Falco.
PLOF!
T'es de comptage de créneaux, deux fois, echauguettes comprises.
Une main sans gantelet sur la croupe virginale façon "en avant biquette" et quelques mots.
Falco cloture en soldat la réunion cancans des oiselles pour prendre la main d'Angélyque, cette fois en capitaine.
Ce n'est pas une armée, juste un bougrement solide renforcement de cuirasses pour garder Dijon. Mais c'est oublié, en parenthèses.
Il l'entraine non vers les chevaux mais vers les remparts.
Les habituelles estafettes tentent de suivre.
Un tapotis de moignon contre un pommeau d'épée au pied d'un colimaçon dissuade la filature directe.
Cet escalier est mal foutu, il tourne vers la gauche..Les assaillants peuvent grimper sans gêne avec l'épée..Venez, visitez Dijon comme le voient ceux qui l'ont prise.
Galanterie ou plaisir de suivre de somptueuses hanches parles marches raides? Nenni.
C'est juste pour veiller sur ses arrières à lui.
Remparts.
Tempus fugit.
.............................................................................
Rubans et Barbacane.
Les amours courtoises sont des joutes violentes souvent.
Combien de temps à pérégriner de tourelles en remparts, de courtines en hourds? Heures ou jours?
De voltes et danses d'esquives en entrelacements, de rimes en dérobades?
C'est le chant des racines et de la colline.
Effleurant l'humus du bout des radicelles, repoussant les fins brins d'herbes, guidé par la chaleur et l'eau, l'arbre ignore le ciel.
La terre, point féconde sans efforts, dresse pierres et rocs pour rompre la progression rectiligne du végétal.
C'est la ronde des saules autour de la mare, la farandole des aulnes le long du ru.
Le chêne sur la colline repose sur une terre amie n'étant pas si docile.
Au creux luxuriant jonché de corolles effarouchées, la racine devient griffe suave évitant de rompre l'harmonie. L'anémone émue s'incline, la rosée captive pleurant sur l'écorce intruse une seule larme diamantine.
Le don récompense la patience , le quartz et la silice s'engloutissent sagement. Le terreau souple change les sillons de bois en étreintes mouillées.
Quand la colline embrasse le coeur de l'arbre, tout se mêle.
Alors qui s'entrouvre et qui perce? Qui plonge et qui à l'audace?
Seule la pierre muette , en arbitre, compte les points.
L'arbre et la colline, enceints de murailles silencieuses sont plongée dans la plus ancienne guerre du monde.
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T'es de comptage de créneaux, deux fois, echauguettes comprises.
Une main sans gantelet sur la croupe virginale façon "en avant biquette" et quelques mots.
Falco cloture en soldat la réunion cancans des oiselles pour prendre la main d'Angélyque, cette fois en capitaine.
Ce n'est pas une armée, juste un bougrement solide renforcement de cuirasses pour garder Dijon. Mais c'est oublié, en parenthèses.
Il l'entraine non vers les chevaux mais vers les remparts.
Les habituelles estafettes tentent de suivre.
Un tapotis de moignon contre un pommeau d'épée au pied d'un colimaçon dissuade la filature directe.
Cet escalier est mal foutu, il tourne vers la gauche..Les assaillants peuvent grimper sans gêne avec l'épée..Venez, visitez Dijon comme le voient ceux qui l'ont prise.
Galanterie ou plaisir de suivre de somptueuses hanches parles marches raides? Nenni.
C'est juste pour veiller sur ses arrières à lui.
Remparts.
Tempus fugit.
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Rubans et Barbacane.
Les amours courtoises sont des joutes violentes souvent.
Combien de temps à pérégriner de tourelles en remparts, de courtines en hourds? Heures ou jours?
De voltes et danses d'esquives en entrelacements, de rimes en dérobades?
C'est le chant des racines et de la colline.
Effleurant l'humus du bout des radicelles, repoussant les fins brins d'herbes, guidé par la chaleur et l'eau, l'arbre ignore le ciel.
La terre, point féconde sans efforts, dresse pierres et rocs pour rompre la progression rectiligne du végétal.
C'est la ronde des saules autour de la mare, la farandole des aulnes le long du ru.
Le chêne sur la colline repose sur une terre amie n'étant pas si docile.
Au creux luxuriant jonché de corolles effarouchées, la racine devient griffe suave évitant de rompre l'harmonie. L'anémone émue s'incline, la rosée captive pleurant sur l'écorce intruse une seule larme diamantine.
Le don récompense la patience , le quartz et la silice s'engloutissent sagement. Le terreau souple change les sillons de bois en étreintes mouillées.
Quand la colline embrasse le coeur de l'arbre, tout se mêle.
Alors qui s'entrouvre et qui perce? Qui plonge et qui à l'audace?
Seule la pierre muette , en arbitre, compte les points.
L'arbre et la colline, enceints de murailles silencieuses sont plongée dans la plus ancienne guerre du monde.
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