qui semble se fixer pour léternité, mais qui ne dure en réalité quune minuscule poussière de vie.
Prête à éliminer sans tralalas tout ceux ayant la mauvaise idée de s'approcher, Victoire redouble de vigilance.
Un rictus vint sur le visage de l'Hospitalière qui fige de ses azurs celui qui vient de toucher son vassal au bras. Inutile de sentêter lorsque ses grands yeux étincellent de la sorte , et dans ces cas là mieux ne vaut point tenter de parlementer avec lindividu. Apparemment plus prompte à en découdre quà négocier. sa main se crispe au pommeau de son épée , affolée à lidée qu'il assène un nouveau coup de lame sur le Grand Maréchal,un sourire carnassier vient se tracer sur les lèvres.
Soudain, un cri s'égare dans la cohue, suivi d'autres plus perçants.
Prétendre que tout va bien, que le conflit prendra bientôt fin, un art auquel elle s'adonne avec la fougue de sa jeunesse durant les combats.
Les yeux rivés sur son assaillant, Victoire ne relâche pas son attention. Une seule seconde suffirait à causer sa perte, elle en est consciente. Son cry s'échappe de sa bouche tandis que les poings se serrent davantage sur son épée, sa répulsion lui donne la rage et le courage d'affronter cet homme, Alors elle pointe sa lame entre ses côtes, sans autre forme de procès.
What else....
Flûte vous avez la coenne sacrément dure j'en ai pété mon épée !
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Serrez vos harnais, ajustez vos cuirasses, ramassez vos affaires, saluez vos amis et à cheval !
Le Grand Maréchal annonce la couleur, tant pis pour l'ultime tournée, enfin ils prennent la route. Brise, cape en vol, et dans l'air frais de la nuit souffle un sentiment de mauvais augure.
Enfourchée sur sa monture, Victoire apprécie presque le paysage bucolique de la campagne bourguignonne, caressant paisiblement de la dextre la crinière de Fabelhaft, reniflant d'un grand coup l'air frais et pur du petit matin. Pourtant cette aube ne se lève pas sur un jour comme les autres
Des cris sourds, éteints, comme de lointains échos. La suite est obscure comme l'est la guerre. Soudain, une lumière aveuglante, puis des ombres, des masses informes approchent prenant peu à peu forme humaine. L'embuscade étire ses tentacules, des fourrés ils surgissent et le combat commence. Le corps se crispe un instant, le visage se fige, un temps de battement, un instant infime qui semble se fixer pour léternité, mais qui ne dure en réalité quune minuscule poussière de vie.
Prête à éliminer sans tralalas tout ceux ayant la mauvaise idée de s'approcher, Victoire redouble de vigilance.
Un rictus vint sur le visage de l'Hospitalière qui fige de ses azurs celui qui vient de toucher son vassal au bras. Inutile de sentêter lorsque ses grands yeux étincellent de la sorte , et dans ces cas là mieux ne vaut point tenter de parlementer avec lindividu. Apparemment plus prompte à en découdre quà négocier. sa main se crispe au pommeau de son épée , affolée à lidée qu'il assène un nouveau coup de lame sur le Grand Maréchal,un sourire carnassier vient se tracer sur les lèvres.
Soudain, un cri s'égare dans la cohue, suivi d'autres plus perçants.
Prétendre que tout va bien, que le conflit prendra bientôt fin, un art auquel elle s'adonne avec la fougue de sa jeunesse durant les combats.
Les yeux rivés sur son assaillant, Victoire ne relâche pas son attention. Une seule seconde suffirait à causer sa perte, elle en est consciente. Son cry s'échappe de sa bouche tandis que les poings se serrent davantage sur son épée, sa répulsion lui donne la rage et le courage d'affronter cet homme, Alors elle pointe sa lame entre ses côtes, sans autre forme de procès.
What else....
Flûte vous avez la coenne sacrément dure j'en ai pété mon épée !
18-05-2012 04:06 : Votre arme a été détruite.
18-05-2012 04:06 : Vous avez frappé Finn. Vous l'avez sérieusement blessé.
18-05-2012 04:06 : Sunie vous a porté un coup d'épée. Vous avez été secoué, mais vous n'êtes pas blessé.
18-05-2012 04:06 : Vous avez été attaqué par l'armée "Coeur Navré" dirigée par Estainoise et l'armée "La Salamandre de Digoine" dirigée par Gnia.
18-05-2012 04:06 : Vous avez frappé Finn. Vous l'avez sérieusement blessé.
18-05-2012 04:06 : Sunie vous a porté un coup d'épée. Vous avez été secoué, mais vous n'êtes pas blessé.
18-05-2012 04:06 : Vous avez été attaqué par l'armée "Coeur Navré" dirigée par Estainoise et l'armée "La Salamandre de Digoine" dirigée par Gnia.
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