Le_g.
Le Gaucher hoche la tête, et remercie le nobliau d'accepter ces demandes. Après tout, le blond aurait pu refuser tout net. Les informations sur les dispositions lui conviennent mieux, il se détend un peu. Pas pour dire, mais ils sont pas vraiment invités pour autre chose que divertir les invités, alors manger à part, même des restes, ça lui aurait très bien convenu.
Merce Senher.
Il reprend dans les bras de la brouette pour emmener ses affaires plus loin, là où ils prendront leur repas et se met en tenue pour faire le numéro de jonglerie avec le feu. Braies noires, pieds nus, foulard noir sur la tête, il prépare le bâton du Sans-Nom, et l'enflamme, après avoir mis les tissus sur les bouts du bâton.
.. . .. . ... .. .
Il s'incline et fait mine de venir vers eux, jouant avec les invités du nobliau. Puis, il prend le temps de déclamer quelques vers, tout en s'échauffant, faisant quelques mouvements avec le bâton enflammé devant lui, parfois dans son dos, ses poignets et ses mains, son outil de travail, demande un minimum d'échauffement s'il ne veut pas se blesser pour la suite du numéro.
Permettez à un troubadour
de vous donner le bon jour,
Gaucher, Troubadour et jongleur,
Je me présente ambassadeur,
pour vous parler de notre troupe
et vous demander notre soupe
moyennant une représentation
donnant libre cours à l'imagination.
Artistes amateurs ou confirmés,
Je vous propose de vous amuser
avec les mots jouer et rimer
sans maux aucun provoquer
Souhaitons vous apporter joie
sourires, et amusement de choix.
Et maintenant, mettons le feu à cette soirée,
Dames et Sires de cette noble assemblée.
Espérant que nos numéros vous fassent rêver
que les rimes témoignent d'une simple amitié.
Point de haine ou de récit de guerres,
Buvons, boustifaillons sans en avoir l'air !
Laissant les invités enfin, après un sourire, il leur tourne le dos et se concentre, son bâton tournoyant de plus en plus vite, et il débute enfin sa prestation.
Dans un premier temps, il le fait tournoyer sur la droite, passant pour un droitier, à moins qu'il ne fasse semblant ? Toujours est-il qu'il s'amuse comme un gamin, dès qu'il joue avec le feu, il s'amuse et son regard est clair, alors que son bâton virevolte dans l'air, traçant des cercles, tantôt devant lui, tantôt derrière lui, rapidement. Après quelques tours, il commence des figures plus compliquées, le faisant onduler sur le côté, puis devant lui, écrivant dans l'air en lettres ou chiffres de feu, son art étant sans doute commun pour les personnes présentes, mais toujours aussi dangereux à exécuter lorsqu'il s'agit de jouer avec le trac. Car oui, Louis Track a le trac, amusant ? Pas vraiment, ses mains sont moites, mais il continue, le spectacle doit continuer. Son bâton tournoie maintenant au dessus de sa tête, et les figures s'enchaînent.
Le jongleur se fait danseur par moment, dansant avec les flammes, avec le feu, pour le plaisir des yeux. Il se laisse emporter, ne pensant plus à rien qu'à ce plaisir de jouer avec la lumière. Au bout d'un moment, il revient tremper les tissus dans le seau qu'il a prévu à cet effet pour ne pas que le feu s'éteigne trop vite, et reprend son numéro, enchaînant les mouvements rapides, un sourire aux lèvres. Il passe le bâton d'une main à l'autre, mais devait arriver ce qui devait, avec les mains moites... Il manque encore une fois de se brûler. Mais le spectacle doit continuer. Hop, il reprend son numéro, mais la douleur est bien là, et malgré le sourire affiché. Il termine donc un peu plus tôt que prévu, non sans offrir tout de même quelques figures intéressantes avec le feu, puis se mettant de profil, fait tourner le bâton si vite que seules les flammes sont visibles, et qu'on entend le souffle du vent produit. L'effet escompté est là, le feu s'éteint, alors que Le Gaucher reprend son souffle. Il s'incline pour saluer les spectateurs et retourne près de sa douce, lui soufflant à l'oreille : Si tu avais quelques vers, histoire que je me soigne un peu et que je reprenne mon souffle avant de jouer avec les boules de feu, ce ne serait pas de refus.
Merce Senher.
Il reprend dans les bras de la brouette pour emmener ses affaires plus loin, là où ils prendront leur repas et se met en tenue pour faire le numéro de jonglerie avec le feu. Braies noires, pieds nus, foulard noir sur la tête, il prépare le bâton du Sans-Nom, et l'enflamme, après avoir mis les tissus sur les bouts du bâton.
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Il s'incline et fait mine de venir vers eux, jouant avec les invités du nobliau. Puis, il prend le temps de déclamer quelques vers, tout en s'échauffant, faisant quelques mouvements avec le bâton enflammé devant lui, parfois dans son dos, ses poignets et ses mains, son outil de travail, demande un minimum d'échauffement s'il ne veut pas se blesser pour la suite du numéro.
Permettez à un troubadour
de vous donner le bon jour,
Gaucher, Troubadour et jongleur,
Je me présente ambassadeur,
pour vous parler de notre troupe
et vous demander notre soupe
moyennant une représentation
donnant libre cours à l'imagination.
Artistes amateurs ou confirmés,
Je vous propose de vous amuser
avec les mots jouer et rimer
sans maux aucun provoquer
Souhaitons vous apporter joie
sourires, et amusement de choix.
Et maintenant, mettons le feu à cette soirée,
Dames et Sires de cette noble assemblée.
Espérant que nos numéros vous fassent rêver
que les rimes témoignent d'une simple amitié.
Point de haine ou de récit de guerres,
Buvons, boustifaillons sans en avoir l'air !
Laissant les invités enfin, après un sourire, il leur tourne le dos et se concentre, son bâton tournoyant de plus en plus vite, et il débute enfin sa prestation.
Dans un premier temps, il le fait tournoyer sur la droite, passant pour un droitier, à moins qu'il ne fasse semblant ? Toujours est-il qu'il s'amuse comme un gamin, dès qu'il joue avec le feu, il s'amuse et son regard est clair, alors que son bâton virevolte dans l'air, traçant des cercles, tantôt devant lui, tantôt derrière lui, rapidement. Après quelques tours, il commence des figures plus compliquées, le faisant onduler sur le côté, puis devant lui, écrivant dans l'air en lettres ou chiffres de feu, son art étant sans doute commun pour les personnes présentes, mais toujours aussi dangereux à exécuter lorsqu'il s'agit de jouer avec le trac. Car oui, Louis Track a le trac, amusant ? Pas vraiment, ses mains sont moites, mais il continue, le spectacle doit continuer. Son bâton tournoie maintenant au dessus de sa tête, et les figures s'enchaînent.
Le jongleur se fait danseur par moment, dansant avec les flammes, avec le feu, pour le plaisir des yeux. Il se laisse emporter, ne pensant plus à rien qu'à ce plaisir de jouer avec la lumière. Au bout d'un moment, il revient tremper les tissus dans le seau qu'il a prévu à cet effet pour ne pas que le feu s'éteigne trop vite, et reprend son numéro, enchaînant les mouvements rapides, un sourire aux lèvres. Il passe le bâton d'une main à l'autre, mais devait arriver ce qui devait, avec les mains moites... Il manque encore une fois de se brûler. Mais le spectacle doit continuer. Hop, il reprend son numéro, mais la douleur est bien là, et malgré le sourire affiché. Il termine donc un peu plus tôt que prévu, non sans offrir tout de même quelques figures intéressantes avec le feu, puis se mettant de profil, fait tourner le bâton si vite que seules les flammes sont visibles, et qu'on entend le souffle du vent produit. L'effet escompté est là, le feu s'éteint, alors que Le Gaucher reprend son souffle. Il s'incline pour saluer les spectateurs et retourne près de sa douce, lui soufflant à l'oreille : Si tu avais quelques vers, histoire que je me soigne un peu et que je reprenne mon souffle avant de jouer avec les boules de feu, ce ne serait pas de refus.