Falco.
RP ouvert dans le respect du contexte Ig et des régles habituelles du RP.
PNJ non signés tuables à loisirs
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Cavalerie du Coeur Navré-Rase campagne
Leftenante, récupérons les chevaux, ça ferait mal qu'ils soient volés par des bouseux pour tirer leur charrue.
ZOB Kayhan...En éclaireur. tu comptes les trous de nez, tu divises par deux..La routine.
Nous allons tâcher de prendre repos et soins dans cette auberge miteuse.
Ladite auberge, "La faute à Léandre", offre âtre, toit, puit sain et confort nescessaire pour que la troupe se recompose.
L'aube fut rude.
Sortent des chemins, des lisières, par deux ou solitaires, des cavaliers dispersés aprés le choc contre l'armée ducale du Maine.
Des chevaux ont perdus leur maitre. Maitres qui sont recherchés pour être sauvés ou enterrés.
Pertes légères ? Certe au regard du nombre. Mais au niveau de la valeur c'est douloureux.
La Cavalerie du Coeur Navré n'est pas troupe de choc, elle pique, escarmouche, embuscade..Mais cette fois il fallait bien tenter de passer..Pas d'autres choix que de froler les remparts du Mans pour atteindre leur objectif.
Assis au bord du puit, en compagnie d'un cruchon de bière moribond , Falco de Cartel lance les consignes tout en finissant de lire.
N'étant guères éloignés à vol d'oiseau de la Capitale, les plus malins ont déjà rapportés nouvelles et potins.
Dimaro a écrit:
Citation:
De nous, Louis-Josèphe Dimaro di Campiglio, Comte du Maine
Au Peuple Mainois,
A ceux qui oseront nous défier,
A tous, lisant ou se faisant lire,
Salut et Santé !
Pour que tous sachent que le Maine est loyal et puissant.
Hier soir, à la nuit tombée de cette journée du 27 mai 1460, l'armée "Cur Navré" dirigée par Estainoise, sous l'égide du traitre à la Couronne Eusaias de Blanc-Combaz arrivant de Touraine sans encombre, a tenté d'entrer dans le Domaine Royal par notre chère capitale Le Mans. Quelle diablerie de croire qu'il en fut possible !
Aujourd'hui, alors que l'aube s'est levée, après une bataille enflammée entre l'armée félonne et celle du Mans, l'armée Comtale du Maine "Montes Excelsior" s'est rendue victorieuse, muée par la fierté de défendre le peuple mainois de l'envahisseur.
Cependant, la guerre n'est pas finie. Il nous faut rester vigilant et nous vous enjoignons a défendre vos villes ou rejoindre l'armée. Restons unis dans ces moments difficiles. Par ailleurs, d'autant plus douloureux pour le conseil, car nous déplorons les graves blessures de notre Commissaires au Commerce et Vice-Comtesse, Dame Ygerne Corleone, dicte la Dame en Rose. Toutes nos prières sont tournées vers elle pour qu'elle ne succombe pas. Elle est comme notre fille et comme pour tous Mainois nous aurions donné mil fois notre vie pour qu'il ne lui arrive rien. Que le Très-Haut en soit témoin et lui conserve la vie en rose.
Adressons ainsi nos avertissements à ceux qui d'aventure voudraient faire plier le Maine. Qu'il soit su que notre vie est dévouée à ce comté, ainsi tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Corps et âme jusqu'au dernier souffle, le cur battant, nous ne laisserons la perfidie et le vilain prendre ce que nous chérissons, ce comté, son peuple, nos familles !
Ce matin, le bien triomphe du mal. Ce matin, le Maine prouve sa force! Ensemble, Mainoises Mainois, nous soulèverons des montagnes.
Que cela soit entendu pour que de droit.
Fait au Palais des Comtes du Maine, le vingt-huitième jour en lan de grâce quatorze cent soixante.
De nous, Louis-Josèphe Dimaro di Campiglio, Comte du Maine
Au Peuple Mainois,
A ceux qui oseront nous défier,
A tous, lisant ou se faisant lire,
Salut et Santé !
Pour que tous sachent que le Maine est loyal et puissant.
Hier soir, à la nuit tombée de cette journée du 27 mai 1460, l'armée "Cur Navré" dirigée par Estainoise, sous l'égide du traitre à la Couronne Eusaias de Blanc-Combaz arrivant de Touraine sans encombre, a tenté d'entrer dans le Domaine Royal par notre chère capitale Le Mans. Quelle diablerie de croire qu'il en fut possible !
Aujourd'hui, alors que l'aube s'est levée, après une bataille enflammée entre l'armée félonne et celle du Mans, l'armée Comtale du Maine "Montes Excelsior" s'est rendue victorieuse, muée par la fierté de défendre le peuple mainois de l'envahisseur.
Cependant, la guerre n'est pas finie. Il nous faut rester vigilant et nous vous enjoignons a défendre vos villes ou rejoindre l'armée. Restons unis dans ces moments difficiles. Par ailleurs, d'autant plus douloureux pour le conseil, car nous déplorons les graves blessures de notre Commissaires au Commerce et Vice-Comtesse, Dame Ygerne Corleone, dicte la Dame en Rose. Toutes nos prières sont tournées vers elle pour qu'elle ne succombe pas. Elle est comme notre fille et comme pour tous Mainois nous aurions donné mil fois notre vie pour qu'il ne lui arrive rien. Que le Très-Haut en soit témoin et lui conserve la vie en rose.
Adressons ainsi nos avertissements à ceux qui d'aventure voudraient faire plier le Maine. Qu'il soit su que notre vie est dévouée à ce comté, ainsi tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Corps et âme jusqu'au dernier souffle, le cur battant, nous ne laisserons la perfidie et le vilain prendre ce que nous chérissons, ce comté, son peuple, nos familles !
Ce matin, le bien triomphe du mal. Ce matin, le Maine prouve sa force! Ensemble, Mainoises Mainois, nous soulèverons des montagnes.
Que cela soit entendu pour que de droit.
Fait au Palais des Comtes du Maine, le vingt-huitième jour en lan de grâce quatorze cent soixante.
Deos! AH!Ah! J'ignore lequel à pu toucher ...Mais jolie prise que ce blason la!Vice Comtesse..Pas mal!
Depuis la Bourgogne, ils ont plus fait tourner bourrique les armées royales qu'échangés des coups.
Frapper peu, mais juste..La volonté divine leur refuse nette victoire mais compense par la qualité des vaincus.
Son crâne chauve, en sueur, auréolé de moucherons énervants, est rouge à force de frottement de la coiffe de laine doublant sa salade.
Le tout s'aère sur la margelle avec sa demie armure et son gantelet puant de transpiration.
Ils ont traversé la Touraine, visiblement semé l'armée du Connetable..Mais le Mans a barré la route aux vifs soldats légers.
Ya des jours sans.
Faut en compter souvent plus que des jours avec.
C'est le prix à payer quand on vit de l'épée.
Et vidons cette auberge! A défaut de ripailler au Mans, saoulons nous dans les bois.
Ils ont signifié à Eusaias, devant Orléans, qu'ils lui garderaitle flanc à défaut de continuer à le suivre dans ses choix tactiques suicidaires.
Au moins cette armée ducale est elle bloquée sur la Capitale.
Demie victoire? Sur la grande carte du Royaume les fanions bougent, les logiques se font.
Il aurait préféré cependant dormir en hostellerie du Mans plutot que dans une auberge à brigands.
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