Eikorc
Une ombre savance à travers les ruelles sombres, les bottes renforcées agressent la pierre des pavés qui parsèment le chemin alors que le cliquetis des armes résonne à chaque pas
Limmense silhouette dissimulée sous une cape, le visage complètement masqué derrière une capuche, comme des années auparavant, seuls ses yeux percent intensément à travers lobscurité du vêtement
Et il avance promptement, sans hésitation, cest à peine si un il aguerri pourrait se rendre compte du boitement qui déséquilibre la longue foulée.
Et les gens qui sapprochent peuvent entendre quelques grommellements, voir des grognements, alors quil ne cesse de lever un parchemin à ses yeux pour y parcourir inlassablement les lignes qui y sont écrites. Cest cette lettre qui la arraché à ses expériences, à ses terres angevines Tout ça pour le mener ici, à Paris, à chercher la porte quon lui a indiqué
Une semaine, cest le délai quil a pour retrouvé lassociée qui la invité. Il se rappelle des mises en garde, des avertissements quune autre brunette lui a envoyé. Tous les courriers ont été mémorisé par le colossal mercenaire qui simpose dans les profondeurs de la ville, la curiosité layant arraché à son ermitage.
Un long soupir séchappe dans lombre de la capuche quand il arrive enfin à la porte quelle lui a indiqué et il grommelle en voyant la foule de gamin désuvré qui traîne dans les parages Les sourcils se froncent et la missive est repliée lentement entre ses doigts puissants, avant de la glisser dans un coin de sa cape Alors lentement il se redresse, il se déploie totalement avant de repousser sa capuche pour dévoiler son visage buriné et balafré, si jamais quelquun doit lattendre pour le guider, il le reconnaîtra forcément.
« Jespère que tas choisi un gamin avec une bonne mémoire la fourmi, parce que jai pas envie de tous les secouer pour trouver le bon »
Un murmure à peine audible qui séchappe entre ses mâchoires serrées alors que lattente commence Son regard parcourant la moindre petite silhouette approchant de lui, ses doigts venant par moment caresser la lame de la hache pendue à sa ceinture. Son esprit ségarant quelques instants sur le massacre quil pourrait faire avec cette arme, si seulement il pouvait retrouver un adversaire qui en valait le coup
Trois petits coups sur sa manche larrache à ses pensées alors que sa main libre claque légèrement dans larrière du crâne du gamin crasseux qui sest approché trop discrètement à son gout Et il fronce les sourcils alors que le mioche gémit en commençant à déblatérer une suit de mots quasiment incompréhensible parlant dune fourmi qui voulait le voir au plus vite.
« Ta gueule ! Ça tapprendra à pas utiliser ta langue avant de tapprocher. »
La voix claque agressivement alors que la montagne de muscles se penche en avant, cherchant le regard du garnement pour le fixer intensément Et dun signe de tête lui montrer le chemin, avant de lui coller une bourse remplie dans ses petites pognes crasseuses.
« Bouge toi. Plus vite on sera arrivé, moins tauras de chance de te faire tabasser pour ça. »
Ni une, ni deux, le gamin part en courant en serrant la bourse contre son torse, obligeant le mercenaire à lui emboiter le pas en grommelant. Sans même prendre le temps de rabattre sa capuche sur son visage, il accélère même pour rattraper le mioche. Et à nouveau les ruelles défilent pour le mener à bon port, dans quelques instants il débouchera là où lattend pour mettre le destin en marche
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"Pour toujours... Et à jamais."
Zoko & Fablitos
Et les gens qui sapprochent peuvent entendre quelques grommellements, voir des grognements, alors quil ne cesse de lever un parchemin à ses yeux pour y parcourir inlassablement les lignes qui y sont écrites. Cest cette lettre qui la arraché à ses expériences, à ses terres angevines Tout ça pour le mener ici, à Paris, à chercher la porte quon lui a indiqué
Une semaine, cest le délai quil a pour retrouvé lassociée qui la invité. Il se rappelle des mises en garde, des avertissements quune autre brunette lui a envoyé. Tous les courriers ont été mémorisé par le colossal mercenaire qui simpose dans les profondeurs de la ville, la curiosité layant arraché à son ermitage.
Un long soupir séchappe dans lombre de la capuche quand il arrive enfin à la porte quelle lui a indiqué et il grommelle en voyant la foule de gamin désuvré qui traîne dans les parages Les sourcils se froncent et la missive est repliée lentement entre ses doigts puissants, avant de la glisser dans un coin de sa cape Alors lentement il se redresse, il se déploie totalement avant de repousser sa capuche pour dévoiler son visage buriné et balafré, si jamais quelquun doit lattendre pour le guider, il le reconnaîtra forcément.
« Jespère que tas choisi un gamin avec une bonne mémoire la fourmi, parce que jai pas envie de tous les secouer pour trouver le bon »
Un murmure à peine audible qui séchappe entre ses mâchoires serrées alors que lattente commence Son regard parcourant la moindre petite silhouette approchant de lui, ses doigts venant par moment caresser la lame de la hache pendue à sa ceinture. Son esprit ségarant quelques instants sur le massacre quil pourrait faire avec cette arme, si seulement il pouvait retrouver un adversaire qui en valait le coup
Trois petits coups sur sa manche larrache à ses pensées alors que sa main libre claque légèrement dans larrière du crâne du gamin crasseux qui sest approché trop discrètement à son gout Et il fronce les sourcils alors que le mioche gémit en commençant à déblatérer une suit de mots quasiment incompréhensible parlant dune fourmi qui voulait le voir au plus vite.
« Ta gueule ! Ça tapprendra à pas utiliser ta langue avant de tapprocher. »
La voix claque agressivement alors que la montagne de muscles se penche en avant, cherchant le regard du garnement pour le fixer intensément Et dun signe de tête lui montrer le chemin, avant de lui coller une bourse remplie dans ses petites pognes crasseuses.
« Bouge toi. Plus vite on sera arrivé, moins tauras de chance de te faire tabasser pour ça. »
Ni une, ni deux, le gamin part en courant en serrant la bourse contre son torse, obligeant le mercenaire à lui emboiter le pas en grommelant. Sans même prendre le temps de rabattre sa capuche sur son visage, il accélère même pour rattraper le mioche. Et à nouveau les ruelles défilent pour le mener à bon port, dans quelques instants il débouchera là où lattend pour mettre le destin en marche
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"Pour toujours... Et à jamais."
Zoko & Fablitos