Afficher le menu
Information and comments (13)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7   >   >>

[RP]Plaid du Gouverneur militaire ad intérim

Aegon
La réponse ne le satisfaisait pas, loin s'en faut, et le Chambellan se demandait quel crédit accorder désormais aux engagements de la Couronne... Il inclina la tête aux paroles de la princesse de Chantilly, qui exposerait les doléances de la Bourgogne à ce gouvernement militaire imposé bien mieux que lui qui n'avait pu, par son état, participer aux combats.
_________________
Ezioauditore..
Ezio patientait. Il écoutait attentivement les discussions plutôt animés de ce lieu. Il attendit que tout le monde finissent de dire son mot pour enfin dire les siens, quoi que court, on lui reproche souvent d'être laconique.

Si je puis me permettre de demander, Pourrais-je reprendre le siège de Dijon, ou dois-je attendre les prochaines élections?

Entre deux conversations, il place quelque mots, ni vu ni connu.[/b]
_________________
*atalante
Ca avait été long et fastidieux, tout contrôler, tout vérifier sur les parchemins, ce qui était présent physiquement, faire le tour des greniers, des caves et entrepôt ducaux, mais enfin, j'avais fini.....même pas le temps d'aller voir la douce Kahhlan, et de prévenir saint Kad qu'il se radine à son chevet avec le fameux cornichon doré de saint Théodule pour la soigner au plus vite.
dans un premier temps, me rendre auprès du capitaine Namay cush pour voir avec lui et lui donner mon rapport, qu'il puisse donner les chiffres juste et le point de situation à nos remplaçants.

Je rejoins le prince, oulalala, que du monde ici, ça piaille, ça questionne......j'entre, je me fraye un passage jusqu’à l'homme de la situation.


A dix chattes votre altesse, voila, j'ai enfin fini, fini de faire les comptes des denrées restantes, j'ai tout contrôlé, fait le tour des greniers, des caves, qui sont fort belle d'ailleurs, et des entrepôts ducaux, j'ai regardé les livres de comptes, pas d'irrégularité flagrante concernant les mandats, voilà la liste de ce qui reste, tenez capitaine.

je lui tend le parchemin tout neuf que je viens de rédiger
Citation:
liste des marchandises entreposés dans les réserve du duché de Bourgogne.

Encombrement : 14126

26621,42 écus
67 sacs de blé
26 sacs de farine
738 quintaux de pierre
39 pelotes de laine
519 stères de bois
1 rame
1 manche
1 caillou
731 kilos de minerai de fer
44 truites
16 boisseaux de sel
3 petites voiles
4 charrettes

Les ordres de vente du Comté :
44 stères de bois à 4,30 écus pièce.

Fait le 30 mai de l'an 1460 sous le règne de Vonafred

Atalante
maréchale de France pour le Berry, la Bourgogne et le Bourbonnais-Auvergne
Gardienne du cornichon doré en voyage



Sinon Prince, dans la liste des parchemins composant les mandats, il y en a un qui a attiré mon regard et qui montre la volonté et les idées du soit disant conseil de régence qui veut le bien du Roi, tenez, regardez ce que contenait le mandat

Citation:
Mandat numéro '1078926'

Contrat :
Mandat confié à estainoise en qualité de logisticien de l'Impétueuse pour nourrir les soldats de l'armée,

Ce mandat contient :

- 98 Pains
- 70 Maïs
et
- 1 Manche pour y fixer Vonafred.

Il sera rendu vide.

Le mandat ainsi confié devra être restitué au plus tard le 15 mai 1461.

Tout mandaté méconnaissant les termes du présent mandat, le rendant hors délai ou refusant de le rendre tout à fait sera susceptible d'être poursuivi devant la cour de justice de Bourgogne.

Fait à Dijon le 15 mai 1460 par le conseil militaire


Voilà, je vous laisse à vos discussions si vous n'avez plus besoin de moi, j'aimerai me rendre auprès de Dame Kahhlan pour la veiller un peu.
_________________
Varden
Un petit temps avait passé. Montjoie semblait s'être lassée de sa compagnie. Allez savoir pourquoi ?

Toujours est il qu'un petit page vint à lui, lui apportant un document l'air sérieux, consciencieux dans son travail.

Avisant ledit document, il s'éloigna, sortant du Plaid Bourguignon et se rendant avec hâte ailleurs.

Après un rapide état des lieux, il revint avec un vélin rédigé de sa main qu'il afficha à qui voudrait le voir.



Citation:
A tous les Bourguignons,

A quiconque qui lira, aura ou se fera lire,

Saludi e Patz !

Nous, Valère d'Arezac, Bailli par souci de préserver l'économie Bourguignonne des conflits qui opposent les hommes en ces jours sombres,

Faisons savoir que nous n'avons relevé, au niveau du Duché de Bourgogne, aucune malversation qui serait de nature de faire croire à un pillage en règle comme a pu le subir la municipalité de Dijon.

Qu'en cette période de transition délicate, priorité est donnée à l'obtention de Point d’État afin d'assurer la pérennité des biens de Bourgogne.

Qu'à ce titre, nous invitons les érudits de Bourgogne à nous contacter afin de pourvoir aux offres éventuelles que nous pourrions faire.

Que dès demain, nous serons en quête de PE Institutions et PE Finances.

Qu'à ce titre, toute bonne volonté souhaitant agir pour le bien de la Bourgogne est invitée à nous contacter et à rester à disposition dans sa ville. Que nous informerons chacun de la suite donnée à cette mise à disposition.

Que le salaire sera, comme de coutume, de 25 écus pour 10 points et de 35 écus pour 20 points.

Que nous ajoutons en marge de notre annonce, un document sur les statistiques financières du Duché sur ces derniers jours afin que nul ne soit accusé de pillages ou autres exactions de ce genre.

Que cela soit dit, que cela soit su.

Pour la Bourgogne,

Valère d'Arezac.


/SPAN>
Citation:
Situation financière du Duché de Bourgogne.

Trésorerie : 26624,40 écus
Flux de trésorerie - en test

Aujourd'hui
Revenus des impots : +123,24 écus
Revenus des ventes : +8,60 écus
Création de monnaie : +5191,20 écus
Vente d'animaux : +0,00 écus
Achats classiques : -0,00 écus
Dépenses de recrutement minier : -1545,00 écus
Salaires des forces de l'ordre : -0,00 écus
Corruption et gaspillages divers : -395,61 écus
Balance des mandats civils : +0,00 écus
Balance des mandats militaires : +0,00 écus

Hier
Revenus des impots : +120,57 écus
Revenus des ventes : +17,20 écus
Création de monnaie : +4989,60 écus
Vente d'animaux : +200,00 écus
Achats classiques : -0,00 écus
Dépenses de recrutement minier : -1500,00 écus
Salaires des forces de l'ordre : -85,00 écus
Corruption et gaspillages divers : -394,91 écus
Balance des mandats civils : +0,00 écus
Balance des mandats militaires : +0,00 écus

Cette semaine
Revenus des impots : +473,14 écus
Revenus des ventes : +225,80 écus
Création de monnaie : +14968,80 écus
Vente d'animaux : +940,00 écus
Achats classiques : -0,00 écus
Dépenses de recrutement minier : -4440,00 écus
Salaires des forces de l'ordre : -187,00 écus
Corruption et gaspillages divers : -1200,99 écus
Balance des mandats civils : +0,00 écus
Balance des mandats militaires : +0,00 écus

La semaine dernière
Revenus des impots : +1097,36 écus
Revenus des ventes : +2574,00 écus
Création de monnaie : +19504,80 écus
Vente d'animaux : +4680,00 écus
Achats classiques : -2915,55 écus
Dépenses de recrutement minier : -12089,32 écus
Salaires des forces de l'ordre : -1635,00 écus
Corruption et gaspillages divers : -2865,41 écus
Balance des mandats civils : +0,00 écus
Balance des mandats militaires : +0,00 écus
Derniers événements

Impots
Pas d'événements.

Ventes
Pas d'événements.

Embauches de fonctionnaires
2012-05-29 10:43:02 : Le Comté a embauché Taviaca comme fonctionnaire pour 35,00 écus.
2012-05-27 23:03:02 : Le Comté a embauché Gothyra comme fonctionnaire pour 35,00 écus.
2012-05-27 19:43:02 : Le Comté a embauché Leos comme fonctionnaire pour 35,00 écus.
2012-05-25 22:03:01 : Le Comté a embauché Plum comme fonctionnaire pour 25,00 écus.
2012-05-25 20:23:03 : Le Comté a embauché Vivelavie6 comme fonctionnaire pour 35,00 écus.
2012-05-24 20:03:03 : Le Comté a embauché Vivelavie6 comme fonctionnaire pour 25,00 écus.
2012-05-23 21:03:03 : Le Comté a embauché Vivelavie6 comme fonctionnaire pour 35,00 écus.
2012-05-22 19:23:05 : Le Comté a embauché Clothaire comme fonctionnaire pour 35,00 écus.
2012-05-21 20:23:02 : Le Comté a embauché Lonufiel comme fonctionnaire pour 35,00 écus.

Embauches dans les mines
Pas d'événements.

Salaire des forces de l'ordre

Achats
Pas d'événements.

_________________
Olivier1er
Mais où etait il ? Ses épaules s'affaisserent, non le poids des années, mais un decouragement, fugace, mais réel.

N'y pouvant plus, le Baron s'avanca d'un pas.

D'un ton neutre et sans chaleur il prit la parole.


Puis je rappeler a vos Altesses que nous ne sommes point icelieu pour savoir "celui qui a la plus grande" alors qu'a quelques pas de cette salle qui symbolise la Bourgogne eternelle des Bourguignons amoureux de leur duché - a leur façon - ont souffert et certain meme ont peril ?

Pardon, je me presente avant tout, Athos de la Bronze, Baron de Chatillon en Bazoys Grand Maitre de l'Ordre de la Toison d'Or.

Les armees victorieuses etaient mues par une volonté d'un retour de la legitimité en Bourgogne, soit ! Le conseil actuel est de transition comme votre Altesse l'a rappelé pour permettre d'attendre que les Bourguignons arrivent a ce mettre d'accord pour reprendre ensemble les rennes du Duché.

Fort bien.

Mais alors, puis je suggerer a vos Altesses que peut etre faudrait il envisager deux choses :

La premiere punir les armées ennemies qui ont placées la Ville de Cosne en ville franche portant un coup suplementaire a la Bourgogne en profitant d'un moment de faiblesse. Cette traitrise envers un duches vassal de la courrone ne peut rester impunie.

La seconde, pour envisager toute reconciliation entre les deux parties Bourguignonnes fratricide, peut etre faudrait il que vos Alteses invitent des personnalités de l'autre camp. Je ne vois ici que des personnalités du camp des vainqueurs.

Enfin, quitte a etre outrecuidant, vos Altesses, j'ai humblement une quesion double qui je pense interresee tous les Bourguignons.

Que va t il advenir de l'ex Duc Delamark ? Car Il a tenté de piller les caisses du Duché. Un Duc qui se comporte comme un brigand ne doit il pas etre traduit devant la haute court ?

De plus Il porte la responsabilité du massacre de Bourguignons en Bourguogne, soit en donnant l'ordre de l'assault, soit en laissant faire l'attaque du castel de Dijon qui etait tenu par des Bourguignons qui se prevalaient d'une certaine neutralité alors qu'une ville -Cosne - prise par des armées etrangeres a l'affaire en cours et transformée en ville franche reclamait une intervention urgente pour une reintegration dans le giron Bourguignon. L'ex Duc Delamark a preferer tenter de recuperer les signes exterieurs de son pouvoir plutot que de l'assumer en marquant un non sanglant a l'alienation d'une partie du domaine Bourguignon par le Berry. Ce choix est pour le Bourguignon que je suis une double haute trahison.

Ensuite, La presence de l'ex duchesse Edwen declarée ineligible par les instances legales du Duché de Bourgogne est actuellement un affront fait a la Bourgogne et aux Bourguignons alors qu'elle a semée les graines de la crise actuelle. Sa presence toleré n'est point un gage d'apaisement par votre Altesse actuellement toute puissante en Bourgogne.

Je prie vos Altesses d'envisager de regler avant tout ces questions qui sont un prealable evident a l'instauration d'un climat propice au debat sur une reconciliation entre les Bourguignons.

Afin d'eviter toute m'esinterpretation d'un silence, je precise que Je ne parle pas d'Eusaias par qui tout est arrivé, attendu qu'il n'est plus en Bourgogne et qu'il fut deja punit par sa Majesté qui lui a retiré ses titres et privileges.

je vous remercie de m'avoir ecouté

_________________
Namaycush
Les rapports tombaient, la foire d’empoigne débutait, Namay se lassait… Il adressa un sourire particulier à Atalante* des dix chats, remercia Valère…

Chantilly ! Nous allons faire preuve de courtoisie et de mansuétude…Il saisit l’étendard de Bourgogne, le roula, la regarda dans les yeux et à la manière des officiers de carrière donnant arme ou fanion aux hommes il le lança à l’horizontale en sa direction…

Ornez donc votre armée, vous serez ainsi la seule armée à battre pavillon de vos terres !

Argent en caisse donc… 27 000 écus… facture des armées royales, comprenant solde, armement, nourriture, frais divers….


Griffonne un chiffre que l’on vient de lui communiquer…

Citation:
37 000 écus
agite le papier….

La Bourgogne est en faillite si nous encaissons ce montant ! mais nous allons faire preuve de mansuétude et de courtoisie digne de notre rang…

Ecriture sèche…scel rapide…

Citation:
De Nous, Namaycush Salmo Salar, Gouverneur militaire ad intérim de la Bourgogne.

Qu’il soit su que la somme de trente-sept mille écus, correspondant aux frais d’engagements des armées appelés à la rescousse par le Duc Delamark, sont gracieusement offerts à la Bourgogne afin qu’elle puisse se rétablir sereinement.

Ainsi rédigé au nom du Roi de France et du nôtre, le XXXième de mai 1460



Carmin.


Mais que la Bourgogne n’oublie jamais combien peuvent coûter les négligences d’un conseil…fixe bien dans les yeux Delamark…

Bourgmestre de Dijon, mes hommes font leur paquetage, dans quelques heures nous vous livrerons votre mairie augmentée d’un bénéficie non négligeable… cadeau aussi !

Pontoise est bon, Pontoise est généreux…

Baron, adishatz !

Il est exact que nous avons convoqué cette assemblée afin de composer un gouvernement à venir. L’affaire militaire, nous insistons, militaire de Cosnes a été réglée entre militaires et nous ne pouvons lever le secret qui la régit. Néanmoins sachez que s’il s’était avéré que nous devions faire long siège devant Dijon, toutes les villes de Bourgogne auraient été franchisées.

Nous avons invité toutes les parties concernées, hormis celle de l’ancien conseil en place considéré félon, menteur et traître. Donc …les gens présents s’arrangent … Nous n’avons plus le temps. Nos ordres de mission urgent ailleurs…

Dans quelques heures nous rendrons le pouvoir aux autorités civiles. Il vous appartiendra à vous, Bourguignons de savoir aplanir les difficultés et il y en aura.
Néanmoins nous considérons votre intervention fort judicieuse et sommes persuadés que si plus de gens faisait l’effort de composition que vous faites, la Bourgogne s’en portera que mieux. Pour en revenir à Edwen de Blanc-Combaz, elle fait l’objet d’une grâce royale.


Se saisit d’un verre d’eau… il ne craignait pas de rouiller ce jour.
_________________
Delamark
Décidément, le Prince se permettait une bien grande liberté de parole quand il s'agissait de s'adresser au Duc de Bourgogne.
Ici pourtant, Namaycush n'était rien d'autre qu'un exécutant venu libérer la Bourgogne de ceux qui l'ont ouvertement trahi, et non d'y ajouter sa griffe tutélaire qui portait aujourd'hui préjudice à ceux qui ont toujours défendu le droit.
Un rictus, avant de répliquer, en y adoucissant du mieux qu'il pouvait ses propos. Après tout, n'étaient-ils pas "alliés" comme le Salmo Salar l'avait déclaré quelques jours plus tôt ?


Prince,
Vous semblez bien certain en affirmant que nous n'étions pas prêts pour reprendre le château mais j'y vois davantage une excuse, ce jour, pour justifier que vous et vos soldats de la Memento aient investi le castel, allant ainsi à l'encontre de ce qui était défini. Car oui, il revenait aux conseillers bourguignons légitimes de le réinvestir, et non à vous. Des conseillers qui sont prêts depuis dimanche dernier et qui n'ont à attendre nul aval, si ce n'est le mien, pour reprendre ce qui leur revient de droit.

J'ai toujours été régnant de Bourgogne, quoiqu'il vous paraisse, et j'ai le sentiment que vous êtes là en train de contredire les paroles sacrées de notre Roy Louis, votre frère, Prince. Mais je gage qu'il y ait mauvaise formulation de votre part, comme il peut en arriver si souvent ces derniers jours.

Quant au peuple et ses attentes, ce n'est point à vous de vous en faire soudainement le chantre et l'idéal porte-parole, gardez-vous donc de prendre des prérogatives qui ne seront jamais vôtres. Car cela s'appelle de l'ingérence politique, ce qui nous ferait entendre que vos préoccupations exclusivement militaires ne semblent plus vous suffire.

Actuellement, et par votre seule conduite, vous êtes en train de donner raison à nos détracteurs et je ne puis que réitérer ma demande qui est celle du retrait immédiat de la Memento et de toute autre armée royale de l'enceinte de Dijon afin que l'ordre des choses puisse retrouver son cours.

En attendant, nous ne pouvons que vous remercier, une nouvelle fois, vous et ceux actuellement en charge des affaires courantes, d'assurer cette transition avec toute la confiance que nous vous portons toujours.


Avant de se retirer, car il n'avait plus rien d'autre à faire en cette "salle du plaid" dont il avait déjà senti à plein nez la -pourtant- aimable entourloupe, il s'adressa à ce cher Athos.

Baron,
Vous parlez réconciliation comme s'il s'agissait d'une petite querelle d'égos, voire d'échanges rudes entre deux parties, alors qu'il n'en est rien. Des actes graves ont été commis et ils ne resteront point impunis, et vos paroles dédaigneuses à mon égard sont empreintes des mêmes termes que ceux du conseil des parvenus que vous étiez, il me semble, sur le point de rejoindre avant de vous détourner par une gracieuse lumière. Quoique ce détournement nous semble bien partiel.

Le conseil des parvenus ne peut se prévaloir d'une quelconque neutralité quand il maintenait honteusement l'agrément aux armées félonnes qui ont menacé à la fois la Bourgogne et les provinces du DR. Les parvenus avaient encore possibilité donnée pour se démettre, mais en réponse ils ont préféré fermer mines et multiplier embauches de maréchaux pour défendre un pouvoir tout bonnement illégitime, coulant par la même la trésorerie ducale dans des dépenses que nous jugeons purement personnelles.

Nous avons été également clair concernant le Berry par plusieurs déclarations, et nous demanderons justice, mais peut-être préférez-vous vous baser sur des convictions propres et qui n'engagent donc que vous.

Sans donc aller plus loin, car il m'est toujours supplice que de discuter avec oreilles hypocrites, je prends dument note de vos accusations parfaitement infondées et particulièrement graves. Nous ne les oublierons pas, et nous gageons qu'il en sera bientôt de même pour vous.


Et sans plus tarder, il regagna ses quartiers.
S'il y avait bien une chose que le Balafré détestait, c'était bien de perdre son temps.

_________________
Olivier1er
incline la tete vers le Prince

Franchiser les villes de Bourgogne, n'auraient pour consequence que de mettre a genou la Bourgogone et non le conseil de Regence. Encore une fois que l'ex Duc Delamark ait acquieser ce plan en dit long sur sa capacité a régner. Pour votre Altesse, il ne s'agit que d'une strategie militaire qui peu se comprendre, pour une personne qui a ete elue Duc de Bourgogne, le duche doit etre pour lui inalienable !

Malheureusement, votre Altesse, les parties a reconcilier sont membre des deux camps, en exclure un, c'est hypothequer les chances d'une reconciliation durable.

Pour Ladite Edwen, je sais que sa Majesté la gracié, toutefois si votre Altesse veut optimiser ses chances de mettre a son credit la reussite de la demarche de reconciliation qu'elle a entreprit, je me permet de lui apporter avec modestie le conseil de l'exclure du processus. Certe sa Majesté l'a graciée et lui a pardonnée, mais les Bourguignons - et je ne parle pas ici que du College de la Noblesse, mais des Bourguignons dans leur grande majorité - ne sont point aussi misericordieux que sa Majesté et point si clement. Les actes commis par icelle sont encore bien trop present dans les memoires Bourguignonnes et faire abstraction de ceux ci est une demarche bien trop difficile pour garantir que la serenité des debats ne soit point entaché par la presence de celle qui a porté division, insultes et la discorde au sein du duché.

Pour qu'une graine pousse votre Altesse, il convient que la terre soit bonne, d'y apporter de l'eau, du soleil et de veiller a retirer les mauvaises herbes comme le chiendent. Proteger la graine que vous tenter de faire pousser afin qu'elle soit rapidement un chene de reconciliation.


Puis apres avoir ecouter l'ex Duc Delamark, et avant qu'il ne s'eclipse

...et les Bourguignons n'oublieront point vos 4 jours de reigne durant lesquels, vous avez tenter de piller les caisses du duche, promis de commettre un acte de forfaiture, avoir le sang de Bourguignons sur vos mains, le sang de freres, de soeurs, de n'avoir pas su organiser le duché pour en garder son unité, d'avoir permit de perdre une ville, Cosne, d'avoir appeler des etrangers a la Bourgogne pour regler des affaires interne au Duché, d'avoir presque tué l'âme de la Bourgogne. Pour tous ces crimes vous etes coupable, Eusaias n'a ete qu'un pretexte par vous utilisé pour tenter de fuir la Bourgogne avec ses richesses. En 4 jours de reigne vous avez fait plus pour nuire a la Bourgogne que la totalité de vos predecesseur a la faire rayonner dans le Royaume en plusieurs siecles.

Nul ne l'oubliera soyez en certain !

_________________
Jerem51
Le Recteur écoutait le prince de Pontoise et tous les gens parler.

L'Eglise est intervenue dans ce conflit parce qu'il n'était pas tolérable que le pouvoir fût aux mains de gens qui soutenaient la rébellion d'Eusaias contre le seul vrai roi de France, sacré devant Dieu et qui s'étaient emparés du pouvoir bourguignon par un coup d'Etat alors qu'ils venaient de perdre, le plus démocratiquement du monde, le pouvoir.
Ils ont violé la loi de Dieu, ils ont violé la loi des hommes. La moindre des pénitences qu'ils aient à subir, c'est qu'ils soient exclus du conseil et des terres bourguignonnes pendant un certain temps - voire à jamais - afin de méditer sur leur forfait et leur traîtrise. Les monastères et les couvents sont d'ailleurs tout prêts à les accueillir afin qu'ils puissent mener à bien ce travail de contrition et recommencer une vie meilleure éventuellement ailleurs.

Maintenant, la seule chose qui intéresse l'Eglise, c'est que l'ancien conseil, du moins ceux qui n'ayant pas été navrés à la guerre et qui ne se sont pas alliés à la rébellion, que ce soit de façon active ou passive, retrouvent au plus vite leur place, s'occupent de combler les places devenues vacantes et que les institutions bourguignonnes retrouvent leur fonctionnement normal.

_________________
Recteur de la Congrégation de Saint-Thomas,
Vice-Préfet du St-Office,
Ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain,
vicaire de Semur, théologue du St-Office,
Conseiller semurois
Bastien_de_louhans
Bastien regardait de loin ses compagnons d'armes préparer le départ. Son armurier personnel avait remballé l'arsenal apporté de Savoie. Les armées royales étaient déjà sorties de Dijon, et il se demandait si le prince allait lever la réunion, ou transmettre symboliquement le pouvoir à un indigène, pour que les combattants puissent quitter les lieux et rejoindre leurs unités avant d'être abandonnés en arrière.
_________________
Elisabeth_stilton
Une voix féminine s'élève parce que bon au bout d'un moment le combat de coq ça commençait à bien faire. Ils étaient déjà deux à le faire très bien, Vonafred et Eusaias, pas la peine que cela recommence pour la Bourgogne. Elle ne se leva pas, après tout elle était enceinte - oui oui on sait ça ne se voit pas - puis elle était une dame et aussi par principe, elle ne se lève devant peu de personnes.

Dites on est là pour faire les comptes de qui à fait quoi ou pour relever la Bourgogne ? On est là on en est par la responsabilité de tous, j'ai moi même surement une part de responsabilité à mon niveau.
Alors maintenant les actes du Prince de Pontoise vous plaisent ou pas c'est autre chose. Vous vouliez son aide. Il faut prendre les conséquences qui vont avec c'est logique. Assumez.
Bon concrètement il se passe quoi maintenant pour la Bourgogne Votre Altesse ?

_________________
Aelith
Diantre.

Si la Vanillée - surnommée d'ailleurs la Parisienne, ce qui était un brin agaçant: Aelith aussi voulait un surnom de ville à elle - sentait le mal de tête poindre, Aelith se massait la tempe depuis quelques minutes déjà. Cela n'avait pourtant pas tant à voir avec les chiffres, ni même avec les propos échangés, qu'avec le nombre de personnes rassemblées au sein d'une seule et même salle -grande, certes, mais fermée tout de même. Il y avait eu le Languedoc, il y avait eu le coche, et il y avait maintenant le Plaid.

Elle se sentait d'autant plus étrangère aux relatifs règlements de compte qu'elle n'était pas présente au moment des faits: elle les avait appris à rebours, bien sûr. Mais cela ne faisait pas d'elle la personne idéale pour prendre la parole. Stilton lui vola alors les mot de la bouche, résumant à la perfection ce qui se tramait au creux de sa propre cervelle - aussi rousse soit-elle.

Que se passait-il maintenant, concrètement?

_________________
Namaycush
Ses yeux riaient, ses paupières s’amandaient et les pattes d’oies s’accentuaient en commissures de ses globes oculaires… Il ne riait plus d’amusement, ni de lassitude, mais peut-être de pitié ou de moquerie… Bon type, la main qu’il avait tendue ne se serrait pas et la Bourgogne courait d’un rythme affligeant à sa perte, et Namay recevait autre mission…

Balafré donnait toise à Carmin, mais il connaîtrait Pon-toise plus profondément. Il fuyait le balafré…il fuyait… épaules hautes mais peu larges…


Alors que les présents sachent, vu que le charmant déchu de Bourgogne ne nous fasse plus l’honneur de sa présence, que l’armée de de Son Altesse Armoria de Mortain manquaient trois hommes, ceux qui tiennent l’échelle, pour franchir le saut-de-loup qui la séparait du donjon. La tentative fut donc avortée, la partie remise.

Dans les faits, cette armée n’était pas prête, n’en déplaise à Ser le duc Delamark. Donc partie remise, allez savoir ce qui arrivera cette fois. Nous avions demandé une sincérité dans notre débat, par les faits marqués, il n’y en a pas et nous n’y voyons qu’un déni de vérité que nous regrettons fortement.

Nous ne sommes point officier de cour, nous le répétons, juste capitaine de terrain, mais exerçons notre art de la guerre au plus près de nos connaissances du terrain, que depuis bien longtemps, nous arpentons du cul de la Bretagne aux confins de l’Empire.

Notre armée, «Memento Mori » a déjà reçu mission de se rendre sur un autre front. Sur notre ordre et sous notre commandement, notre armée est sortie des murs de Dijon cette nuit, et la plupart de nos gens mis en place au conseil sis dans le donjon sont démissionnaires ou vont le faire. Seuls quelques postes sont encore pourvus pour les heures à venir. Nous remercions ainsi nos gens de faire preuve de responsabilité dans ces moments critiques.


Homme convaincu et honnête, il se lève, se dresse de sa carcasse et dans une gestuelle verbale explique, tout simplement, sans juger.

Ce jour, nous craignons, nous craignons pour la Bourgogne quant à ses capacités à se défendre. Pas plus tard qu’il y a quelques instants, la Colonel Boudalapeste nous fait parvenir vœu d’agrémentation de l’armée de Didiers de Sars du pavillon bourguignon. Nous précisons que nous occupons la place de capitaine de Bourgogne le temps de la transition des pouvoirs, n’ayant point la prétention de régner sur une province et de nous occuper des tâches administratives inhérentes à ce poste.
Nous voulons bien agrémenter ladite armée, La Legio Burgundiae, à condition que son Commandeur le demande, chose qu’il n’a encore jamais faite. Il est vrai que celui-ci se trouve déjà à Cosne, ville franche, et qu’il est impossible d’agrémenter une armé se situant en territoire franc. Ainsi trouvons-nous décharge à ce grand commandeur d’armée bourguignonne. Nous vous laissons en déduire ce qu’il vous fera plaisir de penser, mais sachez que nous sommes, comme déjà dit, homme de terrain et non formateur.

Nous précisons au maire légitime de Dijon, ici présent qu’il est inutile de nous noyer de courriers, que vous allez récupérer votre poste à condition que vous vous arrangiez avec les affaires militaires internes qui, tout soudain, ne seront plus de notre ressort.
Pourriez-vous m’expliquer comment allez-vous faire Enzioauditore.. comment allez-vous reprendre votre mairie, vous, vous et point d’autre ?
Cela est tout bonnement impossible tant que l’armée de la Princesse de Mortain sera dans les murs, parce qu’à son corps défendant, c’est le cas de le dire, son armée défendra.


Se détourne vers le Grand Maître de la Toison d’or… de face et le regarde de près, franchement…

Baron, nous ne sommes qu’un militaire ayant plein pouvoir de Sa Majesté pour rétablir l’état de droit en Bourgogne. Chose à présent faite. Mais nous n’avons dans l’application d’une stratégie de combat que peu de considérations pour les affaires politiques comme économiques. Chacun son rôle en fait !

Baron, nous vous sentons convaincu et prêt à débattre… nous vous en remercions mais nous n’avons plus de temps devant nous. Les ordres de Sa Majesté sont formels à notre grand regret, nous devons prendre la route au plus tôt. Nous ne pouvons que vous souhaiter bonne chance pour la suite.

Ser Recteur, comme nous l’avons dit précédemment, nous faisons acte de démarche aristotélicienne, en stipulant, nous le répétons, que nous priions tout un chacun d’agir en bon aristotélicien et un bon aristotélicien n’accepte aucune compromission avec le mensonge, la violence, l’immoralité, l’injustice.
Pourrions-nous faire encore quelque chose de mieux, que visiblement, peu de gens respectent dans cette assemblée, à commencer par le Ser Duc Delamark ?

Nous répétons et affirmons qu’à présent il s’agit d’une affaire interne à la Bourgogne et regrettons que notre initiative ait été aussi mal suivie.


Elle ne se leva pas, elle était enceinte mais cela ne se voyait pas… Lui s’était levé, cela se voyait à sa carcasse déployée, mains sur les hanches, tête penchée sans prérogative de rang ou de position … yeux verts clairs, à l’émeraude.

Concrètement nous quittons, déçu qu’un militaire tentant de composer pour l’avenir de ce qui fut un grand duché et tentant de faire preuve de bon sens, pour une fois, se voie critiquer de toute part au mépris de la vérité. Ainsi Ser Duc Delamark exercera son art de la gestion, comme nous l’avons démontré auparavant, et cessera de nous noyer sous des courriers tant inutiles que multiples !

Il prend une pile sur la table, les laisse se feuilleter un à un en les laissant tomber…

Le vent les emportera… tandis qu’un clin d’œil gentil salua une Auxerroise bien rousse…

_________________
Monsieurpatate
Citation:

comment allez-vous reprendre votre mairie, vous, vous et point d’autre ?
Cela est tout bonnement impossible tant que l’armée de la Princesse de Mortain sera dans les murs, parce qu’à son corps défendant, c’est le cas de le dire, son armée défendra.


Si si, c'est possible, il suffit de balancer quelques dizaines de paysans peu charismatiques, et hop c'est dans la poche. En évitant de se faire poutrer évidemment. C'est pas par-ce qu'il y a défenses qu'on ne peut passer.

Si vous voulez d'autres conseils, amis bourguignons, je suis tout ouïe.
_________________
--Scribouille
Scribouille aide de camp et messager à ses heures arrivait en l'endroit indiqué , l'urgence d'une nouvelle reçue à porter à son Altesse le Prince Gouverneur..

Il s'approcha discrètement , garde à vous devant le Prince.


Votre Altesse, on me fait vous prévenir que le camp est levé, votre monture et vos hommes n'attendent plus que vous pour sonner le départ.

Garde à vous à nouveau pour se retirer aussi discrètement qu'il était entré, il resterait lui en Bourgogne le temps que les blessés de l'armée de Memento Mori soient rétablis.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)