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[RP] Et une assignation à résidence, une !

Nicolas_track
Un petit pouce qui danse,
un petit pouce qui danse et ça suffit pour m'amuser...

Bon, ça, c'est dans sa tête, que le petiot chante, dans sa bouche, ça donne :


Un tit pouze qui danzeuuuu
un tit pouze qui danze et a zuffi pou mamuzzzzzzeeeeeeee


Nico ? Tu viens avec moi ?

Autant vous dire que là, la tatie gertrude, elle peut aller se brosser ! Il est un homme, haut comme trois pommes, mais qui se précipite pour aller rejoindre son père et lui prendre la main.

ze va zouer avec le feu moi auzzi hein papa li ?

_________________
Brunissande
et voilà, ce qui devait arriver, arriva ! y a des vérités qui mentent jamais ! quoi, les vérités ça ment pas ?! ben y a , parfois, des vérités qui arrange, quoi ! mais celle qui arrange pas et qui est couru d'avance c'est la ptite brune qui s'écrase encore à coté de la plaque ! si si , toujours . pourtant elle essaie de bien viser et tout hein ?! mais j'sais pas d'où ni comment , quand elle veut l'aider, l'homme de sa vie, elle se ramasse toujours et en beauté en plus ! f'rait mieux d'se taire, des fois ! pppff

elle le regarde en penchant légèrement la tête de coté . cherche t elle un indice d'où est sa faute ? ou alors, à comprendre le sens de ses paroles ? ou bien encore, si y a un piège . parce que faut pas croire, si les hommes cherchent les pièges dans les phrases des femmes, l'inverse est vrai aussi !

elle lui reprend son baiser volé mais dit rien , elle en a déjà trop dit ! un comble pour une silencieuse ? ben oui, mais elle s'essaie à un style différent, alors ... voilà quoi ! on tâtonne un peu au début, c'est normal . elle va bien finir par trouver le plus mieux .

elle les regarde partir, les deux hommes de sa vie . main dans la main . un ptit sourire flotte sur ses lèvres et ils disparaissent . et hop, une petite brune qui s'isole ! elle se lève et va près de la rivière . marcher un peu pour mieux retourner ses pensées . et mâcher !!
Le_g.
Il sourit en prenant la main de son fils et va avec lui pour se détendre. Il lui enseigne avec plaisir dans une clairière, riant lorsque les chaînes s'emmêlent, faisant et refaisant les mouvements en se plaçant derrière lui, l'aidant, l'encourageant, ravi que son gamin puisse préparer un numéro rien qu'à lui. Au bout de plusieurs heures, le numéro est appris, mais il reste encore des imprécisions. Le Gaucher regarde son petit bout d'homme, haut comme trois pommes, presque quatre, et qui s'amuse autant que son père en jonglant.

Je suis fier de toi, Nicolas. Dans quelques temps, tu auras le droit de jouer avec le feu, tu as ma parole mon grand.

Il lui ébouriffe les cheveux, et sourit.

On retourne à la roulotte, Sande doit se demander ce qu'on fait.

Lui-même pour le coup, s'est peu entraîné, mais il est tellement heureux de ces instants partagés avec son fils, que le reste n'a que peu d'importance. Et puis en plus, il a trouvé ce qu'il allait dire à Morphey. De retour sur le campement, il reprend les brouillons, et recommence la missive. Il va y arriver, un jour...

Citation:
Senher Morphey,
On dit qu'un ami, c'est celui qui voit clair en vous, et qui continue à apprécier le spectacle.
J'ai tendu une main, vous m'avez offert, sans le savoir peut-être, un trésor inestimable, celui d'apercevoir le monde au travers de vos yeux.
Je souhaite me tenir droit dans mes bottes, dans cette vie qui n'était pas la mienne.
Votre missive, et je vous en remercie sincèrement, est pour moi une béquille. Ce terme de frère d'armes m'emplit de fierté, je l'avoue.
Il est difficile, le chemin, et ces mots couchés, n'en sont que piètre représentation, tant du chemin que de la joie de cette amitié sincère partagée.
Rien n'est plus important à mes yeux, qu'une parole donnée. Tout peut être enlevé, argent, liberté de mouvements, sauf une chose, l'honneur et ce que l'on en fait. C'est la seule chose que rien ni personne ne peut prendre ou voler, mais que l'on peut perdre soit-même. D'aucun dirait que je perd le mien peu à peu, je pense au contraire garder ma fierté. Je suis ce que je suis, j'étais ce que j'ai fait, et je serai ce que je ferai. Il ne tient qu'à moi de rester fidèle à la seule valeur qui me tienne à coeur : l'honneur de la parole donnée.
Votre amitié m'honore et sachez que la notre, celle de ma compagne et la mienne, vous est d'ors et déjà acquise.
Nous sommes bien passés à Montpensier, mais la ville est comme de ses habitants vidée. Nous avons peut-être croiser une dizaine de passants, et encore en nous comptant dedans.
Actuellement, nous séjournons à Thiers, où nous resteront quelques jours, le temps que la juge daigne faire son travail, et rendre son verdict.
Très respectueusement,
Louis.


Avant de la recopier au propre, il appelle sa belle.

Ma douce ? Tu veux bien me relire ? J'pas l'habitude d'écrire aux nobles c'genre d'chose hein... C'pas comme d'écrire à un proc' ou un juge quoi... C'pas du tout pareil.

Oui, un jour, il finira bien par répondre à Morphey, pour le moment, il en est qu'au troisième essai... A croire que ça lui fait perdre ses moyens, au parrain des Cernunnos.
Brunissande
une marche au bord de l'onde, un mâchage de racine, réception d'un pigeon et réponse immédiate . le temps file, le temps passe .... au gréé du courant .

il a tellement passé qu'elle se demande si Tatie va pas lui passer un savon . pas grave, elle est déjà propre ! et elle trottine .. non non elle court pas , parait qu'il faut pas qu'elle court partout, maintenant. alors elle court pas . pas de sa faute à elle, si sa crinière danse dans son dos voulant faire croire que . pas de sa faute si ses jambes prennent le rythme habituel . elle trottine, pis c'est tout !

et elle arrive pile au moment où on l’appelle . arrfff , qu'est ce qu'elle a encore fait ??? ça peut pas être elle, elle était même pas là d'abord ! à moins qu'ils aient trouvé .... NOOOOONNN , impossible ! ou alors .... hhhaannnn ... si c'est ça ... pppffiiiooouuu ! elle a pas fini d'en entendre parler ! elle ralentit donc l'allure et reste à l'abri d'une roulotte , se penchant juste pour montrer son visage et elle plaque un grand sourire assorti d'un air des plus innocent sur son visage .

vi , c'est pour quoi ?


elle avait dans l'idée de toute de suite dire que c'était pas elle, mais elle préfère attendre de voir ce qu'on lui reproche, avant . prévenir ne vaut pas toujours mieux que guérir !

mais blocage total ! le sourire reste figé, l'air innocent part un peu en berne . elle regarde, son ange . là, c'est sure, y a un piège ! mais n'étant pas très portée sur les finesses masculines ... ça va être coton à jouer .

elle se rapproche, un peu méfiante, essayant de choper la ptit lueur de malice qui brillerait dans les yeux clairs . fini par s'installer à ses cotés et prendre l'écrit dans ses mains sans le lâcher du regard . si c'est un plaisanterie, il va finir par se trahir, obligé . non, le coin des lèvres douces ne se relèvent pas, même imperceptiblement, les yeux semble peu sur d'eux . hhmmm.. elle va se faire piéger en beauté là, elle le sent .

ça y est !!! les yeux quittent leur observation du visage tant aimé pour se poser sur les lignes gauchères ! ah ben ... rien qu'au premier coup d'oeil, lui qui voulait faire plus court ... mais elle lit ! petit plissage de nez au mot "béquille", mais discret le plissage de nez hein ?! elle relit plusieurs fois la phrase : "Il est difficile, le chemin, et ces mots couchés, n'en sont que piètre représentation, tant du chemin que de la joie de cette amitié sincère partagée. " . elle est pas bien certaine de bien comprendre le sens de cette phrase . ou alors, le sens qu'il a voulu donner . ah ? tiens, y a une phrase qu'elle reconnait . léger sourire de soulagement, elle avait pas tout, tout, tout faux quand même .

elle repose doucement le brouillon, troisième du nom, et garde les mains dessus un instant avant de lever son visage vers l'auteur de ces lignes . dernière assurance que le piège est bien caché et qu'elle ne le verra qu'au tout dernier moment ou alors, trop tard et elle ouvre la bouche !


j'aime bien les phrases .... euh ....

mince, trou de mémoire, c'est pourtant pas l'moment ! rapide coup d'oeil sur Brouillon III

Citation:
On dit qu'un ami, c'est celui qui voit clair en vous, et qui continue à apprécier le spectacle.

Je suis ce que je suis, j'étais ce que j'ai fait, et je serai ce que je ferai.


ouf sauvée ! elle repose ses yeux de jais sur son tendre, elle prierait presque pour ne pas avoir raté la cible, cette fois, pas d'écrasage en direct, sious plait !! mais ça doit pas être tout à fait ce qu'il attend . euh .. petit instant de réflexion ...

elles te ressemblent . quand messire Morphey les lira, il verra le Louis qu'il connait , celui a qui il offre son amitié .


essaierait elle de faire passer un message, là ?! ben connaissant l'immense facilité de compréhension homme/femme .... c'est pas gagné ! sauf que .... lui et elle, des fois, ils pensent la même chose, ou ressentent ce que l'autre veut . alors peut être que cette fois encore ....

que tout les croyants prie fort pour elle, et surtout pour lui !!! faites qu'ils arrivent à se comprendre !!!
Le_g.
Il la regarde, et esquisse un sourire, avec un sourire, puis prend une plume toute neuve, la taille comme il faut, et s'installe avec le parchemin acheté. Bon, c'pas la même qualité que celui que Morphey lui a envoyé hein... mais bon, c'pas tous les jours qu'il ouvre sa bourse pour payer quelque chose quoi. Même si c'est de plus en plus souvent ces derniers temps. Va falloir qu'il s'y habitue, et ça, c'pas gagné !

Assis à la table, il s'applique donc à recopier la lettre.

Citation:
Senher Morphey,
On dit qu'un ami, c'est celui qui voit clair en vous, et qui continue à apprécier le spectacle.
J'ai tendu une main, vous m'avez offert, sans le savoir peut-être, un trésor inestimable, celui d'apercevoir le monde au travers de vos yeux.
Je souhaite me tenir droit dans mes bottes, dans cette vie qui n'était pas la mienne.
Votre missive, et je vous en remercie sincèrement, est pour moi une béquille. Ce terme de frère d'armes m'emplit de fierté, je l'avoue.
Il est difficile, le chemin, et ces mots couchés, n'en sont que piètre représentation, tant du chemin que de la joie de cette amitié sincère partagée.
Rien n'est plus important à mes yeux, qu'une parole donnée. Tout peut être enlevé, argent, liberté de mouvements, sauf une chose, l'honneur et ce que l'on en fait. C'est la seule chose que rien ni personne ne peut prendre ou voler, mais que l'on peut perdre soit-même. D'aucun dirait que je perd le mien peu à peu, je pense au contraire garder ma fierté. Je suis ce que je suis, j'étais ce que j'ai fait, et je serai ce que je ferai. Il ne tient qu'à moi de rester fidèle à la seule valeur qui me tienne à coeur : l'honneur de la parole donnée.
Votre amitié m'honore et sachez que la notre, celle de ma compagne et la mienne, vous est d'ors et déjà acquise.
Nous sommes bien passés à Montpensier, mais la ville est comme de ses habitants vidée. Nous avons peut-être croiser une dizaine de passants, et encore en nous comptant dedans.
Actuellement, nous séjournons à Thiers, où nous resteront quelques jours, le temps que la juge daigne faire son travail, et rendre son verdict.
Très respectueusement,
Louis.


Puis il siffle Hadès, sortant de la roulotte la carcasse décharnée de la poule qu'ils ont mangé au repas de la veille. En y songeant, va falloir qu'il trouve de quoi ravitailler tout le monde, ça urge un peu là, et il soupire. Habituellement, un tour le soir près d'une ferme, et ils faisaient bombance plusieurs jours. Là, va falloir qu'il aille dans les champs ou à la mine pour louer ses bras. Il en deviendrait presque aussi vert que sa compagne té.

Pendant qu'Hadès mange, il lui noue un foulard autour du cou, y glisse le parchemin après avoir rajouté un mot :


Citation:
Désolé pour l'emprunt.


Il fait alors sentir à son loup le bout de tissus choper dans la poche de Morphey et qui avait atterrit "par pur hasard", dans la poche du Gaucher.

Hadès, va donner le message à Morphey. Va.

Il met le tissus autour du parchemin, et vérifie qu'il tient bien puis met une petite tape sur le flanc de son loup.

Va Hadès.
Brunissande
il devrait savoir qu'il faut pas lui mettre des idées dans la tête ! parce qu'une fois que l'idée est là, ben elle veut plus sortir ! et l'idée qu'il lui a mis en tête ben ....

elle sort du campement, marchant dans la campagne en recherche . recherche de quoi ? d'un bois ou d'une forêt . un bosquet, à la rigueur, ferait son affaire . chaque arbres, même solitaire, est scruté . les yeux couleur jais se plissent pour atteindre la cime . voir un éclat blanc . mais rien . elle appelle, siffle, rien !

les souvenirs remontent en même temps que les larmes acides . une image d'une toute petite boule de plume grisâtre . grosse comme rien . tenant dans ses mains ouvertes . abandonnée au pied d'un arbre, ou plus surement, tombée d'une roulotte ou d'un charriot d'une troupe . avec douceur et patience , elle avait gagné la confiance de celle qui deviendrait son amie ailée . le temps passant le duvet s'était transformé en plumage immaculé .

depuis, elles ne s'étaient plus jamais quittée . l'oiseau aussi têtue qu'elle , deux tête de lorraine . un sourire apparait lorsque les nombreuses images s'imposent . mais les yeux ne voient toujours rien . elle se doute bien que la belle a du rester à Troyes, gardienne farouche . elle se souvient parfaitement de ce que lui avait raconté la médicaste de Guéret, lorsqu'elle était inconsciente après ... Ael ! la pauvre femme et son aide avaient bien faillit y laisser des doigts et les yeux . refusant de se nourrir elle avait monté la garde installée sur le pied de lit . alors Troyes ....

la brune, appelle à s'en faire exploser les cordes vocales ! siffle jusqu'à en avoir des étourdissements . mais rien ! pourtant, il fait nuit . mais rien ! fatiguée de la journée et de sa recherche, elle fini par s'assoir au pied d'un arbre et s'endort roulée en boule les joues baignées de larmes .

Lune .....
Le_g.
Au petit matin, il file prendre les nouvelles en ville. Il se dirige en taverne pour manger et cherche du lait pour son gamin. Pour une fois, il a même de quoi le payer avec le salaire gagné hier en travaillant dans un champs.

Il regarde et soupire.


Té, l'prévôt l'a baissé son froc d'vant la pétasse qu'à des dormeurs-chieurs dans son équipe. C'tait presque comme un match d'soule leurs élections. J'vais p'tête avoir un verdict avant Noel!

Désabusé, il peste en fait.

J'finis par m'dire qu'en fait, les couronnés sont final'ment pires qu'nous z''ôtes... L'font juste avec des dentelles. M'donnent vraiment pas envie d'continuer comme ça. Z'ont même pas d'parole, pourtant j'le savais qu'les nobles c'tous des cons... Il songe à Morphey. Mouais bon p'tete pas tous, m'enfin 95 % quoi.

Il s'étire et regarde sa belle.
Brunissande
FFFFRRRRROOOIIIDDDDD !!! elle se réveille au pied de l'arbre, transie . c'est que fait pas encore bien chaud . pis juste en chemise, ça aide pas non plus . un peu perdue dès le réveil, elle est où là ? où est la roulotte ? hhhaaannnnn !! ils l'ont débarqués en route !! pis elle devait tellement bien dormir qu'elle a rien senti, ni entendu !! pppfff !! encore un coup des ptits pieds qui poussent tiens ! se redressant lentement, ben oui hein, dormir roulée en boule au pied d'un arbre, ben ça aide pas au délié des muscles, elle se masse la nuque .

ah ben non, elle reconnait l'endroit . ah ben voilà, elle sait où elle est et surtout ce qu'elle fait là . le visage se lève pour tenter de regarder dans les branchages . difficile de voir quoi que ce soit . mettant pouce et index dans la bouche, elle siffle un coup bref et assez fort . attend . rien ne bouge, rien ne se fait entendre . gros soupir .

oups, elle en a oublié son travail !! doit être sur les remparts, là ! oups de oups ! elle se lève rapidement et trottine vers la ville . je vous passe la nuit à marcher de long en large sur les remparts . y a rien eu de bien intéressant . mais si j'm'ennuie, promis, vous l'aurez en détails et précisions . la petit matin se lève enfin . pas trop tôt ! pas qu'elle soit fatiguée mais bon !

elle file dans une taverne boire un truc .... qui réchauffe . et elle tombe sur .... son ange him self * ! baiser volé et écoute attentive . et forcément, question !

dis ... c'est qui qui paie ceux qui garde la ville la nuit ?


non parce qu'elle est pas une coureuse de rempart mais elle y a quand même passé une bonne partie de la nuit à jouer à sauter de créneau en créneau quoi ?! et elle a pas eu sa paie, elle !



*lui même
Le_g.
Il lui sourit et l'enlace, puis retire sa chemise pour la lui poser sur les épaules.

Tu es glacée ma douce.

Parce que oui, il la regardée de loin, sa belle sur les remparts. Même pas qu'il s'en est approché. Il la serre pour la peine té. Amoureux, le Gaucher, amoureux de sa brune angélique.

Heu, la milice de la ville, c'est le maire, sur les coups d'quatre heure du mat'... Pour la maréchaussée, c'est l'prévôt des maréchaux. Alors t'quittes pas l'groupe des maréchaux tant que t'as pas ta paye. Plus qu'à espérer qu'l'autre couronnée s'ra efficace et nommera un prévôt rapid'ment pour qu'il paye les salaires... C't'une action manuelle du prévôt... C'peut aussi bien être à matines qu'à vêpres.

Il grimace, parce qu’étonnamment, il a pas confiance et se dit qu'elle pourra attendre ses sous jusqu'à la Saint Glinglin.
Brunissande
comment ça , il l'a regardé de loin ? oups ! heureusement qu'il est amoureux parce que ... ben ... sauter de créneau en créneau, sur le moment, ça lui avait paru être une bonne idée, pour passer le temps, voyez ?! mais étrangement, là, dans cette taverne, bien au chaud, emmitouflée dans la chemise trop grande et fleurant bon l'odeur de sa peau, blottit tout contre lui ... ben, elle doute qu'il trouve que ça soit une bonne idée, lui . mais comme il en dit rien, elle va pas non plus lui remettre en mémoire hein ?! pas complètement idiote non plus .

euh ... pas quitter le groupe ? ah ? euh ... et si on s'est tellement ennuyé qu'on l'a quitté dès qu'on a pu, y s'passe quoi ?


non, parce que a t on déjà dit que la toute petite brune là, ben parfois, et parfois seulement, elle fait les choses et elle réfléchit après !

donc, je "pourrais" être payé en même temps que tu seras relaxé ?


ben quoi ??? pour elle, y a pas, peuvent pas le condamner ! impossible ! et, comme c'est toujours bien rangé dans l'ordre dans la ptite tête lorraine ....

mais j'peux prouver qu'j'y étais, dans la maréchaussée moi, m'ont donné un truc exprès pour !


hop, la main plonge dans la besace et en sort une pile de vélins et autres parchemins . va vraiment falloir qu'elle fasse le tri un d'ces jours . elle feuillette rapidement et lui tend ce qu'on lui a donné .


Citation:
06-06-2012 10:03 : Vous avez été embauché dans la maréchaussée.


avec ça, ils peuvent pas dire que j'y étais pas hein ?!

et de regarder son tendre comme si la vérité coulait de sa bouche ! c'est qu'attention, ce que dit son homme, c'est forcément vrai ! il a, limite, la science infuse voyez ?!
Le_g.
Il l'observe, et esquisse un sourire mitigé, l'interrogeant.

Heu, t'l'as pas quitté hein ? Dis-moi qu't'as pas quitté l'groupe des maréchaux avant qu'ils te payent...

Non parce que là, pas qu'il ait peur, il s'en fout un peu, mais juste qu'bah, elle va faire comment pour manger. Il peut lui fournir un morceau d'pain ou deux, mais l'est pas crésus non plus quoi. Il soupire, et tente de lui donner une solution.

Bah, reste toujours la possibilité d'recevoir un mandat, soit ducal, soit munipal, avec un morceau d'pain dedans pour les transactions ou un épi d'maïs quoi... Mais faut penser à la taxe sur l'marché aussi, c'plus compliqué, et vu qui a la couronne c'matin après qu'l'autre il ait baissé ses braies, ç'va être compliqué. c'm'est arrivé une fois, crois-moi qu'après, j'faisais gaffe d'pas quitter l'groupe avant ma paye !

Il lui sourit.

Ecoute, amour, j'peux te calculer ça si tu veux, et même t'faire un modèle d'mandat pour les incompétents à couronnes. T'veux ? y z'auront pu qu'à r'copier... Pour t'mandater, mais faudra un Commissaire au Commerce nommé pour les sous, et un Heu... c'lequel qu'à les marchandises ? cui aux mines ou aux bestioles...

Il essaye de rassembler des bribes de souvenirs de conversations entendues en taverne...

Arf, je sais plus, faudrait qu'on d'mande à la bourgmestre, elle doit savoir elle.
Brunissande
ah ! ça s'complique ! et même drôlement ! elle le regarde toute angélique , le sourire de mise et pour bien appuyer le truc .... passe ses bras autours du cou de son homme et l'embrasse tendrement . prenant le temps de bien savourer ses lèvres . puis, se reculant un peu ...

euh .. ben j'pourrais t'le dire, si ça t'fait plaisir . mais .... ça s'rait pas la vérité quoi !

pis d'abord, qu'est ce qu'elle a à en faire des écus ? depuis quand c'est un truc qui lui parle hein ?! ben ... même en remontant loooiiiin dans ses souvenirs .. jamais ! alors leurs écus ... pppfff ! elle peut s'en passer quoi !

pas grave, j'ai pris un autre travail chez un type du coin, cette fois .


et comme pour confirmer son opinion sur les écus, son ange se met à dire tout un tas de mots, qui forment des phrases . oui hein ?! il est trop fort, lui ! sauf qu'elle, ben elle est pas trop forte ! parce qu'elle comprend rien de rien à ce qu'il raconte ! pis il pose des questions comme si elle avait la réponse . on remarquera l'entière confiance qu'il a en elle ! mais sur c'coup là, il en a p't'être un peu trop, de confiance en elle .

alors, dans sa superbe vision lorrainnienne du "tu vas voir comme tu as raison de m'aimer et que je comprend toujours tout " elle fait quoi ? ben elle hoche la tête tout plein . pour faire passer le message du " oui, mon cœur, j'suis d'accord avec toi ! absolument, mon ange, tu as raison!" . quoi ça tombe à coté ?! ben elle le sait pas, elle !!

léger plissage de nez au titre de la bourgmestre . elle tenterait bien un "youpiii" mais doute qu'elle arriverait à y mettre toute la joie qui devrait, normalement, y être accolée . bon, ben de toute façon, comme c'est pas elle qui parlera, la dite bourgmestre se sentira pas obligé de la côtoyer ni de lui adresser la parole, encore moins de répondre . c'est déjà ça !

d'accord, tu d'mand'ras à la bourgmestre, mais j'en ai pas besoin des écus tu sais .


et comme l'idée suit son chemin ....

dis, j'ai pris un travail aujourd'hui mais ... on s'en va quand ?

quoi, elle pousse un peu là ? mais non, d'abord !! c'est assez rare qu'elle demande des trucs quand même ! quoi elle a rien demandé ? ben si ! c'est même clair comme de l'eau de roche là, non ?!
Le_g.
Toujours en l'enlaçant, il lui rend un baiser fougueux, passionné.

M'suis trompé, c'le bailli qu'met les sous, et l'CAC qu'met les marchandises. Faut les deux quoi...

Avec un sourire il la regarde et s'installe à la table pour préparer les brouillons, une fois de plus hein... Genre forcément, elle a tout compris, d'ailleurs elle l'affirme clairement en hochant la tête, et puis vu que c'est : 1- la plus belle, 2- la plus intelligente, 3- sa femme, forcément, ils se comprennent à fond les ballons et forcément, ils sont toujours d'accord sur tout... ou presque. On vous raccontera pas leur soirée d'hier, qui a failli finir en catastrophe, mais qui a terminé par un feu en taverne... Si si ! un feu en taverne... et quel feu ! Hein qu'les yeux d'la belle en sont encore tout rêveurs. Vous savez pas de quoi il parle ? Bah, fallait être là et pis c'tout !

Alors... c'combien l'salaire normal'ment pour un maréchal ? 16 écus ?

Faut deux pains à 6 écus on va dire, c't'une moyenne...

Alors...

T'achètes l'pain avec tes sous à toi, tu t'le vend à toi-même à 2 écus... avec la taxe, c'fait 2.04 écus... soit 4.08 écus...

T'les revends pour les r'mettre dans l'mandat...

faut qu'tu récupères 16.08 écus... donc 8.05, vu qu't'peux pas les r'vendre à 8.04... z'avaient qu'à pas s'disputer pour la couronne, et y'aurait pas eu d'problème, chiabrenna d'fots-en-cul.

8.05 mais avec la taxe, c'fait 8.22 presque... donc faut qu'le mandat, y'ait 2 pains et 16.44 écus. C'pas à toi d'payer la taxe hein.


Après ces calculs d'apothicaire, il lui vole un baiser.

Bientôt... J'suis toujours en procès t'sais... tant qu'la juge s'bouge pas l'fion...
Brunissande
aaahhhh d'accooooord !!!

ça, c'est son truc à elle pour bien faire voir que tout va bien, elle vient de capter ! après .... vrai ou pas .... c'est toute la question ! mais si il y a une chose qu'elle a remarqué, c'est que, si dès le départ il y a pas un semblant de compréhension, les explications emmêlent plus qu'elles n'éclairent . et comme elle a franchement pas besoin d'emmêlage en plus de ce qu'elle a dans sa tête ..... faut les deux ! donc ... ben faut les deux quoi !

aaahh là, par contre, grand sourire, s'il écrit, elle va tout comprendre, les écrits, les mots, c'est son truc ! elle se dandine un peu sur sa chaise,prête à tout retenir d'un coup, dans cette lumière amoureuse qui les unie . compréhension et communication ! sont les deux piliers fort de leur relation ! vrai ! on se demande même si ils seraient ensemble si il n'y avait pas ces deux piliers là ! quoi c'est pas vrai ?! qu'est que vous en savez d'abord, hein ?!

ah oui, le feu en taverne !! elle se lasse pas ! elle use et abuse de son privilège, sans vergogne même ! et elle assume en plus ! ça fait passer toutes les idées ombres . d'une humeur maussade voir sombre, ça fait sourire . ça laisse dans les yeux tout plein de petites lucioles qui papillonnent . c'est simple, en quelques minutes, elle est passée du mode pas contente à franchement agacée pour finir sur le mode "ah ? j'ai les pieds sur terre ? ah?" . il sait y faire, l'homme de sa vie, faut pas croire ! il veut la faire tenir tranquille ? il veut lui rendre le sourire ? hop, le feu danse, il la regarde, il lui sourit tendrement, et c'est dans la poche ! une petite brune qui se souvient déjà plus du pourquoi du "pas content" . elle en chanterait presque " C'EST MON HOMMEEEEEEEEEEEE !!" . parce que oui, c'est son sien . le futur papa du bébé qu'elle porte, son futur époux, son fiancé même ! bon, p't'être pas dans cet ordre là, mais tout y est !

bon revenons aux écrits en préparation .... elle se penche un peu pour lire en même temps qu'il écrit . hhhaaannnn !! mais hhhhaaannnn !!! euh ... là, y a comme un soucis ! elle se penche un peu sur la table . revient en place, se penche contre l'épaule de son tendre, se redresse .... ben non, y a pas , elle capte toujours pas ! elle lève le nez vers le visage, de profil, de son tendre . observe la chevelure noire . plisse un peu les yeux . que fait elle ? elle tente, tout simplement, de voir dans quel sens tourne le cerveau . parce qu'il doit pas tourner dans le même sens que le sien !

du coup, elle hoche, elle hoche !! et ... oh miracle, elle parle, aussi !

vi , d'accord, j'achète le pain, et je m'le r'vend ! pis j'recommence et je les remets dans l'mandat !

et j'paie pas les taxes, parce que c'est pas à moi de les payer !


elle espère pas dire d’âneries, là . une chose est sure, s'il lui pose des questions sur le truc des taxes, il va découvrir qu'elle a absolument rien pigé .

euh .. non, mais j't'assure, c'est pas grave, j'en ai pas b'soin d'ces écus !


elle baisserait bien la tête pour pas faire voir qu'elle essaie de se planquer derrière ça, parce que si on lui donne, le mandat qu'il dit, ben ... elle saura pas trop quoi en faire . pis ça va l'encombrer ! quoi ? non elle est pas gourde ni sotte ! c'est que les écus et les transactions, ça a jamais été son fort ! c'est tout ! et depuis qu'ils ont mis les taxes ... ben encore moins, quoi !

elle lui reprend son baiser qu'est a elle et plisse franchement le nez, là ! bon, ben ... maintenant, trouver une idée pour que la juge bouge ! elle aurait bien une idée mais .....
Le_g.
Il relit et fronce les sourcils...

Heu, j'm'suis planté, et même pas qu'tu vois ? Et tu récupères comment les 4 écus des deux pains hein ? ...

Faut un mandat à 20 et des poussières...


Le gaucher regarde sa douce.

T'sais quoi ? On peut faire plus simple, y't'mette à toi rien qu'à toi...heu, mouais nan oublie...
En fait, faut qu'y ait 16 + 4.08 soit 20.08 + la taxe sur les 2 pains à 8.16...


Non non il s'embrouille pas. Certains l'ayant connu et lui ayant demandé ses effectifs comprendront mieux qu'il soit pas capable de les donner, lui et les maths, visiblement, c'fait pas bon ménage... Mais bon, à part ça, il passe quand même pour un homme génial aux yeux de sa brune, alors l'reste, on s'en fout un peu non ?

Mouais, j'suis pas CAC hein... ni bailli quoi...

Et là, poussez un soupir de soulagement ou pas m'sieurs dames, après tout qui sait, il faisait p'tet exprès ? ou pas d'ailleurs.

En fait, t'a rien compris c'est ça ma douce ?
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