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[RP] Les catacombes de Dieppe

Aimbaud
[Dans une autre venelle du souterrain.]


Quand il voulu se remettre sur pieds, Aimbaud entendit un craquement sinistre. Il se dit : "Mais sur quoi ai-je bien pu marcher ?", ceci juste avant de ressentir une immense et insoutenable douleur dans la cheville. Car, croyez-le, croyez-le pas, le bruit étrange provenait de son articulation.

Ne pas paniquer ? Ne pas paniquer ! Ne pas paniquer.


AAAAAAAAHHHHHH !

Il avait paniqué.

NOM D'UN P'TIT BONHOMME EN PAIN D'EPICE DE SA MERE ! J'ai maaaaaal !...

Mais Aimbaud était courageux !

Vraiment ?

Aimbaud était un héros.

Quoi ?

Aimbaud n'avait peur de rien, et sûrement pas d'une petite entorse de rien du tout, qui ferait à peine frémir le poil d'un cul de mouche.

Ben...

Alors Aimbaud avait-il quelque chose à ajouter, avant de reprendre sa route ?

Hum. Non non.

Aussi s'appuya-t'il contre le premier mur venu - les murs, on peut toujours compter sur eux - et saisit une canne qui traînait là pour s'en servir de béquille. A la canne, il ficela un cordon de sa chemise, comaté avec de la cire d'oreille et des cheveux tissés en macramé pour faire un coussinet confort sous son épaule. Il ajouta une guirlande de petits cailloux pour la décoration.
Ceci fait, il fit face au chemin qui l'attendait : une marche.
Derrière la marche, il y avait une autre marche.
Plus haute, plus imposante.
Et derrière l'autre marche, il y avait encore une autre marche.
Bien plus haute, bien plus imposante.
Je vous épargne les détails, mais en gros ça continuait comme ça jusque très haut... Et ça fit peur à Aimbaud, plus précisément à la cheville d'Aimbaud.


Bon ben... Quand il faut y aller ! Faut pas y aller par quatre chemins. Donc le mieux c'est de choisir le bon chemin. Un chemin facile, cool, sympa. Ouaais. Hum... On va voir si y'a pas une autre sortie par là-bas.

Aimbaud parlait peut-être seul, mais le lecteur l'écoutait. Alors il se dirigea dans un osbcur couloir aux voûtes incrustées de têtes de morts, en cherchant un panneau "exit".
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Sur mon avatar vous pouvez voir papa et maman qui ont une fiévreuse envie de me concevoir.
--Pestilence
Nyx se moque de moi ! Elle joue l'insolente !
Foutre Diable je vais l'occire cette inconsciente.

Citation:
- Mais dis moi la coureuse de rempart, comment feras tu sans moi ...quand ces grippeminauds de truandailles t'arracheront tes jupons ! tu pourras plus m'appeler là !

Et en plus elle me prend pour une bleue, ma parole ! Comme si j'avais besoin d'elle pour me défendre !

Elle fait celle qui n'a pas peur de mourir ... et bien je devrais lui donner un sérieux avertissement.

Aussitôt elle étrangle Nyx d'une main et pourfend son hibou sombrelot, qui s'écrase lourdement au sol.

Avec un air victorieux et malveillant elle lâche à son ennemie :


Maintenant tu va m'écouter sale truie. Tu as deux solutions, soit tu t'en vas et tu ne remet plus les pieds ici, soit tu subiras le même sort que ton compagnon.


Elle allait voir si c'est son territoire !
--Pustullelecrado
Pustulle toujours soul était occupé a briser quelques os pour se nourir, toujours son éternel crachat au bord des lèvres.

Il admirait son butin de la veille, quelques bagues qu'il avait arraché, :


"Bah ca pourra encore servir"

Il avait mal a la tête, non pas que le calva soit mauvais en dessous, bien que si il l'était, mais c'etait surtout les deux folles du fond qui se battaient pfiouuuu, elles ne pourraient donc pas s'étriper une bonne fois, en plus il pourrait ainsi leur faire les poches
Aimbaud
[Tout seul dans le souterrain. Moment de solitude.]

Aimbaud mettait un pied devant l'autre, devant la béquille, depuis un bon moment déjà. Ca faisait donc : pied pied béquille, pied pied béquille, pied pied béquille. Et en fond sonore ça donnait quelque chose comme... Tap tap pom ! Tap tap pom ! Tap tap pom ! Un rythme, on en convient, fort entraînant, qu'on pourrait comparer à une bonne basse de jazz anachronique. Je n'ai pas dit "Jazz électronique", soyons d'accord, bien que je cautionne ce type de son d'une qualité rare et mélancolique. Mais ? Ne suis-je pas en train de m'égarer...

Aimbaud progressait dans le souterrain.

Quelle étrange Nekyia effectuait-il là ! A passer sous des porches en ossements humains, à se frotter à de sales tombeaux - qui ne s'offusqueront pas de cet adjectif - ou encore à marcher dans des crottes de rats et à trébucher sur des bouteilles de calva oubliées là par quelque fantôme alcoolique.


Oh ! mais que vois-je.

Oh ! Mais que voyait-il ?

Narrateur, ô narrateur. Arrête de jouer au con et éclaire-nous plutôt.

Mais le narrateur avait perdu son briquet... Non hé, je déconne. Pas taper ! Bref, Aimbaud venait d'apercevoir une sorte de lueur. Hum... Comment dire. Un halo, un vague machin brillant. Quelque chose de difus, pas net, qui brille dans le noir.

D'accord, je vois.

Intrigué, il prit cette direction et il vit, au détour d'une colonne de fémurs... STOP. Retour en arrière. Colonne de fémurs : nom féminin. Colonne : Sens 1 Pilier de forme cylindrique, souvent avec une base et un chapiteau. Non mais je précise parce que vous, vous pensiez certainement à ceci : Sens 2 Ensemble des vertèbres articulées formant un axe osseux du crâne au coccyx. Je le savais, c'est le mot "fémur" qui induit en erreur. STOP. Avance rapide.

Intrigué, il prit cette direction et il vit, au détour d'une colonne de fémurs, un groupe de gueux au milieu desquels s'étripaient deux gueuses. Aimbaud, d'un naturel aimable et très naïf, souleva sa béquille pour les saluer :


Bonsoir ! Gentes gens. Euh. Sauriez-vous, par un hasard fort propice (je ne parle pas d'urine, hihi) m'indiquer la sortie de ce charmant labyrinthe squelettique ?
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{Souricette}
Attention aux dérapages verbaux. Pour rappel, l'auteur de ce topic a bien spécifié que ces post peuvent être lus par des plus jeunes.

Merci de relire les règles de censure au bureau de la censure.

Je préviens juste pour la bonne poursuite de ce rp

Bon jeu.

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--Nyx_la_sombre
Nyx était épouvantée à la vue de son hibou s'écroulant sur le sol, le flanc tranché , le sang éclaboussant ses haillons telle une estampille qui cette fois marquait définitivement les territoires. Son regard alla de Sombrelot gisant, à Pestilence dont les yeux injectés de haine ne décrochait pas le regard de Nyx.

Les yeux hagards, l'esprit terrifié, l'horreur à ses pieds, Nyx s'efforça de rester digne de ce souterrain nauséabond où la laideur et la répugnance étaient souveraines.

Elle chassa cette peine immense qui l'envahissait et ramenait avec elle ses lointains souvenirs où les fleurs embaumaient sous le ciel éclatant parsemé des raies de lumière du soleil... En ce temps là, l'obscurité n'existait pas...


Soudain; sa dague dans la main gauche, elle trancha le flanc de Pestilence, saisit Sombrelot dans ses bras, et sans mot dire, s'enfuit en courant loin, très loin, dans le dédale abominable de ce terrier répugnant pour peut être ne plus jamais revenir...
K.tchoo
- « Prête ? », demanda Katchoo.

Blanche hocha la tête en ajustant sa besace sur sa hanche.

- « Quel est le programme ? »

La jeune femme sortit son guide touristique et lut à voix haute :


- « Dieppe, première ville que vous rencontrerez en arrivant de l’Artois, est une cité portuaire paisible bien que solidement armée. En effet, moult soldats surentraînés patrouillent sans relâche le long de la frontière, prêts à pourfendre le moindre voyageur belliqueux. Leurs épées affûtées et leurs flèches acérées transpercent les armures les plus solides…"

La jeune femme s’interrompit et poursuivit sa lecture silencieusement, tourna une page, puis deux et reprit :

- « …qui fait que les honnêtes citoyens n’ont rien à craindre de la vaillante armée Normande.
Vous pouvez commencer votre visite par l’une des nombreuses distilleries de Calva, véritable élixir du duché, où sont pratiquées plusieurs dégustations par jour… »


Katchoo releva le nez pour voir ce que Blanche en pensait.

- « Je propose de finir par le calva… Si on commence avec on n’ira jamais plus loin que la première fabrique… »
- « T’as pas tort, d’un autre côté, faire la visite de la Grotte aux huit statues de lichen par la vieille Lucette peut être fascinant avec un coup dans le nez… »
- « Pas faux »
- « Les catacombes de Dieppe offrent de nombreux frissons aux voyageurs en quête d’aventures. Réputées dans toute la Normandie pour leurs centaines de tunnels et les fresques laissées par les bâtisseurs, elles sauront vous laisser un souvenir impérissable… Attends, y a un astérisque… »

Katchoo plissa les yeux pour décrypter les caractères :

- « La ville de Dieppe décline toute responsabilité pour les attaques, vols, pillages, violences et diverses agressions perpétrées dans les Catacombes de Dieppe. Nul procès ne sera entamé par les voyageurs malchanceux, qu’on se le dise.
Voilà un endroit où il ne faut surtout pas aller avec un coup dans le nez… »
, observa finement Katchoo.

- « On commence donc par là ? »

La brune hocha la tête et les jeunes femmes se mirent en route.
Un quart d’heure plus tard, ce fut l’odeur qui leur confirma qu’elles touchaient au but.
Acre, irritante, enrobé d’effluves inidentifiables tant elles étaient putrides et concentrées…

Les flamandes s’arrêtèrent prés d’un portail ou un écriteau usé annonçait clairement la couleur.


« Dieppois imprudent rebrousse chemin ! Tu entres ici en Enfer »


- « Oui, mais nous, on n’est pas Dieppoise… »
- « Et on n’est pas imprudente ! » renchérit Blanche en extirpant une bouteille de calva de sa besace.
- « CQDF comme dirait l’Autre. Allons y alors… »

Blanche descendit la première volée de marches, suivie par Katchoo. Les deux jeunes femmes pénétrèrent dans les Catacombes en silence, laissant leurs regards courir sur les empilements de crânes, les orbites vides les fixant d’un air torve…

- « J’entends du bruit », signala la flamboyante brugeoise, une centaine de mètres plus loin.

Elles arrivaient à un espace plus vaste quand une ombre surgit de nulle part les bouscula en courant pour disparaître derrière elles. Elles débouchèrent dans une cavité assez vaste, découvrant un vieil ivrogne en train de glousser, une gamine crasseuse armée et un môme sur béquille…


- « Mince, j’espère qu’on dérange pas une réunion de famille », marmonna Katchoo.
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Forgeron, élève des cochons, ex-Tavernière des Trois petits cochons, Gardienne de fûts de bière de l'équipe de Soule de Bruges, a égalisé le record d'Anvers de "*hips* dans la même phrase" , fière détentrice de feu Luchadore, cochon de 26 jours...
--Pestilence
[Dans le territoire de Pestilence]

Dans l'esprit de Pestilence, les pensées se bousculaient à la vitesse de l'éclair :

Foutre Diable que j'ai mal ! Je n'y crois pas ! Prise en défaut par cette loque de petite vertue. Comment puis-je être si sotte ! Je mériterai bien de mourir ici, à terre, pour tant de bêtise.

En tout cas elle s'est enfui haha. Et son Sombrelot, je l'ai déplumé ce batard de hibou. Je crois que je ne suis pas prête de la revoir empiéter sur mes platebandes. A l'heure qu'il est, elle ne doit même plus être dans les catacombes.

Aieeeee ! Mordious que j'ai mal. Je vais essayer quand même de m'agripper à quelques crânes. Hop , houla ! C'est à peine si je tiens debout moi !


Brooooaaaaammmm

Sous une avalanche de crânes, Pestilence gisait, ayant perdu conscience.
Une marre de sang s'écoulait inexorablement de son flanc droit et des rats s'agglutinèrent près d'elle fourrant leurs museaux dans la plaie.

Un air de musique lugubre résonnait en elle, des paroles mystérieuses en latin, qu'elle ne comprenait pas le moins du monde. Sa vie, sa piètre vie, défilait de devant ses yeux sans qu'elle ne puisse rien y faire.

Lacrimosa dies illa,
qua resurget ex favilla
judicandus homo reus.
Huic ergo parce, Deus:


--Pustullelecrado
Pustulle encore dérangé et soul entendit un drôle de bruit, comme un râle .
Croyant a une victime a finir il se précipita et fût fort surprit, il trouva pestilence a demie inconsciente, baignant dans une marre de sang, le flanc ouvert.
Il se pencha et vit qu'elle était encore chaude, enfin presque, pas trop quoi.

"Ehhhhhhhh la gueuse tu meurs, tu veux un coup de main ,ou que je te finisse peut être?"
Aimbaud
Hrp : Je me permets une parenthèse (ce qui n'est pas dans mes habitudes) pour souligner l'attitude regrettable des joueurs des PNJs des Catacombes de Dieppe, que je qualifierait de snobisme aigu, ceux-ci ne prenant pas en compte les interventions des personnages visiteurs. Une belle leçon de rôle-play, que nous pouvons tous applaudir en choeur.


Le sourire d'Aimbaud - un sourire ultra-bright qui traversera les siècles pour inspirer un pauvre écrivain anglois qui fit des merveilles avec Alice dans son pays, créant ainsi le "Cheshire Cat", (prononcer "Chéchayeur cat", C.C pour les intimes - le sourire d'Aimbaud disais-je, resta un peu figé. Il venait de se prendre une raffale, un bon gros vent bien décoiffant. Mais Aimbaud ne se décoiffait pas si facilement. Niark.

HUM ! quelle douce brise, fit-il sur un ton bien ironique.

Quel souffle rafraîchissant ! fit-il encore en appuyant bien le propos avec ses sourcils.

Ce vent est BIEN savoureux, hum hum ! fit-il derechef, en haussant le ton comme quand on dit "Je mets mes chaussettes...!" dans la contine "Promenons-nous dans les bois" et que les enfants demandent "Loup y'es-tu ?". Celui qui dit "Je mets mes chaussettes" est alors évidement le Loup - bien qu'il soit peu probable qu'un loup porte des chaussettes - mais c'est pour le rendre plus attachant. Euh... où en étais-je ?

Comme cette bourrasque était délicieuse ! VRAI-ment. Continuait Aimbaud, qui devrait peut-être s'arrêter maintenant...

Que ç...! Hum. D'accord.

C'est à ce moment que les yeux d'Aimbaud tombèrent - il les ramassa - sur deux touristes au fond du souterrain. L'une brune, l'autre rousse, avec un air flamand, rose. Sa mâchoire tomba, il du aussi la ramasser.

Ex... exc... excu...

Aimbaud allait peut-être parvenir à faire une phrase, mais le lecteur allait devoir user de patience.

AH ah, très drôle, fit Aimbaud en oubliant totalement qu'il parlait à un narrateur.

Shit ! méga bull-shit ! Grrrrhnm... Excusez-moi, euh, gentes damoiselles (il avait entendu un chevalier errant dire ça à une paysanne blonde-oxygénée, un beau jour où ils eurent plein d'enfants) je cherche des brancardières, une boisson fraîche et la sortie de ces catacombes. Me viendriez-vous en aide ?
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K.tchoo
La gamine crasseuse semblait mal en point mais loin de demander de l’aide, par contre, le môme à béquille les héla sans attendre.

- “Shit ! méga bull-shit ! Grrrrhnm... Excusez-moi, euh, gentes damoiselles, je cherche des brancardières, une boisson fraîche et la sortie de ces catacombes. Me viendriez-vous en aide ? »

Katchoo allait ouvrir la bouche quand un parfum nouveau envahi la cavité.


- « Rha ! C’est pas vrai, suffit que je vous laisse cinq minutes pour vous retrouver n’importe où ! Qu’est ce que vous foutez là ? »
, demanda Vanyla en les rejoignant de quelques enjambées.
- « C’est une longue histoire et ça commence par la suprématie de l’armée normande, es tu sure de vouloir l’entendre ? »
- « Non. Venez, on dégage. »
- « Mais attends, et la gamine ? On va pas la laisser avec ce vieux pervers ?... et le môme ? il veut qu’on le remonte. »
- « La gamine , tu l’approches même pas, j’te préviens, tu vas attraper la teigne rien que de la regarder, et lui là… »

La blonde lança un regard équivoque au gamin à béquilles


- « Pas d’handicapés, ça va nous retarder. »
- « Mais enfin Vanyla, on est à même pas cent mètres de l’entrée principale… »
- « J’sais pas, sa tête me revient pas… Hé la rouquine, tu fais quoi ?! Eloigne toi d’eux tout de suite, tu sais pas où ils ont traîné ! »

Blanche, à coté de la gamine agonisante et du vieux bizarre, se redressa d’un bon, la bouteille de calva à la main.

- « Ben, j’me disais, si on la laisse, autant qu’elle boive un coup avant… qu’elle parte dans les meilleures conditions possibles quoi… »
- « Tu vas pas la laisser boire à la bouteille j’espère ? »
- « Non, je comptais lui laisser la bouteille… »
- « Ca nous coûtera moins cher de prévenir la garde là haut. Ils auront qu’à voir s’ils veulent la sauver ou pas, maintenant on dégage, dépêchez vous », céda-t-elle en faisant volte face.

Katchoo jeta un regard au môme et lui fit un signe.


- « Viens avant qu’elle ne te remarque », lui dit elle en vérifiant que la blonde ne l’avait pas entendue.

Blanche resta indécise quelques instants à côté de la gamine allongée au sol

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Forgeron, élève des cochons, ex-Tavernière des Trois petits cochons, Gardienne de fûts de bière de l'équipe de Soule de Bruges, a égalisé le record d'Anvers de "*hips* dans la même phrase" , fière détentrice de feu Luchadore, cochon de 26 jours...
--Pustullelecrado
Pustulle regardait tout ce beau monde, ces jolies femmes lui donnait l'eau a la bouche, il se mit a reflechir, malgrès les vapeurs d'alcool.
"L'autre est barrée bien loin, la pestilence est en train de passer l'ame a gauche.
Reste que moi pour diriger, le bourricot j'en fait mon affaire.
Seul regret ce gosse que je suis depuis deux jours, l'aurait bien bouffé moi, vivement qu'elles se tirent toutes ces toutes propres là"


Il fit discretement quelques pas dans la penombre de façon a se faire oublier afin de réfléchir a quelques mauvais tours.
--Bouricot




Le veille homme rigolez , assis dans son coins a regardé les deux femme jouer leurs vie a chaque seconde qui passé. Les deux pouvait se saigné n'importe quand. Bouricot qui rigolé s'endormit d'un seule coup , aux moment ou le hiboux tomba aux sol, cela lui arrivé de temps en temps , il s'endorme comme sa sans explication , sûrement dus a son grand âge.Il tomba donc du coté de son territoire.

Il se réveillât en sursautant, une dague a la main croyant que quelqu'un lui voulait du mal. Il écarquillât les yeux pour les mettre aux point et regarda autour de lui. Personne , mais dans la pièce d'à coté par contre les conversation allait bon train. Le bouricot se leva traînant sa jambe gauche un peu a la traîne comme d'habitude et jeta un rapide coup d'oeil.

A terre se trouvé pestilance avec une marre de sang autour d'elle, a croie que finalement c'était elle qui avait perdus le duel.Non loin d'elle , un gamin avec des béquille et trois donzelle discuté de chose et d'autre inaudible de sa position. Il fallait dire que la sire humaine qu'il amagaziné dans ses oreilles n'aider pas.

Bouricot se rafistola comme il put, Remet sa chemise dans son pantalon , retira la pousiére et tache comme il put, et remit son chapeau sur sa téte corectement.Bouricot pris son plus beau sourire qu'il put et avança vers tout se beau monde qui venait a coup sur de la surface, vus leur fason de parler et surtout leurs habits.Visiblement la petitr troupe commencait a rebrousé chemin, bouricot les ratrapa aussi rapidement qu'il put avant qu'ils partes


Hé bien, enchanter msieur dame!

Il avança rapidement et se cola a la première dame venus sans qu'elle puisse dire un seul mot .

On c'est perdu peut étre? z'inquiéter pas bouricot et la.

Il leur fit un sourire malicieux et passa sa main gauche sur l'épaule de K.tchoo et de son autre main qui n'était visible de personne dans son dos commença a agripper la bourse dans la poche de la dame.Il la vit faire une grimace commer ses amies du a son odeur asse spéciale et en laissa échapper un petit rire


Princesse_blanche
Blanche regardait le corps.
Elle débarquait, elle comprenait rien.
Les Catacombes, si elles étaient citées en dernière dans le guide touristique, c'est certainement pour être visitées après les fabrique de calva.

Parce que là, à jeun, c'était difficile de croire à ce qu'on voyait et sentait.
Alors qu'avec un verre ou deux, tout aurait été infiniment plus limpide.

La blonde avait déjà tourné les talons vers l'entrée.
Elle était jamais drôle elle.

Kat, attirait le môme à sa suite.

Et Blanche, elle, était à la traîne. Comme d'habitude ? Comme d'habitude.


La fille, par terre, n'avait pas franchement l'air d'etre en bon etat.
Et ca saignait.

La dernière fois qu'elle s'etait trouvé dans la même situation, c était sur un chemin entre Bruges et Tournai.
Elle pouvait pas se résoudre à la laisser là comme lui disait la Blonde.

Extirpant de sa poche une piécette, car Anvers lui avait appris qu'il pouvait dépendre de sa survie d'avoir toujours une pièce dans sa poche, elle l'appliqua pour boucher l'artère bien ouverte du flanc de la d'moiselle.

Bon ! ben d'jà, ça saigne moins !

Sa bouteille de calva toujours a la main, elle but une rasade avant de l'abandonner dans les mains de l'ensanglantée.

Prévoyante, elle etait partie en visite avec sa besace.
Elle extirpa la chemise de Ticul et s'essuya les mains dedans.

Au fond de la besace, Souris faisait des drôles de bruit.
Genre alarme de char.


D'ac ! on y va !
J'ai compris !
Arrete tes grincements de dents, j'ai dit qu'on y allait !


C'est en posant les yeux sur Kat, dont les épaules étaient entourées de bras qu'elle ne connaissait pas, que Souris daigna enfin d'arrêter ses grincements.

Heu ... Kat ...
C'est ton nouvel ami ?
demanda Blanche intriguée.

Blanche courut pour les rattraper, Kat et le môme inexistant, ainsi que le nouvel ami de Kat, la blonde étant devant, à faire sa tête de mule.

On fait quoi maint'nant ?
La fabrique de calva du quartier Nord ? C'est la plus proche d'ici !
L'autochtone, tu nous conseilles quoi ?

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--Pestilence


Souffrance et lent abandon de sa vitalité, tel était le programme pour Pestilence. Elle commençait désormais a avoir des hallucinations aussi folles les unes que les autres.

Dans un gigantesque tribunal, elle se tenait au milieu, avec sa taille lilliputienne. Le juge était une tortue au regard sévère et intransigeant et les jurés des rats. La tortue commençait son verdict.

Ouhhh l'horrible et méchante femme que voila ! Vous n'êtes plus un être humain, vous êtes un animal tout comme nous ! Animal Animal Animal !!!

Tout le tribunal scandait ce mot avec le juge.

Vous n'avez pas de cœur, vous n'avez pas d'âme. Animal Animal !

Sur ces mots, Sombrelot, le hiboux de Nyx, fit son entrée.

Votre honneur ! Cette chose ! Cet animal, m'a tué avec sa dague. Sans crier gare, sans avertir. Comme l'aurait fait le plus cruel des êtres. Elle mérite la mort. La mort La mort La mort La mort !!!

Les jurés reprenaient de plus belle, pendant que Pestilence se défendait comme elle pouvait.

Non vous mentez ! Non je ne suis pas comme ça ! Nonnnnnnnnnnnnn

Dans un soubresaut de vie elle entrouvrit les yeux et aperçu des formes humaines. Alors avec peine elle fit ce que jamais elle n'avait fait avant : implorer de l'aide.


Pi...tié... Hos...pi......tal....

Elle s'évanouit encore.
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