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[rp ouvert] Un bain Impérial

Locke
Wowww ... Alors qu'il s'apprêtait à servir sa brune et passer enfin un instant de calme dans cette folle journée, la porte s'ouvrit à la volée sur un Gui fulminant. Pas le temps d'en placer une que le jeune homme en sortait une plus grosse que lui ... Asceline ... majeure ? ... c'était nouveau ça ... le siècle où la majorité serait à 16 ans n'était pas né ... Il leva un doigt pour répondre au jeune révolté que sa brune lui coupa la chique et l'herbe sous le pied et asséna à Gui une mandale qui le laissa pantois ... lui hein, pas Gui ... Ce dernier d'ailleurs n'avait pas l'air d'en revenir, à moins qu'il ne faisait le compte des molaires perdus parce que ça brune hein, quand elle y allait c'était pas pour rien hein ... De la gifle de compète, du troupeaux de phalanges en plein galop ... D'ailleurs, alors que le Gui tentait de retrouver ses esprits et ses dents, l'empreinte de la torgnole clignotait d'un beau rouge vif ...

Mais sa brune reprit ... c'est son père ... Bon hé bien autant pour la surprise hein ... Pourvu qu'elle accepte maintenant ... Il jeta un regard vers l'escalier. Parce que dans le genre discret dans une auberge où chaque marche d'escalier couinait avec autant d'entrain qu'une meute de souris devant une meule de bruyère ... Son ange confirma d'ailleurs ces soupçons. Puis il attendit que sa moitié termine avant qu'il ne se tourne vers sa brune et ne lui sourit
... Merci mon ange, tu m'ôtes le plaisir de le faire ... avant de se retourner , les prunelles flamboyantes pour une seconde couche :

Alors comme ça elle est majeure ???? A 16 ans ??? C'est quoi cette plaisanterie ? ...


C'était la meilleure celle-là ... Il fronça les sourcils ... A moins que ... Oui ... A moins qu'il ne l'ignorât ... Peut-être ... Il se tourne vers l'escalier toujours silencieux et commença à user sa semelle sur le plancher de la taverne ... Puisque la discrétion n'était plus de mise, il s'efforça se calmer ... Allez zou, inspiration ...


Sors de là maintenant ...

Il soupira avant de reprendre plus doucement :

Asceline, rejoins-nous ... viens t'assoir ... Un sourire teinté d'ironie ... ce sera plus confortable que des marches dans l'ombre ... Gui .... assied toi aussi puisque tu es là ...
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Lordsigfrid
Des images toujours fraiche restait dans ma tête, un certain embarra était toujours présent, impossible pour moi de réfléchir ou penser sans que les secondes ou Asceline était suffisamment dévêtue pour que nul hésitation sur sa féminité soient remise en cause, je pris le chemin du seul moyens pour moi d'oublier comme il ce fallait cela, c'est à dire une taverne et des chopes.

Arrivant au divin nectar je passa la porte. Un
Sors de là maintenant ... me fit sortir de mes pensées et j’eus l'impression de tombé dans ce qui pourrait être le moment durant le quel il ne faut pas être là, je m’arrêta net,
Je bredouilla quelque mots pour m'excusez et resta comme figé malgré mon insistance pour faire demi-tour


je...pardonnez mon intrusion.... je..voulais bière boire,.. boire une bière mais... je tombe mal
Guigoux, incarné par Asceline
Posté à la demande du joueur.


Oh Gui n'en démordait pas. Une claque qui l'avait déstabilisé. Cela devenait une habitude de le frapper. Idana avait déjà amoché son nez à Montpellier, maintenant la claque. Il était plus abasourdi par ce fait là que par la dite claque. Qui était cependant assez puissante. Il eut des envies de meurtre, mais il avait pour principe de ne jamais frapper une femme. Ses mains le démangeaient cependant.

Puis elle gueula. Elle enchaina. Il ne put l'interrompre . C'était rapide, violent. Il se résigna à laisser Locke enchainer. Il répondrait d'un bloc d'un seul. T'façon il fallait qu'il assimile et qu'il digère. Une fois qu'ils eurent fini, et avant de s'assoir il enchaina.


-Alors sachez messire et madame, qu'avant de gueuler, il faut se mettre d'accord. Et j'estime que mademoiselle est majeure. Je n'ai pas la sensation qu'elle ai onze ans, mais plutôt dix huit, ou dix neuf ans!

On enchaine.

-Comment je pouvais deviner qu'elle a seize ans hein? Comment? Je suis désolé, mais non plus, je ne savais pas que dans la nuit vous l'aviez adopté. Je trouve vos coutumes assez étranges pour le coup.

On termine:

-Aussi jeune, aussi naïve et aussi belle soit-elle, j'avais prévu de ne pas la laisser entrer. Vous êtes arrivés quand j'allais la sortir. Je ne suis pas non plus un idiot. Et non, je ne serais pas sorti.

Il a prit une chaise et s'est assit

Je peux connaitre le fondement du fait que vous soyez ses parents?

Il a salué l'homme qui est entré.
Locke
Locke fronça les sourcils en écoutant le jeune homme se justifier. Il serra les dents, n'appréciant que fort peu l'insolence et le ton du jeune homme. Lui releva les yeux et salua Lordsigfrid de la tête. Puis revint à Gui :

Jeune homme, c'était avant qu'elle ne soit entièrement dévêtue que votre sens de la galanterie aurait du se réveiller ...mais Qu''importe ce qui est fait et fait ... quand à vous immiscer dans les affaires de ma famille, je trouve votre outrecuidance surprenante ... Est-ce ainsi que l'on apprend bonnes manières maintenant ? ...

Il haussa les épaules et prit à son tour une chaise, invitant sa moitié à le rejoindre auprès de lui :


Absit reverentia vero (Ne craignons pas de dire la vérité. ) ... c'est la devise de ma famille alors reste si tu le souhaites ... mais retrouve tes manières et garde le silence ... cela ne te concerne en rien ...

Il se tourna ensuite vers les escaliers et soupira :

Il serait temps que tu sortes enfin Asceline ... nous devons parler ...
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Asceline
« Il faut avoir confiance dans les surprises de la vie. »
de Jean-Philippe Blondel


Nous avons déjà tous vécu cet instant insoutenable où une situation nous échappe. Cet instant où l’insignifiant flocon se pose sur le tas de neige faisant basculer la montagne au moindre coup de vent… Un éternuement et s’est l’avalanche. Tout cela était parti d’un jeu, d’une boisson, d’un pari et d’un bain.

Sur sa marche d’escaliers la belle donzelle ne savait que dire ni que faire. Elle se contentait d’écouter et voir la série d’événements que son geste inconsidéré avait provoqués. Jamais elle n’avait imaginé déclencher une telle pagaille. L’angoisse, la poisse et tout plein d’autres mots en –oisse qui ne me reviennent pas. Les larmes lui montaient aux yeux et le rouge aux joues. La tension était palpable, les mots volaient et certains plus hauts que les autres. Pas de noms d'oiseau heureusement. Pire encore, ce qui devait être une mise au point à trois se transforma en audience publique. Allez, faites entrer l'accusé. Elle l’avait bien cherché la brunette, l’humiliation allait donc être totale. Elle n’entendait plus que les voix, ne parvenant plus à distinguer le moindre mot sortant de la bouche d’aucun des participants jusqu’à ce que Locke ne réitère son invitation à venir les rejoindre… Dire qu’elle avait fait tout cela pour s’amuser ! Sur un ton « léger », cela déviait sur du lourd… Trop lourd ! Tellement lourd qu’elle en était assommée au point de ne pas avoir vu entrer Sigfrid quelques instants plutôt.

« Il serait temps que tu sortes enfin Asceline ... nous devons parler ... » dit-il. Peu importe qu’ils soient là ou qu’ils ne le soient pas, tous l’avaient vu nue après tout. Elle n’avait donc plus rien à leur cacher. (HAHAHA ! N’espérez pas un remake hein !) Une seule chose tracassait Asceline… Que pouvait-il bien avoir à lui dire ? Elle descendit calmement (en apparence en tout cas) les quelques marches qui la séparaient du plancher des vaches et fit LE pas –le plus difficile- pour apparaitre timidement à leur vue puis s’arrêta. Tête baissé, elle s’entortillait les doigts nerveusement à la manière d’une enfant. Affronter Mini était une chose, Locke s’en était une autre… Il allait la mettre à la rue, séance tenante, avec en guise de remerciement un coup de pied au séant et comme ça n’existait pas encore… Faut pas rêver… Il n’y aurait même pas de parachute doré, l’atterrissage se ferait sur les pavés et tout en douleur. Fini la belle vie, fini le beau rêve de famille, fini les séances de coiffure et de crêpage de chignon avec Vicky et Lily, fini les courses avec Liam et même que fini les bons ragouts sauce cramé ! Elle sentait ses jambes défaillir, tandis qu’elle avançait vers la table et qu’elle s’approchait du bourreau. Tout en s’asseyant, ou plutôt en se laissant choir sur le siège, elle leva les yeux vers Gui et vit l’empreinte de la menotte de Mini sur sa joue... Tellement marquée d’ailleurs, qu’on pouvait presque y voir ses empreintes et lire les lignes de sa main. Elle laissa ensuite échapper un long soupir, prémisse des sanglots à venir, renifla un bon coup pour se dégager les narines, et dévisagea brièvement Mini.

Oui. Le drame tragique d’une tragédie dramatique. La prévision prévisible d’une fessée prévisible surement prévue (pas en publique celle-là s’il-vous-plait). L’humiliation latente d’un père en colère, poussé à bout par le parieur gagnant cherchant les mots justes pour une leçon bien méritée. Bien, bien, bien… La gorge serrée, elle attendait que la séance commence pour que la torture se termine. La parole est à l'accusation, la défense souffrant momentanément d'une crise d'aphonie due à l'émotion... Ou pas... Péniblement elle murmura:


Je... Je... suis... désolée... Ce n'est pas de sa faute. Je... Je voulais simplement m'amuser... Je n'ai jamais imaginé créer tous ces problèmes... Regardant Locke. S'il te plait! Ne me renvoie pas! S'il te plait!
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