Naelhy
« Tu sais, je pense pas, franchement, qu'il soit aisé pour quelqu'un de censé, de se repérer dans des sentiers aussi... »
...
« Aussi... »
...
« ... »
Censuré, pour le bien de vos yeux.
« Oh puis après tout, on s'en fou. »
Elle continue son chemin. C'était toujours très long et pénible, de voyager à la sauce Naelhysienne. Il fallait prendre en compte plusieurs facteurs fâcheusement chiants. Il fallait se souvenir que nourrissant un extrême dégoût envers les équidés, parce que arrêtons de nous leurrer ce n'est pas beau et ça rend les cheveux gras en plus d'avoir la même odeur que leur écurie. Il était utile de mentionner qu'également, elle n'aimait pas l'eau, c'en était presque phobique, et aussi à causes de l'odeur (ses narines sont très sensibles). Sans compter le fait qu'elle était peureuse, et n'avait aucun sens de l'orientation. Dans tout ça, il fallait voyager à pieds, loin d'une source d'eau, qu'à certaines heures de la journée, et se référer à son pigeon voyageur pour avoir le bon chemin.
La Tartine avait décidé de se rendre en d'autres lieux, oh, pas très longtemps, assez pour se retrouver dans un environnement connu, méditer sur tous les évènements qui on secouer son petit être fragile. Il ne fallait pas trop la tourmenter, une Tartine en sucre, ça se cassait vite.
Elle tapotait du pied, comme une petite enfant. Elle levait les yeux au ciel, baissait son regard sur l'horizon avant de comprendre que nan, il fallait regarder le sol, sinon ça piquait les yeux.
Elle comprit, à se moment, que le chemin serait long jusqu'à la capitale.
Plus tard, encore plus tard. Le temps passait de cette manière, long, trop souvent, mais ponctuer de sautes d'humeur, toujours résolue par la présence du volatile qui était un viel ami. C'était comme parler à un mur, sauf qu'elle avait toujours tord, face aux yeux sévères et inexpressifs de l'animal. J'aimerais vous y voir, vous, à essayer de faire réagir un oiseau aux théories extraordinaire. Il n'y avait plus de mots à ce stade (et c'est probablement mieux ainsi).
La fois suivante où elle leva les yeux, elle se rendit compte qu'elle pouvait regarder haut, qu'elle voyait parfaitement ce petit ciel vil qui sapprête à s'éteindre. Elle avait prévue le coup, et se trouvait déjà à coté d'une auberge. C'était quelque chose de simple, assez modeste, mais, pas difficile la toute nouvelle couronnée dépassa ses préjugés. Elle est tatillonne, la Tartine!
La jeune femme androgyne entra avec précaution dans l'épav... lieu abondant de chambres à l'usage des touristes. Bah quoi, c'est pompeux? Elle fit fit de cette agitation post-beuverie du goûter, elle les envie, un peu, de pouvoir paraître si minable sans s'en soucier, elle ne pourrait pas se permettre, elle prend la route demain.
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« Aussi... »
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Censuré, pour le bien de vos yeux.
« Oh puis après tout, on s'en fou. »
Elle continue son chemin. C'était toujours très long et pénible, de voyager à la sauce Naelhysienne. Il fallait prendre en compte plusieurs facteurs fâcheusement chiants. Il fallait se souvenir que nourrissant un extrême dégoût envers les équidés, parce que arrêtons de nous leurrer ce n'est pas beau et ça rend les cheveux gras en plus d'avoir la même odeur que leur écurie. Il était utile de mentionner qu'également, elle n'aimait pas l'eau, c'en était presque phobique, et aussi à causes de l'odeur (ses narines sont très sensibles). Sans compter le fait qu'elle était peureuse, et n'avait aucun sens de l'orientation. Dans tout ça, il fallait voyager à pieds, loin d'une source d'eau, qu'à certaines heures de la journée, et se référer à son pigeon voyageur pour avoir le bon chemin.
La Tartine avait décidé de se rendre en d'autres lieux, oh, pas très longtemps, assez pour se retrouver dans un environnement connu, méditer sur tous les évènements qui on secouer son petit être fragile. Il ne fallait pas trop la tourmenter, une Tartine en sucre, ça se cassait vite.
Elle tapotait du pied, comme une petite enfant. Elle levait les yeux au ciel, baissait son regard sur l'horizon avant de comprendre que nan, il fallait regarder le sol, sinon ça piquait les yeux.
Elle comprit, à se moment, que le chemin serait long jusqu'à la capitale.
Plus tard, encore plus tard. Le temps passait de cette manière, long, trop souvent, mais ponctuer de sautes d'humeur, toujours résolue par la présence du volatile qui était un viel ami. C'était comme parler à un mur, sauf qu'elle avait toujours tord, face aux yeux sévères et inexpressifs de l'animal. J'aimerais vous y voir, vous, à essayer de faire réagir un oiseau aux théories extraordinaire. Il n'y avait plus de mots à ce stade (et c'est probablement mieux ainsi).
La fois suivante où elle leva les yeux, elle se rendit compte qu'elle pouvait regarder haut, qu'elle voyait parfaitement ce petit ciel vil qui sapprête à s'éteindre. Elle avait prévue le coup, et se trouvait déjà à coté d'une auberge. C'était quelque chose de simple, assez modeste, mais, pas difficile la toute nouvelle couronnée dépassa ses préjugés. Elle est tatillonne, la Tartine!
La jeune femme androgyne entra avec précaution dans l'épav... lieu abondant de chambres à l'usage des touristes. Bah quoi, c'est pompeux? Elle fit fit de cette agitation post-beuverie du goûter, elle les envie, un peu, de pouvoir paraître si minable sans s'en soucier, elle ne pourrait pas se permettre, elle prend la route demain.
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