Gwennaelle
[Appartements isauriens, salle d'eau - Isaure/Gwennaelle]
La jeune maîtresse semblait satisfaite de ma réponse à propos du mariage alors timidement, je souriais, tout en m'occupant de la douce chevelure isaurienne. Je versais un peu d'eau dans les méandres des mèches brunes en évitant soigneusement d'en laisser couler le long du visage de ma maîtresse. Puis, délicatement, je me frottais les mains du savon, avant de l'appliquer aux cheveux humides. Avant de rincer, je vérifiais que la maîtresse ait gardé les yeux fermés car je ne souhaitais pas les lui brûler avec l'eau savonneuse. Des yeux rougis ne seraient pas du plus bel effet.
À ce moment là, on frappa à la porte. J'allais proposer à ma maîtresse de m'y rendre, mais celle-ci me devança. J'acquiesçai.
Bien maîtresse, ne vous noyez pas dans le bain jusqu'à ce que je revienne.
Car je n'avais pas oublié le réveil difficile et la réticence de ma maîtresse envers son mariage. Je doutais tout de même qu'elle se donne la mort, mais mieux valait prévenir que guérir.
Lorsque j'ouvris la porte, je fis face à deux femmes. La cousine de ma maîtresse n'en était pas et j'avais pour ordre de n'ouvrir qu'à la couturière que j'avais aperçu lors de ma première rencontre avec la maîtresse. Aussi, je m'interrogeais silencieusement sur l'identité de l'autre protagoniste qu'il ne me semblait pas connaître, ne serait-ce que de vue.
Attia Des Juli ? Vous pouvez entrer, la maîtresse vous attend.
J'haussais un sourcil en direction de l'autre femme, restant volontairement sur le pas de la porte.
_________________
La jeune maîtresse semblait satisfaite de ma réponse à propos du mariage alors timidement, je souriais, tout en m'occupant de la douce chevelure isaurienne. Je versais un peu d'eau dans les méandres des mèches brunes en évitant soigneusement d'en laisser couler le long du visage de ma maîtresse. Puis, délicatement, je me frottais les mains du savon, avant de l'appliquer aux cheveux humides. Avant de rincer, je vérifiais que la maîtresse ait gardé les yeux fermés car je ne souhaitais pas les lui brûler avec l'eau savonneuse. Des yeux rougis ne seraient pas du plus bel effet.
À ce moment là, on frappa à la porte. J'allais proposer à ma maîtresse de m'y rendre, mais celle-ci me devança. J'acquiesçai.
Bien maîtresse, ne vous noyez pas dans le bain jusqu'à ce que je revienne.
Car je n'avais pas oublié le réveil difficile et la réticence de ma maîtresse envers son mariage. Je doutais tout de même qu'elle se donne la mort, mais mieux valait prévenir que guérir.
Lorsque j'ouvris la porte, je fis face à deux femmes. La cousine de ma maîtresse n'en était pas et j'avais pour ordre de n'ouvrir qu'à la couturière que j'avais aperçu lors de ma première rencontre avec la maîtresse. Aussi, je m'interrogeais silencieusement sur l'identité de l'autre protagoniste qu'il ne me semblait pas connaître, ne serait-ce que de vue.
Attia Des Juli ? Vous pouvez entrer, la maîtresse vous attend.
J'haussais un sourcil en direction de l'autre femme, restant volontairement sur le pas de la porte.
_________________