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[RP] Chroniques de la famille De Raveline & Co.

Lorrenzzo


Cira perdit pas un instant pour se glisser au chaud sous l'édredon épais qui couvrait la petite famille. A croire que même s'il ne lui avait pas proposé, elle serait venu quand même.
Il sourit, il avait perdu l'amour de sa femme, mais retrouvait un peu de chaleur au fond de son coeur.
Cira à peine installé contre lui se mit à débiter une tonne de question. Enzzo la regardait les yeux pleins de tendresse, et sourit.


Oula, oula, oula... doucement belle enfant....
Alors mes poissons, oui j'en ai déjà mangé quelques uns mais les autres, je les ai salé pour les conservés, donc ils ne sont plus frais, ils n'auraient je crois pas survécu au voyage.


Un court instant de silence, Enzzo gigottait de plus en plus signe du réveil imminent qui se préparait

Ils sont en bas, dans le garde mangé, j pense que Tantine s'en est occupée. Et s'il va dormir encore longtemps? Nan j'en doute dans un instant il va se réveiller.


Sitôt dit sitôt fait la crevette ouvrit les yeux, regardant son père, visiblement surpris mais pas mécontent d'être toujours collé sur son torse. Le temps de comprendre où il était, de frotter ses yeux pour s'adapter doucement à la lumière.
Tour du propriétaire, rapide, il lui semblait bien avoir entendu une voix, et pas celle de sa mère. ça y est il trouve cette tête qu'il ne connait pas beaucoup trop jeune pour être une mère, la regarde longuement s'interroge pendant que son père reprend la discussion, comme si rien n'y faisait.

Ben voilà j crois que cette fois c’est fait, il est réveillé... et des gens j'en ai vu, beaucoup, c’est peut être exagéré mais quelques uns tout du moins, des jours plus et d'autre moins. Mais des gens bien.... Un jour peut être j pourrais t emmener et te les présenter.
Dis moi, t'as perdu ta gourmandise toi? ou.... On file déjeuner?


Enzzo fit un bisou, sur le front d'Esteban et le déposa dans les bras de Cira.

Tu m'le garde un instant le temps que je me fasse présentable?


Enzzo, qu avait l'habitude de dormir nu était pas mécontent d'avoir la veille d avoir trouver la seul paire de braies pyjama qu'il avait. Il se leva alla jusqu à la salle d'eau, plongea sont visage dans l'eau glacé, pris la chemise qui trainait là, histoire e se couvrir et repris sont fils, pour lui faire sa toilette.


ET voilà, nous sommes prêt... on file voir se que nous a préparé Tantine?

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Toujours prêt pour un RP, MP moi
--__esteban.


Esteban avait passé une nuit un peu agitée, ses parents avaient toujours été des vagabonds, mais avant les jeunes freluquets avaient au moins les moyens de se payer une charrette. Le temps de la richesse et du confort semblait belle et bien fini,il avait au moins comme réconfort de se retrouver bercer dans les bras de son père.

Étrange idée qu'avait celui de le poser sur sa poitrine dénoué de seins, se demandant bien ce qu'il pourrait bien trouver à becter là. D'autant qu'il lui avait déjà depuis quelques temps privé de la chaleur du corps d'une mère pour le troquer contre un biberon, rien à voir mais il avait fini par s'habituer, et en bon feignant, il préférait ça que de devoir avaler à la cuillère des assiette de purée de toute couleur.

Toujours est il que on ne sait comment, plusieurs heures plus tard le bébé se réveilla, sans ouvrir les yeux, toujours contre la peau de son père, ça bougeait plus.

Pis cette vois là... c'est quoi cette voix???? pas celle de ma mère... mais qui qu'est là dans le lit de mon père, il n y a toujours eu que ma mère.

Au pris d'un effort sur humain Esteban fini par ouvrir ses petits yeux que les rays de soleil encore timides venaient lui piquer. Une grimace, il cligne des yeux pour essayer de s'adapter à cette lumière, reconnait la tête à son papa.

Étrange, on est à la maison, pourquoi il ne m'a pas collé dans mon lit comme d'habitude. J'vais pas m'en plaindre j suis mieux ici, mais quand même y a un truc bizare. Pis cette voix c'est quoi????

Les yeux se sont un peu près habitués à la lumière, il fini par bougé et se tourner vers la voix, qu'il ne connait pas mais qui semblait sans danger, il lui fit un sourire. Très vite Esteban avait compris qu'avec un sourire il achèterait n'importe quoi, alors forcément il s'en privait pas des sourires à tout va.

Tiens voilà qu'il bouge... mais où tu va papa ... Un jour faudrait que j pense à parler quand même, j ai passé mes 1 an, alors me contenter de brailler quand j ai fait c’est un peu court. Faim... d'ailleurs puisqu'on en parle, commencerais à avoir faim moi. Bon j'vais pas me mettreà beugler maintenant, j suis dans les bras de la fille, à peine rencontré si j lui crie dessus, elle va pas aimer, j vais m agiter un peu qu'elle comprenne que c'est bon j suis réveiller, et qu on peut aller manger.

Le petit monstre agite ses jambes et gigote près à partir à 'assaut de la vie, jusqu'à ce que son père finisse par le récupérer et laver ses fesses. Ce qui était très bon signe parce que ça sentait bon l'heure de ses remplir la panse tout ça.
Une fois rangé les miches toutes propres, Esteban se laisse habillé par son père délicat, il l'embêta bien un ptit peu, gigotant les jambes et les bras dans tous les sens sans cesser de rire.

Yoouuhhhooouuuuu fini 'est l'heure de la bouffe!!!

Cira


L'enfant avait gardé la crevette le temps que son oncle se prépare. Elle était sympa la crevette, un peu boulotte mais sympa. Elle lui rappelait son petit frère Luka qu'elle prenait souvent dans ses bras une fois bien installée dans le gros fauteuil de son père.

Bébé dans les bras qui commence à s'agiter, elle qui commence à avoir faim, vivement que son oncle revienne. Et puis voila c'est le cas et là voila libérée de la masse enfantine. Libérée mais pas assez pour pouvoir filer manger avec son tonton. Maintenant c'était au tour de la crevette de se faire belle. Hum...faim...patience...patience...


Et voilà, nous sommes prêt... on file voir ce que nous a préparé Tantine?

Ouip ! J'ai faim, j'ai faim, j'ai faim !

Dans un grand sourire, l'enfant sauta du lit et ouvrit la porte à la volée avant de dévaler les escaliers sur ses courtes jambes.

TAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNTIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE ! ! ! ! ! ! ! ! !

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Lorrenzzo


Enzzo sourit en voyant Cira, elle et son sale caractère d'enfant surement trop gâtée, mais... elle en avait sans doute bien besoin, la vie ne l'avait pas épargnée.
En attendant la voir avec son fils le gardant gentiment près d'elle ne faisait que confirmer ses pensées, pas facile certes mais un cœur immense.
Enzzo se remémora les premiers jours, où malgré tous les efforts qu'il faisait Cira était fermée. Faut dire, c'était pas trop le moment, la retraite de Bay lui pesait, pis lui il débarquait comme ça, alors qu'on ne l'attendait pas.
Il lui aura bien fallu 10 jours pour l'apprivoiser, se faire accepter, mais le temps, la patience, la bienveillance peut-être avit fini par rassurer la belle qui acceptait les bras de son tonton pour faire un câlin.

L'appel du ventre se faisait sentir, aussi bien pour Esteban que pour la petite plus une minute à perdre, Esteban collé dans un bras pris la main de la demoiselle et partit en courant en claquant la porte.



Yoooouuuuhhhoooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu TANTINNNNNNNNNNEEEEEEEEUUUUHHHHHHHHHHHH On a faim!!!!!


Enzzo n'avait pas très faim, mais pour hurler dans les couloir, il avait toujours une bonne raison, son fils le regardait avec un drôle de regard qu'il ne su interpréter.
Soit il le prenait pour un fou... Soit il commençait déjà à se demander où pouvait bien être sa mère. Enzzo ne releva pas, fit comme si de rien et fila à toute allure rejoindre les cuisine et coller un bisou à Génie et se mettre à table pour dévorer un bon ptit déjeuner

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Toujours prêt pour un RP, MP moi
Lorrenzzo


Enzzo s'était efforcé de manger et de sourire mais le cœur n'y était pas, mais pas du tout.
Il regardait son fils, insouciant avec admiration, pensant qu'il trouverait bientôt le temps long sans les bras de sa mère. Que lui dirait-il quand viendrait le temps des questions?

Sourire au moins de parade affiché sur les lèvres, il pensait au temps qui passait, à ce petit bout de lui qui grandissait ressemblant de plus en plus à sa mère. Restait encore à se forger son caractère, et sans se faire de fleur, Enzzo espérait lui en avoir filé un peu.

Le soleil était déjà haut dans le ciel, et encore assez fort pour combattre le froid qui s'installait, donnant au fond de l'air une atmosphère clémente.
Il pensa un moment rejoindre la chancellerie, se plonger dans les paperasses de ses ambassades, puis renonça. Il voulait pas laissé filé le temps, il voulait profiter de son fils encore... encore... tout l'temps.

Esteban lui avait dévoré, devant son père médusé de voir tout ce que ce petit bonhomme pouvait ingurgiter. Cira qui laissait pas sa part au chien non plus, elle grandissait, prenait des force pour aller travailler, puisque la demoiselle avait décrété que l'école n'était pas pour elle.

Il se leva, d'un coup, Esteban avait fini de mangé, visiblement repus fit une bise sur le front de Cira, et alla débarbouiller son fils avant de s'offrir un belle ballade entre homme. Esteban qui commençait à vouloir galoper, aimait les sorti au grand air, et Enzzo ne s'en privait pas, un moment seul, juste lui et lui, essayant de se retrouver, trouver les réponses qu'il n'aurait peut-être jamais, chercher à comprendre sans fin, même si... il se faisait plus de mal que de bien.

Il prit son fils dans les bras, disparu et fini par sortir de la propriété

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Toujours prêt pour un RP, MP moi
Charles_de_raveline


Charles avait un large sourire sur ses lèvres. Fiorella frétillait d'imagination pour le plus grand plaisir du jeune homme. Cependant, quand elle le repoussa il fut surpris. Il ne comprenait pas... et puis cela lui faisait tellement pensé aux premières hésitations de la jeune femme lorsqu'ils s'étaient rencontrés, hésitations qu'il se doutait feintes avec le temps qui était passé depuis... mais des hésitations quand même. Et elle le repoussait petit à petit... Malgré qu'il tentait vainement d'avancé. Et finalement, le couple n'était relié que par des bras allongés, qui se touchaient à peine.

Mais tout d'un coup Fiorella se mit à courir. Charles prit au jeu bien sûr, s'apprêta à s'élancer lui aussi à la poursuite de Fiorella. Mais il avait complètement oublié que ses braies étaient descendues bien bas. Il se retrouva alors affalé sur le sol. Il se releva rapidement, prenant soin de remonter ses braies, mais pas assez pour pouvoir courir librement. Il ne voyait déjà plus Fiorella. Un nouveau jeu? Et bien soit... Charles ralentit, observant autour de lui, espérant trouver un jupon qui dépassait peut-être.... bah oui il y en avait un par terre, mais il faisait parti de ceux que le couple avait abandonné. D'une voix douce et pleine de désir il demanda:


Fiorella... Mon ange... où es-tu?

Et Charles avançait toujours. Son désir augmentait petit à petit. Il n'avait pas peur de la perdre, il n'avait plus peur. Peut-être était-ce idiot mais c'était comme cela... Il la désirait tout simplement. Il voulait la retrouver. Mais la forêt offrait malheureusement bien des cachettes. Quoique malheureusement, cela faisait durer le plaisir. Il était comme transporter ailleurs... Pas au Paradis ça il en était sûr, mais dans un lieu de pur bonheur, de pur désir... dont le point culminant était Fiorella, celle qu'il cherchait dans ces bois...

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Lorrenzzo


[Entrée puis chambre Enzzo]

Enzzo revenait les bras chargé de son fils encore tout endolori de sa chute, Peny marchait à ses côtés, sans doute pas très à son aise de revenir ici, mais pour le bien de son fils, elle aurait affronté n'importe qui.
Il passa la grande porte et sans s'attarder rejoignirent l'étage, et leur chambre.
Enzzo allongea son fils confortablement, lui caressant le crâne avec délicatesse. Il semblait déjà avoir repris des couleur, un oeuf poussait sur son front, mais son regard retrouvait toute la malice qu'il lui connaissait.


Peny, si tu veux rester avec lui.... j'peux passer au Lys Noir récupérer des affaires si tu veux.... Enfin je sais pas, c'est comme tu préfères, mais... tu ui a manqué, je crois qu'il voudras te voir à son réveil s'il parvient à s'endormir.


Enzzo était inquiet, il n'avait pas envie qu'elle reparte, il se servait avec lâcheté de la chute d'Esteban pour prolonger sa venue ici, pour pouvoir la voir au moins un peu.
Il était bien incapable de lui demander de lui pardonner, pourtant plus que tout il la voulait dans ses bras.
Elle était belle et merveilleuse, depuis toujours ils avaient su rester unis, dans le meilleurs comme pour le pire. Comment avaient ils pu en arriver là?
Comment avaient ils pu arriver à s'en vouloir autant? Tant de reproches lui avaient été fait. pour se défendre, il n'avait rien trouver de mieux que son agressivité sa colère.
Cette colère qui était avant tout dirigé contre lui, de n'avoir su la protéger, de n'avoir su protéger leur amour, mais les mots si violet il avait fini par lui lâcher, à elle, celle qu'il avait toujours aimé.
Lui pardonnerait elle un jour?
Pris d'un coup de fatigue après ses émotion, il alla se passer un peu d'eau sur le visage, reprendre n peu d'air et s'apaiser, espérant que Peny reste à ses côté, sans jamais oser lui dire.

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Toujours prêt pour un RP, MP moi
Peny
Ils avaient tous trois quitté les bords de la rivières . Enzzo les bras chargé du petit Esteban un peu choqué par sa chute . Arrivée devant les grilles de la grande maison , pèny pris une grande inspiration , elle regardait cette grande maison et se demandait si un jour elle y reprendrais sa place . Sa place auprès de son mari et de son fils .

Elle suivis Enzzo qui grimpa les escalier jusqu a ce qui fut leur chambre . Avec précaution le papa poule déposa le petit trésor sur leur lit . Un regard attendrit sur les deux hommes de sa vie , Pèny était mal a l aise de se retrouver ici . Non pas qu elle ne s y sente pas chez elle mais ... mais depuis leur dispute a Luxieul , Enzzo lui avait fait comprendre qu elle n étais plus la bienvenue . Se dirigeant vers le cabinet de toilette , la brunette mouilla un linge d eau froide afin de le poser sur la monumentales bosse qui ornais a présent le front de son fils .

Voila on va mettre ça sur ta tête mon petit coeur et tu va voir ta grosse bosse ne seras bientôt qu un mauvais souvenir .

La jeune maman se pencha sur son bout de chou pour lui faire un énorme bisous de réconfort , puis lui ôtât ses chausses pour qu il soit plus a l aise .
Se tournant alors vers Enzzo qui ne quittais pas son fils des yeux , je ..mais elle n eu pas le temps de finir sa phrase que son mari pris la parole .

Citation:
Peny, si tu veux rester avec lui.... j'peux passer au Lys Noir récupérer des affaires si tu veux.... Enfin je sais pas, c'est comme tu préfères, mais... tu ui a manqué, je crois qu'il voudras te voir à son réveil s'il parvient à s'endormir.


A cet instant elle aurait voulu lui sauter au cou , et lui dire que bien sûr elle voulait rester auprès d eux . Mais elle se retint , il était évident que se papa ne pensait qu au bien être de son fils en lui faisant cette proposition . Comment pouvait il en être autrement ? Un léger sourire , puis il se lève pour aller se rafraichir ! Sans doute pour éviter de croiser le regard de la brunette , ne pas avoir a la regarder , ne pas lui laisser croire qu il la voulais auprès d eux définitivement . Le coeur de la peste cognais fort dans sa poitrine , elle en étais toujours raide dingue , jamais elle n avait cessé de l aimer et aujourd hui ils se comportaient tous deux comme des étranger .

C est .. c est gentil mais je , enfin je ne veut pas vous déranger . Je dormirais avec Enzzo si ... si tu veut .

Il étais clair qu elle n avait manqué qu a son fils , rien qu a lui ! Doucement elle s allongeas prêt du petit , elle resterait jusuq a ce qu il s endorme ...
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Lorrenzzo


Enzzo était parti se rafraichir, juste pour la fuir, ne pas qu'elle croise ses yeux, ne pas qu'elle lise lui cet amour infini.
Elle était là tout près de lui sur ce lit qu'elle n'aurait jamais du quitter à faire comme si elle avait été invité dans la chambre d'un inconnu.
Près d'Esteban, elle en prenait soin avec une douceur remarquable. Peny avait cette ambiguïté irréelle, cette douceur surprenant qui se cachait parfois laissant place avec force à des mots parfois si durs et lourds de conséquence, sans sourciller, sans arquer.



Citation:
C est .. c est gentil mais je , enfin je ne veut pas vous déranger . Je dormirais avec Enzzo si ... si tu veut .


Enzzo s'essuyait rapidement dans un linge


Tu gênes pas Bab... Peny, t'inquiète pas pour moi installe toi tu seras bien ici. J'veillerais à ce que tu ne manques de rien, ne t'en fait pas.

Enzzo resta debout à l'encadrement de porte appuyé sur son bras collé au mur, il la dévorait des yeux, absorbé dans ses pensées. Il n y a pas si longtemps ils auraient été tous les deux l'un contre l'autre protégeant leur enfant. Et là... deux étrangers, incapable de se parler, jusqu'à en éviter de croiser leur regard, continuer à feindre de ne pas souffrir d'autre chose que du mal de leur fils tant aimé.

Ils étaient si beau tous les deux, Enzzo esquissa un sourire, profitant du bonheur de voir son fils dans les bras de sa mère, les deux amour de sa vie.
Comment lui dire???? Comment lui dire qu'elle est la femme de sa vie, comment lui dire, qu'il l aime plus que tout? Comment lui dire que sa place est ici, près de son fils, après lui avoir volé?
Nan il n'avait pas les mots pour lui dire tout ça, il ne dit rien, juste se contentait de la regarder avec admiration.


Dis moi t as besoin de quoi? J vais aller te chercher ce qu'il te fait, Esmi m'ouvrira ta chambre je pense.
Pis... peut-être tu veux que je te remonte quelque chose à manger?

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Toujours prêt pour un RP, MP moi













--__esteban.


Esteban était tout grimaçant sa tête lui faisait mal malgré toute l'attention que son père lui portait, il essayait de rassembler ses souvenirs. Pourquoi avait il si mal, et son père il avait l'air tellement inquiet.

A oui la rivière... papa... une larme, je cours.... mes pieds... racine... je sais pas voler ça c'est sur. Après, je sais plus trou noir...Ouiieee j'ai mal

Nouvelle grimace, on arrive devant le portail, enfin la maison.... retour dans ses souvenirs.

Pis cette voix... près de la rivière... après mon envol.... Moman??? c'était moman .... j'en suis sur elle était là.... Nan je dormais pas j'ai pas rêvé


Re grimace cherche encore un peu dans ses souvenirs.

Mais oui c'était bien ma moman, et plus je l'ai vu, c'est elle qui m'essayait le front avec de l'eau froide. Je sais je l'ai vu, elle peut pas être loin. allé je me lance, si je l'appelle elle va venir c’est sûr


Enzzo déposait Esteban sur le lit tout en douceur, le petit grimaçait encore, il avait pris un sacré choc.


MôMannn???


Au même instant Peny arrive et s'assoit près de son fils.

Hé hé je savais qu'elle viendrait si je l'appelle, ma maman c'est la meilleure des mamans, dès que je l'appelle elle est là.
Chouuueeetttteeee maman elle est rentrée, ça c'est chouette, c'est mon papa qui doit être content. Mais lui il est où d'abord? Dois pas être loin j'entends sa voix, j'essaierais bien de me redresser un peu pour le voir, mais aïe j peux pas si j'fais ça, ça m fais mal. Ik va revenir mon papa, c'est sûr. Pis je suis avec ma moman c'est bien déjà, et encore dans leur lit, j'ai trop de la chance en ce moment.


Esteban tenta bien de gigoter un peu, mais la douleur était encore bien présente, et fini par le calmer, et le laisser coucher, fermant les yeux fatigués, fini par s'endormir tout contre sa mère enfin retrouvé.
Fidelis.di.leostilla


Fiorella ... mon ange ... où es-tu ?

La jeune femme restait cachée derrière son arbre, écoutant la voix se faire toute proche. Elle riait intérieurement. Ses lèvres se mordirent d'amusement, patientant jusqu'au moment propice, au moment où il ne s'attendrait pas à la voir arriver près de lui. Elle avait tellement envie de le surprendre, de l'emmener sur les chemins hasardeux du désir et de la découverte.

Elle tourna la tête légèrement, juste pour observer sa position dans les bois. Il cherchait, à moitié vêtu. Il était tellement adorable comme ça. Elle savourait de le voir ainsi même hors de sa portée. Il l'attirait comme un aimant et elle ne pouvait pas se passer de lui. Lorsque le visage de Charles se tourna vers sa cachette, elle se redressa pour qu'il ne la voit pas et se déplaça contre l'écorce rugueuse de l'arbre afin d'en faire le tour. Bientôt, elle se retrouva derrière lui, se déplaçant sans bruit et elle vint se blottir nue contre son dos, son souffle chaud effleurant la peau de sa nuque en même temps qu'un baiser tendre.

Je suis là Charles ...

Ses mains firent tomber ses braies, glissant par la même occasion ses mains le long de ses jambes avant de l'aider à ôter les vestiges de sa tenue. Elle osa poser un baiser dans le creux de ses reins puis sur ses fesses avant de disparaitre à nouveau au milieu de quelques buissons en riant.

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Peny
[ Dans la chambre a l étage ]

Allongée prêt de son fils qui commençais a s endormir apres le choc de sa chute , pény leva les yeux vers Enzzo qui sortais du cabinet de toilette . Il la fixait du regard et elle même ne pouvais quitter ses yeux .
Citation:

Tu gênes pas Bab... Peny, t'inquiète pas pour moi installe toi tu seras bien ici. J'veillerais à ce que tu ne manques de rien, ne t'en fait pas.


Elle lui sourit , bien sur qu elle serait bien ici auprès de ses deux hommes . Elle ne manquais de rien hormis le fait peu etre qu elle aurait aimer qu il la prenne dans ses bras . Sa chaleur et son amour lui manquais terriblement , leur nuits endiablé aussi ... Pèny caressait la tête de son petit ange qui a présent dormais a point fermé . Puis se leva pour approcher de son mari .


Citation:
Dis moi t as besoin de quoi? J vais aller te chercher ce qu'il te fait, Esmi m'ouvrira ta chambre je pense.
Pis... peut-être tu veux que je te remonte quelque chose à manger?


La brunette étais tous prêt de lui , a tel point qu elle pouvais sentir son souffle . L envie de le sentir , de le toucher étais trop forte . Peu être allait il la repousser , mais ... mais juste quelques instant elle voulais ressentir a nouveau cet sensation qu a chaque fois elle éprouvais quand leur corps étaient proche , quand au moindre contact la faisait vibrer . Doucement elle se pencha vers son oreille et lui murmura ..Je n est besoin que d une chose et il n est nul besoin d aller le chercher ailleurs ... et si la faim me tenaille ce n est surement pas de nourriture don il est question ! de son oreille la bouche de la brunette se faufile doucement a la base du cou d enzzo , elles effleure sa peau délicate et comme par magie la jeune femme retrouve l espace d une seconde ce qui les as unis depuis deja des années .
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Lorrenzzo



[ Dans la chambre a l étage ]
Enzzo admirait le parfait spectacle de cette merveilleuse femme prenant soin de son fils. Il la trouvait toujours d'une beauté exceptionnelle, son visage si charmeur le faisait fondre.
Esteban s'était endormi sereinement bercé dans les bras de sa mère, nul autre qu'elle pouvait le rassurer, comme elle.

Elle se leva, s'approchant de lui, son coeur se mit à battre, comme le premier jour ou ils s'étaient avoués leur sentiment, comme un adolescent de 15 ans à son premier rencart.
Une panique profonde s'empara de lui quand son visage le frola menant ses lèvre jusqu'au creux de son oreille, son souffle le caressait, l'emplissant de longs frissons incontrôlable.

Ses mots, il les avait à peine entendu, finalement ils n'avaient que peu d'importance, la seule chose qui comptait pour lui.... s'était qu'elle était là, et qu'il mourrait d'envie de la serrer dans ses bras.
Les lèvres de la belle glissait dans son cou, Enzzo ferma les yeux un court instant le temps d'une longue inspiration ou il prit le temps d'apprécier ce parfum si léger qu'il aimait tant.

Tous les souvenirs, lui revinrent, toutes ses journées, ses mois ses années à s'aimer.... puis ce fameux soir, cette ultime dispute qui les avait séparé, ou elle l'avait quitté sans se dire au revoir, sans un regard, meurtrie, blessée.... Il ne s'était pas revu depuis ce jour là, et sas la chute d'Esteban, elle ne serait sans doute pas là.

Pourtant grand bête impuissant devant elle il était surtout incapable de lui parler, mais elle ses gestes.... disait plus que des mots, il devait faire un pas vers elle, même transit par la peur qu elle puisse le repousser.
Il baissa ses yeux vers elle, monta sa main vers son visage, et lui caressa avec douceur et délicatesse, esquissant un sourire maladroit, gêné, puis ne pu se retenir de l'entourer de ses bras et la serrer contre lui. Un baiser poser sur le front,un regard rempli d'amour... il espérait seulement qu'elle comprendrait qu'il soit incapable de mettre des mots sur ce qu'il ressentait à cette instant.
Une chose était sûr.... il ne voulait plus qu'elle parte, même s'il était bien incapable de lui dire.
Il la fit se tourner vers leur fils, tout en la gardant dans ses bras, ses mains glissait sur son ventre, coller contre son dos, essayait avec toute sa maladresse d'homme de lui dire son amour.


Dis???....
Tu crois que deux personne qui ne s'aiment pas auraient été capable de donner la vie à une merveille comme ça????


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Toujours prêt pour un RP, MP moi
Charles_de_raveline


Charles frissonna lorsque Fiorella se glissa derrière lui. Il ne l'avait pas entendu arriver. Enfin, si, lorsqu'elle lui avait parler, mais c'était tout. Sinon, ce qui l'avait fait frissonner... c'était son corps contre le sien... Sa peau douce, mais froide, car la journée n'était pas des plus chaudes. Et il sentit ses mains glisser le long de son corps. Puis ses lèvres se poser à plusieurs endroit. Un nouveau frisson, mais cette fois, de plaisir, et de désir. Lorsqu'il ne la sentit plus contre lui, il se retourna, au moment même où elle se glissait dans les buissons. En deux petits pas, il se débarrassa de ses braies, pour pouvoir plus aisément poursuivre celle qui faisait naître le désir en lui.

Et c'est bien sûr ce qu'il fit. Il se dirigeait grâce à son rire, parfois en l'entrevoyant passer entre les arbres, ou les buissons. Elle n'allait pas bien vite, et lui non plus. Mais il la rejoint sans difficulté. Car elle l'attendait, prêt d'un arbre. Il s'approcha doucement, comme s'il s'approchait d'un oiseau craintif qui pouvait s'envoler à tout moment. Et comme avec cet oiseau, les mains du jeune homme approchèrent doucement les bras de Fiorella. Elle se posèrent avec tendresse avant qu'il ne l'embrasse amoureusement, longuement. Il n'avait pas envie de s'éloigner d'elle. Et puis, leur habit, des plus simple, mais on appelait ça "le plus simple habit", lui permettait bien des choses. Et n'étaient-ils pas venus dans ces bois pour cela? N'avait-elle pas voulu faire durer le plaisir...

Charles s'approcha encore un peu d'elle. Ses mains glissant sur le corps de la jeune femme. Il sentait sous ses doigts qu'elle avait froid, il la sentait frissonner sous le passage de sa main. Mais il continua, avec tendresse. Ses lèvres dévièrent, s'approchant du cou, où autant de baisers furent déposés. Mais leur trajectoire ne s'arrêtèrent pas là. Ses lèvres atteignirent petit à petit les seins de la jeune femme. Et là encore, des baisers se posèrent sur la peau de Fiorella. Une peau parfois titiller par une langue légèrement fougueuse...

Et dans tout cela, aucuns mots, ils n'en avaient pas besoin...

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Cira


Cira, elle, a 5 ans 1/2.
Elle, elle fait des bisous sur les joues.
Elle, elle a pas de problème de savoir si on l'aime ou pas
Elle, elle n'a pas de namoureux
(Elle, elle fait pas des cochoneries sur le fofo )

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