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[RP]Plaid du Gouverneur militaire ad intérim

Olivier1er
Le Baron de Chatillon en Bazoys, Grand Maitre de l'Ordre de la Toison d'Or, de noir vetu avec le collier autours du cou entra, la figure bleme. Il ne dit mot.

Il se sentit soudain comme un etranger en ce lieu.

il demeura en retrait.

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Bastien_de_louhans


Bastien se dit que servir de l'Armagnac à tous les présents seraient les insulter plus que de s'en servir un peu à soi-même plus ou moins discrètement : ils avaient l'air assez chatouilleux donc il valait peut-être mieux éviter. Il prit donc la remarque du prince pour une boutade, mais abandonna l'idée de soigner sa gorge, car il était important en effet de ne pas aggraver les fissures qui existaient déjà. Il alla donc reprendre sa place, prenant son mal en patience et espérant que ce ne serait pas trop long quand même.

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Medusee
Elle tenait a voir ce qu'il se passait ici. Elle avait accouru lorsque le Baron Wolfar lui avait dit que des Brigands avait pris le Château. Arrivé a Dijon elle était triste de voir que certains de ses amis se trouvait dans le camp adverse.

Elle aurait voulu qu'ils puissent tous s'assoir et se parler mais c’était visiblement trop tard. Trop de choses avaient été dit et chacun avait jeté a la face de l'autre des reproches, des accusations et des innocents avaient subit les conséquences.

Elle ne voulait plus jamais se retrouver dans ces circonstances, elle avait beaucoup voyagé et s’était un peu retiré et n'avait rien vu venir.

Elle se présenta, il y avait tant de nouveaux qui ne la connaissait pas et il y en avait d'autre qu'elle appréciait pas du tout qui n'avait déjà pas manquer de se faire connaitre ici.


Bonjour je me présente. Medusee de Santillas, ex-Maire de Mâcon et ex- Conseillère Ducale.


Elle sourit au Baron de Cudot, elle était restée a ses cotés au combat.


Bonjour M. le Baron

Elle sourit a Edwen aussi, cela faisait longtemps, elle reconnu Baron de Chatillon en Bazoys, qui se faisait discret, aussi elle esquissa un sourire dans sa direction.

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Elisabeth_stilton
Si la blonde avait pu lire dans les pensées de Louise quelques minutes plus tôt elle aurait sans doute été d'accord avec elle. La faim fait sortir le loup du bois. Belle métaphore que celle ci. Elle devrait la ressortir à l'occasion. Quand elle vit certaines personnes connues ses prunelles s'assombrir, certains devraient être occupé à autre chose que de venir s'occuper des affaires bourguignonne, provocation quand tu nous tiens. Pas moyen d'être tranquille au moins chez soi c'est pour dire. La blonde ignora les couards, et autres parasites qui selon elle n'avait rien de bon pour le duché. Elle même on aurait pu lui dire qu'elle n'était pas venue aider à la reprise c'est vrai mais entre le temps de repos après son retour d'Angleterre, sa grossesse et sa neutralité la plus totale, elle estimait qu'elle n'avait pas à se mêler de tout cela. Seulement quand on risque d'avoir des non bourguignons à la tête du duché, là non. Elle n’envisageait pas d'entrer en politique, elle avait refusé d'aller sur des listes à plusieurs reprises donc ce n'est pas une place dans un conseil ducal qui animait son choix. Elle était là pour la Bourgogne et pour veiller à ses intérêts.

Entre le vieux gascon et Milamber il y a quand même Milamber grand père et Ulrich, c'est le dernier qui a été le plus fertile si on va par là. Enfin ce sont des histoires de familles. Quand à mes liens, ils sont actuels, il m'est difficile de renier ma famille ne croyez vous pas ? Même si je ne cautionne pas ses actes, d'où ma neutralité, je ne puis oublier mon serment de vassalité qui revient désormais à un autre Blanc-Combaz, jeune celui ci certes mais Blanc-Combaz toujours.


Un éclair malicieux passa dans son regard. Pas de sourire, même en coin, parce qu'elle ne sourit jamais.

Quand à discuter sereinement, ma foi, tant que personne ne m'agresse il n'y a pas de raisons pour que cela n'aille pas.
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Ingeburge
La duchesse d'Auxerre aurait bien voulu s'asseoir car elle était fatiguée, ayant dans les jambes des dizaines et des dizaines de lieues – même si évidemment, c'étaient les chevaux qui l'avaient dans les pattes, cette distance et non elle, elle n'avait pas marché mais c'était pareil. Il y avait aussi tout lieu de penser que les palabres seraient sans fin – il fallait l'espérer car si ce n'était pas le cas, on courrait le risque de nouveaux affrontements avec tous ces hommes qui semblaient prêts à mesurer leur... ego. Elle se serait donc bien assise et aurait accepté de bonne grâce le siège que lui présentait une jeune fille qu'elle avait notamment eu l'occasion de croiser lors de l'anoblissement de Kahhlan, quelques semaines plus tôt mais il fallut que Namaycush l'interpellât comme s'il se trouvait à la Foire du Lendit. A Louise, elle glissa, narquoise :
— Soyez remerciée mais il appert que je doive me cacher de Son Altesse le prince de Pontoise et que je doive rester debout s'il devient nécessaire pour moi de fuir.

Et elle s'éloigna le plus innocemment du monde, adressant un simple signe de tête au Salmo Salar qui, elle l'avait bien vu, tenait encore ses couleurs. Le constat aurait pu lui faire froncer les sourcils mais il donna de l'eau à son moulin : il n'en faisait qu'à sa tête, elle agissait sur le même mode, sa garde resterait donc avec elle et n'irait certainement pas faire le pied de grue au-dehors. Intriguée néanmoins, elle jeta un coup d’œil aux Lombards impassibles qu'elle ne voyait plus tant ils faisaient partie des meubles et elle se demanda ce qu'ils avaient tous contre eux, le tous englobant en fait le prince de Pontoise et le vicomte du Tournel. Ce dernier, en Languedoc d'où elle revenait à peine, lui avait demandé, vexé, de faire sortir sa garde et voilà que le Carmin s'y mettait aussi. Inexplicable mais la question ne la préoccupa pas plus de trois secondes.

Il faut dire qu'elle avait repéré un certain camarade et s'approchant du premier-de-la-classe, elle s'exclama :

— Comte Valère, vous ici!
Et pour que tous puissent l'entendre, elle dit encore, ne modérant guère la hauteur de sa voix – la poussant même à dessein :
— Dieu du Ciel! Nous sommes en fait deux Grands Officiers de la Couronne présents en Bourgogne alors que les vilaines troupes royales veulent mettre celle-ci plus bas que terre. Voilà de quoi accréditer la thèse de ce que Sa Majesté le roi de France veut annexer le duché au Domaine Royal car c'est ce qui se murmure, ne le saviez-vous pas, Votre Grandeur? C'est pourtant la vérité, l'on s'amuse à propager cette information qui n'a aucun fondement, aucune réalité pour effrayer des Bourguignons déjà bien éprouvés. Sa Majesté veut la Bourgogne en ses terres et cette affirmation basée sur du vent n'est en rien originale, l'on croyait bon de la diffuser déjà du temps du roi Levan. N'avez-vous jamais entendu rumeur plus ridicule et plus éloignée de la vérité?

Et fixant Varden, elle ouvrit grand ses yeux vert d'eau.
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Back, work in progress
Gamalinas


Il parut aux yeux de Gamalinas, que tous ici n'étaient pas forcément du même coté du problème. Les attitudes des certains envers d'autres semblaient peu liées au contexte de libération. Pourtant c'était bien l'Amitié d'Aristote qui avait mené depuis l'Auvergne des gens de tous horizons pour venir en aide à la Bourgogne. Peut être que lorsqu'un ennemi n'était plus, il fallait s'en trouver un autre.

Entre Armagnac et pipe, un autre Montjoie arriva, non sans ses étalons italiens, que Saint Gervais avait déjà vu de loin lors de la cérémonie qui vit la Princesse devenir Roi d'Arme. Même si le Gouverneur voulait les voir partir, la cohorte restait ici. Comment cela allait il tourner ?

Cependant les paroles les plus sages issues de cette assemblée, venaient bien de cette dame placide. Une discussion somme toute anodine mais qui noté la teinte des idées officielles. La manoeuvre était subtile, sûrement une des meilleurs pour tuer les mauvaises rumeurs. Par ces paroles échangées entre Officiers de la Couronne, la réunion avait bele et bien commencée. Ceci valait bien un coup d'Armagnac... peut être pas au final.

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Aelith
―Je veux y aller, déclara-t-elle à Stephan, qui grognait d'avance, refusant que sa cousine tout juste rentrée du Languedoc lui échappe déjà.

―Je veux y aller, et ma suzeraine y va. Alors j'y vais.

CQFD.

En effet, suivre la Prinzessin était une excuse toute trouvée. Elle en avait en réalité une dizaine d'autres: elle voulait comprendre pourquoi la Bourgogne était à feu et à sang, elle voulait oublier les visages languedociens en les remplaçant par d'autres, elle voulait arrêter de penser au passé pour s'intéresser à l'avenir, elle voulait se prouver qu'elle pouvait passer plusieurs heures sans cracher au creux d'un mouchoir l'intégralité de ses poumons, elle voulait être de ceux qui reconstruiraient après le passage du Corbeau - et même si ça ne faisait pas des dizaines de raisons finalement, cela suffisait. Elle voulait, unilatéralement, impérieusement, capricieusement; elle voulait tout, et parce qu'elle n'avait rien voulu depuis longtemps, elle s'estimait être en droit de le vouloir.

Elle avait donc suivi la Prinzessin, sans trompettes ni fracas, sans Rhéa, sans Stephan, sans rien ni personne. Elle s'était présentée, docilement, comme chacun semblait le faire:


―Aelith-Anna de Chambertin, Dame d'Augy, vassale de Son Altesse Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, et le Carmin le savait bien, d'ailleurs.

Elle voulait être là, et elle y était.
Point barre.

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Bastien_de_louhans


Bastien marmonna quelques mots à voix basse au milanais le plus proche, vu qu'ils allaient rester, de façon évidente. En espérant qu'il comprenait le Français, et qu'il ne venait pas d'arriver de sa Lombardie.

Elle parle bien votre ... euh... maîtresse. J'ai pas dit maîtresse, hein, j'ai dit maîtresse. Mais si je peux me permettre, niveau couture c'est pas encore ça. Si Montegaudio nous faisait ça, je vous dit pas l'explosion que ce serait. Pourtant on sait s'habiller à Milan, comment pouvez-vous vous laisser faire ? En plus ça doit être un peu léger en combat, je comprend que vous soyez si nombreux. Elle doit vous payer vraiment cher.

Allez, sans rancune pour notre accueil ? On a rien contre vous, mais vous faire passer pour des guignols c'est nous faire passer pour des guignols. Pour les gens d'ici, les gens du sud, c'est tous les mêmes. On vous sert un peu d'Armagnac quand le prince regardera ailleurs ? Vous verrez, c'est du bon. Bien mieux que votre Sforzato.

De toute façon nous ici on sert à rien, ils veulent tous se mettre au-dessus des autres, mais sans faire un mouvement pour que ça se réalise, donc on aurait pu venir habillés comme vous que ça ne changerait rien, il y en a pas un qui veut bouger. Je crois qu'en fait on a vexé les gens d'ici en les poussant au cul pour qu'ils arrivent à l'objectif qu'ils disaient vouloir, et qu'en fait ils ne voulaient pas tant que ça. Ils voulaient jouer sur les deux tableaux et ils ont été forcés de choisir, que ça ne m'étonnerait pas. C'est bête quand même, parce que maintenant leurs copains ils vont pas les ressusciter, et s'ils avaient l'air contents de la victoire ils pourraient en tirer plus de bénéfices qu'en nous faisant la gueule. J'ai pas raison ?


Bastien s'attendait un peu à un "scusi, non parlo francese", mais qui ne tente rien n'a rien, et il s'ennuyait sec dans le musée des ducs de Bourgogne.

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Armoria
Discrète. Elle parvenait à rester discrète.

Discret, ce regard vers Olivier, lui rappelant la promesse qu'il avait reçue de la blonde altesse.

Discret, ce sourire à peine esquissé vers Ingeburge - la glaciale amenait avec elle une sorte de fraîcheur. Oui, comme un Ricklès, oui. Sauf qu'un Ricklès, c'est blanc.

Discrets aussi, les doigts de la main droite qui pianotaient sur la cuisse. Impatiemment ? Ah ben oui. Tout de même. Elle s'était promis la discrétion, pas la patience, fallait tout de même pas pousser Casanier dans les orties, hein.

Discrète, tout autant, la ritournelle qui lui trottait dans la tête. "Dites, c'est bien joli, mais on a du pain sur la planche".

Discrète, puisqu'on vous le dit !


Nous pourrions peut-être... commencer ?

Dis... Hein ? Elle l'avait dit à voix haute ? Oups.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Varden
Un clin d’œil carmin auquel il répondit par un hochement de tête approbateur.

Puis l'heure d'écouter. Quelques présentations. Quelques mots échangés. Rien de bien transcendant. Rien de bien palpitant.

Les politesses, courbettes et tout et tout.

Du coup, à bailler aux corneilles, là où il ne devait pas être mais où il était quand même parce qu'il servait la Couronne et voilà tout, il se fit alpaguer, osons le mot n'est pas démesuré, par une Duchesse d'Auxerre, une Montjoie qu'il n'avait guère vu venir.

Sourire de circonstance. Poli, comme il faut. Pourquoi faire mentir sa réputation après tout ? L'amabilité ne tuait personne.

Une question le tarauda rapidement. Mais pourquoi parlait-elle si fort ?

Il était encore assez jeune pour entendre distinctement le son de sa voix.

Jusqu'à s'arrêter devant ses pupilles largement ouvertes, sourcil arqué devant l'évidence. Ingeburge parlait autant à l'assemblée derrière eux qu'à son humble camarade de discussion.

Haussant les épaules, il accepta donc le jeu. Et d'une voix claire s'exprimer, pendant qu'Armoria plus loin s'impatientait de tant de gentillesses.


Montjoie ! Je suppose que l'étonnement est moindre de mon côté !

En honnête Champenois, devrais je ajouter que Joinville sera bientôt Champenoise en paiement royal des cruautés réalisées par les armées de Sa Majesté ?


Et d'affubler la mythique légende d'un sourire narquois.

Voyez comme des rumeurs stupides peuvent exister. Nombreuses et de toutes sortes sans doute.

Mais la plus ridicule est, à n'en pas douter, celle de croire que le Domaine Royal aura bientôt Bourgogne en son sein !

Personne ne le désire. Personne ne l'envisage. Personne ne le propose.

Mais si ces rumeurs sont l’œuvre de ces parangons de vertu qui tenaient Dijon contre toute raison et avec force mauvaise foi ces derniers jours ... Croyez bien que les esprits les plus intelligents auront deviné qu'il ne s'agissait là qu'écran de fumée et poudre aux yeux pour légitimer l'impardonnable !


Et plus bas de clore pour Ingeburge seule.

Du moins je l'espère.
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Isaline
Isaline commençait à avoir des fourmis dans les jambes. Le plus discrètement possible, elle secoua ses pieds pour les désengourdir. Les intervenants se pressaient dans la salle, mais on n'était toujours pas entré dans le vif du sujet et cela commençait à l'agacer.

Elle en était au point de commencer à se retenir de se ronger les ongles quand elle entendit un discret


Nous pourrions peut-être... commencer ?

A croire que la princesse Armoria avait lu dans ses pensées. Aussitôt Isaline lui emboîta le pas.

Sommes-nous tous présents ? Si oui, peut-être pourrions nous commencer ce pour quoi nous sommes réunis en ce lieu ?
Louise_
Ingeburge a écrit:

— Soyez remerciée mais il appert que je doive me cacher de Son Altesse le prince de Pontoise et que je doive rester debout s'il devient nécessaire pour moi de fuir.


Bon eh bien elle regarda la chaise, les dames toutes assises ou presque et se replia dans un petit coin. La chaise avait l'air confortable elle s'assit donc dessus. Puis ne tenant plus sortit de la tente pour aller voir comment se portait Kah. La chaise resta là, seule, abandonnée, attendant qu'un cul noble de préférence prenne place sur elle.
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Lenada
Un garde entra discrètement dans la pièce, vint près d'elle un vélin à la main et lui tendit. La brunette le prit puis otant le Scel lu le contenu de son courrier, au fur et à mesure ou ses yeux parouraient la missive son visage se décomposait, la colère fit briller ses yeux.

A trois j'y vais ! un... deux... trois !


Vostre Altesse ... capitaine ! on vient de m'apporter la liste des noms du nouveau conseil ducal, comme conseil Bourguignon...on ne fait pas mieux... pourriez vous m'expliquer, à moi et à tous les Bourguignons ici present.

Pourriez vous nous expliquer votre programme


Ses yeux lançant des éclairs, elle le fixait se mordant la lèvre inférieure pour ne pas laisser éclater sa colère
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Rapha13
Le cistercien entra dans la salle du plaid, du gouverneur militaire de Bourgogne, Namaycush...

Avec un petit sourire en coin, ben oui il était berrichon et pas que ça lui faisait plaisir de voir ce spectacle mais un peu quand même après tous les ravages que la Bourgogne a fait en Berry, elle a enfin connu une guerre sur son sol...

La salle était assez grande mais très bien agencé, le trône était au fond surplombé de deux grand blasons en tissus apparemment de grande valeur, il reconnu celui du royaume de France évidement et celui de la famille de Namaycush...

Arrivant par une porte dérobé derrière le trône, le cistercien, ne pris le temps de regarder aucune des personnes présente, le berrichon alla rejoindre son cap et se plaça derrière lui tout en regardant, finalement, plus attentivement les personnes présente, et il lui remit une missive qui apparemment avait fait route depuis quelques forêt car on pouvait apercevoir des traces de terres sur le recto de celle-ci, la remettant au cap, il lui chuchota à l'oreille...


Un plis pour toi cap attention apparemment ça vient de quelques forêt, ça doit être secret...
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Signature hors norme, supprimée par {Alana}
Delamark
Tourner bourriques.
Le Prince de Pontoise oserait-il un tel affront ? Le Duc, même dans son état, pourrait tenir longtemps ainsi s'il le souhaitait. Après tout, n'était-il pas ce diplomate qui avait toujours fait montre de patience devant les différentes ambassades dont il avait la supervision, quitte à attendre de longues heures avant de pouvoir trouver, au moins, un homologue ? Tout était question de pratique.

Néanmoins, les choses étaient pressantes et l'attitude du Salmo Salar, depuis la reprise de Dijon, était assez cavalière aux yeux du Balafré.

Il alla se racler doucement la gorge lorsque la Chantilly fit son oeuvre.
Comment cela, ils étaient tout deux sur la même longueur d'ondes ?
Secret de polichinelle, allons.

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