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[RP]Plaid du Gouverneur militaire ad intérim

Ezioauditore..
Ezio arriva en retard dans cette salle ou de nombreux amis à lui étaient présent. Signe de victoire, il s'empressa de se présenté:



Bien le bonjour à vous tous, Ezio Auditore, Bourgmestre légitime de Dijon. Pardon pour le retard.
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Louise_
Delamark a écrit:

Je vous remercie, Altesse, pour tant d'attention à mon égard.
Néanmoins, j'attendrai que tous puissent trouver bonheur pour leurs séants avant de donner repos au mien. Et puis, je n'ai rien contre une entame de discussion sur mes deux jambes.


Ni une, ni deux la Louise prend la chaise, que le duc déchu dédaignait, et va la porter près d'Elisabeth Stilton. Elle avait reconnu sa professeur à l'école des Dragon et ne voulait pas manquer de lui plaire. Elle avait adoré son cours et permettait ainsi de la remercier pour ce qu’elle lui avait appris.

Dame, prenez ce siège.
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Elisabeth_stilton
Ni une ni deux, une de ses étudiantes, une des plus assidues d'ailleurs avec Jehan se trouvait dans la salle. A vrai dire cela était logique puisque Mémento, elle était, la blonde l'avait appris par les annonces de la Reyne Nebisa 1ère. Elle lui offrit un siège, la blonde apprécia, quand on sait qu'elle est enceinte même si cela ne se voit pas encore. Un peu empâtée à cause de l'oisiveté due à l'arrêt de plusieurs activités, voilà l'excuse qu'elle donnait. Par contre elle était plus fatiguée qu'avant, quand elle disait que les enfants étaient une plaie. Enfin à croire que la jeune Louise avait un sixième sens, le siège était le bienvenu.

Merci Louise. Je ne pensais pas vous voir ici à vrai dire.
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Louise_
Elle chuchota

Je suis avec le capitaine Namay, enfin le prince maintenant. Vous savez il est gentil, il ne veut pas de mal, juste aider. Et puis le chef c'est le Roy donc on lui obéit même si ça plait pas à tout le monde.
Attendez je reviens.

Court à l'autre bout de la tente et revient un verre à la main

Tenez. Vous devez avoir un peu soif vous êtes toute pâle. Je vous laisse il y a une autre dame à donner un siège. Faites moi signe si vous voulez autre chose.
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Roi-lezard


Là, le Piémontais commençait à se trouver un tantinet irrité quand le Duc de quatre jours refusa de partager la tablée avec le Prince en posant humblement son séant sur le siège offert, et sans même sourire à sa ducale boutade. C'est que les manières visiblement de rigueur en Bourgogne étaient bien sans ménager le tempérament sanguin des Condottieres venus d'au delà les Monts au prix de moult sacrifices pour venir à la rescousse de la population de Dijon qui avait été tenue en otage. C'est que les renforts avaient tenu sur leurs propres deniers et au prix du sang de certains des leurs tombés lors de l'ultime assaut.

Là un nombre à quatre chiffres lui revenait soudain en mémoire ... 6000, oui, 6000 écus. C'était le montant qu'on lui avait réclamé à lui Lézard quand il avait été Duc de Savoie et que quelques valeureux Bourguignons avaient guerroyé dans les Alpes peu avant son mandat. Il se dit alors qu'il faudrait qu'ils songent également à évoquer une reconnaissance de dette si les remerciements n'étaient pas prévus à l'ordre du jour de cette rencontre au coeur du Palais.

Fronçant désormais les sourcils face à ce qu'il interpréta à tort ou à raison comme un chichi dédaigneux affiché par le Balafré, se remémorant un Duc de Bourgogne arrivé quelques jours plus tôt au sein du campement de la Memento Mori avec une mine bien déconfite lorsqu'il avait quêté le soutien du Roy et de ses troupes, le Montegaudio opina du chef face au-dit refus, avant de songer à se retirer en prenant soin d'emporter avec lui le siège afin que le Duc soit bien ennuyé au moment ou quelques fourmis dans les jambes viendraient le faire changer d'avis.

Or, voilà que la bonne Louise, elle aussi visiblement prévoyante avait opté pour proposer la comodité en question à une Dame. Le Lézard en retrouva son sourire, et retourna alors aux côté des gardes ad intérim.

Il maugréa entre ses dents, à l'attention de ses compères qui surveillaient la salle, épées au fourreaux mais mains rivées aux pommeaux :


" Et bien ... J'en connais un qui va rester debout. "


Il se sentit alors pris d'une terrible soif. Le service en tant que commandant de la garde et ses heures supp, ça assèche le gosier... Face à lui, deux bouteilles, un choix à faire : Bourguignon ? Armagnac ?

Armagnac. Le Montegaudio avait choisi son parti depuis longtemps, il se saisit de la bouteille d'eau de vie et bu une gorgée à la santé du Roy...

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Bastien_de_louhans


Alors c'était donc elle qui se faisait appeler Montjoie chez les Français ? Mais comment était-ce possible ? Elle ne fumait même pas de pavot ! Et ses gardes avaient une tête de gigolos des bas quartiers de Milan. Quelle déconvenue...

Mais en fouillant dans sa mémoire, Bastien se souvint qu'elle avait été quelque chose d'important dans les saintes armées, et qu'elle venait de Provence, l'autre pays des félons. Sauf qu'elle n'en était pas, ou plus. Et même... Oui, ça lui revenait maintenant. C'était le prédécesseur de monseigneur Yut. Elle avait été l'archevêque de Bourg, enfin, de Lyon mais c'est Bourg qui est important. On veut du curé, on en a ! Est-ce que les discussions allaient enfin commencer, maintenant ? Il faut pas leur écrire un ordre du jour en plus ? Ce qui intéresse tout le monde, c'est "vous faites quoi ?", les Bourguignons étaient là uniquement parce qu'ils ne communiquaient pas spontanément, et qu'ils avaient tendance à oublier que sans le roy ils seraient encore en train de se planquer dans Chalons en attendant que la neige tombe.

Mais vu sa "grande" expérience diplomatique, peut-être que Bastien avait négligé la première étape, celle où on se regarde deux ans dans les yeux pour voir qui détourne le regard en premier... La danse était assurément très codifiée. Et très énervante. Bastien toussa donc nerveusement, faisait semblant d'avoir avalé un peu de la fumée de pavot qui enveloppait Montjoie... enfin, Montegaudio.

Euh... Je prendrai bien un peu d'Armagnac, j'ai la gorge irritée, je ne sais pas pourquoi.
Elisabeth_stilton
Elle répondit sur le même ton pour ne pas gêné les autres personnes qui attendaient autre chose qu'une conversation entre un professeur et son élève.

Oh vous savez moi je me fais une idée avec ce que je vois et vu que le roy et moi avons des divergences d’opinions ... enfin je verrais bien à l'usage.

A peine eu t-elle le temps de finir sa phrase qu'elle se retrouva avec un verre à la main. Décidément cette jeune fille était vraiment parfaite. Elle devrait plutôt être dame de Compagnie plutôt que de risquer sa vie sur les routes dans une armée. Le bon personnel c'est rare.

Merci Louise, oui oui je vous préviendrais en cas de besoin.

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Louise_
Sourire à sa professeur et la voilà repartie vers la dame en noir une chaise à la main.
Salut de la tête ne sachant comment se contenir devant elle:


Dame voici une chaise pour vous assoir. Même dans un coin il ne sied pas à une dame de votre qualité de rester debout.
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Boudalapeste
Le colonel arriva, certes nombreux étaient ceux qui l'avaient précédée, mais elle n'avait pu quitter sa tente plus tôt. Quelques directives à donner, les vivres à contrôler. La santé de ses hommes, bref sans doute était ce de tout repos.

Le duc, la princesse et certains autres étaient là, elle reconnaissait nombre d'entre eux, du moins les bourguignons. Elle les salua. Puis se présentant à celui qui était à l'orgine de cette réunion.


Bourguignonne, colonel de l'Ost , j'ai l'honneur de servir du mieux que je le puis le duc et la princesse. Loyale envers le duc, envers le Roy et surtout envers la Bourgogne, je ne souhaite que sa grandeur et son unité. Vous comprendrez aisément que je souhaite ardemment que Bourgogne reste libre. Mais je n'ai pas de doutes à ce sujet.

Vive l'Ost, Vive la Bourgogne, et Vive le Roy.


Parlait elle trop ? Offensait elle ? Elle ne l'espérait nullement .... Si cela était perçu comme tel, elle avait du faire erreur en ses dires.
Trixolas
Il était là également le joinvillois. Plutôt discret depuis le début du conflit, un mal soudain et mystérieux l'ayant réduit au silence pendant quelques jours. La nourriture de l'armée n'était vraiment pas à recommander, pas même au félon et à ses hommes, un tel châtiment était par trop barbare!

Bref, soutien du duc légitime depuis la dernière campagne électorale et soutien indéfectible du verdict des urnes, il ne pouvait se trouver en autre lieu que celui-ci.
Bien sûr, combattre des bourguignons ne lui avait été guère facile, d'autant plus que sa tendre et belle se trouvait de l'autre côté des remparts, mais ses convictions l'avaient poussé à prendre les armes malgré tout.

Il s'avança donc en direction du libérateur de Joinville après avoir salué quelques connaissances donc le duc Delamark et se présenta au chef de l'armée royale.


- Bonjour,
Trixolas, humble joinvillois, membre de la liste BN aux dernières élections et ancien maire de Joinville.

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Aegon
Il était entré, discret, très discret, et s'était tout aussi discrètement avancé à travers la petite foule qui venait peupler ce qui semblait un embrillon de cour autour du prince de Pontoise.

Apercevant le duc de Bourgogne, François Delamark, il vint se placer à côté de lui, un pas en arrière, non sans effleurer son chapeau et avoir opiné du chef en direction du "gouverneur militaire" de Bourgogne.


Mes respects, Vostre Altesse. Je suis le Père Aegon, Chambellan de Bourgogne et Commissaire au Commerce du dernier gouvernement légitime.

Le visage tiré par la fatigue des nuits de prière de ces derniers jours, et des divers sacrements délivrés aux mourants, il posa une main amicale sur l'épaule du duc.

Vostre Grasce, vous vous êtes déplacé? C'est terriblement imprudent, dans vostre condition. Du repos, beaucoup de prière et un environnement calme, voilà ce que vous conseillent médicastres et amis.

Il soupira, sachant fort bien le balafré déterminé à servir la Bourgogne jusqu'au tombeau au détriment de sa santé.

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Varden
La Bourgogne. Là où il fallait être parait il. Et vrai qu'il y en avait du monde. Valère n'était guère loin, regardant d'un air placide le ballet des Bourguignons plus ou moins présents ces derniers jours venir jouer leur partition devant le Prince de Pontoise.

Plissant les yeux à la lecture du parchemin du Carmin, il attendait désormais ce qu'il en ressortirait.

Des Bourguignons loyalistes, qui avaient donné de leur temps, de leur sang pour reprendre Dijon, il y en avait bien assez selon lui pour relever le Duché. Mais tendre la main n'avait pas de prix, et il le savait pour avoir bien connu ce type de situations si délicates à gérer ou chacun se réclamait du pouvoir comme d'un saint graal enfin à portée de main.

Lui était bien désintéressé de qui dirigerait la Bourgogne pour peu que la trahison, le mensonge et la calomnie disparaissent enfin de la scène publique.

C'était beaucoup demander a priori. Adossé à un pilier, il attendait donc un miracle sans doute.

Cheveux broussailleux, fin sourire aux lèvres, vêtu d'un long mantel, le Béarnais écoutait avec attention les arguments de chacun.

La Bourgogne avait de bonnes volontés. C'était déjà cela sans doute.

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Delamark
L'ex-bourgmestre de Dijon salua, non sans un véritable sourire, les visages qu'il reconnût aussitôt pour avoir vécu ensemble ces derniers évènements ô combien palpitants. Enfin, jusqu'à ce que ces derniers quittent Chalon en le laissant... ahum, au repos.
La plupart des Bourguignons ici présents étaient des loyalistes de la première heure et envers qui la confiance ne s'était jamais tarie, même si c'était denrée devenue très rare, ici, en Bourgogne. Mais soit, l'homme savait maintenant quels étaient ses alliés et, plus encore, qui se trouvaient maintenant affichés comme les ennemis de sa province. La plupart donc des personnes venues en cette salle de plaid, pour ne pas dire la totalité, était aujourd'hui ce qu'on pouvait désigner comme des personnes mues par un même but. Du moins, il le pensait sincèrement.

Mais le Balafré, au détour d'un rapide tour de salle du regard, pouvait percevoir un certain dédain affiché, de façon masquée voire même de manière défiante, par quelques membres de la Memento. Etait-ce pour avoir refusé de poser son doux postérieur sur quelque siège avant d'être certain qu'il ne soit pas l'heureux et unique élu d'une chaise ni "trop dure", ni "trop luxueuse" ? Décidément, ils devaient être bien plus susceptibles que lui.

Répondant au Père Aegon, dans un pareil murmure.


Remerciez son Altesse, le Prince de Pontoise. Ce dernier semble faire des miracles.
Je crains que le repos ne doive attendre mais je suis certain que vous prierez pour moi.


Un sourire en coin, malgré les quelques douleurs physiques qui persévéraient et qui lui mordillaient la chair.
Faire bonne figure, n'était-ce point ce qu'on attendait de lui en toutes circonstances ?

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Namaycush
Que de clients aux soldes du gouverneur … La bonne affaire se sentait, la bonne affaire attirait… L’on se croirait aux enchères de faillite, en fait il ne lui manquait qu’un marteau pour entériner vente à bon marché.

Namay ne ressemblait en rien à un priseur, et encore moins à un commissaire. Il se fatiguait de traiter, de recevoir, mais au moins en quittant Bourgogne il aurait conscience juste, droit dans ses bottes comme il l’avait toujours été. La couronne princière tanguait un poil sur la gauche, heureusement plus que retenue par les crins de la frange légendaire du Carmin. Mince, il ne pouvait pas se passer la main dans les cheveux du coup… chose qui l’irritait au possible. Aussi au prétexte que une membre de la garde arrivée servait boisson à la blonde, il donna ordre sec au commandant du détachement de faction, sans hausser la voix de trop qu’il n’en fallut.


Raoul, tenez vos hommes ou faites servir à boire à tout le monde. Merci !

Louisette représentait un roman à elle toute seule… et Delamark une épopée en douze tomes minimum. Du coup il laissa vaguer son regard sur les monts de Valmont, peut-être que c’était la direction de ses yeux qui irritaient Delamark… Allez savoir !

Ne remerciez jamais sans savoir ! Nous allons y arriver !

Non, non, il ne pensait pas, juste que le vieil Ursin était dans ses rangs et que lui, le vieux de Comborn, risquait de s’asseoir durablement sur le trône ducal…

Bien ravi d’apprendre qu’un vieux Gascon avait été si fertile. Malgré vos liens, passés ou actuels, avec Blanc-Combaz, personne ne s’oppose à votre venue, donc vous êtes la bienvenue à condition que vous débattiez avec sérénité sur l’avenir du futur gouvernement.

Les ecclésiastiques ne font jamais la sourde oreille, il faut parfois leur forcer la vue sur les réalités temporelles, d’ailleurs la preuve… nous recevons avec plaisir le Vicaire de Saumur…
tend la main gauche, paume sur le haut…A votre bonne convenance, nous vous prions de prendre place, assise ou non, tant il vous faut savoir comme vous voulez siéger.

Les yeux voient, communiquent parfois, mais les airs tranchent ou donnent des frontières. Quels étaient les yeux que pouvait arborer Namay l’homme ? Pontoise, Carmin ou Maximus… allez savoir quels liens liaient Pontoise à Montjoie de France, Carmin à Auxerre et Maximus à Augusta ? Bien malin qui apporterait la réponse… !

Que la Duchesse d’Auxerre jet d’œil vers le bas, mince il arborait encore ses armes… Que la Duchesse d’Auxerre siège mais que la Princesse d’Empire laisse sa garde sur le parvis, merci !

Il serait tout de même d’un comble indécent qu’Impériaux italophones se fassent mettre à partie par Impériaux francophones…

Adishatz Bourgmestre de Dijon ! Nous avons failli vous attendre… ce qui aurait été déplorable.

Une femme encore… elle ne manque pas d’air non plus…

Colonel, quel entrain… ! Nous espérons que vous en ferez part dans la discussion à venir !

Femmes, femmes, femmes… Son existence s’en peuplait…

Que l’homme de Joinville, que nous avons eu le plaisir de rattacher à la Bourgogne il n’y a pas si longtemps soit également le bienvenu ainsi que le Père Aegon que nous avons plaisir à saluer, constatant qu’un diacre n’est jamais bien longtemps seul.

Sourire de détente … clin d’œil à Valère… instants d’hésitation aux murmures du duc…

Bien, pouvons-nous procéder, le temps commence à nous presser !?

Acquiescement ou pas il procèderait ….
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Lenada
Elle était restée debout.. fière un peu hautaine parfois lorsque ses grands yeux vert se poser sur telle ou telle personne, il est vrai que ces derniers temps faire confiance à quelqu'un restait un exploit.

Elle avait reçu une missive vanillée mais n'avait eu le temps d'y répondre étant trop prise. Elle avait accompagné le Duc déchu à Chalon avant de revenir sur Dijon faute de nouvelle mais bon elle ne faisait pas partie de son conseil, elle n'éait que consultante et encore... puisqu'il avait voulu la virer !

Elle était entrée dans le conseil de régence pour aider la Bourgogne juste avant d'en sortir assez vite ne pouvant cautionner certains faits, elle s'était ralliée à l'armée, un peu... beaucoup... passionnement poussée par le Roy, elle n'était point vassale du Roy mais que n'aurait elle fait pour son Duché, et ses habitants, c'est qu'elle avait la Bourgogne dans la peau la brunette !

" Gros soupir " puis un sourire s'étira donnant enfin vie à son visage, enfin elle allait savoir comment et à quelle sauce elle et les Bourguignons allaient être mangés.

Elle appuya son épaule contre l'arête d'un mur puis attendit dans le brouhaha de la salle et les blabla qu'enfin la séance commence et qu'elle puisse enfin faire quelque chose de concret.

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