Bastien.
Marie s'était rendu dans le bureau de Zelgius comme je lui avais demandé. L'alcool coulait comme je l'avais ordonné. Tout semblait aller pour le mieux... Du moins jusqu'à ce que celui que j'avais pris comme cible ne se rebelle. Il sortit son épée avant de l'abattre sur le comptoir. Habitué à ce genre de menace, je ne fis que l'écouter un léger sourire au coin des lèvres.
Il suffit de rigoler. Je peux très vite perdre patience, alors vous allez tout de suite payer de votre poche les verres servis, je ne paie pas des boissons à de pauvres merdes. Vous comprenez ? Vous pensiez de moi un pigeon ? Vous vous trompez ! Je connais ce genre dendroit, et je sais comment ça fonctionne. Si vous croyez que je suis si riche, vous auriez du très vite vous douter, que je ne suis pas blanc comme la neige hivernale. Alors maintenant vous vous la fermez, et vous allez me chercher votre patron, sinon cest moi-même qui irais le voir. Des salutations distinguées simposent. Et par la même occasion je lui donnerais quelques écus, pour quils puissent vous payer une tenue décente, bazin ! Dépêchez !
Si je paye pour les verres, vous payez pour le comptoir, et il vaut bien plus cher que tous les verres servis ! Et de toute manière, vous allez le payer. Et aussi pour la fille que votre ami souhaite prendre.
Effectivement, par habitude je gardais toujours un oeil sur les clients, où qu'ils soient dans la pièce principale...
Mon patron est occupé pour le moment. Il ne vous recevra pas et vous tuera même certainement si vous tentez d'aller le voir par vous-même. Quant à ma tenue, j'ai les moyens d'en changer, seul le temps me manque pour le moment.
Je finissais sur un mensonge, certes... Mais Le Champlecy me trouverait surement une tenue pour palier à ses loques noircis que je portais depuis presque une année entière. Reportant son regard sur l'arme plantée dans le comptoir, je me permis une remarque plus pour moi-même que pour le blond...
Le Champlecy ne va pas aimer... Surtout venant d'un blond...
Puis reprenant d'une voix plus forte, je ne pus m'empêcher un petit rire en parlant.
Les filles, expliquaient donc à ce blond ce que "respect" veut dire. On verra alors qui est le bazin !
Il suffit de rigoler. Je peux très vite perdre patience, alors vous allez tout de suite payer de votre poche les verres servis, je ne paie pas des boissons à de pauvres merdes. Vous comprenez ? Vous pensiez de moi un pigeon ? Vous vous trompez ! Je connais ce genre dendroit, et je sais comment ça fonctionne. Si vous croyez que je suis si riche, vous auriez du très vite vous douter, que je ne suis pas blanc comme la neige hivernale. Alors maintenant vous vous la fermez, et vous allez me chercher votre patron, sinon cest moi-même qui irais le voir. Des salutations distinguées simposent. Et par la même occasion je lui donnerais quelques écus, pour quils puissent vous payer une tenue décente, bazin ! Dépêchez !
Si je paye pour les verres, vous payez pour le comptoir, et il vaut bien plus cher que tous les verres servis ! Et de toute manière, vous allez le payer. Et aussi pour la fille que votre ami souhaite prendre.
Effectivement, par habitude je gardais toujours un oeil sur les clients, où qu'ils soient dans la pièce principale...
Mon patron est occupé pour le moment. Il ne vous recevra pas et vous tuera même certainement si vous tentez d'aller le voir par vous-même. Quant à ma tenue, j'ai les moyens d'en changer, seul le temps me manque pour le moment.
Je finissais sur un mensonge, certes... Mais Le Champlecy me trouverait surement une tenue pour palier à ses loques noircis que je portais depuis presque une année entière. Reportant son regard sur l'arme plantée dans le comptoir, je me permis une remarque plus pour moi-même que pour le blond...
Le Champlecy ne va pas aimer... Surtout venant d'un blond...
Puis reprenant d'une voix plus forte, je ne pus m'empêcher un petit rire en parlant.
Les filles, expliquaient donc à ce blond ce que "respect" veut dire. On verra alors qui est le bazin !