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[RP ouvert] Tout pouvoir est une conspiration permanente. *

Andrea_
Allez Zen, tout va bien. On souffle, on repasse la main dans les cheveux, on rajuste un peu le châle qui avait glissé le temps de l'étreinte avec le petit et... Berdollllll, non mais Berdol Louis la touche pas! Elle avait réussi à se contenir mais là... C'est de l'incitation au viol c'est...
Voilà, retire ta main... tout doux.
SAU-VéS.
Bon bon bon, on en était où ? Non parce que la Chiasse est au cent coups.
Ah oui, autant pour moi. Elle s'approche -mais pas trop, elle a retenu la leçon : au contact de Lou' tu t'enflammes, t'as jamais su te tenir en sa présence-.

Long silence, limite on entendrait un mouche voler. On va pas lui refaire du " je...tu...", ça ferait redondant, parler de la pluie et du beau temps? bah...


Bon, on va essayer de se comporter "comme il faut" ? On tente... mais je te garantis rien. On sait pas où on met les pieds, là, ni toi ni moi. Tu as ton blond, et j'ai Sande. Au moins ça, c'est clair non ? Merci, chapeau bas Lou' ! Même si la Colombe sait aprfaitement ou elle met les pieds là, ils sont sur le sol, même pas une houp' trop longue pour se prendre les pieds et se rattraper à ses bras musc... CHUT ! - faut même faire taire ses pensées, si c'est pas triste!-.

Bah non c'est pas clair. Dit comme ça ça fait un peu embrouille. Alors elle continue de marcher en fixant l'horizon avant de reprendre.
J'suis pas avec le Blond en fait. Cas-sé
Mais tout l'reste est juste.

ça ne serait pas un sourire en coin qui se dessine là ? Sisi regardez bien, juste là, au coin de ses lèvres. Ah mais oui.. Le petit sourire sourire satisfait. Désolé, elle tente de le ranger mais il reste là. Au moins pendant c'temps là elle dit pas d'conneries. Donc il doit pas être déçu le Brun, quand il l'interroge du regard. Et elle fond. Mais elle baisse pas les yeux, parce qu'il a dit " ne baisse jamais les yeux, JAMAIS". Alors elle reste là, s'attardant sur ses yeux, les petites ridules -pardon !- qui lui poussent au coin des yeux, son nez, ses joues, ses lèvres... Ses lèvres... ses lèvres.... BERDOL ! Ses yeux, son nez... et les ridules.
Elle enregistre cependant toute la suite, sisi ! tout-, le procès, la prison tout ça, s'abstenant bien de lui dire qu'elle, elle n'a pas eu de procès, ni de prison. Elle enregistre même le court instant où il ferme les yeux et secoue la tête. S'abstenant là encore de tout commentaire... ou pas - huhu-. La main de la Belle se pose sur le bras de Louis et, d'une voix mal assurée lance


Hey ! ça va pas ?

Bah quoi ? Il pourrait nous faire un petit malaise vagal, une hypoglycémie, il suffit qu'il n'ai avalé que douze tartines au p'tit déj et paf, ça vous claque entre les doigts ces choses là. Un Gaucher, ça becte ! et ça fait pas semblant.

Tu veux le voir tous les combien de temps, et comment on fait ? Tu es toujours par monts et par vaux, et je suis pas encore installé... Je cherche un endroit pour me poser. Ha, et là où je serai installé, pas de coups foireux. Tu sais que mon havre, c'est sacré, alors tu feras passer le mot, quand je t'aurais dit où on habitera. Je sais pas encore, j'ai pas arrêté mon choix.
Lou', j'sais où t'es la plupart du temps, t'es connu et j'ai un petit réseau pas dégueulasse et t'es encore là... Et t'es encore en vie donc tu crainds rien de ma part, si je l'ajoute c'est pour vous, parce que le Gaucher il avait bien compris l'allusion. C'est bien que tu te poses, j'y ai pensé aussi. Un peu de calme ne fait de mal à personne. Je veux l'voir autant que tu l'acceptes. J'peux même me mettre au vert pour ça. Et si l'un de nous devait reprendre la route, il suffirait de trouver un endroit sympathique où se rejoindre, du côté des ARPenteurs par exemple.

Et il soupire, discrètement mais quand même, si encore un souffle sort d'entre ses lèvres... ses lèvres... ses lèvres... Andréa ? 'Oui ? Ses yeux ! Ah pardon... Encore ce petit sourire en coin alors que ses yeux regardent ceux de son ancien amant.

J'aimerais être là quand tu le verras, tu as des exigences de ton côté ?
Que tu sois là. Pardon? Au début.J'préfère... Pour Nicolas. Pour Nicolas... Mais bien sûr, et la marmotte... 'Fin t'es son point de repère, donc c'est logique. ça se tient.


Un caillou roule un peu plus loin, et la belle se poste devant lui, l'obligeant ainsi à s'arréter - au pire il l'écrase-. Maintenant face à face, va falloir combler, la Belle!



Tu penses que c'est possible ?

Décontenancée, troublée tout ce que vous voulez. On l'a perdu il y a déjà un petit moment, et là, à moins d'un miracle, on ne va pas la récupérer... Pourtant elle a encore tant de questions ! Mais admirez m'sieur Dame, self control total !
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Le_g.
Bah non c'est pas clair.
J'suis pas avec le Blond en fait.
Mais tout l'reste est juste.


Un avalage de salive, un fermage de noeuils, un regardage plus loin, genre on va à droite ou à gauche après la maison avec le chat devant... et un Gaucher qui sait plus trop ce qu'il doit penser. P'té mais quelle chiasse ! Porte bien s'nom té ! Pourquoi elle peut pas être comme n'importe quelle femme ? hein ! Pourquoi ! La main sur son bras sera le coup de grâce ? Non, il va résister, on l'a dit il est buté, têtu, borné, et encore pire que ça. Vous saviez pas ? Bah elle, elle sait !

Hey ! ça va pas ?

Si ça va. Tu vas pas t'y mettre hein !

Ou comment l'envoyer paître ailleurs. Ou pas. Il la regarde, penchant la tête vers elle, faisant une rapide check list. Le coeur bat toujours, il respire toujours, il se tient sur ses deux jambes, et il a pas de dague planté entre les omoplates, tout va bien donc. Tout va très très bien. Il lui retire la main de son bras, mais pour ça, il lui touche la main avec la sienne... Ses doigts, si fins, si agiles, si.. Non mais non mais ça va pas recommencer ! Il s'invective tout seul, et non c'est pas le marasme ! C'est pire... une explosion volcanique... Il voudrait être à environ dix mille lieues de là où il est, ça serait bien ça... Lui, Sande et Nicolas, leurs amis, et tout le monde, en... Andalousie ! Mouais, il a pas tenté ça pour encore, faudrait peut-être...

Lou', j'sais où t'es la plupart du temps, t'es connu et j'ai un petit réseau pas dégueulasse et t'es encore là...

Là, il va éviter de la regarder, parce qu'il serait capable pour la première fois de sa vie, de frapper une femme. Il sait bien qu'elle a son réseau, il a le sien aussi. Il sait bien aussi que tant qu'elle savait pas où était Nicolas, tuer le seul qui pouvait lui dire où il était, elle aurait pas pris le risque.

J'suis pas si connu, et je ne me suis pas vraiment caché. On t'a bien passé le message comme quoi je l'avais "confié", non ?

Là, il se fout carrément de sa gueule, et la regarde avec un sourire en coin. Déa, je te hais ! Non, je te veux, là maintenant tout de suite ! Grrrr ! Je vais te tuer ! Non mais bon regarde ailleurs vieux, parce que ses yeux, ses lames bleutées que tu faisais briller sous les braises des tiens, c'est bel et bien fini.

C'est bien que tu te poses, j'y ai pensé aussi. Un peu de calme ne fait de mal à personne. Je veux l'voir autant que tu l'acceptes. J'peux même me mettre au vert pour ça. Et si l'un de nous devait reprendre la route, il suffirait de trouver un endroit sympathique où se rejoindre, du côté des ARPenteurs par exemple.

C'est ça, il s'ennuie à mourir rien que d'y penser qu'il se met au vert, que c'est en cours et il est déjà en manque d'action mais non, ils se mentent pas... Et c'est plongé en pleine réflexion entre le "se mettre au vert", le posage, et les arpenteurs qu'il a décrocher. Il a saisi les mots essentiels, mais il marche sans regarder où il va et forcément, vous allez comprendre pourquoi on l'appelle Le Gaucher, en dehors du fait qu'il utilise sa main gauche... il se cogne à la Chiasse.
Là, attention, l'action va aller très très vite, à la vitesse que vous pouvez tout imaginer, genre superman en action si si !
Il frôle les bras de la Chiasse, la bouscule, l'attrape pour pas qu'elle tombe, sauf que son équilibre à lui est clairement compromis, du coup, il tente de se mettre sur le côté, limite qu'il aurait fait un bond en arrière vu que sa tête lui dit qu'il faut pas la toucher, mais qu'en même temps il veut pas qu'elle se blesse, résultat, c'est lui qui fait une demie vrille sans le saut, et tombant lui sur le dos, plutôt que de lui passer sur le corps. Han ! Nan mais elle le fait exprès ? Il est positivement vert de rage.


P'té mais t'es con ? D'puis quand tu t'fous d'vant moi comme ça ! Chiabrenna !

Il se relève prestement. Non mais vrai quoi ! Elle abuse ! Elle sait bien qu'il est pas homme à frapper une femme, oui d'accord, c'est pas un brigand comme les autres, bah il est comme ça et pis c'est tout ! Code d'honneur, et tutti quanti, un vrai et pur emmerdeur.

C'tait quoi ta question ?

Même pas qu'il le fait exprès, juste qu'il a frôlé d'un peu trop près certaines formes et que son cerveau du haut comme disent les femmes est un peu... endormi, alors que l'autre... boudiou ! L'est bien réveillé lui ! Et Berdol de Chiabrenna ! Non non et non ! Il la hait, il aime Sande ! Il secoue la tête.
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Andrea_
Si, ça va. Tu vas pas t'y mettre hein !

Heu... Bah non alors. Elle va pas s'y mettre.
La Colombe redescend sur terre d'un coup d'un seul. Un peu plus et elle croirait qu'il l'envoie paître plus loin. Ce qui, entre nous, est un peu le cas. Mais il prend des gants : le Gaucher en mode "diplomate", c'est du grand art. Il prend des gants mais ne les porte pas encore, et ça, la Chiasse a tout le loisir de s'en rendre compte quand il lui prend sa main, pour l'enlever de son bras certes, mais il lui touche la main. Et de nouveau la bataille des sens, un mélange de " je t'aime", " je te déteste", "garde moi" et "part". Destabilisant, douloureux.
Il faut que ça cesse.


J'suis pas si connu, et je ne me suis pas vraiment caché. On t'a bien passé le message comme quoi je l'avais "confié", non ?


Oui mais non! Pas si vite ! Pourtant au fond d'elle, la Belle sait que c'est aussi bien comme ça. Pour tout le monde. Qu'il faut s'avoir laisser le passé à sa place, qu'il faut savoir oublier, avancer, s'incliner... Mais son corps, comme son coeur, ont décidé de se liguer pour lui prouver le contraire. Lynchée, et de l'intérieur. Heureusement, la phrase lancée par Louis calme le tout, et la Colombe attérit sans grand dommage.


Oui, c'est une brune qui m'a passé le message. Elle a pas réussi à savoir avec qui était Nicolas.

C'est peut ètre le moment de baisser les yeux, parce que là, elle a un peu honte, payer une branche de l'hydre pour obtenir des informations, même sans mauvaises intentions, c'est mal. D'ailleurs elle va baisser les yeux, laissons lui deux petites secondes. Elle va baisser les yeux, quand elle aura fini de contempler ceux de Louis, donc ça peut mettre un certain temps, surtout que ceux ci ont comme qui dirait quelque chose à dire... La chiasse est toujours aussi douée pour la traduction : yeux-pensées. D'ailleurs voilà ce que ça donne : désir - danger- alerte- baisse les yeux- je te hais- dégage.
Bon c'est pas du fiable à 100% mais c'est bien tenté non?

Sauf que la traduction a du prendre plus de temps que prévu. Qu'il a fallu à peu près une demi seconde pour que la situation vire au cauchemard -hahum-. Tout va très vite attention ! Le gaucher fait dans la gymnastique s'essyant à la demi vrille sans le saut, envoyant valser Andrea un peu loin, il lui touche le bras, ce qui donne une donzelle qui tente un pas chassé pour n'pas tomber avec un sourire sacrément niais, la Colombe reste de bout, non sans chanceler, le gaucher se ramasse en beauté sur le dos, et la chiasse au même instant lui jete un regard, alors que son esprit lui lance des SOS : " mais saute lui d'sus", le châle décide de se faire la malle pour tenir compagnie à la terre ferme. L'incident est clos. Louis est au sol, La Colombe debout avec une chemise cachant l'essentiel, tout est bien qui fini....


P'té mais t'es con ? D'puis quand tu t'fous d'vant moi comme ça ! Chiabrenna !
D'puis qu'c'est l'seul moyen pour moi d'te voir couché.

Alors là... On peut dire qu'elle a fait preuve d'un certain tact. Pendant que monsieur se relève, la Chiasse se félicite -intérieurement- de cette petite réplique, l'air se glisse rapidement dans sa tignasse, la sortant de la mini torpeur dans laquelle elle s'est mise tout seule - comme une grande-. Même pas qu'elle pense à s'excuser, elle en viendrait presque à se remercier du spectacle, tout en se maudissant de ne pas avoir profité de l'instant pour... pas grave, elle se rattrapera.


C'tait quoi ta question ?

Ah mais c'est une bonne question ! Elle n'en a plus aucune idée... Bête hein ? Pas grave. Elle ferme les yeux et hume l'air, elle sent... comme une pensée venue du Nord, une pensée qui fait mouche, sûrement sa blondeur Danoise. Non c'est vrai elle n'y avait pas pensé avant ! - ironie hein-.
La silhouette avance vers lui, ce ne sont plus des éclairs que lancent ses azurées, se perdant dans ceux -mordorés- du père, ils se font brûlants. S'approchant plus rapidement une fois qu'il est levé, la Belle se hisse vite fait bien fait sur la pointe de ses pieds - 's'agirait pas de lui laisser le temps de quoique ce soit -, posant une main sur la joue de Louis , elle lui pose vivement ses lèvres sur les jumelles masculines.

Aussi fugace l'instant sera t-il, croyez moi qu'elle aura apprécié, résitant à la boule qui déferle en son sein, elle se contente d'un baiser. Un baiser volé.
Volé au temps, aux autres, et même à lui.


'Pis il a une bonne raison d'lui en coller une maint'nant !

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Le_g.
P'té mais t'es con ? D'puis quand tu t'fous d'vant moi comme ça ! Chiabrenna !
D'puis qu'c'est l'seul moyen pour moi d'te voir couché.

En se redressant, pas qu'il prenne son temps pourtant, on a dit : prestement qu'il s'était relevé... sauf que par terre à en haut, bah il y a un milieu... et que sans le châle, les jambes fuselées, le... STOP ! ALERTE ROUGE Le Gaucher : Bouge de là, va voir ailleurs si l'herbe est verte, d'ailleurs elle l'est, verte, ta brune. SOS.

C'tait quoi ta question ?

Oui, mais non, tout va bien il l'aime pas, il la hait, il fait juste ça pour Nicolas. Il va finir par s'en persuader. En fait, non, il en est persuadé, le seul truc, c'est que... ses sens eux, ils disent pas pareil que sa tête. Mais il ...

Baiser voler.

Hein ? Stop ! En arrêt sur image le Gaucher. Ca, il l'avait pas vu v'nir. Il s'attendait à tout pourtant, larmes, engueulade, dagues, ou encore cris, mais ça... pas ça... Il en reste muet, et la regarde, tout en la tenant à distance en lui posant les mains sur les épaules, la regardant. Il va pas dire qu'il est pas flatté, quel homme le serait pas hein... mais il avait pas prévu c'coup là. Laissant une main sur l'épaule d'Andréa, pour la maintenir à distance, bras tendu voyez, genre : reste là, dégage, bouge pas, m'approche pas... alors que l'autre main se porte sur ses propres lèvres. Il pourra pas nier qu'il a aimé, c'est un peu trop... visible. Mais Berdol !


Tu... tu m'fais quoi là ?

Il a le souffle court, il arrive plus à réfléchir, il faut qu'il arrête avant d'aller trop loin, il sent que.... il crève d'envie physique, mais lutte, il la déteste, perdu, complètement perdu, tel un jouvenceau, le Gaucher. Tiraillé entre promesse, haine, amour, raison et déraison, il se redresse, et regarde l'horizon, pour tenter de remettre sa tête à fonctionner et pas laisser ses sens prendre le dessus, parce que là, il serait bien capable de la prendre là, tout de suite, dans la rue, tellement il... Berdol de Chiabrenna ! Il est fiancé, il va être papa, ça suffit les conn'ries. Il est avec Sande, et il l'aime. Pas envie qu'elle vienne encore foutre le bordel dans sa vie, la chiasse.
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Andrea_
Berdol que ça soulage, elle s'apprête à rayer : " embrasser Louis" de sa liste mentale des choses à faire., pour finalement se raviser, pas vu pas pris, si elle ne le barre pas, elle sera obligée de le refaire. Un jour. Quand ça sera moins douloureux de se décrocher des lippes gauchiennes. Donc pas pour tout d'suite. En entendant, les mains du gaucher sur les épaules de la Colombe, elle l'observe, se préparant à toute éventualité, résistant à l'envie de : rester- partir- bouger - s'approcher, se contentant de.. ne pas bouger. Oui ça paraît bien ça.

Tu... tu m'fais quoi là ?

Mais c'est la journée des bonnes questions ! Un " ri meque" d'autant en emporte le vent quelle question ! Et puis au passage hein, elle est contente de voir qu'il n'y a pas qu'elle que ça trouble et qui cherche ses mots... M'enfin elle serait plutôt mal placée de se moquer parce que...

Heu... Bah... j'avais envie.


Pas mal La Chiasse ! On avait dit quoi ? Maîtrise de soi ? Contrôle de sa personne, mais BERDOL, tu l'auras jamais ce trophée ! Au moins ça dégueule d'honnêteté, on pourra pas lui reprocher.
Les doigts opalins se posent sur ses propres lèvres, son goût n'a pas changé. Elle aurait donné cher pour qu'il soit repoussant !
La Colombe tente de se persuader. Oui, l'autopersuasion ça marche pas mal il paraît. Répète après moi : " il n'est rien. Enfin que le père de ton fils. Il t'énerve, tu l'supportes pas. Il va être papa, il va se marier. Ton coeur se trompe." Oui bon, c'est jamais arrivé que son coeur se trompe mais on sait jamais...



J'y peux rien si tu m'fais toujours cet effet boeuf ! C'est bon Andrea, on a compris.
Et j't'aime, j'y peux rien. Mais FERME LA bon sang !
Alors déteste moi, frappes moi même si ça peut te soulager. Mais t'as pas eu l'air de détester non plus hein...

Bon... ça c'est fait aussi... point suivant ? Louis? des Suggestions?
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Le_g.
Là, il est l'heure de mettre son cerveau en action... Et regardez pas les braies, rien à voir, c'est de ce qu'il a sous le chapeau qu'il veut parler ! Bon, les solutions... ha heu, mais non, elle parle, alors bon, il est là pour l'écouter, il va écouter hein.

Heu... Bah... j'avais envie.

Oui bah, ça, il l'avait deviné tout seul té ! Elle le prend pour qui ? Il avait quand même compris ça, et ce qui suit, c'est pas mieux, ou pas pire...

J'y peux rien si tu m'fais toujours cet effet boeuf !
Et j't'aime, j'y peux rien.
Alors déteste moi, frappes moi même si ça peut te soulager. Mais t'as pas eu l'air de détester non plus hein...


Qu'est-ce qu'il peut répondre à ça ? Qu'elle est toujours aussi attachiante ? Qu'il veut l'embrasser et la frapper en même temps ? NON ! D'abord il veut pas l'embrasser ! Ses lèvres pulpeuses, même pas en rêve, leur goût cerise non plus ! Oh p'té, mais pourquoi hein ? Lui qui a tout fait pour se tenir tranquille, sage et tout et tout, il est pris au piège de quelque chose qu'il maîtrise pas, et ça Grrrrrrrrrrrrr ! Ca risque de donner du Gaucher de fort bonne humeur, tous aux abris, ça va swinguer !

Il lui attrappe la main, l'entraîne dans une ruelle sombre, la plaque contre le mur et se colle à elle, ses mains contre les murs de la bâtisse délabrée qui obscurcit la vue et les soustrait aux yeux de beaucoup. Les ruelles... comme avant. Il la regarde dans les yeux.


J't'ai d'jà dit qu't'es chiante ? J'ai jamais frappé une femme, t'es bien placée pour le savoir non ?

Fou de rage, de désir, de haine, tout ça à la fois, autant dire que là, on oublie le diplomate direct, c'est du Gaucher en action qui risque de surgir des réminiscences du passé.

Et là, planquez les enfants, cachez tout, il reste plus qu'eux dans cette ruelle sombre, et il se penche sur elle, la fixant dans les yeux, son souffle faisant danser les mèches rebelles qu'elle a jamais su dompter. Sauvagement, il lui prend la bouche les lèvres, l'embrasse sans chercher à savoir si elle veut ou pas, limite que là, vaut mieux pas s'approcher, il est loup, elle est sa proie. Il lui mord la lèvre inférieure, et se détache d'elle.


Je te hais ! Tu n'es qu'une sale garce !

Très cohérent ! Bravo ! Lui qui est supporte pas les mensonges, il lui en sert un beau, vu que tout dément ses propos.

T'vas pas réussir à m'faire déroger à ma promesse. J'l'ai faite à Sande. L'honneur, la colombe, c'tout c'qui m'reste... et ma parole d'honneur, j'veux pas y déroger. Dégage !

Ou comment se chercher une excuse, un prétexte, un faux fuyant, bref tout ce qui peut l'aider à la jeter alors qu'il est à deux doigts de prendre ce qu'il pourrait fort bien considérer comme son du. Un goujat, voilà ce qu'elle le fait devenir.
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Liselle.
j'l'avais prév'nu ! ça f'sait un moment que j'les r'gardais tout les deux

furax contre ce con de type

j'lui f'sais confiance !

j'm'approche et l'tire par l'bras pour l'écarter d'la chaudasse et mon poing part en direction d'la face du gars
Le_g.
L'arrivée d'une tierce personne ne le surprend même pas. Mais elle doit pas trop surprendre la Colombe non plus. Les ruelles glauques, c'est leur monde, celui d'où il sort, celui où il retournerait s'il se laisser aller. Avant de le bouger, faudrait avoir la force de le faire, dont il reste très collé-serré contre la chiasse, et s'il sent le coup venir, il n'arrive pas à l'esquiver par contre, ce sera donc un coup de poing au niveau de l'épaule, vu qu'il est de dos, et qu'il ne peut pas le parer. Se protéger et protéger la mère de son fils contre un agresseur qui arrive dans l'ombre, voilà la seule chose qu'il a en tête en se retournant. Voyant qui est l'agresseur, il hésite entre l'éclat de rire et lui mettre une beigne, mais bon c't'une femme.

Il esquisse un sourire en coin et regarde Lis.


S'lut, on vient visiter les bas quartiers ? T'sais que c'est dangereux pour les oies blanches, les ruelles glauques ?
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Liselle.
y s'fout d'moi en plus

j'le r'garde dégouté envi d'vomir d'vant les deux


sur qu'c'est pas d'l'oie blanche qu'tu tiens collé serré mais j'en c'nnais une qu't'approche plus après t'être souillé 'vec ça
Le_g.
Il la regarde et esquisse un sourire en coin, attrapant les mains de Liselle, et la maintenant fermement.

Comme tu dis, c'est pas de l'oie blanche.


Il part d'un éclat de rire en regardant la Colombe.

J'te présente Liselle, une amie d'Sande.

Puis, il se retourne vers Liselle, un sourire carnassier aux lèvres.

Pas très malin de ta part de me menacer, alors que tu es seule, dans un monde qui n'est pas le tien.

Tranquillement, il la traine pour s'enfoncer plus avant dans la ruelle, là où les maréchaux ne viennent pas la nuit, là où ils "passent" presque en courant en journée...

Amène-toi la Colombe. Bienv'nue dans mon monde Liselle, Alors toujours aussi sûre que tu vas aller jacqueter à Sande ? Tu vas lui dire quoi exactement ? Si tu parles, je le fais aussi... Tu te souviens, cette conversation qu'on a eue en tête à tête, toi et moi...

Bouh qu'il est mauvais ! Bah on l'avait dit, z'étiez prévenu, il était loup, et il avait sa proie, et là, il a dans les pattes un tout autre type de proie, pas celle qu'il voulait, même si forcément, ça calme ses ardeurs.
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Liselle.
l'a les ch'tons on dirait le Track

moi aussi j'souri en coin et j'le laisse emmen'er la ou il veut


qu'est t'en sais c'est pas l'mien ?

cause autant qu'tu veux à ma belle

l'premier qui l'voit dira c'qui l'a a dire

t'es pres a assumé ça ?
Andrea_
Les révélations de la Chiasse ont au moins le mérite de le faire taire. Mais seulement taire. Rapidement elle se retrouve collé contre un mur, collé ou plutot écrasé entre le dit mur et le gaucher. Sa chaleur, la proximité, et le souvenir. C'est marrant, ça a un petit goût de déjà vu, plusieurs fois même, mais c'est toujours aussi plaisant, s'il croyait qu'elle allait se débattre, autant vous dire qu'il s'est trompé. Il ne tardera pas à s'en compte... Le regard est brûlant, la respiration halletante, et le souffle de Louis sur son visage ne fait qu'attiser le feu qui la consume depuis un moment déjà.

J't'ai d'jà dit qu't'es chiante ? J'ai jamais frappé une femme, t'es bien placée pour le savoir non ?
Tu m'as déjà dit tellement de choses...

Bien sûr la voix est rauque, bien sûr la phrase est murmurée entre ses lèvres, et pourtant... Bien sûr qu'il lui a déjà claqué le plat de la main contre... Hein? quoi? Oui pardon, hors sujet.
Parler, murmurer, susurer pour ne pas penser. Ne pas penser à son torse qui s'élève, à son coeur qui bat si fort contre la poirtine de la Colombe. Ne pas penser à ce mollet qui instinctivement remonte contre la jambe du Brun.
Sauvagement le baiser est repris, et l'ardeur avec laquelle la Belle y répond ne laisse aucun doute, prolonger cet instant, quite à y perdre des couleurs tellement le souffle est saccadé, l'étreinte violente, passionnée. Comme avant...


Je te hais ! Tu n'es qu'une sale garce !

Comme avant ou presque, parce qu'autant ils avaient des pratiques qui ne regardaient qu'eux - et les écumeurs qui avaient l'ouie chatouilleuse, ou les visiteurs des tavernes qui ne frappaient pas avant d'entrer-, autant jamais il n'avait eu ce genre de propos. La Chiasse profite même qu'il ai les mains bien en hauteur pour glisser une griffe dans l'encolure de sa chemise, arborant un léger sourire qui ne laisse aucune interrogation sur le fait qu'elle avait apprécié.

T'vas pas réussir à m'faire déroger à ma promesse. J'l'ai faite à Sande. L'honneur, la colombe, c'tout c'qui m'reste... et ma parole d'honneur, j'veux pas y déroger. Dégage !

Léger soupir de la Colombe, qui ne résiste pas à l'envie d planter son ongle -mais doucement, il ne s'agit pas de faire des marques- et de descendre un peu, pour finalement souffler

L'honneur, Lou', c'est pas l'honneur qui fait de toi un homme. C'est ce que tu es... heu...

Heu... La Colombe dans une moue légèrement moqueuse regarde Louis, puis son torse, avant de remonter vers les mains de l'homme qui l'encadre toujours, histoire de lui faire comprendre qu'elle "voudrait" bien lui obéir et partir mais que.... 'fin, même avec la meilleure volonté du monde, elle pourrait pas. Ce qui tombe franchement bien -entre nous- parce qu'elle n'en a pas envie.
Nous ne saurons pas tout de suite si c'est une bonne ou une mauvaise chose qu'une tierce personne se pointe. Le coup ayant rapproché l'espace d'un instant le duo Colombo-Gauchien, la Colombe croyait voir venir pénitence. Méritée, la pénitence...

Mais c'est dans une moue de surprise que la petite tête Chiassique fait son apparition, histoire de voir qui ose déranger le loup en pleine crise boulimique, et accessoirement la Chiasse affamée.
Non, elle n'est pas vraiment surprise, elle n'a pas grandi dans les ruelles sombres mais elle prend l'habitude depuis des années maintenant de s'y promener, surtout le soir d'ailleurs. Alors effectivement, elle ne l'avait pas entendu arriver, mais on lui pardonnera puisqu'elle avait totalement la tête ailleurs.
Vient ensuite l'instinct de survie, bien qu'il soit de renommée Royaumale que la Belle est suicidaire, et donc la Colombe se contente de rester à sa place, esquissant un sourire en entendant Lou' parler.
La conversation des deux tournant rapidement au salon de thé, La Colombe exagère un baillement des plus béats jusqu'à ce que son nom soit cité


C'est pas d'l'oie blanche c'est d'la Colombe, ça t'tente?


Forcément un sourire s'affiche ,forcément le registre change et la Colombe n'aurait pas parié un écu sur l'identité de la visiteuse. Mais forcément, une amie de Sande, ça la laisse songeuse. Suivant rapidement Track et la donzelle, le trio s'enfonce, et la Chiasse en vient même à regretter d'être sortie sans dague.
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Le_g.
Il esquisse un sourire amusé en regardant la petiote.

Oui, et toi ? Contrairement à ce que tu penses, j'ai pas trahi ma parole envers Sande. Mais ça, vas-y, cours lui dire, petite visiteuse... Tu vois, je pense qu'elle ne te croira même pas. Une femme qui aime les femmes, ou son homme... A ton avis, qui va-t-elle croire ? Surtout qu'il s'est rien passé, tu pourras lui raconter quoi ?

Un grand éclat de rire, et il la relâche, restant pour sa part avec La Colombe, et retournant à son affaire du moment avec la mère de son fils, se retournant pour lancer une dernière pique à l'oie blanche.

D'ailleurs, t'étais pas supposée la rendre accroc à tes lèvres ? Faut croire que t'es même pas capable de te taper une cible. Demande-toi si finalement, c'est pas ta faute tout ça...

Machiavélique ? Non, si peu ! Disons que juste, ils ont échangé quelques missives, et que l'oie blanche avait dit : tu as pris la femme que j'aime, je te prends la tienne, ce à quoi il avait répondu : amuse-toi, fais-toi plaisir. Son regard fauve plonge dans les lacs acier glacés de la Colombe.

Bah oui, t'as fait appel à l'hydre, j'ai laissé cette petite s'amuser, elle n'est pas à la hauteur, il semblerait.
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Liselle.
moi je rigole je me bidonne même

t'crois ?

j'vois qu'tu prend l'pari d'la perdre ma belle

j'te laisse les fond d'pot m'interresse pas

j'vais trouver un ptit endroit bien pour qu'elle ai son bébé t'inquiète

la connaissant tu d'vrais pas être dérangé comme avec celle la

t'en entendra plus parlé ni d'elle, ni du ptio a v'nir


j'passe d'vant les deux

sur pas a la hauteur d'ta chaudasse allumeuse

j'pars qu'il y croit et qu'il continu avec l'autre

y semble pas bien connaitre ma belle lui
Andrea_
Salon de thé c'est pile le mot. Elle repense non sans un sourire au mi-roux en soubrette, les fesses à l'air un soir d'hiver. Il aurait été ravi de faire le service !
Mais c'est fou ce qu'on apprend comme chose dans un salon de thé. La Belle se promet même d'y aller -un jour-, peut-être que même les mercenaires aiment faire les plans de leurs futurs coups foireux autour d'une tasse de pisse mémère accompagné de deux gateaux.
C'est donc perdue dans ses pensées qu'elle écoute -entend serait plus juste- ce qui se trame à côté. Mais c'est joyeux en plus ! La donzelle présente - et que la chiasse reluque sans ménagement- aime donc les femmes... Pauvre royaume.-hahum-. Léger regard vers les mains emprisonnées de Lise entre celles du gaucher, et pour la première fois, elle est bien contente que ça ne soit pas ses mains, le Gaucher a de la force et la Colombe se repaît de la sensation pseudo-désagréable que doit éprouver la visiteuse.

Un éclat de rire bien vite étouffé dans l'épaule de Louis, alors qu'il parle de "capacité à se taper une cible", vous pouvez pas comprendre c'est dans sa tête, même moi, parfois, j'ai du mal. Elle relève la tête alors que visiblement, le Gaucher vient de répudier l'imprudente. Imprudente prise d'une soudaine envie de mourir qui se barre en insultant la Colombe, qui, proche de Louis ne fera rien d'autre que serrer les dents et lui adresser un grand sourire.

Puis nouveau les lacs aciers rencontrent le regard fauve.


Bah oui, t'as fait appel à l'hydre, j'ai laissé cette petite s'amuser, elle n'est pas à la hauteur, il semblerait.
Il semblerait. Y a du dressage à faire. Un sourire malicieux alors qu'elle repense au don de dresseur de son mari, qui avait presque réussi à assagir la Chiasse. Puis le menton s'abaisse, la main laiteuse se poste contre le torse du Brun, le poing se fermant doucement pour emprisonner un pan de chemise, et un murmure s'échappe...

Lou', elle a raison... Je suis désolée.
Oh puis mince... Le menton s'relève pour planter en direction du Gaucher un regard décidé, et la voix mal assurée reprend de plus belle

J'suis désolée ! J'suis désolée parce que j'ai aimé.

Et elle a aimé. Le baiser volé. Le baiser repris. Ses mains sur sa peau. Le doux souvenir du passé... Le regard se voile mais elle ne baisse pas les yeux. Berdol qu'elle est faible devant lui.

J'lui mettrais des baffes!

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