Ael.de.penthievre
Tout avait commencé par sa faute... Puis les événement en entrainant d'autre... tout s'écroulais... Une lettre d'abord. Vous savez ce genre de lettre qui ne dise rien mais que vous detestez detester recevoir car vous en connaissez le sens. Ensuite la discussion... cet avalanche de mots que vous ne pouvez que subir, de toute façon vous connaissez vos tords... Puis viens ce sentiment de tristesse qui vous habite. Ce sentiment quand vous regardez l'autre déçu par vos actions... Alors que vous reste t-il? Que faire? Et ben Ael n'as rien su faire d'autre que pleurer...
Pleurer oui... Et il pleure encore... a l'abri des regard... Ce soir il ne reviendra... Pourquoi revenir d'ailleurs? Voir celle qui l'aime le traiter en inconnu? Ivre de bière? Qu'à t'il donc fait pour qu'elle se malmène ainsi... Elle a voulu partir... Lui aussi y a songer... Il y songe... Pourquoi ne le fait-il pas? Après tout... Elle lui rend la monnaie de sa pièce. Il doit en payer le prix... Ne pas fuir non... Pourquoi fuir d'abord? Fuir ce serait renoncer... Renoncer a celle qu'il aime... Mais rester? Rester ça fais mal... Il souffre de sa propre bétise... Ironie du sort... Ainsi il avait fait du mal a ceux qui l'aimais... Oui ceux... Et dans tout ça lui? Plus rien... Juste l'égarement, la confusions, les questions sans réponses... Un tourbillon qui vous entraine au fond d'un gouffre... Remonter la pente? Plus tard... il n'en a pas la force... Personne pour lui rendre l'espoir... Et pourtant quelque part il est la cette espoir.
Ael était seul mais c'était lui qu'il avais voulu. Il savais ce qu'il avais a faire mais il ne savais s'il en aurais le courage. Et il avais repoussé la main qu'on lui avais tendu... Cette fois il devrais se relever seul... S'il se releve...
Ses pensées tourbillonnais... ses larmes lui brulait les yeux. et dans sa détresse il ne murmura qu'une chose:
Flore
Inutile cher ami... ce soir personne ne t'aidera. Toi même tu ne veux pas être aider... Tu dois patienter... Attendre que les larmes se séche que ta respiration redevienne normal... que tes cauchemars s'envolent. Qu'il ne subsiste que la paix intérieur... Ce calme cette sérénité quasi impossible a trouver dans ces moment et pourtant nécéssaire pour y voir clair et avancer. Mais il est encore trop tôt. Trop tôt...
Le coeur lourd, il reste ainsi a se vider de son eau... prostré comme un enfant... Il n'en était plus un oui... Mais la il se sentait pourtant tout aussi vulnérable...
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Pleurer oui... Et il pleure encore... a l'abri des regard... Ce soir il ne reviendra... Pourquoi revenir d'ailleurs? Voir celle qui l'aime le traiter en inconnu? Ivre de bière? Qu'à t'il donc fait pour qu'elle se malmène ainsi... Elle a voulu partir... Lui aussi y a songer... Il y songe... Pourquoi ne le fait-il pas? Après tout... Elle lui rend la monnaie de sa pièce. Il doit en payer le prix... Ne pas fuir non... Pourquoi fuir d'abord? Fuir ce serait renoncer... Renoncer a celle qu'il aime... Mais rester? Rester ça fais mal... Il souffre de sa propre bétise... Ironie du sort... Ainsi il avait fait du mal a ceux qui l'aimais... Oui ceux... Et dans tout ça lui? Plus rien... Juste l'égarement, la confusions, les questions sans réponses... Un tourbillon qui vous entraine au fond d'un gouffre... Remonter la pente? Plus tard... il n'en a pas la force... Personne pour lui rendre l'espoir... Et pourtant quelque part il est la cette espoir.
Ael était seul mais c'était lui qu'il avais voulu. Il savais ce qu'il avais a faire mais il ne savais s'il en aurais le courage. Et il avais repoussé la main qu'on lui avais tendu... Cette fois il devrais se relever seul... S'il se releve...
Ses pensées tourbillonnais... ses larmes lui brulait les yeux. et dans sa détresse il ne murmura qu'une chose:
Flore
Inutile cher ami... ce soir personne ne t'aidera. Toi même tu ne veux pas être aider... Tu dois patienter... Attendre que les larmes se séche que ta respiration redevienne normal... que tes cauchemars s'envolent. Qu'il ne subsiste que la paix intérieur... Ce calme cette sérénité quasi impossible a trouver dans ces moment et pourtant nécéssaire pour y voir clair et avancer. Mais il est encore trop tôt. Trop tôt...
Le coeur lourd, il reste ainsi a se vider de son eau... prostré comme un enfant... Il n'en était plus un oui... Mais la il se sentait pourtant tout aussi vulnérable...
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