Finn
Finn suivit les présentations dun regard assidu, dévisageant chaque nouvelle trombine avec une vive curiosité malgré lharassement qui courbait légèrement ses épaules vers lavant. Pas mécontent dêtre enfin arrivé à bon port, et dans un lieu familier dont il ne craignait rien. Dautant quil était toujours en meilleure posture que la jeune rouquine qui guidait son attention dune dextre sinistrement bandée.
Sattardant sur la cousine, il pesta intérieurement contre la beauté insolente qui semblait être de famille, avant de se rappeler quelle avait été élevée chez lEnnemi et de parvenir ainsi à tempérer ses ardeurs mâles.
A la mention de lhomme au sobriquet dont la signification en sa langue était forte édifiante, lIrlandais hocha admirativement la tête. Le Von Frayner sentourait aussi dhommes, un du moins. Il ne put que lui témoigner silencieusement son soutien implicite face à lépreuve que constituait de subir la compagnie dautant de membres de la gente féminine.
Pour autant, la surprise chassa le flegme naturel de ses traits pour sy installer en concubinage avec un poil dhypocrisie.
- « Attendre ? Mais quattends-tu ? Que ton écorce se flétrisse ? Tu nes plus toute jeune, il serait temps de songer à ton avenir ou tu risques bien de finir en catherinette excentrique qui entretient détranges liaisons avec une tripotée d'oisifs matous. », commenta-t-il sur un ton partagé entre amusement, sincère préoccupation pour les jours de sa filleule et enfin aigreur à se supposer aussi vite remplacé.
Ca cétait fait. Tant et si bien que la dernière figurante ne souleva que peu dintérêt chez lui, si ce nest son origine helvétique dont il se méfia.
- « Au fait, Von Frayner n'est pas là? », s'interrogea-t-il naïvement en réalisant que la cérémonie était sur le point de débuter.
_________________
Sattardant sur la cousine, il pesta intérieurement contre la beauté insolente qui semblait être de famille, avant de se rappeler quelle avait été élevée chez lEnnemi et de parvenir ainsi à tempérer ses ardeurs mâles.
A la mention de lhomme au sobriquet dont la signification en sa langue était forte édifiante, lIrlandais hocha admirativement la tête. Le Von Frayner sentourait aussi dhommes, un du moins. Il ne put que lui témoigner silencieusement son soutien implicite face à lépreuve que constituait de subir la compagnie dautant de membres de la gente féminine.
Pour autant, la surprise chassa le flegme naturel de ses traits pour sy installer en concubinage avec un poil dhypocrisie.
- « Attendre ? Mais quattends-tu ? Que ton écorce se flétrisse ? Tu nes plus toute jeune, il serait temps de songer à ton avenir ou tu risques bien de finir en catherinette excentrique qui entretient détranges liaisons avec une tripotée d'oisifs matous. », commenta-t-il sur un ton partagé entre amusement, sincère préoccupation pour les jours de sa filleule et enfin aigreur à se supposer aussi vite remplacé.
Ca cétait fait. Tant et si bien que la dernière figurante ne souleva que peu dintérêt chez lui, si ce nest son origine helvétique dont il se méfia.
- « Au fait, Von Frayner n'est pas là? », s'interrogea-t-il naïvement en réalisant que la cérémonie était sur le point de débuter.
_________________