Cewenne
Le grand jour était enfin arrivé. Cewenne était partie depuis quelques temps de chez elle et avait loué une chambre dans une auberge à Arras. Cétait la première fois quelle allait assister à une joute quelle soit porcine, chevaline ou autre.
Elle se prépara et descendit prendre son petit déjeuner. Ensuite, afin dêtre sûre quelle trouvera le lieu de lanimation, elle demanda à laubergiste de lui indiquer le chemin à suivre.
Après avoir noté les explications, elle mit sa cape et sortit dans la fraicheur matinale.
Au bout dun moment, elle commença à se demander si elle ne sétait pas trompée dans son itinéraire. Elle avait beau regarder autour delle, elle ne voyait pas âme qui vive à lhorizon et encore moins le terrain de jeu.
« Aie ! Aie ! Aie ! Jai dû me tromper de route. »
Elle décida tout de même de continuer davancer un peu. Après tout, on ne savait jamais ce qui pouvait lattendre au tournant.
Quelques temps plus tard, elle finit par entendre des bruits. Des voix mêlées aux grouinements de cochons atteignaient ses oreilles. Elle poussa un soupir de soulagement en constant, au détour du chemin, quelle avait enfin trouvé l'endroit de la manifestation.
A lentrée, elle regarda la disposition des lieux. Il y avait des tribunes, une estrade, les différents types de terrain, des marchands ambulants qui commençaient à sortir leurs attirails, des jouteurs en train de sentraîner et au loin, des tentes.
Il ny avait pas encore trop de monde, alla sinstaller sur un banc et suivit des yeux les entraînements. Elle espérait que bientôt dautres personnes allaient arriver surtout que le temps promettait d'être ensoleillé.
Elle se prépara et descendit prendre son petit déjeuner. Ensuite, afin dêtre sûre quelle trouvera le lieu de lanimation, elle demanda à laubergiste de lui indiquer le chemin à suivre.
Après avoir noté les explications, elle mit sa cape et sortit dans la fraicheur matinale.
Au bout dun moment, elle commença à se demander si elle ne sétait pas trompée dans son itinéraire. Elle avait beau regarder autour delle, elle ne voyait pas âme qui vive à lhorizon et encore moins le terrain de jeu.
« Aie ! Aie ! Aie ! Jai dû me tromper de route. »
Elle décida tout de même de continuer davancer un peu. Après tout, on ne savait jamais ce qui pouvait lattendre au tournant.
Quelques temps plus tard, elle finit par entendre des bruits. Des voix mêlées aux grouinements de cochons atteignaient ses oreilles. Elle poussa un soupir de soulagement en constant, au détour du chemin, quelle avait enfin trouvé l'endroit de la manifestation.
A lentrée, elle regarda la disposition des lieux. Il y avait des tribunes, une estrade, les différents types de terrain, des marchands ambulants qui commençaient à sortir leurs attirails, des jouteurs en train de sentraîner et au loin, des tentes.
Il ny avait pas encore trop de monde, alla sinstaller sur un banc et suivit des yeux les entraînements. Elle espérait que bientôt dautres personnes allaient arriver surtout que le temps promettait d'être ensoleillé.