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[RP] Salle de doléances du Castel de Montpelhier

Actarius
[Le Castel de Montpelhier, salle de Plaid]


Le Vicomte du Tournel arpentait la salle. Réflexe d'ancien Maître des Cérémonies et Grand Chambellan de France, il veillait jusqu'à la bonne disposition des tentures et menait sans nul doute la vie dure à la valetaille qui s'escrimait tant bien que mal à assouvir ses projets. Et ceux-ci se résumaient somme toute assez facilement. Offrir une tribune aux Languedociens, une tribune non pas libre où ils pourraient s'exprimer comme dans une foire aux bestiaux. Non, ici la rigueur serait au rendez-vous. Le Castel n'était pas un moulin. La porte était ainsi gardée et ne serait ouverte qu'au compte-goutte, qu'après demande et présentation et qu'après l'assentiment d'un conseiller.*

Quant au Porte-Parole, il ne serait jamais très loin. Facilité de fonction, son cabinet de travail au Castel se trouvait à proximité de la salle du Plaid, cela lui permettrait d'intervenir rapidement. En la circonstance, il ne se trouvait non pas dans son cabinet, mais continuer de faire les cent pas dans la grande et lumineuse aula, du plafond de laquelle tombaient en cascade de bels oriflammes aux couleurs du Languedoc. Solennité, sobriété. Ainsi fonctionnait le Mendois et il n'escomptait pas déroger à ses principes.




*Aucun personnage ne rentre donc dans la salle avant qu'un LJD conseiller n'est posté en ce sens. Pour que la porte s'ouvre rien de plus simple. Votre personnage se présente, demande le conseiller qu'il veut voir, expose en deux mots les raisons et voilà. Cela n'a pour but d'embêter, mais de réguler le rp en évitant d'avoir plusieurs doléances en même temps. Cette salle n'étant pas une tribune d'expression libre, mais une salle gardée d'un château gardé où les doléances sont entendues.

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Kelak

Une fois de plus Kelak se sentait un peu comme pris en otage.

Lors des dernières excentricités du baron bentich, la capitale avait été en pleine matinée déclarée ville franche, semant la zizanie dans le comté et transformant ce dernier en la risée du royaume.

Kelak avait été parmi les plus virulents pour critiquer la chose, mais au final c’était surtout le comte de l’époque qui avait morflé.

Ici la situation était similaire et Kelak ne savait pas trop quoi faire…

Il opta pour un courrier privé au comte, il le rédigea le scella et le confia un messager avec ordre de le confier au porte parole pour qu'il le transmette lui même au comte.






De moi Kelak de Domazan et de Montmoirac

À vous Arthurcano, comte du Languedoc et grand ami

Respect et amitié

C’est en tant que languedocien et « responsable » de l’assemblée des tribuns languedociens que je t’écris aujourd’hui… plus précisément suite à l’attaque de l’armée comtale sur la tribun de la ville d’Alais, Dame Zebulon ainsi que ses amis.

J’ai toujours voué un grand respect à cette fonction et d’autant plus lorsqu’elle occupé par une personne motivée, enthousiaste et présente. Dame Zebulon fait partie de ces personnes qui ont ces 3 qualités et c’est une grande chance pour Alais et le Languedoc…

Savoir qu’elle et ses amis se sont fait massacrer par des soldats commandés par le Baron bentich… je ne saurais même pas définir les pensées qui me viennent à l’esprit en y repensant.

Et curieusement ce genre d’événement a comme un air de déjà vu…

Bien sur le Baron peut être un grand homme à ses heures, disponibles et efficaces, mais il peut aussi être le roi du dérapage.

Une fois qu’il est en situation de force… plus rien ne l’arrête.

Nous l’avons vu en tant que maire ordonner à sa milice de détruire une armée comtale.

Nous l’avons vu en tant que capitaine rendre de bon matin, la capitale ville franche, événement qui grâce à l’AAP a permis à la France entière de se foutre de la tronche du Languedoc.

Et aujourd’hui nous venons de le voir massacrer 5 languedociens non seulement innocents mais hautement investis pour leur ville.

Et tout cela pour quoi ??? Pour la simple et bonne raison que l’un d’entre eux avait manqué de respect envers une proche du Baron.

Si les armées comtales massacrent les râleurs j’ai intérêt à promptement demander l’asile politique.

Trêve de plaisanterie !!

Passera t’il une fois de plus à travers tout cela ?

Nous connaissons le Bentich, il va nous sortir son numéro de victime dans un premier temps il ira jusqu'à dire que c’est ce groupe de 5 civils qui s’est attaqué à l’armée, ne présentera pas la moindre excuse et se félicitera même de son action.

Ensuite comme personne n’approuvera ses dires, il nous sortira la thèse du complot et qu’il s’attendait bien à ce que tout soit fait pour qu’il perde sa baronie, qu’on l’a poussé à la faute et j’en passe.

C’est toujours exactement les mêmes répliques.

J’apprécie Bentich en générale, je ne cherche donc nullement à lui nuire, mais comme dirait sa grand mère, trop is te veel.

Et aujourd’hui un groupe d’Alaisiens dont la tribun sont pour 45 jours immobilisés aux hospices d’Alais et tout ca pour quoi ??? parce qu’un chef d’armée à eu un coup de folie.

Qu’un homme souhaite régler ses comptes avec un autre pour l’honneur d’une dame est envisageable voir romantique, mais qu’il utilise une armée comtale à ce genre de fin et qu’au passage il massacre 4 innocents… là…le mot ignominie est plus approprié.

Je compte sur toi et ton équipe du pôle justice, mais pour ma part aucun doute n’est permis, il n’y a que 2 possibilités pour expliquer les événements de cette nuit, soit l’ordre avait été donnée de poutrer à vue (mode faucheur) soit il avait été ordonné de poutrer un membre de la lance ce que nous pourrions appeler un listage « romantique » option à laquelle le baron se vante régulièrement d'avoir recours.

Puisse Aristote veillez sur le conseil et l’aider à rendre justice, j’espère que ces événements ne pourriront pas le conseil tout comme l’affaire de la ville franche l’avait fait.

Et surtout prions pour le rétablissement complet de ce groupe d’homme et de femme qui une fois de plus risque de passer au second plan dans cette affaire.

Sans oublier les pauvres soldats qui doivent être traumatisés d’avoir presque tuer des voisins et amis.

Sans parler des civils qui comme moi renforce actuellement les effectifs de nos armées, tuer un innocent quand on est un soldat aguèris n’est déjà surement pas une chose aisée, alors quand on est là juste pour patrouiller et que l’on se retrouve avec le sang de la personne avec qui on buvait un verre 3 nuits plus tôt… ca vous coupe toute envie de vous investir dans des armées "citoyennes".

Bref que justice soit rendue et vite

Kelak


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Liz_von_frayner
Liz était un peu pensive depuis deux jours. Pensive et inquiète. Mais voilà que le Porte-Parole venait de lui offrir la possibilité de s’adresser directement aux bonnes personnes, celles qui sans aucun doute, parviendraient à lui enlever toute inquiétude en répondant à ses questionnements qu’elle considérait comme bien légitimes.

Profitant de l’aubaine, elle s’approcha donc de la porte de la Salle des Doléances et, comme indiqué sur le panneau affiché, s’adressa au garde, non sans avoir laissé passer un messager qui ressortait de l’édifice d’un pas pressé.


Le bonjour ! Je me présente : Liz von Frayner, Vicomtesse d’Hayange, habitante de Montpellier. Je désire m’entretenir avec le Baron Bentich et, sans vouloir abuser de l’occasion qui m’est donnée, avec notre estimé Porte-Parole Actarius que je ne retiendrai que quelques minutes.

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Actarius
Le Vicomte avait découvert la missive, remise au nom de Kelak, une lettre qu'il avait confiée à un serviteur - sans la lire puisque scellée de gueule - afin qu'elle fût apportée au comte. Il eut à peine le temps de terminer qu'on vint le prévenir qu'une Frayner attendait un entretien avec lui mais aussi avec le baron. Messager fut mandé auprès de Bentich et lui-même se rendit immédiatement en salle de Plaid.

Fatalement, la porte finit par s'ouvrir devant la néo-Montpelliéraine qui fut accueillie d'un sourire par le Vicomte.
Dona...
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Bentich
Ben qui avait reçu un message de la part d'Actarius arriva

Salut Actarius,

Puis se tournant vers la jeune femme

Dona Von Frayner, j'ai cru comprendre que vous désiriez me parler

(Je ne suis pas la du weekend, donc ne pas s’énerver si je ne réponds pas de suite)
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Liz_von_frayner
Le temps d’attente était généralement assez long lorsque l’on s’aventurait à demander un entretien officiel, c’est donc fort agréablement surprise que la Vicomtesse vit la porte s’ouvrir au bout de quelques minutes seulement et apparaître la stature du Porte-Parole, celui qui leur avait réservé, à elle et à son époux, alors qu’ils venaient de franchir la frontière languedocienne quelques mois plus tôt, un accueil des plus chaleureux.

C’est donc avec un franc sourire qu’elle s’adressa à lui sans plus attendre.

Vicomte, c’est un véritable plaisir de vous revoir et je voudrais vous remercier, non seulement de votre accueil et votre prévenance lors de notre première rencontre, mais aussi pour avoir répondu si diligemment à ma requête. Baissant un peu la voix : Les von Frayner ne sont pas réputés pour avoir de la patience, je vous en suis donc d’autant plus reconnaissante.

Réprimant un petit rire, elle se redressa.

Mais je ne voudrais pas vous faire perdre votre précieux temps. Voici donc ce qui m’amène. J’ai fait la connaissance de Dona Boulga il y a peu et lors de nos quelques conversations, nous avons abordé le sujet du poste de médiatrice pour Montpellier qui est vacant. Je lui donc confirmé que je serais prête à m’en charger, mais je n’ai plus eu de nouvelles depuis. Le poste ne serait-il plus vacant ou peut-être que votre choix s’est porté sur une autre personne ?

A peine eut-elle le temps de terminer sa phrase, certes un peu longue , que le baron Bentich se présenta à son tour, l’air pressé. Elle allait donc être brève, non sans avoir adressé un petit sourire d’excuse au Porte-Parole pour se faire pardonner de ne pas attendre sa réponse avant de se tourner vers le Baron.

En effet, je voulais vous voir au sujet de la mairie de Montpellier. J’ai été, comme beaucoup d’autres, fort surprise de la voir soudain abandonnée, deux jours après avoir été reprise manu militari des mains du vil Corna, alors que vous aviez déclaré lorsque vous avez découvert les coffres vides, je vous cite :


Bentich a écrit:


Je vais surement mettre quelques jours voir semaines pour tout remettre à niveaux.


Deux jours plus tard seulement, alors que les habitants de Montpellier , ainsi que d’autres languedociens étrangers à la ville, se mobilisaient dans un formidable élan de solidarité pour relever la ville le plus rapidement possible en faisant des dons et des promesses de soutien, la porte de la mairie s’est une fois de plus refermée, et cette fois-ci sans un mot, laissant les habitants complètement désemparés. Ceux-ci auraient mérité quelques mots d’explication, il me semble.

Pouvez-vous m’en dire un peu plus sur les raisons de ce départ plutôt brutal et inattendu?

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Actarius
L'humeur du Mendois n'était pas à proprement parler au beau fixe. Les événements qui s'enchaînaient du côté de Montpellier n'étaient pas pour lui plaire. Puis, d'autres choses le contrariaient, mais celles-ci, il les gardaient encore pour lui. Néanmoins, le sourire était bien là. Et il rayonnait sincèrement. Il ne fut guère long à répondre après avoir salué la Vicomtesse qui venait d'entrer et le baron Bentich.

La place de médiateur à Montpellier n'est pas vacante. Mais par contre, je cherche effectivement un nouveau médiateur pour la ville, qui aura exactement le même statut que le premier. J'ai passablement de projets en tête et j'ai besoin d'aide pour les mettre en place. Plus nous serons nombreux, plus nous pourrons avancer de manière efficiente. Si cette fonction, pas trop chronophage, et que je veux sortir de l'habituel carcan du simple affichage vous intéresse, vous pouvez vous rendre en mon bureau. Nous réglerons les formalités. Avec votre expérience, je ne doute pas que de remplir une telle fonction vous sera aisé.

Il se tut et porta son regard sur Bentich lorsque la partie le concernant fut évoquée. Mais le Mendois était bavard et aussi étrange que cela pouvait paraître, il était directement concerné par ces propos. Aussi, voyant bien, que le Sénéchal avait l'esprit un peu ailleurs, il prit les devants.

Je me permets de voler la parole au Baron. La remarque que vous faites concerne en fait un choix que j'ai fait en terme de communication. Lors d'une première annonce dévoilée par le comte, il était dit "L’armée, placée sous le commandement de Messire Bentich, Baron de Saint-Didier-en-Velay, aura pour seconde mission de mettre fin au processus en cours des élections et de le relancer ultérieurement, une fois l'ensemble sécurisé !". Le comte a jugé la ville sécurisée et donc estimé que cet ordre pouvait être appliqué. Voilà une première explication.

De fait, ce qui allait se passer était donc connu, c'est pourquoi je comptais revenir sur ce point dans un bilan sur la situation de Montpellier en fin de semaine et non directement. Au vu de la masse d'annonce affichée cette semaine, celle-ci serait passée inaperçue. Sans compter que je voulais attendre d'avoir des éléments supplémentaires avant de me lancer dans ce résumé. En clair, la situation de Montpellier fera l'objet d'une annonce spécifique samedi ou dimanche.

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Liz_von_frayner
Alors, c’est entendu. Je ne manquerai pas de venir vous voir au Château d’ici peu et j’ai bien hâte de pouvoir me rendre utile. Vous vous en êtes certainement rendu compte par vous-même, j’apprécie particulièrement tout ce qui touche le domaine de la communication et je ferai de mon mieux pour y contribuer.

Pour en revenir à la mairie de Montpellier, je conçois fort bien que sur le principe, la prise de la mairie par les soldats était judicieuse, car nul n’était certain que les urnes n’auraient pas désigné le maire félon et qu’il aurait pu faire encore plus de dégâts avant qu’il n’en soit chassé pour de bon.

Mais, le processus de l’élection n’a en rien été changé, sauf que cela aura permis à deux autres candidates de se présenter, car si vous passez devant le bureau de vote, vous constaterez que l’ancien maire est toujours en liste. Nous voilà donc avec quatre candidats et des votants qui ne pourront pas voter une seconde fois, les voix attribuées avant la prise de la mairie restant inscrites dans les registres.

Comment pensez-vous procéder au cas où, imaginons le pire, Corna aurait récolté le plus de voix avant sa fuite ? Une nouvelle prise de mairie par les soldats ? Encore une nouvelle élection ? Une ville une fois de plus laissée livrée à elle-même, puisque... sécurisée ?

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Actarius
Le sourire du Vicomte s'estompa après qu'il avait acquiescé au "rendez-vous" donné par la Vicomtesse. Des paroles lui avaient visiblement déplu.

Je ne puis vous laisser dire que la ville de Montpellier est livrée à elle-même et/ou sera encore abandonnée. C'est faux. Vous n'avez peut-être pas connu cela dans les différentes provinces où vous avez habité, mais il est de coutume en Languedoc dans ce genre de cas de faire surveiller le marché pour pourvoir aux besoins les plus urgents si possible et demeurer particulièrement attentif à la défense. Montpellier fait donc actuellement l'objet d'une véritable surveillance et cela continuera jusqu'aux élections. Elle n'est donc pas livrée à elle-même. Grogne bleu ! Croyez-vous que le Conseil se tourne les pouces alors que depuis une dizaine de jours, il veille constamment aux intérêts de la capitale ? Si vous voyez des problèmes sur le marché, des pénuries qui nous auraient malencontreusement échappé, rien ne vous empêche de les signaler, mais dire que la ville est livrée à elle-même, veuillez m'excuser mais je ne puis le tolérer.

Si par malheur, l'ancien maire venait à être réélu, des dispositions seraient naturellement prise dans les plus brefs délais pour palier ce problème et surseoir aux problèmes de gestions provoqués.


Ferme et direct. Le Mendois savait se montrer courtois, mais en tant que conseiller il n'aimait pas lambiner et tourner autour du pot. Il parlait sans détour, et le plus souvent, malheureusement peut-être, sans se soucier d'heurter les fiertés et les esprits.
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Alandrisse
Jamais, Ô grand Très Haut, la Montbazon n'avait fait un tel effort pour arrivée à l'heure. Enfin à l'heure...Elle ne savait même pas s'il y avait des "séances". La jeune femme avait donc misé sur le milieu de la journée. Sa robe carmin sur le dos, la brune traversa le castel de Montpellier. Elle avait fait une petite sortie loin de la ville de Carcassonne. Le temps n’était pas à gaspiller, car sinon ses oreilles prévoyaient déjà les cris d’un certain Roderick. « Tout le temps en retard… Même pas de quoi boire ». Ses mirettes émeraude se mirent en quête de la salle du Plaid, le castel reprenant peu à peu vie dans son esprit. Enfin, la salle était là, la jeune femme s’approcha du garde à l’entrée. Un coup d’œil rapide vers la salle, ou du moins une oreille rapide, lui signifiait qu’il y avait déjà une doléance en cours. Mais retournons à nos moutons ou en l’occurrence au garde qui faisait certainement deux fois sa taille. Un sourire sur ses lèvres rosées, autant user de sa féminité par moment. En tant que "mariée célibataire" elle pouvait se le permettre après tout.

Bien le bonjour, je me nomme Alandrisse et j’aurais une euh... requête à faire au Coms et son conseil.
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[En refonte]
Liz_von_frayner
Liz resta un instant interloquée par le changement de ton du Conseiller, même si elle comprenait qu’il avait certainement choses plus importantes à faire que de répondre à des remarques qui visiblement avaient été mal comprises. Calmement, elle reprit la parole.

Eh bien, voyez-vous, c’est exactement ce que j’aurais aimé entendre au moment où les soldats ont quitté la mairie. Un simple petit mot de la part du maire ad interim contre la porte devant laquelle la plupart des habitants passent quand ils se rendent sur la place du village aurait suffi à les rassurer.

Que la défense et le ravitaillement en cas de besoin de la ville est une priorité pour le Conseil, je n’en doute pas une seconde et je n’ai d’ailleurs jamais prétendu le contraire. Quand je parle de ville laissée livrée à elle-même, je pense plutôt au manque d’information envers la population quant aux conséquences que peut avoir une telle situation en pleine période électorale.


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Actarius
Le Vicomte fronça légèrement les sourcils.

Je ne peux deviner vos pensées. Lorsque vous parlez de ville livrée à elle-même, j'entends ville livrée à elle-même. Ce qui est faux. Si effectivement confirmation n'a pas encore été donnée, les Languedociens n'en demeuraient pas moins averti, de ce qui allait se faire à Montpellier. Ce n'est donc pas comme si on les avait pris par surprise, puisque la précédente décrivait le processus qui serait suivi. Je veillerai à ce qu'il y ait confirmation au plus vite la prochaine fois, soyez rassurée.

Le ton s'était naturellement adouci au fil des paroles.
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Liz_von_frayner

Preuve est donc faite que c'est en se parlant ouvertement et sans détour que les malentendus, les incompréhensions et parfois les situations les plus inextricables trouvent leur éclaircissement.

Et je vous remercie vivement de votre volonté d'établir une meilleure information envers la population dans le futur. Mes remerciements également de m'avoir reçue si rapidement, malgré votre emploi du temps que je sais être fort chargé. Et je n'en abuserai pas plus longtemps, surtout qu'il me semble qu'une autre personne vous attende.

Je vais donc lui laisser la place, en me réjouissant de vous retrouver très bientôt dans votre bureau au Château, ceci bien entendu non sans vous avoir souhaité une excellente journée, Vicomte.

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Actarius
Le Vicomte inclina légèrement la tête.

Excellente journée à vous, Dona.

Et de fait, une autre personne attendait puisqu'un garde avait interrompu l'échange pour venir bruyamment et fort peu courtoisement que le Premier Secrétaire d'Etat démissionnaire attendait. Le garde comprit qu'il s'agissait de patienter quelques instants, le temps que la conversation se terminât au regard noir dont le gratifia le Mendois qui se retourna vers la Vicomtesse et inclina donc sa tête avec un sourire retrouvé. Alors qu'elle sortait, le plancton reçut ordre de faire entrer la Comtesse. Comtesse qui fut accueillie à son entrée par le porte-parole.

Bonjour votre Grandeur, le Comte et le Conseil pour vous entendre, êtes-vous certaine qu'il soit nécessaire que je les dérange ? Je peux très bien vous écouter et leur transmettre votre doléance. Vous comprendrez aisément qu'étant donné la situation du comté, mobiliser les douze conseillers dont le temps est compté, ne sera guère facile.
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Alandrisse
Le temps passait tranquillement, permettant à la brune Alouette d’observer par la fenêtre. A croie qu’elle n’avait jamais vu ce genre de paysage…C’était plus un rappel du temps où la vie était plus simple. Une bonne inspiration pour revenir au présent car on venait de la faire appeler. Elle entra dans la salle du plaid, salua comme il se doit Actarius avant de relever son minois et d’afficher un léger sourire.

Votre Seigneurie, mes salutations, je vous rassure je ne tiens pas à ce que le conseil se déplace jusqu’ici. Du moment que vous transmettiez mon humble requête, cela me suffit amplement. Je souhaiterais savoir si les personnes qui se trouvent dans les armées en activité, pouvaient avoir une exonération d’impôts. Ainsi, lorsque ces armées ne seront plus en activité, le retour au domaine sera moins…douloureux si je puis dire.
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[En refonte]
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