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[Rp] Trois p’tits chats, trois p’tits chats …

Temperance.
Alors que nous étions sortis, constance et moi, avec maman, et le nez poux pique-niquer au bord du lac non loin de notre nouvelle maison. Après le repas, maman et le monsieur blond parlaient tranquillement. Je ne pu m’en empêcher, je pris Constance par la main et l’entraina avec moi, or de la vue de maman. Encore une escapade, mais cette fois ci ce n’était pas pour grimper au arbre. A l’allée, j’avais remarquée qu’il y avait une petite maison en ruine.

« Viens on va jouer un peu ! Maman ne verra pas que nous sommes plus à côté d’elle. »

Alors que je marchais, Constance près de moi avais l’air soucieuse alors pour la rassurer je me mis a chanter doucement un comptine que nous apprécions bien toutes les deux:

«Trois p’tits chats, trois p’tits chats, trois p’tits chats … »
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Constance.
Si la petite était encore en train de retourner dans sa jeune cervelle toute les nouvelles de ses derniers jours en tentant tant bien que mal d'en comprendre tout le sens et la signification sa jumelle elle était déjà reparti à la chasse aux bêtises et elle ne fut pas longue à l'entrainer avec elle :

"Chapeau de paille, chapeau de paille, chapeau de paille ... " reprit elle en cœur en tournant le chemin en riant par avance de leur escapade.

On joue à chat ou à cache-cache ? On fait la course jusqu'au mur là-bas et la première arrivée qui choisi ... ayant appris depuis peu que marcher sur son ourlet pouvait s’avérer dangereux la petite attrapa sa robe pour la lever bien haut et s’apprêta à s’élancer en poursuivant

"Paillasson, paillasson, paillasson ... "
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Clelia
Songeuse, Clelia avait bien vu ses petites filles s'éloigner.

Il faut dire que depuis qu'elle avait appris que ses deux petits monstres avaient décidé, toutes seules, de grimper aux arbres du verger pour aller cueillir des fruits, la jeune mère veillait de près ou de loin à la sécurité de ses filles.

Une série de réprimandes s'étaient abattues sur elles. "Il ne faut pas grimper aux arbres toute seule!", "il ne faut pas grimper aux arbres avec une échelle" et enfin "il ne faut pas grimper aux arbres avec une échelle quand maman n'est pas là!!!!!".

Elle espérait que la leçon avait été entendue.. et surtout retenue.

C'est pourquoi quand elle les vit partir toutes les deux, l'air de ne pas y toucher, s'était-elle un peu inquiétée. Sa première réaction aurait été de leur demander de revenir mais leur père avait su trouver les mots justes pour calmer les ardeurs ultra-protectrices de sa fiancée.

Son "en leur interdisant de faire cela, c'est les obliger à inventer des choses, peut-être encore plus dangereuses" avait fait son effet. Donc, avec un petit soupir, elle les regarda s'éloigner... avec beaucoup de regrets.

Après tout, elles ne craignaient pas grand chose.

Prenant son mal en patience, Clelia se choisit une place dans l'herbe, à l'ombre, s'allongea, ferma les yeux, et profita du calme environnant. Son oreille restait néanmoins attentive aux moindres bruits qui pourraient indiquer que ses filles aient des problèmes.
Temperance.
«On joue à chat ou à cache-cache ? On fait la course jusqu'au mur là-bas et la première arrivée qui choisi ... » Je vis ma sœur remonter sa robe, prête à s'élancer vers le murs que je distinguais pas très loin de la où nous étions.

«Somnambule, somnambule, somnambule, bulle, bulle, bulle…Je réfléchis un peu puis répondis, On court !» M’exclamais-je joyeusement en remontant aussi ma robe de peur de tomber comme ma sœur.

L’herbe était un peu haute, elle nous arrivait légèrement au-dessus du genoux, il y avait aussi pleins de couleurs ! Des petites taches de jaune, des boutons d’or ? Des petites taches violettes, des lys ? Des petites et grandes taches blanches, des pâquerettes ? Je ne savait pas, mais j’aimais ces taches de diverse couleurs.

Je couru aussi vite que mes jambes me le permettaient, je ne fit pas attention mais je me retrouva assez vite en avance par rapport à Constance. Peut-être avait-elle peur de tomber de nouveaux…
Essouffler, j'arriva devant le murs qui en vérité n’était qu’un muret.


«Preum’s !! M’exclamais-je avec un grand sourire. On joue à Chat !!» Concluais-je.

Pas le temps de reprendre mon souffle, que me voilà relancer dans une course folle vers ma sœur. Je la rejoignis assez vite, la tapota gentiment sur l’épaule puis lui lança au final:


«C’est toi l’chat ! Le muret est le camp !»

Demi- tour ! Je regarde quelques instants ma sœur, puis me remets à courir en direction du camp, le muret !


_________________
Constance.
"Bulotin, bulotin, bulotin , tin tin ... "

Pas le temps de finir ma phrase que ... On court ... Mais est ce sa course de l'autre jour avec les oies ou une potion magique, je sais pas mais ma soeur me dépasse comme une flèche annonçant fièrement sa victoire en faisant de moi sa première chat victime ...

Le muret est le camp ... mais j'ai le droit au attaque chat ouille alors ... Mais sans attendre la réponse me voila lui chat ouillant l'oreille avec une herbe folle et notre partie de chat fini dans un beau chat rivari de rire.

"Tintamarre, tintamarre, tintamarre ... marre marre ..."
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Temperance.
«Marabout, marabout, marabout… bout bout …»


Alors que j’allai retourner au muret, voilà que ma charmante sœur m’attaque à coups de chatouille avec une herbe ! Ce qui mit fin a notre début de partie de chat mais lança un bon chat rivari… Pas le temps de me défendre de cette attaque, que je me mit a exploser de rire. Quand elle ce stoppa enfin, je lui fit directement des chat ouilles.

«Ah ah, tiens !» Lançais-je.

Voilà nous étions deux à rire maintenant. J’aimais tellement passer des moments comme ça avec elle. Nous étions tellement complice ! Nous tombâmes dans l’herbe épaisse ce qui amortie notre chute. Mais quand nous fûmes dans l’herbe, une dizaine de taches de couleurs s’envolèrent et restèrent au-dessus de nous. Des centaines de teintes et de nouvelles couleurs apparurent.

«Oh ! On dirais des fleurs volantes… C’est beau ! Et si on essayer de les attraper ?»

Je me levai, aida Constance à faire de même et nous nous mirent à leurs courir après … D’un coup je m’arrêtai quand je vis quelque chose d’une autre couleur de l’herbe au pieds d’un arbuste. J’allai voir de plus près tout en laissant Constance tourner en ronds en essayant de les attrapaient.

«Contannnnnce !! J’ai retrouver ton doudou !!» Criais-je de ma petite voix, puis je me remit à chantonner en retournant vers elle.

«Bout d’ficelle, bout d’ficelle, bout d’ficelle… selle, selle…»
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Constance.
"Selle de cheval, selle de cheval, selle de cheval, val, val ... "

La partie de chat ouille fini en roulé boulé dans l'herbe épaisse et odorante. Au milieu des herbes folles et des fleurs sauvages, émerveillée par les fleurs volantes, les papillons multicolores, Constance riait au éclat en tentant vainement d'en attraper un.

«Contannnnnce !! J’ai retrouver ton doudou !!»

La surprise me fit trébucher, et, les fesses au sol, sur un confortable coussin d'herbe, je me mit à mon tour à crier tout en essayant de me relever de mon piège végétal

"Mon doudouuuuu ?? Vrai de vrai tu as retrouvé mon doudouuuuu ?? Mais arrête de bouger tout le temps j'arrive je le veux de suite ...

Fini l'émerveillement du champs et des fleurs me voici fauchant l'herbe de mes bras et piétinant sans y penser les fleurs sauvage courant en droite ligne sur mon précieux doudou et ma soeur.

"Cheval de course, cheval de course, cheval de course, ... course, course "
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Clelia
N'y tenant plus, la maman s'était levée et était partie à la recherche de ses petites filles. Elles n'étaient pas parties bien loin. Chantonnant sur le chemin, elles s'arrêtaient et s'émerveillaient devant tout ce qui poussait, tout ce qui bougeait, tout ce qui avait des couleurs, vivant dans une telle insouciance que cela l'émut tout d'un coup.

Elle ne se rappelait pas avoir un jour été aussi insouciante, dans une petite bulle rassurante, à vivre tout simplement. Il y avait une certaine douceur qui émanait naturellement de ses petites filles. Pourvu que cela dure, elle ne souhaitait que cela.

Elles avaient le côté dans la lune de leur mère, un peu perchées elles aussi, dans leur monde, à vivre avec leurs petites obsessions.. mais ce qu'elles avaient en plus, c'était cette confiance absolue dans la vie, dans le lendemain qui serait forcément aussi beau que le jour précédent. Avec le temps, on perd cela aussi. On devient pessimiste, prudent, méfiant parfois, médisant, blasé pour certains...

Alors, afin de ne pas troubler ces jeux enfantins, elle resta volontairement en retrait, les observant avec un regard bienveillant. En plus, le fameux doudou disparu avait été retrouvé, tout allait donc pour le mieux.
Temperance.
"Course à pieds, course à pieds, course à pieds…pieds, pieds…"

Je n’eu le temps de dire ouf, que je vis ma sœur qui se dirigeait vers moi, en oubliant tout ce qui gravitait autour d’elle. Une seule chose l’intéresser dorénavant s'était son DOUDOU !! Ni une, ni deux voila que je couru vers elle et le lui tendis gentiment.

« Excuse moi Constance … » Bafouillais-je doucement.

Il était vrai que, après l’avoir planqué, cela avait déclenché plusieurs conséquences, telle que le fait que je me fasse disputer pour l’avoir planqué. Bref, je me sentais dans l’obligation de m’excuser auprès d’elle …

« Et si nous rentrions, du moins et si l’on retournait vers maman avant qu’elle ne s’inquiète trop … »

C’est alors à ce moments que nous reprenions le chemin du retour mais nous tournâmes autour des arbres … C’est aussi à ce moment là que je vis un panier abandonné et .... une petite boule blanche dedans.

« Constance ! Regarde ! Un panier … " Nous nous approchâmes doucement et là, nous vîmes un … Chaton !!!



Oh regarde comme il est trop mignon !!!

"Pieds à terre, pieds à terre, pieds à terre…terre, terre…"

_________________
Constance.
"Terre de feu, terre de feu, terre de feu, ... feu feu ..."

Mon doudou retrouvée plus rien ne comptait, le serrant très fort dans mes petits bras j'essayais de retrouver en lui son odeur familière sans même me soucier d'ou je posais mes petons. Juste du coin de l'œil je suivait ma sœur machinalement. Je lui en voulais encore un peu de me l'avoir caché, puis perdu, mais le voilà de retour alors ma rancune disparut avec la joie de le revoir ...

Bref sursaut et retour à la réalité ... mais de quoi qu'elle me parle ... panier ... mignon ... Comment peut on dire qu'un panier soit mignon ? Cela ne doit pas être ça. Je tend le cou pour voir au delà de son dos et ... stupeur ... Pour un peu j'en aurai lâché mon doudou de surprise ...


Un chaton !! On a trouvé un chaton !! Se penche vers l'adorable boule de poil toute douce qui les fixe des ses grands yeux apeurés et chuchote pour ne pas lui faire peur : Bonzour toi ... Tu as un nom ? C'est drôle tu es tout blanc comme la neige ... Puis me tournant vers ma soeur ... Tu crois que maman voudra bien qu'il dorme dans notre chambre ? Qu'on lui donne un nom et tout ?

Reste pensive devant le panier ... On le prend aussi lui ? Tu m'aide à le porter pour montrer à maman ? Le doudou dans une main l'anse du panier dans l'autre j’attendis que ma soeur pris l'autre coté et nous essayâmes d'avancer sans que je me prenne de nouveau les pieds dans ma robe mais notre impatience nous poussèrent à hurler :

Maman !!! Maman vient voir c'qu'on à trouvé !!! Mamannnnnnnnnn !!
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Clelia
Maman !!! Maman vient voir c'qu'on à trouvé !!! Mamannnnnnnnnn !!

Et c'est là que l'on se dit "j'aurai jamais du me lever ce matin en fait..."

Parce qu'il y a quelque chose chez les mères qui font qu'à partir du moment où elles donnent la vie, elles ne cessent de s'en faire pour un rien dès que cela touche à leur progéniture. ...

Le cri se fait entendre, reconnaissable entre mille. Constance appelle, Clelia rapplique... avant que tout Langres n'accourt aux cris de la petite que l'on doit entendre à l'autre bout du village.

Mais de quoi peut-il bien s'agir?


Ouiii! je suis là! qu'est-ce que... oh!

S'étant approchée, elle avait vu LA trouvaille. Allez savoir comment... comment ce genre de chose trop mignonne, trop attachante, avec ses petits yeux parfaits, avec sa taille minuscule qui ne peut qu'inspirer de la tendresse, ce piège à enfants et à parents sensibles aussi... bref comment cette horreur avait pu se retrouver dans CE panier, à CET endroit-là, devant SES filles.

Un soupir, imperceptible, elles n'allaient pas en louper une celles-là.. elles ne pouvaient pas vouloir adopter un escargot, une fourmi, un scarabée? enfin le genre de bestiole qui ne demande pas vraiment une attention quotidienne, avec laquelle elles ne veuillent pas dormir et potentiellement se disputer pour les "tours de garde"?

Non, on passait directement à la taille XXL de l'animal, du "compagnon" qu'il allait falloir trimballer en plus... Mais c'était bien, le "mauvais sort" l'avait livré avec sa boîte, pratique pour le déplacement.

L'esprit de la maman faisait des bonds, partagé entre le désappointement et la toute petite chose qui lui tenait lieu de coeur (quand même...). Elle parvint juste à dire, consciente qu'elle n'avait de toute façon pas vraiment le choix, que ses filles allaient vouloir enrichir la maison d'un membre supplémentaire.


Oh.. un chat...
Constance.
Maman !! A peine le temps de s'égosiller que voilà la plus belle maman du monde apparaitre devant nous sur le chemin. De mon bras libre qui tient fièrement doudou retrouvé, j'agite la main en tout sens pour lui faire coucou fière et excitée comme une puce de lui montrer notre trouvaille.

Ouiii! je suis là! qu'est-ce que... oh!

Il est trop mignon tu trouve pas ? C'est Temperance qui l'a vu la première dis je très fière de ma soeur même si je lui en veux encore un peu pour mon doudou.

Oh.. un chat...

Mais je laisse pas maman en dire plus et poursuit directe : "Y pourrai vivre avec nous ? Y sera sage promis hein Temperance qu'il sera sage ... regard complice ... On sera ses deux mamans à lui ... hein dit on peut dit .... dit ... "sourire angélique et pupilles brillantes d'espoir qui ne lâche plus maman.
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Temperance.
Oh.. un chat …

Maman n’eut le temps de dire la suite de sa phrase que ma sœur enchaina.

Y pourrai vivre avec nous ? Y sera sage promis hein Tempérance qu'il sera sage ... Elle me toisa, et elle n’eut pas besoin de dire quelque chose, que nous fûmes instinctivement complice dans cette histoire. On sera ses deux mamans à lui ... hein dit on peut dit .... dit ...

Je ne laissa pas la temps à maman de dire quelque chose d’autre que je ré-enchaina:

Bah v’oui, il dormira un soir sur mon lit puis un soir sur le lit de Constance. Puis..puis on ne ce disputera pas ! On sera gentille avec lui, on lui apprendra à manger, à ce faire la toilette et tout et tout … Puis on s’en occupera toutes les deux comme des grandes !

Je regarda Constance d’un regard confiant et toujours aussi complice.

Puis, il ne t’embêtera pas du tout, du tout ! S’il te plaiiiit mamannnn ! Implorais-je avec mon plus beau sourire.
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Clelia
Les petites étaient déjà conquises par la boule de poil. Clelia l'était à moitié. Parce qu'elle savait qu'il faudrait prendre soin du chaton et que les petites... bah elles étaient petites quoi.. donc que ça allait être à elle de s'y coller pour superviser le tout... comme si les deux jumelles en elles-mêmes ne mobilisaient pas déjà toute son attention...

Elle lança un regard noir au chaton, qui ne trouvera rien d'autre à faire que d'émettre un doux miaulement de chaton perdu, esseulé et qui ne demande qu'un foyer et de l'amour et des caresses etc etc.

Comble de la perfidie, de ses petites pattes agiles, il fit quelques pas jusqu'à elle, qui s'était agenouillée pour voir de plus près la trouvaille. Se frottant à un de ses genoux, il acheva de vaincre ses dernières réticences.


Bon.. d'accord...

MAIS!

Mais à la moindre dispute entre vous deux, à la moindre bêtise de sa part, il retourne dehors! c'est bien compris?


Il était évident que la jeune mère n'aurait jamais le coeur de mettre dehors un chaton qui avait déjà de la chance d'être toujours en vie, seul comme il l'était. Mais ça, les petites ne devaient pas le savoir ni même s'en douter.

Et puis.. il le faut un nom...
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