Morelius
- Grmpffff... bougonne Morelius quand il sent la main de Theolenn bouger dans la sienne, plus pour la forme que parce que ça le gêne vraiment d'être réveillé si agréablement.
Les yeux encore embués de sommeil, il agrippe la main de la briseuse de rêves et bascule sa propriétaire sur lui.
D'un ton faussement grognon, il la réprimande:
- Avec ça nous voilà tout perturbés... n'est-ce point frère Soleil que je vois là poindre à la fenestre ? Matines sont-elles passées ? A cette heure un garde du corps bien élevé doit être à son poste, non ?
Il lâche la main de Theolenn et approche la sienne de la nuque de la dame.
Puis il lui offre un baiser.
Pas un des baisers enflammés de la veille, mais un long baiser de velours du matin (la barbe naissante atténuant nettement toutefois l'effet "velours").
- Je n'ai plus sommeil ! lui lance-t-il, en même temps quun sourire radieux. Mais déjà, il sort du lit.
Il se rend à la fenêtre, humer l'air du matin déjà bien entamé. Sa silhouette nue se découpe en contre-jour dans le carré de lumière blanche, et le soleil allume des reflets d'argent dans ses cheveux. Puis il revient vers sa "maitresse", la serre contre sa poitrine, et enfouit son visage dans ses cheveux, pour y retrouver le parfum du bain encore présent dans ses mèches en désordre.
- Et ce voyage ? Quand repartons-nous ?
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Les yeux encore embués de sommeil, il agrippe la main de la briseuse de rêves et bascule sa propriétaire sur lui.
D'un ton faussement grognon, il la réprimande:
- Avec ça nous voilà tout perturbés... n'est-ce point frère Soleil que je vois là poindre à la fenestre ? Matines sont-elles passées ? A cette heure un garde du corps bien élevé doit être à son poste, non ?
Il lâche la main de Theolenn et approche la sienne de la nuque de la dame.
Puis il lui offre un baiser.
Pas un des baisers enflammés de la veille, mais un long baiser de velours du matin (la barbe naissante atténuant nettement toutefois l'effet "velours").
- Je n'ai plus sommeil ! lui lance-t-il, en même temps quun sourire radieux. Mais déjà, il sort du lit.
Il se rend à la fenêtre, humer l'air du matin déjà bien entamé. Sa silhouette nue se découpe en contre-jour dans le carré de lumière blanche, et le soleil allume des reflets d'argent dans ses cheveux. Puis il revient vers sa "maitresse", la serre contre sa poitrine, et enfouit son visage dans ses cheveux, pour y retrouver le parfum du bain encore présent dans ses mèches en désordre.
- Et ce voyage ? Quand repartons-nous ?
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