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[RP]" Au fil de l'épée", la forge d'Horloger

--.rody.
Sitôt la dame partie, Rody s'empressa d'attiser les braises, dans la forge, sur le point de s'éteindre, il remit une buche. Horloger était en train de relire la commande. Il hocha la tête quand ce dernier lui dit:

Horloger a écrit:
« Bien! Voilà une fort belle commande, mon jeune ami, et que nous allons honorer sans tarder. Jette un œil là-dessus. »


Et à son tour, il se pencha sur la commande. En effet, c'était une commande de qualité, et qui laissait augurer pas mal de travail. Mais ça ne lui faisait pas peur, loin de là. La seule crainte était de ne pas savoir faire, l'épée d'estoc, notamment. D'ailleurs, comme s'il avait deviné ses pensées, le forgeron lui demanda:

Horloger a écrit:
« Qu'est-ce qu'une épée d'estoc, Rody? »


Il réfléchit rapidement, il avait lu quelque chose au sujet de ce genre d'épée...il hésita puis se lança:

- Il me semble avoir lu que c'était une épée assez fine faite pour transpercer l'adversaire....d'où la nécessité d'une pointe très....euh...pointue...
Horloger


Horloger hocha la tête en entendant Rody, et sourit.

Rody a écrit:
Il me semble avoir lu que c'était une épée assez fine faite pour transpercer l'adversaire....d'où la nécessité d'une pointe très....euh...pointue...


« Exactement. Et il existe deux sortes d'épées: des épées de taille, et des épées d'estoc. Les premières sont destinées à trancher; elles sont capables de fendre des plaques d'acier d'une armure. Mais leur pointe est arrondie, car elle ne servent pas d'estoc, c'est-à-dire qu'on ne les utilise pas pour transpercer. Uniquement pour trancher ou briser. »

Horloger se dirigea vers l'armoire où il entreposait les parchemins relatifs à son métier, et l'ouvrit. Il fouilla quelques instants parmi les feuillets, et en prit un. Il retourna vers Rody, et posa le parchemin sur la table.



« Voici une épée de taille, Rody. Elle date d'environ un siècle et demi. Remarque la largeur de la lame à la base, la pointe arrondie, et la cannelure au centre de la lame. A droite, une vue en coupe de la lame, montrant cette cannelure, sorte de creusure. Elle sert à alléger la lame. Je te laisse regarder le parchemin. »

Horloger se dirigea à nouveau vers l'armoire, et se mit à compulser les feuillets.










Della
Comme promis, Railly repassait par Fécamp, avec l'espoir que sa commande soit réalisée car le temps pressait, les étrangers étaient priés de quitter la Normandie, elle et sa troupe s'en allaient donc.

Della se présenta à la forge.

Maître Horloger ? Etes-vous là ?

Du bruit lui parvint, du fond de l'atelier. Ce bruit régulier du marteau qui frappe et frappe encore, régulièrement, pour donner forme et corps au métal.

Elle se donna l'autorisation d'entrer...et, une fois à l'entrée de l'atelier, elle appela à nouveau :
Maître Horloger ? Bonjour !!!
Elle adressa un sourire à l'homme.
Je viens aux nouvelles, pour ma commande...Est-elle prête ?

Elle priait, intérieurement pour que la réponse soit positive...le temps ne jouait pas avec elle.
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Horloger


Della a écrit:
Maître Horloger ? Bonjour !!!
Je viens aux nouvelles, pour ma commande...Est-elle prête ?


Horloger reposa les parchemins, et se retourna. Il s'inclina, et répondit:

« Hélas non, Dame de Railly. Votre commande est une commande d'exception, et j'ai besoin de temps, afin de la réaliser, et surtout, afin de montrer à mon apprenti les différents pièges à éviter lors de la confection de telles pièces. »

Il fit une courte pause, et reprit.

« Cela dit, soyez assurée que la commande sera terminée dans les plus brefs délais. Une affaire de jours, à n'en point douter. Je ne manquerai pas de vous envoyer missive, dame de Railly, lorsque la commande sera achevée; ou même, la faire livrer, à vôtre convenance. »









Lyderic
Lyderic s'approcha de la forge. Horlo y travaillait, torse nu luisant de sueur.
Quel spectacle!!! Horlo battait le fer. Sur l'enclume ou le fer s'incline, son lourd marteau frappe plus fort, on dirait que tout s'illumine au milieu d'étincelles d'or.
Pour respecter l'homme t son travail, lyderic attendit une pause pour lui adresser la parole
Bien le Bonjour mon ami Horlo, pourrais-tu me fabriquer un casque assez rapidement, les choses se décantent et il se pourrait que je voyage un peu dans des endroits ou les grelons sonr assez gros , il faudra que je me protége.

Horlo reprit son dur labeur, sur qu'il ne devait pas chomer avec la forge et le tribunal, Lyderic lui fit un signe de la main et partit
--.rody.
La dame à la grosse commande était repassée. Rody avait déjà commencé les dagues. Il entendit Horloger lui proposer de lui livrer les armes dès qu'elles seraient terminées. Elle accepta et repartit aussitôt.

Il montra la dernière dague qu'il venait de fabriquer au forgeron. Celui-ci approuva d'un signe de tête, satisfait, et le complimenta. Rody fut sensible à cette reconnaissance de son travail.
Il regarda le reste de la commande, il s'agissait maintenant de faire une épée d'estoc. Horloger lui avait expliqué, en lui montrant des esquisses, la différence entre une épée d'estoc et une épée de taille. Il leva la tête vers lui et lui dit:


Messire Horloger, comment vais-je réussir à faire que la lame soit de même épaisseur dans toute sa longueur?


Horloger lui demanda de mettre le minerai nécessaire dans la forge, ce que fit Rody à l'aide d'une longue pince. Il le laissa ramollir sous l'effet de la forte chaleur et s'essuya du revers de sa manche, le front, où perlaient quelques gouttes de sueurs. Il faisait si chaud!
Lorsqu'il estima le métal près à être martelé, il le sortit et le posa sur l'enclume. Horloger prit sa place pour lui montrer. Il choisit avec soin un marteau, fit en sorte, à l'aide d'une autre pince, de bien caler le morceau de minerai ,rougi par le feu, et commença à taper dessus à coups réguliers.
Rody le regardait, fasciné. Les gestes étaient précis. L'homme était concentré, de temps en temps, il s'arrêtait pour lui montrer la forme qu'il était en train de donner à ce simple morceau de minerai. Puis, il reprenait son martèlement.

Il sembla à Rody avoir entendu la porte s'ouvrir. Il se retourna, en effet, un homme était là. C'était un soldat. Horlo s'arrêta et salua l'homme qui, à son tour, en fit autant:


Lyderic a écrit:
Bien le Bonjour mon ami Horlo, pourrais-tu me fabriquer un casque assez rapidement, les choses se décantent et il se pourrait que je voyage un peu dans des endroits ou les grelons sonr assez gros , il faudra que je me protége.


Rody vit Horloger hocher la tête et le désigner en souriant, assurant au soldat que son jeune apprenti se chargerait d'exécuter cette commande au plus vite. Rody sourit à l'homme qui parut satisfait. Il le vit jeter un dernier coup d'œil à la forge, puis, il prit congé.
Puis, Horloger lui demanda de poursuivre la lame. Il se mit à côté de lui et regarda comment il s'y prenait. De temps en temps, du bout du doigt, il lui désignait l'endroit où il fallait frapper la lame.
Horloger


Horloger avait noté les mesures pour le casque commandé par Lyderic. Tout en observant Rody, concentré à affiner la lame en frappant à coups précis dessus, il passa en revue ce qu'il lui faudrait, et spécialement des peaux. Il n'en avait pas d'avance, il faudrait donc aller s'approvisionner au marché. Il songea un moment laisser Rody continuer à forger la lame, seul, et y aller-lui-même, mais Rody n'avait jamais confectionné de casque, et il devrait, à l'avenir, non seulement en fabriquer un, mais également choisir les meilleures peaux pour cela. Il convenait donc qu'il soit présent.
Horloger posa sa main sur l'épaule de Rody, et lui, dit, entre deux coups de marteau-rivoir:


« Mon ami, nous allons cesser pour aujourd'hui. »

Rody prit une mine consternée, et dit:

« J'ai mal fait, maître Horloger? »

Celui-ci sourit, et secoua la tête.

« Nullement, nullement. Mais nous allons devoir fabriquer un casque, comme tu as pu le comprendre, et pour cela, nous avons besoin de peaux. Or, je n'en ai pas d'avance, car les stocker dans la forge les dessèche, et elles ne sont plus bonnes qu'à s'essuyer les chausses dessus, et encore. Par conséquent, nous allons de ce pas au marché en acheter. Eteins la forge, je te prie. »

Tandis que Rody rangeait les outils et étouffait le feu, Horloger sortit une quarantaine d'acus de la bourse qu'il conservait dans le tiroir de l'établi. Cela permettrait d'acheter largement deux peaux. Il inscrivit sur un parchemin:

DE RETOUR DANS PEU DE TEMPS


et une fois Rody sorti, il ferma la forge à clef, et accrocha le parchemin sur la porte. Puis tous deux se dirigèrent vers le marché.
--.rody.


Plusieurs semaines avaient passé. Rody, après s'être accroché à l'idée que l'état de santé de sa mère s'améliorait, avait été dans l'obligation de constater le contraire. Lentement, elle avait sombré. Il l'avait découverte, un matin, morte, dans son lit. Dans son immense chagrin, il avait tout de même réussi à accepter que, là où elle était, il n'y avait plus de souffrance, plus d'attente, plus de désespoir.

Cependant, il avait eu du mal à reprendre une vie normale. Il avait du expliquer à son petit frère que leur mère était avec les anges, au ciel, qu'elle les protégeait maintenant. L'enfant avait pleuré, l'appelant, au comble du désespoir. Rody avait manqué de patience, et c'est avec soulagement qu'il avait laissé leur tante s'en occuper.

Heureusement, il y avait la forge, Matou et Horloger. Ces derniers lui avaient été d'une grande aide. Il n'y avait pas eu d'effusion, mais quand Matou l'avait serré contre elle, il avait su qu'elle serait toujours là pour lui, comme s'il était un de ses enfants. Et lorsque Horloger lui avait donné l'accolade, dans un instant empreint de gravité, il avait lu dans les yeux de son maitre, toute la confiance et l'affection qu'il avait pour lui. Rody en avait été touché et bien que doublement orphelin, il savait qu'il n'était pas seul.

On dit que le temps atténue les chagrins. C'était juste même s'il ne se passait pas une journée sans que Rody ne pense à sa mère. Lorsqu'il rentrait chez lui, dans cette ancienne auberge pleine de la présence d'Idryl, il lui arrivait de pleurer cette mère trop vite enlevée à son affection.
Puis, il se reprenait et ouvrait un manuel de ferronnerie, prêté par Horloger, et se plongeait dedans. Il réfléchissait à la création de nouvelles épées ou couteaux. Il dessinait des esquisses, se promettant de les montrer au forgeron, mais n'osait jamais.

De temps à autre, il allait diner au domaine de Thorigni et y retrouvait avec plaisir la jeune Mahaut et le petit Guillaume. Matou lui avait proposé de s'installer chez eux...le temps de...il avait souri...le temps de quoi? d'oublier? il n'oublierait pas...de s'habituer à être seul chez lui? Il avait secoué la tête et l'avait remerciée, lui promettant toutefois de venir une fois par semaine, passer la soirée avec eux.

De temps en temps, l'idée l'effleurait qu'il aurait pu fréquenter les jeunes de Fécamp. Certaines filles de son âge, jeunes et jolies, lui tournaient autour. Il rougissait et jamais ne répondait à leur invitation d'aller en taverne. Quant aux garçons, ils le considéraient, sans doute, comme un benêt. Il n'en avait cure. Seul le travail à la forge l'intéressait. Chaque sou gagné était mis de côté. Il n'avait pas oublié son projet: devenir médecin.
Horloger


Horloger avait laissé Rody se débrouiller, ne passant plus qu'une ou deux fois par jour à la forge. L'apprenti savait maintenant manier plutôt bien le marteau, et les divers objets qu'il forgeait n'étaient pas dénués de qualités. Les couteaux étaient tranchants et bien finis, leur lame polie et brillante ne déshonorait point la forge, bien au contraire. Les seaux étaient d'excellente qualité. Restait les épées, à peaufiner, mais il fallait aussi être juste: une épée était un objet long à fabriquer, et puis...il y avait épée et épée. Certains forgerons vendaient ce que Horloger appelait de simples cure-dents, tant les finitions étaient affreuses. Nul doute qu'au premier choc, ces épées se briseraient comme une branche sèche. Forger une belle épée était tout un art, difficile et qui demandait du temps. C'était pour cela que Horloger passait encore régulièrement. Cependant, en ce jour de lundi 13 septembre, il devait aller voir Rody pour lui expliquer qu'il serait absent durant une assez longue période.
Horloger arriva devant la porte de la forge, entendant depuis le haut du chemin le chant du rivoir qui battait le fer, sur l'enclume. Il poussa la porte, et sourit. La forge était parfaitement tenue, et chaque outil à sa place. Rody s'interrompit en le voyant entrer, et s'essuya machinalement les mains sur son tabard de cuir.

"Bonjour, Maître Horloger! Je suis content de vous voir!"

Horloger lui serra la main, et répondit:

"Moi aussi, mon jeune ami." Il regarda les couteaux que Rody était entrain de forger, et ajouta:

"Tes couteaux semblent d'excellente facture. Persévère!"

Rody sourit en s'inclinant, et Horloger reprit.

"Matou, les enfants et moi partons ce soir pour l'Orléanais. Je te confie donc la forge. Je ne passerai pas chaque jour, bien sûr; je te laisse tenir l'échoppe à ta guise. Si tu avais le moindre souci, envoie-moi un pigeon, j'aviserai. Mais nul doute que tu t'en sortiras comme un chef! Note bien les commandes, et honore-les en temps et en heure. D'accord?"

Rody hocha la tête, tout en étant à la fois heureux que son maître lui confie la forge, et triste qu'il parte. Horloger remarqua le combat que se livraient les sentiments dans le cœur de Rody, et lui sourit en lui tapotant l'épaule.

"Mon jeune ami, sois sans crainte. Tu t'en sortiras à merveille, et puis, je ne pars pas longtemps! A mon retour, je viendrai te voir!"

"Bien sûr, Seigneur de Saint Amand, avec grand plaisir!"

Ils échangèrent une poignée de main, et Horloger sortit. Une nouvelle étape commençait, et Rody devait se débrouiller seul.
Alkemie
poussent la porte de chez horloger , elle voulait une hache pour coupé du bois sa serai supère

horloger tu es là
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--.rody.


Concentré sur son travail, il était en train d'affuter la lame d'une épée, il n'entendit pas la porte s'ouvrir.
Aussi sursauta-t-il quand une voix s'éleva:


Citation:
horloger tu es là


Il posa l'épée et se retourna. Il avait en face de lui la fille de Maitre Aupyl, le fameux capitaine.Il la connaissait de vue pour l'avoir parfois croisée avec son père mais il ignorait son nom. Il lui sourit et lui dit:


- Bonjour Demoiselle...le seigneur Horloger n'est pas là, c'est à moi qu'il a confié la forge. Je m'appelle Rody...que puis-je pour vous?




Alkemie
elle entendit une voix quelle connaissait pas , regarde

bonjour Rody votre nom me dit quelque chose , mais me souviens plus , alors horloger est pas là et c'est vous qui s'occupe de sa forge, j aimerai savoir combien coute une hache s'il vous plait

elle le regarde , il est mignon se garçon elle sourit écoutent sa réponse
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--.rody.


- Je suis le fils de la défunte Idryl....sa voix se cassa et une lueur de tristesse passa dans ses yeux...et de Messire Pardallian...ainsi, vous voulez connaitre le prix d'une hache...Voyons voir...

Il ouvrit un tiroir et en sortit un parchemin qu'il consulta du regard, puis, il lui donna l'information:


- Une hache coute 180 écus environ, selon les prix des matières premières....en ce moment, on a un peu de mal à trouver du fer....


Il la regarda, son sourire était revenu, il faut dire que cette jeune fille était charmante, et il poursuivit:


- Mais j'ai du mal à vous imaginer en train de manier une hache...est ce une arme pour vous défendre que vous voulez? En tout cas, je ne manquerai pas de vous faire un prix, bien entendu...
Alkemie
elle le regarde a oui dame idryl et messire pardy , j ai su pour votre mère ces bien triste , j ai perdu ma mère alors je sais ce que long ressent , votre père et très gentil, je les déjà croisé plusieurs fois il ma l'aire pas très en forme .

elle lui sourit je sais très bien manier la hache , je suis allé 1 mois a Rouen rien pour coupé du bois , et elle me servira au premier qui ose encore me toucher , si vous me faite un prix, moi je vous fait un prix pour le pain , on s'arrange comme ça , alors des vous avez les matériaux pour la hache ben faite la moi , mais je part après le 8 avec mon père et sa compagne si vous pouvais pas la faire avant le 8, ben faite la moi plus tard, je vous dirais en se moment là, après je rentre si sa vous va comme ça messire rody
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--.rody.


Il l'écouta avec un sourire. Sa voix était douce et musicale. Elle parlait un peu vite comme si elle ne voulait pas être interrompue.
Lorsqu'elle eut fini, il la regarda, amusé, elle avait l'air de savoir ce qu'elle voulait.


- Et bien, Demoiselle, nul doute que personne n'osera vous toucher ainsi armée. Toutefois, je souhaite de tout cœur que vous n'ayez à vous servir de cette hache que pour couper du bois!!

Il fit une pause, regarda la lame de l'épée qu'il était en train d'affûter avant que la jeune fille n'arrive. Puis, il poursuivit:

- En effet, vous faire cette hache pour le 8, ça me semble un peu court. cependant, s'il n'y a aucun souci pour vous qu'elle soit prête à votre retour de voyage, elle le sera...Quant à me vendre du pain avec une petite ristourne, ma foi, ce n'est pas de refus...


Son sourire s'agrandit un peu plus. Lui, si timide avec la gente féminine, prenait plaisir à discuter avec la fille d'Aupyl.


- Alors? c'est une affaire qui marche?
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