Eric.laveau
Eric sapprêtait à poser un cul, parce que mine de rien il n'y avait pas grand chose à faire dans le coin, mais tout d'abord il devait s'assurer de la solidité du mur. Inutile de dire qu'il serait plutôt mal vu de détruire tout un pan de mur du moulin en s'adossant sur celui ci. Ainsi il posa sa paluche droite sur la pierre ,au moins multiséculaire vu la dégaine qu'elle se payait, et avec une moue de satisfaction, le Vairon amorça un atterrissage tout en douceur. Non pas parce qu'il était vieux et délabré, du tout...mais s'il pouvait tout simplement éviter de se bousiller le seul bras valide qui lui restait pour le moment, ce serait pas de refus voyez. Au cours de son zieutage panoramique, il remarqua la silhouette de Naella. Elle se débrouillait toute seule de ses affaires et n'avait visiblement besoin de personne dans l'immédiat. Bonnard. Elle ne semblait pas trop abimée, ce qui était une bonne nouvelle. Double bonnard. Cela évitera à Eric de crapahuter à nouveau dans les rues de Vendôme à la recherche de la P'tite et accessoirement de risquer ses miches inutilement. De son groupe, tout le monde était revenu sauf, sain ils ne l'ont jamais été alors fallait pas vraiment en tenir rigueur. Bon...il manquait peut être quelques morceaux par ci par là mais grosso modo, ils s'en tiraient pas trop mal.
Il n'y avait vraiment pas à tortiller du fion, la Fronde avait vraiment besoin d'être retaper et Laveau ne faisait pas exception, il avait morflé lui aussi mais il était absolument hors de question de se plaindre ou de passer avant les cas les plus préoccupants. Le brun n'était pas à l'article de la mort, il pouvait même se passer de soin d'ailleurs. Tant qu'aucun de ses os ne lui faisaient coucou en transperçant sa chair et tant qu'il gardait l'intégralité de sa tripaille à l'emplacement prévu à cet effet, tu ne fais pas ta lopette de barde et tu attends que ça se passe. Voila ce qu'il avait pour habitude de se dire lorsqu'il s'en prenait plein la mouille. Dieu sait qu'il a diné copieux durant sa vie et Ô grande joie, c'était bien loin d'être terminé.
Eric se perdait un peu dans ses pensées lorsqu'un bruit le fit rapidement redescendre sur terre. La Reyne avait visiblement quelques mots à lui dire. Il décolla prestement son cul du sol, frotta ce dernier afin d'y enlever l'éventuelle terre qui s'y trouvait et rejoignit la royale Salamandre. Sur le chemin il croisa le Roy qui, lui, se dirigeait vers la Sauterelle. Il serait bien resté quelques instants de plus en compagnie de Calico et du Roy mais on ne fait pas attendre une femme.
Il se présenta devant elle et lui dit:
Je suis là, ma Reyne.
En quoi puis je vous aider?
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Il n'y avait vraiment pas à tortiller du fion, la Fronde avait vraiment besoin d'être retaper et Laveau ne faisait pas exception, il avait morflé lui aussi mais il était absolument hors de question de se plaindre ou de passer avant les cas les plus préoccupants. Le brun n'était pas à l'article de la mort, il pouvait même se passer de soin d'ailleurs. Tant qu'aucun de ses os ne lui faisaient coucou en transperçant sa chair et tant qu'il gardait l'intégralité de sa tripaille à l'emplacement prévu à cet effet, tu ne fais pas ta lopette de barde et tu attends que ça se passe. Voila ce qu'il avait pour habitude de se dire lorsqu'il s'en prenait plein la mouille. Dieu sait qu'il a diné copieux durant sa vie et Ô grande joie, c'était bien loin d'être terminé.
Eric se perdait un peu dans ses pensées lorsqu'un bruit le fit rapidement redescendre sur terre. La Reyne avait visiblement quelques mots à lui dire. Il décolla prestement son cul du sol, frotta ce dernier afin d'y enlever l'éventuelle terre qui s'y trouvait et rejoignit la royale Salamandre. Sur le chemin il croisa le Roy qui, lui, se dirigeait vers la Sauterelle. Il serait bien resté quelques instants de plus en compagnie de Calico et du Roy mais on ne fait pas attendre une femme.
Il se présenta devant elle et lui dit:
Je suis là, ma Reyne.
En quoi puis je vous aider?
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