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[RP] La renaissance d'un père

Cassius
L'aube nous éclaira de sa présence, signe que le départ était proche, Kervegon était en ébullition, le Comte prendrait ce jour la route avec une partie de sa garde personnelle pour des terres voisines.

Le Montfort fut trop longtemps bercé d'illusion tout au long de sa vie affective, il avait une vision de l'amour trop proche de ses valeurs martiales, loyauté, honneur, fidélité. Mais l'amour est pervers, les facteurs en compte sont bien différents que ceux auxquels ils s'attendait, il l'avait appris à ses dépends, préférant prendre recul plutôt que de chercher vengeance et anéantir sous la douleur tous ceux qui lui avaient porté offense.
Aujourd'hui, son coeur s'était apaisé, à l'image de sa haine, ses priorités s'étaient de ce fait révélées... ses enfants, ses jumeaux, son fils et sa fille... sa chair.

Voilà ce qu'il était venu chercher en ces terres Angevine, la pardon. Le pardon d'avoir laissé partir son épouse avec sa fratrie hors de Bretagne et de ne point avoir cherché plus tôt à les retrouver. Ses enfants lui pardonneraient ou pas, il respecterait cela et assumerait comme il l'avait toujours fait auparavant, bien que s'il avait à regretter une chose dans sa vie, ce serait cela.

Par contre, il n'accepterait point que quiconque s'interpose dans ces retrouvailles, seuls ses enfants auraient droit de le rejeter, si par malheur quelqu'un osait l'empêcher de retrouver sa chair, l'Anjou ou quelque autre duché ne compterait pas assez d'hommes d'armes pour l'empêcher de retourner chaque bâtisse ou castel. Le Montfort était un homme qui ne s'exprimait jamais pour ne rien dire, il s'était promis ces retrouvailles, il en serait ainsi, à tous les prix, même celui de la mort s'il le fallait.

Le départ de son Comté Breton se déroula sous un silence religieux, ses hommes avaient pour habitude de gérer une escorte, et le fait de se déplacer en léger contingeant accentua la chose. Les ordres et indications avaient été donné sur la place d'armes, chacun connaissait son office et sa place à tenir. Le Montfort avait appris que sa venue n’enchantait point le plus grand nombre, il s'était donc préparait à recevoir quelques intentions belliqueuses, rien ne le renverrait chez lui avant qu'il n'ai pu accomplir ce qu'il s'était juré.

Une dizaine d'hommes montés sur leur destrier longèrent le contingeant armée et partirent en éclaireur afin d'assurer la route. Le Comte interpella le chef de file...


Gavril, nettoie la route avec ta section, ne laisse rien entraver la marche du contingeant.

Une quarantaine d'hommes quadrillait le cortège, deux dizaines sur chaque flanc avec à sa tête un meneur, sur sa gauche Eozenez, à sa droite Xhena. Avec leurs hommes, chacune d'elles veillerait à ce que nulle embuscade ne sorte des bas fond de la forêt que le convoi longerait.

Eozenez, garde l'oeil ouvert, au moindre signe, lance l'alerte et donne l'ordre de la formation en carré. Il en va de même pour toi Xhenia.

En front, était posté la section de Lauralyne, elle veillerait à ce que la route soit dégagé et que rien ne vienne retarder la convoi. Valoche commandait la dernière section, celle placée en arrière afin d'éviter en cas d'attaque de se faire encercler et d'être pris à revers.

Lauralyne, Valoche, vous savez ce que vous avez à faire, ce n'est pas la première fois que vous servez à mes côtés.

Le ton était donné, chaque combattant de ce convoi était aguerris, ils connaissaient leur fonction et leur place, les chefs de sections étaient montés, bastarde au baudrier, leurs hommes à pied, fauchon au baudrier et arme d'hast à la dextre prêt à former un carré de pique infranchissable en cas d'embuscade. Le voyage se déroulerait sous les meilleurs auspices.
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Comté de Kervegon
Valoche
Val ne faisait qu'un avec son destrier Elle l'appelle "Ombrageux". Elle se souvient que le palfrenier lui avait conseillé un cheval mou et placide . En aucun la capitaine de dizaine aurait pu s'en contenter.
Le tour des écuries fait et elle avait repéré un cheval qui se cabrait et un homme qui avait énornément de mal à le tenir. Elle avait donc pris la longe et avait parlé longtemps au cheval avant que celui -ci accepte de se calmer. Puis à force de paroles et de caresses le destrier avait fini par accepter une pomme posée à plat sur la main de Val. Depuis il ne s'était plus quittés.

Aujourd'hui Val était avec sa dizaine en protection à l'arrière. Ses hommes à pieds fauchon à la ceinture et pique à la main afin de former un carré de protection en cas d'embuscade.Val sur son cheval, épée à sa dextre surveille partout

on ouvre l'oeil et le bon
cria -t-elle à ses hommes

Bientôt la troupe se mit en route...
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Eozenez
Eozenez, une fois le convois en mouvement, se tenait droite sur sa haquenée et accompagnait ses hommes, imperturbable et concentrée. Elle guettait, était aux abois, les protégeait d'une certaine façon ... comme une louve protège sa portée.

Leur rôle, protéger le convois et le bon déroulement de leur expédition. Ils savaient comment réagir face à telle ou telle situation. Encore fallait-il qu'on leur indique quelle était la situation qui se dessinait et ça ... c'était son rôle à elle : les "couver" et les avertir au plus vite en cas de difficulté et faire en sorte qu'ils puissent y faire face.

Le Général a écrit:
Eozenez, garde l'oeil ouvert, au moindre signe, lance l'alerte et donne l'ordre de la formation en carré.


Elle le regarda et fit un bref hochement de tête pour lui signifier que c'était compris.

Elle regarda ses hommes se mouvoir et les interpella "Bien. Continuez comme ça. Soyez attentifs et prêt à agir à la moindre alerte. Si nécessaire, à mon ordre, vous vous mettez en formation du carré."

À peine eut-elle fini qu'elle remarqua quelque chose qui bougeait à une centaine de pas de là, presque à l'orée de la forêt. Alors, pour ne pas crier au loup et s'en assurer, elle dirigea sa monture vers l'endroit précis et ... chassez le naturel, il revient au galop ... empoigna son arc et le banda au préalable tout en continuant son approche et en observant les alentours.
Gavril
Alors que le soleil dormait encore, Gavril s'était levé ce matin, il avait abandonné sa femme d'un baiser puis était partit se préparer. Il se para de son uniforme bien sur mais le plus important était en dessous, il n'aimait pas la maille, trop lourd, trop encombrent. Bien sur sa dépendait du prix qu'on était prêt a mettre, mais Gavril n'avait pas le bon prix pour le moment.. Il portait donc du cuir, de la bonne facture vu qu'il avait lui même fournit le tailleur en peau. Il était assez bon chasseur, mais quoi de plus normal pour un éclaireur. Une foix préparé, il récupéra ses quelques armes qui trainaient chez lui pour se rendre a l'armurerie de Kervegon. Aprés quelque minutes de marche dans la nuit sombre, et ayant pénétré le domaine en saluant les gardes, il s'arma comme il faut. Une simple dague aurait sans doute suffit, mais mieux vallait prévoir que guérir, tel était une de ses maximes. Une foix totalement prés et au passage un paktage de provision de secour préparé, il se dirigea vers la place principal inspecté ses hommes avant l'arrivé des autre groupe.

Ils étaient la, tous aligner, leur équipement a leur pied, Gavril jeta un coup d'oeil minutieux a chaque préparation et d'un signe de tête final, indiqua que tout était parfait. Les paroles ne servait a rien, juste a être repéré du moins. Il fit signe a ses hommes de disposait pour harnacher leur montures. La sienne était déjà prête, avec tous l'équipement adéquat a cet mission? Ce n'était pas son galot d'essai, mais a chaque foix sa minutie l'emportait, il avait connu des situations embarassante pour le moins et ceci l'avait toujours sauvé. Il attendit le retour de ses hommes sur la place d'arme en même temps que toutes l'escorte et entendit les dernières instruction du général. La partit commençait d'une certaine manière. Il partit avec ses hommes rejoindre leur montures. Donnant ses dernières conssigne quand a la formation a adopter, le role de chacun en cas de certain probléme qui revenait souvent et quelques petits codes..

Le convoi se mit en branle, le corps principal avait déja prit la route sur quelques centaine de metre quand son équipe le croisa, Gavril se mit au niveau du général quand il l'interpella. L'écouta avec attention puis d'un inclinement de tête avec un a vos ordres mon général murmurait, il regagna la tête de file pour devancer le convoi. Il allait pouvoir débutait leur role.

La route jusqu'a anger était assez forestière et valloné, ce qui laissait sous entendre de nombreuse embuscade possible. Avec ses dix hommes, ils étaient un groupe de onze ce qui allait l'aider dans sa tache. Sur les premiers kilométres, les vastes champs du domaines assuré une vue perçante mais aprés débuté la forêt, le chemin passait rapidement sous le couvert des arbres et disparaissait. Ce qui avantageait Gavril dans sa tache, c'était le fait que lui même avait organiser moult embuscade, il reconaissait donc les endroits adéquat. il fit arrétait le groupe a l'orée des bois et descendit de sa monture. Puis s'aprocha du début du sentier en regardant attentivement les traces. Aucune suspect, un cavalier ou deux, une chariette, vu la profondeur des traces surment transportant du blé ou quelque chose comme sa et des hommes a pied vétu de maigre sandale. En aucun cas des bottes d'homme d'arme, c'était une bonne chose, mais le sol ne relevait jamais tout.

Il laissa deux de ses hommes a l'orée de la forêt jusqu'a ce qu'ils apercoivent le convoi, enssuite il pourrait revenir, le général était prévenut dans tous les cas, si aucun cavalier ne revenait au grand galot vers eux il n'y avait aucun probléme. Et au moindre soucis, un des deux cavaliers partirait rejoindre le convoi et le second le groupe de gavril. Ordre était donner de ne point combattre.

Il s'enfonça dans le forêt, pour le moment rien de spécial, de toute manière a chaque endroit propice au danger, il inspecterait le lieu et laisserait deux de ses hommes. Et si le convoi avançait lentement, il attendrait avec 4 hommes au minimun, ce qui laissait toujours une distance convenable pour surveiller en tant qu'éclaireur et revenir en cas d'attaque non anticipé sur le convoi. Et a 5, il ne devrait pas avoir de soucis.. Il avancerait donc ainssi tout le long du chemin. Chaque groupe de deux laissait pour repérer le convoi les rejoindrais et on avancerait comme sa. Du moins cette technique serait pratiquer tant que les hommes seraient dans la forêt...

Seul dieu pouvait savoir ce qui se passerait par la suite..

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Lauralyne
Laly, avec sa dizaine, escortait le général Cassius depuis Rennes où elle avait laissé ses Hermines sous le commandement du lieutenant Bruce. Elle avait glissé ses dagues dans ses bottes. Son bouclier était accroché sur le coté de la selle. Son épée était prête à servir.
Elle salua son général et repartit sur le devant à ses ordres. Les lances pointaient vers le ciel, les épées étaient aux poings dans leur fourreau.


On ouvre le chemin, on regarde, on écoute. Tenez vos rangs en formation. On marche en cadence.

Elle chevauchait au pas, les accompagnant.
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Maman d'Elrick, Floraline, Krystal, Enoal et mère de coeur de Titouan et Klauss
Soeur de Debad, JEpl et Eldon
Xhena


Xhena se réveilla sous le baiser de son chéri,elle le regarda partir et lui envoyant un baiser volant de la main


Elle se leva et s'habilla en enfilant sa tenue militaire,elle glissa une dague dans sa manche,pris son bouclier et son épée et se dirigea vers son étalon cadeau de sa marraine Nirina qui lui a donné le nom de Génépi en souvenir de sa sœur Hildegarden

Elle s'approcha de lui et lui donna une pomme avant de le monter et de partir au galop rejoindre l'escorte du général, s'approcha de lui et le salua avec respect en écoutant ces ordres lui faisant signe qu'elle avait compris

Citation:
Eozenez, garde l'œil ouvert, au moindre signe, lance l'alerte et donne l'ordre de la formation en carré. Il en va de même pour toi Xhena.


Xhena regarda ces hommes se mettent en marche et leurs dit

"que chacun se tienne près au moindre mouvement,au moindre bruit attendait mon ordre '

Xhena chevaucha sur le devant en restant attentif le regard allant de droite à gauche surveillant l'horizon au moindre signe d'attaque la vie du général était entre leurs mains et ça elle le savait

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Calyce..
   [Château d'Angers ]    

-Je récapitule, mamz'elle. Trois chambrées :Une pour le général breton et l'autre pour son intendante et la dernière pour votre nièce et son amie. Mais je comprends pas...pourquoi cacher tout ce qui fait allusion à votre armée ?
-Pour que notre invité n'ait pas l'occasion de se moquer de moi !
-Gné ?
-Coin-coin, canard...rien ne te dérange ?
-Bon d'accord, ça sonne pas très glorieux pour une armée...
-Bin voilà !   
 

Oui, elle fait un complexe d'infériorité. Le Comte escorté par une armée pour une visite non-officielle quand elle galère à trouver une dizaine d'hommes pour rejoindre les rangs de ce qui lui sert d'armée ducale. Humpf.
Complexe auquel s'ajoute l'anxiété de devoir jouer les hôtes modèles sans l'aide de Tiss. L'Archiduchesse avait été claire :


T'es assez grande pour poser ton séant sur le trône donc t'es assez grande pour gérer ça toute seule jeune fille ! Mais je te préviens, il y a intérêt que le Comte reparte d'ici avec le sourire qui va d'une oreille à l'autre ! Je vérifierai.


Ca ne devait pas être si compliqué que ça, elle y arriverait !
Pour commencer elle a un courrier à écrire.
Une fille à faire venir à la rencontre de son père.
Et une plume qui danse au dessus d'un vélin, une !


Citation:
A Yolanda-Isabel de Josselinière,
A la fille de sa merveilleuse mère
A ma nièce

Bonjour,

Tout d'abord sache que je suis désolée de n'avoir pas demandé de tes nouvelles plus tôt, les histoires ducales me prennent beaucoup de temps. Mais je te sais entre de bonnes mains avec ton cousin Kirke. Il veille bien sur toi, hein ?

Si je t'écris aujourd'hui c'est parce que je reçois bientôt le Comte de Kervegon, père de la petite Alix-Ann dont tu t'occupes. C'est pour voir sa fille qu'il se rend à Angers. Aussi je me demandais si tu pouvais veiller à ce que la petite arrive entière-c'est mieux- jusqu'au château d'Angers où elle pourra séjourner le temps qui lui plaira. Peut-être pourrais-tu même l'accompagner ? Vous mettriez de la gaieté au château !

A te lire vite.

Calyce de Dénéré-Malines.


Missive envoyée.
C'est au tour de l'inspection des appartements qui accueilleront le général.
-Une table assez grande pour contenir plans et cartes dépliées.
-Un lit pas trop mal fait.
-Du vin d'Anjou.
-Une paire de servantes qui seraient aux petits soins de sa Grandeur.
-Et elle lui prêterait même sa conseillère en choses militaires !
Bah si avec ça il n'est pas content...

Sourire amusé en repensant aux dernier échange qu'ils avaient eu.


- Pensez à faire poser de la paille bien fraiche aux écuries...

Ca devrait aller.
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Cassius
Les Badauds s'attardaient en bordure de chemin sous le passage du convoi armée breton, ici nul ne parlait plus la langue herminienne, signe que la frontière était dépassée, en territoire de fierté Angevine.

L'Anjou n'était pas si éloignée de l'idéologie bretonne, surement la raison qui avait poussé ces deux contrées à s'aider militairement et diplomatiquement depuis maintenant bien longtemps. La paternel du Comte avait combattu à Angers contre la Royauté Françoise aux côtés du Grand-Duc Gomoz afin de défendre ces terres du joug Royal, le jeune Comte lui même lors de la dernière guerre avait foulé ce sol, il y avait perdu des hommes, des frères, des combattants qui n'ont pas hésité à donner leurs vies pour leurs idéologies, morts en vrais guerriers, mort que tout homme d'armes qui se respecte souhaiterait connaître.

Au fur et à mesure que le convoi avançait, le Montfort remarqua au loin le mécanisme rondement mené de son groupe d'éclaireur, la sécurité était assuré. Ses hommes autours de lui formaient un carré de protection infranchissable, signe de la formation professionnelle de sa Compagnie, des hommes et des femmes qui y servaient.

A son Officier en avant garde...


On ne perd pas le rythme, Angers n'est plus qu'à quelques lieux.

Quelques heures plus tard, les murailles angevines firent leur apparition à l'horizon, l’étendard aux couleurs des terres flottait au vent, non loin un coin de verdure où serait monté le camp de fortune, le contingeant s'y dirigea sous les ordres du Général. Du haut de son destrier, le Montfort s'exclama...

Le campement sera monté ici!

A Lauralyne et Valoche, ses Capitaines...

Veillez à ce que l'organisation du camp se fasse, organisez la défense et préparez les tours de garde. Prenez ensuite du repos et n'hésitez pas à aller visiter la ville, cela sera surement utile un jour.

Sur ces mots, le groupe d'éclaireur les rejoignit...

Gavril, avec moi. Je dois me rendre au château Ducal, je suis attendu.

Sur ce, le Montfort claqua les flancs de son destrier et sous la foulée haletante de sa monture prit la direction des grilles du castel. Aux grilles, il s'annonça...

Je suis Cassius de Montfort, Comte de Kervegon et Prince de Bretagne. Je suis attendu par sa Grâce d'Anjou, Calyce de Dénéré-Malines, veuillez m'annoncer.

Le Montfort au côté de l'un de ses hommes réfrénait l'ardeur de sa monture fermement par les brides, le canasson donnait de puissant coup de tête sous l'attente le menant aux écuries ducales.
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Comté de Kervegon
Gavril
Le voyage se passait tranquillement, aucune menace ne pointer son bout de nez. Les terrains s'étaient succéder, mais la technique qu'avait mis en place gavril ne changeait pas. Aprés la forêt, ce fut des champs, puis de nouvelles forêt, des chemins a travers les colines, du caillou. A aucun moment, Gavril ne repéra le moindre danger, les seuls personnes croisé étaient quelques paysans travailant les champs, un coup d'oeil rapide l'avait rassuré, aucune arme particulière apparament. Il était quand même aller verifier plusieurs foix en descendant de monture pour eviter de sacager les recoltes prochaines, se présenter et s'assurer qu'il n'y avait aucun arc cacher ou autre. Car une dizaine de paysans travailant la terre, si au moment ou le convoi passait sortait tous des arcs bien caché. Le convoi ne pourrait pas faire grand chose.

Les choses se compliquérent un peu quand ils se rapocherent fortement de la ville. Sa se voyait que c'était une capital, et une capital peuplé pour le moins. Au sortit d'une forêt, avec ses quatres homme, il s'arréta net, devant lui siegeait les champs de la ville et en cet période de travail, ces champs en question était surpeuplé. La vile ne devait plus être loins pour le moins. Il attendit patiament qu'un groupe de le rejoigne ayant repéré le convoi et donc ne devant plus surveiller leur zone stratégique pour donner ses instructions. Dans tous les cas, a partir de la, si menace il y avait, sa serait aux yeux de tous, vu le monde qui travaillait.. Il décida donc d'envoyer deux de ses hommes parcourir la route pour guetter le moindre probléme. tandis que lui et le reste de ses hommes retirerait leur uniforme, laissant leur armure a nue pour se fondre dans la foule. Les ordres furent donné, être aussi invisible que possible, descendre de cheval et le tenir par la longe, attendre le convoi et le suivre dans la masse des badeauds qui ne manquerais pas de venir regarder. En éspérant qu'il repérerait un troublion si il y avait. Mais a 8 hommes, sa devait le faire tranquillement.

Et cela se passa en effet tranquilement, Gavril avec ses hommes suivait le convoi dans la foule, invisible du monde et scrutant ce monde. Ils les suivirent jusqu'a ce qu'ils s'installent, puis gavril par signe demanda a ses hommes de vérifier les alentours. Lui même remonta a cheval et partit chercher ses deux hommes qui devait surveiller les portes de la ville. Quand il les trouva, il apprit que rien de spécial n'était sortit et qu'a première vu, aucun comité spécial ne les attendait, comité spécial dans le sens, archet avec des arcs bandé.. Il se dirigea donc vers le camps ou ses hommes se rallièrent a lui petit a petit, aucune chose supect, on pouvait établir le camps tranquillement sans le moindre probléme. gavril était fière de lui et de ses hommes, une mission pleinenement réussi, du moins en partit, on était pas encore rentré a Kervegon.

Gavril rejoignit le général alors qu'il était en train de parler a ses compagnons et supérieur. Il descendit de cheval et se plaça derrière lui attendant qu'il est finit. Puis reçut lui aussi ses ordres, d'un signe de tête a ses hommes, il leur indiqua sa satisfaction pour l'opération. Puis confia a des siens sa monture, tout en récupérant le matérielle adéquat pour le combat urbain, couteaux de lancer, dague, glaive et pour le paraitre, une jolie batarde au coté. Même si gavril ne l'utilisait pas, sa fesait jolie et surtout sa impressioné. Il récupèra une autre monture, plus commode pour la ville que lui avait préparé un autre de ses hommes anticipant l'odre du général. Une foix en selle, le général n'avait que quelque pas d'avance, il le rejoignit pour se mettre derrière lui, pouvant ainssi surveiller de prés tout ce qui pouvait se passer et surtout intervenir au plus vite. A prés tout, son boulot était de prendre la fléche qui lui était destiné.

Gavril écouta le général parlé, toujours cet même voie qui imposait le respect, il resta derrière prêt a le suivre partout ou il irait..

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Yolanda_isabel
[Château-Gontier]

-« A Angers ?! Rien que ça ! Mais elle m'énerve ! »

Regardez-la arpenter comme un lion en cage sa chambre, vêtue d'un manteau de nuit, tenant en sa main, un vélin. Pas qu'une lettre de sa tante la dérange au contraire, elle est heureuse. Pas qu'une lettre lui demandant de ramener une fille à son père la dérange. Mais enfin.. Angers !? Ce n'est pas Saumur, ni Château-Gontier, vous en conviendrez ..

Et la voix ... Stridente - appelons un chat, un chat - de l'infante angevine de douze ans de résonner dans Château-Gontier.


-« ALIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIX ? »

Noterez que c'est plus efficace que de la chercher dans tous les coins. Et à un valet passant par là.

-« Qu'on prépare des malles pour un départ à Angers. Allez Hop hop ! Et n'oubliez pas des ... trucs pour Jean-Baptiste ! Voilà, voilà ! »

Et elle ? Elle écrit de son mieux, sa tante ne lui en tiendra pas rigueur.

Citation:
A Calyce de Dénéré-Malines,
A la Duchesse d'Anjou, (ça claque grave tata)
A ma tante.

Le Bon Jour,

Je suis désolée aussi que tu n'aies pas pris de nouvelles, mais vu que je viens, ça économisera des pigeons, et vu que j'ai bientôt plus de crédit auprès du juif qui me les fournis, ça me va bien.

J'ai donné l'ordre de faire préparer les affaires pour le voyage, et même si ce ne sont que quelques jours, tu sais ce que c'est, hein. On est deux filles. Donc bon.. On arrive. Ca prendra le temps qui faudra, fais patienter le Comte, raconte-lui des histoires d'angevins qui font la chair de poules.

Je t'embrasse sur le vélin, mais j'arrive vite le faire en vrai.

Moi.


Un mot peut-être pour la fin ?

-« ALIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIX ? »
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Maman Durée m'exploite.
Valoche
Ils étaient enfin arrivés. Aucun incident n'était venu perturber le voyage.

La capitaine obéit aux ordres du général. Avec l'aide de Lauralyne , Val donna quelques ordres aux hommes et femmes de sa troupe.

Les palissades furent vite montés. Déjà les hommes s'occupaient des tentes.
Val fit installer des tonnelons aux points stratégiques avec, dedans des arbaltriers, ainsi que quelques trébuchets. Quelques soldats finissait le chemin des gués.

On ne tenait pas de siège bien sur mais il était essentiel de pouvoir se défendre en cas d'attaque imprévue.

Quand tout ceci fut fait, Val donna les tours de gardes à chacun de ses hommes.

La capitaine envoya deux hommes à l'arrière , pour surveiller les chemins, les forêts.

Quand tout fut prêt, Val était tellement fatiguée qu'elle regagna sa tente aussitôt. Elle visiterait la ville demain .
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Calyce..
Esquisse d'un sourire satisfait devant les mots griffonnés par la main de sa nièce. Elles vont venir.
Nul besoin de lui répondre. Calyce sait combien la petite de Josselinière aime faire les choses bien. Elles seront là rapidement.
En attendant elle essaiera d'occuper le père, le faire patienter en racontant des histoires comme le suggère Yolanda.
Et quand on parle du loup...


M'zelle Cal...euh vot'Grâce, il y a là un homme qui dit que vous l'attendez, un Cassius de Montfort, Comte et Prince de Bretagne.
-J'arrive !


Juste le temps d'arranger son millefeuille de jupons, de jeter un œil par la fenêtre grande ouverte sur la cour et d'apercevoir les grilles qui s'ouvrent pour céder le passage au Montfort à la fière allure et sa suite.
Et là voilà qui dévale rapidement les escaliers pour rejoindre la petite cour. C'est la Duchesse qui fera l'accueil en personne, elle l'a promis !
Et d'attendre que le Comte s'approche pour se fendre d'une courbette en espérant qu'elle soit surveillée par l’œil inquisiteur d'une archiduchesse qui n'est jamais bien loin. Regarde, Tiss, comme je sais accueillir !


Votre Grandeur...Bienvenue en Anjou.
J'espère que vous avez fait bon voyage.


Sourire sincère avant qu'elle ne hèle un palefrenier.

Bebert, tu prendras bien soin des chevaux de son Altesse...

C'est comme ça qu'on fait ?
Dans le doute, elle reporte son attention sur son invité. Gênée, elle se triture les doigts.


A moins que vous ne vouliez vérifier le confort de nos écuries...pour les chevaux, hein.
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Cassius
[Le château d'Angers]


Les pas saccadés des montures résonnaient désormais au sein de la place ducale, le Montfort mit pied à terre, ôtant ses gantelets et laissant les brides de son destrier à Gavril, l'un des hommes d'armes de son escorte.

L'hôte des lieux ne se fit point attendre, et quel honneur que d'être reçu non pas par l'intendant, mais par la Duchesse d'Anjou en personne. Le jeune Montfort s'avança, le port altier, la démarche sûre et saisi la main de la jeune femme...


Votre Grandeur...Bienvenue en Anjou.
J'espère que vous avez fait bon voyage.


Il apposa un baiser effleuré sur la dextre angevine.

La route, bien qu'exténuante, fut sans encombre, je vous en remercie.

Le Montfort rejeta d'un signe de main la proposition des visites des écuries, ayant bien assez confiance en son hôte pour la qualité de la paille, mais la proposition n'était mise que de côtés, il n'était pas dit que la visite ne soit faites ultérieurement.

Tendant son bras en direction de l'homme l'accompagnant...


Votre Grace, permettez-moi de vous présenter l'un de mes plus fidèles combattants, Gavril. Il vérifiera l'état de vos écuries à ma place, si cela ne vous gêne guère.

A Gavril...

Accompagne le Palefrenier et fais en sorte que nos montures soient prête pour le départ. Ceci fait, prends repos, je te ferais mander plus tard.

Le regard Montfortzien se posa désormais plus longuement sur l'hôte de choix angevine, par plaisir, car il était agréable de passer son temps en bonne compagnie, surtout lorsque la compagnie était d'un charme ravageur. Etait-ce son manque certain de confiance en elle qui plaisait au jeune Comte? La suite le dirait.

Auriez-vous de quoi divertir mon gosier si asséché par cette longue route? Bien que je ne voudrais abuser de votre temps et de votre hospitalité.
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Comté de Kervegon
Lauralyne
[ Le camp ]

Angers apparut au détours du chemin, il ne s'agissait pas de relâcher son attention. Le général désigna l'emplacement du camp. Valoche et elle-même furent désignée pour établir le campement.
Tentes, palissades, points de tirs et de surveillance furent désignés stratégiquement en parfaite coordination entre Valoche et Lauralyne. La tente du général Cassius était en protection du camp.

Le feu fût fait pour restaurer tout le monde et le repas préparé pour le camp après que deux soldats furent aller chercher de quoi cuisiner.

Laly vérifia qu'elle avait de quoi soigner les petites blessures comme les grosses. Elle passa voir les hommes, voir si tout allait bien. Elle soigna quelques douleurs aux pieds et jambes, douleurs musculaire. Les soldats ne devaient pas quitter le camp seuls mais au minimum par deux.

Elle passa voir Valoche qu'elle avait vu fourbue entrer de sa tente. Elle tenait une assiette de poisson et légumes, du pain et une outre.


Val? Je peux entrer? Un petit remontant?
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Maman d'Elrick, Floraline, Krystal, Enoal et mère de coeur de Titouan et Klauss
Soeur de Debad, JEpl et Eldon
Gavril
[Le chateau d'Angers]

Gavril suivait de prés le général, ou le comte, sa dépendais de qui l'apeller, certain l'appelait même Cassius, invraissemblable non! Enfaite normal et même d'aprés ce qu'il avait compris peut être d'autre papa ou père.. Quoi qu'il en soit, moult terme pour désigner son chef qu'il vénérait dans le plus grand des secrets, il était arrivé au stade juste avant celui des petites bougies et du portrait. Si le général avait un probleme, Gavril ne pourrait s'en remmetre, et de plus si c'était de sa faute!

Il rentra donc dans la cours derrière le général, dés qu'il vit les muscles s'actionner pour que Cassius descendent de cheval, Gavril l'imita, c'était son role, être toujours la ou le voulait le général. Quand il lui tendit la bride, Gavril avait déjà avancer sa main, tout était dans l'anticipation pour qu'il puisse pensser a des taches plus importante. Il resta bien caché derrière le comte quand la duchesse paru, il écouta la palabre avec attention et a l'énoncé de son nom, s'inclina comme il se devait devant une duchesse. Puis il se remit derrière le général, dans une manoeuvre assez particulière car éxécuter une sorte de révérence avec des brides dans la main, sans faire bouger les cheveaux n'était pas a la porter de tout le monde et on pouvait le dire, nécéssité grand souplesse!

Il écouta le général par la suite avec attention et son regard se porta sur le palefrenier, l'étudiant de tout son long, de la tête au pied comme on disait. Il regarda un bref instant le général une dernière foix s'assurant la non présence de danger puis suivit le palefrenier avec les deux montures. Ils arrivérent dans de bien propre écuré, a croire qu'elle avait été préparer pour l'ocasion, il aurait pus dormir dedans tranquillement avec ses deux yeux fermés sans craindre la moindre attaque de vermine. Quoi qu'il en soit, il amena les montures dans leur "box" désigné par le palefrenier. Une foix les cheveaux bien installé, Gavril se retourna vers l'homme.


Jolie écurie.. Vous pouvez m'abandonner la, je ne bougerais pas de si tot a moins de contre ordre, mais je vous embéterez pas, rassurez vous..

Une foix ses paroles prononcé d'une voie fluide et détacher, Gavril se retourna vers les montures puis les examina assez conciensieusement. La monture du général se laissa moins faire d'ailleurs, et il échappa de peu a une tentative du destirer de le boter. Quoi qu'il en soit, les montures allaient bien et était bien installé pour le moins, de plus, le dépars pouvait être donné a chaque instant, les montures était prête. Gavril se dirigea donc vers l'entrés de l'écurie puis s'accola contre un mur prés de la porte. l'ennui de l'attente allait commencer, il sortit donc un de ses petits couteaux de lancer et s'amusa a le faire tourner dans sa main droite, le lancer au niveau de ses yeux en lui fesant faire des saltot. Un peu jeu pour Gavril qui pouvait s'avérait trés coupant si on ne maitrisait pas la chose. En même temps, d'un oeil vif, il vérifiait ce qui pouvait se passer dans la cour, on était jamais trop prudent..
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