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[RP] Cathédrale, Couronnement de la Comtesse Seleina

Angelo_de_montemayor
Les massives cloches, nichées dans les hautes flèches de l'immense cathédrale, sonnaient à toute volée, appelant les fidèles à un office particulier, extraordinaire. Leurs accords mélodieux et métalliques enveloppaient la ville, résonnaient sur les pans de bois des maisons à colombages ou sur les épais murs de pierre des hôtels particuliers.

À l'intérieur, les grandes bannières ainsi les fastueux lustres et candélabres contrastent avec la sévérité et l'austérité de la pierre.

À la croisée de la nef et du transept se trouvait Angelo, Monseigneur de Limoges .Agenouillé devant l'autel, il priait... alors que les premiers fidèles, notables et conseillers ducaux faisaient leur entrée.

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Evêque de Limoges
Arnaut_de_malemort
Et puisqu'il était venu l'heure de voir couronner la Comtesse, le jeune héraut noble pénétra donc dans la cathédrale, vêtu de son tabard de héraut, de la sacoche qui allait de paire, et d'autre ustensiles de torture héraldique. Ses pas le menèrent jusqu'à l'évêque, apparemment en prière. Doucement, il lui dit alors :

- Bonjour mon père. Excusez moi, je suis un peu perdu. Puis-je savoir quel jour nous sommes ?

Dit-il alors qu'il s'apprêtait à signer une lettre. Avait-il donc dormis si longtemps pour avoir perdu toute notion de réalité ? Nan c'était surtout une bien légère entrée en matière.
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Angelo_de_montemayor
Angelo se tourna vers le jeune homme

Bonjour, nous sommes le jour de Sainte Ophelia l'Apôtre , le dernier jour du mois d'avril
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Evêque de Limoges
Vonafred
Une fois n'est point coutume comme dirait l'autre.Mais la coutume parfois...s'éfface devant la volonté du Roy.

C'est couronne en chef et vêtu de fer que le Roy fit entrée en la Cathédrale Limousine pour y recevoir la tierce allégeance de la Comtesse Seleina à la Couronne de France.
Le souverain pénetra sous la nef et, remontant la travée centrale fit salut courtois au Malemort avant de s'adresser au Prélat rencontré la veille...en tavèrne.

-Messire de Malemort heureuse rencontre...Nos amicales salutations.
Prenant son plus bel accent...
-Monsignore, siamo incantati di incontrarvi di nuovo. Il "Tutto Potente" non saprebbe trovare più gentile rappresentante * .
Vous nous ferez la grâce d'estre tous deux témoins de l'allégeance de nostre Très chère Vassale.


Le Couronné s'agenouilla au premier rang comme il se doit et dit ses grâces...





* Nous sommes ravi de vous rencontrer à nouveau. le Tout Puissant ne saurait trouver plus aimable représentant.
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Seleina
C'est peu de temps après que suivrait la jeune femme, foulant à son tour le sol dallé, voûtes majestueuses,colonnes imposantes en ligne de mire. Le Roi, l'Evèque et le Héraut, les nobles de part et d'autre, le peuple venu au son des cloches, à la volée, honorer son souverain.

La nouvelle s'était propagée comme une traînée de poudre.

Emue et digne, la jeune femme remonta l'allée, silence religieux accompagnant ses pas menus, volontairement dénudés, geste symbolique. Dépouillement de circonstance face à son roy tout puissant.

Gratifiant l'évèque d'un regard reconnaissant, elle adressa ces quelques mots en direction de son souverain :



Votre majesté, c'est folle joie qui nous étreint à prononcer ici et maintenant serment d'allégeance.
Elisa.
Elle ne fallut pas bien longtemps pour que la Malemort apprenne ce qui se tramait au sein de la Cathédrale Limousine. L'ancienne et future Comtesse allait donner son allégeance là bas, et en souvenir de Malemort, cela n'avait pas eu lieu depuis... ben au moins depuis le plus loin souvenir auquel la jeune femme pouvait remonter. Bref... Elle s'était donc préparée pour la circonstance. La Chancelière avait revêtit une robe verte, couleur de l'espoir comme elle aimait se le rappeler à chaque fois que le vert trônait sur sa toilette. Sa tête fut couronnée, ses doigts baguées, son collier symbole lunaire de sa famille vient reprendre place à son cou. Elle était fin prête pour rejoindre la Cathédrale à pied, son appartement ne se trouvant pas bien loin.

Ainsi, elle s'avança sur le parvis, tentant de trouver un chemin, fort peu rassurée par tout le monde qui l'entourait, il fallait bien l'avouer. Elle réussit enfin à entrer dans l'édifice religieux, retrouvant alors des visages connus tel que déjà, celui de la Comtesse, celui de Monseigneur Angelo, le Roy qu'elle avait pu croiser fort rapidement la veille, elle gratifia chacun d'un sourire sincère sur le visage et enfin son frère.
Un frisson lui glaça l'échine, son regard tourna rapidement pour ne point croiser le sien. Et c'est ainsi, le coeur lourd que la Chancelière alla prendre place derrière la Comtesse près des autres personnalités du Limousin & de la Marche.

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Vonafred
Devant le Très Haut et les hommes...Ce serait une première.
-Comtesse, à défaut de folie c'est même joie que nous resentons à vous entendre.
-Monsignore avec vostre permission...
Le Roy avança à la rencontre de la Comtesse et faisant face à l'assemblée...
-Nous sommes ici en ce jour cat il nous plait de recevoir céans l'allégeance de nostre Vassale la Comtesse du Limousin.
Nobles et sujets du Limousin, oyez à mon coté son indéféctible serment.

Un regard perçant la deshabille litéralement.
-Comtesse, nous vous écoutons.
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Asarine
Quand sa sublimissime marraine lui avait touché deux mots sur son couronnement en la Cathédrale, Asa avait sourit, c'était là la place d'une telle cérémonie... Afin que tout à chacun puisse y assister...

Quelques affaires pour le Comté a régler avaient bien failli la mettre en retard, heureusement, elle avait réussi a tout faire...

En arrivant sur le parvis, elle ne put que constater que l'appel des cloches avait sans aucun doute eut l'effet escompté.

Pénétrant dans la cathédrale, elle reconnu sans peine les personnes qui attiraient le regard par leurs tenues ou plus simplement la noblesse dont ils faisaient preuve dans leurs attitudes...

Asa salua les présents, certains avec plus de chaleur que d'autre...Elle s'installa non loin d'Elisa et posa ensuite ses azurs sur sa marraine qui s'apprêtait à preter allégeance à Sa Majesté qu'elle n'avait pas encore eut la chance de croiser, mais dont la tenue et l'attitude ne laissait planer aucun doute sur l'identité...

Si le Très-Haut le lui permettait, elle irait le saluer, plus tard... Maintenant ce ne serait qu'impoli...

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Seleina
S'agenouillant, yeux rivés aux prunelles royales, la brune affirma d'une voix claire et vibrante :


Nous, Seleina Romans, comtesse au service du Limousin et Marche, faisons ce jour serment d'allégeance à votre majesté Louis Vonafred de Varenne Salmo Salar, souverain et porteur de la Couronne de France, notre roy bien aimé.
Nous vous jurons fidélité, aide et conseil. Que le Très Haut nous soit témoin. Nous porterons haut le sens de ces trois mots qui ne sont pas prononcés ici en vain.


Et de terminer en reprenant les mots même dont le Varenne avait usé lors de son grandiose couronnement :


"Ad Majorem Francia Gloriam"...**



**Pour la plus grande gloire du Royaume de France.
Gueldnard
Marchant dans les ruelles de Limoges au rythme du tic tac de sa montre à gousset, l'homme accéléra le rythme. Il n'était pas question de louper ça. Par deux fois il n'avait pas pu assister à cet événement. Non, il n'y aurait pas de troisième fois. Le temps passé cloitré chez les moines à subir de multiples saignées et à boire d'infâmes potions était révolu. Dernier coup d'oeil sur la montre et le voilà qu'il fait face à la cathédrale de Limoges. Gueldnard jeta un regard sur les hauteurs de la cathédrale un court instant avant de pénétrer dans le lieu saint.

Ainsi, il avança dans l'allée centrale et rejoignit le premier rang non loin d'Asarine vers laquelle il lança un bref sourire. S'installant sans bruit, il posa son regard avec douceur sur la brune qui prêtait serment. Fervente Aristotélicienne, il la savait touchée de ce couronnement sous le toit de Dieu. Moment spéciale pour elle qui resterait, à n'en pas douter, marqué dans sa mémoire.

Appréciant le déroulé de la cérémonie, il ne manqua rien de ce moment en goûtant à chaque instant de ce grand et solennel moment qui la voyait arborer pour la troisième fois cette couronne. Fière et digne des plus grands représentant du Limousin et de la Marche, elle était entrain de mener le Comté sur un sentier qu'il n'avait plus connu depuis bien des années. A la fois rempli de fierté et d'affection, il laissa les mots de la sylphide Comtesse résonner dans la cathédrale comme les paroles d'un évangile.

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Vonafred
Regard soutenu et voix affirmée...

Seleina Roman, nous vous recevons en ce jour, selon nostre volonté et celle de nos sujets de vous voir conduire et guider le Limousin et Marche sur les voies de l'honneur et de la fidélité.
Nous vous reconnaissons, comme nostre vassale, Grand Feudataire de France et Comtesse légitime du Limousin et Marche
En retour à vos vœux, nous vous assurons Justice et Protection pour la durée de votre règne.


Prêster serment est engager son âme et son honneur.
Nul ne devrait jamais faire serment à moins d’être capables de mourir plutôt que de se parjurer. Serment nous lie à présent et nous savons combien vous estes prête à sucomber plutôt que de le trahir.


Relevez vous Comtesse et révélez vous au monde.

Le baiser fut vassalique et le baise main des plus circonstancié.

S'adressant aux fidèles assemblés...
-Que le Très Haut bénisse le Limousin et Marche, puisse t'il veiller sur vostre Comtesse et son Conseil.
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Seleina
Carmin contre carmin, le serment fut scellé.

Un lien indéfectible les unissait désormais, plus fort qu'aucun mot ne saurait traduire, c'est pourquoi la brune se tut, irradiant d'une aura sans pareille.

Ne restait plus qu'à bénir la couronne comtale, symbole d'unité et de grandeur.

Il était temps pour l'admirable primat de procéder.
--Ermengarde


Que le Très Haut bénisse le Limousin et Marche, puisse t'il veiller sur vostre Comtesse et son Conseil.

Un groumf.. sonore sortit malgré elle de son énorme poitrine engoncée dans sa blouse ..
Une émotion sincère pouvait se lire sur le visage ridé, coiffé de son éternel bonnet, blanc ce jour là.
Les petits yeux noirs scrutèrent de suite la belle société installée au premier rang, qui ouvrait dorénavant de grands yeux en la découvrant là, à quelques pas de sa Majesté.


Bah quoi !

Le ronchonnement Ermengardien ralentit quelque peu le jeune garde qui déjà s'approchait d'elle. La main grassouillette de la vieille se leva pour lui signifier qu'elle allait partir, mais ne bougea pas d'un pouce.
C'est qu'elle aurait tout de même bien voulu rester un peu plus..

D'un coup d'œil, elle s'assura que ses emplettes du marché reposaient toujours près de la petite porte sur le coté.... faudrait pas qu'on lui pique... puis se repositionna sur ses jambes, variqueuses certes, mais néanmoins solides, pour tenter d'apercevoir encore un peu le reste de la cérémonie, les yeux pétillants.
Demain, en rentrant à Ventadour, elle en aurait des choses à raconter à la boulangère.

Elle avait rudement bien fait de venir jusqu'à la Capitale, ce matin là..
Elle avait rencontré pas mal de monde, et fait le plein de ragots pour des jours.. et c'était là qu'elle avait appris.. pour le Roy !
Il n'en avait pas fallu plus pour que la vieille s'invite d'elle-même à la Cérémonie. La petite porte n'était surveillée que par un garde. Elle avait profité d'un moment d'inattention.

D'autres hommes à présent affluaient vers elle. Il était temps de partir.
Dévisageant le vermisseau qui posait une main ferme sur son bras, elle se racla la gorge et obtempéra en maugréant..
Pas grave, elle en avait vu suffisamment pour faire une assez bonne description de la chose.

Entrainant dans son mouvement le garde toujours accroché à son bras, d'un pas vif, elle prit la direction de la sortie, et rattrapa son énorme panier bourré à craquer. D'un coup de son épaule massive, elle se débarrassa du garde, et sortit de l'édifice religieux en bougonnant.
Yiralyon
Juché sur le parvis, bras croisés, dos au mur non loin des portes sculptées, un mystérieux blond cendré à la douce silhouette militaire jouait délicatement avec une fine brindille qu'il faisait tourner entre ses dents.

A l'intérieur de la cathédrale, les voix résonnaient. Le reste, yeux fermés, il l'imaginait.

Quand le cortège cérémonial quitterait l'édifice, il serait là, toujours, un peu plus discret. Mais il ne raterait aucun mot, aucun visage et certainement pas celui des têtes couronnées.

A bonne distance, il refermerait la marche et - si l'occasion se présentait - ne manquerait pas de soulager le panier d'une vieille femme de la plus belle et rougeoyante de ses pommes...
Zeinar
Il se tenait bien là, entre deux bancs, en spectateur curieux d'une cérémonie fastueuse qui ne l'intéressait que par l'importance particulière qu'elle devait revêtir pour Seleina.
Il souhaitait lui faire honneur, comme à chacun de ses grands moments.

Bien sûr, il aurait pu prétexter une migraine, rester chez lui à compter les nuages plutôt que le nombre de joyaux qui habillaient l'intérieur de l'édifice religieux.
C'était sans compter cette petit voix qui, sans prévenir, avait germé, lui ordonnant : "Lève toi et marche".
Quelque chose à la limite du divin.
Il s'agissait d'une injonction de tout son être, si forte qu'il n'eut d'autre choix que de la faire partager à Froute. A quelque chose près, la retranscription, moins solennelle, donnait ceci : "Grouille toi bordel, on va être en retard pour la cérémonie".

Quelques connaissances émergeaient parmi les convives. Dans le fond, à côté du grand orgue, une poignée d'enfants parmi lesquels on distinguait Alceste, renifleur éternel à la manche toujours souillée. Difficile de dire si l'émotion ne jouait pas un peu, pour une fois.
Parfaitement apprêtés, richement vêtus, il avait convié ces gosses à la fête, cédant à leurs larmoiements et à leur instance à vouloir admirer la "maîtresse encouronnée".

A sa droite, Atalante et Froute, inséparables, n'en perdaient pas une miette. Le Roy n’apparaissait pas en chair et en os tous les jours. Ils auraient eu tort de s'en priver.

Le brune, fidèle à elle-même, se mouvait sur le devant de la scène avec l'élégance de la biche. Ce que ne manqua pas de faire remarquer sa protégée à la première occasion. Un sourire vint affleurer ses lèvres en interceptant ce qu'Atalante soufflait discrètement à Froute, un trémolo dans la voix :
" Elle est belle, hein ? "
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