Ouamaille
Le regard que lance la colombe n'annonce rien de bon lorsqu'elle s'approche, mais annonce-t'elle jamais quelque chose de... normal? Assurément, la réponse pencherait d'un certain côté s'il fallait sonder.
Le retrait par Andréa du châle que Ouam avait déniché en se levant le prend quelque peu de surprise, et en cet instant précis le blond ne remerciera jamais assez la collection printemps-été 1460 de la mode masculine d'avoir fait que la chemise se porte longue et ample, de sorte que les pans tombent assez pour ne point offusquer quiconque se tiendrait à proximité de la scène. Ouam tire tout de même machinalement d'un main sur le devant histoire d'assurer l'essentiel, tandis que des paroles à moitié étouffées lui échappent.
'tain t'fais ch...
Les braies qui se retrouvent ensuite libérées de leur emprise Colombiesque volent un instant dans la direction du blond, lequel les attrape de justesse de l'autre main restée libre, ré-alimentant le chapelet de jurons qui ne manque que rarement de sortir en pareille circonstance chez Ouam.
... de sal'p'rie d'bordel d'mes deux, c'quoi c'te façon, t'mérit'rais que j'te fasse bouffer l'châle...
Le blond essaye de démêler la pièce de vêtement, s'énerve en n'y arrivant pas tout de suite râle encore et toujours - comment ça il ne sait faire que ça?
... rhaaaa pis en plus tu m'l'as foutue en bouchon, c'pas possib' d'avoir aussi peu d'soin... Dediou!
Ouam finit par faire ressortir les deux jambes de la paire de braies, qui plus est à l'endroit s'il vous plait, certes en amenant la seconde main en renfort, la posture légèrement accroupie pour éviter que la satanée chemise n'aie la mauvaise idée de se faire emmener par un courant d'air entre temps, moins pour la crainte de rhume de.... cerveau que pour ne pas offrir un spectacle quelque peu embarrassant pour lui-même envers l'entourage.
La première jambe est passé, vite rejointe par la seconde, et les braies remontées en un léger coup de rein d'une élégance toute masculine jusqu'à la taille puis le lien ajusté, un côté de la chemise pendouillant par dessus tandis que l'autre est emprisonné. Le regard mauvais se pointe vers la châtaine.
C'malin... pis d'abord t'en as foutu quoi des tiennes de braies... C'ma faute s'tu laisses traîner tes affaires ptet?
Le blond ponctue l'ensemble d'un haussement d'épaules. C'est vrai ça, à la fin...
Le retrait par Andréa du châle que Ouam avait déniché en se levant le prend quelque peu de surprise, et en cet instant précis le blond ne remerciera jamais assez la collection printemps-été 1460 de la mode masculine d'avoir fait que la chemise se porte longue et ample, de sorte que les pans tombent assez pour ne point offusquer quiconque se tiendrait à proximité de la scène. Ouam tire tout de même machinalement d'un main sur le devant histoire d'assurer l'essentiel, tandis que des paroles à moitié étouffées lui échappent.
'tain t'fais ch...
Les braies qui se retrouvent ensuite libérées de leur emprise Colombiesque volent un instant dans la direction du blond, lequel les attrape de justesse de l'autre main restée libre, ré-alimentant le chapelet de jurons qui ne manque que rarement de sortir en pareille circonstance chez Ouam.
... de sal'p'rie d'bordel d'mes deux, c'quoi c'te façon, t'mérit'rais que j'te fasse bouffer l'châle...
Le blond essaye de démêler la pièce de vêtement, s'énerve en n'y arrivant pas tout de suite râle encore et toujours - comment ça il ne sait faire que ça?
... rhaaaa pis en plus tu m'l'as foutue en bouchon, c'pas possib' d'avoir aussi peu d'soin... Dediou!
Ouam finit par faire ressortir les deux jambes de la paire de braies, qui plus est à l'endroit s'il vous plait, certes en amenant la seconde main en renfort, la posture légèrement accroupie pour éviter que la satanée chemise n'aie la mauvaise idée de se faire emmener par un courant d'air entre temps, moins pour la crainte de rhume de.... cerveau que pour ne pas offrir un spectacle quelque peu embarrassant pour lui-même envers l'entourage.
La première jambe est passé, vite rejointe par la seconde, et les braies remontées en un léger coup de rein d'une élégance toute masculine jusqu'à la taille puis le lien ajusté, un côté de la chemise pendouillant par dessus tandis que l'autre est emprisonné. Le regard mauvais se pointe vers la châtaine.
C'malin... pis d'abord t'en as foutu quoi des tiennes de braies... C'ma faute s'tu laisses traîner tes affaires ptet?
Le blond ponctue l'ensemble d'un haussement d'épaules. C'est vrai ça, à la fin...