Enelos
C'est dingue cette épopée lui rappelait celle où, déguisée en buffet à cuisine, elle s'était glissée à l'aide d'un travelot et de deux autres pintades dans le bagne auvergnat pour libérer ses compagnons d'infortune. Évidemment je ne m'étalerais pas sur cet échec total en tant que cerveau de l'aventure puisque la finalité de l'histoire allongeait sur une blonde s'égosillant derrière les barreaux, et les deux autres gros malins perdus dans la nature. Le comble quoi. En gros en cas d'idées de génie de la part de notre philosophe, il valait mieux lui donner un grand coup sur la tête pour lui faire sortir l'idée de l'esprit. A vos risques et périls, bien entendus.
Et alors quoi ?
Le seul défaut qui subsistait dans la race blondine aux fortes grandes qualités, était souvent leur niveau de connerie intense qui comme vous avez plus le constater, était très présent chez nos deux énergumènes. Le Maître ( alias enelos ) traînait le reste de sa carcasse tant bien que mal à l'aide de béquilles improvisées, tandis que la toute fringante jeune apprentie ( alias Naelhy, ou pour les intimes "la limande") qui, toujours fidèle à sa réputation, déambulait gracieusement dans les ruelles tourangelles en marmonnant des choses incompréhensibles. MAIS ! (oui, dans les histoires à suspens il y a toujours un mais.) Dans la production de ce genre de spécimens, ô combien exquise aux yeux de la gente masculine, était leur forte attirance héréditaires envers toute sorte de drogues et d'alcools. Ce qui bien sûr empirait avec l'âge, nos sujets prenant enfin compte de leurs capacités intellectuelles et ayant besoin d'aiguiser leur esprit spiritualisé à l'aide de toute sorte de cochonneries.
MAIS ! il faut des obstacles dans la vie non ? Les stocks de drogue arrivaient à pénurie en ces temps de crise humanitaire. Il était donc capitale pour la santé mentale de nos deux blondes -et pour le bien-être de toute la population de bergères- de se procurer le plus rapidement possible ces substances. Il y avait tout de même une excuse légale au cas où on les interrogerait sur leur recherche effréné d'un apothicaire : les plaies de l'éclopée lui faisaient un mal de chien. Le pire c'est que s'était vrai : ses plaies avaient été recousues par les doigts inexpérimentés d'une jeune nonne puis bandées sous des couches de tissus qui réduisaient à merveille chacun des gestes de la gueule-cassée.
Et ... ?
Accrochez vous à vos chaussettes, nous arrivons au moment fard du récit : la pénétration dans l'Antre du Plaisir. Un plaisir mi-psychique mi-physique chez toute bonnes femmes lucides jouissant cérébralement du bonheur que d'enfiler des couches de vêtements soyeux; et le plaisir spirituel de deux connes un peu beurrée (deuxième catégorie NB : voir la philosophie de Rebel) qui touchait la volupté en s'enivrant de diverses substances qui ne se trouvaient bien sûr pas chez une noble tisserande. Mais chut.
A contrario de la Limande qui prenait soin où ses petits petons se posaient, la Cistude ne faisait pas gaffe et ne manquait pas de renverser les quelques décorations qui gênaient son cheminement vers le comptoir où déjà Naelhy faisait sa commande. D'un geste un peu maladroit la blonde accouda contre le comptoir ses béquilles improvisées qui, malheureusement, avait décidé de tester la loi de la gravité et de jouer avec l'équilibre. Quelles petites coquines. Et c'est dans un mouvement de ralenti ultime -digne de célèbres sagas américaine (dont je ne citerais pas le nom)- que les béquilles percutèrent les boucliers alignés à côté de la table, pour enfin que ces derniers viennent s'échouer lamentablement aux pieds des deux blondes dans un grand fracas assourdissant sonorisé. Des boucliers chez un apothicaire ? Mhm mhm tout cela semblait louche, et pourtant les blondes se contentaient de regarder avec effrois les boucliers brisés devant elle.
Alors la maladroite passa ses doigts écorchés dans sa tignasse blonde comme une gamine ayant fait une grosse bêtise, puis lança un regard à sa comparse qui en disait déjà long sur le fond de pensée :
-Fait chier...
Et alors quoi ?
Le seul défaut qui subsistait dans la race blondine aux fortes grandes qualités, était souvent leur niveau de connerie intense qui comme vous avez plus le constater, était très présent chez nos deux énergumènes. Le Maître ( alias enelos ) traînait le reste de sa carcasse tant bien que mal à l'aide de béquilles improvisées, tandis que la toute fringante jeune apprentie ( alias Naelhy, ou pour les intimes "la limande") qui, toujours fidèle à sa réputation, déambulait gracieusement dans les ruelles tourangelles en marmonnant des choses incompréhensibles. MAIS ! (oui, dans les histoires à suspens il y a toujours un mais.) Dans la production de ce genre de spécimens, ô combien exquise aux yeux de la gente masculine, était leur forte attirance héréditaires envers toute sorte de drogues et d'alcools. Ce qui bien sûr empirait avec l'âge, nos sujets prenant enfin compte de leurs capacités intellectuelles et ayant besoin d'aiguiser leur esprit spiritualisé à l'aide de toute sorte de cochonneries.
MAIS ! il faut des obstacles dans la vie non ? Les stocks de drogue arrivaient à pénurie en ces temps de crise humanitaire. Il était donc capitale pour la santé mentale de nos deux blondes -et pour le bien-être de toute la population de bergères- de se procurer le plus rapidement possible ces substances. Il y avait tout de même une excuse légale au cas où on les interrogerait sur leur recherche effréné d'un apothicaire : les plaies de l'éclopée lui faisaient un mal de chien. Le pire c'est que s'était vrai : ses plaies avaient été recousues par les doigts inexpérimentés d'une jeune nonne puis bandées sous des couches de tissus qui réduisaient à merveille chacun des gestes de la gueule-cassée.
Et ... ?
Accrochez vous à vos chaussettes, nous arrivons au moment fard du récit : la pénétration dans l'Antre du Plaisir. Un plaisir mi-psychique mi-physique chez toute bonnes femmes lucides jouissant cérébralement du bonheur que d'enfiler des couches de vêtements soyeux; et le plaisir spirituel de deux connes un peu beurrée (deuxième catégorie NB : voir la philosophie de Rebel) qui touchait la volupté en s'enivrant de diverses substances qui ne se trouvaient bien sûr pas chez une noble tisserande. Mais chut.
A contrario de la Limande qui prenait soin où ses petits petons se posaient, la Cistude ne faisait pas gaffe et ne manquait pas de renverser les quelques décorations qui gênaient son cheminement vers le comptoir où déjà Naelhy faisait sa commande. D'un geste un peu maladroit la blonde accouda contre le comptoir ses béquilles improvisées qui, malheureusement, avait décidé de tester la loi de la gravité et de jouer avec l'équilibre. Quelles petites coquines. Et c'est dans un mouvement de ralenti ultime -digne de célèbres sagas américaine (dont je ne citerais pas le nom)- que les béquilles percutèrent les boucliers alignés à côté de la table, pour enfin que ces derniers viennent s'échouer lamentablement aux pieds des deux blondes dans un grand fracas assourdissant sonorisé. Des boucliers chez un apothicaire ? Mhm mhm tout cela semblait louche, et pourtant les blondes se contentaient de regarder avec effrois les boucliers brisés devant elle.
Alors la maladroite passa ses doigts écorchés dans sa tignasse blonde comme une gamine ayant fait une grosse bêtise, puis lança un regard à sa comparse qui en disait déjà long sur le fond de pensée :
-Fait chier...