[RP] Au nom de la Rose: le jardin des simples

La Rose: des pétales douces et soyeuses. Qui cachent de larges épines, piquantes et redoutables pour celui qui veut la déraciner.
Le chat: des pattes de velours. Qui cachent en leur seins des griffes acérées non moins redoutables.
La fleur préférée et l'animal l'accompagnant. Ses deux "emblèmes" reflétant bien son caractère. Polie et sage. Mais qui peut sévir si l'on cherchait sous la surface.

Seul un homme avait pu la dompter. Il avait fait s'épanouir la fleur, avait fait multiplier les pétales, la rendant plus douce. Et puis le jardinier de sa vie avait périt, laissant flétrir la Rose. Pauvre Rose fanée, laissée à elle-mesme. La tige était restée malgré tout droite, laissant ses épines à nu. La fleur était devenu telle une ortie.
Malgré tout, la plante avait fait deux pousses, laissant croire qu'elle n'était pas totalement morte.
Et en effet, un beau jour de printemps, la Rose principale bourgeonna de nouveau.

Oh, bien sur, ce n'était pas une rose bien ouverte, mais elle était là, présente. Petit bourgeon, faisant apparaitre de nouveau un peu de vie parmi les épines.
A l'abri de tous, sauf de son professeur, mais néanmoins ami, évidement, elle s'était formé. La fleur avait repris consistance. Elle était ainsi devenue infirmière.
Et celle qui avait toujours aimé la nature, la forest, la flore et la faune, avait enlevé quelques bosquet de son jardin. Elle n'avait pas touché à la Roseraie évidement, cela aurait été un sacrilège pour elle, surtout qu'elle la trouvait déjà trop petite à son goust (c'était ce qui lui manquait le plus de ses fiefs: la grande roseraie de Fraize), mais des plantes qu'elle entretenait furent délogées. Elle voulait créer son jardin des simples.

Il fallait réfléchir à la disposition des plantes : leur nécessité d’ensoleillement ou d'ombre, d'humidité ou au contraire d'un air et d'une terre sèche.
Il fallait aussi y intégrer judicieusement des herbes aromatiques afin que celles-ci servent d’insecticide.

Elle confectionna donc de petites étiquettes avec le nom des plantes qu'elle souhaitait et qu'elle déplaçait sur le plan du jardin ,qu'elle avait préalablement réalisé, au fur et à mesure des contraintes des unes et des autres.
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Créatrice de fresques et de portraits

Mamaaaaannn

Un cri couvrit par braillement sonore et strident, Enguerrand ne voyait plus rien marchant un pas devant l'autre faisant bien attention, nonchalamment alors qu'il avait sa petite soeur dans les bras. Lui par fort grand, la petite lui donnait bien du mal et lui gâchait la vue. Mais qu’est ce qu'elle était louuuurde. La petite, hurlait à plein poumon alors qu'il avançait

Ca va chuuut Ali est rien

Il arriva après de rude effort près de çà maman dans le jardin il la voyait au loin et déposa ali

Ali est tombé, vite elle aigne

Le genoux de la petite avait une écorchure. La voie d'enguerrand était triste et masquait mal son inquiétude de grand frère. La petite avait voulu joué les grande et mal retombée. Il frottait les épaules de sa petite sœur pour la rassurer inquiet de se faire gronder par sa maman n'ayant pas osé la déranger plus tôt dans le jardin s'étant amusé avec un bout de bois à s'imaginer un cheval et galoper dans leur maison quand sa soeur galopait pas loin.... mais c'était vite arrivé, combien de fois lui était tombé ? Beaucoup et il tombait encore trébuchant si et là entre deux cris, une écorchure, un bisou magique de maman et c'était repartit.

Son regard se posa sur les mains de sa maman, qui était noire de chez noire

Qu’est que t'a maman? C'est quoi ?

Demanda t'il curieux intrigué par l'aspect de ses mains

La lavande. Elle ne poussait pas habituellement sous ces latitudes, mais Yarwelh en voulait absolument. Pas question d'y échapper, Et vu que cela serait la plante la plus difficile à faire pousser, il fallait commencer par la placer sur le plan afin qu'elle ai la meilleure place. Il lui fallait de la chaleur et du soleil. Elle la plaça donc le plus au sud du jardin pour le soleil et le long de la maison afin que les plants profitent de la chaleur que la construction dégageait.
Ensuite, elle sépara les espèces selon la variété de sols dont elles avaient besoin: sec et aride, humide, drainé ou au contraire argileux. Elle les classa aussi en fonction de la lumière nécessaire pour leur développement: plein soleil ou mi ombre. Ainsi la mandragore, le pavot, l'achillé et la sauge furent placées non loin de la lavande, tandis que le chou rouge, la presle, ou la menthe poivrée furent rassemblées.
Il fallait aussi y ajouter des plantes aromatiques dans les différents massifs afin que celles-ci servent d'insecticide, en sus d'agrémenter les plats. C'est ainsi que la marjolaine, l'angélique ou encore la vigne rouge furent déplacées dans d'autre massifs, voir en former d'autre.
Les étiquettes étaient donc enlevées et remises ailleurs au fur et à mesure des changement sur le plan du jardin que la jeune femme avaient fait.

Une fois ses massifs formés et les placements acceptables, elle les fixa de sorte que les enfants ne risquent pas de les faire tomber sans le faire exprès.
Et enfin, elle put s'atteler à la tasche et aller dans le jardin préparer celui-ci.
Bien sur, elle ne planterait pas tout d'un coup et tout ne pousserait pas aussi vit qu'elle le souhaiterait, mais au moins elle pouvait commencer.

C'est ainsi qu'elle mit les mains à la pastes. Pardon, à la terre, et qu'elle entendit cri et pleurs. Elle soupira avant mesme de voir son fils.
Quand celui-ci arriva, elle paniqua. Non pas à cause de la blessure de sa fille, une simple égratignure d'enfant, mais parce que son frère à peine plus grand qu'elle la portait dans ses bras. Il risquait surtout de tomber, entrainant sa sœur dans la chute, et de tomber sur elle. Et là, les degast risquaient d'estre bien plus important.
Elle s’empressa donc d'essuyer vite fait ses mains sur ses braies et de récupérer la petite. Elle désinfecterait la plaie dès qu'elle aurait les mains propres.
Mais pour les nettoyer elle devait rentrer dans la maison. En y allant, elle répondit à son fils.

C'est de la terre. C'est pour que les plantes puissent grandir. Et quand elles seront grandes, on les cueillera pour en faire de la tisane ou des pommades qui guérissent les gens. Et chaque plante à sa vertu. La lavande par exemple permets de mieux cicatriser les plaies comme celle d'Aliénor si les bisous magiques, les bisous guéritou ne suffisent pas. Ainsi les médecins pourront venir me voir, me demander de l'huile de lavande, je leur en fournirais et ils pourront soigner les gens.

Mais c'est pas pour tout de suite. Les plantes que j'ai sont encore trop petites pour estre cueillies et puis il en manque plein.
Je vais d'ailleurs ramener certaines d'Italie car on ne les trouve pas toutes ici.

Ce voyage finalement tombait le mieux du monde.
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Créatrice de fresques et de portraits