Uruk
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Elle n'appréciait pas. Non, vraiment, elle n'appréciait pas. Mais quoi donc ? La chiure de Franche-Comté ? Ce qu'il est jusqu'à ce jour encore. Ou bien le fils du son ami Jontas ? Qu'il est tout autant et ce malgré sa traîtrise impardonnable aux yeux du paternel. Elle était la, debout devant lui à vociférer sa haine de ce que représentait le prince et du discours radical, mais fort juste qu'il pouvait offrir à la chaleureuse compagnie angevine.
M'excusez de ?
Il haussa un sourcil, se cambra légèrement bien assis sur son siège, montrant qu'il n'avait pas grande intention de céder à ce méprisable chantage digne des rageuses locales. Il n'en oublia cependant pas sa diplomatie légendaire en allant de ses arguments pour faire plier la rage de la Reikrigen.
A mes yeux, celui qui fut un temps prédestiné à être mon intendant, se nomme et se nommera toujours Valfrey, tant par respect à son père, qu'à sa terre natale. Et quelque soit le dessein que vous lui faites quant à votre personne, il ne sera jamais votre.
Voilà qui clarifiait bien la situation, mais natténuerait certainement pas les velléités de la dite archiduchesse. Le prince, bon homme et afin d'épancher sa soif toujours plus accru, profita de cet instant de répit pour boire une gorgé du fruit angevin.
Mais qu'à cela ne tienne, considérez donc qu'il puisse être hypothétiquement votre fils ... Je me dois toujours autant de le retrouver ! N'ayez crainte, je ne lui veux que du bien !
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