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[RP] Et une assignation à résidence, une !

Nicolas_track
Je le regarde mon papa, j'adore ! Depuis quelques temps, c'est trop méga génial ! On fait le bâton de feu ensemble, et pis les bolas aussi. Même qu'il met le feu sur mon bâton ! Je suis trop trop content.

Et là, on va nager, j'aime bien. J'ai bien un tatouage de dragon et d'une étoile sur le bras, mais j'ai jamais su ce que c'est, je sais juste que papa, il est mon papa, le reste, je m'en fiche.


Z'arrriiiiiiiive !

Hop, vite vite vite. Autant dire que la pauvre Tatie Gertrude, elle arrive pas à me suivre hein ! Je file comme le vent pour suivre papa. Dans l'eau, j'aime bien, et puis en plus que là, il n'y a que nous, trop bien !


Il parle après qu'on a joué, mais je suis fatigué, je bâille, je comprend pas tout, juste que j'ai bien vu que lui et Sande, c'est plus pareil, ça, j'avais deviné. Mais... mais...

Pars pas ! T'as pas l'droit ! Pourquoi ! C'est à cause de Sande ? L'est méssante ! ze veux pas tu pars !
_________________
Le_g.
Il avait oscillé, comme une cogue marchande en pleine tempête... Entre rester, redevenir et changer, mais pour lui, pour elle, pour leur famille, il avait fait tous les sacrifices qu'il pouvait. Il voulait se ranger. Bien entendu, il avait failli chuter à plusieurs reprises. Les lettres de Morphey l'avaient aidé à tenir. Etrange parfois, où un homme va puiser la force de tenir. Un alter égo, un homme droit et Le Gaucher avait espéré pouvoir réussir. Il avait échoué. Pas faute d'avoir demandé à sa brune d'être forte, de lui avoir dit qu'il avait besoin d'elle. Elle n'avait pas su voir.

Il regarde son fils, et le serre contre lui.


Non mon grand, elle est pas méchante. Elle a cru bien faire, Nico. Et puis l'avantage, ça va être que tu pourras rencontrer ta maman. J'enverrais l'encapuchonner la chercher, tu veux ?


Un sourire, un clin d'oeil.

Dis tu veux me faire un câlin ? Mon grand, je veux pas te laisser, mais c'est trop dangereux. Je veux pas que tu viennes me voir travailler.

Tu sais, je vais te dire un secret... Tu l'as déjà rencontrée, ta maman. Elle t'aime, et elle voudrait te revoir... Même si elle vit pas avec nous. Tu veux bien ?
Brunissande
pourquoi on est pas dans un temps lointain ? mais très lointain, même ! hors de compréhension de ces années 1460 ! un temps où y aurait des machines infernale qui serait comme des hommes, voyez ?! des machines qui ressembleraient à des hommes, marcheraient, parleraient mais qu'il y aurait une sorte de bouton quelque part, qu'on appuierait dessus que qu'il n'y aurait plus de son ! ça serait quand même drôlement bien, non ?! moi j'dis qu'ça reposerait un peu la toute petite brune . mais bon, on est pas dans ce temps lointain et faut assumer son époque . alors assumons .

elle écoute qu'à demi, la brune . presque résignée à ne pas voir Lis lâcher le morceau . elle l'a connait, quand elle a une idée en tête ... elle est un peu "rentre dedans", n'a aucun tact mais parle pas sans savoir . mais elle en a marre là !!! faut qu'ça s'arrête ! va nous faire une crise et dans pas longtemps, même !

LIS ! arrêtes ! j'en peux plus !


ah, j'avais prévenu, hein ?! elle sature, fallait pas la pousser . pas maintenant ! pas le moment ! toute patience à ses limites, même si le grand brun lui a dit, une fois, que sa patience était impressionnante . là, faut croire que la limite du bout est atteinte !

STOP ! arrêt bande son et image ! parce que même si elle écoute pas tout, y a quand même des mots qui s'infiltrent ! y a pas idée, non plus, de dire des mots ! pppffff !! elle pouvait pas juste sortir des sons ? non ?! ça l'aurait bien arrangé, quand même . mais non, elle s'obstine à dire des mots ! relançons le tout avant de faire fondre la bande

une toute petite brune qui lève le nez vers une chatain ou aine ou aigne .

qu'est ce que tu me racontes ? non, c'est hier qu'il a pris sa décision . hier soir, même ! quand on lui a dit que je voulais le quitter ! tu délires là !


elle réfléchit, oui, c'est hier soir , pas avant .

les derniers mots de Lis lui font naitre un sourire sur les lèvres . oh pas un sourire de joie, ni rien comme ça . non, un sourire amère .

tu vois, t'aurais pas dis ta dernière phrase, là, tu aurais peut être pu me faire douter . parce qu'une chose que toi, tu sais pas mais que lui sait, c'est que même malheureuse à en crever, j'le quitterais pas .


tiens, c'est vrai ça ... il le sait ça, elle lui a assez prouvé, non ?! pourtant hier .... arfff !! Liselle sort de la tête de la brune !!!! c'est pas ta place !!!
Liselle.
quand meme elle reagi pas trop tot

non pas d'hier ma belle si tu lisais mes pigeons d'temps en temps tu l'saurais

il attendait qu'une occas pour t'faire sa crise

et toi t'es trop conne t'as rien vu

comme tu vois pas comme y fait pour t'ejecte d'sa vie d'puis un moment

c'pas toi qui veu toi si t'garde ça s'ra pour l'bébé qu'attend

pas qu'on dise qu'c'est un mauvais père

écoute lis les pigeons j't'es envoyé y a les noms et tout pour contacter s'tu veux

pis dit toi un truc c'est qu'quoi tu fasse t'aura tor et il r'tournera l'truc contre toi c'est un pro pour ça parait
Brunissande
Lis dans toute sa splendeur ... elle aurait dû s'y attendre . ppffff ! bon, on fait comment déjà ? ah oui, inspiration à fond et expiration doucement en vidant bien les poumons . aller, on se le fait encore une fois . ça mange pas de pain et ça détend . euh .... une troisième pour la route, on sait jamais . non, on va pas abuser des bonnes choses ! on arrête là . trois, c'est déjà bien, non ?!

bon, qu'est ce qu'elle nous dit d'autre, la Lis ?! ah ben .. elle est en veine de mots, y a pas ! bon, la petite brune décide d'attaquer bille en tête d'abord ! parce que y a comme une impression qui se dégage des paroles, là ...

Lis, tu sais très bien que, quoi que tu fasses ou dises, je viendrais pas vers toi . je t'aime bien mais tu es juste une amie et tu ne seras jamais rien d'autre .

bon, ça, c'est dit ! pourquoi faut toujours répéter les choses ?

tes pigeons, j'en ai lu en biais quelques uns et j'ai tout jeté de toute façon . tout brulé .

heureusement que le grand brun et pas dans l'coin . quoi que ... si il pouvait faire fuir Lis ... mais non, elles sont seules, dans la campagne . tiens , une idée !! la campagne ! aller, hop, la toute petite brune se retourne et continu sa promenade . Lis aime pas marcher, ça devrait vite la lasser .

laisse moi tranquille, Lis, s'il veut plus de moi, même s'il le dit pas, je le sentirais . tu sais très bien que je ressens toujours les choses .


ben pourtant elle ressent, mais ça .... ça regarde qu'elle et Lis peut pas le savoir !!!!!
Liselle.
c'est plus que conne qu'elle est

t'vas pas m'dire qu'tu vois rien

p'tain Sande lis mes pigeons j'te les renvoi

y va tout faire pour t'rendre malheureuse et qu'ce soit toi qui t'casse

tu vois pas ?

y fait croire qu'l'est malheureux pour qu'on l'plaigne et qu't'en prenne plein la tête

tiens y t'as parlé des pigeons qu'tu r'cevais ?

j'sais qu'tu viendras pas vers moi pas d'ça quj'te parle j't'aime et même si tu s'ras jamais a moi j'te protège

dit moi quand j't'ai menti ?
Brunissande
est ce que quelqu'un pourrait m'expliquer pourquoi j'ai pas fait ma brune hyper violente, agressive et tout et tout ?! je pose la question ! que quelqu'un vienne m'expliquer ça ! ça m'arrangerait, là ! parce que, franchement, je la ferais bien sauter à la gorge de Lis pour lui trancher la carotide avec les dents ! oui, je dois avoir un problème avec les dents, une obsession, sans doute . ah oui, mais on peut pas . y a des jours où on regretterait presque d'être respectueuse des règles .

bon, elle la connait, elle lâchera pas . le soupir est à fendre l'âme .

bon, donne moi les noms, là, tout de suite . je te dis pas que je vais me renseigner, je promets rien, Lis . mais donne ta liste .

houlààààà .... les yeux noirs brillent d'une lueur pas franchement enjouée, les jambes arrêtent de marcher et le corps se retourne d'un bloc . le visage ne se lève pas et les yeux regarde la femme par en dessous . un vrai petit fauve près à bondir .

de quels pigeons tu parles, Lis ? de quels pigeons il aurait dû me parler ? hein ?!


sonnez l'alerte !!! appelez les gardes !!! prévenez la maréchaussée, l'armée .... tout ce que vous pouvez et vittteeeeee !!! va y avoir un massacre Lisien dans pas longtemps !
Le_g.
De retour à la roulotte, son fils dans les bras, il trouve un message de l'une de ses nièces. Elle ne viendra pas. Après tout, il l'a laissée sans nouvelles depuis qu'il tentait de rester sage. Il pose son fils et lui demande d'aller chercher les bâtons de feu, pendant qu'il lui répond.

Citation:

Ma puce,
Je suis à Aurillac, on va chercher les affaires de Sande à Limoges ensuite, on les dépose en Languedoc et on va faire un tour vers **********, on m'a parlé d'un coup à faire.

Mes amitiés à ton paternel. Dis-lui juste que je n'ai pas oublié notre conversation. Il saura de quoi il en retourne. Pour le moment, je ne suis pas prêt, mais je ne l'ai pas oublié. J'espère qu'il se remettra bien.

Tonton Louis


Puis il retourne dehors, à l'air libre, il regarde le ciel, et s'étire.

Allez Nico, on va travailler un peu ton numéro, comme ça, tu viendras à Belrupt avec moi pour le faire. Je t'y présenterai un ami. Tu veux ? On demandera à Sande de venir avec nous, si elle veut bien.
Liselle.
zont raison les autres l'est pire qu'la gangrene c'type

j'tend un parchemin à ma belle (mp)


tiens amuses toi bien t'verras si j'mens

j'savais qu'y tend parl'rait pas y dit qu'y veux protéger mais fait rien pour

même qu'il en rajoute pour t'faire sentir mal

marrant comme tout ceux qu'm'ont parle d'lui dise la meme chose

t'sais quoi j'te plaind t'es d'venu une loke d'puis qu't'es avec lui faut croire qu'il aime ça
Brunissande
crévindiou ! mais elle va pas se calmer, elle ? non? vraiment ? on reconnaitra, tout de même, que le mot "loque" fait son petit effet . voilà, y manquait plus que ça . c'est plus les dents qui tombent avant de repousser, c'est opération à gencive ouverte, sans anesthésie, des dents de sagesse ! la vache, qu'ça fait mal !

y aurait bien une solution pour qu'elle lui fiche la paix, ça serait de rentrer au campement . peu de chance que l'encapuchonné la laisse passer . mais avant tout ça, elle a pris le parchemin, comme quoi, y en a qui ont les moyens et pas d'autres, et parcourt rapidement la liste des yeux . léger froncement de sourcil puis écarquillement des yeux .... elle change pas de couleur mais toute une palette d'expressions toutes plus étranges les une que les autres, passe sur son visage . arffff si la Lis voit ça ... elle est cuite ! d'où l'idée, postérieure qu'on a mis en antérieure ... vous suivez ?! elle posera pas de question, pas le moment . mais quand même .... pppfffiiiooouuuu quand elle parle de liste, elle fait pas semblant, elle . y a du beau monde et de tout bord .

bon revenons au petit fauve près à bondir, parce que faut pas oublier que la petite brune est en mode "t'as cafté ? j'vais t'tuer" . les poings se serrent , la mâchoire aussi ! outch les dents de sagesse !!!

Lis, ce que tu as fait, je te le pardonnerais pas ! comment as tu osé ? et tu lui as dis encore beaucoup de choses, comme ça ?


non, mais vrai quoi ?! elle peut donc avoir confiance en personne ? qu'est ce qu'on se sent seule dans ces cas là !! pppffff !!! donc vient l'idée du campement .

pas que j'm'ennuie, Lis, mais j'vais rentrer .


et même pas qu'elle attend la réponse .. elle est déjà parti direction le campement . pas sur qu'elle s'y sente mieux mais je vois pas trop où j'pourrais l'envoyer ailleurs .
Liselle.
j'm'en fou j'la suis

pauv' conne tu t'retourne contre ceux qui t'aime vraiment et tu garde ceux qu'en on rien a foutre

ouai j'lui ai dit et alors ?

non j'ai rien dit d'autre t'me prend pour qui ?

tien j'vais dire un truc avec certains d'la liste on a fait comme des paris

y en a qui dise qui va t'laisser sur l'bord d'la route comme l'aute fois

y en a qui dise qui va t'faire fuir exprès

y en a qui dise qui va tellement s'faire croire malheureux qu'c'est les autres qui vont t'faire fuir

mais on dis tous qu'il s'ra l'premier à s'plaindre qu'il est malheureux à cause de toi, parce que t'es parti ou parce que tu restes


et j'me marre
--La_capuche


Il était là, dans l'ombre d'un fourré, tranquillement à tailler des flèches, un fagot de bois devant lui. L'entrée du campement, il la surveille, mais bon, en plein jour, ça craint pas grand chose.

L'encapuchonné regarde la femme du chef et celle qui l'accompagne. Il se lève et regarde Sande.

L'est dans sa roulotte. L'a b'soin d'toi.

Puis il se tourne vers l'autre donzelle et lui barre le chemin.


Dégage, l'coureuse d'rempart. T'pas la bienv'nue ici. Casse-toi.


Se tournant vers Sande, l'encapuchonné lui demande en désignant la femme qui l'accompagne.

J'fais quoi d'ça ? C't'une étrangère.


_________________________________________

Brunissande
hip hip hip hourrraaa !!! une ovation pour l'encapuchonné !! écoutez , non mais écoutez ! vous entendez ? non? rrhhoo pourtant c'est assez fort quand même ! l'énorme soupir de soulagement Sandien ! elle le regarde, la Capuche, limite qu'elle lui sauterait au cou pour lui faire la bise . elle hoche la tête, il a besoin d'elle, elle va y aller de suite . mais avant elle se tourne vers Lis stoppée par le veilleur . elle le regarde bien en face, s'approche d'elle et lui plaque son parchemin sur la poitrine assez violemment .

tiens remporte ça avec toi ! j'en ai pas besoin .

pour être sure qu'elle le prenne elle attrape un des poignets de son "amie" et relève le bras pour coincer le parchemin avec . bon, c'est peut être pas très clair comme explication mais ce qu'il faut retenir c'est que quand la toute petite brune lâche le parchemin et le poignet ben tout reste bien en place .

elle se tourne vers le veilleur sans plus regarder Lis

elle fait ce qu'elle veut du moment qu'elle m'approche plus . ni moi , ni Nicolas, ni Louis, ni Tatie .

elle aurait pu lui dire "mets lui la raclée du sa vie pour de la part de la "loque" " mais a t on déjà dit qu'elle était même pas méchante ? elle veut juste plus jamais en entendre parler . PLUS JAMAIS . après ... au bon soin de l'encapuchonné hein ?! il est grand et connait son affaire .

elle, elle doit aller voir dans une roulotte parce qu'on a besoin d'elle . et ça , ça souffre pas d'attente ni de bla bla Lisien ...

elle grimpe les marches et ouvre la porte ...

tu as besoin de moi ?
Le_g.
Dans la roulotte, avec son fils, lui apprenant à tracer des lignes, à dessiner des cartes... voilà ce qu'il fait le Gaucher. Comment ça, il perd pas le nord ? Bah non, mais le sud non plus, et puis d'abord que c'est comme ça et puis c'est tout. Il est un peu petit pour apprendre à écrire, son fils, mais il peut très bien dessiner.

Il lit une missive d'Arthur et explose de rire. Bah voyons ! Arthur veut lui coller son pied au fion s'il l'appelle de nouveau Ta Grandeur ? rien qu'à l'idée de l'faire caguer, il hésite à prendre un parchemin pour lui répondre direct : Ta grandeur, astre illustre qui illumine nos vies par ta grande clairvoyance... Mouais ! P'té ça s'rait classe ça ! Va l'app'ler comme ça à partir d'maint'nant té !


Un sourire éclaire le visage du Gaucher quand sa belle approche.

Oui, j'ai reçu quelques missives dont je voudrais te parler.

Puis il se tourne vers son fils.


Nico ? tu penses que tu arriverais à trouver des fleurs jaunes, rouges et bleues ? Je t'explique pourquoi... Tu prends les fleurs, et tu les écrases sur le parchemin, c'est rigolo et en plus, ça fait plein de jolies couleurs. Du bleu pour le ciel ou la mer, du jaune pour le soleil, du rouge pour les lèvres des bonhommes, et même tu peux prendre de l'herbe pour l'écraser pareil, ça fait des jolis dessins. Prends Hadès avec toi, tu veux bien ?


Un baiser paternel sur le font du Nicolas, alors qu'il l'envoie jouer dehors sous la protection du loup. Il ne risquera rien, le canidé est du genre à bien croquer ceux qui voudraient faire du mal au gamin.

Lorsqu'ils sont seuls, il l'enlace et esquisse un sourire en coin.


Bon, alors plein de nouvelles, les affaires reprennent ma douce. Des bonnes et des moins bonnes. Je commence par la famille si tu veux bien ?

La rousse va voir son paternel, il est en convalescence. Elle va bien, et viendrait bien nous rejoindre sur un projet.

Pas de nouvelle de mon autre puce ni de son escorte, mais je pense que j'aurais ça d'ici ce soir.

J'ai aussi une réponse de Morphey. Nul doute qu'on risque de se taper dessus un jour, mais ça, ce sont les risques. Je les accepte comme tels. Par contre, j'avais promis d'aller faire danser le feu à Belrupt, et j'aimerais que toi et le barde vous m'accompagniez, tu pourrais te charger de ça ?

Hier soir, j'ai reçu une invitation de Titi, et ma foi, pourquoi pas, ça nous dégourdirai les jambes, ça coince juste au niveau des dates, il est pressé, moi pas. A priori, il savait pas que j'étais au vert, lui.

Quoi d'autre ? Heu ! Oh ! La dernière et non des moindres... Arthur accepte malgré tout d'être mon parrain. Il me dit plein de choses, y compris sur mon métier, et sur le reste.


Il lui prend les mains et lui vole un baiser.

Amour, je t'aime, et je veux toujours que tu partages ma vie. Mais j'ai besoin de le voir, après ce qu'il s'est passé, j'ai besoin d'y réfléchir, avant de fixer une date de mariage... Je ne reviens pas sur ma promesse, je t'aime, et je t'épouserai. Reste à définir le quand et surtout, à bien comprendre les implications.

Il la serre contre lui et la fait tourner. L'espace exigu fait qu'ils se retrouvent rapidement affalés par terre, le Gaucher riant et la serrant contre lui.

Hum, tu sais que ça me donne plein d'idées ?

Il lui sourit et l'embrasse de nouveau.

Ah, et j'ai aussi des nouvelles d'un truc dont j'avais parlé avec le barde il y a un bout de temps. Du coup, ça va être d'actualité... J'y pensais même plus, mais disons que j'ai reçu aujourd'hui même l'information.

Enlacés, il la caresse, lui mordille la lèvre inférieure, la serre contre lui, et hume son parfum.

Hum, c'est... Je recevais des trucs comme ça tous les jours, mais là, je vais dire oui à certaines propositions. Pendant que j'étais au vert, ça me tentait, mais j'ai répondu à rien, du coup, le calendrier va pas être long à remplir je pense.
Brunissande
ils sont là, tout les deux, les hommes de sa vie . tout deux appliqués . ils se ressemble tellement que c'est troublant . et de les voir ainsi, la toute petite brune, ben elle se sent fondre . et en même temps culpabilise à mort !

elle sourit en réponse à son homme . et s'approche de la table où ils "travaillaient" le petit d'homme saute au sol et file dehors en compagnie du loup . elle n'a même pas eu droit au bisou habituel . BAM ! y a plus de dents y reste quoi ? les gencives ? euh ... disons qu'elle se sent lacérée . juste un voile triste sur l'enfant quand il sort et le voile disparait en revenant sur son Ange .

elle se cale contre lui, savourant le moment de tendresse ET DE CALME ! prête a tout écouter .

la rousse ... elle hoche la tête . ça ferait bizarre de la revoir mais du bien, aussi . souvenir de fou rire en masse . elle sourit .

la blonde .... arffff sont perdus où, eux ? au moins ils sont passés, si elle se souvient bien, c'est déjà ça .

elle lève le nez vers lui

d'accord, j'vais voir ça avec le Barde , j'pense pas qu'il soit contre . j'préviens dame Sofio ? elle a pas mal à faire en ce moment c'est la période remise de diplome là bas je crois


arfff Titi .... très léger plissage de nez . mais réflexion intense et rapide . après tout ... tout change pourquoi pas leur relation au Titi et elle ?

elle sourit lorsqu'il annonce l'acceptation d'Arthur . cet homme est un homme bien, y a pas à dire .

oups, un baiser volé . han hhhaannn !! reprise de mairie euh .. non de baiser avec intérêt même . non mais !

oh oh ... les épousailles . logique . rien à redire à ce qu'il dit . elle ressert juste ses doigts sur le mains . euh ... implications ? euh ... là, y a comme un vide inter lorrain ! limite trou noir .

mon Ange, je t'aime . je te fais confiance . je sais que tu tiendras ta promesse .


mouais, doit on dire qu'elle est pas mécontente de ce temps donné ? après ce qui s'est passé, elle aussi a besoin d'y réfléchir . elle lui sourit avec douceur .

quand tu auras compris les implications, tu voudras bien m'en faire part ?


on notera l'extrême confiance en cet homme . pas DE hein ?! EN ! De aussi , p't'être , mais c'est pas ici que ça se passe quoi ?!

oups ... une lorraine en vole !!!! attention à l'atter.... ah trop tard !!! atterrissage forcé . et là, on dit OUF !!! oui oui ! OUF ! parce que le grand brun a eu la bonne idée, que dis je ?! l'excellent idée de pas tomber SUR la petite brune ! sinon, ça aurait pu tourner court, cette histoire ! court ou plat, au choix . mais non, elle atterrit contre lui ! protecteur jusqu'au bout ! un amour d'homme, moi j'vous l'dis ! et après le moment de surprise passé et surtout le repoussage de boucles trainant de partout, les englobant, faisant un paravent chevelu entre leur deux visages et le monde extérieur . elle avait quand même pris le temps de s'emplir les yeux de ce visage tant aimé à l’abri dans le clair obscur des boucles . elle rit avec lui .

ah zut !! remettons les boucles !! le paravent !! vite !!! le grand brun a des idées !!! baiser échangé avec tendresse . et posant son menton contre la large poitrine elle le regarde . euh ... vi le Barde, y a longtemps, vi d'accord ... euh ... elle relève la tête pour plonger son regard dans les yeux si clairs .

et euh ... je peux savoir ce que vous tramez tout les deux ?

non parce que le Barde ... le fou chantant .... elle l'aime bien, rien à redire là dessus . ils rient bien tout les deux . mais elle se méfie des idées qui sortent de sa caboche ! se souviens bien qu'il voulait la mettre en cage ou la faire défiler au bout d'une laisse .. méfiante ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiii

elle se repait de sa douceur, ses caresses , l'embrassant en attrapant ses lèvres du bout des dents .. glissant les mains sur la large poitrine offerte , touchant la peau dessous par le col ...

une pensée pour le "vert" impossible a rattraper . rêve éteint brillant comme une lueur au fond de la mémoire .... elle lui sourit en caressant sa joue, doucement, du bout des doigts, remontant vers les tempes avec lenteur, graver les contours dans la pulpe .

ben comme ça on sera occupé, pas le temps de trop réfléchir . 'fin ....


un bâillon ? qui aurait un bâillon ? des lèvres feraient l'affaire ? ah pas bête ça ! et une lorraine qui embrasse son tendre passionnément !!!
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