Calyce..
Comment on impressionne une angevine ayant reçue une éducation plus que laxiste-pour ne pas dire barbare parfois ? On la met face à un Cassius.
Une frêle jeune femme qui ne sait plus quoi faire de ses mains devant un grand soldat plein d'assurance et aux belles manières... Ça fait contraste.
La tête de la Dénéré s'incline légèrement pour saluer l'homme qui lui est présenté.
Ravie.
Et d'écouter attentivement.
Une petite moue de se dessiner sur le visage Calycien.
Montures prêtes pour le départ ? Déjà ? Bon dieu, il venait tout juste d'arriver qu'il pensait déjà à repartir ! Elle a dû faire ou dire quelque chose de travers mais quoi ?
Attention, Duchesse en panique.
L'Archiduchesse va l'étriper.
Léger toussotement histoire de garder une certaine contenance et ce n'est que lorsque son regard croise celui du Montfort qu'elle respire à nouveau. Puis de sourire en coin, amusée par sa dernière question. Demander si on a de quoi boire en Anjou, tssss.
Et c'est toujours avec la même maladresse qu'elle répond en l'invitant à la suivre à lintérieur du château :
Vous êtes en Anjou , si on ne trouve pas de quoi apaiser agréablement votre soif, je me fais mainoise !
Mon temps est vôtre tant que vous serez à Angers votre Grandeur, vous pouvez en abuser comme il vous plaira...euh sauf la nuit quand même. Parfois elle parle trop. Humpf.
C'est quand il arrivent enfin dans le petit salon de réception et qu'ils sont bien installés qu'elle demande à ce que l'on serve le meilleur vin que recèlent les caves du château.
Vin qui ne tarde pas à venir remplir deux coupes.
Et alors que le Comte se fait servir, Calyce ouvre à nouveau la bouche. Du sérieux pour changer.
J'ai écrit à ma chère nièce, Yolanda, damoiselle des Molières...celle chez qui votre fille loge actuellement et elles arrivent au plus vite.
Parce que c'était quand même la première raison de la visite du Comte en terre angevine et qu'au fond il devait surement se demander quand est-ce qu'il pourrait enfin revoir sa fille...Elle en est persuadée.
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Une frêle jeune femme qui ne sait plus quoi faire de ses mains devant un grand soldat plein d'assurance et aux belles manières... Ça fait contraste.
La tête de la Dénéré s'incline légèrement pour saluer l'homme qui lui est présenté.
Ravie.
Et d'écouter attentivement.
Une petite moue de se dessiner sur le visage Calycien.
Montures prêtes pour le départ ? Déjà ? Bon dieu, il venait tout juste d'arriver qu'il pensait déjà à repartir ! Elle a dû faire ou dire quelque chose de travers mais quoi ?
Attention, Duchesse en panique.
L'Archiduchesse va l'étriper.
Léger toussotement histoire de garder une certaine contenance et ce n'est que lorsque son regard croise celui du Montfort qu'elle respire à nouveau. Puis de sourire en coin, amusée par sa dernière question. Demander si on a de quoi boire en Anjou, tssss.
Et c'est toujours avec la même maladresse qu'elle répond en l'invitant à la suivre à lintérieur du château :
Vous êtes en Anjou , si on ne trouve pas de quoi apaiser agréablement votre soif, je me fais mainoise !
Mon temps est vôtre tant que vous serez à Angers votre Grandeur, vous pouvez en abuser comme il vous plaira...euh sauf la nuit quand même. Parfois elle parle trop. Humpf.
C'est quand il arrivent enfin dans le petit salon de réception et qu'ils sont bien installés qu'elle demande à ce que l'on serve le meilleur vin que recèlent les caves du château.
Vin qui ne tarde pas à venir remplir deux coupes.
Et alors que le Comte se fait servir, Calyce ouvre à nouveau la bouche. Du sérieux pour changer.
J'ai écrit à ma chère nièce, Yolanda, damoiselle des Molières...celle chez qui votre fille loge actuellement et elles arrivent au plus vite.
Parce que c'était quand même la première raison de la visite du Comte en terre angevine et qu'au fond il devait surement se demander quand est-ce qu'il pourrait enfin revoir sa fille...Elle en est persuadée.
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