Ingeburge
[HRP]LJD Kareonn ne pourra pas continuer le RP d'arbitrage donc pour le moment, c'est en suspens mais continuez à faire du que diable^^
Une solution pour conclure tout ça en beauté, c'est-à-dire par une victoire de l'équipe du clergé bien sûr, va être trouvée.
Merci de votre compréhension!
LJD Ingeburge.[/HRP]
Sa recherche de la soule fut interrompue par des hurlements vigoureux et encourageants. Elle se tourna alors vers les tribunes, cherchant qui la soutenait avec tant d'ardeur et elle reconnut Breiz, la tavernière du célèbre établissement " Le Temple de la Bougresse d'Aristote " , à Mâcon. Le nom l'avait toujours quelque peu dérangée mais on y buvait bien et la compagnie était bonne. Elle adressa un petit signe de la main à la fougueuse mâconnaise et tenta ensuite de se concentrer à nouveau.
Mais le Régent la désigna, doigt tendu, pas très très poli ça hein, à la vindicte de son équipe. Encore une fois, elle eut un moment de flottement, il l'avait encore désigné comme si elle était Papesse et toujours lorsque l'on évoquait Gégène, elle en perdait tous ses moyens.
Et ce fut quand elle comprit qu'elle sortit de sa transe, elle était apparemment la victime désignée d'un massacre à venir. Elle haussa un sourcil avant de porter les mains à son visage parfait. Aïe.
Elle n'entendit plus rien.
Elle ne vit plus rien.
C'est à peine si elle respirait encore.
Comment diable allait-elle pouvoir sortir indemne du carnage annoncé?
Elle resta là, stoïque et immobile, repensant à l'attaque survenue entre Lyon et Montbrisson quelques semaines auparavant. Elle revit alors son visage tuméfié et ses yeux cernés.
Mais ce n'était pas ce qui l'inquiétait le plus, non. A vrai dire, elle s'en fichait comme d'une guigne.
Ce qui commençait à la paniquer, c'est qu'elle avait fini dans la matinée sa poudre de racine d'iris et qu'elle avait appris par son intendant que les hommes partis à Florence faire des provisions de fards, onguents et divers crèmes seraient retardés de quelques jours. Diable, comment allait-elle faire pour sortir ainsi à découvert? Non pas qu'elle abusait de ce parfumé camouflage mais là, elle allait avoir la peau bleuie, elle ne pouvait décemment pas se promener sans apprêts. Bast, elle pourrait toujours se dissimuler sous un voile de dentelles, le point de Venise était une valeur sûre.
Et c'est donc tout à ses importantes considérations que la reine du superficiel attendit les premiers coups, moue légèrement boudeuse.
Une solution pour conclure tout ça en beauté, c'est-à-dire par une victoire de l'équipe du clergé bien sûr, va être trouvée.
Merci de votre compréhension!
LJD Ingeburge.[/HRP]
Sa recherche de la soule fut interrompue par des hurlements vigoureux et encourageants. Elle se tourna alors vers les tribunes, cherchant qui la soutenait avec tant d'ardeur et elle reconnut Breiz, la tavernière du célèbre établissement " Le Temple de la Bougresse d'Aristote " , à Mâcon. Le nom l'avait toujours quelque peu dérangée mais on y buvait bien et la compagnie était bonne. Elle adressa un petit signe de la main à la fougueuse mâconnaise et tenta ensuite de se concentrer à nouveau.
Mais le Régent la désigna, doigt tendu, pas très très poli ça hein, à la vindicte de son équipe. Encore une fois, elle eut un moment de flottement, il l'avait encore désigné comme si elle était Papesse et toujours lorsque l'on évoquait Gégène, elle en perdait tous ses moyens.
Et ce fut quand elle comprit qu'elle sortit de sa transe, elle était apparemment la victime désignée d'un massacre à venir. Elle haussa un sourcil avant de porter les mains à son visage parfait. Aïe.
Elle n'entendit plus rien.
Elle ne vit plus rien.
C'est à peine si elle respirait encore.
Comment diable allait-elle pouvoir sortir indemne du carnage annoncé?
Elle resta là, stoïque et immobile, repensant à l'attaque survenue entre Lyon et Montbrisson quelques semaines auparavant. Elle revit alors son visage tuméfié et ses yeux cernés.
Mais ce n'était pas ce qui l'inquiétait le plus, non. A vrai dire, elle s'en fichait comme d'une guigne.
Ce qui commençait à la paniquer, c'est qu'elle avait fini dans la matinée sa poudre de racine d'iris et qu'elle avait appris par son intendant que les hommes partis à Florence faire des provisions de fards, onguents et divers crèmes seraient retardés de quelques jours. Diable, comment allait-elle faire pour sortir ainsi à découvert? Non pas qu'elle abusait de ce parfumé camouflage mais là, elle allait avoir la peau bleuie, elle ne pouvait décemment pas se promener sans apprêts. Bast, elle pourrait toujours se dissimuler sous un voile de dentelles, le point de Venise était une valeur sûre.
Et c'est donc tout à ses importantes considérations que la reine du superficiel attendit les premiers coups, moue légèrement boudeuse.