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[RP] Chroniques de la famille De Raveline & Co.

--Sebastian.


Sebastian referma la porte, en faisant attention de ne pas claquer la porte. Il se permit alors de laisser échapper un soupire. Son jeune maître pouvait être parfois des plus agréables, mais passer sans aucune raison, à un maître difficile et exigeant. Mais il avait au moins la sûreté de l'emploi, et il ne faisait aucune tâche ingrate. Il traversa l'antichambre avec la tisane à la main. Qu'allait-il en faire maintenant? Il la déposerait dans la cuisine, si quelqu'un en voudrait il se servirait. Il descendit les escaliers, entra dans la cuisine, déposa la tisane sur la table, raviva le feu, et descendit à la cave. Là, il suivit les indications de son maître, et trouva donc une bouteille de Saumur, année 1433. C'était l'un des plus anciens possédés dans la cave. Il remonta alors dans la cuisine, et fit couler le vin dans un verre. Il y rajouta de l'eau et quelques épices. Puis, il plaça le verre prêt du feu, l'approchant tout doucement pour pas qu'il n'éclate.

Quand le verre fut assez chaud, il remonta à la chambre du jeune homme. Il posa le verre sur la table de chevet. Puis, il ouvrit en grand la grande armoire. Là, il y trouva une couette, qu'il déposa sur le tas qu'était son maître, déjà enveloppé dans les draps. Il rajouta aussi un oreiller sur le lit... des fois que... Son maître avait l'air de s'être assoupit. Enfin rien n'était sûr. Il rajouta de grosses bûches dans le foyer de la cheminée, puis il retourna donc dans l'antichambre... où il attendit que le temps passe, en faisant quelques banales occupations.
Charles_de_raveline


Charles avait fermé les yeux, espérant pas ce petit stratagème, réussir à s'endormir. Mais rien n'y faisait... Il alla même jusqu'à s'imaginer aux côtés de Fiorella, il s'imagina ses mains sur sa peau... Mais non, la seule chose qu'il sentait, c'était la couette contre sa peau nue. Il avait enlevée sa chemise car elle le grattait. Il ne portait que de courtes braies, qui elles aussi le grattait d'ailleurs. Il allait s'en faire faire en soie si ça continuait. Là il était sûr que ça ne le gratterait pas!

Lorsqu'il entendit Sebastian entrer une nouvelle fois, il se tourna juste sur lui-même, les yeux toujours fermés, laissant échapper un petit grognement. Il laissa son majordome faire ce qu'il avait demandé. Il sentit la couette se poser sur celle qui l'entourait déjà. Celle-ci n'était sûrement pas très chaude, donc il n'abandonna pas celle dans laquelle il était déjà emmitouflé. Il entendit aussi le bruit que firent les bûches de bois en rejoignant celles déjà en parties consumées dans la cheminées. Le craquement des braises reprit alors de plus belle. Un son qui pouvait déranger, mais là, pas trop. Cela l'apaisait plutôt, de ce fixer sur ce bruit irrégulier, et qui ne lui vrillait pas les temps. Et la porte se referma. Il ouvrit un œil, de façon discrète, et regarda autour de lui. La pièce était dans la pénombre, et plus personne ne s'y trouvait. Il allongea alors son bras, tant qu'il pu, pour attraper le verre. Malheureusement, il était trop loin, il dut se tortiller un peu pour s'en approcher. Le verre était chaud. Il le garda dans les mains quelques instants. Ce contact lui faisait du bien. Puis, il but petit à petit le vin. Il était chaud, mais sans plus. Et le goût était tout aussi parfait. Il sans délecta.

Il reposa ensuite le verre, et s'entortilla à nouveau dans sa couette. Ses pieds en étaient sortie lorsqu'il avait attrapé le verre. Il les rendra alors sous la couette, se mettant complètement boule dans la première couette. Mais la seconde, par la même occasion, prenait le même chemin que la première. Elle commençait à s'enrouler autour du jeune homme. Il referma les yeux. Il était bien, au calme. Et le vin l'avait détendu. Pour rien au monde, il ne voulait qu'on le dérange. Il cria alors, le plus aigu possible:


LE PREMIER QUI OSE ENTRER DANS MA CHAMBRE JE ME SERRE DE SA PEAU COMME COUVERTURE!!!!!

Sa tête bourdonna. Peut-être n'aurait-il pas du crier comme ça. Mais il était trop tard. Et cela lui assurerait sûrement le calme et la tranquillité. Il se massa les temps d'une main, pour faire passer la douleur, et comme les autres fois, sans résultats... Il remonta la couverture jusqu'à son menton, et la seconde, complètement par-dessus la tête. Et dessous la tête, il fit remonter le coussin qui était passé dans le bas du dos, avec de grandes difficultés tellement il était pris dans ses couvertures. Il repéra en même temps un second coussin, sûrement ajouter par Sebastian. Il le mit lui aussi sous sa tête. Et il ne bougea plus, les yeux fermés, il essayait de ne penser à rien, qu'aux craquements du feu de la cheminée...

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Lorrenzzo


Pleine toilette, trouver une tenue convenable, se faire présentable... Enzzo bougeait dans tous les sens brassant plus d'air qu'autre chose quand il entendit raisonner la voix de Charle dans les couloir de la demeure

Citation:
LE PREMIER QUI OSE ENTRER DANS MA CHAMBRE JE ME SERRE DE SA PEAU COMME COUVERTURE!!!!!


Enzzo arqua un sourcil... l'oreille à l'écoute.... puis se mit à rire.

Nan mais il peut rêver lui à croire qu'il va rester coucher....il va avoir droit à l'haleine à tata dans le nez au réveil, ça va l'aider à émerger.

C'est finalement sourire au lèvre qu'Enzzo finissait de se préparer et d'arranger son fils pour pouvoir fièrement se joindre à Bay et présenter plus posément le reste de sa famille à la tante.
Il était enfin prêt, accueilli Esteban dans ses bras et le porta très haut à bout de bras au dessus de sa tête. L'Esteban était volant mort de rire, il avait décidément peur de rien ce petit monstre.


Hmmmm t'es l'plus beau bébé du monde mon fils, je t'aime tu sais ça?

Enzzo reprit son ptit homme dans ses bras et lui fit pleins de bisous, faisant semblant de le dévoré, le bébé rigolait encore plus et rendait le papa gâteux plus heureux que jamais.
Il resta un long moment à jouer et partager un moment de complicité avec son fils attendant que Peny se prépare à son tour.
Quand tous le monde furent près, ils partirent ensemble affronter la tante.

Esteban posé sur un bras, la main de sa femme dans sa main....


Bien zêtes près les Zamours? On y va?


Dernière longue respiration, et la petite famille se lança à l'attaque du dragon, armé du plus grand sourire.
L'colier, menant directement dans le hall, Enzzo sourit à Bay qui invitait la tante à entré, s'approcha d'elle pour lui donner son bisou quotidien, et sourit à sa tante, avec qui il avait déjà fait connaissance, aussi bien d'elle que de sa canne.


Ma tante... vous connaissez déjà ma femme Peny...
Voici mon fils Esteban


Enzzo souriait de toute ses dents, fier de la famille qu'il avait construit, au fil du temps, au cours des années passés.

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Toujours prêt pour un RP, MP moi

























Amalio
Baylina a écrit:
Ma Tante, je suis ravie de vous voir enfin! Je vous souhaites la bienvenue en notre demeure!...

Du bras, elle l'invite à entrer dans le hall, elle se demande même si Rixende l'a reconnu, quoi qu'il en soit faut pas se dégonfler là!...

Lorrenzzo m'a appris votre présence à Épinal, je suis bien heureuse et surprise de vous voir aujourd'hui parmi nous. Rassurez moi! Vous n'êtes point souffrante j'espère?... Bay la regarda et se dit qu'elle a vieilli dis donc!...

Bay fit des yeux ronds quand elle aperçut un homme derrière Rixende et perplexe, elle enchaina:
J'espère que vous avez fait bonne route? Alors qu'elle regarde dehors en direction du cocher et aperçoit des bagages, regarde sa tante et dit:
Voulez vous que quelqu'un de la maison s'occupe de vos bagages? Ou ma servante pourra montrer la chambre à l'homme qui vous accompagne?... Nous vous avons préparé une chambre à l'étage.
Timing parfait, Maroie descend les escaliers et arrive en leur direction. Les mains jointes devant elle, n'osant regarder Dame Rixende dans les yeux, elle reste à une distance raisonnable qu'on lui dise quoi faire à présent.

Baylina regarde sa tante qu'elle a assommée de question, son sourire réjouit toujours accroché au visage.


Rixende, bien droite dans sa robe grise, et sans sa canne ce jour - elle ne l'utilisait que pour faire de longues marches, ou après avoir trop marché - détailla de pied en cap la jeune femme qui venait d'apparaître devant elle.

Ha, Baylina, ma chère nièce. Que tu es bien mise ! Tu n'as pas perdu le goût des belles choses, à ce que je vois.

Et oui, Rixende avait jadis été une belle femme, courtisée et au fait de la mode, et si son visage s'était ridé, si son dos la faisait parfois souffrir, elle restait d'une immuable correction vestimentaire. Hors de question pour la vieille femme de porter des robes trop courtes, trop voyantes ou rapiécées. Ses vêtements lui seyaient toujours fort bien, et elle employait même un tailleur particulier pour cela, deux fois l'an. Elle n'était pas de ces vieilles femmes qui se laissaient aller passé un certain âge. La beauté était défraîchie, certes, mais Rixende était loin d'être enlaidie par l'âge. Cependant, les années n'avaient pas adouçi son caractère, loin de là. Rixende n'était aimable qu'avec les gens qui faisaient preuve de bonnes manières et de soin de leurs personnes et d'autrui. Et elle avait une sainte horreur des enfants malpolis, qu'elle s'était donné pour mission de corriger et d'éduquer dès qu'elle en avait l'occasion, avec ou sans accord de leurs parents. En bref, devant elle e tenait une jeune fille polie, propre sur elle, et bien habillée. Trois bons points pour Bayina. Rixende entra à sa suite et répondit simplement :

Je ne suis pas du tout souffrante, rassure-toi. Je suis venue à Epinal me rapprocher un peu de ma famille et voir ce que vous devenez tous. Et j'ai fait bonne route, je te remercie. Il faut en effet montrer au sieur Aquila un endroit où dormir. Installez-le donc quelque part avec les domestiques.


Elles n'avaient fait que quelques pas quand Lorenzzo et sa compagne apparurent en compagnie d'un petit garçon. Rixende s'arrêta.

Lorrenzzo, Peny... bonjour, mes enfants. Et bonjour, mon garçon.

Peny était récemment remontée dans son estime suite à l'altercation avec la petite peste insolente prénommée Cira.
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Peny
Branlebas de combat chez le couple qui ne pris pas le temps de prendre le petit déjeune ! Quand Enzzo percuta que la tatie étais arrivé et attendait a l entrée , les paroles de sa femme firent l effet d une douche glacée .

Il avais sauté du lit comme une furie , filer au cabinet de toilette se préparer et Pèny elle étais restée de longues minutes comme deux rond de flan avec ses victuailles dans les mains . Elle qui croyait faire plaisir ... Elle soupira et commença a se préparer aussi . Enzzo lui jouais avec Estéban déjà prêt , décidément cette famille étais dingue !

Charles lui l insolent s égosillais a travers la parois pour signaler le sort réservé a ceux ou celles qui oserais venir le tirer du lit . Connaissant Enzzo Pèny sourit en coin , se doutant que l ainée de la fratrie n allais pas laisser son cadet flemmarder . Et alors lui faire respirer l halène de la tatie au réveil , relevais de la torture sadique . Une idée machiavélique sortie de la tête de son mari qui n en ratais jamais une .
Les deux hommes de sa vie fin prêt , le papa gâteau gazouillais avec son fils qu il portais au nu . Elle les regardait avec un grand sourire . Je suis prêt les gars , ont peut descendre . Oui les zamours étaient prêt a affronter le plus terrible des dragon .

Ils longèrent donc le long corridor , et trouvère vite Bay en superbe robe qui accueillais la bigote . Un bisous qui claque sur la joue de la sœurette et un sourire tendu adressé a la tatie . Enzzo pris la parole :
Citation:
Ma tante... vous connaissez déjà ma femme Peny...
Voici mon fils Esteban


Et oui elle connaissait déjà la crochu et avait vu qu il valais mieux pas la ramener devant elle . Elle avait aussi pu constaté qu elle avait des principes d éducations stricte .

Bonjour Tante Rixende , nous sommes heureux de vous revoir dit elle avec un grand sourire hypocrite . Un petit soupire s échappa des lèvres de la Chipie . Fini la tranquillité
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Baylina


Baylina prit le temps d'embrasser Renzo et Penny et le petit bout.

Alors qu'elle lui faisait la bise, son frère lui glissa dans l'oreille, les propos entendus un peu plus tôt et hurlés par Charles.
Décidément!... La demeure était toutefois de taille raisonnable, mais de la à ce que ses menaces, traversent les murs et pièces, elle se souvint alors Qu'Oliviah, la petite de Saga avait prit peur aux cris qu'ils pouvaient lancer comme ça un peu partout dans la maison... Et bien! On va le calmer...

Quoi qu'il en soit, elle regarda son frère, les têtes encore toutes proche, et une étincelle jaillit, ils avaient il semblait bien, la même idée!...

Baylina fit quelques pas à part, en direction de Maroie, afin qu'elle aide à monter les bagages et qu'elle indique à Aquila une chambre. Elle le salua de la tête et d'un léger sourire alors qu'elle tendait le bras vers lui durant ses instructions.

Elle reporta son attention sur sa Tante et le reste de sa famille puis lança:
Ma Chère Tante, Charles a été prévenu de votre visite, il devrait être là, il doit être encore dans ses appartements!...
Soit!... Je vous propose de monter le saluer, puis nous vous montrerons votre chambre afin que vous nous disiez si tout vous convient? Vous pourrez de plus prendre le temps de vous rafraichir si besoin, avant de passer à table pour le déjeuner avec nous... nous tous...
Et Bay regarde avec insistance Renzo et Penny semblant vouloir dire: "Y'a pas moyen que vous me laissiez manger seule avec elle, en plus Génie fait à manger alors 'tention là!... et Hop! Un gentil sourire...

Bay tout en parlant les avait fait pivoter en direction des escaliers pour monter au premier étage. En leur tournant autour les invitants du bras et d'un grand sourire, mais au fond un très machiavélique sourire, déjà réjouie par la suite...

L'amour vache se devait être ça...
Charles et Baylina avait au final grandis côte à côte durant leur jeunesse et depuis quelques temps maintenant devenu adulte. Il se faisait enrager tout comme il s'aimait au fond, car quoi qu'il arrive il savait qu'il formait à eux deux un noyau solide, jamais il ne se laisserait tomber quoi qu'il arrive ou quelque soit les jugements parfois primaires ou hâtifs qu'il pouvait avoir l'un sur l'autre...
Un jeu, entre eux, qui avait le don de toujours rendre fou l'autre, était bien de le mettre dans une position inconfortable, gênante, Baylina avait tant de frasques de son frère en tête, combien de fois elle avait rougi, stupéfaite, gênée, horrifiée, amusée ou autres...
Aujourd'hui, ce serait, elle l’espérait, à son tour de le mettre en mauvaise position...

Elle propose son Bras à Rixende si besoin, pour monter les escaliers et les voici en haut. Oui Baylina presse le pas, Baylina jubile à l'intérieur, même si au fond elle ne sait pas si la Tante voudra même entrer dans la chambre de Charles, si même elle le secouerai pas un peu, ce qui en retrait derrière elle serait juste tordant de rire... Oui Baylina imagine déjà ce qui pourrait se passer, elle jubile!...
Il tourne dans le couloir des appartements familiaux... Ils sont tous proche!...

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Lorrenzzo


Enzzo regardait sa sœur en souriant, Bay était une soeur ton tout le monde pouvait rêver, douce, avenante compréhensive, la seule de la famille semble-t-il don les parents n'ai pas foiré l'éducation. Enfin pour tout le monde, sauf pour Charles qui ne taderait pas à la détester comme jamais. Mais Enzzo se plaisait assez à l'idée de voir tatie peau de chien changé en édredon, pour son jeune frère.

Sourire toujours affiché, il regardait les yeux suppliant de sa sœur, se doutant que Peny ne pensait qu'à trouver la moindre excuse pour se carapater, Enzzo ne pouvait que céder au regard suppliant de Bay pour laquelle il avait tant d'affection.

Il la laissait avec plaisir faire faire les jérémiades d'accueil, impatient tout de même d'aller faire rager le cadet de la fratrie qu'avait juste tendance à se la couler douce.


Ooohh, oui allons trouver Charles dans ses appartements, excellente idée, au vu l'heure déjà avancée de la journée, nul doute qu'il est déjà levé. Affairé à quelques paperasses, il sera sans doute heureux de faire une pause pour saluer sa tante.

Clin d’œil complice à sa petite sœur, avant de se retourner vers les escaliers entrainant avec lui Peny qui rêvait de trouver le moindre prétexte pour fuir les convenances dues à l'arriver de la vieille.

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Toujours prêt pour un RP, MP moi
Peny
Toutes la famille étais devant la tata et Bay y allait fort en sourire et courbettes . Toutes ses choses que Pèny ne savais pas faire ou n avait pas appris a faire . Prêt de son mari la petite brunette regardais la grande tante du coin de l oeil , méfiante elle imaginait déjà la canne punitive sortir de nul part pour s abbatre sur une tête au hasard de son humeur . Sauf celle de bay qui étais vrai un ange . Pèny avait appris a connaitre bay , sous ses air angélique se cachais une vrai chipie . Pleine de malice elle l entendit donc proposer a la tante de monter saluer celui qui manquais a l appel . Comme d habitude le mauvais élève de la fratrie , le pire que Enzzo , Charles bien entendu !
Un sourire en coin Pèny imaginait deja la tête de l insolent en voyant entrer tatie peau de vache . Bay elle toujours souriante avait aussi proposé a la grand tata de se rafraichir . Pèny toussa en entendant l adorable sœur !


Citation:
Ooohh, oui allons trouver Charles dans ses appartements, excellente idée, au vu l'heure déjà avancée de la journée, nul doute qu'il est déjà levé. Affairé à quelques paperasses, il sera sans doute heureux de faire une pause pour saluer sa tante.


Pèny jeta un oeil a son mari , puis a bay , ses deux la étaient complice dans les bêtises et dans quelques minute la demeure serait le théâtre de la fourberie . Bonne idée oui Charles est surement impatient de vous rencontrer . Je suis même sur qu il tous prévus pour vous accueillir comme il se doit et que si vos appartements ne vous conviennent pas , il serait prêt a vous ceder les siens ^^ du grand Charles quoi , le coeur sur la main . * grand sourire de la petite peste *
Tous le petit monde se dirigeais vers les appartements de la vieille dame . Pèny la main dans celle d Enzzo qu elle serrait fort , impatiente de la suite .
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Fidelis.di.leostilla


Le petit matin du jour J, dans l'allée derrière la place du marché.

La neige s'était remise à tomber. Il ne faisait pas assez froid pour que la neige tienne au sol mais d'ici quelques jours, le manteau blanc couvrirait toutes les routes et les toits des maisons. Habillée d'une chaude cape de laine, l'italienne faisait les cent pas pour se réchauffer. Ses mains étaient au chaud, cachée sous les pans de la sombre cape. La grisaille envahissait, jusqu'à la moindre chandelle brûlant derrière les vitraux des maisons. Le temps s'écoulait lentement mais elle avait l'impression que ça faisait des heures qu'elle l'attendait là. Pourtant, il lui avait fait la promesse de venir.

L'inquiétude faisait lentement son chemin dans l'esprit de la jeune femme. Et s'il n'avait plus envie de la voir ? Et s'il lui était arrivé quelque chose ? Il n'avait envoyé aucun pigeon pour l'avertir de son retard ou encore d'un problème quelconque. La brume s'échappait de ses lèvres entrouvertes et chaque bruit de pas dans la ruelle la faisait espérer que ce serait lui mais non. A chaque fois la déception l'envahissait et chaque fois, c'était un autre visage qui apparaissait. Son regard devait dévisager les gens car ceux-ci ne détachaient pas les yeux d'elle.

Après avoir attendu ce qui lui semblait être une éternité, elle se décida à se rendre à la demeure des Raveline. Elle ne connaissait la demeure que briévement. Il avait toujours soigneusement évité qu'elle ne rencontre le reste de sa famille. Sans doute que les occasions avaient aussi manqué et peut-être que la jeune femme n'était pas si impatiente d'être présentée. A vrai dire, elle aimait leur aventure totalement non conforme, cette relation qui leur apportait les frissons à chaque rencontre totalement impromptue. Arrachant un soupire de son coeur, elle se mit à marcher rapidement au travers des rues et avenues de la ville jusqu'à rejoindre l'adresse de Charles.

A peine arrivée et sans hésitation, elle frappa vivement à la porte ...

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Lorrenzzo


[ Entrée]

Enzzo passait la majorité de son temps dans cette demeure dans son lit ou attablé entrain de dévorer les délices de Génie. La veille il avait tardivement trainé en taverne et il se serait bien levé tout aussi tardivement pour s’empiffrer des délicieuses tartines grillées couverte d'un léger voile de confiture.
Un délice fruité dont il ne se lassait pas, le même parfum de son enfance ou déjà la merveilleuse Génie le nourrissait, de tant de gourmandise.

Enzzo se serait bien laissé tenté par tant de douceur, mais le monde en avait décidé autrement. D'abord la tante qui le sortit de son pieux plus expressément que prévu, puis à peine la grand tante entrée qu'il entendit frapper à la porte une nouvelle fois.

Enzzo laissa Bay s'occupé de la tante et se présenta à la porte qu'il ouvrit, apercevant une silhouette féminine emmitouflé. Enzzo observa avec plus d'attention la jeune dame qu'il avait eu quelques occasions de croiser à la chancellerie ou dans les couloirs du château.
Un peu surpris de la voir se présenter ici il ouvrit la porte en grand et l'invita à entrer.


Fiorella di Leostilla... vous ici qu'elle surprise.
Que nous vaut l'honneur de votre visite?
Enfin je vous en prie, donnez vous la peine de rentrer au chaud, restez pas dehors il fait froid.


Enzzo fit un pas de coté pour permettre à Fiorella d'entrer, et referma la porte derrière elle, pour garder le chaud de la demeurre familiale. Il la regardait surpris de sa présence ne sachant trop ce qui pouvait l'avoir conduit jusque là

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Toujours prêt pour un RP, MP moi
Peny
EN HAUT DANS LES APPARTEMENTS D ENZZO ET PENY



Noël approchait et personne n avais pensé a faire de sapin . Tous occupé surement . Mais pour un petit garçon un sapin c étais important , il pourrais trouver ses cadeaux a déballer . Mais avant cela il fallait le décorer . Après avoir monté comme elle avait pu le sapin dans leur appartement , pèny sorti d une grand boite plein de décorations .

Le petit garçon courrait partout dans la chambre , heureux et les yeux rieur . Pèny enviais son insouciance et sa joie de vivre . Fouillant dans la boite pour en sortir tous ce qu il fallait , elle repensait a leur premier noel a tous les deux avec Enzzo . C étais a Sarlat , une petite maison isolé . Chaleureuse et accueillante . Tous deux niché au chaud devant un grand feu de cheminé ils avaient passé trois jours a se câliner . Emue de ses souvenir elle soupira et se dit que les choses avaient bien changé . Qu elle en était en parti responsable mais que malgré tous les efforts qu elle avait fait ses dernier temps les choses allaient de mal en pis.Son bout de chou lui ne se doutais de rien et grandissait heureux , enfin elle l espérait .



Pret de la cheminée dans un coin , il étais superbe . Pèny pris son fils dans les bras . Tu vois mon ange comme ça le père Noel il pourra passe par la cheminée et direct tes cadeaux seront sous le sapins . Je suis sur que papa verra aussi le beau sapin mais pour l instant il faut aller dormir mon coeur . Papa va rentrer tard et viendra te faire un bisous .

La jeune maman alla s installer dans le lit avec son fils pour le bercer . Doucement elle lui chanta un chanson pour que vite il s endorme . Combien de temps allait elle tenir ? Combien de temps a espèrer que tous redevienne comme avant ? Pèny n en savait rien mais elle avait beaucoup de peine et fini par s endormir seule avec son fils dans les bras .
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Fidelis.di.leostilla


La surprise se lisait sur le visage de Lorrenzzo. Il est vrai que personne n'était au courant de se relation avec Charles. La jeune femme réalisa alors l'embarras dans lequel elle se mettait subitement. Armée d'un sourire, elle entra dans le hall de la maison, à l'abri du froid. Elle avait déjà vu la maison, entrant discrètement quand il n'y avait personne avec son cher et tendre. Elle ôta son capuchon de la cape de laine qu'elle portait.

Merci messire Lorrenzzo. Oui, je ... à vrai dire, je suis venue voir messire Charles. Nous ... devions nous voir ... oui pour le travail et comme il était en retard, je me demandais s'il était ici ... D'ailleurs, est-ce qu'il est là ?

Son regard se posa sur l'escalier. On pouvait entendre du bruit à l'étage et elle n'était pas à l'aise dans cette situation. Même si elle avait déjà rencontré Lorrenzzo, la situation était plutôt inconfortable. Puis son regard croisa celui de son hôte et elle lui sourit.

Et vous, comment allez vous ? Est-ce que tout se passe bien dans vos nouvelles fonctions ? Je n'ai plus eu de nouvelles de vous après vos prises de fonctions.

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Amalio
    L'hiver n'était pas encore terminé lorsqu'on retrouva le corps de la vieille Rixende de Raveline, qui avait tranquillement succombé à l'âge dans la chambre dans laquelle elle vivait. Elle était sobrement et bellement vêtue, comme si elle avait prévu de mourir cette nuit-là et désirait qu'on ne changât rien à la mise qu'elle s'était choisie. Elle reposait sur son lit, la couverture remontée sur elle, et son visage était calme.






HRP : Changement de personnage.
Baylina


[Episode de deuil familiale, ou comment la tante était vraiment venue mourir chez nous!...]

Tôt, très tôt dans la chambre de Baylina, le cliquetis de la poignée se fait entendre, des pas résonnent jusqu'à son lit, on l'appelle, la secoue doucement pour la sortir de son sommeil et de son rêve épique...

Elle gémit, râle, c'est quoi ce délire là, elle le sent il fait pas encore tout à fait jour!...
Génie, c'est Génie, la vieille intendante qui lui cause au creux de l'oreille. Elle n’a pas une bonne mine dis donc, qu'est ce qui lui arrive?...
Baylina se redresse donc dans son lit, Génie s'assied à côté d'elle, lui empoigne les mains...

Oh punaise! Ca ne sent pas bon du tout ça!... Bay commence à se faire des films, imaginer le pire sur les membres de sa famille, ceux qu'elle porte dans son cœur. Et la nouvelle tombe!

Bay reste quelque peu interrogative. Elle ne comprend pas trop, elle n'est pas bien réveillée, est-elle même juste réveillée?
Sa tante... sa tante Rixende qui était revenue parmi eux quelques temps auparavant les avait quittés.
Une sensation étrange parcouru Baylina, elle resserra contre elle les draps et couvertures, ramena ses genoux vers son menton et calla sas tête entre ceux-ci...

Oui elle se mit à pleurer doucement, elle était triste, normal nan?
Même si les jeunes Raveline n'avait pas eu de ses nouvelles pendant bien des années, la voir revenir parmi eux, avait été pour Bay une bonne chose.
Elle avait appris à connaitre cette tante dont elle ne se souvenait que vaguement le caractère, même si Rixende avait passé un bon bout de temps de son séjour au monastère, Bay avait pu parfois lui rendre visite et discuter avec elle, prendre de ses nouvelles en somme.
Et là, elle était juste morte...

Baylina se rappela lors de son arrivée, qu'elle lui avait demandé si elle allait bien, question à laquelle sa tante lui avait répondu positivement.
Etait-elle déjà malade à l'époque? L'est-elle devenu ici? Etait-ce juste son âge?
L'avait-elle fait exprès? Avait-elle voulu se rapprocher de ses proches pour ces derniers moments? Qu'allait dire Bay à son cousin Résindrel, fils de Rixende?
Pleins de questions qui ne trouvaient pour l'heure, pas de réponse...

Quoi qu'il en soit, Génie réconforta Baylina autant qu'elle put et l'aida à se lever et s'habiller. Il faudrait prévenir le reste de la famille, sur place en lorraine, mais aussi ailleurs...
Il faudrait organiser les funérailles...
Il faudrait... ...

Il fallait surtout affronter cette journée macabre!...

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Fidelis.di.leostilla


Petit retour en arrière ...

L'attente fut longue dans le hall de la maison Raveline. Ce qui aurait dû être une belle rencontre avec la famille de Charles se résuma en cris et en larmes. Leur tante avait décédé presque en même temps que le passage de l'italienne dans la demeure. Un signe ? Un présage ? Une abomination et une malédiction pour la brune superstisieuse. Profitant de l'inattention de son hôte, Fiorella s'éclipsa de la vie des Raveline, pour un temps tout au moins.

Partie pour Toul pendant quelques jours afin d'y voir ce qu'elle pouvait faire pour la mine d'or dont la situation était préoccupante, la jeune femme n'avait pas vu Charles depuis ce jour funeste. Elle avait eu du mal à aller le voir, prévoyant qu'un autre malheur aurait pu s'acharner sur eux. Bien sûr, Charles avait été affecté par les évènements et elle n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait penser de son départ à Toul. Mais sur le chemin du retour, elle avait fini par lui écrire. Le manque était là, l'inquiétude aussi.

Quand la Folle provoque l'Audace.

De retour à Epinal, couverte de bleue et blessée, la jeune femme réalisa qu'elle n'aurait jamais dû quitter Epinal sans Lui. Malgré son état et ses blessures encore fortement douloureuses, elle quitta le presbytère et enveloppée dans une cape blanche, elle se rendit chez les Raveline. Il fallait qu'elle le voit, qu'elle l'entende, qu'elle soit avec lui. A peine arrivée devant la porte, elle frappa à la porte. L'intendant qui lui ouvrit ne reconnut pas la jeune femme. C'était le frère de Charles qui avait ouvert la première fois.

Est-ce que Charles est là ?

A peine eut-il le temps d'acquiescer qu'elle entra en le bousculant et monta à l'étage. Elle savait où le trouver. Il l'avait déjà faite venir en douce dans la demeure et elle connaissait sa chambre. Elle se pressa malgré la douleur dans sa jambe et à sa hanche. L'intendant à ses trousses l'interpella pour l'arrêter mais rien n'y fit. Devant la porte, elle l'ouvrit, sans frapper et la referma derrière elle, juste pour le retrouver. Un tour de clé à la porte et la voilà seule avec lui.

Charles ...

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