Mariealice
[Licorneux campement toujours
Mais cest quoi ce bordel ?!]
La rousse nétait pas partie pour désarmer. Etonnant non ? Ouais mais non. Surtout pas pour Marie qui la connaissait bien. Bon par contre il lui manquait clairement des éléments dans cette sombre histoire de trouver . Quoi au juste ? Son frère ? Ben il navait jamais été perdu. Enfin du moins pas depuis un bon moment. Parce que oui il arrivait quil se perde, quon le perde, bref quon ne sache pas où il se trouvait mais là, visiblement, il était devant elle, devant eux alors quoi ?
Le regard de la brune passa donc de la rousse au brun façon début de poivre et sel, oui tout était question dépices et là, la principale tendait à être la moutarde. Le truc qui montait au nez, vous faisait pleurer les yeux et maudire son inventeur. Parce que oui cette chose ne pouvait être quinvention masculine dabord.
Enguerrand commença à répondre. Sauf que lhabituel ton assuré et calme du frangin laissait place à un sourire crispé, à un énervement visible même sil tentait, maladroitement, de le cacher et une espèce de charabia limite compréhensible. Pour un peu on aurait dit un vieil ivrogne en manque. Et voilà quil hurlait en plus !
Ouverture de bouche pour en placer une, fermeture alors quil leur indiquait quelquun qui serait en train de les observer. En bon soldat, elle suivit le bras des yeux quelle plissa en trouvant la silhouette au bout. Du bras. Haussement de sourcils. Mais qui était-ce ?
Pour un voleur, il me semble bien tranquille hein.
Et là Dun coup. Un orage. Mais de ceux quon disait de chaleur, qui vous éclatait à la figure par un beau jour dété, sans que vous layez vu venir. Dun coup paf un éclair et dans la foulée le tonnerre et vous vous retrouviez cramé façon barbecue avant davoir compris. Beh là le morceau de viande rôti à point, cétait Quiqui.
Hallucinée, si si cétait le mot, Marie vit la scène se dérouler devant elle sans comprendre. Des mots, jetés pêle-mêle pour finir par une morsure et une rousse qui comptait les laisser quimper là. Larrivée dAldraienounette lui fit tourner la tête un instant avant de la retourner vers la rousse précédemment citée.
En premier tirer sur son oreille comme elle le faisait parfois en taverne quand on avait crié trop près delle.
En deuxième regarder son frère puis sa future belle-sur qui était tout de même à la base son amie et ensuite sa vassale.
En troisième respirer, rester calme.
En quatrième se racler la gorge.
Ewaele, tu ne mas pas dit bonjour non plus. Je te mords où ? Ceci dit jai le choix, jai largement pu voir quel morceau serait le plus tendre avec ta sortie de tout à lheure. Ah et si tu croises une flaque d'eau, un miroir, tu as quelque chose sur le visage.
Sourire en coin, cétait vrai quoi. Elle avait fait la même chose donc même punition non ?
Bien. Direction lui là-haut ou les Hospis ? Non parce quon perd du temps avec toutes ces mondanités. Pour un peu on se croirait au Louvres.
Tapotant du pied au sol, la brune se demandait si elle nallait pas y aller seule à ce rythme.
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La rousse nétait pas partie pour désarmer. Etonnant non ? Ouais mais non. Surtout pas pour Marie qui la connaissait bien. Bon par contre il lui manquait clairement des éléments dans cette sombre histoire de trouver . Quoi au juste ? Son frère ? Ben il navait jamais été perdu. Enfin du moins pas depuis un bon moment. Parce que oui il arrivait quil se perde, quon le perde, bref quon ne sache pas où il se trouvait mais là, visiblement, il était devant elle, devant eux alors quoi ?
Le regard de la brune passa donc de la rousse au brun façon début de poivre et sel, oui tout était question dépices et là, la principale tendait à être la moutarde. Le truc qui montait au nez, vous faisait pleurer les yeux et maudire son inventeur. Parce que oui cette chose ne pouvait être quinvention masculine dabord.
Enguerrand commença à répondre. Sauf que lhabituel ton assuré et calme du frangin laissait place à un sourire crispé, à un énervement visible même sil tentait, maladroitement, de le cacher et une espèce de charabia limite compréhensible. Pour un peu on aurait dit un vieil ivrogne en manque. Et voilà quil hurlait en plus !
Ouverture de bouche pour en placer une, fermeture alors quil leur indiquait quelquun qui serait en train de les observer. En bon soldat, elle suivit le bras des yeux quelle plissa en trouvant la silhouette au bout. Du bras. Haussement de sourcils. Mais qui était-ce ?
Pour un voleur, il me semble bien tranquille hein.
Et là Dun coup. Un orage. Mais de ceux quon disait de chaleur, qui vous éclatait à la figure par un beau jour dété, sans que vous layez vu venir. Dun coup paf un éclair et dans la foulée le tonnerre et vous vous retrouviez cramé façon barbecue avant davoir compris. Beh là le morceau de viande rôti à point, cétait Quiqui.
Hallucinée, si si cétait le mot, Marie vit la scène se dérouler devant elle sans comprendre. Des mots, jetés pêle-mêle pour finir par une morsure et une rousse qui comptait les laisser quimper là. Larrivée dAldraienounette lui fit tourner la tête un instant avant de la retourner vers la rousse précédemment citée.
En premier tirer sur son oreille comme elle le faisait parfois en taverne quand on avait crié trop près delle.
En deuxième regarder son frère puis sa future belle-sur qui était tout de même à la base son amie et ensuite sa vassale.
En troisième respirer, rester calme.
En quatrième se racler la gorge.
Ewaele, tu ne mas pas dit bonjour non plus. Je te mords où ? Ceci dit jai le choix, jai largement pu voir quel morceau serait le plus tendre avec ta sortie de tout à lheure. Ah et si tu croises une flaque d'eau, un miroir, tu as quelque chose sur le visage.
Sourire en coin, cétait vrai quoi. Elle avait fait la même chose donc même punition non ?
Bien. Direction lui là-haut ou les Hospis ? Non parce quon perd du temps avec toutes ces mondanités. Pour un peu on se croirait au Louvres.
Tapotant du pied au sol, la brune se demandait si elle nallait pas y aller seule à ce rythme.
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